Rondes, longues, colorées, énormes ou petites, elles dynamisent nos menus d'automne, pour faire le plein de vitamines et de saveurs.
La jack be little ou Pomarine Mini citrouille, un peu farineuse son goût rappelle celui de la noix , après précuisson vapeur ou four, on la farcit ou on y prépare un œuf cocotte.
La sucrine du Berry Sa peau devient ocre et sa chair presque rouge très sucrée elle rappelle la douceur du melon,on la cuisine en dessert mariée à la poire ou la pomme avec vanille ou cannelle elle est irrésistible
La bleu ballet En forme de toupie, sa chair dense offre une saveur entre l'huile d'olive et le champignon,faites -la cuire sans la peau avec un filet d'huile
Le pâtisson Jaune, blanc ou orange, sa chair à un goût de courgette nuancé d'artichaut,on le cuit entier ou coupé sauté au beurre, parfait dans un risotto aux champignons
La courge spaghetti Ovale peau lisse jaune pâle, saveur neutre, cuite grattée à la fourchette se transforme en spaghettis,dégustez-la farcie et gratinée ou cuisinée comme des pâtes
Le petimaron Orangé en forme de toupie aux arômes de châtaignes sur fond sucré, rôti au four avec la peau entier ou coupé en tranches arrosées d'un filet d'huile ou de miel
Le potiron Star d'Halloween, sa chair juteuse offre un goût fin et sucré,idéal pour la soupe avec une pointe de crème fraîche et quelques graines
La galeuse d'Eysines Pas très jolie de peau, de couleur jaune orangé vif tendre et de saveur sucré,on la cuisine en gratin, flan, tarte et confiture, en potage .
Antoine de Saint Exupéry est un écrivain, reporter et aviateur français, né le 29 juin 1900 à Lyon et disparu en vol le 31 juillet 1944 en mer (mort pour la France). Il a notamment écrit Le Petit Prince à New York pendant la guerre et publié avec ses propres aquarelles. Ce conte plein de charme et d’humanité devient très vite un immense succès mondial dès 1946, deux ans après sa mort.
On le sait peu mais il a une histoire avec Strasbourg Antoine de Saint Exupéry a effectué son service militaire en 1921 et il choisit de la faire dans une unité d’aviation. Le 9 avril 1921 il est affecté au 2ème Régiment d’aviation basé au terrain d’aviation du Polygone à Strasbourg où il est autorisé à prendre en privé des leçons de pilotage pour préparer son brevet civil.
Il s’établit au 12 de la rue du 22 novembre et fait le trajet tous les jours jusqu’à la caserne. C’est alors une vie assez monotone où il joue au football, apprends à saluer et donne des cours sur le moteur à explosion et l’aérodynamique.
Ce commentaire a été modifié le 26/10/2020 à 14:52
Henry John Boddington est né Henry John Williams le 14 Octobre 1811 à Londres. Il était le second fils du peintre Edward Williams (1781-1855) et Ann Hildebrandt (c.1780-1851), et un membre de la famille Williams des peintres , qui étaient liés à des artistes célèbres comme James Ward, RA et George Morland . Son père était un artiste paysagiste bien connu, qui lui a appris à peindre; sinon il n'a reçu aucune instruction formelle.
En 1832, quand vient l'âge, il a épousé Clarissa (Clara) Eliza Boddington (fille de John Boddington), et a adopté son nom de famille, devenant Henry John Boddington , afin de distinguer son travail de celui de ses frères et autres parents; Ils avaient un enfant, Edwin Henry Boddington , (14 Octobre 1836, Islington - 1905), qui est également devenu un peintre.
Après quelques années de grande pauvreté et de la lutte, Henry John est devenu un artiste très prospère. Il a vécu d' abord à Pentonville , puis a déménagé à Fulham , puis Hammersmith , et enfin en 1854 à Barnes , puis à Surrey .
Ses premières images dépeint le paysage de Surrey et les rives de la Tamise .Les travaux de sa première exposition a été à l' Académie royale , Londres en 1837, et à partir de 1839 à compter un ou deux de ses tableaux ont été exposés tous les ans jusqu'à sa mort et quatre ans après. Il a montré encore plus de peintures à la Société des artistes britanniques dans le Suffolk rue .
