BREATHE, NOUVEAU RESTO 100% VÉGÉTAL DÉJÀ INCONTOURNABLE ! C’est à deux pas de la rue des Martyrs, à côté de la place Saint-Georges, dans la très charmante rue Henry Monnier qu’on découvre un restaurant aux allures pop et graphiques qui nous donnent immédiatement envie de pousser la porte.Laetitia et Richard nous accueillent chaleureusement dans cet ancien salon de thé, bien parisien. Côté déco, on y retrouve tout ce que l’on aime des bistrots du Paris tradi ; moulures classiques, miroirs qui ornent les murs et carreaux de ciment d’origine. Alors on s’installe au fond, dans un petit coin tranquille pour admirer cette belle salle de restaurant. Cantine chic le midi (Formule Déjeuner entrée-plat et café, à 15,50€) et restaurant branché, le soir. On découvre la carte aussi surprenante quela déco : des plats gourmands et finement travaillés par la chef, Claire Vautrin, qui nous mettent l’eau à la bouche. Bistrot traditionnel… ou presque. Oui oui, c’est vegan ! Fruits et légumes de saison, produits locaux, une carte 100% faite maison. En fait, manger chez brEAThe, c’est s’envoyer un bon burger de seitan maison au « fromage » coulant, tremper ses frites dans une mayonnaise à l’ail, tout en sirotant un cocktail monté au jus de pois chiche. Régal des papilles et des pupilles ! Attention ! Pas question de se faire taper sur les doigts si on aime la viande ou si l’on ne connaît pas : ici on mange beau et bien… Un point c’est tout. Alors on commence par l’assiette à partager (à partager… ou pas !) Tapas oblige, pour accompagner son premier verre ! On grignote, en famille ou entre copains ; tartines de châtaigne aux noisettes, « oeufs » façon mimosa et croquettes de pommes de terre. À suivre, entrées raffinées ; Ravioles grillées, farce de shiitaké et seitan, sauce gingembre et huile de sésame grillé (à ne pas manquer !), Velouté de potimarron et pointe de gousse de vanille (sans doute le potage le plus réconfortant de la terre). Et pour finir, le carpaccio debetteraves, infusées au safran et garnies d’une crème de carotte aux épices zaatar pour dynamiser ses papilles et faire le plein de vitamines! Les plats : petit appétit s’abstenir ! Adieu bowls, green salads et lentilles, bonjour la cuisine, la vraie. À la carte, on y trouve tout cequi paraît de plus “classique”; Burger, Curry rouge Thaï, Club Sandwichou encore, Linguine à la crème de cèpes… On goûte le Burger. Décadence assurée… Le « Steak » maison de seitan (cette fameuse préparation à basede gluten de blé, qui se travaille à toutes les sauces) en trompe plus d’un. On vous met au défi de voir la différence avec un Burger «tradi», les fans de junk food l’adopteront, à coup sûr !On attaque le Club Sandwich (gigantesque), « fromage », « bacon » maison de seitan fumé, galette de pomme de terre, fondue de poireaux et crème de moutarde à l’ancienne… qui nous réconcilie avec le Club Sandwich tropsouvent riquiqui, dans les brasseries. Le Curry rouge Thaï de légumes d’hiver. Tofu frit, crème de coco, le tout, accompagné d’un riz rouge sauvage est également une pépite ! Les desserts : immanquables ! Beaucoup plus légers et « nature » que les desserts à base d’oeufs et de lait, ces petites beautés sont à tester, avec le café. On adore retrouver le goût simple des produits bien travaillés (pas trop sucré et gras). Côté dressage, ça ne rigole pas : on est sur du dessert à haut potentiel instagrammable ! Millefeuille cassis et crème de marron, tartelette pop corn à la mangue et zeste de citron vert, biscuit breton au pamplemousse et chantilly caramel beurre salé et moelleux tout chocolat avec son coeur coulant et sa crème anglaise. Mention spéciale pour les cocktails (avec ou sans alcool) ! L’exploration de l’univers végétal continue. Un verre, concocté et servi avec soin par lebarman, mixant spiritueux, liqueurs étonnantes et herbes fraîches. Surprise : ici, le blanc d’oeuf monté est remplacé par l’aquafaba shaké (eau de pois chiches), pour retrouver la mousse gourmande et dense que l’on connaît des Sour. On vous conseille le Madame Violette (liqueur de fleur de sureau, sirop deviolette, lavande et champagne) une création florale, l’Amarreto Sour (Amaretto, vodka, jus de citron frais, monté à l’aquafaba et bitter ananas maison), Cherry Negroni (Gin, amaro montenegro, luxardo maraschino, cerise confite et bitter cerise), alcoolisé… comme en 1919. Et le dimanche, c’est détente ! Grignotage copieux en règle : jus frais vitaminé du jour ou Bellini contre la gueule de bois, chocolat chaud amande, puis Tartine « oeufs » mimosa, pesto de brocoli, “bacon” maison,Croissant artisanal ou encore Tartelette crumble aux framboises fraîches… Le brunch, on adore et on en redemande ! Infos pratiques : brEAThe Restaurant 16 rue Henry Monnier – Paris 9 Ouvert du Mardi au Jeudi de 12h à 14h30 et de 18h30 à 22h30, le Vendredi de 12h à 14h30 et de 18h30 à 23h30, le Samedi de 12h à 15h et de 18h30 à 23h30. Brunch du Dimanche à 29€, de 12h à 15h (la carte reste disponible) Livraison à domicile ou -10% à retirer sur place. Suivez-les sur Instagram et Facebook
LES 50 MEILLEURES PIZZERIAS D’EUROPE DONT 7 À PARIS ! Le classement est tombé : sur les 50 meilleures pizzeria d’Europe élues par le très sérieux comité milanais « Identità Golose« , 7 sont françaises. Cocorico ! Découvrez les grandes gagnantes pour ensuite courir et croquer dans la mozzarella filante ! La crème de la crème de la pizza parisienne. Savez-vous que nous sommes les deuxièmes plus gros consommateurs de pizza au monde, juste après les Etats-Unis et devant l’Italie ? Sans doute est-cepour cette raison que Paris possède autant de pizzerias de grande qualité. Sans plus attendre, voici la liste des pizzeria choisies par lecomité de critiques gastronomiques italiens. Vous y retrouverez peut-être votre adresse de quartier préférée !
Bijou. Bijou. 10 Rue Dancourt, 75018 Paris. Ouvert tous les jours, de 12h à 15h et de 19h à 23h 01 42 57 47 29
Ober Mamma. Ober Mamma. 107 boulevard Richard Lenoir, Paris 11 Ouvert tous les jours de 12h15 à 14h15 (15h30 les samedi et dimanche) et de 19h à 22h45 (23h les samedi et dimanche) Tèl : 01 58 30 62 78
Pizzeria Popolare. Popolare. 111 rue Réaumur, Paris 2 Ouvert tous les jours de 11h45 à 14h15 et de 18h30 à 22h45 Tèl : 01 42 21 30 92
Louie Louie. Crédit photo : Martyna Pawlak
Louie Louie. 78 rue de Charonne, Paris 11 Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 et de 19h à 23h30 Tèl : 09 73 58 14 36
Manhattan Terrazza. Manhattan Terrazza. 108 Avenue de Villiers, Paris 17 Service continu tous les jours de 8h à 00h Tèl : 01 47 63 32 77
Tripletta. Tripletta. 88, boulevard de Belleville, Paris 20 01 42 54 72 80 Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 puis de 19h à 23h Le week-end en service non-stop
Guillaume Grasso, la vera pizza Napoletana..
