L'amour, dans sa vérité..sinon, c'est n'importe quoi.. c'est surtout, sa subversion.. Nostalgie du paradis perdu..ou répulsion inconsciente de notre nature blessée..? Il y a au-dedans de chaque être humain, dans sa mémoire inconsciente, l'empreinte indélébile du souvenir de cet amour meurtri par la faute, par sa mise à l'épreuve et pour ne pas avoir su y correspondre..ça devient une 'peur' morbide de l'engagement plus que celle d'un cascadeur..!
Une nuit, un homme était endormi dans sa cabine quand soudainement la pièce se remplit de lumière et Dieu lui apparut. Dieu lui dit alors qu’il avait un travail pour lui à faire, et lui montra un énorme rocher juste devant sa cabine.
Alors, Dieu dit à l’homme de pousser ce rocher de toutes ses forces. L’homme obéit à Dieu, travailla dur à cette tâche pendant des années, suant, écorché par le soleil, ses épaules appuyées contre cette masse froide qui ne voulait pas bouger.
Chaque nuit, l’homme retournait à sa cabine complètement épuisé et rompu, sentant que le travail de toute sa journée n’avait servi à rien.
L’homme commença à se sentir fatigué et découragé.
C’est alors, que son adversaire (Satan) décida d’intervenir, de lui glisser des mauvaises pensées dans son esprit :
Tu as poussé beaucoup trop dur contre ce rocher toutes ces années, et il n’a pas bougé d’un centimètre.
Ainsi, il donna l’impression à l’homme que cette tâche était impossible à réaliser et qu’elle était un échec complet de sa part.
Ces pensées finirent par vraiment décourager l’homme et lui faire perdre l’espoir.
Satan, subtilement, lui dit : Pourquoi t’éreinter sur cette tâche ? Juste prend ton temps, donne-lui le minimum de tes efforts, et cela sera largement suffisant.
L’homme décida qu’il ferait comme cela, mais décida quand même de prier et de demander à Dieu, son avis sur ce sujet.
Seigneur, il dit, tu sais que j’ai travaillé durement et pendant longtemps à ton service, mettant toutes mes forces dans le travail que tu m’as demandé. Pourtant, après tout ce temps, je n’ai pas pu faire bouger ce rocher d’un seul centimètre.
Qu’est-ce qui ne va pas ?
Pourquoi j’ai échoué ?
Avec beaucoup de compassion, Dieu lui dit : Mon enfant, quand je t’ai demandé de me servir et que tu as accepté, je t’ai dit que ta tâche était de pousser ce rocher avec toutes tes forces, ce que tu as fait.
Mais je ne t’ai jamais dit que tu devais faire bouger ce rocher par tes propres forces.
La tâche que je t’ai demandé de faire était simplement de pousser.
Maintenant, tu viens me voir épuisé, pensant que tu as complètement échoué.
Le penses-tu vraiment ?
Regarde-toi !
Tes bras sont devenus forts et musclés. Ainsi que ton dos, sculpté et bronzé, tes mains se sont endurcies à force de presser si durement contre ce rocher, tes jambes sont devenues puissantes et solides. Grâce à ce dur travail, ton corps est devenu athlétique et surpasse l’homme que tu étais auparavant.
C’est vrai que tu n’as pas pu faire bouger ce rocher. Mais ton appel était d’être obéissant et de pousser, et surtout de me faire confiance ; ce que tu as fait.
Maintenant, mon enfant, je vais bouger ce rocher pour toi.
Parfois, nous avons tendance d’utiliser notre propre entendement pour comprendre ce que Dieu veut dans notre vie, quand la seule chose qu’il nous demande, c’est simplement de lui obéir, de lui faire confiance, et d’avoir la foi qu’il sait ce qu’il fait.
Bien sûr, nous devons exercer notre foi pour faire bouger des montagnes ; mais nous devons nous rappeler aussi que c’est Dieu qui fait bouger ces montagnes.
