On ne se voit qu'a travers lui Des brèches de soi relief corporel Il n'y a que les murs devants ,derrières Qui nous font paraitre quelque part C'est le sentiment qui nous gagne
A la reconnaissance du sens, le moi Il est celui qui nous identifie de la Ou l'on se voit debout sans âme Tout en sachant qu'elle est en nous Cette faculté de réflexion imaginaire
Le front plissé guète le faut semblant Afin de nous persuader de la vérité Le seul pays qui se prête a notre folie il n'existe que dans l'esprit qui se perd Aux frontières du simplement je suis
Alors pour vous plaire je deviens celui Qui par habitude vous transforme A l'image du pourrait être Entre quatre murs Au centre de la pièce
Je ferme les yeux dans cet univers puissant S'entourant de nos ardeurs s'accroissant Au coeur des plaisirs de l'étreinte parfumée Dans la clarté sereine de l'aube sublimée
Le bonheur allume les couleurs de nos corps Vibrant pour voir nos doux gestes éclore Telle l'étincelle de vie éloignant l'obscur Pour remplir nos yeux de lumière d'azur
Le souvenir de mes peines soudain s'estompe Dans l'extase fiévreuse que rien ne détrompe Lorsque l'amour s'anime d'une belle fragrance Menant l'esprit vers un ciel d'espérance
Je deviendrai ton ange tactile qui chansonne Lorsque la lyre de mes courbes frissonne Dans l'alcôve de l'ivresse d'un soir solennel Heureux du temps suspendu à nos ailes. Par corinne56 5 Septembre 2016
Témoignage d’un vieux ! Je n’ai plus des dents Ni la lumière de mes yeux Je suis devenu grand Et sur mon crâne blanc …Peu de cheveux ! Mais Grace à mon Dieu Je me sens toujours heureux Je marche d’un pas sûr, avec sérénité D’un palier à un palier Je marche, À moitié plié, Et pourtant, Je suis toujours vivant ! Je suis devenu le maitre de ma vie Car j’ai grandi Et je ne savais pas comment ? D’avoir tout cet âge sur mon dos Et cette charge dans mon sac Quoique je sois un peu courbé, le monde est beau ! Mais Dieu merci, je transmets le message, Aujourd’hui … Avant mon éternel voyage … Poème écrit par le Poète Marocain Mr BOUSSELHAM JAMAL
Quand souffle les vents, je naviguerai, par delà les flots du destins .
Sans peur des Dieux, sans vague à l'âme si tu m'offrais ta main .
Ni froids glacials, ni mer rageuse ne feront faiblir mon courage
Si tu me promettais ton cœur et ton âme .
Et ton âme pour toute l'éternité, mon tendre ami, mon bien aimé, ces mots me causent tant d'émois mais nul besoin de beaux exploits, mon âme n'aspire qu'à tes bras (haha)
Mais je t'offrirai des perles d'or et la plus douce des poésies (oh' bien sûr)' Et je braverai toutes les menaces si tu me confiais ta vie
Je n'ai que faire de tout ton or et je ne veux point de poésies, je veux ta main pour seul trésor et ton amour pour la vie
Sous toutes les mers sous tous les cieux ton rire éclairera mes nuits, la mort la peine et les chagrins, ta voix guidera mon chemin, quand souffle les vents je naviguerai, par delà les flots du destin, sans peur et sans vague à l'âme si tu m'offrais ta main.
Poésie De Charles Trenet... Je me souviens d’un coin de rue aujourd’hui disparu, mon enfance jouait par là, je me souviens de cela. il y avait une palissade , un taillis d’embuscades. Les voyous de mon quartier venait s’y batailler. A présent il y a un café, un comptoir flambant qui fait de l’effet ; une fleuriste qui vend ses fleurs aux amants et même aux enterrements. Je revois mon coin de rue aujourd’hui disparu, je me souviens d’un triste soir , où le coeur sans espoir, je pleurais en attendant, un amour de quinze ans, un amour qui fut perdu juste à ce coin de rue. Et depuis j’ai beaucoup voyagé, trop souvent en pays étrangers, mondes neufs constructions ou démolitions, vous me donnez des visions. Je crois voir mon coin de rue, et soudain apparus je retrouve ma palissade, mes copains, mes glissades, mon muguet de deux sous de printemps, mes quinze ans… mes vingt ans ; tout ce qui fut et qui n’est plus tout mon vieux coin de rue.
La vie à deux c'est l'échange entre deux êtres Un échange que l'on doit peupler de certitudes Et que si on ne veut pas tomber dans la servitude On doit agir et mettre de coté les peut-être.
