De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
21/02/2018 - 09:12
Bretagne sauvage  (Vidéos)

Les Bretons sont une part et une composante distincte de la population française, originaire de Bretagne, une région située dans l'Ouest de la France, indépendante jusqu'au XVIe siècle, où ils sont principalement implantés. Ils doivent leur nom à des groupes brittophones qui émigrèrent du sud-ouest de la Grande-Bretagne en vagues successives à partir du IIIe siècle jusqu’au VIe siècle dans l'Ouest de la péninsule Armoricaine, renommée par la suite Bretagne d’après leur nom.

 Issu de cette émigration, le breton (brezhoneg) est parlé en Basse-Bretagne et compte actuellement environ 365 000 locuteurs, dont environ 240 000 le parlent couramment ; tandis que le gallo est parlé en Haute-Bretagne. Le breton est apparenté au cornique, dont il est très proche et, dans une moindre mesure, au gallois. Le gallo est quant à lui une langue romane de la famille des langues d’oïl, mais possédant quelques similitudes de vocabulaire et de prononciation avec la langue bretonne. Depuis la seconde moitié du XXe siècle, le français s'est imposé comme langue maternelle des Bretons.
 La Bretagne et les Bretons sont considérés comme l’une des six nations celtiques. Le nombre factuel de Bretons « de souche » en Bretagne et dans la France entière est difficile à connaître étant donné que le gouvernement français ne fait pas ce type de statistiques. La population de la Bretagne (Région Bretagne et Loire-Atlantique) est de 4 365 500 selon le recensement de janvier 2007.
 Une forte émigration historique a engendré une diaspora bretonne à l'intérieur même des frontières françaises et dans l'outre-mer français ; celle-ci est principalement établie dans la région parisienne. De nombreuses familles bretonnes ont également émigré sur le continent américain, principalement au Canada (surtout au Québec) et aux États-Unis.
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L'identité bretonne
Histoire de la Bretagne.





21/02/2018 - 08:39
 LA SOURCE DU PAR  A CHAUDES-AIGUES.  
 

 
 La ville de CHAUDES-AIGUES nichée entre les monts du Cantal , Margeride et Aubrac est une station thermale réputée 
depuis l'antiquité .

La source du Par s'écoule à une température de 82e degré et provient d'un point en profondeur  de la truyère   (rivière du massif central qui coule dans les départements de la Corrèze , Cantal et Aveyron  , affluent du Lot )
L'eau courante chaude est distribuée à plus de 300 maisons et bâtiments communaux . Certaines maisons possèdent des réservoirs personnels d'eau chaude .

 
21/02/2018 - 08:09
Boucles Forestières au Japon.

Suppose Design Officea conçu Forest Loops, une aire de jeux sculpturale à Hamakita au Japon.  
« Le concept de ce projet est une implémentation des forêts naturelles. Forest est une représentation de la croissance dans la nature, il est encroissance, en expansion de jour en jour et se trouve entre la définition de complet et incomplet. La majorité des projets d’architecture existants montre un sentiment d’achèvement une fois que le bâtiment est terminé. Pour Forest Loops, nous nous sommes inspirés de l’idée de la croissance de la forêt. Nous avons essayé d’élargir les
possibilités d’utilisation et les interactions qui peuvent se connecter avec les visiteurs et les résidents. (Par exemple, si vous placez un filet sur la structure, elle deviendra une aire de jeux pour enfants. Sivous ajoutez une cabane ou une maison en bois, elle peut se transformeren une architecture résidentielle.) Le projet va continuer à croître età élargir ses possibilités d’utilisation et d’interaction « .


 
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21/02/2018 - 08:02
Il trouve son art dans les éléments de la nature, c’est très agréable. 
 
James Brunt est un artiste Anglais qui vit à Yorkshire en Angleterre. Son art, il le trouve dans la nature et il réalise les plus adorables des créations juste en se servant des éléments trouvés sur place.
Comme  beaucoup d’artistes, il ne fait qu’ajuster et déplacer les feuilles, les branches, les pierres et toutes sortes de choses trouvées sur le solpour que sa création soit attirante.
L’essentiel est que cela plaise, alors qu’importe le temps qu’il aura fallu à cet amoureux de la nature pour réaliser ses œuvres qui sortent de l’ordinaire.


