Imaginez !!! Tu nais en l'an 1900. Quand tu as 14 ans, la première guerre mondiale commence et se termine quand tu as 18 ans. Bilan de 22 millions de morts.
Peu de temps après une pandémie mondiale, la grippe espagnole, apparaît, avec 50 millions de personnes qui meurent.Heureusement tu es toujours en vie et tu as 20 ans.
Quand tu as 29 ans, tu survis à la crise économique mondiale qui a commencé avec l'effondrement de la bourse de New York. Cela a provoqué l'inflation, le chômage et la famine dans le monde entier. Pendant ce temps, quand tu as 33 ans, bientôt, les Nazis arriveront au pouvoir en Allemagne. Quand tu as 39 ans, l'Allemagne envahit la Pologne et commence la Seconde Guerre mondiale. Tu as enfin 45 ans quand la Seconde Guerre mondiale prend fin. Bilan : 60 millions de morts. 6 millions de Juifs meurent dans la Shoah. Heureusement tu es toujours en vie !
Quand tu as 52 ans, la guerre de Corée commence. Quand tu as 64 ans, les Américains commencent la guerre au Vietnam. Tu as 75 ans quand cette guerre prendra fin. Heureusement tu es toujours en vie !
Maintenant !!!
Un jeune né en 1980 pense que ses arrière grands-parents,et grands- parents n'ont aucune idée de la difficulté de la vie, mais ils ont survécu à plusieurs guerres et catastrophes, sans parler des restrictions lors de la première crise pétrolière au début des années 1980 !
Aujourd'hui, nous trouvons tout le confort dans un nouveau monde mais malheureusement au milieu d'une nouvelle pandémie. Les gens se plaignent de rester à la maison pendant des semaines. Alors qu'ils ont de l'électricité, des téléphones portables, de la nourriture, de l'eau chaude et un toit sécurisé sur leur tête.
Rien de cela n'existait en ces temps-là. Mais l'humanité a survécu à ces circonstances et n'a jamais perdu la joie de vivre !
Aujourd'hui, nous nous plaignons parce que nous devrions porter des masques pour entrer dans les supermarchés !
Un petit changement dans notre pensée et notre mentalité peut faire des merveilles !
Nous sommes encore en vie et nous devons tout faire le nécessaire pour nous protéger et nous entraider !!! .... 30juin , 102 hospitalisations en france du coronas restez vigilants ce n'est pas fini.
Le 14 juillet : Pluie du matin, en juillet est bonne au vin.
Le 15 juillet : Juillet sans orage, famine au village. Si la saint Jacques est serein, l'hiver sera dur et chagrin.
Le 16 juillet : Qui veut bon navet, le sème en juillet. Mieux vaut chèvre que vache à lait, quand la bonne Dame de Carmel est arrivée.
Le 17 juillet : À la saint Alexis, foin occis.
Le 18 juillet : En juillet mois d'abondance, le pauvre a toujours sa pitance. Juillet ne s'est jamais passé, sans voir du blé nouveau sassé.
Le 19 juillet : À la saint Arsène, met au sec tes graines.
Le 20 juillet : Autour de la sainte Marguerite, longue pluie est maudite. À la sainte Marguerite, forte pluie est maudite. À la sainte Marguerite, pluie jamais au paysan sourit. Mais la pluie à la sainte Anne, pour lui c'est de la manne. S'il pleut à la sainte Marguerite, les noix seront rentrées bien vite.
Le 21 juillet : S'il pleut le jour de saint Victor, la récolte n'est pas d'or. Entre saint Victor et saint Roch, des orages, les grands chocs.
Le 22 juillet : À la saint Madeleine, la noisette quitte sa gaine. À la saint Madeleine, le raisin est formé et le blé renfermé. À la saint Madeleine, s'il pleut, la figue est fort en peine. À la sainte Madeleine, l'amande est pleine. S'il pleut à la sainte Madeleine, il pleut durant six semaines. S'il pleut à la sainte Madeleine, on voit pourrir noix et châtaignes. Le jour de sainte Madeleine, la noisette pleine, la figue mûre, le raisin coloré, le blé renfermé. Pour la sainte Madeleine, la noisette est pleine, le raisin coloré, le blé ferme. À la sainte Madeleine, il pleut souvent, car elle vit son maître en pleurant.
Le 23 juillet : Nuages de la sainte Brigitte, par le soleil sont chassés vite. À la saint Apollinaire, dernière semaille de laitue en pleine terre.
Le 24 juillet : À la sainte Christine, les blés perdent leurs racines. À la sainte Christine, mûrit l'aubépine.
Le 25 juillet : Si saint Jacques est serein, l'hiver sera dû et serein. Si saint Jacques est serein, l'hiver sera dur et chagrin.
Le 26 juillet : De sainte Anne à saint Laurent, plante des raves en tout temps. Pour la sainte Anne s'il pleut, trente jours seront pluvieux. Si les fourmis s'agitent à la sainte Anne, l'orage descend de la montagne.
Le 27 juillet : Pour leur fête souvent, les sept dormants redressent le temps.
Le 28 juillet : À la saint Samson, le temps est bon.
Le 29 juillet : Mauvais temps le jour de sainte Marthe, n'est rien, car il faut qu'il parte. Ne crains pas du mauvais temps de sainte Marthe, vite, il faut qu'il parte. Souvent quand saint Lazare appelle le froid, il n'en reste pas.
Le 30 juillet : À la sainte Juliette, l'été est en fête. À la saint Abdon, mûrs sont les melons.
Le 31 juillet : Chaleur du jour de saint Germain, met à tous le pain dans la main. S'il pleut à la saint Germain, c'est comme s'il pleuvait du vin. Au jour de la saint Ignace, moissonne quelque temps qu'il fasse.
Le patrimoine naturel de la Normandie n’a d’égal que son patrimoine bâti ! Des charmants villages de l’Eure au front de mer de Deauville, la région réserve à ses admirateurs de jolies surprises d’architecture. Villas luxueuses, chaumières d’antan et jardins fleuris : découvrez ces maisons d’exception dans lesquelles on séjournerait bien un week-end.
