Durant toute son existence, l’Homme a usé de moyens atroces pour faire parler, punir et tuer. La torture a toujours existé, mais il y a une époque où les méthodes étaient particulièrement sordides : le Moyen Âge. La torture était souvent pratiquée, même sur des personnes ayant commis des délits anodins.
La cage Comme son nom l’indique, la cage de la torture était une cage suspendue dans les airs, à un arbre ou à une potence. Le condamné enfermé dedans finissait dévoré par les oiseaux à la vue de tous.
La scie Technique prisée par les luthériens, la personne condamnée était suspendue par les pieds. Le bourreau sciait très lentement la victime en commençant entre les deux jambes. Bien sûr, la position n’était pas anodine : la tête en bas permettait au sang d’alimenter le cerveau, et donc de rester conscient.
Le berceau de Judas
Le berceau de Judas, ou chaise de Judas était une technique prisée lors de l’Inquisition pour obtenir des aveux. Le condamné était tiré vers le haut et positionné sur un siège très spécial, en forme de pyramide, la pointe placée au niveau de l’anus ou du vagin. Il était ensuite descendu très lentement grâce à des cordes. L’orifice s’étirait, le bourreau pouvant accentuer la douleur en relevant le condamné et en le faisant tomber sur la pointe lourdement, ou même en le balançant. La victime mourait empalée ou succombait à une infection.
L’écartèlement Utilisé comme moyen d’exécution pour les crimes graves, comme les régicides, l’écartèlement consistait à attacher les quatre membres du condamné à des cordes, elles-mêmes attachées à des chevaux. Lorsque ces derniers partaient au galop, les bras et les jambes étaient bien évidemment arrachés du corps humain. L’écartèlement était également un moyen de torture judiciaire. La victime était positionnée sur un chevalet : une table avec deux cylindres à chaque extrémité de celle-ci. Les membres étaient reliés par des cordes aux cylindres. Ces derniers étaient activés aussi lentement que possible. Parfois, les tables étaient munies de lames pour couper le dos du condamné. Il mourait dans une atroce souffrance, d’asphyxie ou d’une crise cardiaque.
Le briseur de genou Le briseur ou écarteur de genou était une méthode de torture principalement utilisée par l’Inquisition espagnole. Le genou du condamné était positionné entre deux barres en bois munies de grands clous. Afin d’obtenir des confessions, ils resserraient les barres avec une vis, et rendaient la victime invalide. Cet instrument était parfois utilisé sur d’autres parties du corps, comme les bras.
L’âne espagnol
Instrument également prisé par l’Inquisition catholique, l’âne espagnol est une forme de torture particulièrement sadique. Le condamné devait s’asseoir à cheval sur une structure en forme de V inversé. Le bourreau lui attachait des poids aux pieds, la victime finissait ainsi coupée en deux.
La poire d’angoisse
Le châtiment de la poire d’angoisse était infligé à plusieurs types de personnes durant l’Inquisition. L’instrument s’apparente à une boule qui peut s’élargir grâce à une vis. Elle permettait de punir les homosexuels, les femmes soupçonnées d’avoir couché avec le diable, ou encore les menteurs et les blasphémateurs. Placée dans la bouche, l’anus ou le vagin, la poire d’angoisse pouvait faire exploser le crâne si elle était ouverte rapidement.
La fourchette de l’hérétique Ce petit instrument était utilisé comme moyen de torture pendant la Renaissance. Il s’agissait d’une fourchette avec des pointes aux deux extrémités, elle était attachée autour du cou du condamné, afin que les pointes touchent la gorge et le sternum. Le but de ce petit outil : priver la victime de son sommeil, elle était en effet accrochée au mur de façon à ce qu’elle ne puisse pas se coucher par terre. Si elle s’endormait, les pointes lui transperçaient lentement la chair.
Le supplice du rat
Cette technique consistait à mettre un rat dans un seau placé au niveau du ventre de la victime. Le bourreau chauffait l’extrémité de l’objet, pour s’échapper, le rat rongeait et griffait les entrailles de la victime.
L’araignée espagnole
Technique de torture inventée pour les femmes, l’araignée espagnole est un instrument mis au point dans le but de mutiler les parties charnues du corps, notamment les seins. L’outil était chauffé à blanc puis fixé sur la chair, la victime était ensuite suspendue, ce qui amplifiait la souffrance et les saignements, et pouvait entraîner la mort.
La manivelle intestinale
Comme son nom l’indique, cette torture a été inventée pour les boyaux… Le condamné était allongé sur une table, une incision était ensuite pratiquée au niveau de son abdomen. Un crochet, lui-même relié à une manivelle, était positionné sur son intestin grêle. Le bourreau pouvait activer la manivelle à sa guise, l’intestin était lentement arraché du ventre de la victime.
La fille du boueur
Les pieds, les mains et la tête étaient positionnés dans les trous à cet effet, la victime était ainsi contorsionnée et souffrait de nombreuses crampes. Parfois, le bourreau prenait un malin plaisir à appuyer fortement sur les épaules de la victime, du sang pouvait sortir de tous les orifices. Cette technique était utilisée pour obtenir des aveux, pour punir quelqu’un, mais pouvait également entraîner la mort.