Crédit photo : Instagram @venusdemilou
Guillaume Grasso - 45 rue Brancion, Paris 15 Ouvert du lundi au samedi de 12h à 14h30 et de 19h à 23h Tèl : 01 45 33 83 83
Des milliers de ballons dans le ciel de Bercy ! Vos mirettes ne se sont toujours pas remises de la farandole de parapluies colorés suspendus dans le Village Royal ? il se trouve que la fièvre arc-en-ciel s’est également emparée de Bercy Village, qui depuis le 8 juin a installé plusieurs milliers de ballons au dessus de la cour Saint-Emilion. 3200 ballons à Bercy Village, une parenthèse poétiquePour cette installation éphémère (présente jusqu’au 31 août) Bercy Village afait appel à l’artiste Patricia Cunha. Répartis dans l’allée principale, les ballons réfléchiront la lumière, créant une mosaïque multicolore sur le sol. Crédit photo : Bercy Village
À cette installation s’ajoute la mise en place d’une Bubble pool, où les passants pourront se plonger tous en postant des clichés d’eux sur les réseaux sociaux. Les bancs sont également relookés aux couleurs de l’arc-en-ciel, tandis que des ronds colorés habilleront l’entrée du centre commercial.
Crédit photo : Bercy Village
Quelque chose nous dit que Bercy Village sera sans doute l’un des lieux parisiens les plus photographiés de l’été ! Joli non ?
Ce petit cinéma, situé sur la rue de Passy, a ouvert ses portes en 1937 sous le nom Royal-Passy. À cette époque, en plein âge d’or du cinéma français, les cinémas de quartier fleurissent à chaque coin de rue. Entre les années 30 et 50, le 16e arrondissement possédait en effet de nombreux cinémas de quartier : la rue de Passy a compté jusqu’à quatre établissements à elle-seule ! Les Trente Glorieuses ? Pas pour l’industrie du cinéma…Entre 1957 et la fin des années 70, le 7e art, concurrencé par la télévision,perd plus des deux-tiers de son public. Comme de nombreux autres cinémas de la capitale, les établissements du 16e disparaissent les uns après les autres : le Victor-Hugo Pathé, le cinéma Passy, le Mayfair-Pathé, le cinéma Régent, Tous mettent la clé sous la porte par manque de fréquentation. Le Majestic Passy, alors connu sous le nom “Royal Broadway”, n’échappe pas à cette vague de fermeture et est contraint d’éteindre ses projecteurs à l’automne 1982. Pendant douze ans se dressera un magasin de fourrure à la place de l’ancien cinéma. Le 16e arrondissement ne compte alors plus aucune salle obscure.
L’établissement, composé de trois salles et d’un petit café, reprend alors sa place de seul cinéma du 16e arrondissement. Depuis, le Majestic Passy propose une programmation grand public, mais de qualité, qui tente de tenir tête à la concurrence des multiplexes voisins, comme le Gaumont Champs-Elysées ou le Pathé Beaugrenelle.
Le rooftop du Moulin Rouge ouvre son cinéma en plein air ! L’été sera plus cinéphile que jamais à Paris ! Après la Villette, c’est le Moulin Rouge qui lance son cinéma en plein air, ni plus ni moins que sur le toit du prestigieux cabaret ! Au programme de juillet à septembre : des comédies, des drames et des thrillers, avec 50% de cinéastes femmes, 50% de cinéastes hommes. On aime ! Plein feux sur le ciné plein air du bar à bullesLe bar à bulles, c’est le toit terrasse arboré du Moulin Rouge, depuis lequel on peut même admirer les ailes du fameux moulin ! Un point de vue à la fois unique et insolite aux accents champêtres grâces aux plantes grimpantes et tables de jardins rétro. Pour la période estivale, un partenariat entre le cabaret et So Film prévoient la projection de 10 longs-métrages embrassant tous les genres et tous les styles de réalisateurs : on attend Agnès Varda, Wes Anderson, Hou Hsiao-Hsien, Barbara Loden… Une programmation éclectique allant du film indé (Toi, Moi et tous les autres de Miranda July) à la grosse comédie américaine, à l’image de la projection de Superbad. Découvrez ci-dessous la programmation complète : 10 juillet à 22h : Le Bonheur, d’Agnès Varda (1965) 17 juillet à 22h : Adaptation, de Spike Jonze (2002) 24 juillet à 22h : Steak, de Quentin Dupieux (2007) 31 juillet à 22h : Wanda, de Barbara Loden (1970) 7 août à 22h : Bottle Rocket, Wes Anderson (1996) 14 août à 22h : Superbad, Greg Mottola (2007) 21 août à 21h30 : Les garçons de Fengkuei, Hou Hsiao-Hsien (1983) 28 août à 21h30 : Everyone else, Maren Ade (2009) 4 septembre à 21h30 : Songs my brother told me, Chloé Zhao (2015) 11 septembre à 21h30 : Moi, toi et tous les autres, Miranda July (2005) Alors, prêts à faire le plein de cinéma ? Le bar à bulles – La Machine du Moulin Rouge 90, boulevard de Clichy, Paris 18
Le ciné en plein air à la Villette est de retour ! Ô joie ! Comme chaque été depuis quelques années maintenant, le Cinéma enplein air de la Villette est de retour avec une programmation plus alléchante et variée que jamais ! Découvrez le programme, placé cette année sous le thème du futur. On aime le Ciné Villette !C’est l’un des meilleurs bons plans parisiens de l’été : des projections en plein air sur écran géant dans le Parc de la Villette. Devenu un événement incontournable, chaque année est l’occasion de proposer de nouveaux films des plus fameux réalisateurs, des plus cultes aux indépendants. Du film américain futuriste au film d’animation japonaise pour enfants, tout le monde pourra se régaler. Cette année, vous pourrez notamment voir entre autres : Le 17 juillet : Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve, 2017) Le 20 juillet : Ponyo sur la falaise (Hayao Miyazaki, 2009) Mercredi 24 juillet : Petit paysan (Hubert Charuel, 2017) Vendredi 26 juillet : Her (Spike Jonze, 2014) Dimanche 28 juillet : Les Temps Modernes (Charlie Chaplin, 1936) Vendredi 2 août : Snowpiercer, le Transperceneige (Bong Joon-Ho, 2016) Dimanche 4 août : Et au milieu coule une rivière (Robert Redford, 1993) Vendredi 9 août : L’île aux chiens (Wes Anderson, 2018) Mercredi 14 août : Les glaneurs et la glaneuse (Agnès Varda, 1999) Découvrez la programmation complète ici ! À vos transats ! Rendez-vous du 17 juillet au 18 août pour faire ressortir le cinéphile qui est en vous.