Les chaumières typiquement normandes
La route des Chaumières sillonne le parc naturel des boucles de la Seine en nous plongeant au cœur de la Normandie rurale. Vieux-Port, Aizier, Saint-Opportune-la-Mare, Marais-Vernier... Les villages de charme se succèdent et, avec eux, les habitations traditionnelles de la région. Construites avec des matériaux locaux tels que le bois, la paille, les roseaux, le calcaire ou encore le silex, elles sont reconnaissables à leurs murs en torchis (mélange de paille et de terre) à colombages et aux toits de chaume dont elles tirent leurs noms ; un savoir-faire artisanal perpétué par des générations d’artisans qui constitue l’une des richesses du patrimoine normand.
À Veules-les-Roses (Seine-Maritime)
Romantique à souhait, cette petite bourgade construite sur les bords de la Veules aattiré l’aristocratie puis la bourgeoisie parisienne dès le XIXe siècle. Situé entre terre et mer sur le plateau de Caux, elle offre à ses visiteurs un paysage binaire, où les villas balnéaires se mêlent aux moulins et maisons pittoresques de ce qui était autrefoisun modeste village de pêcheurs.
Baptisé Veules-les-Roses en 1897, il attire à cette époque une pléiade d'artistes russes qui immortalisent ce spectacle enchanteur : Alexei Bogoliubov et Alexis Kharlamov consacreront des tableaux entiers à ces chaumières typiques de la campagne normande.
Le manoir de Villers et son parc (Seine-Maritime).
Cette demeure située sur la commune de Saint-Pierre-de-Manneville, en Haute-Normandie, n’a pas toujours eu des dimensions si impressionnantes. Simple maison de maître au XVIe siècle, elle est agrandie au fil du temps par ses propriétaires – elle appartient à la même famille depuis 1764 – pour devenir l’imposant manoir de style néo-normand que nous connaissons. L’intérieur richement meublé et le parc créé au XVIIIe siècle sont ouverts aux visiteurs en été.
Le musée Pierre Corneille, près de Rouen (Seine-Maritime)
Cette demeure normande a vu grandir l’un des plus grands dramaturges français du XVIIe siècle,Pierre Corneille. En 1639, il en hérite de son père et s’y installe pendant plusieurs années avant de quitter Rouen, sa ville natale, pour s’installer à Paris. L’auteur du Cid ne se séparera pas pour autant du domaine familial ; son fils Pierre le fera en 1686, deux ans après la mort de l’écrivain. Depuis, son souvenir n’a cessé d’habiter les lieux. Au lendemain de la Révolution, le descendant du fermier des Corneille rachète la maison aux enchères, puis c’est au tour du Département d’en prendre possession pour y installer un musée dédié à l’écrivain, en 1874. Le site est ouvert toute l’année.
Les villas Belle Époque de Deauville (Calvados)
La villa Le Cercle
Imaginé en 1873 par l’architecte Desle-François Breney, à l’aube de ce que l’on nommera plus tard la Belle Époque, le chicissime Cercle de Deauville empreinte encore beaucoup au style pompeux du Second Empire (rotonde, niches, larges ouvertures…). Il sert alors d’annexe au Jockey Club créé à Paris en 1836, réunissant des hommes de la haute société triés sur le volet, propriétaires d’écuries et autres férus de courses hippiques. Aujourd’hui, l’espace accueille diverses manifestations et rencontres culturelles, publiques comme privées.
La villa Strassburger
Cette somptueuse villa aux allures de petit château perpétue le souvenir des heures fastueuses de Deauville, lorsque la station balnéaire accueillait en villégiature l’aristocratie parisienne de la Belle Époque. Le baron Henri de Rothschild en commande la construction en 1907. Il la fait ériger en lieu et place de la ferme du Coteau, qui appartenait à la famille de Gustave Flaubert. Pour la dessiner, Georges Pichereau s’inspire de l’architecture traditionnelle du pays d’Auge et y ajoute des détails coquets tels que tourelles, bow-windows et briques disposées en damiers sur le mur du rez-de-chaussée. Appartenant à la ville de Deauville depuis 1980, la villa (ouverte en été) porte toujours le nom de son dernier propriétaire, l’Américain Ralph Beaver Strassburger. À l’intérieur, le mobilier et la décoration sont d’époque.
Le saviez-vous ? En 1942, afin de se protéger des bombardements, les Allemands occupant la villa réquisitionnée y font construire un souterrain de 45 mètres de long.
La maison de Claude Monet, à Giverny (Eure)
Claude Monet acquiert sa propriété de Giverny en 1890, après s’y être installé avec sa famille sept ans plus tôt. Ne se prétendant bon qu’à peindre et à jardiner, il y aménage tous les éléments extérieurs que l’on connaît : le clos normand, le jardin d’eau d’inspiration japonaise, son étang surmonté d’un pont en bois...
Et il plante les nénuphars qui lui inspireront sa série de Nymphéas. Si le jardin est baigné de couleurs, sa maison ne l’est pas moins ! Outre sa façade aux murs rosés et aux volets vert émeraude, le visiteur découvre à l’intérieur une enfilade de pièces au charme ancien : la cuisine recouverte de carreaux bleu et blanc, la salle à manger d’un jaune lumineux, le petit salon bleu, le salon-atelier, la chambre du peintre et son cabinet de toilette, etc.
Ce commentaire a été modifié le 30/06/2020 à 14:34
Bonaire est une île située au large de la côte nord de l'Amérique du Sud, près de la partie ouest du Venezuela, et comme de nombreuses îles des Caraïbes, l'histoire de Bonaire porte la tache profonde de l'esclavage.Les Européens sont venus pour la première fois à Bonaire en 1499 et, voyantque l'île ne valait rien pour l'agriculture à grande échelle, ils ont décidé de ne pas s'installer et de développer une colonie.
Au lieu de cela, ils ont forcé la population indigène à quitter l'île et à l'esclavage, les expédiant pour travailler dans les grandes plantations de l'île d'Hispaniola.
En quinze ans, Bonaire avait été en grande partie dépeuplée. Ce n'est que lorsqu'un commandant espagnol a apporté du bétail et commencé à les élever sur l'île, que les Espagnols ont pensé que Bonaire pouvait être utilisé comme une plantation de bétail exploitée par des indigènes.
Les ouvriers ont été ramenés et en quelques années, l'île est devenue un centre d'élevage d'animaux tels que moutons, chèvres, porcs,chevaux et ânes.
Des huttes en pierre de couleur orange / rouge qui servaient de logement aux esclaves sont encore visibles à Bonaire.