La torture par l’eau
Le condamné était allongé et était forcé de boire une grande quantité d’eau : six litres pour la petite torture, douze pour la plus grave. S’il se débattait ou refusait de boire, le bourreau lui déchiquetait la bouche avec une pince en fer. Bien sûr, tout était pensé : l’urètre et l’anus étaient volontairement noués et bouchés. La victime mourait étouffée, et pouvait même exploser.
La vierge de fer
La victime était placée dans une sorte de sarcophage muni de nombreuses pointes. Réservée aux hérétiques, cette méthode de torture était lente et douloureuse : les portes se refermaient lentement sur le condamné, les pointes de fer lui transperçant peu à peu la peau.
Et si le véritable vin chaud était blanc ? Photo : studio Karine Faby
Boisson réconfortante que l’on déguste en hiver, le vin chaud est connu pour être élaboré à base de vin rouge. Et, pourtant, en Alsace, c’est le vin blanc qui a la vedette.L’Alsace, Strasbourg et son célèbre marché de Noël accueillent chaque année des milliers d’amateurs de vin chaud. Une boisson qui, bien que très populaire, n’a pas très bonne réputation! Vins d’origines douteuses, épices au goût trop prononcé ou l’inverse, recette trop sucrée... Le vin chaud souffre d’un manque de régularité aromatique. Face à ce constat, l’Association La Tribu des Gourmets du Vin d’Alsace, qui s’occupe de faire renaître un lien historique entre Strasbourg et son vignoble, a entrepris de redorer le blason du vin chaud.
Alsace, terre de vins blancs "L’Alsace est une terre de vins blancs. Et, avec Strasbourg comme "capitale de Noël", il est logique que le vin chaud ait de nombreux liens avec ce coin de France !", présente Didier Bonnet, le Président de l’Association. "Vu que la région ne produit que 3% de vins rouges, c’est le vin blanc qui a toujours été à l’origine de cette boisson", ajoute-t-il. Une surprise pour les amateurs ? "Pas tant que cela puisque le vin blanc, fin et fruité se prête particulièrement bien au jeu de la recette de vin chaud. Les notes d’agrumes du vin blanc sont soulignées par les fruits frais (orange, citron) que nous ajoutons à la recette.", explique M. Bonnet. Issu d’un assemblage de vins blancs secs des environs de Strasbourg à base de : Sylvaner, Riesling ou Pinot Blanc, la recette du vin chaud au blanc d'Alsace exclue l’utilisation de cépages trop aromatiques comme le gewurztraminer ou le muscat. En proportions, elle contient moitié moins d’épices et de sucre que la recette à base de vin rouge.
Un Chien Découvre Le Cancer De Sa Maîtresse... Le 26 octobre 2015. Karin Gibson, 62 ans est l’heureuse propriétaire de Paddy, un adorable labrador de 5 ans. Son fidèle compagnon à quatre pattes a détecté les premiers signes du cancer de sa maîtresse et lui a sauvé la vie. Un Changement De Comportement Alertant. En rentrant de vacances, l’ancienne professeure de Science remarque un étrange changement de comportement de la part de son labrador. Si Paddy a toujours été un compagnon affectueux, ses démonstrations d’affection insistantes et inhabituelles ont alerté Mme Gibson. « Il est devenu hypercollant. Il sautait sur moi, sentait mon haleine, me regardait droit dans les yeux, il se frottait sans cesse sur ma poitrine… J’ai trouvé ça étrange et je me suis dit qu’il valait mieux consulter. » explique la retraitée de Portsmouth aux caméra de la BBC. Une Vie De Sauvée. En RetourSa biopsie et sa mammographie ont confirmé qu’elle avait un début de cancer au sein droit et elle est opérée 2 semaines plus tard. Avec quelques séances de chimiothérapie, elle devrait à présent pouvoir s’en sortir. Quand Mme Gibson a recueilli Paddy quelques années plus tôt, c’était encore un chiot abandonné. Son compagnon peut être fier de lui avoir rendu la pareille. « Je lui ai sauvé la vie et maintenant c’est lui qui a sauvé la mienne » affirme la sexagénaire. Sans lui, elle ne serait sans doute pas allée chez le médecin à temps. L’odorat Des Chiens Pour La Lutte Contre Le Cancer. La recherche contre le Cancer démontre que certaines tumeurs produisent des molécules volatiles qui peuvent être détectées par les chiens. Avec 200 millions de cellules olfactives, leur odorat est ultra développé et 30% de leur cerveau est consacré à l’analyse des odeurs. Il y a d’ailleurs des études en cours sur la détection des cancers grâces aux chiens de l’armée, par le biais des urines. Les tests sont probants avec des résultats allant de 93 % à 98 % selon l’association Medical Detection Dogs et le groupe de recherche GRC-UPMC. On dit que le chien est le plus fidèle ami de l’homme et cette histoire est une jolie preuve. En tout cas, l’histoire d’amour entre Paddy et Karin qui n’est prête de s’arrêter là. Tout comme les progrès en matière de recherche sur les cancers. Source : Medical Detection Dogs
Les frelons asiatiques sont de plus en plus nombreux, et ils représentent une menace de taille pour les abeilles : leurs attaques déciment les ruches sans que les abeilles, faibles adversaires, puissent a priori se défendre. Munis de leurs énormes mandibules, les frelons décapitent par dizaines et en un rien de temps ces pauvres proies. Mais les abeilles ont développé une stratégie redoutable pour se défendre : ensemble, elles enserrent le frelon et ce « câlin de groupe » lui est fatal… Apparu en France dans le courant des années 2000, le frelon asiatique – ou vespa velutina – est un prédateur dangereux pour les humains, mais aussi pour les abeilles, décapitées dans leurs ruches par dizaines. Un seul frelon peut ainsi décapiter environ 20 abeilles par minute. A ce rythme-là, une population de 30 000 individus peut disparaître en quelques heures seulement !
