LE SCULTEUR DU CHRIST DE RIO Paul Landowski, né à Paris enjuin 1875 et mort à Boulogne-Billancourt le 31 mars 1961, est un sculpteur figuratif français d'origine polonaise.
Paul Landowski est un sculpteur français de renommée internationale. Il a créé des œuvres dans le monde entier. Le christ de Rio est une de ses œuvres.
Source : Le phénomène ovnis entre vérité et illusion...
Avec cette photo...les septiques sont maintenant confondus... Afficher l'image d'origine Les OVNIS existent ! Loin d’être une affabulation, cette affirmation résulte de décennies d’observations et d’investigations, au plus haut niveau de l’Etat, dans plusieurs pays. Pilotes, officiers, hauts responsables en témoignent. Gros plan sur une réalité qui bouscule nos schémas de pensée. Belgique, novembre 1989. En fin d’après-midi, Heinrich Nicoll et Hubert Von Montigny aperçoivent un champ de lumière d’une grande intensité. Ils s’approchent… Au-dessus, plane un objet triangulaire, irradiant par moments d’un faisceau rouge. Délire d’étudiants ? Les deux hommes sont des policiers en patrouille. Hallucination ? Le même soir, 250 personnes rapportent aux autorités des observations identiques. Pendant près de deux ans, ces apparitions se répètent. Des milliers de belges en sont témoins – parmi lesquels des ingénieurs, des militaires, des journalistes, des hauts fonctionnaires… Prenant l’affaire très au sérieux, l’Etat lance des investigations, mobilise des spécialistes. Peut-il s’agir d’un avion furtif ou d’un engin secret des USA ? Réponse négative du gouvernement américain – pourquoi aurait-il investi sans autorisation l’espace aérien belge, à la vue de tous ? De cas en cas, les experts étudient, échafaudent des hypothèses, les testent… les invalident. Ce n’est pas un phénomène météorologique, affirment-ils, ni un hélicoptère, un appareil militaire, un ULM, un ballon ou quoi que ce soit de connu. « Parmi les 2000 cas rapportés, 650 ont fait l’objet de recherches, 500 restent inexpliqués », commente le Général Wilfried De Brouwer, alors Chef des opérations de l’Armée de l’air belge. Cet ancien pilote de chasse et cadre de l’OTAN est formel : il y a bien eu au-dessus de la Belgique une vague d’OVNIS – objets volants non identifiés. Des Faits Récurrents. L’événement n’est pas isolé. Partout dans le monde, depuis la fin des années 40, les témoignages s’accumulent. Considérées fréquemment comme folkloriques, ces histoires bousculent quand elles émanent de gens expérimentés et dignes de confiance, confrontés aux phénomènes dans l’exercice de leur fonction : Pilotes civils et militaires, spationautes, contrôleurs aériens, experts radars, astronomes, cadres de la recherche spatiale ou de l’armée… Souvent les premiers surpris d’avoir à admettre cette réalité. Dans UFOs, la journaliste d’investigation Leslie Kean leur donne la parole. Pour cet ouvrage de référence, dont la version française est à paraître,l’américaine a enquêté pendant dix ans, interviewant en profondeur les principaux acteurs, épluchant les documents officiels et les rapports d’enquêtes, accédant off record à des informations sensibles. Parmi les dix-neuf contributeurs de son livre, se trouvent des pilotes ayant vécu une rencontre rapprochée, des cadres de la Défense ou de la Recherche ayant officiellement enquêté sur ces phénomènes, ainsi que desresponsables politiques et des généraux de l’Armée.Clairs, précis, documentés, leurs témoignages se rejoignent…, leurs conclusions concordent : des Etats-Unis à la France en passant par le Royaume-Uni, le Brésil, le Pérou, le Chili, le Portugal, l’Iran ou l’Australie. « La réalité d’objets volants non identifiés n’est pas une question de croyance, d’opinion ni de choix ; c’est un fait. Ces objets peuvent êtreobservés par de multiples témoins, photographiés, détectés par des radars, et laisser des marques au sol », écrit Leslie Kean. Pour les étudier, plusieurs pays ont même créé des structures d’investigation, souvent rattachées à l’armée de l’air ou au ministère de la Défense. En France, depuis 1977, le Groupe d’étude et d’information sur les phénomènes aéronautiques non identifiés (GEIPAN) est une unité du très sérieux Centre national d’études spatiales (CNES). « Nos méthodes d’analyse et de contrôle sont rigoureuses, indique Jean-Jacques Vélasco, qui l’a dirigé pendant 27 ans. Nous partons de données collectées par des organismes publics, tels que la gendarmerie, la police, la marine, l’aviation civile et militaire. Nos enquêtes sont précises, réalisées en double lecture. Pour ne pas être sujette à caution, notre démarche doit être scientifique. » De quoi ébranler les plus sceptiques. « Face aux histoires incroyables queme racontaient certains pilotes, je me disais qu’il s’agissait de phénomènes naturels ou d’effets d’optique,raconte Richard Haines, ancienchercheur de la NASA. Mais plus je penchais sérieusement sur le sujet, plus je comprenais qu’il y avait quelque chose. » Même son de cloche chez l’astronome Josef Hynek, chargé par l’Etat américain d’enquêter sur les OVNI de 1951 à 1969 : « Au début, j’étais le pire ennemi des amis des soucoupes volantes ! Je les prenais pour une bande de fêlés et d’illuminés. Je me faisais un point d’honneur à résoudre ces cas. Mais petit à petit, j’ai changé de point de vue », jusqu’à être convaincu « que le phénomène OVNI était réel », confesse-t-il en 1977. Des Technologies Intelligentes. Bien sûr, la science progresse. Bien sûr, certaines observations étonnantes trouveront un jour une cause météorologique, astrophysique, géologique, électromagnétique… Mais « si 90 à 95% des objets volants peuvent être identifiés,les 5 à 10% restants doivent nous interroger,écrit Leslie Kean : tout ce qu’on sait,c’est qu’il ne s’agit ni d’une énorme farce,ni de phénomènes naturels,ni d’engins fabriqués par l’homme.» A l’appui de cette affirmation : les performances extraordinaires démontrées par ces objets volants non identifiés, qui « défient les loisde la gravité et de l’inertie telles que nous les connaissons, observe Jean-Jacques Vélasco. Les radars au sol et de bord confirment que leurs capacités sont bien supérieures aux technologies aéronautiques et spatiales des pays les plus avancés. » C’est ainsi qu’en 1980, des officiers britanniques de la base militaire de Rendlesham Forest ont découvert, posé sur leur sol, un engin ne ressemblant à rien de connu, dont émanait une brillante lumière. « Quand nous nous en sommes approchés, nos radios se sont mises à délirer, explique le Sergent James Penniston. Au bout de 45 minutes, la lumière intérieure s’est intensifiée, puis l’engin a décollé sans bruit,à une vitesse dépassant l’entendement. Il a disparu en un clin d’œil. » Autre fait troublant :leur intelligence d’anticipation, de réaction et d’interaction.Le Général Parviz Jafari peut en témoigner : en 1976, ce pilote iranien a pourchassé un OVNI. « Un objet lumineux, plus gros et plus brillant qu’une étoile, planait à basse altitude au-dessus de Téhéran », raconte-t-il dans UFOs. Sa hiérarchie lui demander de décoller ; lorsqu’il arrive à proximité de l’objet, celui-ci prend de l’altitude. « Des flashs stroboscopiques intenses de couleur rouge, verte, orange et bleue » l’empêchent de discerner un engin matériel. Il s’approche davantage ; « l’objet saute soudain de dix degrés sur sa droite, en un instant. » L’équivalent de 11 kilomètres, en une fraction de seconde… L’objet répète plusieurs fois sa sidérante manœuvre. « Lorsque mon coéquipier parvient à le localiser sur notre radar, sa taille à l’écran est celle d’un pétrolier ». Il décide d’ouvrir le feu ;« à ce moment, mes armes s’enrayent et ma radio se brouille » ! Et l’engin recule de 43 km en un éclair, « comme à la vitesse de la lumière». Il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un OVNI…Le pilote iranien n’est pas au bout de ses surprises : des choses rondes sortent du premier engin, foncent vers son avion puis tournent autour. Chaque fois qu’il essaie de réagir, sa radio et ses instruments de bord tombent en panne. « Encore aujourd’hui je ne sais pas ce que j’ai vu, conclut-il, mais je ne peux douter de sa réalité. Mon copilote, les contrôleurs aériens, les officiers du quartier général, tous l’ont vu. Les radars l’ont enregistré. Je n’ai que deux regrets : n’avoir pas eu d’appareil photo à bord, ni le réflexe de lui lancer un appel radio – qui êtes vous ? SVP, communiquez avec nous ! » Quatre ans plus tard au Pérou, le Commandant Oscar Santa Maria Huertas vit la même expérience, lorsqu’il reçoit l’ordre d’intercepter une sorte de ballon volant illégalement au-dessus de la base aérienne de La Joya, sous les yeux de 1800 soldats. « A chaque fois que je l’avais dans mon viseur, à la dernière seconde, ilprenait de la hauteur », raconte le pilote. Quand il parvient à tirer, les projectiles sont « absorbés » par l’objet. Nullement endommagé, celui-ci se met à jouer au chat et à la souris, grimpant très rapidement puis s’arrêtant soudain, comme pour attendre le péruvien, puis repartant aussi sec à une allure spectaculaire. Lancé en vitesse supersonique, Oscar Santa Maria Huertas finit par se retrouver à19000 mètres d’altitude. « Ce n’était pas un ballon, mais un objet de dix mètres de diamètre, composé d’un dôme brillant de couleur crème et d’une base circulaire argentée, auquel il manquait toutes les composantes habituelles d’un avion : pas d’aile, pas de système de propulsion, pas de fenêtres, pas d’antenne… j’ai alors réalisé qu’il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un OVNI », écrit le pilote.« Si un pays était parvenu à développer de telles technologies, elles auraient révolutionné le transport aérien, l’armement et les lois de la physique,commente le Général De Brouwer.Encore aujourd’hui, elles nous sont inconnues. » L’hypothèse Extra-Terrestre. Comment expliquer, alors, ces phénomènes ? Pour la plupart des scientifiques qui se sont penchés sur la question, l’éventualité d’une origine extra-terrestre ou inter-dimensionnelle paraît la plus logique. « Cette hypothèse doit être considérée avec le sérieux et la rigueur qui lui sont due, tant qu’aucune autre interprétation crédible n’a été formulée », affirme l’ancien directeur du CNES Yves Sillard. C’est aussi le constat « ferme et prudent » du rapport COMETA, publié en 1999 à l’initiative d’anciens de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) – parmi lesquels des généraux, un amiral, des ingénieurs en armement, des chercheurs en aéronautique, un commissaire de la police nationale, un ancien président du CNES et un ex-responsable du GEIPAN. Après trois ans d’analyse de cas issus de différents pays, ses auteurs concluent que ce qui semble être « des engins volants, capables de performances exceptionnelles guidées par une intelligence naturelle ou artificielle », pourrait être d’origine extraterrestre. Ces phénomènes démontrent que nous avons encore beaucoup à apprendre...