Poésies,contes et légendes.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
05/03/2016 - 07:44

De quoi sont faits les papas
? Auteur inconnu

Dieu prit la force d’une montagne
Y ajouta la majesté d’un arbre,
La chaleur d’un soleil d’été,
Le calme tranquille de l’océan,
La générosité de la nature,
La douceur apaisante de la nuit,
La sagesse des anciens,
La puissance de l’aigle dans son vol,
La joie d’un matin de printemps,
La foi d’une graine de moutarde,
La patience de l’éternité,
Et le sérieux des responsabilités,

Dieu combina donc ces qualités…
Quand Il n’eut plus rien à ajouter,
Il sut que mieux faire Il ne pourrait pas…
Alors, Il appela ce chef-d’œuvre Papa

           ************

Citations sur les papas

Un cœur de père est le chef-d'oeuvre
de la nature.
[Abbé Antoine Prévost]

Le coeur d'un père s'agrandit avec
chaque enfant.
[Jean Basile Bezroudnoff]

Un père vaut plus qu'une centaine
de maîtres d'école.
[George Herbert]

Dans une prochaine vie, papa,
j'aimerais te reprendre comme père.
[Bernard Werber]

Un homme n'est jamais si grand que
lorsqu'il est à genoux pour aider
un enfant.
[Pythagore]

Il n'y a que le père qui n'envie
pas le talent de son fils.
[Johann Wolfgang von Goethe]

Les pères doivent toujours donner
pour être heureux. Donner toujours,
c'est ce qui fait qu'on est père.
[Honoré de Balzac]

Il est plus facile pour un père
d'avoir un fils que pour un enfant
d'avoir un bon père.
[Jean XXIII]

Devenir père n'est pas difficile.
L'être l'est, cependant.
[Wilhelm Busch]

C'est long à élever, un père.
[Christine Latour]

Quand un enfant naît,
un père naît aussi.
[Frederick Buechner]

Ne les oubliez pas !
Il n'y a pas besoin
d'avoir un jour spécial
dans l'année pour penser
à eux; aimez-les chaque
jour de l'année!
(Patrick Etienne)
04/03/2016 - 15:00


        Mots croisés

Sur la route j'en ai rencontré
Des doux , des moches , des beaux
Chacun ses goûts après tout
Des gros pour se faire gronder
Des courts , des longs
Sans frontière ni couleur

A chaque fois
Ils se sont croisés
Cases blanches et noires
Se sont mêlés
Dans tous les sens
Voires mélangés et même fléchés !

Toujours en quête
D'un bel ou faux - ami
Des traits pour l'union, des accents
Pour leur donner du caractère 
Des points , des virgules
Pour les aimer , les séparer

Des interrogations
Posant maintes questions
Des exclamations
Exprimant l'émotion
Une consonne pour elle ...
Une voyelle pour lui ...

Parfois les mots "braillent"
Pour les voir avec les doigts
Aussi fendant l'air de gestes
Les mains se font entendre
Les maux et l' émo *
Les mots , les mots croisés ...
 

* émo = l'émotion

Poème en alphabet
Copyright@thierrypoetilbon
Poésies IV 
02/03/2016 - 07:39

"Quand je suis capable de voir

ce qui est beau dans ma vie,

c'est que je porte en moi la beauté -

puisque le monde est un miroir

qui renvoie à chacun

l'image de son propre visage".


 
Paul Coelho

Romancier et interprète brésilien.


 

01/03/2016 - 08:31

Poéme et montage

Thème ( Les Mains)

 

 


 



Mes mains  (  chanson écrite par Pierre Delanoë et composée par Gilbert Bécaud

 

29/02/2016 - 11:38
Le train de la vie

A la naissance, on monte dans le train et on rencontre nos parents.
Et on croit qu'ils voyageront toujours avec nous.
Pourtant, à une station, nos parents descendront du train,
nous laissant seuls continuer le voyage…  

Au fur et à mesure que le temps passe,
d'autres personnes montent dans le train.
Et ils seront importants : notre fratrie, amis, enfants,
même l'amour de notre vie.  
                                               

Beaucoup démissionneront (même l'amour de notre vie)
et laisseront un vide plus ou moins grand.
D'autres seront si discrets  
qu'on ne réalisera pas qu'ils ont quitté leurs sièges.  

Ce voyage en train sera plein de joies, de peines, d'attentes,
de bonjours, d'au-revoirs et d'adieux.
Le succès est d'avoir de bonnes relations avec tous les passagers
pourvu qu'on donne le meilleur de nous-mêmes.  