Les abeilles ne sont certes pas aussi grandes ni aussi robustes que les frelons, mais elles ont développé une technique ingénieuse pour se débarrasser de leur prédateur : quand un frelon les attaque, elles se rejoignent et forment un groupe compact autour de ce dernier puis se mettent à vibrer de concert. Cette vibration a pour conséquence de faire hausser la température du corps du frelon, qui finit par mourir, cuit.
C’est que le venin du frelon asiatique est particulièrement violent. Celui-ci traverse les cellules de la peau et les neurotoxines atteignent les nerfs. Selon l’une des victimes de cette attaque inattendue pour le moins impromptue, la sensation est semblable à la pénétration d’une lame acérée. Au bout de 30 à 40 piqûres, vos reins cesseront de fonctionner et vous pourriez même faire un arrêt cardiaque ! Il faut tout de même rappeler que le frelon asiatique est d’une taille particulièrement imposante : il peut mesurer jusqu’à deux pouces de longueur ! Et n’essayez pas de le semer : le frelon asiatique peut aussi voler à une vitesse de 21 km/h !
Face à la dangerosité de leur prédateur, les abeilles ont un plan redoutable : si un frelon s’approche de la ruche, au lieu de fuir ou d’essayer de le repousser, les abeilles vont laisser entrer « l’éclaireur » aventureux, afin que celui-ci propage dans l’espace des phéromones, qui attireront le reste des frelons. C’est alors que les abeilles contre-attaquent, et forment une sorte de balle vivante autour du frelon. Les abeilles haussent alors la température de leur corps en vibrant de toutes leurs forces, afin de brûler puis d’anéantir l’ennemi. Se faisant, les abeilles profitent d’une caractéristique physique de leur attaquant : en effet, les frelons sont dépourvus d’un cœur localisé comme organe unifié ; leur sang est pompé directement au moyen de la contraction de leur corps. Martin explique que : « Les abeilles le serrent et le serrent encore à la manière d’un boa constricteur, et elles empêchent ainsi le frelon de pouvoir pomper le sang à travers son corps. »
Les frelons sont également un problème épineux pour les apiculteurs, surtout en Chine et au Japon, et certains décident même de poster des gardes à l’entrée de leurs ruches. L’on en viendrait presque à questionner l’utilité d’une telle bestiole… Pourtant, les frelons asiatiques occupent une place majeure au sein de l’écosystème. Il est notamment un des principaux prédateurs des chenilles, responsables de la dévastation de certaines cultures.
Mieux qu’un pacemaker pour faire battre mon cœur Merci a une amie qui se reconnaitra Un pacemaker est un appareil qui donne des impulsions électriques pour faire battre le cœur des personnes qui ont le rythme cardiaque irrégulier ou trop lent.
Raymond a 91 ans et il aurait sans doute besoin d’un pacemaker après une vie d’employé de bureau, peu de sport et pas mal de cigarettes.
Mais il a mieux que cela : Raymond est passionné de trains électriques Märklin.
« Mieux qu’un pacemaker pour faire battre mon cœur » Cette passion brûle Raymond et le fait vivre plus intensément que bien des personnes de 20, 30 ou même 50 ans de moins que lui.
Son grand projet est de reproduire les plus grandes gares de triage autour de Paris en 1955. Pour terminer, il a besoin d’exactement quinze années au rythme où il avance. Et je suis convaincu qu’il va le faire.
C’est lui qui m’a expliqué que sa passion pour les trains électriques fait « mieux qu’un pacemaker pour faire battre son cœur ».
Et c’est exactement ce que constatent les vieux médecins expérimentés.
Au-delà de 80 ans, toute personne qui décède meurt de « mort naturelle ». 80 ans, c’est déjà beaucoup. Mais ce qui fait la plus grande différence, après, entre les personnes qui s’éteignent et les super centenaires, c’est cette volonté, le besoin de vivre, la motivation qui vous fait vous lever tous les matins et qui vous tient éveillé chaque soir jusque tard dans la nuit parce que vous avez un but, une passion, un projet.
L’idéal : une passion qui sollicite tous vos sens et toutes vos capacités Les trains électriques sont une passion qui a dévoré beaucoup de personnes de la génération de Raymond.