« C’est l’explication la plus rationnelle, même si elle n’est pas scientifiquement prouvée », confirme le Général Denis Letty, ancien pilote de chasse et membre du groupe COMETA. Surtout à une époque où la découverte de plusieurs centaines d’exo-planètes rouvre le champ des possibles, où les avancées de la physique esquissentd’autres approches de la réalité, d’autres dimensions du monde… Notre civilisation serait alors « comme un groupe d’hommes préhistoriques se retrouvant soudain face à une télévision ou un four à micro-ondes », sourit Leslie Kean. Un champ d’investigation extraordinaire...Le sujet, pourtant, reste sulfureux. Dommage, estiment les experts, car l’humanité se prive d’un champ de recherche extraordinaire, sur lequel la mobilisation internationale d’équipes interdisciplinaires pourrait permettre de faire évoluer les connaissances. Plutôt que d’en rejeter la possibilité, pourquoi ne pas s’émerveiller du mystère que les OVNIS représentent, des perspectives qu’ils esquissent ? « La réalité objective des phénomènes aérospatiaux non identifiés ne fait plus aucun doute. Le climat de suspicion et de désinformation, voire de dérision, qui entoure trop souvent la collecte des cas, illustre une forme surprenante d’aveuglement intellectuel, écrit Yves Sillard à Leslie Kean. C’est la raison pour laquelle beaucoup de témoins se taisent, notamment chez les pilotes, civils ou militaires, qui craignent pour leur carrière. » De la collecte d’informations factuelles et de leur analyse, pourtant, pourraient naître « des hypothèses complètement nouvelles, fondées sur des conceptions cosmologiques encore en gestation », à même de « changernotre vision du monde physique et de l’univers alentour », estime l’ancien patron du CNES.« La communauté scientifique doit accepter de sortir le dossier OVNI du paranormal », plaide aussi Jacques Patenet, qui a dirigé le GEIPAN pendant près de trois ans. Alors que beaucoup de chercheurs ont peur de se discréditer, « ces phénomènes démontrent que nous avons encore beaucoup à apprendre, note le Général José Carlos Pereira, ancien Chef des opérations de l’armée de l’air brésilienne. Depuis Aristote, les êtres humains se posent les mêmes questions : qui nous sommes, d’où nous venons, où nous allons. La recherche sur les OVNIS peut être un moyen d’obtenir des réponses. » Une chose est sûre : « Le phénomène OVNI recèle quelque chose de suprêmement important, qui pourrait être transformateur pour l’ensemble d’entre nous, conclut Leslie Kean. Il est temps d’ouvrir nos yeux et de découvrir ce que c’est. »
CLIC.................https://vimeo.com/acam/incroyable-verite-documentaire-francais-2002 Documentaire d'Alain Guadalpi (2008 - 1h02) sur le phénomène OVNI. Enquête sérieuse menée à partir de témoignages d'observations, interviews de scientifiques, ufologues, militaires... Alain Guadalpi, ancien journaliste, réalisateur et producteur à France 3, présente des documents audio-visuels de manière tout à fait objective et éloignée du sensationnel. Films en noir et blanc des années 1950, 60, 70, MHD de Jean-Pierre Petit, Kenneth Arnold, Carrousel de Washington, Roswell, Mantell, Valensole, Marignane, Trans-en-Provence, cas de la Japan Airlines du 17 novembre 1986, le plateau d’Albion, Gildas Bourdais, Bruno Mancusi, Yves Bosson, Jean-Pierre Foucault, Guy Tarade, Thibaut Canuti, Jimmy Guieu, le rapport Condon, l’archéologie mystérieuse, l'astrophysique, le surréalisme, l’ufologie, la science-fiction...
LES MOTS QUI DISPARAISSENT. ********** Il y a des mots, des expressions, qu'on n'entend plus ou qu'on emploie moins. Ils arrivent exténués, à la fin du deuxième millénaire. Le siècle, qui a commencé depuis 15 ans maintenant, risque de leur être fatal. Conservez-les, un jour viendra peut-être où on ne les trouvera plus dans aucun dictionnaire, si ce n'est du vieux français... Quelques exemples : INCULPATION A été expurgé du Code Pénal au profit de "mise en examen". Cela afin d'éviter une infamante présomption de culpabilité. Être "en examen" ne présage pas du résultat de l'examen. Aujourd'hui quand quelqu'un est MIS EN EXAMEN, on doit toujours insister sur le fait que cela ne préjuge pas de sa culpabilité. Comme du temps où il aurait été"inculpé".
INSTITUTEUR Longtemps remplacé par "MAÎTRE D'ÉCOLE". Il tend à disparaître par sa dissolution dans le concept fourre-tout de l'enseignement, au bénéfice de "PROFESSEUR des ÉCOLES"
MAÎTRESSE Ne pas assimiler à la version féminine d'instituteur ! Ce serait une "professeure des écoles". Les maris n'ont plus de maîtresse mais une "amie". Les épouses conservent parfois l'amant, mais seulement à cause de la connotation romantique : les moins romantiques n'ont qu'un ami aussi.
MORALE A force d'être inemployée, a disparu. Ne demeure que "ordre moral", mais attention : connoté de « fascisme ". Toutefois personne ne se réclame du "désordre moral". La morale n'est plus enseignée, elle est remplacée par "éducation à la citoyenneté"
MOURANT Il n'y a plus de mourant mais des malades en "phase terminale". Afin d'éviter une regrettable confusion, ne dites pas à votre fils qu'il est en terminale mais qu'il va passer son bac ! Pour désigner un mort doit-on parler d'un individu "en phase terminée" ?
PATRIOTE Totalement absent du vocabulaire politique et civique. Désigne aussi un bon citoyen américain et un missile américain.
PATRON Nous n'en avons plus, ni même des chefs d'entreprise, mais des DIRIGEANTS D'ENTREPRISE.
PAUVRE N'existe plus. C'est un "défavorisé", un "plus défavorisé", un "exclu", un "S.D.F." à la rigueur un "laissé pour compte". Dans les années 80, il subsistait uniquement dans l'appellation "nouveau pauvre"; ce fut le chant du cygne.
PROVINCE Dire "RÉGION". On ne dit plus "provincial" mais "RÉGIONAL".
RACE A été abolie au profit "d'appartenance ethnique". Sinon, vous êtes raciste, fasciste, nauséabond, … On peut néanmoins dire "black" en anglais et en banlieue.
SERVANTE, BONNE Aujourd'hui, c'est une "employée de maison". Quand elle s'occupe de vieux, pardon de"personnes âgées", elle devient "auxiliaire de vie".
SÉQUESTRÉ Aucun cadre, aucun chef d'entreprise n'est séquestré, il est "retenu contre son gré".
VANDALE A laissé place à "jeunes en colère" ou "paysans en colère". L'ampleur des dégâts distingue les vandales des autres.
VANDALISME Impolitesse, injures, agressions, bris de matériel, racket sont regroupés sous le terme "incivilités". On ne dira plus que ce sont des "sales gosses" mais qu'ils "manquent de civilité". A noter la louable tentative de Jean-Pierre Chevènement d'introduire la bénigne expression" SAUVAGEON". Il dû battre en retraite devant « l'Insurrection des consciences ».
VOL Terme réserve aux gagne-petit et aux obscurs. Pour les politiques, on parlera "d'enrichissement personnel". Ce qui est condamné unanimement par les collègues, contrairement à l'enrichissement impersonnel qui, lui, ne bénéficie qu'au parti, mérite la compréhension, ce que lesjuges n'ont pas encore compris.
VOYOU En voie d'extinction. On ne connait que des individus "connus des services de polices", des "récidivistes", des multi-délinquants". Un nouveau casse tête pour dire les choses simplement.
Brachoua...La Permaculture Sort Un Village De La Misère...Ils voulaient juste subvenir à leurs besoins alimentaires mais, au final, ils ont fait bien plus que ça : un magnifique exemple de volonté collective. Par : Axel Leclercq -Du Magazine Positivir.
Il y a trois ans, le village marocain de Brachoua vivait encore dans une grande précarité, sans eau, ni électricité. Aujourd’hui, les habitants vivent dignement, la lumière est partout et trois fontaines coulent en permanence. Que s’est-il passé dans l’intervalle ? Rien de spécial. Ah, si : tous les habitants ont fait le pari de la permaculture ! Comment tout un village a pu basculer dans l’autosuffisance et la prospérité en si peu de temps ? Cette formidable et soudaine mutation nous est racontée par Le Soir, un grand quotidien belge. Source :Brachoua se situe à une cinquantaine de kilomètres de Rabat, la capitale du pays. En 2013, fatigués de leurs interminables difficultés financières, les habitants des 60 familles du village ont décidé de se regrouper au sein de l’association Agriculteur Moderne. Objectif : identifier et mettre en oeuvre des solutions collectives et pérennes. Source : Workaway Soutenus par une association voisine (l’association Ibn Albaytar), les villageois sont alors invités à visiter une ferme biologique. Et là, c’est la révélation. D’un commun accord, tous décident d’apprendre les techniques de la permaculture et du développement durable pour les dupliquer chez eux. L’objectif initial était alors d’atteindre rapidement l’autosuffisance alimentaire. C’était déjà ambitieux, mais le résultat ira bien au delà de leurs espérances ! Source : Workaway Très rapidement, les jardins potagers se mettent à fleurir aux quatre coins du village...Un peu à la façon des Incroyables Comestibles (qui ont d’ailleurs...Envoyé quelque-uns de leurs membres en renfort). De 2013, à 2015, le nombre de jardins potagers est passé de...1… à 40 ! Suffisant pour fournir assez de nourriture à toutes les familles ! Source : Workaway Mais l’aventure ne s’arrête pas là. Constatant que leur production était très appréciée des gens de passage, ces nouveaux adeptes de la permaculture ont décidé de proposer le fruit de leur travail aux habitants de la ville voisine…Sans passer par le souk, ils se sont constitué une clientèle urbaine à laqu'elle ils distribuent chaque semaine des paniers 100% constitués de leurs produits (poulet, oeufs, couscous, légumes…) Leurs paniers sont tellement demandés que les villageois peuvent même se permettre de vendre plus cher qu’au souk (exemple : leur poulet coute environ 7,50€ contre 5,50€ au souk). Source : Workaway Mais, encore, une fois, l’histoire ne s’arrête pas là ! Avec un magnifique couscous en guise d’étendard...Le village de Brachoua séduit les régions environnantes...Et se fait une publicité d’enfer. Résultat : le tourisme est en train d’exploser ! Chaque semaine, près de 250 personnes y séjournent pour savourer la gastronomie locale...Faire de la randonnée et admirer la beauté du village et des paysages ! Source : Workaway Du coup, une famille qui, il y a à peine trois ans, vivait avec trois foisrien, peut désormais espérer gagner 60 euros en une seule journée ! De quoi vivre sans l’éternel souci du lendemain. Source : Workaway Certains craindront peut-être que ces soudaines rentrées d’régent ne dénaturent ce qui fait le succès de Brachoua. Ce serait sans doute oublier que le village a justement bâti sa réussite sur le développement durable : ils savent mieux que personne l’importance d’un environnement choyé et préservé ! Source : Workaway Ce magnifique exemple de développement réussi prouve plusieurs choses : 1- La terre peut être profitable sans qu’on ne l’exploite abusivement. 2-Les fruits du travail peuvent être équitablement redistribués. 3-La volonté collective peut bouleverser le destin de tout un village. Vive L’agriculture Raisonnée & Vive Brachoua. Si certains parmi vous sont intéressés par un séjour à Brachoua (pour s’en inspirer et mieux comprendre) sachez que des habitants du village ouvrent grand leur maison en échange de quelques heures de travail.
Petit à petit on avance dans notre Road-Trip dans l’Ouest des Etats-Unis et voici le dernier parc de l’Utah à découvrir, Zion. Tous les parcs de l’Utah sont vraiment différents, je les ai tous adorés, que ce soit Arches NP, Canyonland & Dead Horse State Parc, Capitol Reef puis Bryce Canyon. Le Parc National de Zion. Zion nous promet également de nous émerveiller, avec des paysages encore différents, avec d’énormes montagnes et dômes de grès et un peu plus de verdure, et des randonnées mythiques comme celle des Narrows ou l’on remonte le lit d’une rivière entre les roches, ou celle d’Angels Landingqui promet une vue à couper le souffle sur ce parc exceptionnel. Situation Zion est situé au Sud-Ouest de l’Utah, entre Bryce Canyon & Las Vegas. Beaucoup de personnes en voyage dans l’Ouest Américain le zappent pensant qu’il faut privilégier Las Vegas, c’est ce que nous n’avons pas fait justement car ce parc mérite qu’on parte à sa découverte. Comme tous les Parcs Nationaux, on y accède avec le Pass America The Beautiful sinon il faut compter 30 $. Ce parc est très grand, nous nous sommes contentés de visiter la partie laplus accessible, Zion Canyon. L’accès en voiture y est réglementé, et est surtout interdit entre avril et octobre. Il y a deux lignes de navettes qui accèdent au Parc, une première dans Springdale, la ville avant Zion, avec 9 arrêts le long de la route principale ou sont les hôtels et commerces. Il y a ensuite une deuxième ligne, qui part de l’entrée du Parc de Zion (Visitor Center) pour aller jusqu’à Temple of Sinawava le début de la randonnées vers les Narrows. Ce parc étant prisé des randonneurs, il faut savoir que les parkings à l’entrée du Parc National sont très vite saturés et si on arrive pas tôton doit se garer sur Springdale. Il y a pas mal de navettes, mais il faut prévoir du temps d’attente, vers 9 h 30 nous avons mis facilement 30 minutes à attendre et à avancer dans la file d’attente. S’organiser Zion, on en rêvait. Alors comme toujours on est parti au lever de soleil pour faire les 2 heures de route depuis Bryce Canyon. Cela tombait bien les couleurs étaient superbes sur les roches de Bryce en partant ! On en a profité sur la route pour refaire le plein, laver la voiture et faire trois courses pour le picnic et croiser une vingtaine de drôles d’oiseaux qui ont traversé la route juste sous nos yeux avant de s’enfoncer dans le champs voisin ! Nous étions pour 9 h 00 à l’entrée de Zion. Sur la jolie route qui mène au parc nous avons eu la chance de croiser quelques chèvres des montagnes qu’on a pu observer en leur laissant toujours pas mal d’espace entre elles et nous pour les laisser libres dans leur environnement. L’idée était de profiter de la journée pour faire la randonnée dans les Narrows pour ce premier jour sur place, de faire si notre p’tit bonhommeest encore d’attaque une autre petite rando puis de finir la journée dans notre très bel hôtel sur Springdale et de profiter d’un restaurant dans la ville. Nous gardons pour le lendemain matin à la fraîche la randonnée d’Angels Landings pour ne partir que dans l’après midi vers Las Vegas. Par facilité et gain de temps nous avons préféré ne prendre le shuttle que depuis le Visitor Center ou il y a d’énormes parking. L’inconvénient est qu’il y a aussi une énorme queue pour monter dans les bus … Nous avions également réservé notre matériel étanche pour la randonnée des Narrows dans une boutique tout proche du visitor Center, Zion Outfiller.
The Narrows & Riverside walk. La Virgin River traverse tout le Parc de Zion est dans la partie du Parc que nous visitons, elle rétrécie pour se faufiler dans un Canyon étroit,The Narrow. Juste avant cette section les pieds dans l’eau on longe la rivière par un chemin de randonnée très facile, Riverside Walk, long de 1,6 km. The Narrow est une des randonnées phares de Zion. Si vous n’êtes pas équipés (je vais y venir), arrêtez-vous là. Car la particularité de la randonnée qui suit c’est qu’on la fait les pieds dans l’eau. Les pieds, c’est peu dire, selon les précipitations des jours précédents, la période ou vous la faites, cela peut donner des zones avec l’eau jusqu’à la taille. Il y a des zones ou il y a du courant également, alors on y va pas avec de trop jeunes enfants. Le notre avait 6 ans et c’est un bon marcheur, donc aucun soucis, en lui donnant toujours la main. En été, il y a donc de vrais risques, en cas d’orage qui peuvent faire descrues torrentielles (« flash floods »). Ce n’est pas une blague, il faut regarder la météo au visitor center est être prévoyant : si l’eau change d’aspect, que son niveau monte rapidement, abritez vous vite sur les hauteurs et ne prenez pas de risques inutiles. Pour faire cette randonnée en toute sécurité, nous nous sommes équipés : bâton de rando pour prendre appui et sonder la hauteur de l’eau devant nous et les cailloux, des chaussures qui tiennent bien les chevilles, imperméables c’est mieux, pour éviter de se fouler la cheville les piedsdans l’eau sur les roches. Pensez à protéger vos affaires (on avait mis les papiers et téléphones dans des poches zippées à congélation) et on avait loué en même temps que les chaussures étanches un sac à dos étanche pour y protéger l’appareil photo et le picnic. Il faut compter 24 $ par personne pour le lot chaussures, chaussettes neoprene et bâton, et 10 $ pour le sac à dos. Au printemps et à l’automne il faut louer des pantalons étanches, mais pour nous en été c’était un peu frais mais nickel, on avait adapté nos tenues du jour avec short de bain pour les garçons et jupe de rando qui sèche vite pour moi. Une fois équipés, et prêts nous avons commencé cette randonnée des Narrows. Forcément, elle est très prisée, et nous n’étions pas les seuls à nous lancer. On a pris le temps de remonter tranquillement la rivière, timidement au départ en évitant l’eau et puis de toute façon on avait pas le choix on allait se mouiller, alors autant y aller franco, c’est plus rigolo ! Les paysages autour de nous sont superbes, on en profite à fond ! Cette randonnée peut durer jusqu’à 8 heures selon jusqu’où on remonte la rivière. On l’a remontée pendant 3 heures, notre p’tit bonhomme était hyper enthousiaste, alors que lui plus petit avait l’eau souvent jusqu’à la taille. Mes hommes se sont amusés à sauter dans l’eau quand elle était plus profonde, à glisser sur les rapides, bref c’était une superbe journée. Surtout que plus on s’enfonce dans la rivière, plus les paysages sont sauvages, et moins il y a de monde. C’était pour nous une de nos plus belles randonnées des vacances, avec ce p’tit trucen plus qui fait qu’elle est vraiment unique. On ne regrette pas du tout de l’avoir faite, elle nous laissera un souvenir magique ! J’avais tellement rêvé de la faire, a chaque fois que je voyais une photo sur les réseaux sociaux (coucou Olivier !!) j’en avais encore plus envie et je suis fière de l’avoir faite car on a vraiment découvert Zion par les randonnées qu’on a pu faire dans ce parc. C’est peut être pas facile à expliquer, mais s’en mettre plein la vue dans les parcs nationaux c’est top, mais quand en plus on a fait l’effort d’aller plus loin pour découvrir ses merveilles plutôt que depuis les points de vue c’est encore plus magique. C’est comme la randonnées vers Delicate Arches dans Arches NP, ou celle dans Bryce Canyon, y’a vraimentqu’au milieu de la nature qu’on s’aperçoit de immensité et de la beauté des Parcs Nationaux aux USA. Ou faire ses courses à Springdale ? Après cette belle journée de randonnée, nous sommes sortis du parc de Zion pour rejoindre la ville située à l’entrée,Springdale, qui dispose de toutes les facilités pour un séjour sur Zion. Le long de la route principale il y a plusieurs hôtels, commerces et restaurants. Nous étions contents de trouver un p’tit supermarché avec un beau stand traiteur, Solfoods, dans lequel nous avons pu faire nos courses pour le picnic du lendemain mais également trouver des glaces pour le goûter, histoire de se rafraîchir par 40°, alors que p’tit bonhomme ne rêvait que d’une soupe de légumes au quinoa, proposée bouillante au salad bar ! Il y avait également plein de plats chauds à faire réchauffer et des tables à l’ombre, pratique quand on veut éviter les restaurants. Ou loger à Springdale ? Comme nous souhaitons passer deux journées sur Zion, il était primordial de ne pas loger très loin de l’entrée du parc, Springdale était donc la meilleur option. Nous avons réservé une nuit à l’hôtel La Quinta, qui était superbe. Un hôtel avec une jolie vue sur le Parc National, une très belle piscine avec des activités pour les enfants (top après larando !!), un p’tit déjeuner complet servi tôt le matin et une chambre très confortable. Il n’y a pas de restaurant sur l’hôtel, mais il y a de quoi faire dans la ville qui est vraiment le camp de base des randonneurs de Zion. Ou dîner à Springdale ? Après quelques jours de cuisine très très classique américaine et du dîner hotdog & chips au rodéo, j’avais repéré LA bonne adresse de Spingdale, Kings Landing Bistro, le type de restaurant que j’adore avec des produits frais, des inspirations d’ailleurs, des épices, de l’attention dans les accords, la présentation, sans que ce soit chichiteux. On rajoute à cela une jolie terrasse, des cocktails maison, mon Sunshine Refresher au vin blanc, Lillet, piment & concombre était délicieux et surprenant. Côté plats c’était parfait ! Que ce soit la p’tite saladede romaine, bacon & maïs avec une délicieuse vinaigrette, la pieuvre grillée au barbecue avec sa sauce tomate aux épices et petits artichauts ou bien le burger maison, le meilleur des vacances. Tout était tellement bon que j’ai testé le clafoutis aux pèches locales qui était parfait. Pour les enfants c’était moins fun, sinon à la carte, bol de spaghetti au fromage râpé, mais il a pu goûter dans nos plats. La carte des vins était parfaite, avec plein de choix et des bières locales. Bref une superbe adresse sur Zion, mais ne comptez pas vous en tirer pour moins de 60 / 70 $ par personne pour un menu complet, boissons & taxes.
Découvrez la Thuringe, cette région allemande inscrite quatre fois au patrimoine mondial de l'UNESCO.
De prime abord, l’Allemagne, n’est pas forcément la première destination àlaquelle on pense quand il s’agit de découvrir des paysages et un patrimoine culturel riche. Et pourtant, dans le centre du pays, la région de Thuringe abrite plusieurs lieux d’exception, inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. Aujourd’hui, Jetlag dresse pour vous la liste de ces endroits particulièrement méconnus. De quoi satisfaire la curiosité de celles et ceux à la recherche de nouvelles destinations à découvrir. En mettant les voiles vers cette région, les voyageurs ont la garantie d’en prendre plein les yeux, mais également d’éviter le tourisme de masse. Voici les quatre lieux à visiter absolument :
1. Le parc national de Hainich Créé le 31 décembre 1997, le parc a pour principal objectif la protection des forêts anciennes de hêtres et, depuis le 25 juillet 2011, il est inscrit à ce titre sur la liste du patrimoine mondial. Il s’agit de la plus grande forêt mixte de feuillus d'un seul tenant en Europe.
2. Le château de la Wartbourg Le sublime édifice trône au-dessus de la ville d’Eisenach. Classé en 1999 au patrimoine mondial de l’UNESCO, il constitue l’une des forteresses médiévales les mieux conservées d’Allemagne et raconte près de mille ansd’histoire.
3. Le Weimar classique S'il n'a duré qu'une cinquantaine d'années, le Classicisme de Weimar est l'une des plus grandes époques de l'histoire des idées en Europe. Goethe, Schiller (dont les maisons sont d'ailleurs visitables dans la région) Nietzsche, Bach ou encore Liszt, les grands noms sont légion dans ce lieu. La bibliothèque de la duchesse Anna Amalia, en photo ci-dessous, est également ouverte au public.
4. Le Bauhaus C’est l’école d’art et d’architecture la plus réputée du pays, et l’une des plus connue du monde. Son programme a suscité l'adhésion d'un grand nombre d'artistes d'avant-garde de toute l'Europe, parmi lesquels on peut citer Johannes Itten, Wassily Kandinsky, Paul Klee, Oskar Schlemmer, László Moholy-Nagy ou Marcel Breuer. Fondée en 1919, l'université est encore ouverte.
Alors si vous aussi désirez découvrir cette belle région qu’est la Thuringe, rendez-vous sur le site web de l’office du Tourisme d’Allemagne, où vous trouverez toutes les informations nécessaires à l’organisation de votre voyage ! Et pour plus de renseignements, consultez le site de l'office du tourisme
Il y a fort à parier que le Café du Croissant n’existerait plus s’il n’avait pas été le théâtre de l’un des épisodes les plus marquants de l’histoire du XXe siècle en France. C’est en effet dans cette petite brasserie de la rue Montmartre, non loin du Palais Brongniart, qu’a été assassiné Jean Jaurès, figure politique majeure de l’avant-guerre, mais aussi grand artisan de la paix. Que s’est-il passé en ce 31 juillet 1914 ? Peut-on encore trouver des traces de cet assassinat dans le café ? On vous dit tout sur cet événement qui a précipité la France dans la première guerre mondiale. Jean Jaurès, un habitué du Café du CroissantC’est dans l’un de ses lieux fétiches que Jean Jaurès a été tué, le soir du 31 juillet 1914. Au moment de sa mort, il est non seulement député du Tarn et patron incontesté du socialisme français, mais également le directeur du journal qu’il a fondé en 1904, L’Humanité. Les locaux du quotidien socialiste sont situés à quelques rues du café, rue de Richelieu. C’estdonc en voisin que l’ensemble de l’équipe a pris pour habitude de se retrouver, en fin de journée, dans ce petit café du 2e arrondissement. Le soir du 31 juillet 1914, aux alentours de 21h, douze collaborateurs de l’Humanité, parmi lesquels Jean Jaurès et Jean Longuet, décident de s’installer, comme ils le font régulièrement, autour de la table située àgauche de l’entrée. Nous sommes au cœur de l’été, il fait chaud et les fenêtres sont grandes ouvertes. Jaurès est installé dos à l’une des trois grandes fenêtres. Seulement protégé de l’extérieur par un rideau. Le déroulement du crime. Il est 21h40 lorsque, sur le trottoir, un homme écarte le rideau et sort un Smith & Wesson. Il tire deux balles coup sur coup en direction dela grande tablée. Jean Jaurès s’écroule presque immédiatement, touché à la tête par le premier projectile. « Jaurès est tué ! » entend-on dans le tumulte provoqué par les coups de feu. En réalité, Jaurès n’est pas encore mort, il succombera quelques minutes plus tard, à l’arrivée des secours. Alors que leur camarade agonise sur la banquette du café, quelques collaborateurs de Jaurès, suivis d’autres clients, se précipitent à la poursuite du tueur. Ce dernier est rattrapé, fermement empoigné puis confié à un agent de police qui l’emmène au poste de la rue du Mail. Il s’appelle Raoul Villain, a 29 ans et est étudiant à l’École du Louvre. S’il a tué l’homme politique, dit-il, c’est parce qu’il « estime que Jaurès a trahi son pays en combattant la loi des trois ans ».
L’assassinat politique d’un antimilitaristePacifiste convaincu, le directeur de l’Humanité s’était, en effet, vivement battu contre cette loi visant a augmenter la durée du service militaire. Aussi, depuis plusieurs années et plus encore depuis le 28 juin 1914 et l’attentat de Sarajevo, Jaurès menait bataille contre l’option militaireen réponse aux conflits qui agitaient le monde. Il était persuadé qu’une issue pacifique pouvaient être envisagée. Mais, dans un contexte aussi tendu que celui de l’avant-guerre et dans le souvenir de la défaite de 1870 contre les Allemands, le pacifisme de Jaurès attise les haines. On le surnomme « Herr Jaurès », on l’accuse d’être du côté de l’Allemagne, de pactiser avec l’ennemi. C’est nourri de cette colère que Raoul Villain, proche des milieux ultra-nationalistes, se décidera à tuer celui qu’il considère comme untraître. Si l’assassinat n’a pas déclenché la guerre, il a éteint les derniers espoirs de résistance. Le lendemain, l’Allemagne déclare la guerre à la Russie tandis que la France décrète la mobilisation générale. Le 3 août, la France et l’Allemagne entrent en conflits également. Reste-t-il des traces de l’assassinat aujourd’hui ? Le café actuel, renommé Taverne du croissant en 2011, n’a plus grand choseà voir avec celui de 1914. Quelques éléments permettent néanmoins de sesouvenir de ce moment marquant de l’histoire de France. On trouve, sur le mur extérieur du café, une plaque commémorative, installée par la Ligue des droits de l’homme en 1923 et sur laquelle on peut lire « Ici le 31 juillet 1914 Jean Jaurès fut assassiné ». À l’intérieur, une vitrine renferme les Unes datées du 31 juillet et du 1er août 1914 de L’Humanité. Dernier vestige, une plaque de mosaïque, au sol, où figure la date de l’assassinat.
Il illustre les rues de Berlin pour une visite ordinaire, mais intéressante.
L’artiste-illustrateur Anglais Keir Edmonds est basé à Berlin et il a illustré cette ville avec des croquis qui la montrent mieux qu’avec n’importe quel autre moyen de diffusion. Les illustrations de cet artiste montrent en effet le côté normal des rues et des cafés de cette ville et il n’y a ni magie, ni Photoshop dans les créations qu’il a obtenu et qu’il a partagé avec des milliers de gens sur Internet. En image, on va découvrir les dessins de cet artiste, mais aussi les rues de la capitale Allemande!
En couleur ou en noir et blanc, les illustrations de l’artiste Keir Edmonds montrent la réalité des choses telles qu’il les voit et les ruesde la capitale Allemande sont plutôt ordinaires, rien que du réel, riend’insolite et c’est bon de le constater. On a pu voir quelques rues de la ville et quelques voitures aussi dont celle de la police. On a vu aussi un intérieur avec une femme qui dessine dans sa chambre, une cuisine ordinaire avec des ustensiles partout, des paysages et quelques animaux. Les illustrations de cet artiste montrent la ville mieux que les photographies et c’est un réel plaisir à découvrir. Berlin en dessin invite le touriste à une agréable balade au virtuel.
LE SCULTEUR DU CHRIST DE RIO
Paul Landowski, né à Paris enjuin 1875
et mort à Boulogne-Billancourt le 31 mars 1961, est un sculpteur
figuratif français d'origine polonaise.
Paul Landowski est un sculpteur français de renommée internationale. Il a
créé des œuvres dans le monde entier. Le christ de Rio est une de ses
œuvres.
Source : Le phénomène ovnis entre vérité et illusion...
Avec cette photo...les septiques sont maintenant confondus...
Afficher l'image d'origine Les OVNIS existent ! Loin d’être une affabulation, cette affirmation résulte de décennies d’observations et d’investigations, au plus haut niveau de l’Etat, dans plusieurs pays.
Pilotes, officiers, hauts responsables en témoignent. Gros plan sur une réalité qui bouscule nos schémas de pensée.
Belgique, novembre 1989. En fin d’après-midi, Heinrich Nicoll et Hubert Von Montigny aperçoivent un champ de lumière d’une grande intensité. Ils s’approchent… Au-dessus, plane un objet triangulaire, irradiant par moments d’un faisceau rouge. Délire d’étudiants ? Les deux hommes sont des policiers en patrouille. Hallucination ? Le même soir, 250 personnes rapportent aux autorités des observations identiques.
Pendant près de deux ans, ces apparitions se répètent. Des milliers de belges en sont témoins – parmi lesquels des ingénieurs, des militaires, des journalistes, des hauts fonctionnaires… Prenant l’affaire très au sérieux, l’Etat lance des investigations, mobilise des spécialistes.
Peut-il s’agir d’un avion furtif ou d’un engin secret des USA ? Réponse négative du gouvernement américain – pourquoi aurait-il investi sans autorisation l’espace aérien belge, à la vue de tous ?
De cas en cas, les experts étudient, échafaudent des hypothèses, les testent… les invalident. Ce n’est pas un phénomène météorologique, affirment-ils, ni un hélicoptère, un appareil militaire, un ULM, un ballon ou quoi que ce soit de connu.
« Parmi les 2000 cas rapportés, 650 ont fait l’objet de recherches, 500 restent inexpliqués », commente le Général Wilfried De Brouwer, alors Chef des opérations de l’Armée de l’air belge.
Cet ancien pilote de chasse et cadre de l’OTAN est formel : il y a bien eu au-dessus de la Belgique une vague d’OVNIS – objets volants non identifiés.
Des Faits Récurrents.
L’événement n’est pas isolé. Partout dans le monde, depuis la fin des années 40, les témoignages s’accumulent. Considérées fréquemment comme folkloriques, ces histoires bousculent quand elles émanent de gens expérimentés et dignes de confiance, confrontés aux phénomènes dans l’exercice de leur fonction : Pilotes civils et militaires, spationautes, contrôleurs aériens, experts radars, astronomes, cadres de la recherche spatiale ou de l’armée… Souvent les premiers surpris d’avoir à admettre cette réalité.
Dans UFOs, la journaliste d’investigation Leslie Kean leur donne la parole.
Pour cet ouvrage de référence, dont la version française est à paraître,l’américaine a enquêté pendant dix ans, interviewant en profondeur les principaux acteurs, épluchant les documents officiels et les rapports d’enquêtes, accédant off record à des informations sensibles.
Parmi les dix-neuf contributeurs de son livre, se trouvent des pilotes ayant vécu une rencontre rapprochée, des cadres de la Défense ou de la Recherche ayant officiellement enquêté sur ces phénomènes, ainsi que desresponsables politiques et des généraux de l’Armée.Clairs, précis, documentés, leurs témoignages se rejoignent…, leurs conclusions concordent : des Etats-Unis à la France en passant par le Royaume-Uni, le Brésil, le Pérou, le Chili, le Portugal, l’Iran ou l’Australie.
« La réalité d’objets volants non identifiés n’est pas une question de croyance, d’opinion ni de choix ; c’est un fait. Ces objets peuvent êtreobservés par de multiples témoins, photographiés, détectés par des radars, et laisser des marques au sol », écrit Leslie Kean.
Pour les étudier, plusieurs pays ont même créé des structures d’investigation, souvent rattachées à l’armée de l’air ou au ministère de la Défense.
En France, depuis 1977, le Groupe d’étude et d’information sur les phénomènes aéronautiques non identifiés (GEIPAN) est une unité du très sérieux Centre national d’études spatiales (CNES).
« Nos méthodes d’analyse et de contrôle sont rigoureuses, indique Jean-Jacques Vélasco, qui l’a dirigé pendant 27 ans. Nous partons de données collectées par des organismes publics, tels que la gendarmerie, la police, la marine, l’aviation civile et militaire. Nos enquêtes sont précises, réalisées en double lecture. Pour ne pas être sujette à caution, notre démarche doit être scientifique. »
De quoi ébranler les plus sceptiques. « Face aux histoires incroyables queme racontaient certains pilotes, je me disais qu’il s’agissait de phénomènes naturels ou d’effets d’optique,raconte Richard Haines, ancienchercheur de la NASA.
Mais plus je penchais sérieusement sur le sujet, plus je comprenais qu’il y avait quelque chose. » Même son de cloche chez l’astronome Josef Hynek, chargé par l’Etat américain d’enquêter sur les OVNI de 1951 à 1969 : « Au début, j’étais le pire ennemi des amis des soucoupes volantes ! Je les prenais pour une bande de fêlés et d’illuminés. Je me faisais un point d’honneur à résoudre ces cas. Mais petit à petit, j’ai changé de point de vue », jusqu’à être convaincu « que le phénomène OVNI était réel », confesse-t-il en 1977.
Des Technologies Intelligentes.
Bien sûr, la science progresse. Bien sûr, certaines observations étonnantes trouveront un jour une cause météorologique, astrophysique, géologique, électromagnétique…
Mais « si 90 à 95% des objets volants peuvent être identifiés,les 5 à 10% restants doivent nous interroger,écrit Leslie Kean : tout ce qu’on sait,c’est qu’il ne s’agit ni d’une énorme farce,ni de phénomènes naturels,ni d’engins fabriqués par l’homme.»
A l’appui de cette affirmation : les performances extraordinaires démontrées par ces objets volants non identifiés, qui « défient les loisde la gravité et de l’inertie telles que nous les connaissons, observe Jean-Jacques Vélasco.
Les radars au sol et de bord confirment que leurs capacités sont bien supérieures aux technologies aéronautiques et spatiales des pays les plus avancés. »
C’est ainsi qu’en 1980, des officiers britanniques de la base militaire de Rendlesham Forest ont découvert, posé sur leur sol, un engin ne ressemblant à rien de connu, dont émanait une brillante lumière.
« Quand nous nous en sommes approchés, nos radios se sont mises à délirer, explique le Sergent James Penniston. Au bout de 45 minutes, la lumière intérieure s’est intensifiée, puis l’engin a décollé sans bruit,à une vitesse dépassant l’entendement. Il a disparu en un clin d’œil. »
Autre fait troublant :leur intelligence d’anticipation, de réaction et d’interaction.Le Général Parviz Jafari peut en témoigner : en 1976, ce pilote iranien a pourchassé un OVNI. « Un objet lumineux, plus gros et plus brillant qu’une étoile, planait à basse altitude au-dessus de Téhéran », raconte-t-il dans UFOs.
Sa hiérarchie lui demander de décoller ; lorsqu’il arrive à proximité de l’objet, celui-ci prend de l’altitude. « Des flashs stroboscopiques intenses de couleur rouge, verte, orange et bleue » l’empêchent de discerner un engin matériel.
Il s’approche davantage ; « l’objet saute soudain de dix degrés sur sa droite, en un instant. » L’équivalent de 11 kilomètres, en une fraction de seconde… L’objet répète plusieurs fois sa sidérante manœuvre. « Lorsque mon coéquipier parvient à le localiser sur notre radar, sa taille à l’écran est celle d’un pétrolier ». Il décide d’ouvrir le feu ;« à ce moment, mes armes s’enrayent et ma radio se brouille » ! Et l’engin recule de 43 km en un éclair, « comme à la vitesse de la lumière».
Il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un OVNI…Le pilote iranien n’est pas au bout de ses surprises : des choses rondes sortent du premier engin, foncent vers son avion puis tournent autour.
Chaque fois qu’il essaie de réagir, sa radio et ses instruments de bord tombent en panne. « Encore aujourd’hui je ne sais pas ce que j’ai vu, conclut-il, mais je ne peux douter de sa réalité. Mon copilote, les contrôleurs aériens, les officiers du quartier général, tous l’ont vu. Les radars l’ont enregistré. Je n’ai que deux regrets : n’avoir pas eu d’appareil photo à bord, ni le réflexe de lui lancer un appel radio – qui êtes vous ? SVP, communiquez avec nous ! »
Quatre ans plus tard au Pérou, le Commandant Oscar Santa Maria Huertas vit la même expérience, lorsqu’il reçoit l’ordre d’intercepter une sorte de ballon volant illégalement au-dessus de la base aérienne de La Joya, sous les yeux de 1800 soldats. « A chaque fois que je l’avais dans mon viseur, à la dernière seconde, ilprenait de la hauteur », raconte le pilote. Quand il parvient à tirer, les projectiles sont « absorbés » par l’objet. Nullement endommagé, celui-ci se met à jouer au chat et à la souris, grimpant très rapidement puis s’arrêtant soudain, comme pour attendre le péruvien, puis repartant aussi sec à une allure spectaculaire. Lancé en vitesse supersonique, Oscar Santa Maria Huertas finit par se retrouver à19000 mètres d’altitude. « Ce n’était pas un ballon, mais un objet de dix mètres de diamètre, composé d’un dôme brillant de couleur crème et d’une base circulaire argentée, auquel il manquait toutes les composantes habituelles d’un avion : pas d’aile, pas de système de propulsion, pas de fenêtres, pas d’antenne… j’ai alors réalisé qu’il ne s’agissait pas d’un engin espion mais d’un OVNI », écrit le pilote.« Si un pays était parvenu à développer de telles technologies, elles auraient révolutionné le transport aérien, l’armement et les lois de la physique,commente le Général De Brouwer.Encore aujourd’hui, elles nous sont inconnues. »
L’hypothèse Extra-Terrestre.
Comment expliquer, alors, ces phénomènes ? Pour la plupart des scientifiques qui se sont penchés sur la question, l’éventualité d’une origine extra-terrestre ou inter-dimensionnelle paraît la plus logique.
« Cette hypothèse doit être considérée avec le sérieux et la rigueur qui lui sont due, tant qu’aucune autre interprétation crédible n’a été formulée », affirme l’ancien directeur du CNES Yves Sillard.
C’est aussi le constat « ferme et prudent » du rapport COMETA, publié en 1999 à l’initiative d’anciens de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) – parmi lesquels des généraux, un amiral, des ingénieurs en armement, des chercheurs en aéronautique, un commissaire de la police nationale, un ancien président du CNES et un ex-responsable
du GEIPAN.
Après trois ans d’analyse de cas issus de différents pays, ses auteurs concluent que ce qui semble être « des engins volants, capables de performances exceptionnelles guidées par une intelligence naturelle ou artificielle », pourrait être d’origine extraterrestre.
Ces phénomènes démontrent que nous avons encore beaucoup à apprendre...« C’est l’explication la plus rationnelle, même si elle n’est pas scientifiquement prouvée », confirme le Général Denis Letty, ancien pilote de chasse et membre du groupe COMETA.
Surtout à une époque où la découverte de plusieurs centaines d’exo-planètes rouvre le champ des possibles, où les avancées de la physique esquissentd’autres approches de la réalité, d’autres dimensions du monde… Notre civilisation serait alors « comme un groupe d’hommes préhistoriques se retrouvant soudain face à une télévision ou un four à micro-ondes », sourit Leslie Kean.
Un champ d’investigation extraordinaire...Le sujet, pourtant, reste sulfureux. Dommage, estiment les experts, car l’humanité se prive d’un champ de recherche extraordinaire, sur lequel la mobilisation internationale d’équipes interdisciplinaires pourrait permettre de faire évoluer les connaissances.
Plutôt que d’en rejeter la possibilité, pourquoi ne pas s’émerveiller du mystère que les OVNIS représentent, des perspectives qu’ils esquissent ?
« La réalité objective des phénomènes aérospatiaux non identifiés ne fait plus aucun doute. Le climat de suspicion et de désinformation, voire de dérision, qui entoure trop souvent la collecte des cas, illustre une forme surprenante d’aveuglement intellectuel, écrit Yves Sillard à Leslie Kean.
C’est la raison pour laquelle beaucoup de témoins se taisent, notamment chez les pilotes, civils ou militaires, qui craignent pour leur carrière. »
De la collecte d’informations factuelles et de leur analyse, pourtant, pourraient naître « des hypothèses complètement nouvelles, fondées sur des conceptions cosmologiques encore en gestation », à même de « changernotre vision du monde physique et de l’univers alentour », estime l’ancien patron du CNES.« La communauté scientifique doit accepter de sortir le dossier OVNI du paranormal », plaide aussi Jacques Patenet, qui a dirigé le GEIPAN pendant près de trois ans. Alors que beaucoup de chercheurs ont peur de se discréditer, « ces phénomènes démontrent que nous avons encore beaucoup à apprendre, note le Général José Carlos Pereira, ancien Chef des opérations de l’armée de l’air brésilienne.
Depuis Aristote, les êtres humains se posent les mêmes questions : qui nous sommes, d’où nous venons, où nous allons. La recherche sur les OVNIS peut être un moyen d’obtenir des réponses. »
Une chose est sûre : « Le phénomène OVNI recèle quelque chose de suprêmement important, qui pourrait être transformateur pour l’ensemble d’entre nous, conclut Leslie Kean. Il est temps d’ouvrir nos yeux et de découvrir ce que c’est. »
L'Incroyable Vérité, le documentaire qui dérange (2008). from Claude ACAM on Vimeo.
CLIC.................https://vimeo.com/acam/incroyable-verite-documentaire-francais-2002
Documentaire d'Alain Guadalpi (2008 - 1h02) sur le phénomène OVNI. Enquête sérieuse menée à partir de témoignages d'observations, interviews de scientifiques, ufologues, militaires...
Alain Guadalpi, ancien journaliste, réalisateur et producteur à France 3, présente des documents audio-visuels de manière tout à fait objective et éloignée du sensationnel.
Films en noir et blanc des années 1950, 60, 70, MHD de Jean-Pierre Petit, Kenneth Arnold, Carrousel de Washington, Roswell, Mantell, Valensole, Marignane, Trans-en-Provence, cas de la Japan Airlines du 17 novembre 1986, le plateau d’Albion, Gildas Bourdais, Bruno Mancusi, Yves
Bosson, Jean-Pierre Foucault, Guy Tarade, Thibaut Canuti, Jimmy Guieu, le rapport Condon, l’archéologie mystérieuse, l'astrophysique, le surréalisme, l’ufologie, la science-fiction...
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Il y a des mots, des expressions, qu'on n'entend plus ou qu'on emploie moins. Ils arrivent exténués, à la fin du deuxième millénaire.
Le siècle, qui a commencé depuis 15 ans maintenant, risque de leur être fatal.
Conservez-les, un jour viendra peut-être où on ne les trouvera plus dans aucun dictionnaire, si ce n'est du vieux français...
Quelques exemples :
INCULPATION
A été expurgé du Code Pénal au profit de "mise en examen". Cela afin d'éviter une infamante présomption de culpabilité.
Être "en examen" ne présage pas du résultat de l'examen.
Aujourd'hui quand quelqu'un est MIS EN EXAMEN, on doit toujours insister sur le fait que cela ne préjuge pas de sa culpabilité. Comme du temps où il aurait été"inculpé".
INSTITUTEUR
Longtemps remplacé par "MAÎTRE D'ÉCOLE".
Il tend à disparaître par sa dissolution dans le concept fourre-tout de l'enseignement, au bénéfice de "PROFESSEUR des ÉCOLES"
MAÎTRESSE
Ne pas assimiler à la version féminine d'instituteur ! Ce serait une "professeure des écoles".
Les maris n'ont plus de maîtresse mais une "amie".
Les épouses conservent parfois l'amant, mais seulement à cause de la connotation romantique : les moins romantiques n'ont qu'un ami aussi.
MORALE
A force d'être inemployée, a disparu. Ne demeure que "ordre moral", mais attention : connoté de « fascisme ".
Toutefois personne ne se réclame du "désordre moral".
La morale n'est plus enseignée, elle est remplacée par "éducation à la citoyenneté"
MOURANT
Il n'y a plus de mourant mais des malades en "phase terminale".
Afin d'éviter une regrettable confusion, ne dites pas à votre fils qu'il est en terminale mais qu'il va passer son bac !
Pour désigner un mort doit-on parler d'un individu "en phase terminée" ?
PATRIOTE
Totalement absent du vocabulaire politique et civique.
Désigne aussi un bon citoyen américain et un missile américain.
PATRON
Nous n'en avons plus, ni même des chefs d'entreprise, mais des DIRIGEANTS D'ENTREPRISE.
PAUVRE
N'existe plus. C'est un "défavorisé", un "plus défavorisé", un "exclu", un "S.D.F." à la rigueur un "laissé pour compte".
Dans les années 80, il subsistait uniquement dans l'appellation "nouveau pauvre"; ce fut le chant du cygne.
PROVINCE
Dire "RÉGION". On ne dit plus "provincial" mais "RÉGIONAL".
RACE
A été abolie au profit "d'appartenance ethnique". Sinon, vous êtes raciste, fasciste, nauséabond, …
On peut néanmoins dire "black" en anglais et en banlieue.
SERVANTE, BONNE
Aujourd'hui, c'est une "employée de maison". Quand elle s'occupe de vieux, pardon de"personnes âgées", elle devient "auxiliaire de vie".
SÉQUESTRÉ
Aucun cadre, aucun chef d'entreprise n'est séquestré, il est "retenu contre son gré".
VANDALE
A laissé place à "jeunes en colère" ou "paysans en colère".
L'ampleur des dégâts distingue les vandales des autres.
VANDALISME
Impolitesse, injures, agressions, bris de matériel, racket sont regroupés sous le terme "incivilités".
On ne dira plus que ce sont des "sales gosses" mais qu'ils "manquent de civilité".
A noter la louable tentative de Jean-Pierre Chevènement d'introduire la bénigne expression" SAUVAGEON". Il dû battre en retraite devant « l'Insurrection des consciences ».
VOL
Terme réserve aux gagne-petit et aux obscurs.
Pour les politiques, on parlera "d'enrichissement personnel".
Ce qui est condamné unanimement par les collègues, contrairement à l'enrichissement impersonnel qui, lui, ne bénéficie qu'au parti, mérite la compréhension, ce que lesjuges n'ont pas encore compris.
VOYOU
En voie d'extinction. On ne connait que des individus "connus des services de polices", des "récidivistes", des multi-délinquants".
Un nouveau casse tête pour dire les choses simplement.
Par : Axel Leclercq -Du Magazine Positivir.
Il y a trois ans, le village marocain de Brachoua vivait encore dans une grande précarité, sans eau, ni électricité.
Aujourd’hui, les habitants vivent dignement, la lumière est partout et trois fontaines coulent en permanence. Que s’est-il passé dans l’intervalle ?
Rien de spécial. Ah, si : tous les habitants ont fait le pari de la permaculture !
Comment tout un village a pu basculer dans l’autosuffisance et la prospérité en si peu de temps ? Cette formidable et soudaine mutation nous est racontée par Le Soir, un grand quotidien belge.
Source :Brachoua se situe à une cinquantaine de kilomètres de Rabat, la capitale du pays.
En 2013, fatigués de leurs interminables difficultés financières, les habitants des 60 familles du village ont décidé de se regrouper au sein de l’association Agriculteur Moderne.
Objectif : identifier et mettre en oeuvre des solutions collectives et pérennes.
Source : Workaway
Soutenus par une association voisine (l’association Ibn Albaytar), les villageois sont alors invités à visiter une ferme biologique.
Et là, c’est la révélation. D’un commun accord, tous décident d’apprendre les techniques de la permaculture et du développement durable pour les dupliquer chez eux.
L’objectif initial était alors d’atteindre rapidement l’autosuffisance alimentaire. C’était déjà ambitieux, mais le résultat ira bien au delà de leurs espérances !
Source : Workaway
Très rapidement, les jardins potagers se mettent à fleurir aux quatre coins du village...Un peu à la façon des Incroyables Comestibles (qui ont d’ailleurs...Envoyé quelque-uns de leurs membres en renfort).
De 2013, à 2015, le nombre de jardins potagers est passé de...1… à 40 ! Suffisant pour fournir assez de nourriture à toutes les familles !
Source : Workaway
Mais l’aventure ne s’arrête pas là. Constatant que leur production était très appréciée des gens de passage, ces nouveaux adeptes de la permaculture ont décidé de proposer le fruit de leur travail aux habitants de la ville voisine…Sans passer par le souk, ils se sont constitué une clientèle urbaine à laqu'elle ils distribuent chaque semaine des paniers 100% constitués de leurs produits (poulet, oeufs, couscous, légumes…)
Leurs paniers sont tellement demandés que les villageois peuvent même se permettre de vendre plus cher qu’au souk (exemple : leur poulet coute environ 7,50€ contre 5,50€ au souk).
Source : Workaway
Mais, encore, une fois, l’histoire ne s’arrête pas là ! Avec un magnifique couscous en guise d’étendard...Le village de Brachoua séduit les régions environnantes...Et se fait une publicité d’enfer.
Résultat : le tourisme est en train d’exploser !
Chaque semaine, près de 250 personnes y séjournent pour savourer la gastronomie locale...Faire de la randonnée et admirer la beauté du village et des paysages !
Source : Workaway
Du coup, une famille qui, il y a à peine trois ans, vivait avec trois foisrien, peut désormais espérer gagner 60 euros en une seule journée ! De quoi vivre sans l’éternel souci du lendemain.
Source : Workaway
Certains craindront peut-être que ces soudaines rentrées d’régent ne dénaturent ce qui fait le succès de Brachoua.
Ce serait sans doute oublier que le village a justement bâti sa réussite sur le développement durable : ils savent mieux que personne l’importance d’un environnement choyé et préservé !
Source : Workaway
Ce magnifique exemple de développement réussi prouve plusieurs choses :
1- La terre peut être profitable sans qu’on ne l’exploite abusivement.
2-Les fruits du travail peuvent être équitablement redistribués.
3-La volonté collective peut bouleverser le destin de tout un village.
Vive L’agriculture Raisonnée & Vive Brachoua.
Si certains parmi vous sont intéressés par un séjour à Brachoua (pour s’en inspirer et mieux comprendre) sachez que des habitants du village ouvrent grand leur maison en échange de quelques heures de travail.
Clic ici....................https://vimeo.com/86910948
Petit à petit on avance dans notre Road-Trip dans l’Ouest des Etats-Unis et voici le dernier parc de l’Utah à découvrir, Zion. Tous les parcs de l’Utah sont vraiment différents, je les ai tous adorés, que ce soit Arches NP, Canyonland & Dead Horse State Parc, Capitol Reef puis Bryce Canyon.
Le Parc National de Zion.
Zion nous promet également de nous émerveiller, avec des paysages encore différents, avec d’énormes montagnes et dômes de grès et un peu plus de verdure, et des randonnées mythiques comme celle des Narrows ou l’on remonte le lit d’une rivière entre les roches, ou celle d’Angels Landingqui promet une vue à couper le souffle sur ce parc exceptionnel.
Situation
Zion est situé au Sud-Ouest de l’Utah, entre Bryce Canyon & Las Vegas.
Beaucoup de personnes en voyage dans l’Ouest Américain le zappent pensant qu’il faut privilégier Las Vegas, c’est ce que nous n’avons pas fait justement car ce parc mérite qu’on parte à sa découverte. Comme tous les Parcs Nationaux, on y accède avec le Pass America The Beautiful sinon il faut compter 30 $.
Ce parc est très grand, nous nous sommes contentés de visiter la partie laplus accessible, Zion Canyon. L’accès en voiture y est réglementé, et est surtout interdit entre avril et octobre. Il y a deux lignes de navettes qui accèdent au Parc, une première dans Springdale, la ville avant Zion, avec 9 arrêts le long de la route principale ou sont les hôtels et commerces. Il y a ensuite une deuxième ligne, qui part de l’entrée du Parc de Zion (Visitor Center) pour aller jusqu’à Temple of Sinawava le début de la randonnées vers les Narrows.
Ce parc étant prisé des randonneurs, il faut savoir que les parkings à l’entrée du Parc National sont très vite saturés et si on arrive pas tôton doit se garer sur Springdale. Il y a pas mal de navettes, mais il faut prévoir du temps d’attente, vers 9 h 30 nous avons mis facilement 30 minutes à attendre et à avancer dans la file d’attente.
S’organiser
Zion, on en rêvait. Alors comme toujours on est parti au lever de soleil pour faire les 2 heures de route depuis Bryce Canyon.
Cela tombait bien les couleurs étaient superbes sur les roches de Bryce en partant !
On en a profité sur la route pour refaire le plein, laver la voiture et faire trois courses pour le picnic et croiser une vingtaine de drôles d’oiseaux qui ont traversé la route juste sous nos yeux avant de s’enfoncer dans le champs voisin !
Nous étions pour 9 h 00 à l’entrée de Zion. Sur la jolie route qui mène au parc nous avons eu la chance de croiser quelques chèvres des montagnes qu’on a pu observer en leur laissant toujours pas mal d’espace entre elles et nous pour les laisser libres dans leur environnement.
L’idée était de profiter de la journée pour faire la randonnée dans les Narrows pour ce premier jour sur place, de faire si notre p’tit bonhommeest encore d’attaque une autre petite rando puis de finir la journée dans notre très bel hôtel sur Springdale et de profiter d’un restaurant dans la ville. Nous gardons pour le lendemain matin à la fraîche la randonnée d’Angels Landings pour ne partir que dans l’après midi vers Las Vegas.
Par facilité et gain de temps nous avons préféré ne prendre le shuttle que depuis le Visitor Center ou il y a d’énormes parking. L’inconvénient est qu’il y a aussi une énorme queue pour monter dans les bus … Nous avions également réservé notre matériel étanche pour la randonnée des Narrows dans une boutique tout proche du visitor Center, Zion Outfiller.
The Narrows & Riverside walk.
La Virgin River traverse tout le Parc de Zion est dans la partie du Parc que nous visitons, elle rétrécie pour se faufiler dans un Canyon étroit,The Narrow. Juste avant cette section les pieds dans l’eau on longe la rivière par un chemin de randonnée très facile, Riverside Walk, long de 1,6 km. The Narrow est une des randonnées phares de Zion.
Si vous n’êtes pas équipés (je vais y venir), arrêtez-vous là. Car la particularité de la randonnée qui suit c’est qu’on la fait les pieds dans l’eau. Les pieds, c’est peu dire, selon les précipitations des jours précédents, la période ou vous la faites, cela peut donner des zones avec l’eau jusqu’à la taille. Il y a des zones ou il y a du courant également, alors on y va pas avec de trop jeunes enfants. Le notre avait 6 ans et c’est un bon marcheur, donc aucun soucis, en lui donnant toujours la main.
En été, il y a donc de vrais risques, en cas d’orage qui peuvent faire descrues torrentielles (« flash floods »). Ce n’est pas une blague, il faut regarder la météo au visitor center est être prévoyant : si l’eau change d’aspect, que son niveau monte rapidement, abritez vous vite sur les hauteurs et ne prenez pas de risques inutiles.
Pour faire cette randonnée en toute sécurité, nous nous sommes équipés : bâton de rando pour prendre appui et sonder la hauteur de l’eau devant nous et les cailloux, des chaussures qui tiennent bien les chevilles, imperméables c’est mieux, pour éviter de se fouler la cheville les piedsdans l’eau sur les roches. Pensez à protéger vos affaires (on avait mis les papiers et téléphones dans des poches zippées à congélation) et on avait loué en même temps que les chaussures étanches un sac à dos étanche pour y protéger l’appareil photo et le picnic.
Il faut compter 24 $ par personne pour le lot chaussures, chaussettes neoprene et bâton, et 10 $ pour le sac à dos. Au printemps et à l’automne il faut louer des pantalons étanches, mais pour nous en été c’était un peu frais mais nickel, on avait adapté nos tenues du jour avec short de bain pour les garçons et jupe de rando qui sèche vite pour moi.
Une fois équipés, et prêts nous avons commencé cette randonnée des Narrows.
Forcément, elle est très prisée, et nous n’étions pas les seuls à nous lancer. On a pris le temps de remonter tranquillement la rivière, timidement au départ en évitant l’eau et puis de toute façon on avait pas le choix on allait se mouiller, alors autant y aller franco, c’est plus rigolo !
Les paysages autour de nous sont superbes, on en profite à fond ! Cette randonnée peut durer jusqu’à 8 heures selon jusqu’où on remonte la rivière. On l’a remontée pendant 3 heures, notre p’tit bonhomme était hyper enthousiaste, alors que lui plus petit avait l’eau souvent jusqu’à la taille.
Mes hommes se sont amusés à sauter dans l’eau quand elle était plus profonde, à glisser sur les rapides, bref c’était une superbe journée. Surtout que plus on s’enfonce dans la rivière, plus les paysages sont sauvages, et moins il y a de monde.
C’était pour nous une de nos plus belles randonnées des vacances, avec ce p’tit trucen plus qui fait qu’elle est vraiment unique. On ne regrette pas du tout de l’avoir faite, elle nous laissera un souvenir magique ! J’avais tellement rêvé de la faire, a chaque fois que je voyais une photo sur les réseaux sociaux (coucou Olivier !!) j’en avais encore plus envie et
je suis fière de l’avoir faite car on a vraiment découvert Zion par les randonnées qu’on a pu faire dans ce parc.
C’est peut être pas facile à expliquer, mais s’en mettre plein la vue dans les parcs nationaux c’est top, mais quand en plus on a fait l’effort d’aller plus loin pour découvrir ses merveilles plutôt que depuis les points de vue c’est encore plus magique. C’est comme la randonnées vers Delicate Arches dans Arches NP, ou celle dans Bryce Canyon, y’a vraimentqu’au milieu de la nature qu’on s’aperçoit de immensité et de la beauté des Parcs Nationaux aux USA.
Ou faire ses courses à Springdale ?
Après cette belle journée de randonnée, nous sommes sortis du parc de Zion pour rejoindre la ville située à l’entrée,Springdale, qui dispose de toutes les facilités pour un séjour sur Zion. Le long de la route principale il y a plusieurs hôtels, commerces et restaurants.
Nous étions contents de trouver un p’tit supermarché avec un beau stand traiteur, Solfoods, dans lequel nous avons pu faire nos courses pour le picnic du lendemain mais également trouver des glaces pour le goûter, histoire de se rafraîchir par 40°, alors que p’tit bonhomme ne rêvait que d’une soupe de légumes au quinoa, proposée bouillante au salad bar !
Il y avait également plein de plats chauds à faire réchauffer et des tables à l’ombre, pratique quand on veut éviter les restaurants.
Ou loger à Springdale ?
Comme nous souhaitons passer deux journées sur Zion, il était primordial de ne pas loger très loin de l’entrée du parc, Springdale était donc la meilleur option. Nous avons réservé une nuit à l’hôtel La Quinta, qui était superbe. Un hôtel avec une jolie vue sur le Parc National, une très belle piscine avec des activités pour les enfants (top après larando !!), un p’tit déjeuner complet servi tôt le matin et une chambre très confortable.
Il n’y a pas de restaurant sur l’hôtel, mais il y a de quoi faire dans la ville qui est vraiment le camp de base des randonneurs de Zion.
Ou dîner à Springdale ?
Après quelques jours de cuisine très très classique américaine et du dîner hotdog & chips au rodéo, j’avais repéré LA bonne adresse de Spingdale, Kings Landing Bistro, le type de restaurant que j’adore avec des produits frais, des
inspirations d’ailleurs, des épices, de l’attention dans les accords, la présentation, sans que ce soit chichiteux.
On rajoute à cela une jolie terrasse, des cocktails maison, mon Sunshine Refresher au vin blanc, Lillet, piment & concombre était délicieux et surprenant. Côté plats c’était parfait ! Que ce soit la p’tite saladede romaine, bacon & maïs avec une délicieuse vinaigrette, la pieuvre grillée au barbecue avec sa sauce tomate aux épices et petits artichauts ou bien le burger maison, le meilleur des vacances. Tout était tellement bon que j’ai testé le clafoutis aux pèches locales qui était parfait.
Pour les enfants c’était moins fun, sinon à la carte, bol de spaghetti au fromage râpé, mais il a pu goûter dans nos plats. La carte des vins était parfaite, avec plein de choix et des bières locales. Bref une superbe adresse sur Zion, mais ne comptez pas vous en tirer pour moins de 60 / 70 $ par personne pour un menu complet, boissons & taxes.
De prime abord, l’Allemagne, n’est pas forcément la première destination àlaquelle on pense quand il s’agit de découvrir des paysages et un patrimoine culturel riche. Et pourtant, dans le centre du pays, la région de Thuringe abrite plusieurs lieux d’exception, inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Aujourd’hui, Jetlag dresse pour vous la liste de ces endroits particulièrement méconnus. De quoi satisfaire la curiosité de celles et ceux à la recherche de nouvelles destinations à découvrir. En mettant les voiles vers cette région, les voyageurs ont la garantie d’en prendre plein les yeux, mais également d’éviter le tourisme de masse.
Voici les quatre lieux à visiter absolument :
1. Le parc national de Hainich
Créé le 31 décembre 1997, le parc a pour principal objectif la protection des forêts anciennes de hêtres et, depuis le 25 juillet 2011, il est inscrit à ce titre sur la liste du patrimoine mondial. Il s’agit de la plus grande forêt mixte de feuillus d'un seul tenant en Europe.
2. Le château de la Wartbourg
Le sublime édifice trône au-dessus de la ville d’Eisenach. Classé en 1999 au patrimoine mondial de l’UNESCO, il constitue l’une des forteresses médiévales les mieux conservées d’Allemagne et raconte près de mille ansd’histoire.
3. Le Weimar classique
S'il n'a duré qu'une cinquantaine d'années, le Classicisme de Weimar est l'une des plus grandes époques de l'histoire des idées en Europe.
Goethe, Schiller (dont les maisons sont d'ailleurs visitables dans la région) Nietzsche, Bach ou encore Liszt, les grands noms sont légion dans ce lieu. La bibliothèque de la duchesse Anna Amalia, en photo ci-dessous, est également ouverte au public.
4. Le Bauhaus
C’est l’école d’art et d’architecture la plus réputée du pays, et l’une des plus connue du monde. Son programme a suscité l'adhésion d'un grand nombre d'artistes d'avant-garde de toute l'Europe, parmi lesquels on peut citer Johannes Itten, Wassily Kandinsky, Paul Klee, Oskar Schlemmer, László Moholy-Nagy ou Marcel Breuer. Fondée en 1919, l'université est encore ouverte.
Alors si vous aussi désirez découvrir cette belle région qu’est la Thuringe, rendez-vous sur le site web de l’office du Tourisme d’Allemagne, où vous trouverez toutes les informations nécessaires à l’organisation de votre voyage ! Et pour plus de renseignements, consultez le site de l'office du tourisme
Il y a fort à parier que le Café du Croissant n’existerait plus s’il n’avait pas été le théâtre de l’un des épisodes les plus marquants de l’histoire du XXe siècle en France. C’est en effet dans cette petite brasserie de la rue Montmartre, non loin du Palais Brongniart, qu’a été assassiné Jean Jaurès, figure politique majeure de l’avant-guerre, mais aussi grand artisan de la paix. Que s’est-il passé en ce 31 juillet 1914 ? Peut-on encore trouver des traces de cet assassinat dans le café ? On vous dit tout sur cet événement qui a précipité la France dans la première guerre mondiale.
Jean Jaurès, un habitué du Café du Croissant C’est dans l’un de ses lieux fétiches que Jean Jaurès a été tué, le soir du
31 juillet 1914. Au moment de sa mort, il est non seulement député du Tarn et patron incontesté du socialisme français, mais également le directeur du journal qu’il a fondé en 1904, L’Humanité. Les locaux du quotidien socialiste sont situés à quelques rues du café, rue de Richelieu. C’estdonc en voisin que l’ensemble de l’équipe a pris pour habitude de se
retrouver, en fin de journée, dans ce petit café du 2e arrondissement.
Le soir du 31 juillet 1914, aux alentours de 21h, douze collaborateurs de l’Humanité, parmi lesquels Jean Jaurès et Jean Longuet, décident de s’installer, comme ils le font régulièrement, autour de la table située àgauche de l’entrée. Nous sommes au cœur de l’été, il fait chaud et les fenêtres sont grandes ouvertes. Jaurès est installé dos à l’une des trois grandes fenêtres. Seulement protégé de l’extérieur par un rideau.
Le déroulement du crime.
Il est 21h40 lorsque, sur le trottoir, un homme écarte le rideau et sort un Smith & Wesson. Il tire deux balles coup sur coup en direction dela grande tablée. Jean Jaurès s’écroule presque immédiatement, touché à la tête par le premier projectile. « Jaurès est tué ! » entend-on dans le tumulte provoqué par les coups de feu. En réalité, Jaurès n’est pas encore mort, il succombera quelques minutes plus tard, à l’arrivée des secours.
Alors que leur camarade agonise sur la banquette du café, quelques collaborateurs de Jaurès, suivis d’autres clients, se précipitent à la poursuite du tueur. Ce dernier est rattrapé, fermement empoigné puis confié à un agent de police qui l’emmène au poste de la rue du Mail. Il s’appelle Raoul Villain, a 29 ans et est étudiant à l’École du Louvre. S’il a tué l’homme politique, dit-il, c’est parce qu’il « estime que Jaurès a trahi son pays en combattant la loi des trois ans ».
La Une de l’Humanité du 1er août 1914 – © Gallica / BNF
L’assassinat politique d’un antimilitariste Pacifiste convaincu, le directeur de l’Humanité s’était, en effet, vivement battu
contre cette loi visant a augmenter la durée du service militaire.
Aussi, depuis plusieurs années et plus encore depuis le 28 juin 1914 et l’attentat de Sarajevo, Jaurès menait bataille contre l’option militaireen réponse aux conflits qui agitaient le monde. Il était persuadé qu’une issue pacifique pouvaient être envisagée. Mais, dans un contexte aussi tendu que celui de l’avant-guerre et dans le souvenir de la défaite de 1870 contre les Allemands, le pacifisme de Jaurès attise les haines. On le surnomme « Herr Jaurès », on l’accuse d’être du côté de
l’Allemagne, de pactiser avec l’ennemi.
C’est nourri de cette colère que Raoul Villain, proche des milieux ultra-nationalistes, se décidera à tuer celui qu’il considère comme untraître. Si l’assassinat n’a pas déclenché la guerre, il a éteint les derniers espoirs de résistance. Le lendemain, l’Allemagne déclare la guerre à la Russie tandis que la France décrète la mobilisation générale. Le 3 août, la France et l’Allemagne entrent en conflits également.
Reste-t-il des traces de l’assassinat aujourd’hui ?
Le café actuel, renommé Taverne du croissant en 2011, n’a plus grand choseà voir avec celui de 1914. Quelques éléments permettent néanmoins de sesouvenir de ce moment marquant de l’histoire de France. On trouve, sur le mur extérieur du café, une plaque commémorative, installée par la Ligue des droits de l’homme en 1923 et sur laquelle on peut lire « Ici
le 31 juillet 1914 Jean Jaurès fut assassiné ». À l’intérieur, une vitrine renferme les Unes datées du 31 juillet et du 1er août 1914 de L’Humanité. Dernier vestige, une plaque de mosaïque, au sol, où figure la date de l’assassinat.
© soundlandscapes
La plaque commémorative installée par la Ligue des Droits de l’Homme.
L’histoire d’Athènes offre un vaste champ d'investigation aux spécialistes, vu le très grand nombre de documents arrivés à leur connaissance.
Athènes a été habitée sans interruption pendant au moins 3 000 ans. Au Ier millénaire av. J.-C., elle est devenue une des principales villes de la Grèce antique et ses accomplissements culturels durant le Ve siècle av. J.-C. ont créé les bases de la civilisation européenne.
Pendant l'Antiquité tardive, la ville déclina avant de se rétablir sous l'Empire byzantin. Athènes a également tiré bénéfice du commerce italien après les Croisades.
Après une longue période de déclin sous l'Empire ottoman, Athènes a de nouveau émergé au XIXe siècle comme capitale de l'État grec unitaire.
Histoire d'Athènes
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Bibliographie
Hommes d'État de l'Athènes antique
L’artiste-illustrateur Anglais Keir Edmonds est basé à Berlin et il a illustré cette ville avec des croquis qui la montrent mieux qu’avec n’importe quel autre moyen de diffusion.
Les illustrations de cet artiste montrent en effet le côté normal des rues et des cafés de cette ville et il n’y a ni magie, ni Photoshop dans les créations qu’il a obtenu et qu’il a partagé avec des milliers de gens sur Internet.
En image, on va découvrir les dessins de cet artiste, mais aussi les rues de la capitale Allemande!
En couleur ou en noir et blanc, les illustrations de l’artiste Keir Edmonds montrent la réalité des choses telles qu’il les voit et les ruesde la capitale Allemande sont plutôt ordinaires, rien que du réel, riend’insolite et c’est bon de le constater.
On a pu voir quelques rues de la ville et quelques voitures aussi dont celle de la police.
On a vu aussi un intérieur avec une femme qui dessine dans sa chambre, une cuisine ordinaire avec des ustensiles partout, des paysages et quelques animaux.
Les illustrations de cet artiste montrent la ville mieux que les photographies et c’est un réel plaisir à découvrir.
Berlin en dessin invite le touriste à une agréable balade au virtuel.