6 des meilleurs cours de yoga à Paris. A Paris, le yoga fait fureur ! On le pratique dans tous les coins et sous toutes ses formes. Depuis quelques années, la capitale regorge de studios. Mais savez-vous où suivre un cours ? Voici une sélection des 6 meilleurs cours de yoga à Paris où enchaîner quelques salutations au soleil et vider votre stress. Dans cette liste, vous trouverez des salles proposant différents styles, niveaux et ambiances !
1. Ashtanga Yoga Paris. En plein cœur de l’avenue de la République, dans Paris XIème, ce studio vous attend au calme, dans une salle spacieuse et couronnée d’une grandeverrière. Ambiance zen et cool garantie. Le studio a ouvert en 2004 parGerald Disse et Linda Munro, un couple admiré non seulement par la maîtrise de leur pratique mais par leurs qualités humaines. Le studio est aujourd’hui l’une de références dans l’univers ashtanga vinyasa yoga à Paris. L’ashtanga vinyasa, est une pratique énergique, où l’on enchaîne des postures de manière dynamique en synchronie avec la respiration. A la différence de l’ashtanga où l’on suit une séquence fixe, dans le vinyasa les séquencessont libres et fluides. Chez Ashtanga Yoga Paris, on y vient aussi pour les cours de yin restorative(yoga très doux), pranayama (exercices de respiration), méditation et yoga pour enfants. Le must : les formations professorales, dispensées par Gerald et Linda, certifiées «Yoga Alliance» sont intensives et de très grand niveau. A constater par vous-même ! Styles : ashtanga, vinyasa, mysore, yin, pranayama, méditation, yoga pour enfants, formation professeurs Où : 40, avenue de la République – 75011 M° Parmentier, République, Oberkampf Horaires : lundi à vendredi 6h30 – 20h / Samedi et dimanche 10h – 18h Tarifs : à partir de 20€
2. Centre Sivananda de Yoga Vedanta. Ambiance solennelle, professeurs en tuniques orange, odeur des épices et d’encens.Sivananda est une énorme congrégation, sans doute, la plus grande organisation de yoga au monde. Elle abrite aussi une de plus grandes salles de yoga à Paris. Au fond d’une cour intérieure dans le Faubourg Saint-Martin vous trouverez cet énorme loft, lumineux et au plafond très haut. Ne cherchez pas de variantes de yoga aux noms bizarres, ici on vient pratiquer le Hatha Yoga Intégral, un yoga on ne peut plus traditionnel. Les cours se composent de postures (asanas), d’exercices de respiration et d’une relaxation finale. Les enchaînements sont généralement lents etles postures maintenues assez longtemps. Ici vous suivrez la formation héritée des maîtres Swami Sivananda et Swami Vishnudevananda, jadis ses fondateurs, et ses 5 principes de base du yoga : postures, respiration, relaxation, alimentation végétarienne, pensée positive et méditation. Le centre propose des cours d’essai gratuits chaque samedi à 14h. Aussi, des ateliers de cuisine végétarienne et des fêtes spirituelles. Styles : hatha intégral (doux, intermédiaire, avancé), femmes enceintes, yoga pour enfants, méditation, seniors Où : 140, rue du Faubourg St Martin – 75010 M° Gare de l’Est Horaires : lundi à vendredi 11h – 20h / Samedi 11h – 18h / Dimanche 16h – 18h Tarifs : à partir de 17€
3. Mysore Yoga Paris. A quelques pas du Canal Saint-Martin, dans Paris Xème, se trouve un studio vaste, aux senteurs douces et à la lueur des bougies. Il est unique dans son genre : le seul à proposer une pratique exclusive de style Mysore à Paris. Mysore est une pratique de yoga ashtanga, un yoga très physique et dynamique né à Mysore, ville au sud de l’Inde. A Mysore Yoga Paris, les cours se font selon la tradition, les postures rythmées par la respiration suivent un ordre fixe. La pratique est matinale et autonome, chacun suitson cours individuellement. Kia, sa fondatrice, est excellente. Elle est là assistée par un petit trio des profs pour faire les ajustements nécessaires aux élèves et les faireprogresser avec intensité et délicatesse dans leur pratique. Le niveau est topissime ! Tradition oblige, les jours de pleine et nouvelle lune sont respectés et on ne pratique pas. En échange, Kia vous proposera de séances de pranayama (exercices de respiration). Le studio est ouvert à tous : débutants et avancés, sans réservation. Style : ashtanga mysore, pranayama Où : 17, rue Eugène Varlin – 75010 M° Château-Landon, Gare de l’Est, Gare du Nord Horaires : lundi à vendredi 7h00/8h – 10h30 Tarifs : à partir de 20€
4. Rasa Yoga Rive Gauche. Nichée dans une cour calme, dans le quartier emblématique de Saint-Michel à Paris, voilà une belle salle au design chic et raffiné, murs de pierre, parquet de bois exotique et verrière. Aujourd’hui victime du star-system des salles parisiennes, Rasa est sans doute la salle LA plus connue et fréquentée. Vous y croiserez un grand nombre de professeurs vedettes et des élèves qui causent l’anglais et autres langues étrangères. Du yoga le plus classique au plus en vogue… ici, vous avez l’embarras du choix. Presque toutes les variantes y sont proposées. Les mamans, futures mamans et enfants trouveront leur place avec les cours de yoga prénatal, enfants et maman & bébé. Les férus d’une pratique plus énergique n’ont qu’à essayer l’ashtanga ou vinyasa. Et ceux qui voudraient s’accorder un yoga plutôt douillet, le yin yoga, sera le meilleur choix. Ah, et pour les budgets serrés, le community class, un concept de cours low cost, fera sans doute l’affaire ! Styles : anusara, ashtanga, community, détente, enfants, hatha, hatha flow, iyengar, kundalini, maman & bébé, mysore, nidra, vinyasa, prénatal, yin Où : 21, rue Saint Jacques – 75005 M° Cluny La Sorbonne, Saint Michel, Maubert Mutualité Horaires : lundi à jeudi 6h45 – 20h / Vendredi 8h – 18h30 / Samedi et dimanche 9h – 18h30 Tarifs : à partir de 14€
5. Studio Gérard Arnaud Yoga . Au milieu d’un paisible passage, dans le quartier branché du XIème, une petite salle, sans prétention, abrite le Studio Gérard Arnaud Yoga – Siège de la Fédération Française de Yoga (FFY). Pour certains, le yoga veut dire contorsions, postures insolites et impraticables. Pour d’autres, rester assis, immobiles, les jambes croisées. Et si on vous disait qu’il existe un juste milieu ? C’est le yoga enseigné chez Gérard Arnaud. Gérard est un maître du Vinyasa, un yoga dynamique, créatif et fluide, qui synchronise les mouvements avec le souffle. Doux et intense, le yoga icienseigné respecte profondément le corps.Et oui,«toujours respecter le corps»,Gérard y tient beaucoup! Renommée, cette école forme aussi des professeurs aux techniques du vinyasa et hatha yoga, diplômes certifiés par la «FFY» et «Yoga Alliance USA». Elleest d’ailleurs la première école française reconnue dans les pays anglo-saxons. Attendez, on y propose aussi du yoga détente, pour ceux qui préfèrent rester les jambes croisées ! Styles : vinyasa, détente, hatha, formations professeurs Où : 11, passage Saint Pierre Amelot – 75011 M° Oberkampf, Parmentier, Filles du Calvaire, Saint Ambroise, République Horaires : lundi à vendredi 7h30 – 21h30 / Samedi et dimanche 9h – 20h Tarifs : à partir de 10€
6. Yoga VillagePoussez la porte. Un énorme pachyderme,tout de rose vêtu et tacheté de couleurs pétillantes,vous donnera la bienvenue dans le Yoga Village : studio tout neuf situé dans le quartier de l’Opéra. Laurent Commergnat, a conçu cet espace à l’ambiance zen et babacool, inspiré par ses voyages en Asie et en Amérique où il a goûté au bonheur du yoga. Le studio, au décor fun et épuré, baigne de lumière grâce à une magnifique baie vitrée qui domine la salle.Ici on trouve une version décontractée du yoga,des ateliers très créatifs et innovants et aussi de super profs. On vous en dégote quelques uns : Alexandra Peyre, dans le domaine du hatha yoga, est une enseignante «extra» et la gentillesse pure. Laurence Gay,dans la spécialité ashtanga et prana flow, séduit par sa pédagogie et son engagement dans la cause ‘yoga’. Les autres cours et profs, on vous les laisse découvrir… Voilà un studio frais où le yoga se libère des clichés et où la bonne humeur règne ! Styles : ashtanga, hatha, intégral, iyengar, jivamukti, prana flow, pranayama, prénatal, vinyasa, yin, yin yan, yoga solidaire (community) Où : 39, boulevard des Capucines – 75002 M° Madeleine, Opéra Horaires : lundi à dimanche 10h – 20h Tarifs : à partir de 10€
Musée des Arts et Métiers – 60 Rue Réaumur, 75003 Métro : Arts et Métiers (lignes 3 et 11) Musée d’Orsay – 1 Rue de la Légion d’Honneur, 75007 Métro : Musée d’Orsay (RER C), Solferino (ligne 12)
Jardin du Luxembourg - Sur le premier parterre longeant la rue Guynemer Métro : Notre-Dame des Champs (ligne 12)
Île au Cygnes / Pont de Grenelle Métro : Charles Michels (ligne 10)
