Élisabeth a régné pas moins de quarante quatre ans pendant lesquels elle a tenu l’Angleterre d'une main de maître. Pourtant, cette femme ne s'est jamais mariée et elle a donc laissé la couronne sans aucun héritier. Mais pourquoi une telle décision ? Pourquoi ne pas avoir de descendance ? L'a-t-elle fait volontairement ou n'a-t-elle pas eu le choix ?
Élisabeth était la fille d'Henri VIII et elle vivait donc étant petite fille dans un magnifique château entourée de servants. Un jour, elle aurait été prise de fortes fièvres et serait décédée quelques jours plus tard et ce, malgré l'acharnement des servant et autres médecins à la garder en vie. Les servants savaient que le roi devait venir lui rendre visite, hors, ils ne pouvaient pas lui annoncer le décès de sa fille auquel cas, ils périraient tous. Ils auraient donc décidé de prendre un enfant et de le grimer en la petite fille et ce, même s'ils s'agissait en réalité d'un garçon. Selon certains, cette légende serait réelle et expliquerait pourquoi la reine Élisabeth n'aurait jamais eu de descendance et ne se serait pas mariée également.
Mais quelques questions se posent alors. Comment un homme aurait-il pu ne pas reconnaître son enfant ? Et bien il est très clair que les deux êtres se voyaient extrêmement peu, il est donc probable que le roi n'ai pas reconnu sa propre fille. Il l'avait en effet éloignée car elle était la fille de l'une de ses maîtresses. Vous verrez tout au long de ce documentaire que la vie de cette femme n'était que mystères.
Dire…Je T'aime… Quelqu’un t’a dit je t’aime, aujourd’hui ?
Et toi l’as tu dit aussi ? Ces simples mots sont tellement importants Prenez l’habitude de le dire souvent Ca ne coûte pas cher et c’est doux à l’oreille On aime l’entendre même dans son sommeil
La maman le dit à son enfant L’amoureuse le dit à son amant Pourquoi ne pas le dire à son voisin aussi Dites le à vos amis (es) ou à votre mari Il prend tant de place dans votre vie C’est un mot si joli
Dites le à votre famille, frères ou sœurs Allez n’ayez pas peur, ouvrez votre cœur Dites le à une amie (ami) que vous rencontrez A quelqu’un que vous aviez oublié A l’infirmière qui surveille votre santé Quand vous êtes hospitalisé
Je t’aime est un petit mot doux Que tout le monde dira pour vous Quand vous aurez pris le temps De le lancer à tous les vents On récolte ce que l’on a semé Dit un vieux dicton démodé
Mot toujours nouveau Offrez le comme un cadeau Dites des « Je t’aime » Et vous verrez comme on vous aime A chacun et chacune d’entre vous je vous le dis « Je vous aime » aussi
Elle se tenait au bout de la table et nous impressionnait par sa lenteur. On la voyait si vieille, toute ridée, misérable que l'amour peu à peu fit place à la rancœur. Elle gênait notre vie. Elle gênait nos projets la mamé. A quelque temps de là, prétextant des vacances, je l'emmenais là-haut, au flanc du Lubéron.
- Tu sera bien mamé ! Tu verras la Durance du haut de la terrasse de la grande maison. - Ces maisons-là sont faites pour les vieux ! - Regarde ! Ils ont l'air bienheureux ! - Comme tu veux petite.
Je la laissais toute seule. L'air était encore chaud pourtant je frissonnais et le chant des oiseaux voletant dans le lierre disait à mes oreilles "qu'as-tu fait de mamé ?"
Chaque brin d'herbe, de thym, de lavande, de romarin semblait me dire "mais qu'as-tu fait de mamé ?"
Même le chant des sources dans ma tête criait "mais qu'as-tu fait de mamé ?"
Lentement, le remords me prenait. Au fil des souvenirs, mon coeur s'est apaisé. Alors, j'ai repris le chemin qui mène à la grande maison. Retrouver la mamé, lui demander pardon !
J'ai pris tout simplement ses mains sans rien lui dire. Une larme brillait au milieu d'un sourire.
Une mamé c'est précieux. C'est tant de souvenirs. Si vous en avez une, jusqu'au bout de ses jours, gardez-la près de vous. Et quand elle devra mourir, vous lui fermerez les yeux dans un geste d'amour.
Si aujourd'hui, le chant des cigales me pose la question tant de fois redoutée, je peux, le coeur joyeux en digne provençale, répondre fièrement "Elle est là, la mamé !