En 1633, les Hollandais ont pris possession de Bonaire et des îles voisines de Curaçao et d'Aruba.
La plus grande île, Curaçao, est devenue un centre de la fameuse traite négrière, tandis que Bonaire est devenue une île de plantation de la Compagnie néerlandaise des Antilles.
Il y a toujours quelque chose à apprendre! Dommage que beaucoup de ces verbes soient tombés dans l’oubli !
Le chien aboie quand le cheval hennit et que beugle le bœuf et meugle la vache, l'hirondelle gazouille, la colombe roucoule et le pinson ramage. Les moineaux piaillent, le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse. La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse. Et le chat comme le tigre miaule, l'éléphant barrit, l'âne braie, mais le cerf rait. Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille. La biche brame quand le loup hurle.
Tu sais, bien sûr, tous ces cris-là mais sais-tu ? Que si le canard nasille, les canards nasillardent ! Que le bouc ou la chèvre chevrote. Que le hibou hulule mais que la chouette, elle chuinte. Que le paon braille. Que l'aigle trompète.
Sais-tu également ? Que si la tourterelle roucoule, le ramier caracoule et que la bécasse croule, que la perdrix cacabe, que la cigogne craquette et que si le corbeau croasse, la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit. Tu sais tout cela ? Bien.Mais sais-tu ? Que l'alouette grisolle. Tu ne le savais pas. Et, peut-être, ne sais-tu pas davantage que le pivert picasse. C'est excusable ! Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère. Et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère ! Tu ne sais pas non plus, peut-être, que la huppe pupule. Et tu ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue.Qu'importe ! Mais c'est joli : la huppe pupule ! Et encore sais-tu ? Que la souris, la petite souris grise : devine ? La petite souris grise chicote ! Oui ! Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote et plus dommage encore de ne pas savoir, que le geai quant a lui cajole !
Concarneau est une commune du département du Finistère. La ville s'est constituée au Moyen Âge à partir de la ville close située dans l'estuaire du Moros. Cet abri naturel a permis le développement du septième port de pêche français en tonnage débarqué et d'importants chantiers navals. Sa situation sur le littoral et son patrimoine historique en font aujourd'hui une destination touristique bretonne de premier plan.Concarneau a reçu le label « Ville et Pays d'Art et d'Histoire » en 2002.
La Ville Close de Concarneau est un îlot qui mesure 380 m dans sa plus grande longueur et 100 m dans sa largeur moyenne.
Les remparts. Ils sont en granit très épais et flanqués de tours. Construits entre 1541 et 1577, ils ont été modifiés par Vauban.
Le beffroi a été érigé en 1906 sur l'ancien poste de garde.
La maison du gouverneur du XVIIIe siècle.
L'ancienne chapelle de l’hôpital de la Trinité du XVe siècle.
La place Saint-Guénolé qui présente une belle fontaine aux crocodiles : celle-ci se trouvait sur la Place d'Armes depuis 1855 avant d'être installée sur la Place Saint-Guénolé un siècle plus tard.
La porte du Vin, ainsi appelée car les navires bordelais y déchargeaient leur vin et autres marchandises.
La porte du Passage, vaste brèche pratiquée dans la muraille en 1785.
Les maisons en granit de la rue Vauban. Elles ont un pignon de pierre, un rez-de-chaussée en échoppe, une cheminée latérale et au grenier une lucarne qui permettait l'aération des filets de pêche.
L'ancienne église Saint-Guénolé, qui était alors l'église paroissiale de Concarneau, a été édifiée en 1830, remplaçant une église antérieure datant du XVe siècle et qui menaçait ruine. Elle fut désaffectée en 1937 et transformée en hospice pour vieillards. Il ne reste que sa façade et son pignon-clocher dominé par une haute tour cylindrique.
Ce commentaire a été modifié le 27/06/2020 à 20:55
Le lantana est un arbuste persistant ou semi-persistant à la floraison infatigable de mai à décembre lorsque le climat s’y prête. Il est originaire des régions chaudes des continents américains (Mexique, Amérique centrale, Grandes Antilles, Bahamas, Colombie et Vénézuéla). On le trouve jusqu’au Texas (vallée inférieure du Rio Grande) et Caroline du Sud. Quelques espèces proviennent d’Afrique du Sud.
Le genre compte autour de 150 espèces d’arbustes persistants ou de vivaces à tiges vigoureuses. Mais on trouve en culture essentiellement les espèces Lantana camara et Lantana montevidensis originaire d’Uruguay.
Lantana camara possède un caractère invasif dans les zones tropicales et subtropicales si bien que sa culture est interdite en Afrique du Sud et Australie où il envahit les pâtures et empoisonne le bétail en induisant une photosensibilité.
Chez nous, il orne sagement les massifs et les potées estivales du printemps aux gelées. Il se maintient aisément en pleine terre en zone méditerranéenne car il résiste à -4 °C ou -7 °C selon l’espèce.
Ses feuilles aromatiques, un peu rêches, disposées par deux le long des tiges quadrangulaires, ont des nervures marquées et des contours crénelés.
Le lantana forme des inflorescences en boules chatoyantes dans des tons orange, jaunes, rouges, crème, roses ou mauves. Par ailleurs, les fleurs regroupées en cymes terminales déclinent un dégradé de couleurs étonnant, en fonction du degré de maturité de chaque fleurette.
L’intérêt du lantana est de pouvoir s’adapter à tout type d’aménagement. Les formes couvre-sols comme 'Orange Carpet' forment un tapis généreux ou garnissent un panier suspendu.
tandis que les formes érigées comme 'Rouge de Corse' deviennent des arbustes touffus jusqu’à 1,80 m de haut.
Certains sont conduits sur une seule tige offrant ainsi une silhouette idéale pour garnir une grande potée tout comme la variété 'Confetti'.
Ce commentaire a été modifié le 26/06/2020 à 21:51
Une orchidée rarissime fait son apparition dans la quiétude du confinement
Alors que les tondeuses étaient muselées pour cause de confinement, une orchidée très rare et « en danger critique » a fait sa première apparition sauvage, dans un espace vert, près de Toulouse…
La fameuse orchidée, une Ophrys de Ficalhoana, jamais vue jusqu'ici dans la Haute-Garonne.