Son nom apparaît pour la première fois dans le catalogue pour 1837, et en 1842 est devenu membre de la société (RBA), présentant par la suite il y a une moyenne de dix images par an jusqu'à sa mort. En 1843 , il a visité Devonshire , en restant à Ashburton ; en 1846 les Anglais Lake District ;et en 1847, pour la première fois, du Nord du Pays de Galles , qui, en particulier les pays autour Betws-Y-Coed et Dolgelly , est devenu son travail au sol favori. Boddington également peint en Ecosse , Yorkshire ,et d' autres parties de l' Angleterre, mais n'a jamais voyagé sur le continent.
Le Dictionnaire de Biographie nationale décrit Boddington comme « d'un personnage humoristique, aimable, et viril ». Après avoir souffert pendant plusieurs années d'une maladie progressive du cerveau, il est mort à son domicile de Barnes le 11 Avril 1865.
Autrefois c'était pour les plus pauvres une façon de gagner sa vie. Les chanteurs des rues ont petit à petit disparu des villes, en surface du moins, car d'autres chantent dans le métro, on n'imagine plus ce que pouvait être les rues des villes autrefois: un foisonnement de petits chanteurs de plein air gagnant leur vie avec leur voix.
On trouve des musiciens, qui s'accompagnent d'un violon ou d'une vielle. Des chanteurs traditionnels qui entonnent leurs complaintes près d'une affiche ou les péripéties de l'histoire ( dramatique bien sûr ) sont dessinées. Ils montrent le dessin correspondant à chaque couplet avec une baguette au fur et à mesure de l'avancée du récit. Ce qui est important c'est qu'il soit long, des chansons de trente à quarante couplets ne sont pas rares. On captive l'auditoire et on espère une quête à la hauteur du passé.
D'autres vendent le texte de leurs chansons sur des feuilles volantes, les plus pauvres qui n'ont ni instruments, ni affiches, ni couplets à imprimer. en clair si l'on habite en ville, on ne peut sortir de chez soi autrefois sans revenir ec un ou plusieurs airs en tête, des airs faciles à mémoriser et à chanter. Pendant longtemps, les chansonniers des rues chantaient l'actualité, dès le XVIe siècle, ils la commentent en rimes et en chansons (les camisards, si le roi m'avait donné, vive Henri IV). Non seulement les airs de "ces voix de ville" sont rythmées mais les paroles bien moqueurs.
Sous la terreur, ils sont du côté des plus forts, survie oblige, un couplet meurtrier est même ajouté à la "carmagnole" pour les égorgeurs des prisons de septembre, le seul resté dans les mémoires est : Ah ça ira, ça ira, ça ira.... La veine des chansons satiriques se poursuit ensuite avec ceux qu'on va appeler les chansonniers, mais les voix des rue reviennent aussi avec les romances et les chansons traditionnelles.
A la limite de la mendicité, une dame en 1942 se souvient que sa mère l'envoyait acheter une " feuille de chansons" à la chanteuse de la rue, de la même façon qu'elle donnait une pièce pour " le pauvre à la sortie de la messe ". Chanter en plein air,surtout si l'on n'a pas d'instruments, c'est un métier de gagne-misère, avec la multiplication des radios et des baladeurs, il a disparu de nos rues, mais reste encore pratiqué dans le métro avec un accordéon, une trompette, parfois une sono en fond sonore.
Chanteur des rues est à priori un métier de misère, le chanteur siffleur ou le petit musicien avec son orgue de barbarie montée sur une charrette n'ont sans doute gagné chaque jour quee minimum nécessaire pour vivre. Parfois il arrive que des voix exceptionnelles connaissent une gloire inespérée : Edith Piaf quand son père l'a prend à l'âge de sept ans était acrobate de chanteuse des rues. Sirima, à ses débuts était chanteuse de rue ou plutôt de métro, remarquée par un compositeur puis par Jean-Jacques Goldman qui l'entend chanter à Barbés, devient la voix féminine du duo de la chanson "là-bas" au succès considérable.
Marcus Stone (4 juillet 1840 – 24 mars 1921), fut un peintre anglais de renom. Il fut élu associé de l'Académie en 1877, puis académicien en 1887. Si ses premières œuvres se caractérisent par nombre de détails historiques, il préféra plus tard un style délicat, unissant, avec une parfaite maîtrise technique, le charme au sentiment.