Quand les mots éclaireront l'aube naissante De ma douce et verte campagne environnante, Quant le grand froid la neige et le vent d'hiver Auront dispersé aux cieux toutes les misères, Quand les fenêtres s'ouvriront vers le soleil Dans la douceur des jours souriant à l'arc en ciel, Quand la nature nous offrira des arbres verts Et les premières plantes dans les jardins divers, Quand nous ouvrirons nos joies et nos mains vers vous Vos coeurs grandiront et aimeront à genoux, Quand nos prières s'élèveront vers les cieux Pour unir le monde parfois trop orgueilleux, Quand l'homme saura que la vie sans amour N'est rien d'autre qu'un puissant appel au secours, Quand tous, nous comprendrons que amour et sagesse Ne pourront anéantir toutes les promesses, Qaund les hommes changeront de comportement, Renaîtront, d'autres couleurs sous le firmament ...
En 1990, peu de temps avant sa mort, le journaliste britannique Malcom Muggeridge écrivait :
« Je vois mon ancienne carcasse, allongée dans les draps, usée, maculée comme un vieux morceau de papier qu’on aurait jeté dans le caniveau. Et je me vois voletant au-dessus d’elle, tel un papillon libéré de sa chrysalide, prêt à s’envoler.
Les chenilles sont-elles informées de leur imminente résurrection ?
Leur dit-on qu’en mourant elles seront transformées ? Que de misérables larves condamnées à ramper sur la terre, elles deviendront des créatures aériennes, dotées d’ailes aux couleurs sublimes ?
Mais à supposer qu’on le leur dise, vont-elles le croire ?
J’imagine les vieilles chenilles secouant la tête et déclarant sur un ton empreint de sagesse :
? Non, non. C’est impossible. Ce ne sont que des balivernes. » (Fin de citation)
Ainsi en est-il pour nous.
Dans la Bible, on nous a fait savoir ce qui doit arriver ? ou tout au moins ce qui peut arriver ? à notre âme, à notre « vrai moi », quand nous parvenons au terme de cette vie et que nous nous dépouillons de notre enveloppe terrestre.
Comme à ces chenilles, le choix nous a été donné d’y croire, ou de ne pas y croire.
Et c’est bien là le point critique, le nœud de la question. La vie éternelle qui nous est promise dans le Ciel dépend de… NOTRE FOI !
« Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en Moi vivra, même s’il meurt. » (Jean 11:25, la Bible)
Tel est le miracle de Pâques : Jésus n’est pas resté dans la tombe; par conséquent, rien ne nous oblige à y rester non plus. Rien ne nous oblige à souffrir la séparation éternelle d’avec Dieu, comme châtiment de nos péchés.
Après avoir pris sur Lui-même notre punition, Jésus est revenu à la vie. Et parce qu’Il vit, nous aussi nous pouvons vivre. (Jean 14 :19 - La Bible)
Il vous suffit de croire que Jésus s’est sacrifié pour vous racheter.
Si vous croyez, vous êtes en bonne voie ! Sinon, nous espérons que ce message vous aidera à croire. Et vous serez peut-être surpris de constater qu’il vous suffisait d’avoir un tout petit peu de foi.
Si vous sentez votre foi défaillir, priez comme ce pauvre homme dans l’Évangile :
« Je crois, Seigneur, mais aide-moi, car je manque de foi. » (Marc 9:24, la Bible). C’est là une façon d’ouvrir votre esprit et votre cœur à Jésus, et de Lui donner une chance de se révéler à vous.
Il était une fois, dans une petite ville, un ministre du culte qui s’appelait George Thomas. Un certain dimanche de Pâques, il se rendit à l’église tenant à la main une vieille cage à oiseau rongée par la rouille, qu’il déposa sur la tablette de sa chaire. Une telle désinvolture ne manqua pas de provoquer chez certains fidèles *quelques froncements de sourcils. En guise d'explication, le Père Thomas leur adressa ces mots :
« Hier, je me promenais en ville quand j’aperçus un jeune garçon qui marchait dans ma direction, cette cage à la main. Au fond de la cage se blottissaient trois petits oiseaux. Les pauvres étaient transis de froid et tremblaient de peur. J'arrête donc le gamin pour lui demander :
— Qu'as-tu là, fiston ?
— Ce ne sont que des oiseaux, répond-il.
— Que comptes-tu en faire ?
— J’vais les emmener chez moi pour m'amuser avec eux. Je vais les exciter et puis je vais leur arracher les plumes, pour qu’ils se battent entre eux. Oh, qu’est-ce que je vais m’amuser!
— Mais tu ne tarderas pas à te lasser de ce jeu. Et après, qu’est-ce que tu feras d’eux ?
— Oh, mais j'ai des chats ! Alors je leur donnerai les oiseaux et ils vont bien se régaler.
