DES IDÉES MANUELLES DE DÉCORATIONS D'AUTOMNE Au crochet :jolies décos automne à suspendre Ronds de serviettes en rouleaux de papier vides, décorés de toile de jute:
Les rouleaux de papier toilette vides sont des objets peu esthétiques qu’on jette normalement à la poubelle.
Mais saviez-vous qu’avec un peu de matériel complémentaire et une pincée de créativité, ils peuvent se métamorphoser en véritables joyaux de votre table festive ?
Dénichez quelques perles en bois de la boîte à jouets de vos enfants ou bien fouillez dans les armoires pour quelques chutes de tissus dépareillés. Tout textile de récupération et bibelot quelconque sera utile pour habiller et décorer vos rouleaux.
Si vous misez sur des ronds particulièrement chics, orientez-vous vers un kit pour loisirs créatifs adapté où le contenu sera moins hétéroclite.
Achetez un mètre de toile de jute qui coûte entre 2 et 4 euros et vous êtes presque prête.
Procurez-vous également un flacon de peinture, en préférant toujours l’or, le bronze, le cuivre et ainsi de suite.
Suivez les étapes illustrées par le collage de photos ci-dessus ou inventez vos propres décorations uniques.
Autre déco. avec des rouleaux de papier toilette
l'Arbre à Pompoms Une Feuille de papier cartonné 180 g de la couleur de votre choix Le kit de 73 pompons de 23 mm de diamètre aux couleurs variées
Dessinez une tête de lion (aux crayons de couleurs et feutre noir) et ensuite découpez. Positionnez des feuilles mortes autour du dessin
Hibou pomme de pin - une pomme de pin, - un peu de feutrine - et quelques accessoires.
Pour fabriquer un joli hibou ,il faut :
- une grande pomme de pin (10 à 15 cm) - un support rond en bois Ø 10 cm - de la feutrine - 2 yeux mobiles Ø 2,5 cm - de la mousse d'Islande - un pistolet à colle - une paire de ciseaux
Coller la pomme de pin au centre du support en bois grâce au pistolet à colle.
Découper les éléments suivants dans la feutrine : - 2 ailes (taille : environ 7 à 8 cm) - 2 cercles Ø 4 cm - un bec - une houpette
Coller les formes en feutrine sur la pomme de pin en utilisant un pistolet à colle.
Coller les 2 yeux mobiles sur les 2 cercles colorés en utilisant le pistolet à colle.
Décorer le support rond en bois en collant de la mousse d'Islande.
T7 à T14 :1ms dans chaque ms du tour précédent (44)
Rembourrez fermement au fur et à mesure.
T15 : *4ms,1dim.* 7 fois de *à* (35)
T16 : *3ms,1dim.* 7 fois de *à* (28)
T17 : *2ms, 1dim.* 7 fois de *à* (21)
T18 : *1ms,1dim.* 7 fois de *à* (14)
T19 : 7dim.(7).
Terminez le travail par 1mc. Coupez le fil assez long (environ 50 cm) pour former la citrouille.
Avec une aiguille à laine (très longue si vous avez) passez le fil au travers de la citrouille et faites le ressortir par le cercle de départ. Tirez fort sur ce fil pour former les quartiers de la citrouille. Renouvelez cette opération de façon à avoir 8 quartiers au total. Rentrez le fil.
2 La tige : avec du fil marron
T1 : 2ml +6ms dans la 1ère ml (6)
T2 à T5 :1ms dans chaque ms du tour précédent (6).
Terminez le travail par 1mc, coupez le fil assez long pour l'assemblage. Ne rembourrez pas la tige.
3 Le feuillage : avec du fil vert Faites une chainette de 16ml , puis 2ms dans chaque ml à partir de 2ème ml en partant du crochet (30).
Terminez le travail par 1mc, coupez le fil assez long pour l'assemblage.
Assemblage : Cousez la tige sur le haut de la citrouille à l’endroit où vous l’avez fermé puis le feuillage à côté de la tige. Coupez et rentrez les fils. Un tuto de Julia Dupé « coton et gourmandises ».
Récolter les végétaux et les branches tombés au sol.
!A chacun sa déco d'automne
Pour un résultat optimal, veillez à choisir des feuilles fraîchement tombées et encore souples. Il sera plus facile de les manipuler.
Procédez au processus de conservation : Vous pouvez utiliser de la glycérine naturelle d'origine végétale et de l'eau chaude. Après les avoir badigeonnées, il faudra les laisser reposer 4 à 6 jours (à l'abris des enfants et animaux de compagnie).