Au Moyen Âge, où le terme trouve en effet ses origines, le couvre-feu désignait un ustensile de cuivre, de terre cuite ou de fer dont on se servait pour couvrir le feu et idéalement le conserver. Puis s'est répandue la formule « sonner le couvre-feu » en référence au moment de la journée, à savoir à la nuit tombée, où une cloche retentissait pour signifier qu'il était temps de couvrir le feu chez soi afin d'éviter les ncendies nocturnes.
À l'époque, les maisons étaient construites en bois. Il y avait donc un fort risque d'incendie. Or, alors que le chauffage était quasi-exclusivement assuré par des feux de bois, il était tentant de laisser le feu brûler la nuit pour ne pas souffrir du froid. Pour éviter l'embrasement général, les bourgmestres, à savoir les maires de l'époque, ont imposé un couvre-feu : « à partir d'une certaine heure, indiquée par une cloche disposée sur le beffroi ou la mairie de l'époque, tous les feux devaient être éteints, y compris les flammes des bougies. »
Le premier couvre-feu est souvent attribué à Guillaume le Conquérant. Le duc de Normandie aurait pour la première fois ordonné une telle mesure lors de sa conquête de l’Angleterre, dont il devint le roi en 1066.À la tombée de la nuit et au son des clochers, les habitants doivent ainsi rentrer chez eux, sans allumer ni feu ni lumière « afin de prévenir toute assemblée et toute cabale parmi les Anglais, dont il redoutait l’esprit porté à la révolte, » explique l’archiviste Andrew C.Ducarel dans son ouvrage Antiquités anglo-normandes en 1767. Convaincu par l’efficacité de la mesure, Guillaume Le Conquérant aurait ainsi décidé de l’exporter en Normandie. La coutume a parfois traversé les siècles.
Dès le XIe siècle, la pratique se généralise en temps de guerre, en France, et ailleurs. Il s’agit alors de rentrer chez soi à un moment indiqué puis d’éteindre ou de masquer les sources de lumière, le couvre-feu devenant synonyme d'extinction des feux. La mesure a notamment été appliquée lors de la Seconde Guerre mondiale.
Ce commentaire a été modifié le 22/10/2020 à 14:43
Qu'est-ce qu'un Bloc mucilagineux à effet soustractif ? EDUCTION NATIONALE ! !
C'est excellent !!! Lisez ce texte, vous allez vous régaler !!! L'éducation nationale fait des progrès dans la transmission de la langue française !!!... « Bloc mucilagineux à effet soustractif »... cela veut dire quoi?
Il est vrai que les femmes de ménage étaient devenues des « techniciennes de surface » et les aveugles des « non-voyants » (ben voyons), et les sourds depuis longtemps des malentendants… Poursuivre à la lettre nos nouveaux enseignements... Voilà qui devrait ravir les amoureux de la langue Française... Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'une "évolution de la langue", mais de "prospective positive modernisée d'un mode de communication oral... !
Déjà cet été, j’ai adoré les campings qui ne veulent plus qu’on les appelle campings parce que ça suscite instantanément dans l’esprit des gens l’image de Franck Dubosc en moule-boules ou de Roger et Ginette à l’apéro avec casquette Ricard et claquettes Adidas. Donc les professionnels de la branche demandent que l’on dise désormais « hôtellerie en plein air »… Ha, ha, ça change tout !!!
J'ai aussi appris que je n'étais pas petit mais « de taille modeste » et qu'un nain était une « personne à verticalité contrariée ». Si, si ! Mais rendons à César ce qui lui appartient, l'empereur du genre reste le milieu scolaire et ses pédagos à gogo.
J'étais déjà tombé de ma chaise pendant une soirée de parents quand la maîtresse a écrit sur le tableau que nos enfants allaient apprendre à manier « l'outil scripteur » au lieu de tenir un crayon. Je me suis habituée au fait que les rédactions sont des « productions écrites », les sorties en groupe des « sorties de cohésion » et les élèves en difficulté ou handicapés des «élèves à besoins éducatifs spécifiques».
Mais cette année, sans discussion aucune, la palme est attribuée au Conseil supérieur des programmes en France et à sa réforme du collège. Z'êtes prêts ?.. Allons-y. Donc, demain l’élève n’apprendra plus à écrire mais à «maitriser le geste graphomoteur et automatiser progressivement le tracé normé des lettres ». Il n’y aura plus de dictée, mais une « vigilance orthographique ». Quand un élève aura un problème on tentera une « remédiation ».