Après quelques instants de silence, je lui demande :
— Et combien veux-tu que je t’en donne ?
— Euh… hein ? Mais vous ne pourrez rien en faire, m'sieur. C’est des oiseaux tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Ils ne chantent pas, ils ne sont même pas beaux!
— Combien? insisté-je.
Le garçon me regarde, ébahi, comme si j’avais perdu la raison, et décide de tenter sa chance :
— Dix euros, ça ira ?
Je tire de ma poche un billet de dix euros et je le tends au garçon qui me l’arrache des mains et disparaît comme une flèche. Je prends la cage et, délicatement, je l'emmène au fond de la ruelle où se trouve un arbre et un peu de verdure. J’y dépose la cage et j’ouvre la porte. Puis, en tapotant sur les barreaux, j’invite les pauvres volatiles à prendre leur envol vers la liberté.
Et voilà pourquoi cette cage est vide. »
Alors le pasteur leur raconta cette histoire :
« Un jour, Satan, qui revenait du Jardin d’Eden, conversait avec Jésus. Il jubilait et se vantait :
— Tu vois, je les ai tous attrapés ! Je leur ai tendu un piège, j'ai utilisé un appât irrésistible et pas un ne m’a échappé!
— Que comptes-tu en faire ?, s’enquit Jésus.
— Oh, je vais bien m'amuser!,répartit Satan. Je vais leur apprendre à se marier et à divorcer, à se haïr et à se maltraiter, à boire, à fumer et à jurer. Je leur apprendrai à fabriquer des fusils et des bombes pour qu’ils s'entretuent. Oh ! Qu’est-ce que je vais m’amuser !
— Et après, qu’est-ce que tu en feras ? demanda Jésus.
— Je saurai bien m'en débarrasser, lança-t-il d’un air féroce et hautain.
— Et combien veux-tu que je t’en donne ?, fit Jésus.
— Oh, tu ne pourrais rien en tirer ! Ils ne valent pas grand’ chose. Tu vas les prendre et ils vont te haïr. Ils vont te cracher dessus, te maudire et te tuer! Laisse tomber cette racaille !
— Combien ?, insista Jésus.
Satan Le regarda avec un sourire méprisant:
— Toutes tes larmes et tout ton sang, ça ira?
— Marché conclu ! fit Jésus.
Et c’est le prix qu’Il paya pour nous racheter.»
Le pasteur reprit sa cage, l’ouvrit, et quitta la chaire…
Réalisé par Hubert Pedrini
Élisabeth a régné pas moins de quarante quatre ans pendant lesquels elle a tenu
l’Angleterre d'une main de maître. Pourtant, cette femme ne s'est jamais
mariée et elle a donc laissé la couronne sans aucun héritier. Mais
pourquoi une telle décision ? Pourquoi ne pas avoir de descendance ?
L'a-t-elle fait volontairement ou n'a-t-elle pas eu le choix ?
Élisabeth était la fille d'Henri VIII et elle vivait donc étant petite
fille dans un magnifique château entourée de servants. Un jour, elle
aurait été prise de fortes fièvres et serait décédée quelques jours plus
tard et ce, malgré l'acharnement des servant et autres médecins à la
garder en vie. Les servants savaient que le roi devait venir lui rendre
visite, hors, ils ne pouvaient pas lui annoncer le décès de sa fille
auquel cas, ils périraient tous. Ils auraient donc décidé de prendre un
enfant et de le grimer en la petite fille et ce, même s'ils s'agissait
en réalité d'un garçon. Selon certains, cette légende serait réelle et
expliquerait pourquoi la reine Élisabeth n'aurait jamais eu de
descendance et ne se serait pas mariée également.
Mais quelques questions se posent alors. Comment un homme aurait-il pu
ne pas reconnaître son enfant ? Et bien il est très clair que les deux
êtres se voyaient extrêmement peu, il est donc probable que le roi n'ai
pas reconnu sa propre fille. Il l'avait en effet éloignée car elle était
la fille de l'une de ses maîtresses. Vous verrez tout au long de ce
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Dire…Je T'aime…
Quelqu’un t’a dit je t’aime, aujourd’hui ?
Et toi l’as tu dit aussi ?