Pour créer un beau train électrique, avec les paysages, vous avez besoin d’apprendre la menuiserie et la charpente ; de connaître l’électricité ; de savoir peindre et souder. Vous devez faire des plans et savoir travailler tous les matériaux qui permettent de reproduire les effets de la neige, d’une prairie fleurie, d’une forêt, construire des ponts, des hangars et des échangeurs. Vous devez même vous intéresser à l’ornithologie (science des oiseaux) si vous souhaitez reproduire comme il faut les volatiles qui survolent vos trains, et à l’architecture pour reproduire des villages. Vous devez gérer les bruitages et si possible ajouter de la musique. Vous devez même connaître la couture pour vêtir vos voyageurs et les passants à la mode de l’époque de votre réseau, sans faire d’anachronisme !
Votre cerveau et tous vos sens sont sollicités. C’est la meilleure protection dont vous puissiez rêver contre l’Alzheimer et les démences séniles.
En fait, il est difficile d’imaginer une passion plus complète et créatrice que les trains électriques, et il est très dommage que cette passion soit en voie de disparition rapide.
« Ma femme dit que je suis un objet de collection ». Longtemps, les beaux trains électriques se sont échangés pour des fortunes, cela faisait partie des objets de collection les plus recherchés.
Mais aujourd’hui, ce sont les collectionneurs eux-mêmes qui sont de plus en plus rares.
« Ma femme dit que c’est moi, l’objet de collection », dit Raymond en souriant.
Selon le président de l’Association américaine des trains électriques, l’âge moyen des collectionneurs de trains électriques est désormais de… 64 ans .
Les passionnés sont de plus en plus vieux, et il semble n’y avoir aucune relève à l’horizon.
L’association organise chaque hiver un cours de vingt heures d’initiation gratuite à la construction de trains électriques. L’année dernière, personne ne s’est inscrit.
Cette année, ils étaient onze pour la première session. Six avaient plus de 60 ans. Il y avait un jeune, Alex Edder, 15 ans, titulaire de la médaille du mérite scout pour ses maquettes de train.
En France, la Fédération française du modélisme ferroviaire est en pleine décélération elle- aussi. L’association invoque la réduction des surfaces habitables, le coût du matériel … Ma crainte est que l’explication soit plus triste que cela : il devient difficile de convaincre un jeune d’abandonner son iPhone, sa tablette ou ses jeux vidéo pour faire l’effort d’une passion aussi exigeante et féconde.
Quoi de plus beau en effet qu’une passion qui sollicite tous vos sens et toutes vos capacités, pour laquelle une vie entière ne suffit pas, et de loin, pour tout découvrir ?!
C’est pourtant exactement ce qu’il faut quand on veut vivre vieux, et heureux.
Le moment où le patient cesse d’avoir la volonté de vivre Pour ma part, j’ai un très bon ami de 79 ans qui restaure des voitures anciennes. Il recherche les Rover, Triumph, Jaguar d’avant 1965.
Ces marques prestigieuses sont chères évidemment, mais leur intérêt incomparable est d’avoir été faites à la main. Cela veut dire qu’on peut refaire aujourd’hui les pièces manquantes ou cassées. Il « suffit » de maîtriser le travail du métal, du bois (pour les tableaux de bord par exemple) ou du cuir (pour les fauteuils).
C’est ce qui fait leur intérêt pour les collectionneurs passionnés. Lorsqu’il est dans son atelier, mon ami n’a plus d’âge, plus de malheurs, plus de maladies. Il vit intensément, entièrement absorbé par ses projets. Et je suis certain qu’il sera toujours là dans de nombreuses années. Quand il en a fini une, il la revend plus cher, ce qui lui permet d’en acheter une plus belle !
Sa passion ne lui laissera pas le loisir de partir en maison de retraite ! Car la plus dangereuse maladie, c’est le moment où le patient cesse d’avoir la volonté de vivre.
Genève, le 10 Mars 2010. ****************** Une fois encore, "La Bise" a soufflée plusieurs jours sur les bords du Lac Léman, comme sur le reste du pays. En engendrant des vagues dont les embruns ont gelés sur les quais, formant des Sculptures de glaces magnifiques.
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Les bords du lac Léman complètement gelés En Janvier 2005
Plus de quarante ans qu’un tel phénomène ne s‘est plus produit. Les températures de cet hiver étaient spécialement basses au bord du lac Léman et le fait que les rives du lac soient entièrement gelées viennent de la « BISE « un vent spécifique de la région. La « Bise’ dure 3, 6, ou 9 jours et ce vent a atteint 110 km à Genève. Voici quelques photos d‘une beauté et d'une rareté exceptionnelles. Admirez comme la couche de glace couvre les quais et comme La magie du vent sculpte des formes étranges et insolites. ******************
Durant toute son existence, l’Homme a usé de moyens atroces pour faire parler,
punir et tuer. La torture a toujours existé, mais il y a une époque où
les méthodes étaient particulièrement sordides : le Moyen Âge. La
torture était souvent pratiquée, même sur des personnes ayant commis des
délits anodins.