Déjeuner dans un "delicatessen". S’il est un type de restaurant emblématique de la Ville qui ne dort jamais, c’est bien celui-là. Dans sa version américaine, le delicatessen se place à mi-chemin entre l’épicerie et le restaurant. Il propose des produits prêt-à-consommer et très influencés par la cuisine des populations juives ashkenazes, arrivées en masse par Ellis Island au tournant du XIXe siècle. Les adresses parisiennes n’ont pour ainsi dire conservé que le versant restaurant du lieu. Certaines, comme le Schwartz’s Deli, sont néanmoins parvenues à cultiver une ambiance proche de celle des petits delis new-yorkais. Et si l’on n’y va, ce n’est pas pour les burgers, mais pour goûter les fameux sandwichs au pastrami typique de ces bistrots à l’américaine. Chez Schwartz, on se rue donc sur l’imposant Grilled Cheese Sandwich (16,50 €) composé de pastrami, de cheddar et d’oignons caramélisés ! Et si on veut faire ses emplettes comme à New York ? On peut faire un tour chez Thanksgiving, l’épicerie culte du quartier Saint-Paul ! Schwartz’s Deli Du lundi au vendredi de 12h à 15h et de 19h30 à 23h, le week-end de 12h à 17h et de 19h à 23h 22 avenue Niel, 75017 / Métro : Ternes (ligne 2) 16 rue des Ecouffes, 75004 / Métro : Saint paul (ligne 1) 7 avenue d’Eylau, 75016 /Métro : Trocadéro (ligne 6)
Découvrir un escalier de secours new-yorkais au cœur de Paris. Si les fameux escaliers en zigzag ne sont plus requis sur les immeubles de la Grosse Pomme depuis 1968, il semble bien difficile d’imaginer Manhattan sans eux ! Ces issues de secours extérieures ont été imposées par la loi après plusieurs incendies meurtriers survenus au début du XXesiècle et font désormais partie intégrante du paysage urbain de New York. Mais saviez-vous qu’il existe deux escaliers similaires à Paris ? Ces derniers se trouvent au numéro 17 de la rue Boulanger, dans le Xe arrondissement. On ignore si l’installation de ces escaliers n’est qu’un hommage à la ville de tous les possibles ou si une raison plus terre-à-terre en a imposé la construction, mais cela donne résolument un petit air de NoLita à la capitale. Et si on veut visualiser un vrai mélange entre Paris et New York ? On peut découvrir les oeuvres du photographe Luis Fernandes ! 17 rue Boulanger, 75010 Métro : Strasbourg Saint-Denis (lignes 4, 8 et 9)
Boire un verre à l’Experimental Cocktail Club . Précurseur des bars à cocktails façon speakeasy depuis 2007, l’Experimental Cocktail Club fait partie de ses lieux directement inspirés des bars clandestins américains du temps de la Prohibition. Ambiance feutrée, murs en pierre, fauteuils en velours capitonné… L’endroit est parvenu à recréer l’ambiance élégante du New York des années 30. Et grâce à ses cocktails de haute volée, l’Experimental Cocktail Club n’est pas seulement un lieu intimiste où il fait bon passer une soirée entre amis,c’est aussi un bastion incontournable de la mixologie parisienne. La mixologie ? Une tendance qui nous vient tout droit de… New York. La boucle est bouclée ! Et si on veut une adresse chargée d’histoire ? On peut boire un Bloody Mary au Harry’s Bar ! Experimental Cocktail Club - 37 Rue Saint-Sauveur, 75002 Métro : Sentier (ligne 3)
Grâce À Cette Astuce, On Peut Tous Manger Bio... Sans Dépenser Plus ! Économique et conviviale, cette trouvaille permet de manger plus sainement tout enencourageant les producteurs locaux. Voici comment ça marche. Par : Axel Leclercq
Si le bio gagne du terrain, il traîne toujours un lourd handicap derrière lui : son prix. Résultat : de nombreuses familles hésitent à franchir lepas où ne se fournissent que partiellement en produits bio. Pourtant, il existe une astuce toute simple pour passer à une nourriture saine sans toucher à son budget… Seule condition... La jouer collective ! Explications. Pour manger bio au prix du non bio, il n’y a qu’à faire comme ces familles de la Vienne dont le système (solidaire et malin !) a été mis en lumière par le site...WeDemain Leur Stratégie ? Se constituer en groupement d’achats. Leur objectif... Obtenir des prix comparables aux tarifs de l’industrie non bio tout en encourageant les producteurs locaux. Et ça marche !Chaque famille (elles sont 20) est responsable d’un type de produit (le lait, le miel, le pain, les savons, la viande, la bière, les tisanes, les huiles essentielles…) Chacune, dans son domaine, est chargée de recueillir les commandes des autres adhérents et de gérer l’approvisionnement au meilleur prix. Tout Ce petit monde se réunit une fois par mois autour du catalogue recensant les produits alimentaires ou domestiques. Histoire de faire lepoint sur les commandes passées et à venir, mais aussi de passer un bonmoment tous ensemble. Ils le savent : Leur nombre fait leur force. Aussi bien pour bien manger sans se ruiner que pour soutenir le développement des producteurs bio. Les pommes de terre proviennent par exemple d’une maraîchère du village que le groupement d’achat a aidé à s’installer. Chaque famille s’est engagée à lui commander 40kgs de patates par an. Résultat...L’agricultrice a la garantie d’écouler sa production, tandis que ses clients ont droità un tarif de choix : 1,50€ le kilo (s’ils les ramassent eux même) !
Quelles sont les économies concrètement réalisées par les membres du groupement ? Difficile de donner un chiffre précis. Mais nul besoin d’avoir fait HEC pour savoir qu’un sac de sucre de 20kgs coûte moins cher que 20 sacs d’un kg ou qu’une roue de fromage pesant 10kgs représente moins que 20 fromages de 500 grammes ! Exemple : les lentilles vertes bio achetées par le groupement. Vendues théoriquement 3,40€ le kg à la ferme, elles ne coûtent plus que 2,90€ le kg par sac de 25kgs (et si vous vous rendez dans un magasin bio, il vous en coûtera 3,90€) ! Comme l’a confié l’un des membres du groupement à WeDemain...
« On arrive à se procurer une alimentation bio au prix de produits qui ne le sont pas. »
Seul (tout petit) bémol, ce groupement d’achat refuse de s’agrandir.
Privilégiant la convivialité et la simplicité des échanges, il ne souhaite pas s’institutionnaliser. Alors, plutôt que d’accueillir de nouveaux membres, il aide les personnes intéressées à reproduire le même système et à créer leur propre groupement. Sympa. Grâce à leur astuce, ces familles de la Vienne mangent sainement, font des économies et donnent leur chance aux producteurs locaux. Le tout, s’il vous plaît, dans la bonne humeur collective. Le genre d’initiative alléchante qui, on l’espère, deviendra contagieuse ! Source Des Photos... Shutterstock
Les égyptiens faisaient du vin 3000 ans avant J-C. Ils transmirent leur savoir aux Grecs. Ces derniers codifièrent la bonne manière de tailler la vigne, qui laissée à l'état naturel, est une liane capable de ramper sur des dizaines de mètres.
Les romains perfectionnèrent la fabrication du vin proprement dite. Leur souci majeur en Gaule était de produire beaucoup de façon à exporter vers l'Italie, la Grande-Bretagne ou le Rhin. Ils ont donc planté le vignoble près des voies navigables. Avec eux la vigne s'implante progressivement le long de la vallée de la Garonne, en Bourgogne, dans la vallée de la Loire, puis en Champagne et en Alsace.
C'est l'apogée du vignoble, autour de 270 après J-C. Le déclin de Rome et les invasions barbares font retomber la vigne dans l'oubli. Mais les moines de l'an mil la relancent et fondent la renomméedes vins du Languedoc-Roussillon, de Bourgogne et d'Alsace.
Deux siècles plus tard, Bordeaux fait sa percée, soutenu par les importations britanniques. À partir de 1863, un insecte venu d'Amérique infeste les vignes: c'est le phyllxéra. La maladie contraignit les vignerons à tout arracher (sauf les vignes plantées dans le sable qui fait fuir l'insecte).
Un remède est trouvé: il faut greffer la vigne sur des ceps américains, dont l'écorce épaisse résiste à la piqûre de l'insecte. Mais toutes les parcelles ne furent pas replantées. Plus récemment, les grandes gelées de l'hiver 1956 ont aussi remodelé le vignoble, en particulier dans le Bordelais, en Provence et dans la vallée du Rhône.
Illustration La vigne - Le raisin.
Où fait-on du bon vin? Les cailloux (on les appelle galets à Châteauneuf-du-Pape, graves dans le Médoc, perrières en Bourgogne) stockent la chaleur et réfléchissent la lumière du soleil sur les raisins, ce qui leur permet de bien mûrir.
La vigne aime les sols pauvres qui obligent la plante à faire descendre profondément ses racines, de façon à ne pas dépendre que des orages ou des pluies aléatoires pour trouver sa ration d'eau quotidienne et nécessaire.
L'idéal pour la vigne est d'être plantée en pente, pour bien profiter du soleil (l'inclinaison peut atteindre 60% en Alsace), dans un coin abrité du grand vent.
Illustration implantation de la vigne en région de France.
Val deLoire: Le vignoble est un métissage de tout les cépages de ses voisins: on y trouve, en rouge, le cabernet bordelais, le pinot noir bourguignon et lagamey du beaujolais. Mais la région est surtout connue pour ses vins blancs et rosés.