Ensuite, à vous de choisir quelle(s) création(s) vous souhaitez réaliser. Peinture blanche ou colorée sur feuilles dorées: Pour un travail minutieux, utilisez un pinceau ultra fin. Optez également pour une gouache écologique.
Autre solution,la fabriquer vous-même avec de l'amidon ou de la fécule, de l'eau chaude et des colorants naturels:
Écologique et ultra-économique, la peinture suédoise, ou peinture à la farine, est une formidable alternative pour l’environnement (et le portefeuille). Elle couvre parfaitement le bois sans s’écailler et convient à une utilisation intérieure comme extérieure :
Matériel Une grande marmite (la peinture nécessite d’être cuite) Un malaxeur à peinture (un fouet peut aussi faire l’affaire pour des quantités de peinture réduites)
Ingrédients (pour un litre de peinture) 1 litre d’eau 100 g de farine de blé 200 g de pigments colorés naturels ou de blanc de Meudon pour une peinture blanche 10 cl d'huile de lin 20 g de sulfate de fer (si la peinture est destinée à l’extérieur) 2 cl de savon noir liquide
Mode d’emploi Dans la marmite, délayez la farine dans 20 cl d’eau. Portez le mélange à ébullition sans arrêter de remuer. Ajoutez progressivement le reste de l’eau et continuez de remuer. Après quelques minutes et une fois le mélange homogène, ajoutez les pigments et le sulfate de fer (uniquement pour les peintures extérieures). Incorporez l’huile de lin au mélange et faites cuire encore un quart d’heure. Ajoutez enfin le savon noir liquide pour finir de lier la préparation. Laissez refroidir : votre peinture écologique est prête. Si la peinture vous paraît trop épaisse, ajoutez un peu d’eau. Versez la peinture dans un récipient hermétique. ------------------------------------
Même fanés, certains éléments de la nature peuvent donner vie à de véritables merveilles. Malgré leur extrême fragilité, l’artiste allemande Susanna Bauer découpe et coud des feuilles mortes entre elles. Ses sublimes créations, qui prennent la forme de cubes percés de tunnels et de motifs géométriques, ne laissent pas de marbre.
Susanna Bauer est une artiste plasticienne née en Allemagne, qui vit et travaille à Cornwall en Angleterre
De son côté, la sculptrice américaine Kay Sekimachi fabrique des bols avec des feuilles mortes peintes à l’aquarelle. Son secret : elle utilise les nervures de feuilles d’érable en guise d'armature et de support.
C’est le fruit d’un mariage heureux entre l’orfèvrerie parisienne la plus sophistiquée et l’art de la micromosaïque à l’italienne…
Cette boîte ronde en or arbore un décor de festons et rosaces rehaussé de fleurons, tandis que le fond et le montant sont ornés d’un guillochage à motif de cercles concentriques espacés de quartefeuilles. Elle sert aussi de support à un délicat paysage avec cascade et pêcheurs, composé de minuscules tesselles.
L’objet d’exception porte un poinçon à tête d’animal surmontée du chiffre «3», qui indique son auteur : - Léger-Fortuné-Alexandre Ricart.
Œuvrant à Paris – il dépose son insculpation en 1808 – l’orfèvre fut l’un des fournisseurs attitrés de la cour impériale.
Façonnées de sa main experte, plusieurs boîtes ont été proposées aux enchères en France et à l’étranger, dont le plus bel exemplaire demeure une tabatière en or (Paris 1809-1815) au chiffre de Napoléon Ier, adjugée 247 500 € par Christie’s à Paris le 29 novembre 2017.
Portant sa marque également, une tabatière en or de plusieurs tons, décorée d’un portrait de l’impératrice Joséphine par Daniel Saint, occupait les vitrines du Metropolitan Museum de New York en 1978 (à l’époque, collection Calvin Bullock), lors de l’exposition «Les arts sous Napoléon». Daniel Saint
Mais revenons à notre boîte, qui se révèle d’une qualité exceptionnelle tant par la finesse de son guillochage que par celle de sa scène mosaïquée, probablement un travail de la fin du XVIIIe siècle.
La micromosaïque, une spécialité romaine
La scène lacustre reprend un thème alors très en vogue, notamment magnifié par le pinceau de Joseph Vernet. Son auteur, virtuose de la micromosaïque, a su reproduire les nuances de coloris d’une véritable peinture, donnant ainsi de la profondeur à la composition.