La cage
Comme son nom l’indique, la cage de la torture était une cage suspendue dans
les airs, à un arbre ou à une potence. Le condamné enfermé dedans
finissait dévoré par les oiseaux à la vue de tous.
La scie
Technique prisée par les luthériens, la personne condamnée était suspendue par
les pieds. Le bourreau sciait très lentement la victime en commençant
entre les deux jambes. Bien sûr, la position n’était pas anodine : la
tête en bas permettait au sang d’alimenter le cerveau, et donc de rester
conscient.
Le berceau de Judas
Le berceau de Judas, ou chaise de Judas était une technique prisée lors de l’Inquisition pour obtenir des aveux.
Le condamné était tiré vers le haut et positionné sur un siège très spécial, en forme de pyramide, la pointe
placée au niveau de l’anus ou du vagin. Il était ensuite descendu très lentement grâce à des cordes.
L’orifice s’étirait, le bourreau pouvant accentuer la douleur en relevant le condamné et en le faisant tomber sur
la pointe lourdement, ou même en le balançant. La victime mourait empalée ou succombait à une infection.
L’écartèlement
Utilisé comme moyen d’exécution pour les crimes graves, comme les régicides,
l’écartèlement consistait à attacher les quatre membres du condamné à
des cordes, elles-mêmes attachées à des chevaux. Lorsque ces derniers
partaient au galop, les bras et les jambes étaient bien évidemment
arrachés du corps humain. L’écartèlement était également un moyen de
torture judiciaire. La victime était positionnée sur un chevalet : une
table avec deux cylindres à chaque extrémité de celle-ci. Les membres
étaient reliés par des cordes aux cylindres. Ces derniers étaient
activés aussi lentement que possible. Parfois, les tables étaient munies
de lames pour couper le dos du condamné. Il mourait dans une atroce
souffrance, d’asphyxie ou d’une crise cardiaque.
Le briseur de genou
Le briseur ou écarteur de genou était une méthode de torture
principalement utilisée par l’Inquisition espagnole. Le genou du
condamné était positionné entre deux barres en bois munies de grands
clous. Afin d’obtenir des confessions, ils resserraient les barres avec
une vis, et rendaient la victime invalide. Cet instrument était parfois
utilisé sur d’autres parties du corps, comme les bras.
L’âne espagnol
Instrument également prisé par l’Inquisition catholique, l’âne espagnol est une
forme de torture particulièrement sadique. Le condamné devait s’asseoir à
cheval sur une structure en forme de V inversé. Le bourreau lui
attachait des poids aux pieds, la victime finissait ainsi coupée en
deux.
La poire d’angoisse
Le châtiment de la poire d’angoisse était infligé à plusieurs types de
personnes durant l’Inquisition. L’instrument s’apparente à une boule qui
peut s’élargir grâce à une vis. Elle permettait de punir les
homosexuels, les femmes soupçonnées d’avoir couché avec le diable, ou
encore les menteurs et les blasphémateurs. Placée dans la bouche, l’anus
ou le vagin, la poire d’angoisse pouvait faire exploser le crâne si
elle était ouverte rapidement.
La fourchette de l’hérétique
Ce petit instrument était utilisé comme moyen de torture pendant la
Renaissance. Il s’agissait d’une fourchette avec des pointes aux deux
extrémités, elle était attachée autour du cou du condamné, afin que les
pointes touchent la gorge et le sternum. Le but de ce petit outil :
priver la victime de son sommeil, elle était en effet accrochée au mur
de façon à ce qu’elle ne puisse pas se coucher par terre. Si elle
s’endormait, les pointes lui transperçaient lentement la chair.
Le supplice du rat
Cette technique consistait à mettre un rat dans un seau placé au niveau du
ventre de la victime. Le bourreau chauffait l’extrémité de l’objet, pour
s’échapper, le rat rongeait et griffait les entrailles de la victime.
L’araignée espagnole
Technique de torture inventée pour les femmes, l’araignée espagnole est un
instrument mis au point dans le but de mutiler les parties charnues du
corps, notamment les seins. L’outil était chauffé à blanc puis fixé sur
la chair, la victime était ensuite suspendue, ce qui amplifiait la
souffrance et les saignements, et pouvait entraîner la mort.
La manivelle intestinale
Comme son nom l’indique, cette torture a été inventée pour les boyaux… Le
condamné était allongé sur une table, une incision était ensuite
pratiquée au niveau de son abdomen. Un crochet, lui-même relié à une
manivelle, était positionné sur son intestin grêle. Le bourreau pouvait
activer la manivelle à sa guise, l’intestin était lentement arraché du
ventre de la victime.
La fille du boueur
Les pieds, les mains et la tête étaient positionnés dans les trous à cet
effet, la victime était ainsi contorsionnée et souffrait de nombreuses
crampes. Parfois, le bourreau prenait un malin plaisir à appuyer
fortement sur les épaules de la victime, du sang pouvait sortir de tous
les orifices. Cette technique était utilisée pour obtenir des aveux,
pour punir quelqu’un, mais pouvait également entraîner la mort.
La torture par l’eau
Le condamné était allongé et était forcé de boire une grande quantité
d’eau : six litres pour la petite torture, douze pour la plus grave.