Bordeaux: C'est le plus vaste vignoble d'appellation contrôlé de France. Il consacre 80% de sa surface aux vins rouges. Les vins sont hiérarchisés selon 4 classements (un par région: Médoc, Graves, Saint Emilion, crus bourgeois).
Languedoc-Roussillon: C'est la région la plus chaude de France après la Corse. Le muscat est donc confit sur pied, l'idéal pour produire des vins doux naturels (tel le risevaltes). Le Roussillon assure 90% de la production française de ces vins doux naturels.
Beaujolais: Conjugaisons de terroirs et de savoirs, les vins du Beaujolais restituent toutes lesfacettes d'un cépage unique: le gamey noir à jus blanc. Douze appellations, dont dix crus remarquables, des beaujolais et beaujolais-village inimitables et des primeurs à célébrer.
Vallée du Rhône: C'est le deuxième vignoble d'appellation en taille.
Provence: C'est le plus ancien vignoble français. Il compte 8 appellations dont les côtes de provence.
Corse: C'est l'une des régions qui a gardé le plus de cépages locaux (40).
Savoie: Vignoble le plus haut de France (500 mètres).
Bourgogne: Vignoble plus petit que celui du bordelais mais compte 96 appellations.
Jura: C'est le seul vignoble capable de produire un vin pouvant vieillir 100 ans: le vin jaune, vin sec au goût de noix.
Alsace: Les principaux cépages sont: Riesling, Gewurztraminer et Sylvaner. On utilise aussi le Pinot gris, le Muscat d'Alsace et le Pinot blanc. Le Pinot noir est le seul cépage rouge ou rosé de la région.
Chablis: Le vignoble fait partie de l'appellation bourgogne, même s'il est situé à une centaine de kilomètres au nord de Dijon. Avant l'invasion phylloxérique, il comptait 40 000 ha, dix fois plus qu'aujourd'hui.
Champagne: On y fait du vin blanc (à une exception près: coteaux champenois), parce qu'il n'y a pas assez d'ensoleillement pour permettre aux raisins rouges d'atteindre la pleine maturité.
Que faire en cas d'été caniculaire? Si l'été a été trop chaud, les raisins sont si mûrs qu'ils ont brûlé leursacides. Le vin risque d'être mou et de très mal se conserver. La loi autorise l'acidification chimique du mou avec de l'acide tartrique.Mais mieux vaut s'abstenir, les vins "tartiques" peuvent parfois devenir très durs en bouche.
Que faire en cas d'été pluvieux? Les raisins ne sont pas assez mûrs et manquent de sucre. La loi autorise, exceptionnellement, l'addition de sucre, c'est la chaptalisation.
Vinification en rouge: Soit le vin va dans une autre cuve à l'abri de l'air, il va y passer le printemps, voire l'été. Les cuves permettent de stocker de grandes quantités de vin, mais elles ne lui apportent rien. Soit le vin va dans des fûts (contenance moyenne: 225 litres), il va y passer l'hiver, le printemps et l'été, voire 18 mois. Le bois va donner au vin des arômes de cacao et de noisette.
En Bourgogne, il faut attendre le printemps et la remontée des températures pour que les bactéries lactiques du vin se réveillent et démarrent la fermentation malolactique qui consiste pour elles manger l'acide malique du vin (cette deuxième fermentation peut aussi se faire dans la foulée de la première, en octobre-novembre).
Son intérêt: elle fait baisser l'acidité du vin et contribue à sa stabilité future. Le vin est ensuite collé (on précipite les particules en suspension), parfois filtré (pour obtenir un maximum de limpidité, quitte à appauvrir le vin) puis sulfité (protégé contre l'oxydation) avant d'être mis en bouteille.
Comment fait-on le Beaujolais nouveau? Il est important d'obtenir un vin aux reflets framboise, aux arômes très fruités et sans trop de tanins.
Méthode traditionnelle: on verse la vendange dans une cuve à l'abri de l'air. Privées d'oxygène, les levures travaillent différemment et donnent les aromes recherchés enune dizaine de jours.
Méthode moderne: pour garantir un beaujolais typé avec des arômes framboise et banane, on verse des levures industrielles spécifiques qui vont travailler à la place des souches existantes.
Vinification en blanc, rosé et méthode champenoise. Le raisin est amené à la cuverie et immédiatement envoyé au pressoir. C'est toujours du raisin blanc, sauf dans le cas du champagne, qui est en général issu de raisin rouge (pinot noir). Le jus qui sort du pressoir va dans la cuve où il passe la nuit à décanter.
Champagne: On ajoute un peu de sucre avant de boucher la bouteille. Les levures vont lentement recommencer à manger ce sucre et à dégager du gaz carbonique. Le procédé dure plusieurs mois. Pendant ce temps, on fait basculer très progressivement les bouteilles pour que le dépôt de levures glisse et se cale derrière le bouchon ("remuage sur pupitres").
Blanc & rosé: Le jus est transféré dans un fût (type meursault ou sauternes) ou dans une cuve (type chablis) où il va fermenter. La seconde fermentation (dite malolactique) est évitée pour les vins que l'on veut garder vifs et secs, ou pour les liquoreux dont l'acidité de départ est déjà faible car elle s'attaque à l'acidité du vin. Elle est en revanche recommandée pour les grands vins blancs de Bourgogne et le champagne.Collage, éventuellement filtration et mise en bouteilles.
Pourquoi les rosés ne sont pas tous roses? Tout dépend de la façon dont ils ont été faits. Première méthode: le raisin rouge macère très peu de temps. Il est tout de suite pressé et le jus qui coule est gris rosé. C'est un rosé de pressurage. Le raisin rouge peut aussi être mis à fermenter pour faire du vin rouge. On ouvre le robinet de la cuve en début de fermentation et le vin rouge,encore clair, s'écoule. Il est déjà abricot ou fraise. C'est le rosé de saignée, en principe le meilleurs des deux.
Pourquoi le champagne issu de raisin rouge n'est-il pas un vin rouge? Parce que le pinot noir est un raisin dont le jus est blanc et la peau rouge. Le pinot noir donne des vins rouges quand on laisse le temps à la peau des raisins de colorer le jus. En revanche, un champagne "Blanc de Blancs" est issu de raisins blancs (chardonnay).
Les liquoreux: Botrytis Cinerea est un champignon qui attaque les raisins partout en France dès que le temps devient humide. Mais à Sauternes, l'automne est à la fois humide le matin et chaud l'après midi. Le botrytis flétrit donc la grappe, mais sans la pourrir. Le raisin perd une partie de son eau tandis que le sucre se concentre. On le cueille juste avant qu'il ne moisisse complètement. Il faut donc passer plusieurs fois dans les vignes pour vendanger au coup par coup (ce sont le "tries"). Si l'automne est trop froid ou chaud, le champignon se développe mal. Et comme le jus s'est évaporé, il faut beaucoup de raisin pour faire 1 litre de vin. D'où des prix de vente élevés.
Reconnaître un vin.
Vocabulaire de la dégustation.
Avoir de la mâche: les tanins sont présents et font beaucoup saliver.
Être boisé: le séjour en fût a donné au vin blanc des notes de vanille, de noisette, de pain grillé, et au vin rouge une odeur de "toasté" ou de chocolat noir.
Avoir une main serrée: le vin est issu d'une belle vendange bien mûre qui a donné un vin concentré, riche.
Gouleyant: simple, agréable à boire.
Chaleureux: le vin a de l'alcool, il réchauffe la gorge après qu'ont l'ait avalé. Ce n'est pas un défaut.
Fermé: le vin est trop jeune ou servi froid. Son nez n'exprime rien.
Végétal (herbacé): le vin sent l'herbe fraîchement coupée ou la tisane. C'est un défaut typique causé par des vendanges pas assez mûres.
Long (ou court): on mesure la longueur du vin en comptant les secondes (caudalies) jusqu'à ce que les arômes disparaissent, une fois le vin avalé. Un grand vru doit tenir au moins 12 à 15 caudalies pour être digne de son rang.
Servir un vin.
Déguster un vin.
Les millésimes par région & vintage code.
