il y a un endroit ou tout est calme un endroit qui s'appelle la campagne tant de fleurs qui naissent, qui vivent et qui fanent les animaux qui ont l'air de s'amuser toute la journée ce grand espace ou l'on peut jouer l'herbe est si verte et si haute qu'on pourrait s'y perdre sans y faire attention ces arbres qui ont l'air si heureux ce soleil qui brille de mille feux ces nuages qui se sont enfuis parce qu'il n'y a plus de pluie pas de chasseurs comme dans les forêts ni d'animaux sauvages qui viennent s'y réfugier le beau temps on l'aime tous pas comme l'hiver ou l'on tousse ceci est la campagne ou il fait si calme pas de bruits aucun souci!
Poésie Du Dimanche...Pensées D'Automne Pensées D'autome...
L’automne continue de passer avec nos souliers humides et venteux, défilé de feuilles valse à travers la brume, les pointe d’or vont et viennent, en notes sur coeur s’échouer. L’automne exprime profonde passion, un écueil n’est qu’un voyage vers l’immobilité du for, un silence pour prémisse, une graine de rêveur, tel une étoile, le vent en est l’initiateur. L’automne est plus qu’un avant dernier acte, il est le soubresaut des pensées, chant des grands drus agités depuis les racines, l’oiseau chanteur des douceurs enflammées, messager du divin pacte. L’automne trace son lit, libère tous les élans, forge ses diamants de terre, il est un peintre qui use toutes les couleurs de toutes ses palettes, sans penser au résultat, l’abstrait, le bariolé en fête. L’automne continue sa marche, sur un cintre, des pensées en sont encore au jovial printemps, d’autres se font déjà glaciales, ah! ce temps.. ineffable, bond fait remous, fait son courant..
Pour être heureux dans cette courte vie, Il faut de peu savoir te contenter ; Petits désirs sont exempts de folie, Petits désirs ne peuvent tourmenter :
Tel est mon plan près de l'objet que j'aime. Quand je dépeins mon tendre sentiment, Et que j'obtiens un applaudissement, Je suis heureux et ma joie est extrême ;
Si doucement sa main presse ma main, Je suis heureux, je bénis mon destin ; Si je vois son regard lire au fond de mon âme, Je suis heureux encore de lui montrer ma flamme ;
Mais si ma bouche ardente et prête à s'embraser Vient effleurer sa bouche et recueille un baiser, Mille fois trop heureux de mon trop doux servage, Je suis prêt d'oublier qu'on obtient bien davantage.
Recueil : Les poésies diverses (1766)
Barnabé Farmian Durosoy
Ce commentaire a été modifié le 24/08/2018 à 10:09
Elle naquit un soir de novembre lorsque le jour disparut dans un silence violent à l’heure où flamboient les souvenirs dont la beauté seule éclaire l’âme qui gémit son absurdité de persister à être à cet instant où la déchirure s’attaque au cœur déjà abandonné au manque qu’il découvre alors que des sourires compassés fleurissent sur les visages quasi indifférents à l’apparition de la nouvelle amie qu’ils veulent ignorer et que la nuit blafarde nomme la solitude celle qui envahit la vie.
Ce commentaire a été modifié le 23/08/2018 à 09:17
Je pourrais remplir des pages entières pourquoi écrire est bénéficiel pour l’âme ; combien le meilleur de nous en ressort.
Je pourrais enseigner, expliquer pourquoi la poésie est une telle grâce dans notre vie, qu’elle est porteuse de paix dans ses vers.
Je pourrais motiver notre jeunesse, qu’ils connaissent la beauté de notre littérature, l’art d’écrire des mots qui parlent.
Je pourrais écrire, qu’une plume inspirée voyage beaucoup plus loin dans le cœur et laisse une empreinte plus durable.
Je pourrais donner un nouveau regard que la plume est une continuation de nos rêves, pour les voir s’accomplir.
Je pourrais citer ces génies littéraires, ces philosophes, penseurs hors du temps, ces visionnaires de la pensée humaine.
Je pourrais écrire et passer des nuits entières pour répandre mon âme, pour étancher ma soif de découvertes.
Je pourrais faire tout cela, car les mots ne me manquent pas et me sont fort familiers ; l’art de parler avec une plume.