Mais curieusement le meilleur est pour la gym… Oups pardon !!! pour l'EPS (Education physique et sportive). Attention, on s'accroche : courir c'est « créer de la vitesse », nager en piscine c'est « se déplacer dans un milieu aquatique profond standardisé et traverser l'eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête », et le badminton est une « activité duelle médiée par un volant ». Ah ! C'est du sportif, j'avais prévenu !... Les précieuses ridicules de Molière, à côté, c'est de l'urine de jeune félidé (je n'ose pas dire du pipi de chat). Alors, les amis, ne perdons pas ce merveilleux sens du burlesque et inventons une nouvelle catégorie : «la personne en cessation d’intelligence », autrement dit, le con. Signé Martine Meunier, mère d’une élève. Ah ! non, re-pardon… Martine Meunier «génitrice d’une apprenante ».
Ben oui, un "outil scripturaire", c'est un stylo, un "référentiel bondissant", c'est un ballon, et, pour finir et revenir à l’objet de ce courriel,un " bloc mucilagineux à effet soustractif ", c'est…une gomme !
Ce commentaire a été modifié le 17/10/2020 à 13:40
Sculptures géantes faites avec des citrouilles à Jucker Farm
Jucker Farm est l'un des principaux producteurs et distributeurs de citrouilles en Suisse. Ils accueillent également le plus grand festival de citrouilles du pays en collaboration avec un artiste indépendant Pit Ruge.
Le festival présente des créatures des bois, des personnages inspirés des contes de fées et d'autres objets, un nouveau thème chaque année depuis 20 ans. Les sculptures sont constituées d'un cadre en bois et en paille qui sont ensuite décorés d'un éventail de citrouilles lumineuses et colorées. Voici quelques-unes de mes sculptures préférées créées pour le festival Jucker Farm Pumpkin dans le passé.
La ferme célèbre chaque année la saison des citrouilles avec une exposition de sculptures de citrouilles géantes, des événements de sculpture de citrouilles, un spectacle de citrouilles et bien plus encore. C'est l'endroit idéal pour toute la famille de septembre à fin octobre pour se plonger dans des activités amusantes.
Ce commentaire a été modifié le 16/10/2020 à 15:06
Rondes, longues, colorées, énormes ou petites, elles dynamisent nos menus d'automne, pour faire le plein de vitamines et de saveurs.
La jack be little ou Pomarine
Mini citrouille, un peu farineuse son goût rappelle celui de la noix , après précuisson vapeur ou four, on la farcit ou on y prépare un œuf cocotte.
La sucrine du Berry
Sa peau devient ocre et sa chair presque rouge très sucrée elle rappelle la douceur du melon,on la cuisine en dessert mariée à la poire ou la pomme avec vanille ou cannelle elle est irrésistible
La bleu ballet
En forme de toupie, sa chair dense offre une saveur entre l'huile d'olive et le champignon,faites -la cuire sans la peau avec un filet d'huile
Le pâtisson
Jaune, blanc ou orange, sa chair à un goût de courgette nuancé d'artichaut,on le cuit entier ou coupé sauté au beurre, parfait dans un risotto aux champignons
La courge spaghetti
Ovale peau lisse jaune pâle, saveur neutre, cuite grattée à la fourchette se transforme en spaghettis,dégustez-la farcie et gratinée ou cuisinée comme des pâtes
Le petimaron
Orangé en forme de toupie aux arômes de châtaignes sur fond sucré, rôti au four avec la peau entier ou coupé en tranches arrosées d'un filet d'huile ou de miel
Le potiron
Star d'Halloween, sa chair juteuse offre un goût fin et sucré,idéal pour la soupe avec une pointe de crème fraîche et quelques graines
La galeuse d'Eysines
Pas très jolie de peau, de couleur jaune orangé vif tendre et de saveur sucré,on la cuisine en gratin, flan, tarte et confiture, en potage .
Le passage de Saint Exupéry à Strasbourg
Antoine de Saint Exupéry est un écrivain, reporter et aviateur français, né le 29 juin 1900 à Lyon et disparu en vol le 31 juillet 1944 en mer (mort pour la France).
Il a notamment écrit Le Petit Prince à New York pendant la guerre et publié avec ses propres aquarelles. Ce conte plein de charme et d’humanité devient très vite un immense succès mondial dès 1946, deux ans après sa mort.