S’il se débattait ou refusait de boire, le bourreau lui déchiquetait la
bouche avec une pince en fer. Bien sûr, tout était pensé : l’urètre et
l’anus étaient volontairement noués et bouchés. La victime mourait
étouffée, et pouvait même exploser.
La vierge de fer
La victime était placée dans une sorte de sarcophage muni de nombreuses
pointes. Réservée aux hérétiques, cette méthode de torture était lente
et douloureuse : les portes se refermaient lentement sur le condamné,
les pointes de fer lui transperçant peu à peu la peau.
Photo : studio Karine Faby
Boisson réconfortante que l’on déguste en hiver, le vin chaud est connu pour
être élaboré à base de vin rouge. Et, pourtant, en Alsace, c’est le vin
blanc qui a la vedette.L’Alsace, Strasbourg et son célèbre marché de Noël accueillent
chaque année des milliers d’amateurs de vin chaud. Une boisson qui, bien que très populaire,
n’a pas très bonne réputation! Vins d’origines douteuses, épices au goût trop prononcé ou l’inverse,
recette trop sucrée... Le vin chaud souffre d’un manque de régularité aromatique.
Face à ce constat, l’Association La Tribu des Gourmets du Vin d’Alsace, qui s’occupe de faire renaître
un lien historique entre Strasbourg et son vignoble, a entrepris de redorer le blason du vin chaud.
Alsace, terre de vins blancs
"L’Alsace est une terre de vins blancs. Et, avec Strasbourg comme "capitale de Noël", il est logique que le vin chaud
ait de nombreux liens avec ce coin de France !", présente Didier Bonnet, le Président de l’Association.
"Vu que la région ne produit que 3% de vins rouges, c’est le vin blanc qui a toujours été à l’origine de cette boisson",
ajoute-t-il. Une surprise pour les amateurs ? "Pas tant que cela puisque
le vin blanc, fin et fruité se prête particulièrement bien au jeu de la
recette de vin chaud. Les notes d’agrumes du vin blanc sont soulignées
par les fruits frais (orange, citron) que nous ajoutons à la recette.", explique M. Bonnet.
Issu d’un assemblage de vins blancs secs des environs de Strasbourg à base de : Sylvaner, Riesling ou Pinot Blanc,
la recette du vin chaud au blanc d'Alsace exclue l’utilisation de cépages trop aromatiques comme le gewurztraminer ou
le muscat. En proportions, elle contient moitié moins d’épices et de sucre que la recette à base de vin rouge.
Le 26 octobre 2015. Karin Gibson, 62 ans est l’heureuse propriétaire de
Paddy, un adorable labrador de 5 ans. Son fidèle compagnon à quatre
pattes a détecté les premiers signes du cancer de sa maîtresse et lui a
sauvé la vie.
Un Changement De Comportement Alertant.
En rentrant de vacances, l’ancienne professeure de Science remarque un
étrange changement de comportement de la part de son labrador. Si Paddy a
toujours été un compagnon affectueux, ses démonstrations d’affection
insistantes et inhabituelles ont alerté Mme Gibson.
« Il est devenu hypercollant. Il sautait sur moi, sentait mon haleine, me
regardait droit dans les yeux, il se frottait sans cesse sur ma
poitrine… J’ai trouvé ça étrange et je me suis dit qu’il valait mieux
consulter. » explique la retraitée de Portsmouth aux caméra de la BBC.
Une Vie De Sauvée.
En Retour Sa biopsie et sa mammographie ont confirmé qu’elle avait un début de
cancer au sein droit et elle est opérée 2 semaines plus tard. Avec
quelques séances de chimiothérapie, elle devrait à présent pouvoir s’en
sortir.
Quand Mme Gibson a recueilli Paddy quelques années plus tôt, c’était encore
un chiot abandonné. Son compagnon peut être fier de lui avoir rendu la
pareille. « Je lui ai sauvé la vie et maintenant c’est lui qui a sauvé
la mienne » affirme la sexagénaire. Sans lui, elle ne serait sans doute
pas allée chez le médecin à temps.
L’odorat Des Chiens Pour La Lutte Contre Le Cancer.
La recherche contre le Cancer démontre que certaines tumeurs produisent
des molécules volatiles qui peuvent être détectées par les chiens. Avec
200 millions de cellules olfactives, leur odorat est ultra développé et
30% de leur cerveau est consacré à l’analyse des odeurs.
Il y a d’ailleurs des études en cours sur la détection des cancers grâces
aux chiens de l’armée, par le biais des urines. Les tests sont probants
avec des résultats allant de 93 % à 98 % selon l’association Medical
Detection Dogs et le groupe de recherche GRC-UPMC.
On dit que le chien est le plus fidèle ami de l’homme et cette histoire
est une jolie preuve. En tout cas, l’histoire d’amour entre Paddy et
Karin qui n’est prête de s’arrêter là. Tout comme les progrès en
matière de recherche sur les cancers.
Source : Medical Detection Dogs
nos abeilles françaises ont mis au point une technique incroyable.