Ce commentaire a été modifié le 12/11/2018 à 15:20
Le skipper d'Idec Sport a coiffé sur le poteau François Gabart à Pointe-à-Pitre, à l'issue d'un tour de l'île de la Guadeloupe d'anthologie. A Pointe-à-Pitre, Après avoir frôlé la crise de la quarantaine, victime de dépressions à répétition, la Route du rhum a retrouvé tout l’éclat de sa jeunesse dimanche en Guadeloupe. Bien caché derrière un épais plafond gris, le très couru soleil des Antilles est pourtant chiche en vitamines D ces derniers jours. Ce sont deux marins, un jeune et un vieux, qui l’ont fait se sentir à nouveau la plus belle. Quatre décennies après un premier épilogue inoubliable entre Mike Birch et Michel Malinovsky, séparés sur la ligne d’arrivée par 98 secondes après 23 jours de mer, François Gabart et Francis Joyon ont livré un duel aussi passionnant quefou. C’est finalement le second nommé qui a coupé la ligne d’arrivée lepremier à 23h21 (heure locale, 4h21 en métropole), après 7 jours, 14 heures, 21 minutes et 47 secondes de course (nouveau record). Gabart estarrivé 7 minutes et 8 secondes plus tard, en perdant magnifique d'une hallucinante régate disputée en baie de Pointe-à-Pitre. Dimanche, le skipper d’Idec Sport et celui de Macif ont donc offert un final d’anthologie lors du traditionnel tour de l’île, véritable juge de paix de cette 11e édition. En tête pour une poignée de milles seulement (moins de 3) après en avoir compté plus de 150 d’avance 48 heures plus tôt, François Gabart se faisait piéger par le dévent de la célèbre Soufrière (1467 mètres) en début de soirée et avait toutes les peines du monde à rejoindre la bouée de Basse-Terre. Totalement scotché et « progressant » à moins d’un nœud de vitesse, le prodige de la courseau large multipliait les manœuvres pour extirper de la nasse son maxi-trimaran (30 mètres), tout en voyant l’étrave d’Idec Sport se rapprocher dangereusement, jusqu'à un demi mille. Le Charentais parvenait finalement à passer le premier, à 19h27 heure locale (00h27 enmétropole), la fameuse bouée en forme de bouteille de rhum et située à 25 milles de l’arrivée. Joyon, lui, atteignait la marque 17 minutes plustard. Mais le duel n'était pas terminé, loin de là. A la sortie du Canal des Saintes, Joyon faisait l’intérieur à Gabart et prenait le pouvoir pour la première fois dans cette transat après 7 jours et 12 heures. Malgré un casier accroché à son safran tribord, Joyon parvenait àcontenir son jeune concurrent au terme d'une incroyable régate disputée bord à bord, à la recherche du moindre souffle, pour remporter, à 62 ans et pour sa 7e participation, sa première Route du rhum. Pour Gabart, qui faisait course en tête depuis lundi dernier, le ti-punch aura peut-être un goût amer. Une avance qui a fondu comme une boule de sorbet coco sur la plage du Gosier. De gros pépins techniques avaient déjà bien corsé le Rhum de Gabart. En proie à des soucis de lattes de grand-voile, l’homme le plus rapide autour du monde en solitaire (42 jours et 16 heures en 2017) avait connuune grosse galère dès lundi avec la perte du foil tribord de son maxi-trimaran, suivi par la casse de son safran bâbord, « coupé net » mardi matin. Malgré ces avaries, dévoilées par son équipe en fin de journée dimanche, le vainqueur du Vendée Globe 2012 etdu Rhum 2014 en monocoque s'est accroché et a pu poursuivre sa route, contrairement à ses concurrents aux bateaux volants meurtris, Sébastien Josse (Edmond de Rothschild) et Armel Le Cléac’h (Banque Populaire IX). Mais à l’approche de l’arc antillais, l’avance de Gabart a fondu comme une boule de sorbet coco sur la plage du Gosier. De 165 milles vendredi après-midi, le débours de Joyon sur son jeune concurrent était passé à 15 milles dimanche midi. Avant de diminuer inexorablement jusqu'au croisement final. Outsider au départ de Saint-Malo, le « Menhir de Locmariaquer » avouait samedi tirer « comme un fou » sur son vieux bateau pour faire son retard. Un maxi-trimaran certes pas volant mais robuste et éprouvé, mis à l’eau en 2006, à la barre duquel il avait raflé le Trophée Jules-Verne il y a deux ans (40 jours et 23 heures) et accessoirement double tenant du titre dans le Rhum (avec Franck Cammas en 2010 puis Loïck Peyron en 2014). Les années ont beau glisser sur lui comme les embruns sur son ciré, le skipper âgé de 62 ans annonçait qu’il serait quand même à ramasser « à la petite cuillère » au pied du Mémorial ACTe, le centre consacré au souvenir de la traite négrière et de l’esclavage de Pointe-à-Pitre devant lequel viennent désormais s’amarrer les concurrents du Rhum. Cette victoire inoubliable chassera sans doute la fatigue, au moins pour quelques heures. « Je suis en admiration devant Francis et ce qu’il est capable de faire avec son bateau », disait Gabart en milieu de semaine. Si tout, ou presque, oppose le blond trentenaire, skipper surdoué et habile communiquant, à son concurrent, un marin taiseux souvent présenté comme « le dernier des Mohicans », les deux skippers ont tricoté ensemble un final époustouflant pour une 11e édition de la Route du rhum marquée par les tempêtes et la casse des nouveaux bateaux volants mais aussi sauvée par le bon sens marin de la grande majorité de ses concurrents, partis se réfugier dans les ports de Bretagne, d’Espagne ou du Portugal en attendant des jours meilleurs. Dimanche, la plupart des bateaux encore en état de naviguer avaient d’ailleurs repris la mer. Avec l’objectif de rallier à leur tour et à leur rythme, forcément moins effréné, Pointe-à-Pitre. Autour d’un bon rhum ou d’un autre breuvage, Joyon et son dauphin, eux, auront déjà refait le match. Un duel exceptionnel qui perpétue la légende de cette course à nulle autre pareille.
Conscience de Patrick Laumond . «C’est un grand plaisir de vous présenter 7 photographies d’une œuvre, actuellement en proposition avec le Palais de Tokyo. Elle se nomme « Conscience ». Elle est étudiée pour mesurer plus de 30 mètres de longueur.» (Patrick Laumond) « Conscience » est une vision de la pensée conditionnée vers une conscience infinie, multidimensionnelle, universelle et absolue. Cette œuvre symbolise un état vers un autre état, vers la pleine conscience, le champ de tous les possibles et l’unité de l’être comme un retour à son essence pure. Elle relie l’infiniment petit à l’infiniment grand. Le temps présent est matérialisé par un cercle (Point de contraction – expansion) reliant ainsi le passé, le présent et le futur simultanément et comme un tout. Patrick Laumond
La plus ancienne Peinture figurative du Monde découverte dans la Région reculée de Bornéo .
La grande variété d’art rupestre trouvée dans une région reculée de Bornéo comprend la plus ancienne peinture figurative connue.Les chercheurs de l’Université australienne de Griffith ont fait des découvertes étonnantes qui modifient notre façon de penser de l’histoire de l’art et du développement de l’homme primitif. Leurs recherches approfondies sur l’art rupestre paléolithique à Bornéo, publiées dans Nature, révèlent la datation de la plus ancienne peinture figurative du monde. Remontant à il y a 40 000 ans, ces peintures sont une percée décisive dans la compréhension de la façon dont l’homme primitif a laissé sa marque sur le monde. Après avoir passé plusieurs saisons dans une région indonésienne reculée de Bornéo, les chercheurs ont pu dater leurs découvertes et ont été stupéfaits par les résultats. Depuis les années 1990, la région des montagnes du Kalimantan oriental est réputée pour son art rupestre. Il existe des milliers de pochoirs à main humaine, de représentations d’animaux, ainsi que de signes et de symboles abstraits. Ces œuvres se superposent, montrant des changements stylistiques et des évolutions techniques au fil du temps. En prélevant des échantillons de carbonate de calcium et en testant les niveaux d’uranium, l’équipe a été en mesure de produire les premières estimations fiables sur l’âge de l’art rupestre. « La plus ancienne image d’art rupestre que nous ayons datée est un grand tableau représentant un animal non identifié, probablement une espèce de bovin sauvage que l’on trouvait dans les jungles de Bornéo. Il s’agit d’un âge minimum d’environ 40 000 ans et qui est à présent l’œuvre d’art figurative la plus ancienne connue » partage le professeur associé Maxime Aubert, qui a dirigé l’étude. Plusieurs pochoirs à la main, datant de 52 000 à 40 000 ans, sont encore plus anciens. L’équipe de scientifique a également remarqué un changement il y a environ 20 000 ans : l’inclusion de l’homme. «Il semble qu’ils passent de la représentation de grands animaux à celle du monde humain»,déclare le Dr Aubert . «Parfois, les [personnages] ont de grandes coiffes, parfois ils représentent une danse avec différents objets, parfois ils chassent. » Les découvertes correspondent de manière intéressante au développement de l’art rupestre en Europe, montrant que l’Asie du Sud-Est possédait sa propre tradition qui a évolué en parallèle. Les chercheurs sont ravis de ce développement qui souligne l’importance de l’Asie du Sud-Est dans l’histoire de l’humanité. L’année prochaine, l’équipe du Dr Aubert retournera dans la région pour y effectuer des fouilles dans l’espoir de trouver des preuves archéologiques qui en apprendront davantage sur l’identité de ces peintres rupestres anonymes. Université australienne de Griffith
L’usinage du métal au ralenti . Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises de ma passion pour l’usinage du métal avec des machines-outils à commande numérique, je ne vous raconte donc pas ma joie d’être tombé sur cette chaine Youtube qui montre des dizaines de vidéos de divers outils en train d’usiner des blocs de métal en gros plan et au ralenti. Son seul défaut est les musiques donc n’hésitez pas à couper le son.
Le retour photographique vers le futur. L’artiste Irina Werning travaille à mettre en perspective de vieilles photos de gamins, avec des photos de ces mêmes personnes, beaucoup plus tard, mais dans la mêmemise en scène qui respecte exactement les mêmes vêtements, la même poseet le même traitement des images. Ce travail a depuis été pas mal imité mais jamais égalé et vous pouvez le retrouver dans ce livre :
Clic.......http://premium.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/09/01016-20180109ARTFIG00237-maggy-biskupsi-une-policiere-en-colere.php
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Sincères condoléances à sa famille et à ses amis et collègues de la police et de la gendarmerie.
A Paris, le yoga fait fureur ! On le pratique dans tous les coins et sous toutes ses formes. Depuis quelques années, la capitale regorge de studios. Mais savez-vous où suivre un cours ?
Voici une sélection des 6 meilleurs cours de yoga à Paris où enchaîner quelques salutations au soleil et vider votre stress. Dans cette liste, vous trouverez des salles proposant différents styles, niveaux et ambiances !