Les botanistes et scientifiques sont formels, jamais ce spécimen d’orchidée, déjà rarissime en France, n’avait été observé dans la Haute-Garonne.l'office français de la biodiversité (OFB, ex-ONCFS) annonce « une incroyable découverte » : « la présence de trois pieds » d’Ophrys de Ficalhoana, une orchidée dont on ne connaissait que quelques cas d’apparition isolés dans six autres départements français et classée sur la « liste rouge » française des végétaux en « danger immédiat » d’extinction. La trouvaille a été faite le 26 avril, en plein confinement, par un agent de l’OFB. Pas dans une prairie reculée ou un lopin de terre coupé du monde mais tout simplement dans un espace vert de la commune de Villeneuve-Tolosane , dans la banlieue immédiate de Toulouse.
Les services techniques alertés L’Office fait un lien direct entre l’arrêt forcé des activités qu’a entraîné la crise sanitaire et cette floraison. « La moindre utilisation des tondeuses à gazon dans les espaces publics durant le confinement a permis à de nombreuses espèces végétales de se développer et de fleurir », explique-t-il dans un communiqué. Et en particulier des orchidées sauvages « présentes jusque dans les villes, en bord de route et dans les parcs fermés », n’en déplaise à ceux qui n’arrivent même pas à en conserver une en pot à la maison.
A spécimen exceptionnel, mesures exceptionnelles. L’OFB s’est rapproché des services techniques de la mairie de Villeneuve-Tolosane, histoire d’assurer « la préservation » – qui sait, la reproduction même – de ce nouveau trésor communal. Et d’éviter un passage de tondeuse intempestif.
Ce commentaire a été modifié le 23/06/2020 à 15:13
Pour les amoureux de la randonnée, toutes les occasions sont bonnes pour sortir ses bottes… surtout en voyage ! Voici notre sélection des dix parcours incontournables autour du monde.
Sentier Des Incas, Pérou -
Le site de Machu Picchu, haut perché dans les Andes, est un lieu mythique qu’il vaut la peine de découvrir une fois dans sa vie. Et quoi de mieux que de le faire par une excursion à travers les montagnes ? Disparaître dans les forêts de nuages, traverser des vallées et des crêtes, et s’arrêter dans des sites archéologiques le long de la route… une expérience magique !
Mare De Monti, Corse -
La Corse est le paradis des amoureux de la randonnée. Le ciel bleu azur au-dessus de la tête et les montagnes en toile de fond illustrent bien le surnom qu’on lui donne ... L’île de la beauté. Les magnifiques paysages relient Calenzana à Cargèse. Même si le parcours est praticable toute l’année, il vaut mieux éviter de l’affronter en été, car la température atteint régulièrement les 40 degrés.
Mont-Blanc, France -
Cette randonnée alpine est située autour du point le plus élevé de l’Europe occidentale avec ses 4807 m d’altitude. Découvrez les paysages fabuleux des Alpes de trois pays européens : France, Suisse, Italie.
Milford Track, Nouvelle-Zélande -
Situé dans le parc national du Fiordland au Sud-Ouest de l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande, ce lieu est mythique pour un randonneur... Du fait que seulement 40 personnes peuvent y accéder chaque jour. Des montagnes impressionnantes aux vallées des Sutherland Falls (les chutes d’eau les plus célèbres du pays)...On se dirige vers Milford Sound, un superbe fjord marquant la fin du parcours.
Chemin de Compostelle, Espagne & France -
Cette randonnée est un classique pour les amateurs de trekking. Ce vieux chemin emprunté par les pèlerins...Mène à Saint-Jacques de Compostelle à travers les Pyrénées et des villes aussi remplies d’histoires que Pampelune et Burgos. Un incontournable!
Laugavegur, Islande -
Laugavegur signifie « route des sources chaudes » et traverse le spectaculaire... Paysage islandais composé de glaciers, de volcans toujours actifs... De vallées luxuriantes et de montagnes saisissantes. Une destination à découvrir!
Trans-Canada Trail, Canada -
Quand on pense à de grands espaces verts, on pense inévitablement au Canada ! Saviez-vous que le Canada abrite le plus long sentier de randonnée et certainement le mieux préservé au monde ? Avec ses 16 000 kilomètres, le TransCanada Trail offre plus de 400 jours de marche ininterrompue... Entre l’Océan Atlantique, la mer de Beaufort (qui fait partie de l’Océan Arctique) et l’Océan Pacifique.
Parc National Torres Del Paine, Chili -
Ce chemin de randonnée conduit de la région écossaise des Scottish Borders aux côtes sauvages du Northumberland...En passant par les Eildon Hills et Holy Island, une île qui n’est d’ailleurs accessible qu’à pied et abrite un grand monastère. De là le nom que porte le sentier, en l’honneur de l’évêque Cuthbert.
Grand Canyon, États-Unis -
Le Grand Canyon du Colorado est certainement le parc le plus reconnu des États-Unis. C’est en fait, le parc le plus visité de l’Ouest américain avec ses quatre millions de visiteurs par année. Ce n’est pas pour rien qu’il est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO!
Imaginez !!!
Tu nais en l'an 1900.
Quand tu as 14 ans, la première guerre mondiale commence et se termine quand tu as 18 ans.
Bilan de 22 millions de morts.
Peu de temps après une pandémie mondiale, la grippe espagnole, apparaît, avec 50 millions de personnes qui meurent.Heureusement tu es toujours en vie et tu as 20 ans.
Quand tu as 29 ans, tu survis à la crise économique mondiale qui a commencé avec l'effondrement de la bourse de New York.
Cela a provoqué l'inflation, le chômage et la famine dans le monde entier.
Pendant ce temps, quand tu as 33 ans, bientôt, les Nazis arriveront au pouvoir en Allemagne.
Quand tu as 39 ans, l'Allemagne envahit la Pologne et commence la Seconde Guerre mondiale.
Tu as enfin 45 ans quand la Seconde Guerre mondiale prend fin.
Bilan : 60 millions de morts.
6 millions de Juifs meurent dans la Shoah.
Heureusement tu es toujours en vie !
Quand tu as 52 ans, la guerre de Corée commence.
Quand tu as 64 ans, les Américains commencent la guerre au Vietnam.
Tu as 75 ans quand cette guerre prendra fin.
Heureusement tu es toujours en vie !
Maintenant !!!