On le sait peu mais il a une histoire avec Strasbourg Antoine de Saint Exupéry a effectué son service militaire en 1921 et il choisit de la faire dans une unité d’aviation. Le 9 avril 1921 il est affecté au 2ème Régiment d’aviation basé au terrain d’aviation du Polygone à Strasbourg où il est autorisé à prendre en privé des leçons de pilotage pour préparer son brevet civil.
Il s’établit au 12 de la rue du 22 novembre et fait le trajet tous les jours jusqu’à la caserne. C’est alors une vie assez monotone où il joue au football, apprends à saluer et donne des cours sur le moteur à explosion et l’aérodynamique.
Henry John Boddington est né Henry John Williams le 14 Octobre 1811 à Londres. Il était le second fils du peintre Edward Williams (1781-1855) et Ann Hildebrandt (c.1780-1851), et un membre de la famille Williams des peintres , qui étaient liés à des artistes célèbres comme James Ward, RA et George Morland . Son père était un artiste paysagiste bien connu, qui lui a appris à peindre; sinon il n'a reçu aucune instruction formelle.
En 1832, quand vient l'âge, il a épousé Clarissa (Clara) Eliza Boddington (fille de John Boddington), et a adopté son nom de famille, devenant Henry John Boddington , afin de distinguer son travail de celui de ses frères et autres parents; Ils avaient un enfant, Edwin Henry Boddington , (14 Octobre 1836, Islington - 1905), qui est également devenu un peintre.
Après quelques années de grande pauvreté et de la lutte, Henry John est devenu un artiste très prospère. Il a vécu d' abord à Pentonville , puis a déménagé à Fulham , puis Hammersmith , et enfin en 1854 à Barnes , puis à Surrey .
Ses premières images dépeint le paysage de Surrey et les rives de la Tamise .Les travaux de sa première exposition a été à l' Académie royale , Londres en 1837, et à partir de 1839 à compter un ou deux de ses tableaux ont été exposés tous les ans jusqu'à sa mort et quatre ans après. Il a montré encore plus de peintures à la Société des artistes britanniques dans le Suffolk rue .
Son nom apparaît pour la première fois dans le catalogue pour 1837, et en 1842 est devenu membre de la société (RBA), présentant par la suite il y a une moyenne de dix images par an jusqu'à sa mort. En 1843 , il a visité Devonshire , en restant à Ashburton ; en 1846 les Anglais Lake District ;et en 1847, pour la première fois, du Nord du Pays de Galles , qui, en particulier les pays autour Betws-Y-Coed et Dolgelly , est devenu son travail au sol favori. Boddington également peint en Ecosse , Yorkshire ,et d' autres parties de l' Angleterre, mais n'a jamais voyagé sur le continent.
Le Dictionnaire de Biographie nationale décrit Boddington comme « d'un personnage humoristique, aimable, et viril ». Après avoir souffert pendant plusieurs années d'une maladie progressive du cerveau, il est mort à son domicile de Barnes le 11 Avril 1865.
Autrefois c'était pour les plus pauvres une façon de gagner sa vie. Les chanteurs des rues ont petit à petit disparu des villes, en surface du moins, car d'autres chantent dans le métro, on n'imagine plus ce que pouvait être les rues des villes autrefois: un foisonnement de petits chanteurs de plein air gagnant leur vie avec leur voix.
On trouve des musiciens, qui s'accompagnent d'un violon ou d'une vielle. Des chanteurs traditionnels qui entonnent leurs complaintes près d'une affiche ou les péripéties de l'histoire ( dramatique bien sûr ) sont dessinées. Ils montrent le dessin correspondant à chaque couplet avec une baguette au fur et à mesure de l'avancée du récit. Ce qui est important c'est qu'il soit long, des chansons de trente à quarante couplets ne sont pas rares. On captive l'auditoire et on espère une quête à la hauteur du passé.
D'autres vendent le texte de leurs chansons sur des feuilles volantes, les plus pauvres qui n'ont ni instruments, ni affiches, ni couplets à imprimer. en clair si l'on habite en ville, on ne peut sortir de chez soi autrefois sans revenir ec un ou plusieurs airs en tête, des airs faciles à mémoriser et à chanter. Pendant longtemps, les chansonniers des rues chantaient l'actualité, dès le XVIe siècle, ils la commentent en rimes et en chansons (les camisards, si le roi m'avait donné, vive Henri IV). Non seulement les airs de "ces voix de ville" sont rythmées mais les paroles bien moqueurs.