On l’a vu, les créations de James Brunt tournent autour de la nature et c’est très agréable de voir toutes ces formes sur la plage, dans la forêt, au milieu d’une route…
On se demande comment l’artiste travaille avec autant de précisions sans jamais négliger la forme finale de son oeuvre.
Les réalisations qu’il a faites sont peut-être banales, mais c’est quelque chose qui invite le regard à un moment de réflexion qui vise à comprendre l’idée derrière ce travail.
C’est si beau de faire comme cela des formes qui surprennent celui qui les découvre, alors c’est forcément intéressant.
Bravo à cet artiste qui est doué et plein de patience!



21/02/2018 - 08:00
 Les meilleurs moments des bêtises des enfants, c’est amusant de grandir!  

 
Grandir n’est pas facile, il y ‘a tant de choses à apprendre et tant d’obstacles à franchir, mais il y ‘a aussi ces petites choses
désagréables certes, mais qui donnent des leçons et ces séquences vous feront découvrir quelques-unes.

A voir, revoir et ne pas trop rigoler!
Après tout ce ne sont que des enfants!



20/02/2018 - 18:34
                                                        
Voici la présentation de 3 actrices qui
ont fait fantasmer le monde d'Hollywood avant et après la seconde guerre
mondiale
Hedy Lamarr est une actrice, productrice et inventeur américain, née Hedwig Eva Maria Kiesler le 9 novembre 1914 à Vienne
(Autriche-Hongrie), décédée le 19 janvier 2000 à Altamonte Springs
(Floride). Elle compte parmi les actrices mythiques du cinéma américain.
Elle est connue pour avoir campé le rôle principal dans Extase, Le
Démon de la chair, Samson et Dalila, Camarade X, Angoisse, La Dame des
tropiques, Tondelayo et a expérimenté de nombreux genres, du western à
l'espionnage, du mélodrame à la comédie.
Surnommée « la plus belle femme du monde » par Louis B. Mayer, qui voulait en faire la nouvelle
Garbo, alors que Rita Hayworth était « la déesse de l'amour » et avant
qu'Ava Gardner ne devienne « le plus bel animal du monde » – le statut
des actrices se dégradait –, Hedy Lamarr tourna pour des réalisateurs
aussi prestigieux que King Vidor, Jack Conway, Victor Fleming, Jacques
Tourneur, Marc Allégret, Cecil B. DeMille, Clarence Brown, et collabora
avec Josef von Sternberg et Douglas Sirk ; elle aurait été par ailleurs
la maîtresse de Frank Borzage, Billy Wilder,Otto Preminger, Charles
Chaplin et Orson Welles. Au sommet de sa gloire, entre 1938 et 1949,
Elle fut la partenaire de James Stewart, Charles Boyer, Clark Gable,
Spencer Tracy, Ray Milland, John Garfield, ainsi que leur maîtresse.
Elle rencontra aussi John Kennedy, Howard Hughes, Errol Flynn et Marlon
Brando entre autres, laissant une image hautaine et scandaleuse, avant
de connaître la déchéance, entre chirurgie ratée et faits divers.

En plus de sa carrière cinématographique Hedy Lamarr est connue comme
ayant, sous le nom de Hedy Kiesler Markey et avec son ami le compositeur
George Antheil, déposé le brevet d'un système de codage des
transmissions appelé étalement de spectre, proposé alors pour le
radio-guidage des torpilles américaines durant la Seconde Guerre
mondiale, bien qu'il ne fût pas appliqué (Brevet des USA 2,292,387). La
technique réapparut dans le domaine militaire dans les années 1960. De
nos jours elle est par exemple utilisée par les systèmes de
positionnement par satellites (GPS, GLONASS), les liaisons chiffrées
militaires, les communications de la Navette Spatiale avec le sol, et
plus récemment dans les liaisons sans fil Wi-Fi.