Ils aiment qu’on les aime, Ils aiment être compris, Ils aiment changer les choses.
Souvent, j’écris le soir venu, quand les bruits de la journée s’estompent et s’assoupissent.
Le calme de la nuit apportant sa sérénité pour libérer l’âme du tumulte de l’accomplissement.
C’est étrange comment cette Muse, cette enchanteresse divine aime jouer avec moi le soir venue.
J’ai beau lui dire « laisse-moi me reposer maintenant, mais elle insiste jusqu’à ce que je prenne mon bloc de papier blanc pour écrire.
Elle est une amante qui ne cesse de demander, qui n’est jamais rassasiée, qui veut toujours plus.
Elle est infatigable dans sa soif de créer ; mais à son regret, je ne peux pas lui donner tout ce qu’elle me demande, car moi, contrairement à elle, je suis un être seulement temporel.
Le Ciel, lui, n’est jamais à bout de ressources. Ses réservoirs sont toujours remplis, toujours prêt à déverser ses plénitudes sur les cœurs affamés.
L’homme et la femme ont besoin de s’exprimer, d’être une part de cette création magique qui nous entoure ; comme un devoir qui leur a été confié de l’améliorer.
Le jeune enfant, au tout début de ses balbutiements dans la vie, est déjà un créateur en herbe.
Il n’y a pas d’âge pour être artiste ; pas d’âge pour se lancer à la découverte de la vie ; Pas d’âge pour aimer écrire Et s’exprimer.
Alors, amis(es), ici et au loin, remplaçons le « je pourrais » avec le « je veux »
l’encrier est là, la page blanche vous attend, elle plume n’a plus qu’à faire son travail !
il y a un endroit ou tout est calme
un endroit qui s'appelle la campagne
tant de fleurs qui naissent, qui vivent et qui fanent
les animaux qui ont l'air de s'amuser toute la journée
ce grand espace ou l'on peut jouer
l'herbe est si verte et si haute
qu'on pourrait s'y perdre sans y faire attention
ces arbres qui ont l'air si heureux
ce soleil qui brille de mille feux
ces nuages qui se sont enfuis
parce qu'il n'y a plus de pluie
pas de chasseurs comme dans les forêts
ni d'animaux sauvages qui viennent s'y réfugier
le beau temps on l'aime tous
pas comme l'hiver ou l'on tousse
ceci est la campagne
ou il fait si calme
pas de bruits
aucun souci!
Pensées D'autome...
L’automne continue de passer avec nos souliers
humides et venteux, défilé de feuilles
valse à travers la brume, les pointe d’or
vont et viennent, en notes sur coeur s’échouer.
L’automne exprime profonde passion, un écueil
n’est qu’un voyage vers l’immobilité du for,
un silence pour prémisse, une graine de rêveur,
tel une étoile, le vent en est l’initiateur.
L’automne est plus qu’un avant dernier acte,
il est le soubresaut des pensées, chant des grands
drus agités depuis les racines, l’oiseau chanteur
des douceurs enflammées, messager du divin pacte.
L’automne trace son lit, libère tous les élans,
forge ses diamants de terre, il est un peintre
qui use toutes les couleurs de toutes ses palettes,
sans penser au résultat, l’abstrait, le bariolé en fête.
L’automne continue sa marche, sur un cintre,
des pensées en sont encore au jovial printemps,
d’autres se font déjà glaciales, ah! ce temps..
ineffable, bond fait remous, fait son courant..
(du net)
Pour être heureux dans cette courte vie,
Il faut de peu savoir te contenter ;
Petits désirs sont exempts de folie,
Petits désirs ne peuvent tourmenter :
Tel est mon plan près de l'objet que j'aime.
Quand je dépeins mon tendre sentiment,
Et que j'obtiens un applaudissement,
Je suis heureux et ma joie est extrême ;
Si doucement sa main presse ma main,
Je suis heureux, je bénis mon destin ;
Si je vois son regard lire au fond de mon âme,
Je suis heureux encore de lui montrer ma flamme ;
Mais si ma bouche ardente et prête à s'embraser
Vient effleurer sa bouche et recueille un baiser,
Mille fois trop heureux de mon trop doux servage,
Je suis prêt d'oublier qu'on obtient bien davantage.
