Fort en publicité, le propriétaire de bar croyant avoir à son emploi, un homme très fort, offre 1000.00 Euros à quiconque peut extraire des goutes de jus d'un citron après que son barman l'eut pressé avec sa main
Plusieurs hommes forts ont essayé, des lutteurs, des gymnastes, des hommes forts de tous genres, mais sans succès.
Un bon soir, entre, un homme plutôt petit, très chétif, s'approche du bar et dit : -Je voudrais essayé de gagner les 1000 euros.
Tous les clients éclatent de rire. - Hé! Hé! Mais oui !dit le patron. Pas de problème. Vas y mon gars. Le barman prend un citron et le presse de sa poigne puissante. Un main d'acier ... Puis le petit homme prend le fruit, le presse et voilà qu'il en extrait deux fines gouttes ... et une troisième encore.
Le petit homme regarde le propriétaire et lui lance ... -C'est mon entraînement qui m'aide ! - Tu fais quoi au juste?! - Je travaille pour le Trésor Public.
Le puzzle Raymond reçoit un coup de fil de sa blonde préférée, Simone qui visiblement, a quelques problèmes : - J’ai besoin de ton aide, Raymond. - Qu’est ce qui se passe ? interroge celui-ci. - J’ai acheté un puzzle mais c’est trop dur. Pas une seule pièce ne correspond ! - Il est censé représenter quoi, ton puzzle ? - Un grand coq qui chante. Raymond, bon prince, accepte de venir l’aider et arrive un quart d’heure plus tard chez la jolie Simone. Ravie, elle le conduit à la cuisine où toutes les pièces sont étalées sur la table. Raymond jette un œil et dit : - Simone, sois gentille : range les cornflakes dans la boite !
Les perroquets Le directeur d’un asile de fous a deux perroquets : un rouge et un vert. Un jour, ils s’échappent et vont se percher dans un arbre. Le directeur demande si un des patients peut grimper dans l’arbre. Un fou se présente, monte dans l’arbre et ramène le perroquet rouge… Ensuite, il va s’asseoir. Le directeur lui demande pourquoi il ne va pas chercher le perroquet vert. Le fou lui répond : - Comme il n’est pas mûr, je l’ai laissé sur l’arbre !
Le père victorL’père Victor est allé en ville voir l’Docteur. – Voilà docteur, chuis ben embêté, dit-il , à moûn âge y en a beaucoup qui vous demand’raient du Viagra. Moi j’en ai point b’soin, j’ai la zigounette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois qu’elle s’met au garde à vous, chuis dans les champs, l’temps de r’tourner à la ferme voilà quelle r’ garde à nouveau mes bottes. Le médecin hoche la tête d’un air grave. – Vous n’auriez pas des fois un truc pour z’y maintenir la tête haute jusqu’à la ferme ? lui demande Victor. – J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra tirer en l’air qu’elle courre vous rejoindre. – En voilà une idée qu’elle est pas mauvaise ! Quelque temps plus tard voilà t’y pas que le Victor débarque dans le cabinet du docteur. – J’viens vous voir, rapport au fusil ! – Pourquoi ça ne marche pas ? – Oh ! ça eu marché, fait le Victor, mais ça n’marche plus. Pendant tout l’été j’tirais en l’air… La Sylvette rappliquait en courant et hop ! j’la bouriaudais dans les brousailles ! – Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ? – Ben… d’puis l’ouverture d’la chasse, j’la vois plus !!!
Les massages breton, alsacien et lorrain Un breton raconte à ses amis : "Hier soir, j'ai massé ma femme avec de l'huile aromatique, puis on a fait l'amour tellement intensément qu'elle a hurlé pendant cinq minutes !" Le Lorrain qui entend ça, répond : "Oui, pas mal ! Hier soir moi aussi, j' ai massé ma femme avec du beurre aromatique. Après, on a fait l'amour tellement fort qu'elle a hurlé pendant 15 minutes ! L'alsacien intervient à son tour: "Moi, je l'ai massé avec du chocolat. Ensuite on a fait l'amour et elle a hurlé pendant 3 heures !" Les deux autres, curieux et stupéfaits: "Comment as-tu fait pour qu'elle hurle pendant trois heures ?" "j'ai essuyé mes mains sur les rideaux !"