Rita Hayworth (née Margarita Carmen Cansino le 17 octobre 1918 à New York -
14 mai 1987 à New York) est une actrice américaine. Elle fut le sex
symbol féminin des années 1940. Surnommée « la déesse de l'amour », elle
devient une légende vivante avec son rôle principal dans le film
mythique Gilda. Elle fut l'épouse d'Orson Welles et du Prince Ali Khan.
Dès ses 1ères années, elle se produit dans la troupe familiale des «
Dancing Cansino » et danse notamment à 4 ans avec éventail et
castagnettes, à l'occasion d'un récital au Carnegie Hall. « J'avais
quatre ans lorsque je suis montée pour la première fois sur une scène.
Celle du Carnegie Hall. Mon père et ma tante Eliza s'y produisaient en
une époque heureuse dans cette Amérique d'après-guerre. Ma prestation
consistait à jouer des castagnettes et à danser du flamenco dans un
numéro spécialement mis au point pour moi par mon grand-père Don
Antonio. Je ne me souviens plus si j'ai été applaudie... Je l'ai
sûrement été car le public est toujours indulgent pour les enfants. ».
Son père, qu'elle admire, exige d'elle un travail intense, il lui impose
des cours de danse rigoureux et particulièrement contraignants.«
Travailler, travailler, c'est le seul mot que j'ai entendu pendant mon
enfance, confiera plus tard la star Rita Hayworth. Mes parents m'ont
appris à danser avant que je marche... ». Rita est alors d'une nature
réservée, obéissante et d'une timidité maladive. Avec l'arrivée du
parlant, l'âge d'or du music-hall se termine et leurs spectacles ne font
plus recette, tant et si bien que le groupe se dissout.
Eduardo quitte New York, entasse sa famille dans une roulotte et part au hasard
des routes. Persuadé que l'avenir est aux comédies musicales, il prend
la direction de Los Angeles espérant poursuivre sa carrière au cinéma,
les latin-lovers étant toujours à la mode. Mais réussir à Hollywood
n'est pas facile, alors il fonde une école de danse en 1929 à l'angle de
Sunset Boulevard et de Vine Boulevard et c'est un succès. Margarita y
perfectionne son apprentissage et sera danseuse professionnelle dès
l'âge de 12 ans. Le krach de Wall Street vient ébranler l'entente
familiale et ses finances, et met l'école de danse en danger. Et les
Cansino, repartent sur les routes dans leur roulotte dès la 1ère offre
intéressante. Eduardo pousse sa fille à suivre ses cours de danse, et
elle se révèle la plus disposée à prendre la relève. Les besoins
financiers se faisant sentir, Eduardo remonte ses anciens numéros de
danse, met sur pieds des spectacles et décide de prendre sa fille, alors
âgée de 13 ans, comme partenaire attitrée : les « Dancing Cansinos »
ressuscitent. Ils dansent des versions modernes du tango espagnol et du
boléro, elle se vieillissant, lui se rajeunissant, arrivant même à
passer pour un couple. Leur succès est inouï. Margarita travaille
beaucoup, jusqu'à vingt shows par semaine, dans des night-clubs à
Hollywood, comme l'Agua Calienta à Tijuana (frontière du Mexique), à
Santa Monica, à Long Beach..
Rita prend cette nouvelle vie comme un privilège de se retrouver avec son père, qu'elle admire, mais elle va
vite déchanter : alcoolique, il devient tyrannique, violent, et comme
elle le confiera plus tard à Orson Welles, son second mari, elle subira
des relations incestueuses. Les conséquences psychologiques seront
désastreuses pour Rita et se feront toujours sentir dans sa vie et dans
ses relations chaotiques avec les hommes. Pourtant, malgré ces abus, sa
réserve et sa timidité maladive, Rita apparaît sur scène en une femme
sensuelle dotée d'une grâce et d'une prestance naturelle. Si elle est
réservée et introvertie dans sa vie privée, elle s'épanouit dès qu'elle
se trouve sous les spotlights. Lors de ses représentations dans les
night-clubs, Eduardo ne manque pas de la présenter à tous ceux qui
comptent à Hollywood dans le secret espoir de décrocher un contrat de
cinéma

Gene Tierney, de son nom complet Gene Eliza Tierney, est une actrice
américaine née à Brooklyn, New York, le 19 novembre 1920 et morte le 6
novembre 1991, à Houston, Texas.