1. Ashtanga Yoga Paris.
En plein cœur de l’avenue de la République, dans Paris XIème, ce studio vous attend au calme, dans une salle spacieuse et couronnée d’une grandeverrière. Ambiance zen et cool garantie. Le studio a ouvert en 2004 parGerald Disse et Linda Munro, un couple admiré non seulement par la maîtrise de leur pratique mais par leurs qualités humaines. Le studio
est aujourd’hui l’une de références dans l’univers ashtanga vinyasa yoga à Paris.
L’ashtanga vinyasa, est une pratique énergique, où l’on enchaîne des postures de manière dynamique en synchronie avec la respiration. A la différence de l’ashtanga où l’on suit une séquence fixe, dans le vinyasa les séquencessont libres et fluides.
Chez Ashtanga Yoga Paris, on y vient aussi pour les cours de yin restorative(yoga très doux), pranayama (exercices de respiration), méditation et yoga pour enfants.
Le must : les formations professorales, dispensées par Gerald et Linda, certifiées «Yoga Alliance» sont intensives et de très grand niveau. A constater par vous-même !
Styles : ashtanga, vinyasa, mysore, yin, pranayama, méditation, yoga pour enfants, formation professeurs
Où : 40, avenue de la République – 75011
M° Parmentier, République, Oberkampf
Horaires : lundi à vendredi 6h30 – 20h / Samedi et dimanche 10h – 18h
Tarifs : à partir de 20€
2. Centre Sivananda de Yoga Vedanta.
Ambiance solennelle, professeurs en tuniques orange, odeur des épices et d’encens.Sivananda est une énorme congrégation, sans doute, la plus grande organisation de yoga au monde. Elle abrite aussi une de plus grandes salles de yoga à Paris.
Au fond d’une cour intérieure dans le Faubourg Saint-Martin vous trouverez cet énorme loft, lumineux et au plafond très haut.
Ne cherchez pas de variantes de yoga aux noms bizarres, ici on vient pratiquer le Hatha Yoga Intégral, un yoga on ne peut plus traditionnel. Les cours se composent de postures (asanas), d’exercices de respiration et d’une relaxation finale. Les enchaînements sont généralement lents etles postures maintenues assez longtemps.
Ici vous suivrez la formation héritée des maîtres Swami Sivananda et Swami Vishnudevananda, jadis ses fondateurs, et ses 5 principes de base du yoga : postures, respiration, relaxation, alimentation végétarienne, pensée positive et méditation.
Le centre propose des cours d’essai gratuits chaque samedi à 14h. Aussi, des ateliers de cuisine végétarienne et des fêtes spirituelles.
Styles : hatha intégral (doux, intermédiaire, avancé), femmes enceintes, yoga pour enfants, méditation, seniors
Où : 140, rue du Faubourg St Martin – 75010
M° Gare de l’Est
Horaires : lundi à vendredi 11h – 20h / Samedi 11h – 18h / Dimanche 16h – 18h
Tarifs : à partir de 17€
3. Mysore Yoga Paris.
A quelques pas du Canal Saint-Martin, dans Paris Xème, se trouve un studio vaste, aux senteurs douces et à la lueur des bougies. Il est unique dans son genre : le seul à proposer une pratique exclusive de style Mysore à Paris.
Mysore est une pratique de yoga ashtanga, un yoga très physique et dynamique né à Mysore, ville au sud de l’Inde. A Mysore Yoga Paris, les cours se font selon la tradition, les postures rythmées par la respiration suivent un ordre fixe. La pratique est matinale et autonome, chacun suitson cours individuellement.
Kia, sa fondatrice, est excellente. Elle est là assistée par un petit trio des profs pour faire les ajustements nécessaires aux élèves et les faireprogresser avec intensité et délicatesse dans leur pratique. Le niveau est topissime !
Tradition oblige, les jours de pleine et nouvelle lune sont respectés et on ne pratique pas. En échange, Kia vous proposera de séances de pranayama (exercices de respiration).
Le studio est ouvert à tous : débutants et avancés, sans réservation.
Style : ashtanga mysore, pranayama
Où : 17, rue Eugène Varlin – 75010
M° Château-Landon, Gare de l’Est, Gare du Nord
Horaires : lundi à vendredi 7h00/8h – 10h30
Tarifs : à partir de 20€
4. Rasa Yoga Rive Gauche.
Nichée dans une cour calme, dans le quartier emblématique de Saint-Michel à Paris, voilà une belle salle au design chic et raffiné, murs de pierre, parquet de bois exotique et verrière.
Aujourd’hui victime du star-system des salles parisiennes, Rasa est sans doute la salle LA plus connue et fréquentée. Vous y croiserez un grand nombre de professeurs vedettes et des élèves qui causent l’anglais et autres langues étrangères.
Du yoga le plus classique au plus en vogue… ici, vous avez l’embarras du choix. Presque toutes les variantes y sont proposées.
Les mamans, futures mamans et enfants trouveront leur place avec les cours de yoga prénatal, enfants et maman & bébé. Les férus d’une pratique plus énergique n’ont qu’à essayer l’ashtanga ou vinyasa. Et ceux qui voudraient s’accorder un yoga plutôt douillet, le yin yoga, sera le meilleur choix.
Ah, et pour les budgets serrés, le community class, un concept de cours low cost, fera sans doute l’affaire !
Styles : anusara, ashtanga, community, détente, enfants, hatha, hatha flow, iyengar, kundalini, maman & bébé, mysore, nidra, vinyasa, prénatal, yin
Où : 21, rue Saint Jacques – 75005
M° Cluny La Sorbonne, Saint Michel, Maubert Mutualité
Horaires : lundi à jeudi 6h45 – 20h / Vendredi 8h – 18h30 / Samedi et dimanche 9h – 18h30
Tarifs : à partir de 14€
5. Studio Gérard Arnaud Yoga .
Au milieu d’un paisible passage, dans le quartier branché du XIème, une petite salle, sans prétention, abrite le Studio Gérard Arnaud Yoga – Siège de la Fédération Française de Yoga (FFY).
Pour certains, le yoga veut dire contorsions, postures insolites et impraticables. Pour d’autres, rester assis, immobiles, les jambes croisées. Et si on vous disait qu’il existe un juste milieu ? C’est le yoga enseigné chez Gérard Arnaud.
Gérard est un maître du Vinyasa, un yoga dynamique, créatif et fluide, qui synchronise les mouvements avec le souffle. Doux et intense, le yoga icienseigné respecte profondément le corps.Et oui,«toujours respecter le corps»,Gérard y tient beaucoup!
Renommée, cette école forme aussi des professeurs aux techniques du vinyasa et hatha yoga, diplômes certifiés par la «FFY» et «Yoga Alliance USA». Elleest d’ailleurs la première école française reconnue dans les pays anglo-saxons.
Attendez, on y propose aussi du yoga détente, pour ceux qui préfèrent rester les jambes croisées !
Styles : vinyasa, détente, hatha, formations professeurs
Où : 11, passage Saint Pierre Amelot – 75011
M° Oberkampf, Parmentier, Filles du Calvaire, Saint Ambroise, République
Horaires : lundi à vendredi 7h30 – 21h30 / Samedi et dimanche 9h – 20h
Tarifs : à partir de 10€
6. Yoga Village Poussez la porte.
Un énorme pachyderme,tout de rose vêtu et tacheté de couleurs pétillantes,vous donnera la bienvenue dans le Yoga Village :
studio tout neuf situé dans le quartier de l’Opéra.
Laurent Commergnat, a conçu cet espace à l’ambiance zen et babacool, inspiré par ses voyages en Asie et en Amérique où il a goûté au bonheur du yoga. Le studio, au décor fun et épuré, baigne de lumière grâce à une magnifique baie vitrée qui domine la salle.Ici on trouve une version décontractée du yoga,des ateliers très créatifs et innovants et aussi de super profs.
On vous en dégote quelques uns : Alexandra Peyre, dans le domaine du hatha yoga, est une enseignante «extra» et la gentillesse pure. Laurence Gay,dans la spécialité ashtanga et prana flow, séduit par sa pédagogie et son engagement dans la cause ‘yoga’.
Les autres cours et profs, on vous les laisse découvrir…
Voilà un studio frais où le yoga se libère des clichés et où la bonne humeur règne !
Styles : ashtanga, hatha, intégral, iyengar, jivamukti, prana flow, pranayama,
prénatal, vinyasa, yin, yin yan, yoga solidaire (community)
Où : 39, boulevard des Capucines – 75002
M° Madeleine, Opéra
Horaires : lundi à dimanche 10h – 20h
Tarifs : à partir de 10€
New York, New York. Si l’atmosphère, l’énergie et la démesure qui se dégagent du plus grand port d’Amérique sont uniques, quelques lieux parisiens peuvent se targuer de nous plonger, quelques instants ou quelques heures, dans l’ambiance de la Ville qui ne dort jamais.
Tour d’horizon des adresses incontournables pour les amoureux de la Grosse Pomme en escale à Paris.
Rencontrer la Statue de la Liberté.
Il n’y a pas besoin d’aller bien loin pour rencontrer la statue la plus célèbre du monde moderne : Paris compte pas moins de cinq répliques du monument offert par Auguste Bartholdi aux États-Unis ! Deux d’entre elles se trouvent au Musée des Arts et Métiers, la première est installée dans l’ancienne église de Saint-Martin-des-Champs devenue partie intégrante du musée, l’autre dans le square menant au musée. Les deux autres sont des modèles réduits, une figure parmi les 106 statues du Jardin du Luxembourg et une autre est installée dans la nef principale du Musée d’Orsay depuis 2012.