La vie à deux c'est l'amitié qui unit le couple L'amitié que la nuit venue se transforme en passion Et que la complicité se veut plus souple Ou l'on peut laisser aller nos émotions.
La vie à deux c'est le partage de tous les jours Le partage des peines et des joies Les peines qu'on absorbe et les joies qu'on savoure C'est en ces mots que de notre amour je fais foi.
La vie à deux c'est l'union de deux amants L'union qui fait vibrer les corps et les coeurs Si heureux nous sommes en ce moment Jamais nous laisser contrôler par la peur.
La vie à deux c'est le soutien que l'on donne Soutien qui ne fait que grandir À mesure que les obstacles nous façonnent La vie à deux c'est comme ça que j'aime la définir.
La Campagne Il y a un endroit où tout est calme Un endroit qui s’appelle la campagne Tant de fleurs qui naissent, qui vivent et qui se fanent Les animaux qui ont l’air de s’amuser toute la journée Ce grand espace où l’on peut jouer L’herbe est si verte et si longue Qu’on pourrait si perdre sans y faire attention Ces arbres qui ont l’air si heureux Ce soleil qui brille de mille feux Ces nuages qui se sont enfuit Parce qu’il n’y a plus de pluie Pas de chasseurs comme dans les forêts Ni d’animaux sauvages qui viennent s’y réfugier Le beau temps on l’aime tous Pas comme l’hiver où l’on tousse Ceci est la campagne Où il fait si calme Pas de bruit aucun souci.
Le miroir
On ne se voit qu'a travers lui
Des brèches de soi relief corporel
Il n'y a que les murs devants ,derrières
Qui nous font paraitre quelque part
C'est le sentiment qui nous gagne
A la reconnaissance du sens, le moi
Il est celui qui nous identifie de la
Ou l'on se voit debout sans âme
Tout en sachant qu'elle est en nous
Cette faculté de réflexion imaginaire
Le front plissé guète le faut semblant
Afin de nous persuader de la vérité
Le seul pays qui se prête a notre folie
il n'existe que dans l'esprit qui se perd
Aux frontières du simplement je suis
Alors pour vous plaire je deviens celui
Qui par habitude vous transforme
A l'image du pourrait être
Entre quatre murs
Au centre de la pièce
didi
Si près de toi
Je ferme les yeux dans cet univers puissant
S'entourant de nos ardeurs s'accroissant
Au coeur des plaisirs de l'étreinte parfumée
Dans la clarté sereine de l'aube sublimée
Le bonheur allume les couleurs de nos corps
Vibrant pour voir nos doux gestes éclore
Telle l'étincelle de vie éloignant l'obscur
Pour remplir nos yeux de lumière d'azur
Le souvenir de mes peines soudain s'estompe
Dans l'extase fiévreuse que rien ne détrompe
Lorsque l'amour s'anime d'une belle fragrance
Menant l'esprit vers un ciel d'espérance
Je deviendrai ton ange tactile qui chansonne
Lorsque la lyre de mes courbes frissonne
Dans l'alcôve de l'ivresse d'un soir solennel
Heureux du temps suspendu à nos ailes.
Par corinne56
5 Septembre 2016
Quand la fontaine larmoie,
les galets s'enlissent,
La mer sanglote,
Les falaises s'échouent, sur les chemins...
Quand la feuille tremble,
Les arbres s'inclinent,
La forêt prie,
Le vent visite les jardins....
Quand la montagne vocalise,
Les sommets se fardent,
Les sentiers s'écartent,
L'écho de l'été vit sa triste fin.
Copyright @ Onoma Gaia
Témoignage d’un vieux !
Je n’ai plus des dents
Ni la lumière de mes yeux
Je suis devenu grand
Et sur mon crâne blanc …Peu de cheveux !
Mais Grace à mon Dieu
Je me sens toujours heureux
Je marche d’un pas sûr, avec sérénité
D’un palier à un palier
Je marche, À moitié plié,
Et pourtant, Je suis toujours vivant !
Je suis devenu le maitre de ma vie
Car j’ai grandi
Et je ne savais pas comment ?
D’avoir tout cet âge sur mon dos
Et cette charge dans mon sac
Quoique je sois un peu courbé, le monde est beau !
Mais Dieu merci, je transmets le message,
Aujourd’hui … Avant mon éternel voyage …
Poème écrit par le Poète Marocain Mr BOUSSELHAM JAMAL
« SI TU POUVAIS M’AIMER » version québécoise.
Quand souffle les vents, je naviguerai, par delà les flots du destins .
Sans peur des Dieux, sans vague à l'âme si tu m'offrais ta main .
Ni froids glacials, ni mer rageuse ne feront faiblir mon courage
Si tu me promettais ton cœur et ton âme .