On ne sait pas à quelle station nous descendrons.
Donc vivons heureux, aimons et pardonnons !
Il est important de le faire, car lorsque nous descendrons du train,
nous devrions ne laisser que des beaux souvenirs a ceux qui continuent leur voyage…  
                                         
Soyons heureux avec ce que nous avons et remercions le ciel  de ce voyage fantastique.
Aussi, merci d'être un des passagers de mon train.
Et si je dois descendre à la prochaine station,
je suis content d'avoir fait un bout de chemin avec toi !

29/02/2016 - 08:30
L'invitation au voyage.
                   Charles Baudelaire (1821-1867)


Mon enfant, ma soeur,
Songe à la douceur
D'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,
Aimer et mourir
Au pays qui te ressemble !
Les soleils mouillés
De ces ciels brouillés
Pour mon esprit ont les charmes
Si mystérieux
De tes traîtres yeux,
Brillant à travers leurs larmes.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Des meubles luisants,
Polis par les ans,
Décoreraient notre chambre ;
Les plus rares fleurs
Mêlant leurs odeurs
Aux vagues senteurs de l'ambre,
Les riches plafonds,
Les miroirs profonds,
La splendeur orientale,
Tout y parlerait
À l'âme en secret
Sa douce langue natale.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.

Vois sur ces canaux
Dormir ces vaisseaux
Dont l'humeur est vagabonde ;
C'est pour assouvir
Ton moindre désir
Qu'ils viennent du bout du monde.
- Les soleils couchants
Revêtent les champs,
Les canaux, la ville entière,
D'hyacinthe et d'or ;
Le monde s'endort
Dans une chaude lumière.

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté.


Recueil : Les Fleurs Du Mal

Charles Baudelaire : (1821-1867)
29/02/2016 - 07:30

Je suis un vivant!

Le vieux Sam a dû travailler dur
toute sa vie dans une grande
plantation de cotton.
Sa mère et son père avaient été
esclaves dans cette plantation
aussi, mais depuis la guerre
civile l'esclave avait été aboli,
plus personne n'était appelé
esclave!
Malgrès cela, les pauvres devaient
continuer à travailler pour les
riches.

Quand Sam était plus jeune, il a
dû aller travailler dans les
champs de coton. Maintenant qu'il
commençait à devenir vieux et que
sa chère femme n'était plus de ce
monde,tout ce qui lui restait à
faire, c'était de prendre soin de
son maître.

En dépit de cela, il était un homme
heureux, bien que la vie était dure
pour lui par moment, avec son lot
de tristesse et de malheurs. Mais
il aimait Dieu en dépit de tout cela.

Donc, il aimait Dieu et Dieu
l'aimait beaucoup aussi. Il faisait
de son mieux pour aider les autres
et de leur parler de sa foi.

Maître Jackson était plus jeune que
Sam.Sa vie avait été toujours facile.
Il aimait le vieux Sam, mais il
n'arrivait pas à comprendre sa foi
en Dieu.Secrètement, il voulait
croire en Dieu comme Sam le faisait,
mais il semblait pour lui que Sam
avait plus de problèmes que lui.

Un jour, il demanda à Sam:
"Explique moi Sam, comment ce fait-il
que toi qui est croyant, tu as tous
ces problèmes et ces épreuves dans
ta vie? Vois-tu, moi, je ne crois
même pas en Dieu, et pourtant ma vie
a été beaucoup plus facile que la tienne!"

Sam resta silencieux pour un petit
moment et répondit:
"Bien patron, il va falloir que je
réfléchisse à votre question avant
d'y répondre.

"Quack, quack, quack!" Quelques
jours plus tard, le son du bruit
migratoire des canards rappela à
maître Jackson que la saison de
chasse venait de commencer.

"Allons s'y Sam, prépare mon fusil,
nous allons avoir du canard rôti au
dîner ce soir!"

Aussitôt, Sam et son maître se
retrouvèrent sur les bords d'un
étang, à l'affût derrière un arbre.

Un groupe de canards se mit à faire
des cercles et soudainement,
"Bang! Bang!", plusieurs canards
tombèrent dans l'eau, certains morts,
d'autres juste blessés.

"Ensache ceux qui sont vivants!
Ensache ceux qui sont vivants!
Laisse les autres pour plus tard!"
crit maître jackson à Sam.

Il savait que que ceux qui étaient
blessés pouvaient encore s'échapper,
si on ne les attrapaient pas
rapidement.

Quand Sam retourna avec son sac
rempli de canards, il avait un grand
sourire sur son visage.

"Je pense maître, que j'ai la
réponse à votre question.
Vous voyez, je suis un vivant, et le
Diable à peur que je me sauve, c'est
pour cela qui me donne tous ces
problèmes, pour essayer de me mettre
dans son sac en premier.
Vous, vous êtes déjà mort, il vous a
déjà attrapé, alors il n'a pas besoin
de s'inquièter après vous.