Alors, quand tout semble aller de travers, nous devons nous rappeler de…
P.U.S.H ! (poussez)
Quand tout va mal… Juste
P.U.S.H ! (poussez)
Quand cela ne va pas au travail…
P.U.S.H ! (poussez)
Quand la réaction des gens envers vous ne semble pas se passer si bien…
P.U.S.H ! (poussez)
Quand vous êtes fauchés et qu’il y A des factures à payer…
Tout en elle n’est que tendresse Délicatesse Pourtant elle ne montre jamais sa fragilité De peur de se dévoiler Tout dans son cœur reste cacher De peur d’être abusée Elle s’est habillée d’une armure Pour cacher toutes ses blessures Elle ne se laisse pas approcher Car les mots ne font que la blesser Elle s’imprègne de tout ce qui passe Dans son cœur rien ne s’efface Tout lui fait mal Et souvent s’est infernal Elle écrit simplement des mots Qu’elle aimerait dire Pour guérir de ses maux Qui l’a font souffrir Elle veut simplement se protéger De tous ceux qui l’ont offensé Alors sa plume l’écrit tout doucement L’encre frôle délicatement Le papier avec sensualité Les mots qu’elle aimerait tant murmurer
Vous êtes triste ; affreusement malheureux ; seul et abandonné ; envie d’en finir ? c’est le temps d’agir, faire un pied-de-nez à toute cette tristesse une bonne fois pour toutes…
Cherchez quelqu’un qui à besoin d’être aimé, qui est seul et abandonné, qui est au bord du désespoir. Aimez-le de toute votre âme, Comme si, il ou elle, était votre frère, votre sœur. Admirez à quelle vitesse l’amour peut vous rendre le sourire et la joie de vivre dans votre cœur et votre vie.
Le cœur est un récipient qui a besoin d’être rempli avec quelque chose ; ce quelque chose, c’est l'amour vrai, mais pour qu’il puisse être entièrement consumé, on doit d’abord le déverser dans un autre cœur vide.
C’est une loi simple du bonheur, c’est en donnant qu’on reçoit ; en aidant qu’on reçoit de l’aide ; en s’oubliant qu’on existe ; en sacrifiant qu’on est aimé. Alors, l’amour vous revient et vous frappe en plein cœur.
Vous venez de découvrir ce qu’est le vrai bonheur et le sens profond de la vie !
Patrick Etienne
Je t’aime !
Deux petits mots de sept lettres, pourtant qu’ils veulent dire tout !
Cela fait maintenant dix ans Que j'ai pris la clef des champs J'ai pour moi les quatre jeudis J'écris le jour j'écris la nuit Depuis que je suis retraité Je n'ai pas assez de journées J'écris dès le potron-minet J'écris jusqu'à la nuit tombée
Printemps été automne hiver Je ne fais qu'écrire en vers Pour oublier tous mes tracas Et tous mes embarras J'écris partout sur mes cahiers Sur les murs et dans l'évier J'écris c'est comme un prurit Comme une vraie maladie
Moi le poète sans patrie J'écris je n'ai pas de répit Et c'est un si grand plaisir Que ne n'ai pas d'autre loisir Lire , écrire et méditer Réver, loisir et liberté Je n'ai pas d'autre litanie Pour remplir mes journées
Dans ce monde où tout est technique Il n'y a plus rien de mystique Pour donner un sens à sa vie Quoi de mieux que la poésie? l'important c'est l'imaginaire Et savoir garder le mystère J'avais pourtant dit c'est fini Mais la poésie c'est la vie
DANS TES BRAS
De même qu'un saule pleureur
S'inclinant sous les rayons charmeurs
Mon âme s'émerveille de la splendeur
Qui ensoleille ma vie de chaleur....
Dans tes bras, la froidure de l'aube se fait sourire
Fondant mes angoisses en rire de plaisir
Où mon coeur couvert de tes diamants
Se nourit de ton serment....
Mes yeux dormeurs aux vers de ta voix lumineuse
Effacent la brume naissante d'une nébuleuse
Réfléchissant notre vie délicieuse....
De même qu'un saule pleureur
Nos esprits en communion livrent nos sentiments amoureux
Et nos corps se consumment dans le cosmos volupteux....
copyright @ Onoma Gaïa
Douces pensées
Je suis assis ici
Et je te regarde pendant que tu dors
Tu es très douce
Tu as un beau visage mon amour
J'aimerais savoir
Que penses-tu maintenant
Que rêves-tu
Si je suis dans tes rêves
Je veux caresser ton doux visage
Je veux toucher tes doux cheveux
Et pourquoi pas ?
Te voler un baiser
Tu es la plus belle créature
Existant dans ce monde
Je me jetterais dans le feu pour toi
Tu sais me rendre unique, spécial
Mais seulement depuis que tu es là
Je ne pensais pas dans ma vie
De trouver une âme pure
Et simple comme la tienne
Le destin nous a réunis.