Un jeune né en 1980 pense que ses arrière grands-parents,et grands- parents n'ont aucune idée de la difficulté de la vie, mais ils ont
survécu à plusieurs guerres et catastrophes, sans parler des restrictions lors de la première crise pétrolière au début des années
1980 !
Aujourd'hui, nous trouvons tout le confort dans un nouveau monde mais malheureusement au milieu d'une nouvelle pandémie.
Les gens se plaignent de rester à la maison pendant des semaines.
Alors qu'ils ont de l'électricité, des téléphones portables, de la nourriture, de l'eau chaude et un toit sécurisé sur leur tête.
Rien de cela n'existait en ces temps-là.
Mais l'humanité a survécu à ces circonstances et n'a jamais perdu la joie de vivre !
Aujourd'hui, nous nous plaignons parce que nous devrions porter des masques pour entrer dans les supermarchés !
Un petit changement dans notre pensée et notre mentalité peut faire des merveilles !
Nous sommes encore en vie et nous devons tout faire le nécessaire pour nous protéger et nous entraider !!! ....
30juin , 102 hospitalisations en france du coronas restez vigilants ce n'est pas fini.
Les dictons du mois .
Le 1er juillet :
Premier juillet pluvieux, les jours suivants douteux.
En juillet mois d'abondance, le pauvre a toujours sa pitance.
Qu'on soit fumiste ou dramaturge, en juillet il faut qu'on se purge.
La récolte ne peut faire plaisir deux fois ; trop belle en herbe, en grain pauvre la vois.
Qui veut de beaux navets les sème en juillet.
Qui veut de bons poireaux doit semer en juillet.
Au mois de juillet, la faucille au poignet.
Petite pluie de juillet ensoleillé, emplit caves et greniers.
Quand il pleut à la saint Calais, il pleut quarante jours après.
Juillet sans orage, famine au village.
À la saint Thierry, aux champs jour et nuit.
Le 2 juillet :
S'il pleut à la Visitation, pluie à discrétion.
La pluie de la Visitation, tombe six semaines sur la maison.
Le 3 juillet :
À la saint Anatole, confiture dans la casserole.
À la saint Thomas, les jours sont au plus bas.
Le 4 juillet :
Pour la sainte Berthe, se cueille l'amande verte.
Pour la sainte Berthe, moisson ouverte.
Le 5 juillet :
Si le début de juillet est pluvieux, le restant du mois sera douteux.
Le 6 juillet :
Jamais en juillet sécheresse, n'a causé la moindre détresse.
Le 7 juillet :
Quand à saint Raoul le soleil brille, c'est le moissonneur qui grille.
Le 8 juillet :
À la saint Edgar, on entend du coucou le dernier chant.
Le 9 juillet :
Avec sainte Procule, arrive la canicule.
Le 10 juillet :
Pluie du dix juillet, mouille sept fois du moissonneur le bonnet.
Le jour de sainte Félicité se voit venir avec gaité, car c'est le plus beau jour de l'été.
Le 11 juillet :
Rosée du jour de saint Savin, est, dit-on, rosée de vin.
Pour saint Benoît le coucou chante aux bons endroits.
S'il pleut le jour de saint Benoit, il pleuvra trente-sept jours plus trois.
Si pour Notre Dame il n'a pas chanté, il est tué ou baillonné.
Le 12 juillet :
Chaud juillet sur frais juin, peu de blé mais bon vin.
Juillet, orage de nuit, peu de mal mais que de bruit !
Le 13 juillet :
Quand reviendra la saint Henri, tu planteras ton céleri.
Le 14 juillet :
Pluie du matin, en juillet est bonne au vin.
Le 15 juillet :
Juillet sans orage, famine au village.
Si la saint Jacques est serein, l'hiver sera dur et chagrin.
Le 16 juillet :
Qui veut bon navet, le sème en juillet.
Mieux vaut chèvre que vache à lait, quand la bonne Dame de Carmel est arrivée.
Le 17 juillet :
À la saint Alexis, foin occis.
Le 18 juillet :
En juillet mois d'abondance, le pauvre a toujours sa pitance.
Juillet ne s'est jamais passé, sans voir du blé nouveau sassé.
Le 19 juillet :
À la saint Arsène, met au sec tes graines.
Le 20 juillet :
Autour de la sainte Marguerite, longue pluie est maudite.
À la sainte Marguerite, forte pluie est maudite.
À la sainte Marguerite, pluie jamais au paysan sourit.
Mais la pluie à la sainte Anne, pour lui c'est de la manne.
S'il pleut à la sainte Marguerite, les noix seront rentrées bien vite.
Le 21 juillet :
S'il pleut le jour de saint Victor, la récolte n'est pas d'or.
Entre saint Victor et saint Roch, des orages, les grands chocs.
Le 22 juillet :
À la saint Madeleine, la noisette quitte sa gaine.
À la saint Madeleine, le raisin est formé et le blé renfermé.
À la saint Madeleine, s'il pleut, la figue est fort en peine.
À la sainte Madeleine, l'amande est pleine.
S'il pleut à la sainte Madeleine, il pleut durant six semaines.
S'il pleut à la sainte Madeleine, on voit pourrir noix et châtaignes.
Le jour de sainte Madeleine, la noisette pleine, la figue mûre, le raisin coloré, le blé renfermé.
Pour la sainte Madeleine, la noisette est pleine, le raisin coloré, le blé ferme.
À la sainte Madeleine, il pleut souvent, car elle vit son maître en pleurant.
Le 23 juillet :
Nuages de la sainte Brigitte, par le soleil sont chassés vite.
À la saint Apollinaire, dernière semaille de laitue en pleine terre.
Le 24 juillet :
À la sainte Christine, les blés perdent leurs racines.
À la sainte Christine, mûrit l'aubépine.
Le 25 juillet :
Si saint Jacques est serein, l'hiver sera dû et serein.
Si saint Jacques est serein, l'hiver sera dur et chagrin.
Le 26 juillet :
De sainte Anne à saint Laurent, plante des raves en tout temps.
Pour la sainte Anne s'il pleut, trente jours seront pluvieux.
Si les fourmis s'agitent à la sainte Anne, l'orage descend de la montagne.
Le 27 juillet :
Pour leur fête souvent, les sept dormants redressent le temps.
Le 28 juillet :
À la saint Samson, le temps est bon.
Le 29 juillet :
Mauvais temps le jour de sainte Marthe, n'est rien, car il faut qu'il parte.