Tableaux de Joseph Vernet
Cette technique minutieuse aurait vu le jour à Rome, dans le deuxième quart de ce même siècle, dans les ateliers du Vatican ; elle puise son inspiration dans la faune et la flore, avant de goûter aux délices du néoclassicisme.
Un art qui est basé sur l’utilisation de tesselles d’un ou deux millimètres de côté, fabriquées à partir de baguettes d’émail réduites à la chaleur d’une flamme en fils minces (smalti filati).
Le Saint-Siège contribue à la promotion de ces objets en les offrant à des personnages de haut rang à travers toute l’Europe ; dans le même temps, les jeunes aristocrates qui effectuent leur «grand tour» dans la Ville éternelle les recherchent pour en faire présent à leur famille, restée en France ou en Angleterre.
En 1813, le comte Camille de Tournon,préfet du département de Rome et du Latium, peut ainsi écrire que «plus de cent artistes de la région vivent de cette production» ; pendant que d’autres villes italiennes s’en emparent, comme Venise…
La mode est telle, qu’on en fait même des bijoux que les élégantes s’arrachent, à l’instar de Marie-Louise, qui commande en 1811 au joaillier François-Régnault Nitot une parure en or et micromosaïque.
joaillier François-Régnault Nitot
Sous l’Empire et la Restauration, se développe la thématique des vues de Rome et de ses environs, célébrant tout particulièrement les ruines antiques.
Les micro-mosaïques sont des pièces italiennes romaines, vénitiennes et florentines. La grande période de fabrication fut entre la fin du XVIIIe et la fin du XIXe siècle.
micro-mosaïque
XIXe siècle, micromosaïque représentant quatre colombes buvant dans une coupe, style romain-pompéien sur fond noir et encadrement de malachite, cadre en bois et stuc doré, 35 x 44 cm.
Au XVIe siècle, avec le chantier de Saint-Pierre orné de mosaïques selon le désir du pape Grégoire III, les artisans romains supplantent leurs homologues vénitiens.
À partir des années 1770, l’invention de fines baguettes de verre découpées en fragments d’un millimètre permettent de réaliser des tableaux miniatures pour une clientèle privée.
Giacomo Raffaelli en serait l’inventeur.
Reproductions de peintures contemporaines, thèmes antiques comme les «colombes de Pline» et monuments romains emblématiques séduisent les Italiens et font fureur auprès des voyageurs européens, qui en diffusent la mode en les ramenant chez eux.
Les animaux comme le chien figurent également parmi les sujets charmants, les bouquets et les paysages romantiques ou pittoresques apparaissant au XIXe siècle.
Kütahya évoque incontestablement une des faïences les plus réputées de Turquie, avec celle d'Iznik.
La poterie de Kütahya est née au XVIIIe siècle . La céramique, qui fait la réputation de la ville depuis le XVIème siècle, s'affiche partout, de la gare routière, aux murs revêtus de carreaux de faïence, à l'immense fontaine du centre, ornée d'un vase qui illustre bien cet art.
La fontaine de Zafer Meydanı, la place de la Victoire
L’art de la Poterie et le Céramique Traditionnel d’ Iznik et Kütahya:
Le début de l’art des carreaux remonte aux premiers temps où la poterie était fabriquée et le sol a commencé à être cultivé. Cet art a évolué avec les connaissances techniques, l’expérience et les compétences existantes de chaque civilisation
La plus ancienne poterie de l’histoire, des échantillons de céramique datant de 9 mille ans et trouvés à Çatalhöyük en Anatolie sont acceptés. On suppose que le début du céramique à Iznik remonte au milieu du XVe siècle. Il a atteint sa période la plus brillante, surtout au milieu du XVIe siècle.
Les carreaux Iznik, qui apparaissent rarement dans les ventes aux enchères en Europe et en Amérique aujourd’hui, changent de mains avec des valeurs très élevées.
Art de la poterie et céramique traditionnel iznik kütahya
Les produit fabriqués à Iznik, des vases, des bols, des larmes, des tuiles des objets tels que des lampes se trouve non seulement en Turquie mais aussi dans divers musées et collections à travers le monde .
Les céramiques d’Iznik morceaux par morceaux où comme pièce de décoration se trouvent dans de nombreuses régions de la Turquie et des lieux historiques tout en conservant leurs beauté – art de la poterie et céramique traditionnel Iznik Kütahya.
Les céramiques Iznik étaient généralement utilisés dans la décoration murale : - des palais ottomans, - des mosquées, - des fontaines et - des tombes.