L’expo sublime autour des artistes et de la lune au Grand Palais ! Le 20 juillet 2019, nous fêterons les cinquante ans des premiers pas de l’Homme sur la lune. Le Grand Palais fait de cet anniversaire un événement avec La Lune, du voyage réel aux voyages imaginaires. La Lune, aux frontières du rêve cosmiqueCet astre qui fascine les terriens depuis la nuit des temps se voit exposé à travers des œuvres et instruments scientifiques venus des quatre coins du monde, allant de l’Antiquité à notre époque. Une exploration inédite et ludique sur notre rapport à la lune, alimentée par de très nombreux objets. Articulée en cinq thématiques (de la lune à la Terre, la lune observée, cartographies de la lune, la lune est une personne et une expérience partagée de la beauté) l’exposition nous dévoile des objets rares et desinstallations exceptionnelles, immersives. Quels sont les premiers instruments qui ont permis aux humains d’observer la lune ? Quels regards ont posé les artistes sur le satellite à travers les siècles, de Manet à Kader Attia ? Comment Buzz Aldrin a photographiél’astre lors de l’alunissage en 1969 ? Ce sont autant d’éléments que vous découvrirez lors de votre déambulation, qui à coup sûr, vous laissera rêveur. La Lune, du voyage réel aux voyages imaginaires Grand Palais 3 avenue du Général Eisenhower, Paris 8 Du 3 avril au 22 juillet Tarif plein : 14 euros – Tarif réduit : 10 euros
Ce commentaire a été modifié le 13/06/2019 à 08:36
Balade Dans La Fascinante Autriche (Videos) La région du Burgenland est l'une de celles qui produisent les meilleurs vins autrichiens. Photo ThinkStock Véronique Rivest Collaboration Spéciale La Presse
Si l'Autriche rime plus pour vous avec ski, Johann Strauss ou wiener schnitzel qu'avec vin, vous n'êtes pas seul. La production viticole autrichienne est très petite et mal connue, malgré sa récente montée en popularité. Et l'Autriche mérite assurément qu'on s'y attarde. Sa réglementation viticole extrêmement stricte fait en sorte que ses vins sont en général d'une qualité très élevée. Son système d'appellation, empreint de la même rigueur que celui de l'Allemagne, a par contre aussi la même complexité... Pas toujours facile de s'y retrouver! Mais il n'est pas nécessaire d'en comprendre tous les rouages. Les grandes lignes sont assez simples. La plupart des vins présents sur le marché sont du niveau AOP (appellation d'origine protégée - comme les AOC de France ou DOC d'Italie). C'est donc dire: pas de vins de table ou de vins de pays. La grande majorité est issue de l'une des trois principales régions viticoles du pays (Basse-Autriche, Burgenland, Styrie) et porte la mention du cépage. Les deux tiers des vins sont blancs. D'excellents vins liquoreux sont produits, reconnaissables à leurs petits formats ou à des mentions telles que «auslese», «beerenauslese» et «trockenbeerenauslese» (ou TBA). Si l'un de ces termes, qui dénote le niveau de maturité des raisins à la vendange, ne se retrouve pas sur l'étiquette, le vin sera fort probablement sec. Source : Village Autrichien De Hallstatt Puisque les vins sont secs, ils sont aussi plus corsés (si le vin est sec, c'est que tout le sucre a été transformé en alcool, ce qui donne des vins plus puissants). Les blancs se rapprochent donc un peu plus du style alsacien que du style allemand. Mais la comparaison s'arrête là: l'Autriche produit des vins tout à fait uniques. Par ses cépages originaux, ses terroirs et son climat...Certes, certains cépages comme le riesling ne sont pas indigènes à l'Autriche et sont cultivés dans de nombreux autres pays. Mais, et c'est ce qui m'allume, ils ont en Autriche une signature tout à fait originale. Je dis souvent de ces vins, les blancs en particulier, qu'ils sentent l'Autriche avant de sentir le cépage. C'est-à-dire que leurs caractéristiques sont dues au terroir qui les a vus naître, plutôt qu'au cépage à partir duquel ils sont élaborés. Un bon riesling autrichien ne ressemblera pas à un riesling d'un autre pays. Et un grüner veltliner non plus, même s'il est très peu cultivé ailleurs. Les cépages rouges, majoritairement indigènes, jouissent de cette même singularité. Le climat de l'est de l'Autriche, où se retrouvent la plupart des vignobles, est intensément continental: les hivers peuvent être rudes et les étés très chauds et secs. La viticulture biologique y est par ailleurs importante. Les Autrichiens sont friands de produits bios et le pays est aussi la patrie de Rudolf Steiner, père de la biodynamie. De grandes différences de température entre le jour et la nuit favorisent un développement aromatique optimal. Mais plus que tout, c'est une notion de grande fraîcheur et de minéralité qui semble imprégner tous les vins. Ils possèdent une acidité fraîche, voire vive, et une minéralité prononcée qui, ensemble, leur confèrent une vitalité hors du commun. Le grüner veltliner se distingue par des arômes végétaux et épicés tout à fait originaux. Pas le végétal d'un vin pas mûr (un vin élaboré à partir de raisins qui ne sont pas mûrs peut dégager des arômes herbacés et végétaux)... Mais ce sont des arômes très spécifiques de lentilles, de haricots, de radis, de persil ou de cresson..... Source : Château De Newschawanstein. Le château de Neuschwanstein se dresse sur un éperon rocheux haut de 200 mètres près de Füssen dans l'Allgäu. Louis II de Bavière l'a fait construire au XIXᵉ siècle. Wikipédia .... Ceux-ci se mêlent à des arômes d'agrumes, de pomme et de poire, d'iris et d'épices, particulièrement de poivre. Les vins plus mûrs, issus des meilleurs vignobles, peuvent aussi présenter des notes de pêche, de miel, de gingembre ou de cardamome. Encore plus fascinant, les vins de grüner peuvent être mûrs et harmonieux à 11% d'alcool tout comme à 15%. On peut les classer de façon très générale en deux grandes familles: vifs et légers, ou riches et épicés. Les vins de riesling partagent ces traits, de fraîcheur et de minéralité, de grande vitalité. Ils font eux aussi preuve d'un tonus hors du commun, et sont de grands vins de garde. Mais les grüner ont un potentiel de garde encore plus grand. De nombreux vins peuvent évoluer harmonieusement pendant 10, 20, voire 30 ans et plus, en développant richesse et complexité, sans perdre de leur vitalité. Riesling et grüner sont des partenaires de choix pour la cuisine autrichienne. Rien de tel pour trancher dans la richesse des wiener schnitzel, ces fameuses escalopes de veau panées. Ils accompagnent aussi bien sûr à merveille les poissons et fruits de mer, des sauces aux agrumes et aux herbes fraîches. Le grüner a une affinité toute particulière avec les légumes...Fenouil, zucchini, haricots, chou-fleur, brocoli, endive, topinambours, épinards et choux divers -Même ceux réputés difficiles pour le vin, tels les artichauts ou les asperges. Source : Salzbourg, Autriche Il en va de même pour les épices: lorsque poivre blanc, gingembre, cardamome, cumin ou curcuma sont de la partie, le grüner peut s'avérer un très bon choix. Bien sûr, un plat riche ou relevé appellera un vin tout aussi riche...Beaucoup de vins autrichiens ont des capsules à vis ou des bouchons de verre. Les bouteilles sont plus faciles à ouvrir, à conserver, et peuvent aussitrès bien vieillir. Aucune crainte !
Le Jardin Défendu : le rooftop qui va faire tourner toutes les têtes.
Le quartier d’affaires de La Défense est sur le point de voir débarquer le plus grand « Open Air » de la capitale, un espace de 1500 mètres carrés entièrement dédiés aux loisirs, à la cuisine et à la musique. Tout ça aux pieds des tours de bureaux ! Quand notre « Manhattan local » devient synonyme de détente ! Mais dépêchez-vous, cette bulle de douceur est éphémère… LA nouvelle destination vacances ! C’est la saison durant laquelle chaque jour de nouveaux lieux festifs de « l’été parisien 2019 » se dévoilent pour notre plus grand plaisir ! Nous pouvons déjà vous dire, sans aucun doute, que Paris risque d’être la capitale de la fête cette année. À son tour, le quartier de La Défense s’offre une méga terrasse rassemblant deux bars à cocktails et à bières, un food court où tout ce que vous mangerez sera sain pour votre corps et délicieux, le tout baigné dans une ambiance musicale au top !
Coincé entre la Grande Arche et le centre commercial Les 4 temps, le Jardin Défendu déploie en douceur et en couleurs ses 1500 m2. Pour l’aménagement, les concepteurs ont fait appel à Maison du Monde. On obtient une déco chic, décontractée et remplie de plantes partout façon jungle urbaine. Vous allez vous sentir en vacances même au beau milieu des gratte-ciels. Côté cuisine, ils ont fait appel aux chefs Fabien Gomez et Loïc Cheveu, deux grands virtuoses de la gastronomie, pour vous offrir une cuisine généreuse, gourmande et originale. On nous assure que tous les produits sont issus de circuits courts. En plus de bien manger, vous ferez un geste pour la planète ! Le Jardin Défendu possède deux bars, l’un spécialisé dans les bières et l’autre dans les cocktails avec Bacardi-Martini qui vous proposera des créations spécialement conçues pour l’occasion. Au fait, pour des raisons pratiques, l’argent n’aura pas cours sur cette terrasse. La carte bleue sera acceptée dès 1 euros ou vous pourrez charger une carte No Cash. Cette année, nous partons en vacances… à La Défense ! Infos pratiques : Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 15h puis de 18h à 23h. Le samedi de 12h à 22h Le Jardin Défendu Place du Dôme, La Défense 92 À lire également : Un resto se transforme en plage pour l’été ! Les meilleurs rooftops de Paris Le nouveau resto éphémère qui fait grand bruit ! Crédits photo : Kym Nguye
Ce commentaire a été modifié le 12/06/2019 à 18:20
Quelques vérités sur Notre-Dame ! Quelques vérités sur Notre-Dame !