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Les frelons asiatiques sont de plus en plus nombreux, et ils représentent
une menace de taille pour les abeilles : leurs attaques déciment les
ruches sans que les abeilles, faibles adversaires, puissent a priori se
défendre. Munis de leurs énormes mandibules, les frelons décapitent par
dizaines et en un rien de temps ces pauvres proies. Mais les abeilles
ont développé une stratégie redoutable pour se défendre : ensemble,
elles enserrent le frelon et ce « câlin de groupe » lui est fatal…
Apparu en France dans le courant des années 2000, le frelon asiatique – ou vespa velutina –
est un prédateur dangereux pour les humains, mais aussi pour les
abeilles, décapitées dans leurs ruches par dizaines. Un seul frelon peut
ainsi décapiter environ 20 abeilles par minute. A ce rythme-là, une
population de 30 000 individus peut disparaître en quelques heures seulement !
Les abeilles ne sont certes pas aussi grandes ni aussi robustes que les
frelons, mais elles ont développé une technique ingénieuse pour se
débarrasser de leur prédateur : quand un frelon les attaque, elles se
rejoignent et forment un groupe compact autour de ce dernier puis se
mettent à vibrer de concert. Cette vibration a pour conséquence de faire
hausser la température du corps du frelon, qui finit par mourir, cuit.
C’est que le venin du frelon asiatique est particulièrement violent. Celui-ci
traverse les cellules de la peau et les neurotoxines atteignent les
nerfs. Selon l’une des victimes de cette attaque inattendue pour le moins impromptue, la sensation est
semblable à la pénétration d’une lame acérée. Au bout de 30 à 40
piqûres, vos reins cesseront de fonctionner et vous pourriez même faire
un arrêt cardiaque !
Il faut tout de même rappeler que le frelon asiatique est d’une taille
particulièrement imposante : il peut mesurer jusqu’à deux pouces de
longueur ! Et n’essayez pas de le semer : le frelon asiatique peut aussi
voler à une vitesse de 21 km/h !
Face à la dangerosité de leur prédateur, les abeilles ont un plan redoutable
: si un frelon s’approche de la ruche, au lieu de fuir ou d’essayer de
le repousser, les abeilles vont laisser entrer « l’éclaireur »
aventureux, afin que celui-ci propage dans l’espace des phéromones, qui
attireront le reste des frelons. C’est alors que les abeilles
contre-attaquent, et forment une sorte de balle vivante autour du
frelon. Les abeilles haussent alors la température de leur corps en
vibrant de toutes leurs forces, afin de brûler puis d’anéantir l’ennemi.
Se faisant, les abeilles profitent d’une caractéristique physique de leur
attaquant : en effet, les frelons sont dépourvus d’un cœur localisé
comme organe unifié ; leur sang est pompé directement au moyen de la
contraction de leur corps. Martin explique que : « Les abeilles le serrent et le serrent encore à la manière d’un boa constricteur, et elles empêchent ainsi le frelon de pouvoir pomper le sang à travers son corps. »
Les frelons sont également un problème épineux pour les apiculteurs,
surtout en Chine et au Japon, et certains décident même de poster des
gardes à l’entrée de leurs ruches. L’on en viendrait presque à
questionner l’utilité d’une telle bestiole… Pourtant, les frelons
asiatiques occupent une place majeure au sein de l’écosystème. Il est
notamment un des principaux prédateurs des chenilles, responsables de la
dévastation de certaines cultures.
Merci a une amie qui se reconnaitra
Un pacemaker est un appareil qui donne des impulsions électriques pour
faire battre le cœur des personnes qui ont le rythme cardiaque
irrégulier ou trop lent.
Raymond a 91 ans et il aurait sans doute besoin d’un pacemaker après
une vie d’employé de bureau, peu de sport et pas mal de cigarettes.
Mais il a mieux que cela : Raymond est passionné de trains électriques Märklin.
« Mieux qu’un pacemaker pour faire battre mon cœur » Cette passion brûle Raymond et le fait vivre
plus intensément que bien des personnes de 20, 30 ou même 50 ans de moins que lui.
Son grand projet est de reproduire les plus grandes gares de triage
autour de Paris en 1955. Pour terminer, il a besoin d’exactement quinze
années au rythme où il avance. Et je suis convaincu qu’il va le faire.
C’est lui qui m’a expliqué que sa passion pour les trains électriques fait
« mieux qu’un pacemaker pour faire battre son cœur ».
Et c’est exactement ce que constatent les vieux médecins expérimentés.
Au-delà de 80 ans, toute personne qui décède meurt de « mort
naturelle ». 80 ans, c’est déjà beaucoup. Mais ce qui fait la plus
grande différence, après, entre les personnes qui s’éteignent et les
super centenaires, c’est cette volonté, le besoin de vivre, la
motivation qui vous fait vous lever tous les matins et qui vous tient
éveillé chaque soir jusque tard dans la nuit parce que vous avez un but,
une passion, un projet.
L’idéal : une passion qui sollicite tous vos sens et toutes vos capacités
Les trains électriques sont une passion qui a dévoré beaucoup de personnes
de la génération de Raymond.