Aujourd’hui, les plus beaux exemples se trouvent : - au palais de Topkapı,
- à la mosquée Rüstem Paşa,
- à la mosquée Süleymaniye, - aux mausolées de Kanuni et Eyüp Sultan à Bursa, - au mausolée de la mosquée verte et - à la mosquée Edirne Muradiye.
Dans les tuiles, les plantes, les animaux, les bâtiments, les motifs de galions et les symboles surnaturels sont souvent utilisés. Leur force séculaire, qui rend les carreaux ottomans inestimables, est l’utilisation unique de leurs motifs floraux et figures animales transparents, colorés et stylisés.
Avec le déclin de l’Empire ottoman, les céramiques d’Iznik, qui étaient principalement essayées de soutenir le palais, ont perdu leur période lumineuse et même la production s’est complètement arrêtée.
Les céramiques d’Iznik, qui ont commencé à perdre de leur importance à la fin du XVIIe siècle, ont été remplacées par des céramiques kutahya qui étaient principalement destinés aux citoyens depuis le début du XVIIIe siècle.
La ville de Kutahya en Anatolie est le plus ancien lieu reconnu dans le monde où la production de poterie est la plus ancienne depuis l’épode des Phrygiens, Romains, Byzantins, Seldjoukides et Ottomans.
Les céramiques à Kütahya a commencé à combler la carence du carrelage Iznik dès le début du XVIIIe siècle.
La distinction la plus importante entre les carreaux Kütahya et Iznik est que, a) tandis que la fabrication de carreaux Iznik utilise du quartz élevé et un émail épais dans l’infrastructure, b) du quartz inférieur et un émail plus mince sont utilisés dans la fabrication des carreaux Kütahya.
Aujourd’hui, à Iznik et à Kütahya, le carrelage a repris et de nombreuses belles œuvres ont commencé à émerger.
À Iznik, les carreaux sont produits en utilisant à la fois l’infrastructure de carreaux ottomans classiques (quartz élevé) et l’infrastructure de Kütahya (quartz bas).
De même, aujourd’hui à Kutahyades tuiles avec une infrastructure classique et typique de Kutahya sont produites.
un art fin et joli qui offre de nombreuses possibilités pour des créations uniques et très inspirantes.
C’est un art qui naît au dix-huitième siècle et qui apparaît sur les robes et les accessoires des dames de l’époque.
Un peu oublié, aujourd’hui il vit sa rennaissance en surgissant sur des sacs, des vêtements et des décorations modernes.
La technique est très originale et ne peut pas être comparée à rien d’autre quand il s’agit de représentation de formes réalistiques.
Les bouquets de fleurs imitent parfaitement les formes réélles avec leur relief incroyable et les couleurs des tissus diverses.
Le plus souvent on brode avec du polyester ou de la soie – des tissus doux au toucher et somptueux à regarder et d’une brillance miraculeuse.
Avec la broderie au ruban, on peut créer des oeuvres romantiques, très variables, les fleurs sont sans doute le thème préféré de tous les maîtres et de ceux qui sont nouveaux.
Il y a une chose dans les matières qu’on utilise qui amène aux fleurs et aux jardins d’une façon naturelle.
Cette broderie s’installe très bien sur un coussin, un sac en textile, une jupe ou blouse et s’utilise comme déco murale.
Pour tous ceux qui veulent apprendre la broderie au ruban –vous pouvez trouver plusieurs clips sur youtube qui vont vous révéler les bons gestes pour créer une jolie broderie.
Pourquoi pas ajouter un peu de romantisme à vos tenues et à la déco chez vous ou offrir un cadeau original à l’aide de cette technique unique et si belle.
MERCI MA CHÈRE VICTORIA
ou avec des galets :
OU peints .....
L'art du galet ou pebble art est un art ou la patience et la minutie sont recommandées.
en petites scénettes :
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
MOSAÏQUES DE GALETS :
Ronds de serviettes en rouleaux de papier vides, décorés de toile de jute:
Les rouleaux de papier toilette vides sont des objets peu esthétiques qu’on jette normalement à la poubelle.
Mais saviez-vous qu’avec un peu de matériel complémentaire et une pincée de créativité,
ils peuvent se métamorphoser en véritables joyaux de votre table festive ?
Dénichez quelques perles en bois de la boîte à jouets de vos enfants ou bien fouillez dans les armoires pour quelques chutes de tissus dépareillés.
