Dédié À Christine ,Une Amie Formidable Qui a Quitté notre Blog.
Voilà quelques années Que je navigue sur le net À la recherche d’amitié De rencontres virtuels Derrière l’écran des inconnus Des mots éphémères sur un clavier On se dévoile on se met à nu On partage nos idées On échange nos histoires Un semblant d’amitié Qui n’est qu’illusoire Qui nous fait rêver J’ai fais quelques rencontres intéressantes Des gens formidables Et d’autres des faux semblants Qui m’ont laissé des sentiments désagréables Et là par hasard, j’ai fais une rencontre Une personne exceptionnelle Pour qui je ressens une amitié profonde Qui j’espère sera éternelle Toi mon amie et mon double Je te dédie ce poème Une personne exceptionnelle C'est formidable d'avoir des amis comme vous Vous essuyez mes larmes et vous me laisser des mots doux C'est formidable d'avoir des amis fidèles Qui vous remontent le moral quand tout est gris Chacun à votre façon vous êtes formidables Et je vous remercie beaucoup.
Il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage , L'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses .
Pour ceux qui aiment la langue française, c'est un plaisir !
> Loin des vieux livres de grammaire, > Écoutez comment un beau soir, > Ma mère m'enseigna les mystères > Du verbe être et du verbe avoir. > > Parmi mes meilleurs auxiliaires, > Il est deux verbes originaux. > Avoir et Être étaient deux frères > Que j'ai connus dès le berceau. > > Bien qu'opposés de caractère, > On pouvait les croire jumeaux, > Tant leur histoire est singulière. > Mais ces deux frères étaient rivaux. > > Ce qu'Avoir aurait voulu être > Être voulait toujours l'avoir. > À ne vouloir ni dieu ni maître, > Le verbe Être s'est fait avoir. > > Son frère Avoir était en banque > Et faisait un grand numéro, > Alors qu'Être, toujours en manque > Souffrait beaucoup dans son ego. > > Pendant qu'Être apprenait à lire > Et faisait ses humanités, > De son côté sans rien lui dire > Avoir apprenait à compter. > > Et il amassait des fortunes > En avoirs, en liquidités, > Pendant qu'Être, un peu dans la lune > S'était laissé déposséder. > > Avoir était ostentatoire > Lorsqu'il se montrait généreux, > Être en revanche, et c'est notoire, > Est bien souvent présomptueux. > >Avoir voyage en classe Affaires. > Il met tous ses titres à l'abri. > Alors qu'Être est plus débonnaire, > Il ne gardera rien pour lui. > > Sa richesse est tout intérieure, > Ce sont les choses de l'esprit.. > Le verbe Être est tout en pudeur > Et sa noblesse est à ce prix. > > Un jour à force de chimères > Pour parvenir à un accord, > Entre verbes ça peut se faire, > Ils conjuguèrent leurs efforts. > > Et pour ne pas perdre la face > Au milieu des mots rassemblés, > Ils se sont répartis les tâches > Pour enfin se réconcilier. > > Le verbe Avoir a besoin d'Être > Parce qu'être, c'est exister. > Le verbe Être a besoin d'avoirs > Pour enrichir ses bons côtés. > > Et de palabres interminables > En arguties alambiquées, > Nos deux frères inséparables > Ont pu être et avoir été.
C'est l'amour qui fait qu'on aime. C'est l'amour qui fait rêver. C'est l'amour qui veut qu'on s'aime. C'est l'amour qui fait pleurer...
Mais tous ceux qui croient qu'ils s'aiment, Ceux qui font semblant d'aimer, Oui, tous ceux qui croient qu'ils s'aiment Ne pourront jamais pleurer...
Dans l'amour, il faut des larmes, Dans l'amour, il faut donner... Et ceux qui n'ont pas de larmes
Ne pourront jamais aimer...
Il faut tant, et tant de larmes Pour avoir le droit d'aimer... Mon amour, oh toi que j'aime, Tu me fais souvent pleurer...
J'ai donné, donné mes larmes, J'ai pleuré pour mieux t'aimer, J'ai payé de tant de larmes Pour toujours le droit d'aimer... Pour toujours... le droit d'aimer !
" Une larme tombe
De la terre et la pluie en ères y ‘est grégaires
Une pousse se lève du sol, la regarde et espère !!
Mon cœur n’a plus soif
Ce poisson de se débattre hors de l eau, se meure !!
Tends ta main !!N’offres qu’une de tes larmes et noie le !!"
Je m éteins pour l’envie t enlacer et renaître
L‘age boit mes ans et je te veux à en mourir !!
Même si encore, l’oublie rancune pour qu il pardonne !!
Ma foi est que tout ré-germe et l amour s' enfante
Oh !! L’inconnue qui ne s’approche en pas géants
De l’innocence de l' enfant qui comble un béant vide
La noire, en ballerine aux étoiles comme fleurons !!
Je te rêvasse encore ; qu’un visage dans la lune !!
Au fin des orbes, au fond de mes volcans et dédales
Comme si les spleens ont des pieds et font la marche !!!
En l'armée aux temps des barbaries fureteuses !!
Cherchent et assèchent de toutes mes flammes ; la sève !!
Oh, nous Les désossés !! Ne croyons plus au rachat
Forçons les portes de nos paradigmes salutaires !!!
Ensemble, Démolissons l’enfer ou on s' enferre !!
Noyons nos yeux de larmes et créons notre "GUIDE "!!
Un espoir naît l’étincelle, L’amour en sanctuaire
Nos débris en un bois sec, Nos souffles ravivent
La pousse et ta larme dans nos cendres encore salubre
Nous pouvons y reprendre nos couleurs et chairs
Plume_dailleurs
Il vient un âge, ou le bonheur semble se retirer de la vie
comme des lacs qu’un été trop long retrècit entre leurs rives.
(Paul jean toulet.)
Voilà quelques années
Que je navigue sur le net
À la recherche d’amitié
De rencontres virtuels
Derrière l’écran des inconnus
Des mots éphémères sur un clavier
On se dévoile on se met à nu
On partage nos idées
On échange nos histoires
Un semblant d’amitié
Qui n’est qu’illusoire
Qui nous fait rêver
J’ai fais quelques rencontres intéressantes
Des gens formidables
Et d’autres des faux semblants
Qui m’ont laissé des sentiments désagréables
Et là par hasard, j’ai fais une rencontre
Une personne exceptionnelle
Pour qui je ressens une amitié profonde
Qui j’espère sera éternelle
Toi mon amie et mon double
Je te dédie ce poème
Une personne exceptionnelle
C'est formidable d'avoir des amis comme vous
Vous essuyez mes larmes et vous me laisser des mots doux
C'est formidable d'avoir des amis fidèles
Qui vous remontent le moral quand tout est gris
Chacun à votre façon vous êtes formidables
Et je vous remercie beaucoup.
Poème Trouvé Sur Le Net
Il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage ,
L'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et
nous dire ses promesses .
Milan Kundera ( écrivain tchèque né en 1929 )
Admirez, écoutez, profitez!
Un moment de bonheur en écoutant
cette jeune fille jouer de la trompette.
Regardez l'audience et l'émotion qu'elle donne
à travers son instrument de musique.
Quand l'art n'a plus de mot, seulement du bonheur!
Un peu de Paradis dans ce monde d'enfer!
Patrick Etienne
Pour ceux qui aiment la langue française, c'est un plaisir !
> Loin des vieux livres de grammaire,
> Écoutez comment un beau soir,
> Ma mère m'enseigna les mystères
> Du verbe être et du verbe avoir.
>
> Parmi mes meilleurs auxiliaires,
> Il est deux verbes originaux.
> Avoir et Être étaient deux frères
> Que j'ai connus dès le berceau.
>
> Bien qu'opposés de caractère,
> On pouvait les croire jumeaux,
> Tant leur histoire est singulière.
> Mais ces deux frères étaient rivaux.
>
> Ce qu'Avoir aurait voulu être
> Être voulait toujours l'avoir.
> À ne vouloir ni dieu ni maître,
> Le verbe Être s'est fait avoir.
>
> Son frère Avoir était en banque
> Et faisait un grand numéro,
> Alors qu'Être, toujours en manque
> Souffrait beaucoup dans son ego.
>
> Pendant qu'Être apprenait à lire
> Et faisait ses humanités,
> De son côté sans rien lui dire
> Avoir apprenait à compter.
>
> Et il amassait des fortunes
> En avoirs, en liquidités,
> Pendant qu'Être, un peu dans la lune
> S'était laissé déposséder.
>
> Avoir était ostentatoire
> Lorsqu'il se montrait généreux,
> Être en revanche, et c'est notoire,
> Est bien souvent présomptueux.
>
>Avoir voyage en classe Affaires.
> Il met tous ses titres à l'abri.
> Alors qu'Être est plus débonnaire,
> Il ne gardera rien pour lui.
>
> Sa richesse est tout intérieure,
> Ce sont les choses de l'esprit..
> Le verbe Être est tout en pudeur
> Et sa noblesse est à ce prix.
>
> Un jour à force de chimères
> Pour parvenir à un accord,
> Entre verbes ça peut se faire,
> Ils conjuguèrent leurs efforts.
>
> Et pour ne pas perdre la face
> Au milieu des mots rassemblés,
> Ils se sont répartis les tâches
> Pour enfin se réconcilier.
>
> Le verbe Avoir a besoin d'Être
> Parce qu'être, c'est exister.
> Le verbe Être a besoin d'avoirs
> Pour enrichir ses bons côtés.
>
> Et de palabres interminables
> En arguties alambiquées,
> Nos deux frères inséparables
> Ont pu être et avoir été.
Trouvé sur le Net.
« Même quand on l'a perdu
l'amour qu'on a connu
vous laisse un goût de miel.
L'amour, c'est éternel! »
C'est l'amour qui fait qu'on aime.
C'est l'amour qui fait rêver.
C'est l'amour qui veut qu'on s'aime.
C'est l'amour qui fait pleurer...
Mais tous ceux qui croient qu'ils s'aiment,
Ceux qui font semblant d'aimer,
Oui, tous ceux qui croient qu'ils s'aiment
Ne pourront jamais pleurer...
Dans l'amour, il faut des larmes,
Dans l'amour, il faut donner...
Et ceux qui n'ont pas de larmes
Ne pourront jamais aimer...
Il faut tant, et tant de larmes
Pour avoir le droit d'aimer...
Mon amour, oh toi que j'aime,
Tu me fais souvent pleurer...
J'ai donné, donné mes larmes,
J'ai pleuré pour mieux t'aimer,
J'ai payé de tant de larmes
Pour toujours le droit d'aimer...
Pour toujours... le droit d'aimer !
(Texte d'Edith PIAF)
Hymne à l'amour ( Brenda Lee)
Epigrammes.
Bien fou qui cherche au monde une suprême fin,
Mais sage en dernier lieu s'il dit : tout est mystère,
Partant rien n'est problème, et qu'il vaut mieux se taire
Que rompre dans son coeur un silence divin.
Que je t'aimais, printemps, ma lointaine jeunesse ;
Que la force pliait à mon premier désir !
Mais je sais maintenant qu'il faut que tout renaisse
Et tout entier qu'un jour c'est moi qui doit finir.
François-Paul Alibert 1873-1953