Marie_Louise
L'amour, dans sa vérité..sinon, c'est n'importe quoi..
c'est surtout, sa subversion..
Nostalgie du paradis perdu..ou répulsion
inconsciente de notre nature blessée..?
Il y a au-dedans de chaque être humain,
dans sa mémoire inconsciente, l'empreinte
indélébile du souvenir de cet amour meurtri
par la faute, par sa mise à l'épreuve et pour
ne pas avoir su y correspondre..ça
devient une 'peur' morbide de l'engagement
plus que celle d'un cascadeur..!
J'aime cette vallée, étroite , sauvage,
Où résonne le rire musical des cascades,
Où les montagnes bleues et les grands arbres verts
Chuchotent en été, les splendeurs de l'hiver...
J'aime dans les rochers l'écume du torrent
Scintillant au soleil de ce jour de vacances;
La riche transparence de l'eau qui va chantant
Dans son lit caillouteux où la lumière danse...
J'aime dans les coins sombres du sous-bois silencieux
Découvrir l'humble fleur richement colorée,
M'enivrer des parfums dans l'air voluptueux,
Jouir de ces instants suaves et dorés;
Si j'étais magicienne, je freinerais le temps
Qui court, inconscient, comme un enfant joyeux,
Pour encore et encore savourer ces instants;
Las! leur fragilité me mouille un peu les yeux...
Mais tu es là, toi, ma belle vallée!
Berceau éblouissant de beautés éternelles!
Tu es mon bonheur, simple, fidèle,discret,
Bonheur des jours heureux où l'amour étincelle....
Claudie Rolland
Une douce armure
Tout en elle n’est que tendresse
Délicatesse
Pourtant elle ne montre jamais sa fragilité
De peur de se dévoiler
Tout dans son cœur reste cacher
De peur d’être abusée
Elle s’est habillée d’une armure
Pour cacher toutes ses blessures
Elle ne se laisse pas approcher
Car les mots ne font que la blesser
Elle s’imprègne de tout ce qui passe
Dans son cœur rien ne s’efface
Tout lui fait mal
Et souvent s’est infernal
Elle écrit simplement des mots
Qu’elle aimerait dire
Pour guérir de ses maux
Qui l’a font souffrir
Elle veut simplement se protéger
De tous ceux qui l’ont offensé
Alors sa plume l’écrit tout doucement
L’encre frôle délicatement
Le papier avec sensualité
Les mots qu’elle aimerait tant murmurer
Les Ecrits d’Isabelle
C'est l'amour qui naît
Tel un doux chaton
Et l'on rêverait
L'avoir à foison !
C'est l'amour qui court
Qui nous rend heureux
Qu'on voudrait toujours
Garder merveilleux...
C'est le feu du coeur
Que tu réanimes
A chaque belle heure
Où tu me sublimes...
En complicité
Au coeur de douceurs
Je souhaite t'aimer
Pour des millions d'heures !
Je t'aime mon Amour
Tel le fort Soleil
J'espère chaque jour
Que tu me vois vieille !
Mon amour sans fin,
Veux-tu me garder ?
Bonne Saint Valentin
Pleine de doux baisers...
La poésie c'est la vie
Cela fait maintenant dix ans
Que j'ai pris la clef des champs
J'ai pour moi les quatre jeudis
J'écris le jour j'écris la nuit
Depuis que je suis retraité
Je n'ai pas assez de journées
J'écris dès le potron-minet
J'écris jusqu'à la nuit tombée
Printemps été automne hiver
Je ne fais qu'écrire en vers
Pour oublier tous mes tracas
Et tous mes embarras
J'écris partout sur mes cahiers
Sur les murs et dans l'évier
J'écris c'est comme un prurit
Comme une vraie maladie
Moi le poète sans patrie
J'écris je n'ai pas de répit
Et c'est un si grand plaisir
Que ne n'ai pas d'autre loisir
Lire , écrire et méditer
Réver, loisir et liberté
Je n'ai pas d'autre litanie
Pour remplir mes journées
Dans ce monde où tout est technique
Il n'y a plus rien de mystique
Pour donner un sens à sa vie
Quoi de mieux que la poésie?
l'important c'est l'imaginaire
Et savoir garder le mystère
J'avais pourtant dit c'est fini
Mais la poésie c'est la vie
Inconnu