Morgane Dumoulin « Malheureusement, je pense que ce n’est pas un accident : ancienne étudiante de l’Ecole du Louvre, diplômée en Histoire de l’art, j’ai visité la charpente de Notre Dame avec des architectes des Bâtiments de France, il y a plusieurs années. Cette charpente de bois, du Xlle siècle, était protégée comme jamais ! Chaque intervention est toujours accompagnée par des architectes, des experts,des historiens, ... Aucun début de travaux n’est envisagé, sans une prudence extrême : pas de source de chaleur, aucun chalumeau, ni appareil électrique ; un système d’alarme performant et une surveillancetrès stricte. Je pense que nous finirons par apprendre qu'il s'agit d'un incendie criminel » ___________________________________________________________________ Philippe Villeneuve, architecte en chef des Monuments Historiques et responsable de la restauration de la flèche. « Suite à différentes questions et témoignages, il m’apparaît utile d’apporter cette info :les travaux de restauration proprement dits n’avaient pas encore débuté ; seuls les échafaudages étaient en cours de montage. Aucune soudure ni aucun point chaud possibles, donc » ___________________________________________________________________ Maxime Morlon « Je partage cette analyse. Pour travailler souvent en milieu dangereux avec des ATEX (Réglementation européenne relative à l'usage de certains matériels en atmosphère explosive), je confirme que toutes les précautions sont prises sur ce genre du bâtiment, outre des mesures de prévention, drastiques. On demande d’enlever tous les matériels électriques et de travail par point chaud, comme les chalumeaux, dès la fin de la journée de travail. Tout est stocké dans des endroits appropriés. L’ascenseur, installé avec l’échafaudage servait aussi à cela.Le travail par point chaud est soumis à autorisation journalière ; il est supervisé par des spécialistes qui mesurent le taux de poussière dans l’air et la présence éventuelle de gaz pour éviter tout départ de feu ou explosion.La couleur des flammes et le dégagement de fumée sont aussi très suspects Personnellement, je n’ai jamais vu du bois sec produire des flammes aussi blanches à leur base et autant de chaleur. Il suffit de regarder les incendies de vieilles maisons, où l’on constate que les poutres sont les dernières choses qui restent, avec lesmurs porteurs, même après plusieurs heures de combustion. La charpente de Notre-Dame s'est vaporisée en moins d’une heure, comme si on avait utilisé un accélérateur de combustion du bois. Je ne crois absolument pas à la thèse accidentelle » ___________________________________________________________________ Thierry Scootard « Ancien pompier, je me pose une question : jamais je n’ai vu un feu de charpente prendre sans combustible. La première question qui me trotte en tête est de savoir quel combustible aurait pu servir pour embraser ces poutres, de plus de 40 cm d'épaisseur. 1e solution : un faux contact électrique. Ok, mais quand on voit les combles, personnellement j’en doute.Surtout qu'aucun combustible ne traînait. 2e solution : un chalumeau dirigé vers une poutre pendant au moins 15 min., pour commencer à faire prendre une poutre ! Mais ensuite, pour la propagation, j’en doute aussi. 3e solution : un effet backdraft, c’est-à-dire un feu dans un local, suivi d’une implosion à la suite d’une prise d'air » ___________________________________________________________________ Loulou Luigi « Ancien charpentier boiseur, je puis assurer que ces pilastres multi-centenaires ne peuvent brûler comme un vulgaire fétu de paille ! Le seul fait d'avoir été protégés durant des siècles, les a rendus imputrescibles et ininflammables. Il aurait fallu un feu couvant durant plusieurs jours, sans que personne ne puisse le voir, ni en voir les fumerolles ! Impossible » __________________________________________________________________ Patricia Etout « Cet incendie d'une rare violence et d'une rare intensité laisse sceptique sur le fait qu'il ait démarré spontanément. Une telle puissance et une propagation aussi rapide, suscite immanquablement des questions » _____________________________________________ Aline Aitaine « Sachant que matin et soir, il y a une inspection par les pompiers qui surveillent le site ; qu'il n'y avait aucun ouvrier sur le chantier ; qu'il y aurait eu deux départs de feu (selon LCI) ; que le feu s'est propagé à une vitesse exceptionnelle ; que la Basilique St Denis a fait l'objet d'un incendie volontaire ; etc., etc. Mais "pas de conclusions hâtives, ni d'amalgames !..." Pour ma part, je pense en effet qu’il y a eu plus d'un départ, pour provoquer un tel embrasement. En effet, vers 18h20, une première alarme incendie s’est déclenchée. Les agents ont fait le tour sans rien constater d’anormal. Donc, ils sont soit stupides, soit incompétents : j’aurais été vérifier dans les combles, sachant que des travaux de rénovation vont avoir lieu. A 18h47, une deuxième alarme incendie se déclenche, ce qui veut dire que le feu s'est propagé en 27 min. dans les combles ou qu’un autre départ de feu est survenu. Bref beaucoup d’interrogations. J'en ai vu, des feux de toitures, mais c'étaient des maisons isolées à la laine de verre et truffées de gaines électriques. Dans le cas de Notre-Dame, apparement les combles en étaient vierges : il y avait juste des poutres, -- aux dimensions monstrueuses. Pour rappel, la cathédrale de Nantes a subi le même incendie, -- imputé à un chalumeau resté malencontreusement allumé. Dans le cas présent, les travaux en étaient au stade de la pose d'échafaudages. Il n'y avait pas encore de chalumeau (ni d'autre matériel). Bref, beaucoup de questions resteront sans réponse… »
(mayyan:une personne présente dans la cathédrale a affirmé avoir entendu 2 explosions à quelques minutes d'intervalle et on en a jamais entendu parler ?) ____________________________________ Anonyme « Je peux vous garantir (ou presque), que l'incendie est criminel : la sécurité et les mesures mises en œuvre sont juste hallucinantes. Chaquejour, en fin de chantier, des agents équipés de caméras infrarouges, font le tour de chaque place où les ouvriers sont installés pour travailler. Chaque soudure est contrôlée et vérifiée ; interdiction de fumer à n'importe quel endroit : caméras dans tous les coins, sous les spots et sous chaque angle (pour les vols et les cigarettes), extincteurs tous les 5 mètres, dispositifs détecteurs de fumée, en veux-tu en voilà. Ils font même des essais, matin, midi et soir pour s’assurer du bon fonctionnement. Mon frère travaille sur le chantier de Notre-Dame depuis plus de six ans : sa firme est la seule à avoir rénové cette merveille, ces dernières années: toiture, ardoises, cuivres, charpente, boiseries, etc.). Il n'arrête pas de me répéter qu’il est impossible et incompréhensible qu'un incendie se soit déclenché spontanément : les dispositifs de sécurité pour pallier les risques d'incendie sont impressionnants et les procédures répétées chaque jour » __________________________________________________________________ Français Du Jura « Je travaille à Paris, depuis 2000, comme tailleur de pierre. J’ai participé à de nombreux chantiers. Le bois n'émet pas de fumée jaune ; la pétrochimie, oui » ___________________________________________________________________ Maintenant, c’est à vous de vous faire une opinion et de choisir la thèse qui vous convient. Voici différents témoignages à prendre en compte dans votre recherche de la vérité.
Ce commentaire a été modifié le 12/06/2019 à 08:59
C’est à deux pas de la rue des Martyrs, à côté de la place Saint-Georges, dans la très charmante rue Henry Monnier qu’on découvre un restaurant aux allures pop et graphiques qui nous donnent immédiatement envie de pousser la porte.Laetitia et Richard nous accueillent chaleureusement dans cet ancien salon de thé, bien parisien. Côté déco, on y retrouve tout ce que l’on aime des bistrots du Paris tradi ; moulures classiques, miroirs qui ornent les murs et carreaux de ciment d’origine. Alors on s’installe au fond, dans un petit coin tranquille pour admirer cette belle salle de restaurant.