Sous la terreur, ils sont du côté des plus forts, survie oblige, un couplet meurtrier est même ajouté à la "carmagnole" pour les égorgeurs des prisons de septembre, le seul resté dans les mémoires est : Ah ça ira, ça ira, ça ira.... La veine des chansons satiriques se poursuit ensuite avec ceux qu'on va appeler les chansonniers, mais les voix des rue reviennent aussi avec les romances et les chansons traditionnelles.
A la limite de la mendicité, une dame en 1942 se souvient que sa mère l'envoyait acheter une " feuille de chansons" à la chanteuse de la rue, de la même façon qu'elle donnait une pièce pour " le pauvre à la sortie de la messe ". Chanter en plein air,surtout si l'on n'a pas d'instruments, c'est un métier de gagne-misère, avec la multiplication des radios et des baladeurs, il a disparu de nos rues, mais reste encore pratiqué dans le métro avec un accordéon, une trompette, parfois une sono en fond sonore.
Chanteur des rues est à priori un métier de misère, le chanteur siffleur ou le petit musicien avec son orgue de barbarie montée sur une charrette n'ont sans doute gagné chaque jour quee minimum nécessaire pour vivre. Parfois il arrive que des voix exceptionnelles connaissent une gloire inespérée : Edith Piaf quand son père l'a prend à l'âge de sept ans était acrobate de chanteuse des rues.
Sirima, à ses débuts était chanteuse de rue ou plutôt de métro, remarquée par un compositeur puis par Jean-Jacques Goldman qui l'entend chanter à Barbés, devient la voix féminine du duo de la chanson "là-bas" au succès considérable.
Marcus Stone (4 juillet 1840 – 24 mars 1921), fut un peintre anglais de renom. Il fut élu associé de l'Académie en 1877, puis académicien en 1887. Si ses premières œuvres se caractérisent par nombre de détails historiques, il préféra plus tard un style délicat,
unissant, avec une parfaite maîtrise technique, le charme au sentiment.
Au Moyen Âge, où le terme trouve en effet ses origines, le couvre-feu désignait un ustensile de cuivre, de terre cuite ou de fer dont on se servait pour couvrir le feu et idéalement le conserver. Puis s'est répandue la formule « sonner le couvre-feu » en référence au moment de la journée, à savoir à la nuit tombée, où une cloche retentissait pour signifier qu'il était temps de couvrir le feu chez soi afin d'éviter les ncendies nocturnes.
À l'époque, les maisons étaient construites en bois. Il y avait donc un fort risque d'incendie. Or, alors que le chauffage était quasi-exclusivement assuré par des feux de bois, il était tentant de laisser le feu brûler la nuit pour ne pas souffrir du froid. Pour éviter l'embrasement général, les bourgmestres, à savoir les maires de l'époque, ont imposé un couvre-feu : « à partir d'une certaine heure, indiquée par une cloche disposée sur le beffroi ou la mairie de l'époque, tous les feux devaient être éteints, y compris les flammes des bougies. »
Le premier couvre-feu est souvent attribué à Guillaume le Conquérant.
Le duc de Normandie aurait pour la première fois ordonné une telle mesure lors de sa conquête de l’Angleterre, dont il devint le roi en 1066.À la tombée de la nuit et au son des clochers, les habitants doivent ainsi rentrer chez eux, sans allumer ni feu ni lumière « afin de prévenir toute assemblée et toute cabale parmi les Anglais, dont il redoutait l’esprit porté à la révolte, » explique l’archiviste Andrew C.Ducarel dans son ouvrage Antiquités anglo-normandes en 1767. Convaincu par l’efficacité de la mesure, Guillaume Le Conquérant aurait ainsi décidé de l’exporter en Normandie. La coutume a parfois traversé les siècles.
Dès le XIe siècle, la pratique se généralise en temps de guerre, en France, et ailleurs. Il s’agit alors de rentrer chez soi à un moment indiqué puis d’éteindre ou de masquer les sources de lumière, le couvre-feu devenant synonyme d'extinction des feux. La mesure a notamment été appliquée lors de la Seconde Guerre mondiale.