L’exemplaire le plus connu de la statue reste néanmoins celui qui se trouve sur l’Île aux Cygnes, au niveau du pont de Grenelle. Haute de 11,50 mètres et érigée à Paris en 1889, seulement trois ans après sa grande sœur new-yorkaise, la « La Liberté éclairant le monde » française faisait initialement face à la Tour Eiffel. Comme son créateur l’avait souhaité, elle dirige aujourd’hui sa torche vers le Nouveau Monde.
Et si l’on veut découvrir de l’art américain réellement américain ? On peut se rendre au Mona Bismarck American Center !
© V. Gubina
Musée des Arts et Métiers – 60 Rue Réaumur, 75003
Métro : Arts et Métiers (lignes 3 et 11)
Musée d’Orsay – 1 Rue de la Légion d’Honneur, 75007
Métro : Musée d’Orsay (RER C), Solferino (ligne 12)
Jardin du Luxembourg - Sur le premier parterre longeant la rue Guynemer
Métro : Notre-Dame des Champs (ligne 12)
Île au Cygnes / Pont de Grenelle
Métro : Charles Michels (ligne 10)
Déjeuner dans un "delicatessen".
S’il est un type de restaurant emblématique de la Ville qui ne dort jamais, c’est bien celui-là. Dans sa version américaine, le delicatessen se place à mi-chemin entre l’épicerie et le restaurant. Il propose des produits prêt-à-consommer et très influencés par la cuisine des populations juives ashkenazes, arrivées en masse par Ellis Island au tournant du XIXe siècle.
Les adresses parisiennes n’ont pour ainsi dire conservé que le versant restaurant du lieu. Certaines, comme le Schwartz’s Deli, sont néanmoins parvenues à cultiver une ambiance proche de celle des petits delis new-yorkais. Et si l’on n’y va, ce n’est pas pour les burgers, mais pour goûter les fameux sandwichs au pastrami typique de ces bistrots à l’américaine.
Chez Schwartz, on se rue donc sur l’imposant Grilled Cheese Sandwich (16,50 €) composé de pastrami, de cheddar et d’oignons caramélisés !
Et si on veut faire ses emplettes comme à New York ? On peut faire un tour chez Thanksgiving, l’épicerie culte du quartier Saint-Paul !
Schwartz’s Deli
Du lundi au vendredi de 12h à 15h et de 19h30 à 23h, le week-end de 12h à 17h et de 19h à 23h
22 avenue Niel, 75017 / Métro : Ternes (ligne 2)
16 rue des Ecouffes, 75004 / Métro : Saint paul (ligne 1)
7 avenue d’Eylau, 75016 /Métro : Trocadéro (ligne 6)
Découvrir un escalier de secours new-yorkais au cœur de Paris.
Si les fameux escaliers en zigzag ne sont plus requis sur les immeubles de la Grosse Pomme depuis 1968, il semble bien difficile d’imaginer Manhattan sans eux ! Ces issues de secours extérieures ont été imposées par la loi après plusieurs incendies meurtriers survenus au début du XXesiècle et font désormais partie intégrante du paysage urbain de New York. Mais saviez-vous qu’il existe deux escaliers similaires à Paris ?
Ces derniers se trouvent au numéro 17 de la rue Boulanger, dans le Xe arrondissement. On ignore si l’installation de ces escaliers n’est qu’un hommage à la ville de tous les possibles ou si une raison plus terre-à-terre en a imposé la construction, mais cela donne résolument un petit air de NoLita à la capitale.
Et si on veut visualiser un vrai mélange entre Paris et New York ?
On peut découvrir les oeuvres du photographe Luis Fernandes !
17 rue Boulanger, 75010
Métro : Strasbourg Saint-Denis (lignes 4, 8 et 9)
Boire un verre à l’Experimental Cocktail Club .
Précurseur des bars à cocktails façon speakeasy depuis 2007, l’Experimental Cocktail Club fait partie de ses lieux directement inspirés des bars clandestins américains du temps de la Prohibition. Ambiance feutrée, murs en pierre, fauteuils en velours capitonné… L’endroit est parvenu à recréer l’ambiance élégante du New York des années 30. Et grâce à ses cocktails de haute volée, l’Experimental Cocktail Club n’est pas seulement un lieu intimiste où il fait bon passer une soirée entre amis,c’est aussi un bastion incontournable de la mixologie parisienne. La mixologie ? Une tendance qui nous vient tout droit de… New York. La boucle est bouclée !
Et si on veut une adresse chargée d’histoire ? On peut boire un Bloody Mary au Harry’s Bar !
Experimental Cocktail Club - 37 Rue Saint-Sauveur, 75002
Métro : Sentier (ligne 3)
Économique et conviviale, cette trouvaille permet de manger plus sainement tout enencourageant les producteurs locaux. Voici comment ça marche.
Par : Axel Leclercq
Si le bio gagne du terrain, il traîne toujours un lourd handicap derrière lui : son prix. Résultat : de nombreuses familles hésitent à franchir lepas où ne se fournissent que partiellement en produits bio.
Pourtant, il existe une astuce toute simple pour passer à une nourriture saine sans toucher à son budget… Seule condition... La jouer collective !
Explications.
Pour manger bio au prix du non bio, il n’y a qu’à faire comme ces familles de la Vienne dont le système (solidaire et malin !)
a été mis en lumière par le site...WeDemain
Chacune, dans son domaine, est chargée de recueillir les commandes des autres adhérents et de gérer l’approvisionnement au meilleur prix.
Aussi bien pour bien manger sans se ruiner que pour soutenir le développement des producteurs bio.
Les pommes de terre proviennent par exemple d’une maraîchère du village que le groupement d’achat a aidé à s’installer. Chaque famille s’est engagée à lui commander 40kgs de patates par an. Résultat... L’agricultrice a la garantie d’écouler sa production, tandis que ses clients ont droità un tarif de choix : 1,50€ le kilo (s’ils les ramassent eux même) !
Mais nul besoin d’avoir fait HEC pour savoir qu’un sac de sucre de 20kgs coûte moins cher que 20 sacs d’un kg ou qu’une roue de fromage pesant 10kgs représente moins que 20 fromages de 500 grammes !
Exemple : les lentilles vertes bio achetées par le groupement. Vendues théoriquement 3,40€ le kg à la ferme, elles ne coûtent plus que 2,90€ le kg par sac de 25kgs (et si vous vous rendez dans un magasin bio, il vous en coûtera 3,90€) !
Comme l’a confié l’un des membres du groupement à WeDemain...
Privilégiant la convivialité et la simplicité des échanges, il ne souhaite pas s’institutionnaliser.
Alors, plutôt que d’accueillir de nouveaux membres, il aide les personnes intéressées à reproduire le même système et à créer leur propre groupement. Sympa.
Grâce à leur astuce, ces familles de la Vienne mangent sainement, font des économies et donnent leur chance aux producteurs locaux. Le tout, s’il vous plaît, dans la bonne humeur collective.
Le genre d’initiative alléchante qui, on l’espère, deviendra contagieuse !
Source Des Photos... Shutterstock
Les égyptiens faisaient du vin 3000 ans avant J-C. Ils transmirent leur savoir aux Grecs. Ces derniers codifièrent la bonne manière de tailler la vigne, qui laissée à l'état naturel, est une liane capable de ramper sur des dizaines de mètres.
Les romains perfectionnèrent la fabrication du vin proprement dite. Leur souci majeur en Gaule était de produire beaucoup de façon à exporter vers l'Italie, la Grande-Bretagne ou le Rhin. Ils ont donc planté le vignoble près des voies navigables. Avec eux la vigne s'implante progressivement le long de la vallée de la Garonne, en Bourgogne, dans la vallée de la Loire, puis en Champagne et en Alsace.
C'est l'apogée du vignoble, autour de 270 après J-C.
Le déclin de Rome et les invasions barbares font retomber la vigne dans l'oubli. Mais les moines de l'an mil la relancent et fondent la renomméedes vins du Languedoc-Roussillon, de Bourgogne et d'Alsace.
Deux siècles plus tard, Bordeaux fait sa percée, soutenu par les importations britanniques.
À partir de 1863, un insecte venu d'Amérique infeste les vignes: c'est le phyllxéra.
La maladie contraignit les vignerons à tout arracher (sauf les vignes plantées dans le sable qui fait fuir l'insecte).
Un remède est trouvé: il faut greffer la vigne sur des ceps américains, dont l'écorce épaisse résiste à la piqûre de l'insecte. Mais toutes les parcelles ne furent pas replantées. Plus récemment, les grandes gelées de l'hiver 1956 ont aussi remodelé le vignoble, en particulier dans le Bordelais, en Provence et dans la vallée du Rhône.
Illustration La vigne - Le raisin.
Où fait-on du bon vin?
Les cailloux (on les appelle galets à Châteauneuf-du-Pape, graves dans le Médoc, perrières en Bourgogne) stockent la chaleur et réfléchissent la lumière du soleil sur les raisins, ce qui leur permet de bien mûrir.
La vigne aime les sols pauvres qui obligent la plante à faire descendre profondément ses racines, de façon à ne pas dépendre que des orages ou des pluies aléatoires pour trouver sa ration d'eau quotidienne et nécessaire.
L'idéal pour la vigne est d'être plantée en pente, pour bien profiter du soleil (l'inclinaison peut atteindre 60% en Alsace), dans un coin abrité du grand vent.