L’air conditionné Dans un restaurant du Vieux-Nice, un touriste parisien appelle le garçon: - On étouffe, ici ! Mettez donc en marche l’air conditionné. - Bien, monsieur. Dix minutes plus tard, le touriste dit au garçon: - On gèle, ici ! Arrêtez un peu l’air conditionné. - Bien, monsieur. Un quart d’heure se passe: - Garçon ! C’est une véritable fournaise. Remettez en marche l’air conditionné. - Bien, monsieur. Un autre touriste, assis à une table voisine, dit au garçon: - Vous avez une drôle de patience avec ce genre de loustic. - Oh! vous savez, répond le garçon, l’essentiel est qu’il soit content. Parce qu’entre nous, nous ne l’avons pas encore fait installer, l’air conditionné.
Un célèbre dissident chinois demande l’asile politique en France. A son arrivée à Roissy, une meute de reporter l’attend. - Pourriez-vous nous parler des difficultés de la vie quotidienne en Chine ? - A vrai dire, honorables journalistes, on ne peut pas se plaindre… - Qu’en est-il de la liberté de parole et d’opinion ? - On ne peut pas se plaindre… - Et le respect des droits de l’homme ? - On ne peut pas se plaindre non plus… - Mais alors, dit un journaliste, pourquoi demandez-vous l’asile politique chez nous ? - Parce qu’en France, on peut se plaindre…
Le citron :
Fort en publicité, le propriétaire de bar croyant avoir à son emploi, un homme très fort, offre 1000.00 Euros à quiconque peut extraire des goutes de jus d'un citron après que son barman l'eut pressé avec sa main
Plusieurs hommes forts ont essayé, des lutteurs, des gymnastes, des hommes forts de tous genres, mais sans succès.
Un bon soir, entre, un homme plutôt petit, très chétif, s'approche du bar et dit :
-Je voudrais essayé de gagner les 1000 euros.
Tous les clients éclatent de rire.
- Hé! Hé! Mais oui !dit le patron. Pas de problème. Vas y mon gars.
Le barman prend un citron et le presse de sa poigne puissante. Un main d'acier ...
Puis le petit homme prend le fruit, le presse et voilà qu'il en extrait deux fines gouttes ... et une troisième encore.
Le petit homme regarde le propriétaire et lui lance ...
-C'est mon entraînement qui m'aide !
- Tu fais quoi au juste?!
- Je travaille pour le Trésor Public.
Le puzzle
Raymond reçoit un coup de fil de sa blonde préférée, Simone qui visiblement, a quelques problèmes :
- J’ai besoin de ton aide, Raymond.
- Qu’est ce qui se passe ? interroge celui-ci.
- J’ai acheté un puzzle mais c’est trop dur. Pas une seule pièce ne correspond !
- Il est censé représenter quoi, ton puzzle ?
- Un grand coq qui chante.
Raymond, bon prince, accepte de venir l’aider et arrive un quart d’heure plus tard chez la jolie Simone.
Ravie, elle le conduit à la cuisine où toutes les pièces sont étalées sur la table. Raymond jette un œil et dit :
- Simone, sois gentille : range les cornflakes dans la boite !
Les perroquets
Le directeur d’un asile de fous a deux perroquets : un rouge et un vert.
Un jour, ils s’échappent et vont se percher dans un arbre.
Le directeur demande si un des patients peut grimper dans l’arbre. Un fou se présente, monte dans l’arbre et ramène le perroquet rouge…
Ensuite, il va s’asseoir.