Certaines personnes ont une fausse
idée quand devenant chrétien que tous
leurs problèmes se trouveront
automatiquement résolus, et de façon
définitive. Ils pensent qu’ils
n’auront plus jamais de difficultés.
Mais ce n’est généralement pas le cas.

“Le Diable ne se met pas à tirer
avant que vous ne vous jetiez à
l’assaut!”
 
L'allusion vient de la guerre de
tranchées au cours de la première
guerre mondiale. Il n’était pas rare
que les soldats, des deux côtés,
restent blottis dans leurs tranchées,
des jours, voire des semaines durant,
sans qu’aucun coup de feu ne soit
tiré.Mais pour peu que l’un des deux
antagonistes prenne l’offensive et
que des soldats sortent  de leurs
tranchées pour se jeter à l’assaut
de l’ennemi, aussitôt l’autre camp
se mettait à tirer sur eux de toute
sa puissance de feu!
28/02/2016 - 08:15

LE BOOMERANG

J’aimerais vous parler de quelque chose
qui m’a fascinée lorsque j’étais enfant.
J’étais allée au cirque et le spectacle
se déroulait sur trois pistes. J’en ai
un souvenir très clair. Je revois encore
les acrobates qui se balançaient, puis
voltigeaient dans les airs ou sautaient
dans le vide. Mais, sur la troisième
piste, un numéro capta mon attention.

Un garçon et une fille lançaient des
projectiles multicolores d’un bout à
l’autre de la piste. Ces projectiles
parcouraient une certaine distance
avant de revenir se loger dans leurs
mains. Et cela, quelle que soit la
direction où ils avaient été envoyés.

J’étais médusée. Comment ces
projectiles pouvaient-ils changer de
direction pour revenir à leur point
de départ ? À peine avaient-ils été
lancés par les jeunes artistes qu’ils
leur revenaient droit dans les mains !

Alors quelqu’un à côté de moi dit
(et c’est la première fois que
j’entendais le mot) :

« Ce sont des boomerangs ! »

De retour à la maison, je m’empressai
de me faire expliquer le phénomène.

Or, depuis le jour où j’ai enfoui ce
mot dans ma mémoire d’enfant, je l’ai
entendu maintes fois et j’ai constaté
que le même phénomène se produisait
dans la vie.

Parce que la vie elle-même est un
boomerang. Tout ce que vous faites
finit par vous revenir un jour ou
l’autre.

« Tout ce qu’un homme sème, il le
moissonne, »  lit-on dans la Bible.
Chaque parole que vous lancez vous
revient un jour. Je crois que même
nos pensées nous reviennent, car,
après tout, les pensées sont des
choses réelles.

Étrange, cette façon qu’a le
boomerang de modifier sa trajectoire
pour revenir à son lanceur !

Mais voyez-vous, la loi de pesanteur
spirituelle, la loi de rétribution,
n’est pas moins étrange. Il s’agit
d’une loi infaillible :

ce qu’un homme « lance » dans le
monde lui reviendra dans sa propre
vie.

S’il « lance » le pain de la
gentillesse, celui-ci lui reviendra
comme une bénédiction ! S’il lance
une malédiction, tôt ou tard,
celle-ci lui reviendra sous la forme
d’une plus grande malédiction.

« Vous avez votre boomerang et moi
le mien ; chacun fonctionne
différemment », objecterez-vous
peut-être. chacune de nos actions
nous revient. Je sais que des paroles
aimables que j’ai prononcées il y a
bien des années ont suivi leur cours
et que, récemment, j’en ai récolté
les fruits. Et vous aussi, vous
récoltez aujourd’hui l’amour et la
reconnaissance d’un boomerang que
vous avez lancé il y a bien des années.
 
Je connais un père de famille qui vit
près de chez moi. C’est un homme
particulièrement impatient et irritable.
Or, l’autre jour, j’ai entendu son fils
lui répondre avec la même impatience,
la même irritabilité. Alors j’ai pensé :
« Ce n’est que le retour du boomerang »

Il y a quelques mois, et je ne pourrai
jamais l’oublier, j’ai entendu une brave
femme prier. C’était une mère. Elle
disait que son garçon s’était dévoyé,
et que c’était comme un boomerang parce
qu’elle ne l’avait pas élevé dans le
droit chemin. La vie de l’enfant, comme
le métal quand il est chaud, avait coulé
dans le moule puis avait durci. Et
maintenant qu’il était un homme, elle
ne pouvait plus le raisonner. Mais
c’était dû à ses erreurs à elle.