Ne crains pas du mauvais temps de sainte Marthe, vite, il faut qu'il parte.
Souvent quand saint Lazare appelle le froid, il n'en reste pas.
Le 30 juillet :
À la sainte Juliette, l'été est en fête.
À la saint Abdon, mûrs sont les melons.
Le 31 juillet :
Chaleur du jour de saint Germain, met à tous le pain dans la main.
S'il pleut à la saint Germain, c'est comme s'il pleuvait du vin.
Au jour de la saint Ignace, moissonne quelque temps qu'il fasse.
Le patrimoine naturel de la Normandie n’a d’égal que son patrimoine bâti !
Des charmants villages de l’Eure au front de mer de Deauville, la région réserve à ses admirateurs de jolies surprises d’architecture.
Villas luxueuses, chaumières d’antan et jardins fleuris : découvrez ces maisons d’exception dans lesquelles on séjournerait bien un week-end.
Les chaumières typiquement normandes
La route des Chaumières sillonne le parc naturel des boucles de la Seine en nous plongeant au cœur de la Normandie rurale. Vieux-Port, Aizier, Saint-Opportune-la-Mare, Marais-Vernier... Les villages de charme se succèdent et, avec eux, les habitations traditionnelles de la région. Construites avec des matériaux locaux tels que le bois, la paille, les roseaux, le calcaire ou encore le silex, elles sont reconnaissables à leurs murs en torchis (mélange de paille et de terre) à colombages et aux toits de chaume dont elles tirent leurs noms ; un savoir-faire artisanal perpétué par des générations d’artisans qui constitue l’une des richesses du patrimoine normand.
À Veules-les-Roses (Seine-Maritime)
Romantique à souhait, cette petite bourgade construite sur les bords de la Veules aattiré l’aristocratie puis la bourgeoisie parisienne dès le XIXe siècle. Situé entre terre et mer sur le plateau de Caux, elle offre à ses visiteurs un paysage binaire, où les villas balnéaires se mêlent aux moulins et maisons pittoresques de ce qui était autrefoisun modeste village de pêcheurs.
Baptisé Veules-les-Roses en 1897, il attire à cette époque une pléiade d'artistes russes qui immortalisent ce spectacle enchanteur : Alexei Bogoliubov et Alexis Kharlamov consacreront des tableaux entiers à ces chaumières typiques de la campagne normande.
Le manoir de Villers et son parc (Seine-Maritime).
Cette demeure située sur la commune de Saint-Pierre-de-Manneville, en Haute-Normandie, n’a pas toujours eu des dimensions si impressionnantes.
Simple maison de maître au XVIe siècle, elle est agrandie au fil du temps par ses propriétaires – elle appartient à la même famille depuis 1764 – pour devenir l’imposant manoir de style néo-normand que nous connaissons. L’intérieur richement meublé et le parc créé au XVIIIe siècle sont ouverts aux visiteurs en été.
Le musée Pierre Corneille, près de Rouen (Seine-Maritime)
Cette demeure normande a vu grandir l’un des plus grands dramaturges français du XVIIe siècle, Pierre Corneille. En 1639, il en hérite de son père et s’y installe pendant plusieurs années avant de quitter Rouen, sa ville natale, pour s’installer à Paris. L’auteur du Cid ne se séparera pas pour autant du domaine familial ; son fils Pierre le fera en 1686, deux ans après la mort de l’écrivain. Depuis, son souvenir n’a cessé d’habiter les lieux.
Au lendemain de la Révolution, le descendant du fermier des Corneille rachète la maison aux enchères, puis c’est au tour du Département d’en prendre possession pour y installer un musée dédié à l’écrivain, en 1874. Le site est ouvert toute l’année.
Les villas Belle Époque de Deauville (Calvados)
La villa Le Cercle
Imaginé en 1873 par l’architecte Desle-François Breney, à l’aube de ce que l’on nommera plus tard la Belle Époque, le chicissime Cercle de Deauville empreinte encore beaucoup au style pompeux du Second Empire (rotonde, niches, larges ouvertures…). Il sert alors d’annexe au Jockey Club créé à Paris en 1836, réunissant des hommes de la haute société triés sur le volet, propriétaires d’écuries et autres férus de courses hippiques. Aujourd’hui, l’espace accueille diverses manifestations et rencontres culturelles, publiques comme privées.
La villa Strassburger
Cette somptueuse villa aux allures de petit château perpétue le souvenir des heures fastueuses de Deauville, lorsque la station balnéaire accueillait en villégiature l’aristocratie parisienne de la Belle Époque. Le baron Henri de Rothschild en commande la construction en 1907. Il la fait ériger en lieu et place de la ferme du Coteau, qui appartenait à la famille de Gustave Flaubert. Pour la dessiner, Georges Pichereau s’inspire de l’architecture traditionnelle du pays d’Auge et y ajoute des détails coquets tels que tourelles, bow-windows et briques disposées en damiers sur le mur du rez-de-chaussée. Appartenant à la ville de Deauville depuis 1980, la villa (ouverte en été) porte toujours le nom de son dernier propriétaire, l’Américain Ralph Beaver Strassburger. À l’intérieur, le mobilier et la décoration sont d’époque.
Le saviez-vous ?
En 1942, afin de se protéger des bombardements, les Allemands occupant la villa réquisitionnée y font construire un souterrain de 45 mètres de long.
La maison de Claude Monet, à Giverny (Eure)
Claude Monet acquiert sa propriété de Giverny en 1890, après s’y être installé avec sa famille sept ans plus tôt. Ne se prétendant bon qu’à peindre et à jardiner, il y aménage tous les éléments extérieurs que l’on connaît : le clos normand, le jardin d’eau d’inspiration japonaise, son étang surmonté d’un pont en bois...
Et il plante les nénuphars qui lui inspireront sa série de Nymphéas. Si le jardin est baigné de couleurs, sa maison ne l’est pas moins !
Outre sa façade aux murs rosés et aux volets vert émeraude, le visiteur découvre à l’intérieur une enfilade de pièces au charme ancien : la cuisine recouverte de carreaux bleu et blanc, la salle à manger d’un jaune lumineux, le petit salon bleu, le salon-atelier, la chambre du peintre et son cabinet de toilette, etc.