Son physique très fin aux pommettes saillantes, des allures retenues et ses
yeux clairs sous une chevelure brune lui permettaient d'incarner la
féminité la plus douce (Le ciel peut attendre, L'Aventure de Madame
Muir) ou la plus vénéneuse (Shanghai Gesture, Péché mortel). Elle a
tourné quatre fois sous la direction d'Otto Preminger, deux fois sous la
direction de Joseph L. Mankiewicz, Henry Hathaway et William Wellman,
ainsi qu'avec Josef von Sternberg, Fritz Lang, John Ford, Rouben
Mamoulian, Henry King
Elle étudia à la St. Margaret School de Waterbury et à la Unquowa School de Bridgeport dans le Connecticut. Son
premier poème, intitulé "Night" (Nuit), fut publié dans le journal de
l'école, et l'écriture en vers sera un passe-temps occasionnel tout au
long de sa vie. Elle passa alors deux ans en Europe notamment pour
étudier dans l'école privée de Brillantmont à Lausanne en Suisse, où
elle apprit à parler couramment le français. Elle retourne aux
Etats-Unis en 1938 et s'inscrit à l'école de Miss Porter. En voyage sur
la côte ouest, elle visite les studios de la Warner Bros., où elle fut
interpellée par Anatole Litvak qui, ébloui par sa beauté, lui conseilla
de devenir actrice (sa phrase exacte - "Mademoiselle, vous devriez faire
du cinéma" - deviendra le titre des mémoires de Gene). La Warner voulut
lui faire signer un contrat, mais ses parents la découragèrent en
pointant le bas salaire. Son bal de débutante eut lieu le 24 septembre,
elle avait dix-sept ans, mais elle s'ennuya vite de la vie en société et
décida de tenter une carrière d'actrice. Son père déclara « Si Gene
doit être actrice, ce sera dans un théâtre convenable ». Tierney
auditionna alors pour l'American Academy of Dramatic Arts à New York et
fut acceptée. Parmi les autres talents notables de l'époque ayant
fréquenté ce conservatoire figurent Katharine Hepburn, Spencer Tracy,
Grace Kelly et Lauren Bacall.
20/02/2018 - 17:44
L’Histoire de l’Art en 1 Minute
Le cinéaste pédagogue chinois Cao Shu se saisit de l’histoire de l’art dans un court métrage expérimental qui dure moins d’une minute.  
Tout au long du film, le personnage central est représenté avec des petits gestes et des mouvements de la vie quotidienne comme vérifier l’heure etprendre un verre. Chaque image peinte à la main est rendue dans un style historique différent. Le film commence dans l’Egypte ancienne et progresse à travers des peintures à l’encre de Chine et des gravures japonaises vers des portraits de style Modigliani et Basquiat.
Dans son animation, Cao représente une vaste gamme de styles artistiques différents d’une manière évocatrice sans être surchargé de travail. Il vit et travaille à Hangzhou, où il enseigne à l’Académie d’Art de Chine.


  Clic ici...................
https://vimeo.com/253742573
 
 
 
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20/02/2018 - 17:34
Droit De Vote Des Femmes...Souvenirs D'une Propagande Odieuse...

    Par : Axel Leclercq - Du Magazine Positivr

 


L’histoire du féminisme est parsemée de combats difficiles et de victoires glorieuses. Parmi celles-ci...
L’obtention du droit de vote pour les femmes est exemplaire car, si l’issue fut heureuse, la lutte...
Elle fut particulièrement longue et violente. 
Ces images incroyables en témoignent , le mouvement des suffragettes est né en 1903 en Angleterre..
Son objectif : décrocher le droit de vote pour les femmes.

En réponse, les hommes n’ont pas lésiné sur la propagande.
Humour douteux, mauvaise foi, délires paranoïaques...
Appel à la violence, injures : rien n’a été épargné à ces femmes courageuses.
Catherine H. Palczewski...Est une universitaire dans l’Iowa aux (Etats-Unis)...
Elle collectionne les cartes postales consacrées aux suffragettes...
En Voici Quelques-Unes...
Elles nous rappellent combien le combat a été dur et soulignent le chemin parcouru...
Donc très précieux !!!
« Origine & Développement D’une Suffragette. »
 
Source : Catherine H. Palczewski
 
« Petit animal à 15 ans, coquettes à 20 ans, célibataire à 40 ans, suffragette à 50 ans. »

« Elles N’ont Jamais Été Embrassées. »

 
Source : Catherine H. Palczewski

« Personne Ne M’aime. »
 
Source : Catherine H. Palczewski
« Vous l’avez deviné, je suis une future suffragette. »

« Devinez Qui Est Le Patron...
À La Maison. »


 
Source : Catherine H. Palczewski

« S’en Prendre À Son Mari. »


 
Source : Catherine H. Palczewski
« je te dis que nous avons le droit de vote. »

« Des Suffragettes Attaquent... Un Policier. »

 
Source : Catherine H. Palczewski

« Je N’ai Rien Fait... Mais Je Ne Le Referai Plus. »

 
Source : Catherine H. Palczewski

« Maintenant, C’est La Mère Qui... Porte Le Pantalon... »
 
Source : Catherine H. Palczewski

Sans Commentaire...
 