Tout textile de récupération et bibelot quelconque sera utile pour habiller et décorer vos rouleaux.
Si vous misez sur des ronds particulièrement chics, orientez-vous vers un kit pour loisirs créatifs adapté où le contenu sera moins hétéroclite.
Achetez un mètre de toile de jute qui coûte entre 2 et 4 euros et vous êtes presque prête.
Procurez-vous également un flacon de peinture, en préférant toujours l’or, le bronze, le cuivre et ainsi de suite.
Suivez les étapes illustrées par le collage de photos ci-dessus ou inventez vos propres décorations uniques.
Autre déco. avec des rouleaux de papier toilette
Une Feuille de papier cartonné 180 g de la couleur de votre choix
Le kit de 73 pompons de 23 mm de diamètre aux couleurs variées
Dessinez une tête de lion (aux crayons de couleurs et feutre noir)
et ensuite découpez.
Positionnez des feuilles mortes autour du dessin
Puis on a peint un carton avec de la peinture argentée pour faire le fond.
On a utilisé du verni brillant ( Cléopâtre) pour vernir 3 tonnes de feuilles aux couleurs magnifiques.
Il faut faire vite, parce que malheureusement elles se tâchent et noircissent très très rapidement,
quasiment en une journée.
Les feuilles ont été mises la veille sous des livres pour les aplatir un peu.
Et on a verni les deux côtés de chaque feuille
Après séchage, mettre la tête de lion sur le carton argenté, et , positionner les feuilles vernies autour de la tête du
lion.
Elles collaient un peu entre elles (le verni laisse un film brillant lisse).
Hibou pomme de pin
- une pomme de pin,
- un peu de feutrine
- et quelques accessoires.
Pour fabriquer un joli hibou ,il faut :
- une grande pomme de pin (10 à 15 cm)
- un support rond en bois Ø 10 cm
- de la feutrine
- 2 yeux mobiles Ø 2,5 cm
- de la mousse d'Islande
- un pistolet à colle
- une paire de ciseaux
Coller la pomme de pin au centre du support en bois grâce au pistolet à colle.
Découper les éléments suivants dans la feutrine :
- 2 ailes (taille : environ 7 à 8 cm)
- 2 cercles Ø 4 cm
- un bec
- une houpette
Coller les formes en feutrine sur la pomme de pin en utilisant un pistolet à colle.
Coller les 2 yeux mobiles sur les 2 cercles colorés en utilisant le pistolet à colle.
Décorer le support rond en bois en collant de la mousse d'Islande.
Il faut :
- 1 pelote de DMC Natura coloris Orange
- un peu de fil de coton marron
- un peu de fil de coton vert
- 1 crochet numéro 3
- de la ouate de rembourrage
- des ciseaux, une aiguille
Points utilisés :
- ml : maille en l’air
- ms :
maille serrée
- mc :maille coulée
- aug. :augmentation (=2 mailles dans la même maille)
- dim. :diminution (= 2 mailles écoulées ensemnble)
1 La citrouille : avec le coloris Orange
T1 : 2ml +7ms dans la 1ère ml (7)
T2 : 1aug.dans chaque ms du tour précédent (14)
T3 : *1ms,1aug.* 7 fois de *à* (21)
T4 : *2ms,1aug.* 7 fois de *à* (28)
T5 : *3ms,1aug.* 7 fois de *à* (35)
T6 : *4ms,1aug.* 7 fois de *à* (42)
T7 à T14 :1ms dans chaque ms du tour précédent (44)
Rembourrez fermement au fur et à mesure.
T15 : *4ms,1dim.* 7 fois de *à* (35)
T16 : *3ms,1dim.* 7 fois de *à* (28)
T17 : *2ms,
1dim.* 7 fois de *à* (21)
T18 : *1ms,1dim.* 7 fois de *à* (14)
T19 : 7dim.(7).
Terminez le travail par 1mc.
Coupez le fil assez long (environ 50 cm) pour former la citrouille.
Avec une aiguille à laine (très longue si vous avez) passez le fil au travers de la citrouille et faites le ressortir par le cercle de départ.
Tirez fort sur ce fil pour former les quartiers de la citrouille.
Renouvelez cette opération de façon à avoir 8 quartiers au total.
Rentrez le fil.
2 La tige : avec du fil marron
T1 : 2ml +6ms dans la 1ère ml (6)
T2 à T5 :1ms dans chaque ms du tour précédent (6).
Terminez le travail par 1mc, coupez le fil assez long pour l'assemblage.