Cantine chic le midi (Formule Déjeuner entrée-plat et café, à 15,50€) et restaurant branché, le soir. On découvre la carte aussi surprenante quela déco : des plats gourmands et finement travaillés par la chef, Claire Vautrin, qui nous mettent l’eau à la bouche.
Bistrot traditionnel… ou presque. Oui oui, c’est vegan ! Fruits et légumes de saison, produits locaux, une carte 100% faite maison. En fait, manger chez brEAThe, c’est s’envoyer un bon burger de seitan maison au « fromage » coulant, tremper ses frites dans une mayonnaise à l’ail, tout en sirotant un cocktail monté au jus de pois chiche. Régal des papilles et des pupilles ! Attention ! Pas question de se faire taper sur les doigts si on aime la viande ou si l’on ne connaît pas : ici on mange beau et bien… Un point c’est tout.
Alors on commence par l’assiette à partager (à partager… ou pas !) Tapas oblige, pour accompagner son premier verre ! On grignote, en famille ou entre copains ; tartines de châtaigne aux noisettes, « oeufs » façon mimosa et croquettes de pommes de terre.
À suivre, entrées raffinées ; Ravioles grillées, farce de shiitaké et seitan, sauce gingembre et huile de sésame grillé (à ne pas manquer !), Velouté de potimarron et pointe de gousse de vanille (sans doute le potage le plus réconfortant de la terre). Et pour finir, le carpaccio debetteraves, infusées au safran et garnies d’une crème de carotte aux épices zaatar pour dynamiser ses papilles et faire le plein de vitamines!
Les plats : petit appétit s’abstenir ! Adieu bowls, green salads et lentilles, bonjour la cuisine, la vraie.
À la carte, on y trouve tout cequi paraît de plus “classique”; Burger, Curry rouge Thaï, Club Sandwichou encore, Linguine à la crème de cèpes… On goûte le Burger. Décadence assurée… Le « Steak » maison de seitan (cette fameuse préparation à basede gluten de blé, qui se travaille à toutes les sauces) en trompe plus d’un. On vous met au défi de voir la différence avec un Burger «tradi», les fans de junk food l’adopteront, à coup sûr !On attaque le Club Sandwich (gigantesque),
« fromage », « bacon » maison de seitan fumé, galette de pomme de terre, fondue de poireaux et crème de moutarde à l’ancienne… qui nous réconcilie avec le Club Sandwich tropsouvent riquiqui, dans les brasseries.
Le Curry rouge Thaï de légumes d’hiver. Tofu frit, crème de coco, le tout, accompagné d’un riz rouge sauvage est également une pépite !
Les desserts : immanquables ! Beaucoup plus légers et « nature » que les desserts à base d’oeufs et de lait, ces petites beautés sont à tester, avec le café. On adore retrouver le goût simple des produits bien travaillés (pas trop sucré et gras). Côté dressage, ça ne rigole pas : on est sur du dessert à haut potentiel instagrammable ! Millefeuille cassis et crème de marron, tartelette pop corn à la mangue et zeste de citron vert, biscuit breton au pamplemousse et chantilly caramel beurre
salé et moelleux tout chocolat avec son coeur coulant et sa crème anglaise.
Mention spéciale pour les cocktails (avec ou sans alcool) ! L’exploration de l’univers végétal continue. Un verre, concocté et servi avec soin par lebarman, mixant spiritueux, liqueurs étonnantes et herbes fraîches.
Surprise : ici, le blanc d’oeuf monté est remplacé par l’aquafaba shaké (eau de pois chiches), pour retrouver la mousse gourmande et dense que l’on connaît des Sour.
On vous conseille le Madame Violette (liqueur de fleur de sureau, sirop deviolette, lavande et champagne) une création florale, l’Amarreto Sour (Amaretto, vodka, jus de citron frais, monté à l’aquafaba et bitter ananas maison), Cherry Negroni (Gin, amaro montenegro, luxardo maraschino, cerise confite et bitter cerise), alcoolisé… comme en 1919.
Et le dimanche, c’est détente ! Grignotage copieux en règle : jus frais vitaminé du jour ou Bellini contre la gueule de bois, chocolat chaud amande, puis Tartine « oeufs » mimosa, pesto de brocoli, “bacon” maison,Croissant artisanal ou encore Tartelette crumble aux framboises fraîches… Le brunch, on adore et on en redemande !
Infos pratiques :
brEAThe Restaurant
16 rue Henry Monnier – Paris 9
Ouvert du Mardi au Jeudi de 12h à 14h30 et de 18h30 à 22h30, le Vendredi de
12h à 14h30 et de 18h30 à 23h30, le Samedi de 12h à 15h et de 18h30 à
23h30.
Brunch du Dimanche à 29€, de 12h à 15h (la carte reste disponible)
Livraison à domicile ou -10% à retirer sur place.
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Le classement est tombé : sur les 50 meilleures pizzeria d’Europe élues par le très sérieux comité milanais « Identità Golose« , 7 sont françaises. Cocorico !
Découvrez les grandes gagnantes pour ensuite courir et croquer dans la mozzarella filante !
La crème de la crème de la pizza parisienne.
Savez-vous que nous sommes les deuxièmes plus gros consommateurs de pizza au monde, juste après les Etats-Unis et devant l’Italie ? Sans doute est-cepour cette raison que Paris possède autant de pizzerias de grande qualité. Sans plus attendre, voici la liste des pizzeria choisies par lecomité de critiques gastronomiques italiens. Vous y retrouverez
peut-être votre adresse de quartier préférée !
Bijou.
Bijou.
10 Rue Dancourt, 75018 Paris.
Ouvert tous les jours, de 12h à 15h et de 19h à 23h
01 42 57 47 29
Ober Mamma.
Ober Mamma.
107 boulevard Richard Lenoir, Paris 11
Ouvert tous les jours de 12h15 à 14h15 (15h30 les samedi et dimanche) et de 19h à 22h45 (23h les samedi et dimanche)
Tèl : 01 58 30 62 78
Pizzeria Popolare.
Popolare.
111 rue Réaumur, Paris 2
Ouvert tous les jours de 11h45 à 14h15 et de 18h30 à 22h45
Tèl : 01 42 21 30 92
Louie Louie.
Crédit photo : Martyna Pawlak
Louie Louie.
78 rue de Charonne, Paris 11
Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 et de 19h à 23h30
Tèl : 09 73 58 14 36
Manhattan Terrazza.
Manhattan Terrazza.
108 Avenue de Villiers, Paris 17
Service continu tous les jours de 8h à 00h
Tèl : 01 47 63 32 77
Tripletta.
Tripletta.
88, boulevard de Belleville, Paris 20
01 42 54 72 80
Ouvert tous les jours de 12h à 14h30 puis de 19h à 23h
Le week-end en service non-stop
Guillaume Grasso, la vera pizza Napoletana.
Crédit photo : Instagram @venusdemilou
Guillaume Grasso - 45 rue Brancion, Paris 15
Ouvert du lundi au samedi de 12h à 14h30 et de 19h à 23h
Tèl : 01 45 33 83 83
Vos mirettes ne se sont toujours pas remises de la farandole de parapluies colorés suspendus dans le Village Royal ?
il se trouve que la fièvre arc-en-ciel s’est également emparée de Bercy Village, qui depuis le 8
juin a installé plusieurs milliers de ballons au dessus de la cour Saint-Emilion.
3200 ballons à Bercy Village, une parenthèse poétique Pour cette installation éphémère (présente jusqu’au 31 août) Bercy Village afait appel à l’artiste Patricia Cunha. Répartis dans l’allée
principale, les ballons réfléchiront la lumière, créant une mosaïque multicolore sur le sol.
Crédit photo : Bercy Village
À cette installation s’ajoute la mise en place d’une Bubble pool, où les passants pourront se plonger tous en postant des clichés d’eux sur les réseaux sociaux. Les bancs sont également relookés aux couleurs de l’arc-en-ciel, tandis que des ronds colorés habilleront l’entrée du centre commercial.