Et ton âme pour toute l'éternité,
mon tendre ami, mon bien aimé, ces mots me causent tant d'émois
mais nul besoin de beaux exploits, mon âme n'aspire qu'à tes bras (haha)
Mais je t'offrirai des perles d'or et la plus douce des poésies (oh' bien sûr)'
Et je braverai toutes les menaces si tu me confiais ta vie
Je n'ai que faire de tout ton or et je ne veux point de poésies,
je veux ta main pour seul trésor et ton amour pour la vie
Sous toutes les mers sous tous les cieux ton rire éclairera mes nuits,
la mort la peine et les chagrins, ta voix guidera mon chemin,
quand souffle les vents je naviguerai, par delà les flots du destin,
sans peur et sans vague à l'âme si tu m'offrais ta main.
Je me souviens d’un coin de rue
aujourd’hui disparu,
mon enfance jouait par là,
je me souviens de cela.
il y avait une palissade ,
un taillis d’embuscades.
Les voyous de mon quartier
venait s’y batailler.
A présent il y a un café,
un comptoir flambant qui fait de l’effet ;
une fleuriste qui vend ses fleurs aux amants
et même aux enterrements.
Je revois mon coin de rue
aujourd’hui disparu,
je me souviens d’un triste soir ,
où le coeur sans espoir,
je pleurais en attendant,
un amour de quinze ans,
un amour qui fut perdu
juste à ce coin de rue.
Et depuis j’ai beaucoup voyagé,
trop souvent en pays étrangers,
mondes neufs constructions ou démolitions,
vous me donnez des visions.
Je crois voir mon coin de rue,
et soudain apparus
je retrouve ma palissade,
mes copains, mes glissades,
mon muguet de deux sous de printemps,
mes quinze ans… mes vingt ans ;
tout ce qui fut et qui n’est plus
tout mon vieux coin de rue.
Charles Trenet
CELUI_CI LUI DEMANDE TENDREMENT :
- TU VEUX QUE JE TE FASSE UNE BOURRASQUE OU UN OURAGAN ?
- OH NON, JE VEUX JUSTE UNE PETITE BISE .....
.
LA VIE A DEUX
La vie à deux c'est l'échange entre deux êtres
Un échange que l'on doit peupler de certitudes
Et que si on ne veut pas tomber dans la servitude
On doit agir et mettre de coté les peut-être.
La vie à deux c'est l'amitié qui unit le couple
L'amitié que la nuit venue se transforme en passion
Et que la complicité se veut plus souple
Ou l'on peut laisser aller nos émotions.
La vie à deux c'est le partage de tous les jours
Le partage des peines et des joies
Les peines qu'on absorbe et les joies qu'on savoure
C'est en ces mots que de notre amour je fais foi.
La vie à deux c'est l'union de deux amants
L'union qui fait vibrer les corps et les coeurs
Si heureux nous sommes en ce moment
Jamais nous laisser contrôler par la peur.
La vie à deux c'est le soutien que l'on donne
Soutien qui ne fait que grandir
À mesure que les obstacles nous façonnent
La vie à deux c'est comme ça que j'aime la définir.
Philou
Image est de moi Jackie
"Quelle que soit la durée de notre séjour sur cette belle planète, et quoi qu'il advienne,
le plus important c'est , de temps en temps, sentir la douce caresse exquise de la vie."
Et Lorsque vous touchez le cœur de quelqu'un, il ne sera plus jamais le même.
Une partie de vous vivra toujours en lui."
Les battements de mon cœur ne sont rien d'autre que les doux murmures de ceux qui habitent dedans.
Quand il n'y aura plus personne, il s'arrêtera de battre.
Alors Le temps que l'on prend pour se dire je t'aime,
c'est le seul qui restera à la fin de nos jours."
(Gilles Vigneault)
La Campagne
Il y a un endroit où tout est calme
Un endroit qui s’appelle la campagne
Tant de fleurs qui naissent, qui vivent et qui se fanent
Les animaux qui ont l’air de s’amuser toute la journée
Ce grand espace où l’on peut jouer
L’herbe est si verte et si longue
Qu’on pourrait si perdre sans y faire attention
Ces arbres qui ont l’air si heureux
Ce soleil qui brille de mille feux
Ces nuages qui se sont enfuit
Parce qu’il n’y a plus de pluie
Pas de chasseurs comme dans les forêts
Ni d’animaux sauvages qui viennent s’y réfugier
Le beau temps on l’aime tous
Pas comme l’hiver où l’on tousse
Ceci est la campagne
Où il fait si calme
Pas de bruit aucun souci.
(Source Inconnue)