Poésies,contes et légendes.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
19/02/2019 - 05:57


18/02/2019 - 06:29


 


17/02/2019 - 10:34

17/02/2019 - 07:08
FEVRIER.
Février part en bamboche... Et va se taper la cloche... Au bras de la Fée Vrillée... Déjà les crêpes s'envolent ...
Aux lancers des discoboles... Ceints de leurs blancs tabliers... On se récrée en cuisine... Des nuages de farine ...
Saupoudrent les bouts de nez... Mardi-gras est de la fête... Et sans tambour ni trompette... Organise un défilé ...
Pour Carnaval et sa troupe... Qui sont gros mangeurs de soupe... Et dévoreurs de beignets... Février n'est plus maussade...
Il s'en va en promenade... Des douceurs plein son panier... Au bras de la Fée Vrillée.
MARCEK
17/02/2019 - 06:52



Ah ! Le vent d’autan 

Bouche pleine de feuilles

Et verre vidé

J.A. 

 
Sans doute, on lui préférera le haïku japonais :


Le vent de l'été

apporte dans ma soupe 

des pivoines blanches 

Ryôkan (1758 - 1831) 

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Illustration :  "On ne peut empêcher le vent de souffler et les femmes de parler". (Occitan de Toulouse)

Écrit et Présenté par J.A. Illustration (Google). 

Engagement à retirer l'illustration en cas de demande des ayants droit.

17/02/2019 - 06:47

                                       
                    





15/02/2019 - 07:35


Ce commentaire a été modifié le 17/02/2019 à 06:11
15/02/2019 - 07:20




Laisse-moi t'emmener dans mon monde,

j'y guiderai chacun de tes pas,
j'apprendrai tes réveils,
j'inventerai tes nuits, je resterai près de toi.
J'effacerai tous les destins tracés,

recoudrai toutes les blessures.
je collerai ma bouche à la tienne pour étouffer tes cris
et rien ne sera plus jamais pareil,
et si tu es seul nous serons seuls à deux.

- Marc Levy.

15/02/2019 - 06:30


         Miroir de mon identité

Une fleur meurtrie rappelle qu'un jour
Qu'une saison a mis au monde un amour
Sous le voile léger de la beauté mortelle
Un fantôme éphémère, fugitif et frêle

C'était le miroir de mon identité
Mon exquis double au plus voilé
L'écho divin de mes rêves cachés
À la fois métaphore et réalité

Quel était donc cet instant magique
Où mon cœur jusqu'au plus infime
N'était plus que toi, ombre de ma vie
Lueur ardente de mes nuits intimes

T'es mots doux m'enflammaient
Un soupir, une caresse naissante
Insidieux tu faisais ton chemin
Sur l'avenue de mon destin   

Trouble, dont je ne pouvais me soustraire      
Partout ton image m'accompagnait                
Toi, qui était l'objet de mes sensations     
Chaque jour fortifiait mes sentiments.

Pourtant le froid a détruit le silence
Se consument dans les débris du temps
Dis-moi tendre cupidon, que serait demain ?
Dis-moi mon miroir, que sera mon chagrin ?

© Mariefleur


15/02/2019 - 06:10


L'eau élargit le soleil dans les colliers de l'ambre,
_Entends-tu?
"C'est comme si le ruisseau scintillant
était le mirage du pays où il fait jour."
...Ton regard invisible dessine mes matins...
_Quand pourrons -nous marier nos saisons?
...Je suis comme l'eau cachée dans l'herbe haute:
"Je cherche un ciel sans nom..."
...Dans la brise d'octobre,
Flottements d'étoffes...
La solitude amère plane sur le couloir des dormeurs
quand la chanson du vent vient bercer mon coeur lourd.
Les cailloux indifférents contemplent le ciel
aux lueurs du levant qui attirent les hirondelles.
...Simple ébauche d'une aurore aux brumes automnales...
 
@copyright Marie-Hélène
Illustration Google