Illustration implantation de la vigne en région de France.
Val deLoire: Le vignoble est un métissage de tout les cépages de ses voisins: on y trouve, en rouge, le cabernet bordelais, le pinot noir bourguignon et lagamey du beaujolais. Mais la région est surtout connue pour ses vins blancs et rosés.
Bordeaux: C'est le plus vaste vignoble d'appellation contrôlé de France. Il consacre 80% de sa surface aux vins rouges. Les vins sont hiérarchisés selon 4 classements (un par région: Médoc, Graves, Saint Emilion, crus bourgeois).
Languedoc-Roussillon: C'est la région la plus chaude de France après la Corse. Le muscat est donc confit sur pied, l'idéal pour produire des vins doux naturels (tel le risevaltes). Le Roussillon assure 90% de la production française de ces vins doux naturels.
Beaujolais: Conjugaisons de terroirs et de savoirs, les vins du Beaujolais restituent toutes lesfacettes d'un cépage unique: le gamey noir à jus blanc. Douze appellations, dont dix crus remarquables, des beaujolais et beaujolais-village inimitables et des primeurs à célébrer.
Vallée du Rhône: C'est le deuxième vignoble d'appellation en taille.
Provence: C'est le plus ancien vignoble français. Il compte 8 appellations dont les côtes de provence.
Corse: C'est l'une des régions qui a gardé le plus de cépages locaux (40).
Savoie: Vignoble le plus haut de France (500 mètres).
Bourgogne: Vignoble plus petit que celui du bordelais mais compte 96 appellations.
Jura: C'est le seul vignoble capable de produire un vin pouvant vieillir 100 ans: le vin jaune, vin sec au goût de noix.
Alsace: Les principaux cépages sont: Riesling, Gewurztraminer et Sylvaner. On utilise aussi le Pinot gris, le Muscat d'Alsace et le Pinot blanc. Le Pinot noir est le seul cépage rouge ou rosé de la région.
Chablis: Le vignoble fait partie de l'appellation bourgogne, même s'il est situé à une centaine de kilomètres au nord de Dijon. Avant l'invasion phylloxérique, il comptait 40 000 ha, dix fois plus qu'aujourd'hui.
Champagne: On y fait du vin blanc (à une exception près: coteaux champenois), parce qu'il n'y a pas assez d'ensoleillement pour permettre aux raisins rouges d'atteindre la pleine maturité.
Que faire en cas d'été caniculaire?
Si l'été a été trop chaud, les raisins sont si mûrs qu'ils ont brûlé leursacides. Le vin risque d'être mou et de très mal se conserver.
La loi autorise l'acidification chimique du mou avec de l'acide tartrique.Mais mieux vaut s'abstenir, les vins "tartiques" peuvent parfois devenir très durs en bouche.
Que faire en cas d'été pluvieux?
Les raisins ne sont pas assez mûrs et manquent de sucre.
La loi autorise, exceptionnellement, l'addition de sucre, c'est la chaptalisation.
Vinification en rouge:
Soit le vin va dans une autre cuve à l'abri de l'air, il va y passer le printemps, voire l'été. Les cuves permettent de stocker de grandes quantités de vin, mais elles ne lui apportent rien.
Soit le vin va dans des fûts (contenance moyenne: 225 litres), il va y passer l'hiver, le printemps et l'été, voire 18 mois. Le bois va donner au vin des arômes de cacao et de noisette.
En Bourgogne, il faut attendre le printemps et la remontée des températures pour que les bactéries lactiques du vin se réveillent et démarrent la fermentation malolactique qui consiste pour elles manger l'acide malique du vin (cette deuxième fermentation peut aussi se faire dans la foulée de la première, en octobre-novembre).
Son intérêt: elle fait baisser l'acidité du vin et contribue à sa stabilité future.
Le vin est ensuite collé (on précipite les particules en suspension), parfois filtré (pour obtenir un maximum de limpidité, quitte à appauvrir le vin) puis sulfité (protégé contre l'oxydation) avant d'être mis en bouteille.
Comment fait-on le Beaujolais nouveau?
Il est important d'obtenir un vin aux reflets framboise, aux arômes très fruités et sans trop de tanins.
Méthode traditionnelle: on verse la vendange dans une cuve à l'abri de l'air. Privées d'oxygène, les levures travaillent différemment et donnent les aromes recherchés enune dizaine de jours.
Méthode moderne: pour garantir un beaujolais typé avec des arômes framboise et banane, on verse des levures industrielles spécifiques qui vont travailler à la place des souches existantes.
Vinification en blanc, rosé et méthode champenoise.
Le raisin est amené à la cuverie et immédiatement envoyé au pressoir. C'est toujours du raisin blanc, sauf dans le cas du champagne, qui est en général issu de raisin rouge (pinot noir). Le jus qui sort du pressoir va dans la cuve où il passe la nuit à décanter.
Champagne: On ajoute un peu de sucre avant de boucher la bouteille. Les levures vont lentement recommencer à manger ce sucre et à dégager du gaz carbonique. Le procédé dure plusieurs mois.
Pendant ce temps, on fait basculer très progressivement les bouteilles pour que le dépôt de levures glisse et se cale derrière le bouchon ("remuage sur pupitres").
Blanc & rosé: Le jus est transféré dans un fût (type meursault ou sauternes) ou dans une cuve (type chablis) où il va fermenter.
La seconde fermentation (dite malolactique) est évitée pour les vins que l'on veut garder vifs et secs, ou pour les liquoreux dont l'acidité de départ est déjà faible car elle s'attaque à l'acidité du vin.
Elle est en revanche recommandée pour les grands vins blancs de Bourgogne et le champagne.Collage, éventuellement filtration et mise en bouteilles.
Pourquoi les rosés ne sont pas tous roses?
Tout dépend de la façon dont ils ont été faits.
Première méthode: le raisin rouge macère très peu de temps. Il est tout de suite pressé et le jus qui coule est gris rosé. C'est un rosé de pressurage.
Le raisin rouge peut aussi être mis à fermenter pour faire du vin rouge.
On ouvre le robinet de la cuve en début de fermentation et le vin rouge,encore clair, s'écoule.
Il est déjà abricot ou fraise. C'est le rosé de saignée, en principe le meilleurs des deux.
Pourquoi le champagne issu de raisin rouge n'est-il pas un vin rouge?
Parce que le pinot noir est un raisin dont le jus est blanc et la peau rouge.
Le pinot noir donne des vins rouges quand on laisse le temps à la peau des raisins de colorer le jus.
En revanche, un champagne "Blanc de Blancs" est issu de raisins blancs (chardonnay).
Les liquoreux:
Botrytis Cinerea est un champignon qui attaque les raisins partout en France dès que le temps devient humide.
Mais à Sauternes, l'automne est à la fois humide le matin et chaud l'après midi.
Le botrytis flétrit donc la grappe, mais sans la pourrir.
Le raisin perd une partie de son eau tandis que le sucre se concentre.
On le cueille juste avant qu'il ne moisisse complètement.
Il faut donc passer plusieurs fois dans les vignes pour vendanger au coup par coup (ce sont le "tries").
Si l'automne est trop froid ou chaud, le champignon se développe mal. Et comme le jus s'est évaporé, il faut beaucoup de raisin pour faire 1 litre de vin. D'où des prix de vente élevés.
Reconnaître un vin.
Vocabulaire de la dégustation.
Avoir de la mâche: les tanins sont présents et font beaucoup saliver.
Être boisé: le séjour en fût a donné au vin blanc des notes de vanille, de noisette, de pain grillé, et au vin rouge une odeur de "toasté" ou de chocolat noir.
Avoir une main serrée: le vin est issu d'une belle vendange bien mûre qui a donné un vin concentré, riche.
Gouleyant: simple, agréable à boire.
Chaleureux: le vin a de l'alcool, il réchauffe la gorge après qu'ont l'ait avalé. Ce n'est pas un défaut.
Fermé: le vin est trop jeune ou servi froid. Son nez n'exprime rien.
Végétal (herbacé): le vin sent l'herbe fraîchement coupée ou la tisane. C'est un défaut typique causé par des vendanges pas assez mûres.
Long (ou court): on mesure la longueur du vin en comptant les secondes (caudalies) jusqu'à ce que les arômes disparaissent, une fois le vin avalé. Un grand vru doit tenir au moins 12 à 15 caudalies pour être digne de son rang.
Servir un vin.
Déguster un vin.
Les millésimes par région & vintage code.
Par Guillaume Loisy
Le skipper d'Idec Sport a coiffé sur le poteau François Gabart à Pointe-à-Pitre, à l'issue d'un tour de l'île de la Guadeloupe d'anthologie.
A Pointe-à-Pitre,
Après avoir frôlé la crise de la quarantaine, victime de dépressions à répétition, la Route du rhum a retrouvé tout l’éclat de sa jeunesse dimanche en Guadeloupe. Bien caché derrière un épais plafond gris, le très couru soleil des Antilles est pourtant chiche en vitamines D ces derniers jours. Ce sont deux marins, un jeune et un vieux, qui l’ont fait se sentir à nouveau la plus belle. Quatre décennies après un premier épilogue inoubliable entre Mike Birch et Michel Malinovsky, séparés sur la ligne d’arrivée par 98 secondes après 23 jours de mer, François Gabart et Francis Joyon ont livré un duel aussi passionnant quefou. C’est finalement le second nommé qui a coupé la ligne d’arrivée lepremier à 23h21 (heure locale, 4h21 en métropole), après 7 jours, 14 heures, 21 minutes et 47 secondes de course (nouveau record). Gabart estarrivé 7 minutes et 8 secondes plus tard, en perdant magnifique d'une hallucinante régate disputée en baie de Pointe-à-Pitre.
Dimanche, le skipper d’Idec Sport et celui de Macif ont donc offert un final d’anthologie lors du traditionnel tour de l’île, véritable juge de paix de cette 11e édition. En tête pour une poignée de milles seulement (moins de 3) après en avoir compté plus de 150 d’avance 48 heures plus tôt, François Gabart se faisait piéger par le dévent de la célèbre Soufrière (1467 mètres) en début de soirée et avait toutes les peines du monde à rejoindre la bouée de Basse-Terre. Totalement scotché et « progressant » à moins d’un nœud de vitesse, le prodige de la courseau large multipliait les manœuvres pour extirper de la nasse son maxi-trimaran (30 mètres), tout en voyant l’étrave d’Idec Sport se rapprocher dangereusement, jusqu'à un demi mille.
Le Charentais parvenait finalement à passer le premier, à 19h27 heure locale (00h27 enmétropole), la fameuse bouée en forme de bouteille de rhum et située à 25 milles de l’arrivée. Joyon, lui, atteignait la marque 17 minutes plustard. Mais le duel n'était pas terminé, loin de là. A la sortie du Canal des Saintes, Joyon faisait l’intérieur à Gabart et prenait le pouvoir pour la première fois dans cette transat après 7 jours et 12 heures. Malgré un casier accroché à son safran tribord, Joyon parvenait àcontenir son jeune concurrent au terme d'une incroyable régate disputée bord à bord, à la recherche du moindre souffle, pour remporter, à 62 ans et pour sa 7e participation, sa première Route du rhum. Pour Gabart, qui faisait course en tête depuis lundi dernier, le ti-punch aura peut-être un goût amer.
Une avance qui a fondu comme une boule de sorbet coco sur la plage du Gosier.
De gros pépins techniques avaient déjà bien corsé le Rhum de Gabart. En proie à des soucis de lattes de grand-voile, l’homme le plus rapide autour du monde en solitaire (42 jours et 16 heures en 2017) avait connuune grosse galère dès lundi avec la perte du foil tribord de son maxi-trimaran, suivi par la casse de son safran bâbord, « coupé net » mardi matin. Malgré ces avaries, dévoilées par son équipe en fin de journée dimanche, le vainqueur du Vendée Globe 2012 etdu Rhum 2014 en monocoque s'est accroché et a pu poursuivre sa route, contrairement à ses concurrents aux bateaux volants meurtris, Sébastien Josse (Edmond de Rothschild) et Armel Le Cléac’h (Banque Populaire IX).
Mais à l’approche de l’arc antillais, l’avance de Gabart a fondu comme une boule de sorbet coco sur la plage du Gosier. De 165 milles vendredi après-midi, le débours de Joyon sur son jeune concurrent était passé à 15 milles dimanche midi. Avant de diminuer inexorablement jusqu'au croisement final.
Outsider au départ de Saint-Malo, le « Menhir de Locmariaquer » avouait samedi tirer « comme un fou » sur son vieux bateau pour faire son retard. Un maxi-trimaran certes pas volant mais robuste et éprouvé, mis à l’eau en 2006, à la barre duquel il avait raflé le
Trophée Jules-Verne il y a deux ans (40 jours et 23 heures) et accessoirement double tenant du titre dans le Rhum (avec Franck Cammas en 2010 puis Loïck Peyron en 2014). Les années ont beau glisser sur lui comme les embruns sur son ciré, le skipper âgé de 62 ans annonçait qu’il serait quand même à ramasser « à la petite cuillère » au pied du Mémorial ACTe, le centre consacré au souvenir de la traite négrière et de l’esclavage de Pointe-à-Pitre devant lequel viennent désormais s’amarrer les concurrents du Rhum. Cette victoire inoubliable chassera sans doute la fatigue, au moins pour quelques heures.
« Je suis en admiration devant Francis et ce qu’il est capable de faire avec son bateau », disait Gabart en milieu de semaine. Si tout, ou presque, oppose le blond trentenaire, skipper surdoué et habile communiquant, à son concurrent, un marin taiseux souvent présenté comme « le dernier des Mohicans », les deux skippers ont tricoté ensemble un final époustouflant pour une 11e édition de la Route du rhum marquée par les tempêtes et la casse des nouveaux bateaux volants mais aussi sauvée par le bon sens marin de la grande majorité de ses concurrents, partis se réfugier dans les ports de Bretagne, d’Espagne ou du Portugal en attendant des jours meilleurs. Dimanche, la plupart des bateaux encore en état de naviguer avaient d’ailleurs repris la mer. Avec l’objectif de rallier à leur tour et à leur rythme, forcément moins effréné, Pointe-à-Pitre.
Autour d’un bon rhum ou d’un autre breuvage, Joyon et son dauphin, eux, auront déjà refait le match. Un duel exceptionnel qui perpétue la légende de cette course à nulle autre pareille.
«C’est un grand plaisir de vous présenter 7 photographies d’une œuvre, actuellement en proposition avec le Palais de Tokyo. Elle se nomme « Conscience ». Elle est étudiée pour mesurer plus de 30 mètres de longueur.» (Patrick Laumond)
« Conscience » est une vision de la pensée conditionnée vers une conscience infinie, multidimensionnelle, universelle et absolue.
Cette œuvre symbolise un état vers un autre état, vers la pleine conscience, le champ de tous les possibles et l’unité de l’être comme un retour à son essence pure.
Elle relie l’infiniment petit à l’infiniment grand. Le temps présent est matérialisé par un cercle (Point de contraction – expansion) reliant ainsi le passé, le présent et le futur simultanément et comme un tout.
Patrick Laumond
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La grande variété d’art rupestre trouvée dans une région reculée de Bornéo comprend la plus ancienne peinture figurative connue. Les chercheurs de l’Université australienne de Griffith ont fait des découvertes étonnantes qui modifient notre façon de penser de l’histoire de l’art et du développement de l’homme primitif. Leurs recherches approfondies sur l’art rupestre paléolithique à Bornéo, publiées dans Nature, révèlent la datation de la plus ancienne peinture figurative du monde.
Remontant à il y a 40 000 ans, ces peintures sont une percée décisive dans la compréhension de la façon dont l’homme primitif a laissé sa marque sur le monde.
Après avoir passé plusieurs saisons dans une région indonésienne reculée de Bornéo, les chercheurs ont pu dater leurs découvertes et ont été stupéfaits par les résultats. Depuis les années 1990, la région des montagnes du Kalimantan oriental est réputée pour son art rupestre. Il existe des milliers de pochoirs à main humaine, de représentations d’animaux, ainsi que de signes et de symboles abstraits.
Ces œuvres se superposent, montrant des changements stylistiques et des évolutions techniques au fil du temps. En prélevant des échantillons de carbonate de calcium et en testant les niveaux d’uranium, l’équipe a été en mesure de produire les premières estimations fiables sur l’âge de l’art rupestre.
« La plus ancienne image d’art rupestre que nous ayons datée est un grand tableau représentant un animal non identifié, probablement une espèce de bovin sauvage que l’on trouvait dans les jungles de Bornéo. Il s’agit d’un âge minimum d’environ 40 000 ans et qui est à présent l’œuvre d’art figurative la plus ancienne connue » partage le professeur associé
Maxime Aubert, qui a dirigé l’étude.
Plusieurs pochoirs à la main, datant de 52 000 à 40 000 ans, sont encore plus anciens. L’équipe de scientifique a également remarqué un changement il y a environ 20 000 ans : l’inclusion de l’homme. «Il semble qu’ils passent de la représentation de grands animaux à celle du monde humain»,déclare le Dr Aubert . «Parfois, les [personnages] ont de grandes coiffes, parfois ils représentent une danse avec différents objets, parfois ils chassent. »
Les découvertes correspondent de manière intéressante au développement de l’art rupestre en Europe, montrant que l’Asie du Sud-Est possédait sa propre tradition qui a évolué en parallèle. Les chercheurs sont ravis de ce développement qui souligne l’importance de l’Asie du Sud-Est dans l’histoire de l’humanité. L’année prochaine, l’équipe du Dr Aubert
retournera dans la région pour y effectuer des fouilles dans l’espoir de trouver des preuves archéologiques qui en apprendront davantage sur l’identité de ces peintres rupestres anonymes.
Université australienne de Griffith
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Photo: Pindi Setiawan
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Peinture animalière datant de 40 000 ans. (Photo: Luc-Henri Fage)
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Pochoirs de mains humaines de couleur ocre et mûrier. (Photo: Kinez Riza)
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Personnages humains sur un mur de grotte. (Photo: Pindi Setiawan)
Je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises de ma passion pour l’usinage du métal avec des machines-outils à commande numérique, je ne vous raconte donc pas ma joie d’être tombé sur cette chaine Youtube qui montre des dizaines de vidéos de divers outils en train d’usiner des blocs de métal en gros plan et au ralenti.
Son seul défaut est les musiques donc n’hésitez pas à couper le son.
L’artiste Irina Werning travaille à mettre en perspective de vieilles photos de gamins, avec des photos de ces mêmes personnes, beaucoup plus tard, mais dans la mêmemise en scène qui respecte exactement les mêmes vêtements, la même poseet le même traitement des images.
Ce travail a depuis été pas mal imité mais jamais égalé et vous pouvez le retrouver dans ce livre :