Bonaire est une île située au large de la côte nord de l'Amérique du Sud, près de la partie ouest du Venezuela, et comme de nombreuses îles des Caraïbes, l'histoire de Bonaire porte la tache profonde de l'esclavage.Les Européens sont venus pour la première fois à Bonaire en 1499 et, voyantque l'île ne valait rien pour l'agriculture à grande échelle, ils ont décidé de ne pas s'installer et de développer une colonie.
Au lieu de cela, ils ont forcé la population indigène à quitter l'île et à l'esclavage, les expédiant pour travailler dans les grandes plantations de l'île d'Hispaniola.
En quinze ans, Bonaire avait été en grande partie dépeuplée. Ce n'est que lorsqu'un commandant espagnol a apporté du bétail et commencé à les élever sur l'île, que les Espagnols ont pensé que Bonaire pouvait être utilisé comme une plantation de bétail exploitée par des indigènes.
Les ouvriers ont été ramenés et en quelques années, l'île est devenue un centre d'élevage d'animaux tels que moutons, chèvres, porcs,chevaux et ânes.
Des huttes en pierre de couleur orange / rouge qui servaient de logement aux esclaves sont encore visibles à Bonaire.
En 1633, les Hollandais ont pris possession de Bonaire et des îles voisines de Curaçao et d'Aruba.
La plus grande île, Curaçao, est devenue un centre de la fameuse traite négrière, tandis que Bonaire est devenue une île de plantation de la Compagnie néerlandaise des Antilles.
Il y a toujours quelque chose à apprendre!
Dommage que beaucoup de ces verbes soient tombés dans l’oubli !
Le chien aboie quand le cheval hennit
et que beugle le bœuf et meugle la vache,
l'hirondelle gazouille,
la colombe roucoule et le pinson ramage.
Les moineaux piaillent,
le faisan et l'oie criaillent quand le dindon glousse.
La grenouille coasse mais le corbeau croasse et la pie jacasse.
Et le chat comme le tigre miaule,
l'éléphant barrit,
l'âne braie, mais le cerf rait.
Le mouton bêle évidemment et bourdonne l'abeille.
La biche brame quand le loup hurle.
Tu sais, bien sûr, tous ces cris-là mais sais-tu ?
Que si le canard nasille, les canards nasillardent !
Que le bouc ou la chèvre chevrote.
Que le hibou hulule mais que la chouette, elle chuinte.
Que le paon braille.
Que l'aigle trompète.
Sais-tu également ?
Que si la tourterelle roucoule,
le ramier caracoule et que la bécasse croule,
que la perdrix cacabe,
que la cigogne craquette et que si le corbeau croasse,
la corneille corbine et que le lapin glapit quand le lièvre vagit.
Tu sais tout cela ? Bien. Mais sais-tu ?
Que l'alouette grisolle.
Tu ne le savais pas. Et, peut-être, ne sais-tu pas davantage que le pivert picasse.
C'est excusable !
Ou que le sanglier grommelle, que le chameau blatère.
Et que c'est à cause du chameau que l'on déblatère !
Tu ne sais pas non plus, peut-être, que la huppe pupule.
Et tu ne sais pas non plus si on l'appelle en Limousin la pépue parce qu'elle pupule ou parce qu'elle fait son nid avec de la chose qui pue. Qu'importe ! Mais c'est joli : la huppe pupule !
Et encore sais-tu ?
Que la souris, la petite souris grise : devine ? La petite souris grise chicote ! Oui !
Avoue qu'il serait dommage d'ignorer que la souris chicote et plus dommage encore de ne pas savoir, que le geai quant a lui cajole !
Concarneau est une commune du département du Finistère.
La ville s'est constituée au Moyen Âge à partir de la ville close située dans l'estuaire du Moros. Cet abri naturel a permis le développement du septième port de pêche français en tonnage débarqué et d'importants chantiers navals.
Sa situation sur le littoral et son patrimoine historique en font aujourd'hui une destination touristique bretonne de premier plan.Concarneau a reçu le label « Ville et Pays d'Art et d'Histoire » en 2002.
La Ville Close de Concarneau est un îlot qui mesure 380 m dans sa plus grande longueur et 100 m dans sa largeur moyenne.
Les remparts. Ils sont en granit très épais et flanqués de tours. Construits entre 1541 et 1577, ils ont été modifiés par Vauban.
Le beffroi a été érigé en 1906 sur l'ancien poste de garde.
La maison du gouverneur du XVIIIe siècle.
L'ancienne chapelle de l’hôpital de la Trinité du XVe siècle.
La place Saint-Guénolé qui présente une belle fontaine aux crocodiles : celle-ci se trouvait sur la Place d'Armes depuis 1855 avant d'être installée sur la Place Saint-Guénolé un siècle plus tard.
La porte du Vin, ainsi appelée car les navires bordelais y déchargeaient leur vin et autres marchandises.
La porte du Passage, vaste brèche pratiquée dans la muraille en 1785.
Les maisons en granit de la rue Vauban. Elles ont un pignon de pierre, un rez-de-chaussée en échoppe, une cheminée latérale et au grenier une lucarne qui permettait l'aération des filets de pêche.
L'ancienne église Saint-Guénolé, qui était alors l'église paroissiale de Concarneau, a été édifiée en 1830, remplaçant une église antérieure datant du XVe siècle et qui menaçait ruine. Elle fut désaffectée en 1937 et transformée en hospice pour vieillards. Il ne reste que sa façade et son pignon-clocher dominé par une haute tour cylindrique.
Le lantana est un arbuste persistant ou semi-persistant à la floraison infatigable de mai à décembre lorsque le climat s’y prête. Il est originaire des régions chaudes des continents américains (Mexique, Amérique centrale, Grandes Antilles, Bahamas, Colombie et Vénézuéla). On le trouve jusqu’au Texas (vallée inférieure du Rio Grande) et Caroline du Sud. Quelques espèces proviennent d’Afrique du Sud.
Le genre compte autour de 150 espèces d’arbustes persistants ou de vivaces à tiges vigoureuses. Mais on trouve en culture essentiellement les espèces Lantana camara et Lantana montevidensis originaire d’Uruguay.
Lantana camara possède un caractère invasif dans les zones tropicales et subtropicales si bien que sa culture est interdite en Afrique du Sud et Australie où il envahit les pâtures et empoisonne le bétail en induisant une photosensibilité.