Recueil : Les poésies diverses (1766)
Barnabé Farmian Durosoy
En tête de l’art.
Je suis un acrobate,
Point un automate.
Sur un fil, funambule,
Je jongle de bulle en bulle,
De savon, de champagne,
L’effervescence m’accompagne.
Je suis autodidacte,
Seul face à mes actes.
J’ai appris avec les livres,
Me rendant parfois ivre,
Cueillant les Fleurs du Mal,
Le beau de l’air abyssal.
Je suis un aigle,
Un albatros en règle.
Je vole de ville en désert,
Le trop d’espace est mon aire,
Mon oxygène, mon essentiel,
Je plane, fidèle à mon ciel.
Je suis un artiste,
Peut-être idéaliste.
Je sème, peu avare,
Des mots, sans hasard,
Vadrouillant en routard,
En tête de l’art.
Thierry Petibon
« Image in air »
Prologue
Elle naquit un soir de novembre lorsque le jour disparut dans un silence violent à l’heure où
flamboient les souvenirs dont la beauté seule éclaire l’âme qui gémit son absurdité de
persister à être à cet instant où la déchirure s’attaque au cœur déjà abandonné au manque
qu’il découvre alors que des sourires compassés fleurissent sur les visages quasi indifférents
à l’apparition de la nouvelle amie qu’ils veulent ignorer et que la nuit blafarde nomme la
solitude celle qui envahit la vie.
L’Art d’écrire.
Je pourrais remplir des pages entières
pourquoi écrire est bénéficiel pour l’âme ;
combien le meilleur de nous en ressort.
Je pourrais enseigner, expliquer pourquoi
la poésie est une telle grâce dans notre vie,
qu’elle est porteuse de paix dans ses vers.
Je pourrais motiver notre jeunesse, qu’ils
connaissent la beauté de notre littérature,
l’art d’écrire des mots qui parlent.
Je pourrais écrire, qu’une plume inspirée
voyage beaucoup plus loin dans le cœur
et laisse une empreinte plus durable.
Je pourrais donner un nouveau regard
que la plume est une continuation de
nos rêves, pour les voir s’accomplir.
Je pourrais citer ces génies littéraires,
ces philosophes, penseurs hors du temps,
ces visionnaires de la pensée humaine.
Je pourrais écrire et passer des nuits
entières pour répandre mon âme,
pour étancher ma soif de découvertes.
Je pourrais faire tout cela, car les mots
ne me manquent pas et me sont fort
familiers ; l’art de parler avec une plume.
Ils aiment qu’on les aime,
Ils aiment être compris,
Ils aiment changer les choses.
Souvent, j’écris le soir venu,
quand les bruits de la journée
s’estompent et s’assoupissent.
Le calme de la nuit apportant
sa sérénité pour libérer l’âme
du tumulte de l’accomplissement.
C’est étrange comment cette
Muse, cette enchanteresse divine
aime jouer avec moi le soir venue.
J’ai beau lui dire « laisse-moi
me reposer maintenant, mais
elle insiste jusqu’à ce que je
prenne mon bloc de papier
blanc pour écrire.
Elle est une amante qui ne cesse
de demander, qui n’est jamais
rassasiée, qui veut toujours plus.
Elle est infatigable dans sa soif
de créer ; mais à son regret, je
ne peux pas lui donner tout ce
qu’elle me demande, car moi,
contrairement à elle, je suis un
être seulement temporel.
Le Ciel, lui, n’est jamais à bout
de ressources. Ses réservoirs
sont toujours remplis, toujours
prêt à déverser ses plénitudes
sur les cœurs affamés.
L’homme et la femme ont besoin
de s’exprimer, d’être une part de
cette création magique qui nous
entoure ; comme un devoir qui
leur a été confié de l’améliorer.
Le jeune enfant, au tout début
de ses balbutiements dans la vie,
est déjà un créateur en herbe.
Il n’y a pas d’âge pour être
artiste ;
pas d’âge pour se lancer à la
découverte de la vie ;
Pas d’âge pour aimer écrire
Et s’exprimer.
Alors, amis(es), ici et au loin,
remplaçons le « je pourrais »
avec le « je veux »
l’encrier est là,
la page blanche vous attend,
elle plume n’a plus qu’à
faire son travail !
Patrick Etienne