Le directeur lui demande pourquoi il ne va pas chercher le perroquet vert.
Le fou lui répond :
- Comme il n’est pas mûr, je l’ai laissé sur l’arbre !
Le père victorL’père Victor est allé en ville voir l’Docteur.
– Voilà docteur, chuis ben embêté, dit-il , à moûn âge y en a beaucoup qui vous demand’raient du Viagra. Moi j’en ai point b’soin,
j’ai la zigounette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois
qu’elle s’met au garde à vous, chuis dans les champs, l’temps de
r’tourner à la ferme voilà quelle r’ garde à nouveau mes bottes.
Le médecin hoche la tête d’un air grave.
– Vous n’auriez pas des fois un truc pour z’y maintenir la tête haute jusqu’à la ferme ? lui demande Victor.
– J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs,
emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra
tirer en l’air qu’elle courre vous rejoindre.
– En voilà une idée qu’elle est pas mauvaise !
Quelque temps plus tard voilà t’y pas que le Victor débarque dans le cabinet du docteur.
– J’viens vous voir, rapport au fusil !
– Pourquoi ça ne marche pas ?
– Oh ! ça eu marché, fait le Victor, mais ça n’marche plus. Pendant tout
l’été j’tirais en l’air… La Sylvette rappliquait en courant et hop !
j’la bouriaudais dans les brousailles !
– Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ?
– Ben… d’puis l’ouverture d’la chasse, j’la vois plus !!!
Les massages breton, alsacien et lorrain
Un breton raconte à ses amis :
"Hier soir, j'ai massé ma femme avec de l'huile aromatique,
puis on a fait l'amour tellement intensément qu'elle a hurlé pendant cinq minutes !"
Le Lorrain qui entend ça, répond :
"Oui, pas mal ! Hier soir moi aussi, j' ai massé ma femme avec du beurre aromatique.
Après, on a fait l'amour tellement fort qu'elle a hurlé pendant 15 minutes !
L'alsacien intervient à son tour:
"Moi, je l'ai massé avec du chocolat.
Ensuite on a fait l'amour et elle a hurlé pendant 3 heures !"
Les deux autres, curieux et stupéfaits:
"Comment as-tu fait pour qu'elle hurle pendant trois heures ?"
"j'ai essuyé mes mains sur les rideaux !"
Docteur, quand vais-je pouvoir reprendre ma vie sexuelle ?
Étonné, le chirurgien lui répond :
C'est la première fois, madame, qu'on me pose cette question
après une opération des amygdales !_
L’air conditionné
Dans un restaurant du Vieux-Nice, un touriste parisien appelle le garçon:
- On étouffe, ici ! Mettez donc en marche l’air conditionné.
- Bien, monsieur.
Dix minutes plus tard, le touriste dit au garçon:
- On gèle, ici ! Arrêtez un peu l’air conditionné.
- Bien, monsieur.
Un quart d’heure se passe:
- Garçon ! C’est une véritable fournaise. Remettez en marche l’air conditionné.
- Bien, monsieur.
Un autre touriste, assis à une table voisine, dit au garçon:
- Vous avez une drôle de patience avec ce genre de loustic.
- Oh! vous savez, répond le garçon, l’essentiel est qu’il soit content.
Parce qu’entre nous, nous ne l’avons pas encore fait installer, l’air conditionné.
Un célèbre dissident chinois demande l’asile politique en France.
A son arrivée à Roissy, une meute de reporter l’attend.
- Pourriez-vous nous parler des difficultés de la vie quotidienne en Chine ?
- A vrai dire, honorables journalistes, on ne peut pas se plaindre…
- Qu’en est-il de la liberté de parole et d’opinion ?
- On ne peut pas se plaindre…
- Et le respect des droits de l’homme ?
- On ne peut pas se plaindre non plus…
- Mais alors, dit un journaliste, pourquoi demandez-vous l’asile politique chez nous ?
- Parce qu’en France, on peut se plaindre…