Source : Catherine H. Palczewski

« Tout Le Monde Travaille Mais... La Mère, elle, Est Suffragette. »
 
Source : Catherine H. Palczewski
« Je veux voter mais ma femme ne me le permet pas. »

« Ce Que Je Ferais À Une Suffragette. »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« Ce N’est Pas Le Travail... D’un Homme. »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« La Place D’une Femme Est... À La Maison. »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« La Vie Est Juste Un Terrible... Truc Après Un Autre. »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« Ma Femme A Rejoint Les Suffragettes. (Depuis, Je Souffre). »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« Ne Vous Inquiétez Pas. Le Pire... Est À Venir. »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« Jour D’élection. »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« Enfin, La Paix... »
 
Source : Catherine H. Palczewski

« Qui A Parlé De Divorce ! »
Source : Catherine H. Palczewski
En voyant cela, on pourrait se dire que les Anglais ont été particulièrement odieux avec les femmes. Mais ce serait voir la paille dans l’œil du voisin sans voir la poutre qui est dans le sien.
Rappelons en effet que les anglaises ont obtenu le droit de vote en 1918 et que les femmes françaises ont dû attendre 1944 !
Et puis, mine de rien, le ton de ces cartes postales ne nous est pas tellement étranger.
Quand on évoque le droit des femmes, aujourd’hui encore, un certain nombre d’hommes rétorquent toujours avec le même humour désolant.
D’une certaine manière, ces images sont donc encore d’actualité mais, surtout, elles nous rappellent que le cynisme et le machisme, aussi puissant soient-ils, sont voués à l’échec !
20/02/2018 - 17:23
L'incroyable histoire malheureusement méconnue de Gino Bartali, le champion de cyclisme qui a aidé des Juifs à échapper aux Nazis.

Le nom de Gino Bartali ne vous dit peut-être rien, et pourtant, ce cycliste des années trente et quarante est un véritable héros. En plus d’une carrière couronnée de performances et de médailles, ce grand champion cache une histoire personnelle longtemps restée secrète, et qui lors de sa révélation, a fait de lui l’un des hommes les plus respectés de sa génération. Zoom sur un destin absolument hors-norme.

 
Né à Florence en 1914, Gino Bartali est passé en quelques années de simple mécano à l’un des coureurs le plus estimés de l’histoire du cyclisme. Il faut dire qu’entre 1936 et 1948, le sportif a raflé de nombreux titres importants, dont le Giro (en 1936, 1937 et 1946), mais également le Tour de France (en 1938 et 1948). Malheureusement pour le sportif italien, son incroyable élan de victoires et sa progression seront stoppés net par la Seconde Guerre mondiale. Et pourtant, aussi fou que cela puisse paraître, c’est lors de ce conflit qu’il va jouer le rôle le plus précieux et le plus fort de sa vie. Celui qui va marquer son existence, et faire en sorte qu’on se rappelle encore de lui aujourd’hui.
À l’époque, pour celles et ceux qui suivaient le cyclisme et qui connaissaient le personnage, il était de notoriété publique que Gino Bartali n’était pas favorable au fascisme, une position particulièrement assumée et courageuse. En 1938, alors qu’il remporte le Tour de France,il refuse notamment de dédier sa victoire à Benito Mussolini. À la place, il décide d’insulter le fondateur du mouvement fasciste, qui accessoirement, porte aussi la casquette de président du Conseil d’Italie. Une attitude et une personnalité de résistant qui va taper dans l’œil du Cardinal de Florence, sa ville natale.
Ce dernier, l’archevêque Elia Dalla Costa, sent en lui un homme capable de faire de grandes choses. C’est pourquoi il se rapproche de Gino Bartaliavec un projet en tête : lui proposer d’intégrer un réseau secret dont le but est d’offrir un chemin de fuite aux Juifs et aux autres personnesdirectement visés par l’Allemagne nazie. Sans hésiter une seule seconde, désireux d’aider, l’ancien champion accepte de se lancer dans ce qui s’apprête à être le plus grand défi de sa vie.
Pour lui, le groupe de résistance invente même un rôle unique : celui d’un coureur cycliste qui prétend s’entraîner. Un alibi qui permet d’expliquer les grandes distances qu’il couvre, mais également la fréquence à laquelle il les parcourt. Eh oui, pour réussir une grande carrière, il doit repousser ses limites et progresser ! C’est en tout cas ce qu’il fait croire à tous ceux qu’il croise sur sa route.
Rappelons qu’à l’époque, la médiatisation du sport n’a rien à voir avec celle que l’on connaît en 2017, et que les visages des athlètes ne sont donc pas forcément connus de tous. En réalité, pendant ses voyages, Gino Bartali a comme mission de transporter des photographies, des documents d’identité contrefaits ou encore de mener les journaux qui organisent la résistance vers des imprimeries clandestines.