Ces simples mots sont tellement importants
Prenez l’habitude de le dire souvent
Ca ne coûte pas cher et c’est doux à l’oreille
On aime l’entendre même dans son sommeil
La maman le dit à son enfant
L’amoureuse le dit à son amant
Pourquoi ne pas le dire à son voisin aussi
Dites le à vos amis (es) ou à votre mari
Il prend tant de place dans votre vie
C’est un mot si joli
Dites le à votre famille, frères ou sœurs
Allez n’ayez pas peur, ouvrez votre cœur
Dites le à une amie (ami) que vous rencontrez
A quelqu’un que vous aviez oublié
A l’infirmière qui surveille votre santé
Quand vous êtes hospitalisé
Je t’aime est un petit mot doux
Que tout le monde dira pour vous
Quand vous aurez pris le temps
De le lancer à tous les vents
On récolte ce que l’on a semé
Dit un vieux dicton démodé
Mot toujours nouveau
Offrez le comme un cadeau
Dites des « Je t’aime »
Et vous verrez comme on vous aime
A chacun et chacune d’entre vous je vous le dis
« Je vous aime » aussi
Elle se tenait au bout de la table et nous impressionnait par sa lenteur. On la voyait si vieille, toute ridée, misérable que l'amour peu
à peu fit place à la rancœur.
Elle gênait notre vie. Elle gênait nos projets la mamé. A quelque temps de là, prétextant des vacances, je
l'emmenais là-haut, au flanc du Lubéron.
- Tu sera bien mamé ! Tu verras la Durance du haut de la terrasse de la grande maison.
- Ces maisons-là sont faites pour les vieux !
- Regarde ! Ils ont l'air bienheureux !
- Comme tu veux petite.
Je la laissais toute seule. L'air était encore chaud pourtant je
frissonnais et le chant des oiseaux voletant dans le lierre disait à mes
oreilles "qu'as-tu fait de mamé ?"
Chaque brin d'herbe, de thym, de lavande, de romarin semblait me dire "mais qu'as-tu fait de mamé ?"
Même le chant des sources dans ma tête criait "mais qu'as-tu fait de mamé ?"
Lentement, le remords me prenait. Au fil des souvenirs, mon coeur s'est apaisé.
Alors, j'ai repris le chemin qui mène à la grande maison. Retrouver la
mamé, lui demander pardon !
J'ai pris tout simplement ses mains sans rien lui dire. Une larme brillait au milieu d'un sourire.
Une mamé c'est précieux. C'est tant de souvenirs. Si vous en avez une,
jusqu'au bout de ses jours, gardez-la près de vous. Et quand elle devra
mourir, vous lui fermerez les yeux dans un geste d'amour.
Si aujourd'hui, le chant des cigales me pose la question tant de fois
redoutée, je peux, le coeur joyeux en digne provençale, répondre
fièrement "Elle est là, la mamé !
Quand les mots éclaireront l'aube naissante
De ma douce et verte campagne environnante,
Quant le grand froid la neige et le vent d'hiver
Auront dispersé aux cieux toutes les misères,
Quand les fenêtres s'ouvriront vers le soleil
Dans la douceur des jours souriant à l'arc en ciel,
Quand la nature nous offrira des arbres verts
Et les premières plantes dans les jardins divers,
Quand nous ouvrirons nos joies et nos mains vers vous
Vos coeurs grandiront et aimeront à genoux,
Quand nos prières s'élèveront vers les cieux
Pour unir le monde parfois trop orgueilleux,
Quand l'homme saura que la vie sans amour
N'est rien d'autre qu'un puissant appel au secours,
Quand tous, nous comprendrons que amour et sagesse
Ne pourront anéantir toutes les promesses,
Qaund les hommes changeront de comportement,
Renaîtront, d'autres couleurs sous le firmament ...
@copyrightClaudineCottencin
De l' R
Si tous les points je consid' R
Tout ce bonheur Éphém' R
Est loin de moi je n'adh' R
A cette supercherie ce cimeti' R
Je m'envole vers les hautes sph' R
Lâcher prise ... je me laisse f' R
Ce n'est pas un voyage d'aff' R
Mais une élévation ... je préf' R
L ´ envie de changer d' R
Est plus forte qu'elle n'en a l' R
Sur du papier volant j' R
Ma plume ne touche plus t' R
Poème en alphabet
Copyright@thierrypoetilbon
Poésies IV
LE SABLE TEMOIN
au petit matin,enfin nous ouvrons les yeux.
il est temps de rentrer .
le soleil se lève et quelques rayons déjà nous réchauffent.
mer calme,brise furtive,
le sable garde les empreintes de nos deux corps.
ah ! nuit d'amour qui s'achève.
allez , un petit café nous attend.
mais avant ,de quitter main dans la main,
embrassons nous encore un peu.
du haut les nuages nous observent en jouant avec le soleil,
et clignent de l'oeil.
des petits curieux qui nous aiment.
allez ,faut rentrer,le monde du bruit nous attend .
@cosmos