Ne rembourrez pas la tige.
3 Le feuillage : avec du fil vert
Faites une chainette de 16ml , puis 2ms dans chaque ml à partir de 2ème ml en partant du crochet (30).
Terminez le travail par 1mc, coupez le fil assez long pour l'assemblage.
Assemblage :
Cousez la tige sur le haut de la citrouille à l’endroit où vous l’avez fermé puis le feuillage à côté de la tige.
Coupez et rentrez les fils.
Un tuto de Julia Dupé « coton et gourmandises ».
porcelaine :
DIVERS :
Tout tout tout...
Récolter les végétaux et les branches tombés au sol.
!A chacun sa déco d'automne
Pour un résultat optimal, veillez à choisir des feuilles fraîchement tombées et encore souples.
Il sera plus facile de les manipuler.
Procédez au processus de conservation :
Vous pouvez utiliser de la glycérine naturelle d'origine végétale et de l'eau chaude.
Après les avoir badigeonnées, il faudra les laisser reposer 4 à 6 jours (à l'abris des enfants et animaux de compagnie).
Ensuite, à vous de choisir quelle(s) création(s) vous souhaitez réaliser.
Peinture blanche ou colorée sur feuilles dorées:
Pour un travail minutieux, utilisez un pinceau ultra fin.
Optez également pour une gouache écologique.
Autre solution,la fabriquer vous-même avec de l'amidon ou de la fécule, de l'eau chaude et des colorants naturels:
Écologique et ultra-économique, la peinture suédoise, ou peinture à la farine, est une formidable alternative pour l’environnement (et le portefeuille).
Elle couvre parfaitement le bois sans s’écailler et convient à une utilisation intérieure comme extérieure :
Matériel
Une grande marmite (la peinture nécessite d’être cuite)
Un malaxeur à peinture (un fouet peut aussi faire l’affaire pour des quantités de peinture réduites)
Ingrédients (pour un litre de peinture)
1 litre d’eau
100 g de farine de blé
200 g de pigments colorés naturels ou de blanc de Meudon pour une peinture blanche
10 cl d'huile de lin
20 g de sulfate de fer (si la peinture est destinée à l’extérieur)
2 cl de savon noir liquide
Mode d’emploi
Dans la marmite, délayez la farine dans 20 cl d’eau.
Portez le mélange à ébullition sans arrêter de remuer.
Ajoutez progressivement le reste de l’eau et continuez de remuer.
Après quelques minutes et une fois le mélange homogène, ajoutez les pigments et le sulfate de fer
(uniquement pour les peintures extérieures).
Incorporez l’huile de lin au mélange et faites cuire encore un quart d’heure.
Ajoutez enfin le savon noir liquide pour finir de lier la préparation.
Laissez refroidir : votre peinture écologique est prête.
Si la peinture vous paraît trop épaisse, ajoutez un peu d’eau.
Versez la peinture dans un récipient hermétique.
------------------------------------
Même fanés, certains éléments de la nature peuvent donner vie à de véritables merveilles.
Malgré leur extrême fragilité,
l’artiste allemande Susanna Bauer découpe et coud des feuilles mortes entre elles.
Ses sublimes créations, qui prennent la forme de cubes percés de tunnels et de motifs géométriques, ne laissent pas de marbre.
Susanna Bauer est une artiste plasticienne née en Allemagne, qui vit et travaille à Cornwall en Angleterre
De son côté, la sculptrice américaine Kay Sekimachi fabrique des bols avec des feuilles mortes peintes à l’aquarelle.
Son secret : elle utilise les nervures de feuilles d’érable en guise d'armature et de support.
C’est le fruit d’un mariage heureux entre l’orfèvrerie parisienne la plus sophistiquée et l’art de la micromosaïque à l’italienne…
Cette boîte ronde en or arbore un décor de festons et rosaces rehaussé de fleurons, tandis que le fond et le montant sont ornés d’un guillochage à motif de cercles concentriques espacés de quartefeuilles.
Elle sert aussi de support à un délicat paysage avec cascade et pêcheurs, composé de minuscules tesselles.
L’objet d’exception porte un poinçon à tête d’animal surmontée du chiffre «3», qui indique son auteur :
- Léger-Fortuné-Alexandre Ricart.
Œuvrant à Paris – il dépose son insculpation en 1808
– l’orfèvre fut l’un des fournisseurs attitrés de la cour impériale.