 
Seulement voilà, à force d’allers-retours, le cycliste fait naître des soupçons chez les autorités gouvernementales italiennes. Pire encore, il se fait arrêter à plusieurs reprises. À chaque fois, il s’assure de coopérer dans les meilleures conditions en donnant l’impression de faire le maximum pour aider les policiers. Sa seule requête, qu’on ne touche pas àson vélo, « parfaitement réglé pour atteindre la meilleure vitesse possible ». Personne ne le sait, mais cet argument lui sert surtout à protéger les documents secrets cachés dans le cadre et dans le guidon de sa bicyclette.
Malgré quelques avertissements sans frais, Gino Bartali souhaite aller encore plus loin dans son investissement au sein du réseau. Il va alors prendredes risques inconsidérés qui témoignent clairement de son envie et de sa détermination. Après avoir fait passer des papiers et des photos, le champion au grand cœur décide donc d’accélérer la cadence. Il a alors l’idée d’accrocher une caravane derrière son vélo. Officiellement, il pourra transporter plus de choses, mais officieusement, un compartiment caché va lui permettre de dissimuler des gens recherchés. Grâce à sa technique, Gino Bartali se faufile entre les checkpoints comme si de rien n’était. Très actif, il ira même jusqu’à cacher une famille de juifs dans sa cave, les Goldenberg. Il s’en sort, mais reste toujours sur le fil du rasoir. Une erreur, et c’est la fin.
Selon les estimations des historiens et des spécialistes qui se sont intéressés à cette période, son travail sans relâche a permis de sauver des centaines de personnes des mains des Nazis, et donc d’une mort certaine. En se mettant lui-même en danger, il a donné l’exemple au monde entier. Sauf que, jusqu’à récemment, son histoire était inconnue du grand public. Un détail pas vraiment surprenant si l’on prend en compte le fait que Gino Bartali a même hésité à en parler à son fils Andrea. Et dès que ce fut le cas, il lui a immédiatement demandé de ne partager son secret avec personne d’autre.

 
« Quand j’ai demandé à mon père pourquoi je ne pouvais pas le dire, il m’a dit : ‘Tu dois faire des choses bien, mais tu ne dois pas en parler. Si tu en parles, c’est que tu cherches à prendre le dessus sur les autres pour ta propre gloire.’» a confié Andrea lors d’une interview accordée à nos confrères britanniques du Guardian. Et lorsqu’il a souhaité faire comprendre à son père que ses actes étaient héroïques, ce dernier auraitrépondu sans attendre : « Non, non, je veux qu’on se souvienne de moi pour mes performances sportives. Les vrais héros ce sont les autres, ceux qui souffrent dans leurs âmes, dans leurs cœurs, dans leurs esprits, pour ceux qu’ils aiment. Voilà qui sont les vrais héros. Je ne suis qu’un cycliste. »
Décédé le 5 mai 2000 à Ponte a Ema, la même ville qui l’a vu naître, tout près de Florence en Toscane, Gino Bartali restera comme l’un des héros de l’Histoire. Un grand monsieur, bravo à lui pour sa lutte incroyable et son envie incommensurable de tendre la main aux autres !


Le champion italien Gino Bartali, un des héros de l'épopée cycliste au XXe siècle, a reçu à titre posthume le titre de "Juste parmi les nations".

 

 En hommage à Gino Bartali, le Giro 2018 lancé de Jérusalem.

20/02/2018 - 14:30
Les Grands Boulevards...Le Vrai Chic Parisien...
Par Dominique Le Brun & Dominique Roger...

 Source : Winter Painting - A Busy Boulevard Near The Place De La Republique Paris by Eugene Galien-Laloue

Les larges artères ouvertes par Haussmann dans Paris racontent la ville. Ce qu’elle fut, comment on s’y amusait, ce que l’on y achetait, qui on y rencontrait.
Elles ont structuré la circulation entre les quartiers, définit un style architectural, imposé un rythme trépidant et nerveux.