Maintenant, c’était le retour du
boomerang et elle se lamentait :
« Oh ! comme c’était différent alors !
Jamais je n’aurais pensé que ça me
reviendrait. Je ne m’inquiétais de rien
et ne songeais qu’à profiter de la vie.
À mes yeux, il était absurde de penser
à un tel retour des choses. » Puis elle
ajouta : « J’entends maintenant le
cliquetis des menottes, le bruit des
portes de prison qui se referment sur
mon fils. C’est comme l’écho lointain
de ma propre vie et de ce que j’ai
semé dans la vie de mon garçon. »

Un matin, dans un hôpital de Paris,
en France, j’ai rendu visite à deux
patientes. La première était Marie
Dubois. Elle était gravement malade,
sa chambre était remplie de fleurs,
de toutes sortes de cartes et de
jolis petits cadeaux qu’on lui avait
envoyés. Elle était entourée de mille
petites marques de gentillesse.
C’était le reflet exact de sa vie.
Tout au long des années, elle avait
semé l’amour et la gentillesse autour
d’elle, et voilà qu’à présent cela
lui revenait dans cet hôpital, au
cours de sa terrible maladie.

Dans une autre chambre, une femme
était alitée, aigrie, solitaire.
On pouvait lire la méfiance sur
chaque trait de son visage.
L’égoïsme et l’animosité avaient
ruiné sa vie. Elle était étendue
là, le visage tourné contre le mur.
Autour d’elle, elle avait construit
des murs d’antipathie, de froideur,
de dureté et d’égoïsme, et voilà
qu’à présent, sur son lit de mort,
elle était enfermée dans la solitude.

Quelle différence entre ces deux
chambres ! C’était le juste retour
du boomerang.

En Proverbes 26:27, nous lisons :
« Qui creuse une fosse tombera dedans
et la pierre reviendra sur celui qui
la roule » , et puis en
Ecclésiaste 11:1: « Jette ton pain
sur la face des eaux, car tu le
trouveras après bien des jours »
 
Vivez généreusement, secourez
l’affligé, aidez-le à porter son
fardeau, soulagez sa peine...

Un jour, un merveilleux boomerang
vous reviendra.
28/02/2016 - 07:57

 
 Comme le volcan

Comme le volcan le plus sage, depuis des siècles en sommeil

Grondant ses états d'âme dans les profondeurs abyssales
Au monde paraître serein, le danger et les horreurs en veille
Sous son manteau bouillonne la hargne d'une chaleur optimale
Mon cœur est noyau où se déchirent les pires ressentiments
Lutte impétueuse ravageant mes rares instants bien-être
Torrent incandescent sous ma peau affamée de tendres moments
Comme un volcan libérateur, entre tes bras me soumettre
Douceur sont tes mains satinées sur mes courbes frémissantes
Aimantes sont tes lèvres goûtant le sel de mon désir
Me noyer dans ton regard langoureux qui me rend impuissante
Partage d'une passion, dans l'ardeur d'un même plaisir
A toi me donner et dans tes bras, sans pudeur m'épanouir
Bercée par la houle d'un sublime voyage vers l'ailleurs
Survoler ce monde et par ses saveurs me laisser séduire
Au ciel me perdre, les yeux clos dans un râle pourvoyeur
Savourer cet instant, nos corps unis dans une même jouissance
Rester encore immobile, prolonger cette fusion amoureuse
Recueillir dans mes entrailles apaisées la précieuse semence
Brasier est mon être dans cette irruption voluptueuse.
Sérénité en nos âmes, la fougue commuer en satisfaction
Me blottir dans tes bras, caresse tendresse en sursis
D'amour t'entourer, de ma sève abreuver cette passion
Sommeil du volcan, appétence devineresse assouvie

Marie.C
27/02/2016 - 12:35
                                                    

*~*~*UNE BELLE LEÇON *~*~*
 [table]
Un garçon offre à sa fiancé une poupée.
Elle s'énerve, prend la poupée et la
jette dans la rue. Son fiancé arrive
et lui dit : - Pourquoi tu as jeté la poupée ?
Elle répond : - Parce que je n'aime pas ton cadeau.
Lui va dans la rue et ramasse la poupée,
quand surgit une voiture qui circulait
dans la rue et le renverse,
causant ainsi sa mort.
Le jour de l'enterrement, la fiancée
en larmes prend la poupée,
la serre dans ses bras...
Au moment où elle la serre dans ses bras,
la poupée dit : Veux - tu te marier avec moi ?
Alors elle, impressionnée,
laisse tomber la poupée,
et de la poche de la poupée
tombent 2 alliances.
Réflexion et Enseignement :
" Aime ce que tu as,
avant que la vie t'enseigne à aimer
ce que tu as perdu "...
 







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