Pour créer un beau train électrique, avec les paysages, vous avez
besoin d’apprendre la menuiserie et la charpente ; de connaître
l’électricité ; de savoir peindre et souder. Vous devez faire des plans
et savoir travailler tous les matériaux qui permettent de reproduire les
effets de la neige, d’une prairie fleurie, d’une forêt, construire des
ponts, des hangars et des échangeurs. Vous devez même vous intéresser à
l’ornithologie (science des oiseaux) si vous souhaitez reproduire comme
il faut les volatiles qui survolent vos trains, et à l’architecture pour
reproduire des villages. Vous devez gérer les bruitages et si possible
ajouter de la musique. Vous devez même connaître la couture pour vêtir
vos voyageurs et les passants à la mode de l’époque de votre réseau,
sans faire d’anachronisme !
Votre cerveau et tous vos sens sont sollicités. C’est la meilleure
protection dont vous puissiez rêver contre l’Alzheimer et les démences
séniles.
En fait, il est difficile d’imaginer une passion plus complète et créatrice que les
trains électriques, et il est très dommage que cette passion soit en
voie de disparition rapide.
« Ma femme dit que je suis un objet de collection ».
Longtemps, les beaux trains électriques se sont échangés pour des fortunes, cela
faisait partie des objets de collection les plus recherchés.
Mais aujourd’hui, ce sont les collectionneurs eux-mêmes qui sont de plus en plus rares.
« Ma femme dit que c’est moi, l’objet de collection », dit Raymond en souriant.
Selon le président de l’Association américaine des trains électriques,
l’âge moyen des collectionneurs de trains électriques est désormais de… 64 ans .
Les passionnés sont de plus en plus vieux, et il semble n’y avoir aucune relève à l’horizon.
L’association organise chaque hiver un cours de vingt heures
d’initiation gratuite à la construction de trains électriques. L’année
dernière, personne ne s’est inscrit.
Cette année, ils étaient onze pour la première session. Six avaient
plus de 60 ans. Il y avait un jeune, Alex Edder, 15 ans, titulaire de la
médaille du mérite scout pour ses maquettes de train.
En France, la Fédération française du modélisme ferroviaire est en
pleine décélération elle- aussi. L’association invoque la réduction des
surfaces habitables, le coût du matériel … Ma crainte est que
l’explication soit plus triste que cela : il devient difficile de
convaincre un jeune d’abandonner son iPhone, sa tablette ou ses jeux
vidéo pour faire l’effort d’une passion aussi exigeante et féconde.
Quoi de plus beau en effet qu’une passion qui sollicite tous vos sens
et toutes vos capacités, pour laquelle une vie entière ne suffit pas, et
de loin, pour tout découvrir ?!
C’est pourtant exactement ce qu’il faut quand on veut vivre vieux, et heureux.
Le moment où le patient cesse d’avoir la volonté de vivre
Pour ma part, j’ai un très bon ami de 79 ans qui restaure des voitures
anciennes. Il recherche les Rover, Triumph, Jaguar d’avant 1965.
Ces marques prestigieuses sont chères évidemment, mais leur intérêt incomparable
est d’avoir été faites à la main. Cela veut dire qu’on peut refaire aujourd’hui les pièces
manquantes ou cassées. Il « suffit » de maîtriser le travail du métal, du bois
(pour les tableaux de bord par exemple) ou du cuir (pour les fauteuils).
C’est ce qui fait leur intérêt pour les collectionneurs passionnés.
Lorsqu’il est dans son atelier, mon ami n’a plus d’âge, plus de
malheurs, plus de maladies. Il vit intensément, entièrement absorbé par
ses projets. Et je suis certain qu’il sera toujours là dans de
nombreuses années. Quand il en a fini une, il la revend plus cher, ce
qui lui permet d’en acheter une plus belle !
Sa passion ne lui laissera pas le loisir de partir en maison de retraite !
Car la plus dangereuse maladie, c’est le moment où le patient cesse d’avoir la volonté de vivre.
À votre santé !
merci a Jean-Marc Dupuis
BISOUS
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Genève, le 10 Mars 2010.
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Une fois encore, "La Bise" a soufflée plusieurs jours sur les bords du Lac Léman,
comme sur le reste du pays. En engendrant des vagues dont les embruns ont gelés sur les quais, formant
des
Sculptures de glaces magnifiques.
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Les bords du lac Léman complètement gelés
En Janvier 2005
Plus de quarante ans qu’un tel phénomène ne s‘est plus produit.
Les températures de cet hiver étaient spécialement basses au bord du lac
Léman
et le fait que les rives du lac soient entièrement gelées viennent de la « BISE «
un vent spécifique de la région.
La « Bise’ dure 3, 6, ou 9 jours et ce vent a atteint 110 km à Genève.
Voici quelques photos d‘une beauté et d'une rareté exceptionnelles.
Admirez comme la couche de glace couvre les quais et comme
La magie du vent sculpte des formes étranges et insolites.
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C'ÉTAIT POUR VOUS RAFRAICHIR UN PEU
Absente pour les articles sur le forum , pour raison personnelle , je serai certainement de retour en octobre 2016.
tous les jours je regarde vos articles Marie-Jeanne et Mayyan.