Chez nous, il orne sagement les massifs et les potées estivales du printemps aux gelées. Il se maintient aisément en pleine terre en zone méditerranéenne car il résiste à -4 °C ou -7 °C selon l’espèce.
Ses feuilles aromatiques, un peu rêches, disposées par deux le long des tiges quadrangulaires, ont des nervures marquées et des contours crénelés.
Le lantana forme des inflorescences en boules chatoyantes dans des tons orange, jaunes, rouges, crème, roses ou mauves. Par ailleurs, les fleurs regroupées en cymes terminales déclinent un dégradé de couleurs étonnant, en fonction du degré de maturité de chaque fleurette.
L’intérêt du lantana est de pouvoir s’adapter à tout type d’aménagement. Les formes couvre-sols comme 'Orange Carpet' forment un tapis généreux ou garnissent un panier suspendu.
tandis que les formes érigées comme 'Rouge de Corse' deviennent des arbustes touffus jusqu’à 1,80 m de haut.
Certains sont conduits sur une seule tige offrant ainsi une silhouette idéale pour garnir une grande potée tout comme la variété 'Confetti'.
Alors que les tondeuses étaient muselées pour cause de confinement, une orchidée très rare et « en danger critique » a fait sa première apparition sauvage, dans un espace vert, près de Toulouse…
La fameuse orchidée, une Ophrys de Ficalhoana, jamais vue jusqu'ici dans la Haute-Garonne.
Les botanistes et scientifiques sont formels, jamais ce spécimen d’orchidée, déjà rarissime en France, n’avait été observé dans la Haute-Garonne.l'office français de la biodiversité (OFB, ex-ONCFS) annonce « une incroyable découverte » : « la présence de trois pieds » d’Ophrys de Ficalhoana, une orchidée dont on ne connaissait que quelques cas d’apparition isolés dans six autres départements français et classée sur la « liste rouge » française des végétaux en « danger immédiat » d’extinction.
La trouvaille a été faite le 26 avril, en plein confinement, par un agent de l’OFB. Pas dans une prairie reculée ou un lopin de terre coupé du monde mais tout simplement dans un espace vert de la commune de Villeneuve-Tolosane , dans la banlieue immédiate de Toulouse.
Les services techniques alertés
L’Office fait un lien direct entre l’arrêt forcé des activités qu’a entraîné la crise sanitaire et cette floraison. « La moindre utilisation des tondeuses à gazon dans les espaces publics durant le confinement a permis à de nombreuses espèces végétales de se développer et de fleurir », explique-t-il dans un communiqué. Et en particulier des orchidées sauvages « présentes jusque dans les villes, en bord de route et dans les parcs fermés », n’en déplaise à ceux qui n’arrivent même pas à en conserver une en pot à la maison.
A spécimen exceptionnel, mesures exceptionnelles. L’OFB s’est rapproché des services techniques de la mairie de Villeneuve-Tolosane, histoire d’assurer « la préservation » – qui sait, la reproduction même – de ce nouveau trésor communal. Et d’éviter un passage de tondeuse intempestif.
Pour les amoureux de la randonnée, toutes les occasions sont bonnes pour sortir ses bottes… surtout en voyage ! Voici notre sélection des dix parcours incontournables autour du monde.
Sentier Des Incas, Pérou -
Le site de Machu Picchu, haut perché dans les Andes, est un lieu mythique qu’il vaut la peine de découvrir une fois dans sa vie.
Et quoi de mieux que de le faire par une excursion à travers les montagnes ?
Disparaître dans les forêts de nuages, traverser des vallées et des crêtes, et s’arrêter dans des sites archéologiques le long de la route… une expérience magique !
Mare De Monti, Corse -
La Corse est le paradis des amoureux de la randonnée. Le ciel bleu azur au-dessus de la tête et les montagnes en toile de fond illustrent bien le surnom qu’on lui donne ...
L’île de la beauté. Les magnifiques paysages relient Calenzana à Cargèse. Même si le parcours est praticable toute l’année, il vaut mieux éviter de l’affronter en été, car la température atteint régulièrement les 40 degrés.
Mont-Blanc, France -
Cette randonnée alpine est située autour du point le plus élevé de l’Europe occidentale avec ses 4807 m d’altitude.
Découvrez les paysages fabuleux des Alpes de trois pays européens : France, Suisse, Italie.
Milford Track, Nouvelle-Zélande -
Situé dans le parc national du Fiordland au Sud-Ouest de l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande, ce lieu est mythique pour un randonneur...
Du fait que seulement 40 personnes peuvent y accéder chaque jour. Des montagnes impressionnantes aux vallées des Sutherland Falls (les chutes d’eau les plus célèbres du pays)...On se dirige vers Milford Sound, un superbe fjord marquant la fin du parcours.
Chemin de Compostelle, Espagne & France -
Cette randonnée est un classique pour les amateurs de trekking. Ce vieux chemin emprunté par les pèlerins...Mène à Saint-Jacques de Compostelle à travers les Pyrénées et des villes aussi remplies d’histoires que Pampelune et Burgos. Un incontournable!
Laugavegur, Islande -
Laugavegur signifie « route des sources chaudes » et traverse le spectaculaire...
Paysage islandais composé de glaciers, de volcans toujours actifs...
De vallées luxuriantes et de montagnes saisissantes. Une destination à découvrir!
Trans-Canada Trail, Canada -
Quand on pense à de grands espaces verts, on pense inévitablement au Canada !
Saviez-vous que le Canada abrite le plus long sentier de randonnée et certainement le mieux préservé au monde ? Avec ses 16 000 kilomètres, le TransCanada Trail offre plus de 400 jours de marche ininterrompue... Entre l’Océan Atlantique, la mer de Beaufort (qui fait partie de l’Océan Arctique) et l’Océan Pacifique.
Parc National Torres Del Paine, Chili -
Ce chemin de randonnée conduit de la région écossaise des Scottish Borders aux côtes sauvages du Northumberland...En passant par les Eildon Hills et Holy Island, une île qui n’est d’ailleurs accessible qu’à pied et abrite un grand monastère. De là le nom que porte le sentier, en l’honneur de l’évêque Cuthbert.
Grand Canyon, États-Unis -
Le Grand Canyon du Colorado est certainement le parc le plus reconnu des États-Unis. C’est en fait, le parc le plus visité de l’Ouest américain avec ses quatre millions de visiteurs par année. Ce n’est pas pour rien qu’il est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO!