Poésies,contes et légendes.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
14/05/2015 - 08:23

" Une larme tombe

De la terre et la pluie en ères y ‘est  grégaires

Une pousse se lève du sol,  la regarde et espère !!

Mon cœur n’a plus soif

Ce poisson de se débattre hors de l eau, se meure !!

Tends ta main !!N’offres qu’une de tes larmes et noie le !!"



Je m éteins pour l’envie  t enlacer et  renaître

L‘age boit mes ans et je te veux  à en mourir !!

Même si encore, l’oublie rancune pour qu il pardonne !!

Ma foi est  que tout ré-germe  et l amour s' enfante



Oh !! L’inconnue qui ne s’approche en pas géants

De l’innocence de l' enfant qui comble un béant vide

La noire, en ballerine aux étoiles comme fleurons !!

Je te rêvasse encore ; qu’un visage dans la lune !!



Au fin des orbes, au fond de mes volcans et dédales

Comme si  les spleens ont des pieds et font la marche !!!

En  l'armée aux temps des barbaries fureteuses !!

Cherchent et assèchent de toutes mes flammes ; la sève !!
 


Oh, nous Les désossés !! Ne croyons plus au rachat

Forçons les portes de nos paradigmes salutaires !!!

Ensemble, Démolissons  l’enfer ou on s' enferre !!

Noyons nos yeux de larmes et créons notre "GUIDE "!!



Un espoir naît  l’étincelle, L’amour en sanctuaire

Nos débris en un bois sec, Nos souffles ravivent

La pousse et ta larme  dans nos cendres encore salubre

Nous  pouvons y reprendre  nos couleurs et  chairs


Plume_dailleurs
14/05/2015 - 08:07



13/05/2015 - 08:13
Méditation Au Bord De L'Eau


Il vient un âge, ou le bonheur semble se retirer de la vie
comme des lacs qu’un été trop long retrècit entre leurs rives.

(Paul jean toulet.)
13/05/2015 - 08:05
Dédié À Christine ,Une Amie Formidable Qui  a Quitté notre Blog.
 

 Voilà quelques années
Que je navigue sur le net
À la recherche d’amitié
De rencontres virtuels
Derrière l’écran des inconnus
Des mots éphémères sur un clavier
On se dévoile on se met à nu
On partage nos idées
On échange nos histoires
Un semblant d’amitié
Qui n’est qu’illusoire
Qui nous fait rêver
J’ai fais quelques rencontres intéressantes
Des gens formidables
Et d’autres des faux semblants
Qui m’ont laissé des sentiments désagréables
Et là par hasard, j’ai fais une rencontre
Une personne exceptionnelle
Pour qui je ressens une amitié profonde
Qui j’espère sera éternelle
Toi mon amie et mon double
Je te dédie ce poème
Une personne exceptionnelle
C'est formidable d'avoir des amis comme vous
Vous essuyez mes larmes et vous me laisser des mots doux
C'est formidable d'avoir des amis fidèles
Qui vous remontent le moral quand tout est gris
Chacun à votre façon vous êtes formidables
Et je vous remercie beaucoup.

Poème Trouvé Sur Le Net


13/05/2015 - 07:47

       Il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage ,
       L'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et 
       nous dire ses promesses .

       Milan Kundera ( écrivain tchèque né en 1929 )

13/05/2015 - 07:35

Admirez, écoutez, profitez!




Un moment de bonheur en écoutant

cette jeune fille jouer de la trompette.

Regardez l'audience et l'émotion qu'elle donne

à travers son instrument de musique.

Quand l'art n'a plus de mot, seulement du bonheur!

Un peu de Paradis dans ce monde d'enfer!

Patrick Etienne
12/05/2015 - 15:36

Pour ceux qui aiment la langue française, c'est un plaisir !


> Loin des vieux livres de grammaire, 
> Écoutez comment un beau soir,
> Ma mère m'enseigna les mystères
> Du verbe être et du verbe avoir.

> Parmi mes meilleurs auxiliaires,
> Il est deux verbes originaux.
> Avoir et Être étaient deux frères
> Que j'ai connus dès le berceau.

> Bien qu'opposés de caractère,
> On pouvait les croire jumeaux,
> Tant leur histoire est singulière.
> Mais ces deux frères étaient rivaux.

> Ce qu'Avoir aurait voulu être
> Être voulait toujours l'avoir.
> À ne vouloir ni dieu ni maître,
> Le verbe Être s'est fait avoir.

> Son frère Avoir était en banque
> Et faisait un grand numéro,
> Alors qu'Être, toujours en manque
> Souffrait beaucoup dans son ego.

> Pendant qu'Être apprenait à lire
> Et faisait ses humanités,
> De son côté sans rien lui dire
> Avoir apprenait à compter.

> Et il amassait des fortunes
> En avoirs, en liquidités,
> Pendant qu'Être, un peu dans la lune
> S'était laissé déposséder.

> Avoir était ostentatoire
> Lorsqu'il se montrait généreux,
> Être en revanche, et c'est notoire,
> Est bien souvent présomptueux.

>
>Avoir voyage en classe Affaires.
> Il met tous ses titres à l'abri.
> Alors qu'Être est plus débonnaire,
> Il ne gardera rien pour lui.

> Sa richesse est tout intérieure,
> Ce sont les choses de l'esprit..
> Le verbe Être est tout en pudeur
> Et sa noblesse est à ce prix.

> Un jour à force de chimères
> Pour parvenir à un accord,
> Entre verbes ça peut se faire,
> Ils conjuguèrent leurs efforts.

> Et pour ne pas perdre la face
> Au milieu des mots rassemblés,
> Ils se sont répartis les tâches
> Pour enfin se réconcilier.

> Le verbe Avoir a besoin d'Être
> Parce qu'être, c'est exister.
> Le verbe Être a besoin d'avoirs
> Pour enrichir ses bons côtés.

> Et de palabres interminables
> En arguties alambiquées,
> Nos deux frères inséparables
> Ont pu être et avoir été.


Trouvé sur le Net.
12/05/2015 - 07:59



 



 

« Même  quand on l'a perdu

l'amour  qu'on a connu 

vous laisse  un goût de miel.

 L'amour, c'est éternel!  »

 

C'est l'amour qui fait qu'on aime. 
C'est l'amour qui fait rêver. 
C'est l'amour qui veut qu'on s'aime. 
C'est l'amour qui fait pleurer... 

Mais tous ceux qui croient qu'ils s'aiment, 
Ceux qui font semblant d'aimer, 
Oui, tous ceux qui croient qu'ils s'aiment 
Ne pourront jamais pleurer... 

Dans l'amour, il faut des larmes, 
Dans l'amour, il faut donner... 
Et ceux qui n'ont pas de larmes 

Ne pourront jamais aimer... 

Il faut tant, et tant de larmes 
Pour avoir le droit d'aimer... 
Mon amour, oh toi que j'aime, 
Tu me fais souvent pleurer... 

J'ai donné, donné mes larmes, 
J'ai pleuré pour mieux t'aimer, 
J'ai payé de tant de larmes 
Pour toujours le droit d'aimer... 
Pour toujours... le droit d'aimer !


 
(Texte d'Edith PIAF)




 Hymne à l'amour ( Brenda Lee)

11/05/2015 - 16:36

Epigrammes.


Bien fou qui cherche au monde une suprême fin,

Mais sage en dernier lieu s'il dit : tout est mystère,

Partant rien n'est problème, et qu'il vaut mieux se taire

Que rompre dans son coeur un silence divin.

 


Que je t'aimais, printemps, ma lointaine jeunesse ;

Que la force pliait à mon premier désir !

Mais je sais maintenant qu'il faut que tout renaisse

Et tout entier qu'un jour c'est moi qui doit finir.


 
François-Paul Alibert 1873-1953
11/05/2015 - 16:32
Les enfants de la Terre.