Crédit photo : Bercy Village
Quelque chose nous dit que Bercy Village sera sans doute l’un des lieux parisiens les plus photographiés de l’été !
Joli non ?
18, rue de Passy, 75016
Passy (ligne 6) ou La Muette (ligne 9)
01 42 24 46 24
Avec ses 400 salles, dont une centaine d’art et d’essai, la capitale remporte haut-la-main la palme du nombre de salles de cinéma en France. Situé à quelques encablures du Trocadéro, le Majestic Passy constitue pourtant le seul cinéma de cet arrondissement aisé de l’ouest parisien.
Le Majestic Passy, à l’angle de la rue de Passy et de la rue Claude Chahu (© mapio.net)
Ce petit cinéma, situé sur la rue de Passy, a ouvert ses portes en 1937 sous le nom Royal-Passy. À cette époque, en plein âge d’or du cinéma français, les cinémas de quartier fleurissent à chaque coin de rue. Entre les années 30 et 50, le
16e arrondissement possédait en effet de nombreux cinémas de quartier : la rue de Passy a compté jusqu’à quatre établissements à elle-seule !
Les Trente Glorieuses ? Pas pour l’industrie du cinéma… Entre 1957 et la fin des années 70, le 7e art, concurrencé par la télévision,perd plus des deux-tiers de son public. Comme de nombreux autres cinémas de la capitale, les établissements du 16e disparaissent les uns après les autres : le Victor-Hugo Pathé, le cinéma Passy, le Mayfair-Pathé, le cinéma Régent,
Tous mettent la clé sous la porte par manque de fréquentation.
Le Majestic Passy, alors connu sous le nom “Royal Broadway”, n’échappe pas à cette vague de fermeture et est contraint d’éteindre ses projecteurs à l’automne 1982. Pendant douze ans se dressera un magasin de fourrure à la place de l’ancien cinéma. Le 16e arrondissement ne compte alors plus aucune salle obscure.
Restauration et réouverture : le Majestic Passy, seul cinéma du 16e.
Les locaux du Majestic Passy sont rachetés en 1994 par le réseau “Les Écrans de Paris” qui possède alors plusieurs cinémas indépendants dans la capitale, dontl’Escurial Panorama, le Reflet Médicis, le Majestic Bastille et l’Arlequin. La société entreprend des travaux de restauration et de restructuration, notamment dans la grande salle qu’elle équipe d’un écran panoramique de 13 m. Le 26 octobre 1994, c’est avec une diffusion de la Palme d’or de Quentin Tarantino, Pulp Fiction, que le Majestic Passy, ouvre à nouveau ses portes.
L’une des trois salles du Majestic Passy (© Julien Labrosse, Les écrans de Paris)
L’établissement, composé de trois salles et d’un petit café, reprend alors sa place de seul cinéma du 16e arrondissement. Depuis, le Majestic Passy propose une programmation grand public, mais de qualité, qui tente de tenir tête à la concurrence des multiplexes voisins, comme le Gaumont Champs-Elysées ou le Pathé Beaugrenelle.
L’été sera plus cinéphile que jamais à Paris ! Après la Villette, c’est le Moulin Rouge qui lance son cinéma en plein air, ni plus ni moins que sur le toit du prestigieux cabaret ! Au programme de juillet à septembre : des comédies, des drames et des thrillers, avec 50% de cinéastes femmes, 50% de cinéastes hommes. On aime !
Plein feux sur le ciné plein air du bar à bulles Le bar à bulles, c’est le toit terrasse arboré du Moulin Rouge, depuis lequel on peut même admirer les ailes du fameux moulin ! Un point de vue à la fois unique et insolite aux accents champêtres grâces aux plantes grimpantes et tables de jardins rétro.
Pour la période estivale, un partenariat entre le cabaret et So Film prévoient la projection de 10 longs-métrages embrassant tous les genres et tous les styles de réalisateurs : on attend Agnès Varda, Wes Anderson, Hou Hsiao-Hsien, Barbara Loden… Une programmation éclectique allant du film indé (Toi, Moi et tous les autres de Miranda July) à la grosse comédie américaine, à l’image de la projection de Superbad.
Découvrez ci-dessous la programmation complète :
10 juillet à 22h : Le Bonheur, d’Agnès Varda (1965)
17 juillet à 22h : Adaptation, de Spike Jonze (2002)
24 juillet à 22h : Steak, de Quentin Dupieux (2007)
31 juillet à 22h : Wanda, de Barbara Loden (1970)
7 août à 22h : Bottle Rocket, Wes Anderson (1996)
14 août à 22h : Superbad, Greg Mottola (2007)
21 août à 21h30 : Les garçons de Fengkuei, Hou Hsiao-Hsien (1983)
28 août à 21h30 : Everyone else, Maren Ade (2009)
4 septembre à 21h30 : Songs my brother told me, Chloé Zhao (2015)
11 septembre à 21h30 : Moi, toi et tous les autres, Miranda July (2005)
Alors, prêts à faire le plein de cinéma ?
Le bar à bulles – La Machine du Moulin Rouge
90, boulevard de Clichy, Paris 18
Ô joie ! Comme chaque été depuis quelques années maintenant, le Cinéma enplein air de la Villette est de retour avec une programmation plus alléchante et variée que jamais ! Découvrez le programme, placé cette année sous le thème du futur.
On aime le Ciné Villette ! C’est l’un des meilleurs bons plans parisiens de l’été : des projections en plein air sur écran géant dans le Parc de la Villette. Devenu un événement incontournable, chaque année est l’occasion de proposer de nouveaux films des plus fameux réalisateurs, des plus cultes aux indépendants. Du film américain futuriste au film d’animation japonaise pour enfants, tout le monde pourra se régaler.
Cette année, vous pourrez notamment voir entre autres :
Le 17 juillet : Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve, 2017)
Le 20 juillet : Ponyo sur la falaise (Hayao Miyazaki, 2009)
Mercredi 24 juillet : Petit paysan (Hubert Charuel, 2017)
Vendredi 26 juillet : Her (Spike Jonze, 2014)
Dimanche 28 juillet : Les Temps Modernes (Charlie Chaplin, 1936)
Vendredi 2 août : Snowpiercer, le Transperceneige (Bong Joon-Ho, 2016)
Dimanche 4 août : Et au milieu coule une rivière (Robert Redford, 1993)
Vendredi 9 août : L’île aux chiens (Wes Anderson, 2018)
Mercredi 14 août : Les glaneurs et la glaneuse (Agnès Varda, 1999)
Découvrez la programmation complète ici !
À vos transats ! Rendez-vous du 17 juillet au 18 août pour faire ressortir le cinéphile qui est en vous.
Le 20 juillet 2019, nous fêterons les cinquante ans des premiers pas de l’Homme sur la lune. Le Grand Palais fait de cet anniversaire un événement avec La Lune, du voyage réel aux voyages imaginaires.
La Lune, aux frontières du rêve cosmique Cet astre qui fascine les terriens depuis la nuit des temps se voit exposé à travers des œuvres et instruments scientifiques venus des quatre coins du monde, allant de l’Antiquité à notre époque. Une exploration inédite et ludique sur notre rapport à la lune, alimentée par de très nombreux objets.
Articulée en cinq thématiques (de la lune à la Terre, la lune observée, cartographies de la lune, la lune est une personne et une expérience partagée de la beauté) l’exposition nous dévoile des objets rares et desinstallations exceptionnelles, immersives.
Quels sont les premiers instruments qui ont permis aux humains d’observer la lune ?
Quels regards ont posé les artistes sur le satellite à travers les siècles, de Manet à Kader Attia ?
Comment Buzz Aldrin a photographiél’astre lors de l’alunissage en 1969 ?
Ce sont autant d’éléments que vous découvrirez lors de votre déambulation, qui à coup sûr, vous laissera rêveur.
La Lune, du voyage réel aux voyages imaginaires
Grand Palais
3 avenue du Général Eisenhower, Paris 8
Du 3 avril au 22 juillet
Tarif plein : 14 euros – Tarif réduit : 10 euros
La région du Burgenland est l'une de celles qui produisent les meilleurs vins autrichiens.