Qu'est-ce qu'un Bloc mucilagineux à effet soustractif ?
EDUCTION NATIONALE ! !
C'est excellent !!! Lisez ce texte, vous allez vous régaler !!!
L'éducation nationale fait des progrès dans la transmission de la langue française !!!...
« Bloc mucilagineux à effet soustractif »... cela veut dire quoi?
Il est vrai que les femmes de ménage étaient devenues des « techniciennes de surface » et les aveugles des « non-voyants » (ben voyons), et les sourds depuis longtemps des malentendants…
Poursuivre à la lettre nos nouveaux enseignements...
Voilà qui devrait ravir les amoureux de la langue Française...
Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, il ne s'agit pas d'une "évolution de la langue", mais de "prospective positive modernisée d'un mode de communication oral... !
Déjà cet été, j’ai adoré les campings qui ne veulent plus qu’on les appelle campings parce que ça suscite instantanément dans l’esprit des gens l’image de Franck Dubosc en moule-boules ou de Roger et Ginette à l’apéro avec casquette Ricard et claquettes Adidas.
Donc les professionnels de la branche demandent que l’on dise désormais « hôtellerie en plein air »…
Ha, ha, ça change tout !!!
J'ai aussi appris que je n'étais pas petit mais « de taille modeste » et qu'un nain était une « personne à verticalité contrariée ». Si, si !
Mais rendons à César ce qui lui appartient, l'empereur du genre reste le milieu scolaire et ses pédagos à gogo.
J'étais déjà tombé de ma chaise pendant une soirée de parents quand la maîtresse a écrit sur le tableau que nos enfants allaient apprendre à manier « l'outil scripteur » au lieu de tenir un crayon.
Je me suis habituée au fait que les rédactions sont des « productions écrites », les sorties en groupe des « sorties de cohésion » et les élèves en difficulté ou handicapés des «élèves à besoins éducatifs spécifiques».
Mais cette année, sans discussion aucune, la palme est attribuée au Conseil supérieur des programmes en France et à sa réforme du collège.
Z'êtes prêts ?.. Allons-y.
Donc, demain l’élève n’apprendra plus à écrire mais à «maitriser le geste graphomoteur et automatiser progressivement le tracé normé des lettres ».
Il n’y aura plus de dictée, mais une « vigilance orthographique ».
Quand un élève aura un problème on tentera une « remédiation ».
Mais curieusement le meilleur est pour la gym… Oups pardon !!! pour l'EPS (Education physique et sportive).
Attention, on s'accroche : courir c'est « créer de la vitesse », nager en piscine c'est « se déplacer dans un milieu aquatique profond standardisé et traverser l'eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête », et le badminton est une « activité duelle médiée par un volant ».
Ah ! C'est du sportif, j'avais prévenu !...
Les précieuses ridicules de Molière, à côté, c'est de l'urine de jeune félidé (je n'ose pas dire du pipi de chat).
Alors, les amis, ne perdons pas ce merveilleux sens du burlesque et inventons une nouvelle catégorie : «la personne en cessation d’intelligence », autrement dit, le con.
Signé Martine Meunier, mère d’une élève. Ah ! non, re-pardon… Martine Meunier «génitrice d’une apprenante ».
Ben oui, un "outil scripturaire", c'est un stylo, un "référentiel bondissant", c'est un ballon, et, pour finir et revenir à l’objet de ce courriel,un " bloc mucilagineux à effet soustractif ", c'est…une gomme !
Jucker Farm est l'un des principaux producteurs et distributeurs de citrouilles en Suisse. Ils accueillent également le plus grand festival de citrouilles du pays en collaboration avec un artiste indépendant Pit Ruge.
Le festival présente des créatures des bois, des personnages inspirés des contes de fées et d'autres objets, un nouveau thème chaque année depuis 20 ans. Les sculptures sont constituées d'un cadre en bois et en paille qui sont ensuite décorés d'un éventail de citrouilles lumineuses et colorées. Voici quelques-unes de mes sculptures préférées créées pour le festival Jucker Farm Pumpkin dans le passé.
La ferme célèbre chaque année la saison des citrouilles avec une exposition de sculptures de citrouilles géantes, des événements de sculpture de citrouilles, un spectacle de citrouilles et bien plus encore. C'est l'endroit idéal pour toute la famille de septembre à fin octobre pour se plonger dans des activités amusantes.