Le palais Garnier vu depuis la place Diaghilev, le boulevard Haussmann
 et la rue scribe. L’envers ne vaut pas tout à fait l’endroit, même si la façade et la cour arrière nord présentent un grand intérêt architectural.
Cette entrée a un rôle avant tout fonctionnel, elle a été conçue pour réceptionner le matériel et les décors. Le fronton (large de  
152 mètres) correspond à l’emplacement de la cage de scène.
Haussmann avait reproché à l’opéra de Charles Garnier de se
 « trouver médiocrement
 en harmonie [avec] l’architecture imposée à toutes les maisons voisines ».
 

Le théâtre national 
de l’Opéra-Comique, 
sur la place Boieldieu
 (2e arr.), fut créé sous le règne de Louis XIV. La salle Favart, inaugurée en 1783, sera reconstruite à deux reprises, en 1840 et 1898, suite à des incendies.

On s’y presse pour applaudir les compositions de Chabrier, Bizet, Massenetou Ambroise Thomas, dont le Mignon (1866) fait un tabac. L’Opéra-Comique est actuellement dirigé par Jérôme Deschamps.


Le divertissement est
 à la mode. Partout sur 
les Grands Boulevards s’ouvrent des « caf’ conc’ » (la Scala, l’Alcazar d’été,
 les
Ambassadeurs...) et 
des salles de music-hall. Des Folies Bergères
 à l’Olympia, théâtres et opéras affichent complets.

Le boulevard des Italiens s’étire entre les 
2e et 9e arrondissements. Au centre de l’image, l’immeuble historique du quotidien Le Monde. Cet édifice post-haussmannien, dont la façade s’orne d’une monumentale horloge, a regroupé rédaction et imprimerie pendant 45 ans.

La porte Saint-Martin, tout comme sa voisine 
la porte Saint-Denis, est un arc de triomphe, élevé au XVIIe siècle sur ordre de Louis XIV. Elle marque le point de croisement
 de l’axe Saint-Denis et des grands boulevards.

Le théâtre de la Porte Saint-Martin, depuis son ouverture en 1802 (et sa reconstruction après son incendie en 1870), s’est essayé à tous les genres
 de l’art dramatique : féeries, ballets, comédies, drames et tragédies.
C’est dans ce dernier registre que la grande salle boulevardière s’est taillé sa réputation. Frédérick Lemaître, Marie Dorval et surtout Sarah Bernhardt étaient des comédiens fidèles.
Près du métro Grands-Boulevards, le boulevard Poissonnière croise la rue et le faubourg du même nom, lesquels se prolongent par la rue des Poissonniers, qui devient elle-même avenue de la Porte-des-Poissonniers,et redevient, une fois de l’autre côté du périphérique, à Saint-Denis, la rue des Poissonniers.
Cette insistance s’explique par le fait que, dès le XVIe siècle, le poisson frais était livré en moins d’une nuit depuis la
Manche, par des attelages qui suivaient un itinéraire tracé en droite ligne entre le port de Dieppe et le quartier parisien des Halles.

 

1870, le retour de la République est effectif.
 Il faut qu’un monument digne de ce nom inscrive l’événement pour la postérité. Les frères Morice érigent, place de la République, une œuvre monumentale : Une Marianne en bronze de 9,50 mètres de hauteur, veillant sur les allégories de la Liberté, de l’Égalité, de la Fraternité. La République aimant aussi l’ordre, une caserne de 3 000 hommes jouxte Marianne et sesDroits de l’homme.

Les grands magasins...





Les grands magasins sont nés
 sur le boulevard Haussmann. Les Galeries Lafayette datent d’octobre 1912. Mais l’aventure avait débuté en 1894 sous l’impulsion de Théophile Bader et Alphonse Kahn.
Tout y fut conçu pour que le client 
se sente bien, se laisse aller à l’émerveillement, donne libre cours à ses envies d’achats, de la terrasse du 5e étage avec vue panoramique sur la ville, à l’immense coupole aux armatures métalliques sculptées de motifs floraux.Les balustres des étages et la rampe d’escalier sont signés Majorelle.
Autre temple de la mode, Le Printemps fondé par Jules Jaluzot en 1865, et sa grande nef centrale couverte d’une coupole.