Photo ThinkStock
Véronique Rivest Collaboration Spéciale La Presse
Si l'Autriche rime plus pour vous avec ski, Johann Strauss ou wiener schnitzel qu'avec vin, vous n'êtes pas seul. La production viticole autrichienne est très petite et mal connue, malgré sa récente montée en popularité.
Et l'Autriche mérite assurément qu'on s'y attarde. Sa réglementation viticole extrêmement stricte fait en sorte que ses vins sont en général d'une qualité très élevée.
Son système d'appellation, empreint de la même rigueur que celui de l'Allemagne, a par contre aussi la même complexité... Pas toujours facile de s'y retrouver! Mais il n'est pas nécessaire d'en comprendre tous les rouages. Les grandes lignes sont assez simples.
La plupart des vins présents sur le marché sont du niveau AOP (appellation d'origine protégée - comme les AOC de France ou DOC d'Italie).
C'est donc dire: pas de vins de table ou de vins de pays.
La grande majorité est issue de l'une des trois principales régions viticoles du pays (Basse-Autriche, Burgenland, Styrie) et porte la mention du cépage.
Les deux tiers des vins sont blancs. D'excellents vins liquoreux sont produits, reconnaissables à leurs petits formats ou à des mentions telles que «auslese», «beerenauslese» et «trockenbeerenauslese» (ou TBA).
Si l'un de ces termes, qui dénote le niveau de maturité des raisins à la vendange, ne se retrouve pas sur l'étiquette, le vin sera fort probablement sec.
Source : Village Autrichien De Hallstatt
Puisque les vins sont secs, ils sont aussi plus corsés (si le vin est sec, c'est que tout le sucre a été transformé en alcool, ce qui donne des vins plus puissants).
Les blancs se rapprochent donc un peu plus du style alsacien que du style allemand. Mais la comparaison s'arrête là: l'Autriche produit des vins tout à fait uniques. Par ses cépages originaux, ses terroirs et son climat...Certes, certains cépages comme le riesling ne sont pas indigènes à l'Autriche et sont cultivés dans de nombreux autres pays.
Mais, et c'est ce qui m'allume, ils ont en Autriche une signature tout à fait originale.
Je dis souvent de ces vins, les blancs en particulier, qu'ils sentent l'Autriche avant de sentir le cépage.
C'est-à-dire que leurs caractéristiques sont dues au terroir qui les a vus naître, plutôt qu'au cépage à partir duquel ils sont élaborés.
Un bon riesling autrichien ne ressemblera pas à un riesling d'un autre pays.
Et un grüner veltliner non plus, même s'il est très peu cultivé ailleurs.
Les cépages rouges, majoritairement indigènes, jouissent de cette même singularité.
Le climat de l'est de l'Autriche, où se retrouvent la plupart des vignobles, est intensément continental: les hivers peuvent être rudes et les étés très chauds et secs.
La viticulture biologique y est par ailleurs importante. Les Autrichiens sont friands de produits bios et le pays est aussi la patrie de Rudolf Steiner, père de la biodynamie.
De grandes différences de température entre le jour et la nuit favorisent un développement aromatique optimal.
Mais plus que tout, c'est une notion de grande fraîcheur et de minéralité qui semble imprégner tous les vins.
Ils possèdent une acidité fraîche, voire vive, et une minéralité prononcée qui, ensemble, leur confèrent une vitalité hors du commun.
Le grüner veltliner se distingue par des arômes végétaux et épicés tout à fait originaux. Pas le végétal d'un vin pas mûr (un vin élaboré à partir de raisins qui ne sont pas mûrs peut dégager des arômes herbacés et végétaux)...
Mais ce sont des arômes très spécifiques de lentilles, de haricots, de radis, de persil ou de cresson.....
Source : Château De Newschawanstein. Le château de Neuschwanstein se dresse sur un éperon rocheux haut de 200 mètres près de Füssen dans l'Allgäu. Louis II de Bavière l'a fait construire au XIXᵉ siècle. Wikipédia
....
Ceux-ci se mêlent à des arômes d'agrumes, de pomme et de poire, d'iris et d'épices, particulièrement de poivre.
Les vins plus mûrs, issus des meilleurs vignobles, peuvent aussi présenter des notes de pêche, de miel, de gingembre ou de cardamome.
Encore plus fascinant, les vins de grüner peuvent être mûrs et harmonieux à 11% d'alcool tout comme à 15%.
On peut les classer de façon très générale en deux grandes familles: vifs et légers, ou riches et épicés.
Les vins de riesling partagent ces traits, de fraîcheur et de minéralité, de grande vitalité.
Ils font eux aussi preuve d'un tonus hors du commun, et sont de grands vins de garde.
Mais les grüner ont un potentiel de garde encore plus grand.
De nombreux vins peuvent évoluer harmonieusement pendant 10, 20, voire 30 ans et plus, en développant richesse et complexité, sans perdre de leur vitalité.
Riesling et grüner sont des partenaires de choix pour la cuisine autrichienne.
Rien de tel pour trancher dans la richesse des wiener schnitzel, ces fameuses escalopes de veau panées.
Ils accompagnent aussi bien sûr à merveille les poissons et fruits de mer, des sauces aux agrumes et aux herbes fraîches.
Le grüner a une affinité toute particulière avec les légumes...Fenouil, zucchini, haricots, chou-fleur, brocoli, endive, topinambours, épinards et choux divers -Même ceux réputés difficiles pour le vin, tels les artichauts ou les asperges.
Source : Salzbourg, Autriche
Il en va de même pour les épices: lorsque poivre blanc, gingembre, cardamome, cumin ou curcuma sont de la partie, le grüner peut s'avérer un très bon choix. Bien sûr, un plat riche ou relevé appellera un vin
tout aussi riche...Beaucoup de vins autrichiens ont des capsules à vis ou des bouchons de verre.
Les bouteilles sont plus faciles à ouvrir, à conserver, et peuvent aussitrès bien vieillir. Aucune crainte !
Clic.......................An Incredible Journey - Directors Cut from geoff tompkinson on Vimeo.
Clic.......................European Road Trip 4k from BaptisteMercierPhotography on Vimeo.
Clic.......................A Taste of Austria from FilmSpektakel on Vimeo.
Clic.......................A Taste of Vienna from FilmSpektakel on Vimeo.
Clic.......................Vienne, Autriche from Arty on Vimeo.
Clic.......................GSVINTAGE - Autriche Musée Moto Hochgurgl from GSVINTAGE on Vimeo.
Clic.......................Austria 2015 - On Board from The Capricorne on Vimeo.
Le quartier d’affaires de La Défense est sur le point de voir débarquer le plus grand « Open Air » de la capitale, un espace de 1500 mètres carrés entièrement dédiés aux loisirs, à la cuisine et à la musique. Tout ça aux pieds des tours de bureaux !
Quand notre « Manhattan local » devient synonyme de détente ! Mais dépêchez-vous, cette bulle de douceur est éphémère…
LA nouvelle destination vacances ! C’est la saison durant laquelle chaque jour de nouveaux lieux festifs de « l’été parisien 2019 » se dévoilent pour notre plus grand plaisir ! Nous pouvons déjà vous dire, sans aucun doute, que Paris risque d’être la capitale de la fête cette année. À son tour, le quartier de La Défense s’offre une méga terrasse rassemblant deux bars à cocktails et à bières, un food court où tout ce que vous mangerez sera sain pour votre corps et délicieux, le tout baigné dans une ambiance musicale au top !
Coincé entre la Grande Arche et le centre commercial Les 4 temps, le Jardin Défendu déploie en douceur et en couleurs ses 1500 m2. Pour l’aménagement, les concepteurs ont fait appel à Maison du Monde. On obtient une déco chic, décontractée et remplie de plantes partout façon jungle urbaine. Vous allez vous sentir en vacances même au beau milieu des gratte-ciels.
Côté cuisine, ils ont fait appel aux chefs Fabien Gomez et Loïc Cheveu, deux grands virtuoses de la gastronomie, pour vous offrir une cuisine généreuse, gourmande et originale. On nous assure que tous les produits sont issus de circuits courts. En plus de bien manger, vous ferez un geste pour la planète !