Façonnées de sa main experte, plusieurs boîtes ont été proposées aux enchères en France et à l’étranger, dont le plus bel
exemplaire demeure une tabatière en or (Paris 1809-1815) au chiffre de Napoléon Ier, adjugée 247 500 € par Christie’s à Paris le 29 novembre 2017.
Portant sa marque également, une tabatière en or de plusieurs tons, décorée d’un portrait de l’impératrice Joséphine par Daniel Saint, occupait les vitrines du Metropolitan Museum de New York en 1978 (à l’époque, collection Calvin Bullock), lors de l’exposition
«Les arts sous Napoléon».
Mais revenons à notre boîte, qui se révèle d’une qualité exceptionnelle tant par la finesse de son guillochage que par celle de
sa scène mosaïquée, probablement un travail de la fin du XVIIIe siècle.
La micromosaïque, une spécialité romaine
La scène lacustre reprend un thème alors très en vogue, notamment magnifié par le pinceau de Joseph Vernet.
Son auteur, virtuose de la micromosaïque, a su reproduire les nuances de coloris d’une véritable peinture, donnant ainsi de la profondeur à la composition.
Tableaux de Joseph Vernet
Cette technique minutieuse aurait vu le jour à Rome, dans le deuxième quart de ce même siècle, dans les ateliers du Vatican ;
elle puise son inspiration dans la faune et la flore, avant de goûter aux délices du néoclassicisme.
Un art qui est basé sur l’utilisation de tesselles d’un ou deux millimètres de côté, fabriquées à partir de baguettes d’émail
réduites à la chaleur d’une flamme en fils minces (smalti filati).
Le Saint-Siège contribue à la promotion de ces objets en les offrant à des personnages de haut rang à travers toute l’Europe ;
dans le même temps, les jeunes aristocrates qui effectuent leur «grand tour» dans la Ville éternelle les recherchent pour en faire présent à leur famille, restée en France ou en Angleterre.
En 1813, le comte Camille de Tournon,préfet du département de Rome et du Latium, peut ainsi écrire que
«plus de cent artistes de la région vivent de cette production» ;
pendant que d’autres villes italiennes s’en emparent, comme Venise…
La mode est telle, qu’on en fait même des bijoux que les élégantes s’arrachent, à l’instar de Marie-Louise, qui commande en 1811 au joaillier François-Régnault Nitot une parure en or et micromosaïque.
Sous l’Empire et la Restauration, se développe la thématique des vues de Rome et de ses environs, célébrant tout particulièrement les ruines antiques.
La grande période de fabrication fut entre la fin du XVIIIe et la fin du XIXe siècle.
Au XVIe siècle, avec le chantier de Saint-Pierre orné de mosaïques selon le désir du pape Grégoire III, les artisans romains supplantent leurs homologues vénitiens.
À partir des années 1770, l’invention de fines baguettes de verre découpées en fragments d’un millimètre permettent de réaliser des
tableaux miniatures pour une clientèle privée.
Giacomo Raffaelli en serait l’inventeur.
Reproductions de peintures contemporaines, thèmes antiques comme les «colombes de Pline» et monuments romains
emblématiques séduisent les Italiens et font fureur auprès des voyageurs européens, qui en diffusent la mode en les ramenant chez eux.
Les animaux comme le chien figurent également parmi les sujets charmants,
les bouquets et les paysages romantiques ou pittoresques apparaissant au XIXe siècle.
La poterie de Kütahya est née au XVIIIe siècle .
La céramique, qui fait la réputation de la ville depuis le XVIème siècle,
s'affiche partout, de la gare routière, aux murs revêtus de carreaux de faïence,
à l'immense fontaine du centre, ornée d'un vase qui illustre bien cet art.
La fontaine de Zafer Meydanı, la place de la Victoire
L’art de la Poterie et le Céramique Traditionnel d’ Iznik et Kütahya:
Le début de l’art des carreaux remonte aux premiers temps où la poterie était fabriquée et le sol a commencé à être cultivé.
Cet art a évolué avec les connaissances techniques, l’expérience et les compétences existantes de chaque civilisation
La plus ancienne poterie de l’histoire, des échantillons de céramique datant de 9 mille ans et trouvés à Çatalhöyük en Anatolie sont
acceptés.
On suppose que le début du céramique à Iznik remonte au milieu du XVe siècle.
Il a atteint sa période la plus brillante, surtout au milieu du XVIe siècle.
Les carreaux Iznik, qui apparaissent rarement dans les ventes aux enchères en Europe et en Amérique aujourd’hui,
changent de mains avec des valeurs très élevées.