Le Jardin Défendu possède deux bars, l’un spécialisé dans les bières et l’autre dans les cocktails avec Bacardi-Martini qui vous proposera des créations spécialement conçues pour l’occasion. Au fait, pour des raisons pratiques, l’argent n’aura pas cours sur cette terrasse. La carte bleue sera acceptée dès 1 euros ou vous pourrez charger une carte No Cash. Cette année, nous partons en vacances… à La Défense !
Infos pratiques :
Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 15h puis de 18h à 23h.
Le samedi de 12h à 22h
Le Jardin Défendu
Place du Dôme, La Défense 92
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Le nouveau resto éphémère qui fait grand bruit !
Crédits photo : Kym Nguye
Quelques vérités sur Notre-Dame !
Morgane Dumoulin
« Malheureusement, je pense que ce n’est pas un accident : ancienne étudiante de l’Ecole du Louvre, diplômée en Histoire de
l’art, j’ai visité la charpente de Notre Dame avec des architectes des Bâtiments de France, il y a plusieurs années. Cette charpente de bois, du Xlle siècle, était protégée comme jamais !
Chaque intervention est toujours accompagnée par des architectes, des experts,des historiens, ... Aucun début de travaux n’est envisagé, sans une prudence extrême : pas de source de chaleur, aucun chalumeau, ni appareil électrique ; un système d’alarme performant et une surveillancetrès stricte.
Je pense que nous finirons par apprendre qu'il s'agit d'un incendie criminel »
___________________________________________________________________
Philippe Villeneuve, architecte en chef des Monuments Historiques et responsable de la restauration de la flèche.
« Suite à différentes questions et témoignages, il m’apparaît utile d’apporter cette info :les travaux de restauration proprement dits n’avaient pas encore débuté ; seuls les échafaudages étaient en cours de montage. Aucune soudure ni aucun point chaud possibles, donc »
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Maxime Morlon
« Je partage cette analyse. Pour travailler souvent en milieu dangereux avec des ATEX (Réglementation européenne relative à l'usage de certains matériels en atmosphère explosive), je confirme que toutes les précautions sont prises sur ce genre du bâtiment, outre des mesures de prévention, drastiques. On demande d’enlever tous les matériels électriques et de travail par
point chaud, comme les chalumeaux, dès la fin de la journée de travail.
Tout est stocké dans des endroits appropriés.
L’ascenseur, installé avec l’échafaudage servait aussi à cela. Le travail par point chaud est soumis à autorisation journalière ; il est supervisé par des spécialistes qui mesurent le taux de poussière dans l’air et la présence éventuelle de gaz pour éviter tout départ de feu ou explosion.La couleur des flammes et le dégagement de fumée sont aussi très suspects
Personnellement, je n’ai jamais vu du bois sec produire des flammes aussi blanches à leur base et autant de chaleur. Il suffit de regarder les incendies de vieilles maisons, où l’on constate que les poutres sont les dernières choses qui restent, avec lesmurs porteurs, même après plusieurs heures de combustion.
La charpente de Notre-Dame s'est vaporisée en moins d’une heure, comme si on avait utilisé un accélérateur de combustion du bois. Je ne crois absolument pas à la thèse accidentelle »
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Thierry Scootard
« Ancien pompier, je me pose une question : jamais je n’ai vu un feu de charpente prendre sans combustible.
La première question qui me trotte en tête est de savoir quel combustible aurait pu servir pour embraser ces poutres, de plus de 40 cm d'épaisseur.
1e solution : un faux contact électrique. Ok, mais quand on voit les combles, personnellement j’en doute.Surtout qu'aucun combustible ne traînait.
2e solution : un chalumeau dirigé vers une poutre pendant au moins 15 min., pour commencer à faire prendre une poutre ! Mais ensuite, pour la propagation, j’en doute aussi.
3e solution : un effet backdraft, c’est-à-dire un feu dans un local, suivi d’une implosion à la suite d’une prise d'air »
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Loulou Luigi
« Ancien charpentier boiseur, je puis assurer que ces pilastres multi-centenaires ne peuvent brûler comme un vulgaire fétu de paille !
Le seul fait d'avoir été protégés durant des siècles, les a rendus imputrescibles et ininflammables.
Il aurait fallu un feu couvant durant plusieurs jours, sans que personne ne puisse le voir, ni en voir les fumerolles ! Impossible »
__________________________________________________________________
Patricia Etout
« Cet incendie d'une rare violence et d'une rare intensité laisse sceptique sur le fait qu'il ait démarré spontanément.
Une telle puissance et une propagation aussi rapide, suscite immanquablement des questions »
_____________________________________________
Aline Aitaine
« Sachant que matin et soir, il y a une inspection par les pompiers qui surveillent le site ; qu'il n'y avait aucun ouvrier sur le chantier ; qu'il y aurait eu deux départs de feu (selon LCI) ; que le feu s'est propagé à une vitesse exceptionnelle ; que la Basilique St Denis a fait l'objet d'un incendie volontaire ; etc., etc.
Mais "pas de conclusions hâtives, ni d'amalgames !..." Pour ma part, je pense en effet qu’il y a eu plus d'un départ, pour provoquer un tel embrasement.
En effet, vers 18h20, une première alarme incendie s’est déclenchée. Les agents ont fait le tour sans rien constater d’anormal. Donc, ils sont soit stupides, soit incompétents : j’aurais été vérifier dans les combles, sachant que des travaux de rénovation vont avoir lieu.
A 18h47, une deuxième alarme incendie se déclenche, ce qui veut dire que le feu s'est propagé en 27 min. dans les combles ou qu’un autre départ de feu est survenu.
Bref beaucoup d’interrogations. J'en ai vu, des feux de toitures, mais c'étaient des maisons isolées à la laine de verre et truffées de gaines électriques. Dans le cas de Notre-Dame, apparement les combles en étaient vierges : il y avait juste des poutres, -- aux dimensions monstrueuses.
Pour rappel, la cathédrale de Nantes a subi le même incendie, -- imputé à un chalumeau resté malencontreusement allumé.
Dans le cas présent, les travaux en étaient au stade de la pose d'échafaudages. Il n'y avait pas encore de chalumeau (ni d'autre
matériel).
Bref, beaucoup de questions resteront sans réponse… »
(mayyan:une personne présente dans la cathédrale a affirmé avoir entendu 2 explosions à quelques minutes d'intervalle et on en a jamais entendu parler ?)
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Anonyme
« Je peux vous garantir (ou presque), que l'incendie est criminel : la sécurité et les mesures mises en œuvre sont juste hallucinantes. Chaquejour, en fin de chantier, des agents équipés de caméras infrarouges, font le tour de chaque place où les ouvriers sont installés pour travailler. Chaque soudure est contrôlée et vérifiée ; interdiction de fumer à n'importe quel endroit : caméras dans tous les coins, sous les spots et sous chaque angle (pour les vols et les cigarettes), extincteurs tous les 5 mètres, dispositifs détecteurs de fumée, en veux-tu en voilà. Ils font même des essais, matin, midi et soir pour s’assurer du bon fonctionnement.
Mon frère travaille sur le chantier de Notre-Dame depuis plus de six ans : sa firme est la seule à avoir rénové cette merveille, ces dernières années: toiture, ardoises, cuivres, charpente, boiseries, etc.). Il n'arrête pas de me répéter qu’il est impossible et incompréhensible qu'un incendie se soit déclenché spontanément : les dispositifs de sécurité pour pallier les risques d'incendie sont impressionnants et les procédures répétées chaque jour »
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Français Du Jura
« Je travaille à Paris, depuis 2000, comme tailleur de pierre. J’ai participé à de nombreux chantiers.
Le bois n'émet pas de fumée jaune ; la pétrochimie, oui »
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Maintenant, c’est à vous de vous faire une opinion et de choisir la thèse qui vous convient.
Voici différents témoignages à prendre en compte dans votre recherche de la vérité.