Art de la poterie et céramique traditionnel iznik kütahya
Les produit fabriqués à Iznik,
des vases, des bols, des larmes, des tuiles des objets tels que des lampes se trouve non seulement en Turquie mais aussi dans divers musées et collections à travers le monde .
Les céramiques d’Iznik morceaux par morceaux où comme pièce de décoration se trouvent dans de nombreuses régions de la Turquie et des lieux historiques tout en conservant leurs beauté – art de la poterie et céramique traditionnel Iznik Kütahya.
Les céramiques Iznik étaient généralement utilisés dans la décoration murale :
- des palais ottomans,
- des mosquées,
- des fontaines et
- des tombes.
Aujourd’hui, les plus beaux exemples se trouvent :
- au palais de Topkapı,
- à la mosquée Rüstem Paşa,
- à la mosquée Süleymaniye,
- aux mausolées de Kanuni et Eyüp Sultan à Bursa,
- au mausolée de la mosquée verte et
- à la mosquée Edirne Muradiye.
Dans les tuiles, les plantes, les animaux, les bâtiments, les motifs de galions et les symboles surnaturels sont souvent utilisés.
Leur force séculaire, qui rend les carreaux ottomans inestimables, est l’utilisation unique de leurs motifs floraux et figures animales
transparents, colorés et stylisés.
Avec le déclin de l’Empire ottoman,
les céramiques d’Iznik, qui étaient principalement essayées de soutenir le palais, ont perdu leur période lumineuse et même la production s’est complètement arrêtée.
Les céramiques d’Iznik, qui ont commencé à perdre de leur importance à la fin du XVIIe siècle, ont été remplacées par des céramiques kutahya qui étaient principalement destinés aux citoyens depuis le début du XVIIIe siècle.
La ville de Kutahya en Anatolie est le plus ancien lieu reconnu dans le monde où la production de poterie est la plus
ancienne depuis l’épode des Phrygiens, Romains, Byzantins, Seldjoukides et Ottomans.
Les céramiques à Kütahya a commencé à combler la carence du carrelage Iznik dès le début du XVIIIe siècle.
La distinction la plus importante entre les carreaux Kütahya et Iznik est que,
a) tandis que la fabrication de carreaux Iznik utilise du quartz élevé et un émail épais dans l’infrastructure,
b) du quartz inférieur et un émail plus mince sont utilisés dans la fabrication des carreaux Kütahya.
Aujourd’hui, à Iznik et à Kütahya,
le carrelage a repris et de nombreuses belles œuvres ont commencé à émerger.
À Iznik, les carreaux sont produits en utilisant à la fois l’infrastructure de carreaux ottomans classiques (quartz élevé) et l’infrastructure de Kütahya (quartz bas).
De même, aujourd’hui à Kutahyades tuiles avec une infrastructure classique et typique de Kutahya sont produites.
Kutahya:
un art fin et joli qui offre de nombreuses possibilités pour des créations uniques et très inspirantes.
C’est un art qui naît au dix-huitième siècle et qui apparaît sur les robes et les accessoires des dames de l’époque.
Un peu oublié, aujourd’hui il vit sa rennaissance en surgissant sur des sacs, des vêtements et des décorations modernes.
La technique est très originale et ne peut pas être comparée à rien d’autre quand il s’agit de représentation de formes réalistiques.
Les bouquets de fleurs imitent parfaitement les formes réélles avec leur relief incroyable et les couleurs des tissus diverses.
Le plus souvent on brode avec du polyester ou de la soie – des tissus doux au toucher et somptueux à regarder et d’une brillance
miraculeuse.
Avec la broderie au ruban,
on peut créer des oeuvres romantiques, très variables, les fleurs sont sans doute le thème préféré de tous les maîtres et de ceux qui sont nouveaux.
Il y a une chose dans les matières qu’on utilise qui amène aux fleurs et aux jardins d’une façon naturelle.
Cette broderie s’installe très bien sur un coussin, un sac en textile, une jupe ou blouse et s’utilise comme déco murale.
Pour tous ceux qui veulent apprendre la broderie au ruban – vous pouvez trouver plusieurs clips sur youtube qui vont vous révéler les
bons gestes pour créer une jolie broderie.
Pourquoi pas ajouter un peu de romantisme à vos tenues et à la déco chez vous ou offrir un cadeau original à l’aide de cette technique unique et si belle.
le chapeau fleuri
fleurs rustiques