Bonne nuit petit hérisson ...A mesure que l’hiver s’installe das l’hémisphère nord, de nombreux mammifères, comme les hérissons, se préparent à l’hibernation. La plupart commencent la phase d’hibernation en octobre ou début novembre et y restent jusqu’au printemps. Pendant l’hibernation, la respiration et le cœur de l’animal ralentissent et sa température corporelle chute. Pour les petits mammifères comme le hérisson de l’image du jour, l’hibernation hivernale est une question de survie. Ces petites créatures sont plutôt des oiseaux de nuit et utilisent leurs pics pour se protéger. Chaque hérisson possède environ 6.000 piquants qui ne se détachent pas facilement, contrairement à ceux du porc-épic.
La véritable histoire de Keiko, l'orque-star du film "Sauvez Willy" ...
C’est certainement l’orque le plus connu au monde. Pourtant on connaît mal sa véritable histoire. Cette histoire, c’est celle de l’orque Keiko, star du film « Sauvez Willy ».
“Sauvez Willy” est un film au succès mondial, où un enfant se lie d’amitié avec une orque qu’il tente de libérer. La star de ce film, c’est l’orque nommé Keiko. Élevé en captivité et particulièrement aimé du public, Keiko s’attache aux humains… au point de ne plus vouloir retourner avec les orques. Brut raconte son histoire.
Né en Islande vers 1976, Keiko est arraché à son milieu naturel à l’âge de 3 ans. Après plusieurs transferts, Keiko est acheté par le parc d’attraction de Reino Aventura, à Mexico City. Malgré des conditions de vie difficiles pour l’orque Keiko devient vite l’une des principales attractions du parc.
En 1991, l’orque est repérée par les studios Warner Bros. Quelques mois plus tard, Keiko commence le tournage du film « Sauvez Willy”, où un enfant se lie d’amitié avec une orque qu’il tente de libérer. Rapidement, le film devient un succès planétaire et Keiko, alias Willy, devient une star.
Quand la réalité dépasse la fiction :
De retour à Mexico City, les conditions de vie de Keiko ne lui correspondent toujours pas. Bassin trop petit, température trop élevée… son pronostic vital finit par être engagé. Rapidement, le public pris de sympathie pour cet orque star crée la Free Willy Foundation pour organiser sa libération.
Un bassin de réhabilitation d’une valeur de 7,3 millions de dollar est construit afin de le préparer à un retour à la nature. En quelques mois, la santé de Keiko s’améliore. Peu à peu, il réintègre des comportements essentiels pour survivre dans l’océan. Trois ans après le début de sa réhabilitation, les vétérinaires l’estiment prêt à être relâché. Keiko est ramené vers l’Islande.
Keiko, l’orque qui refusa de rejoindre ses semblables :
En 1998, 19 ans après sa capture, Keiko retrouve ses eaux natales. Cependant, après chaque rencontre avec un groupe d’orque, Keiko revient vers les humains. En 2002, les soigneurs décident de stopper tout contact avec lui pour enrayer cette dépendance à l’homme. Dès lors, Keiko suit un groupe d’orque et prend le large.
Mais seulement après un mois de voyage à travers l’océan Atlantique, il réapparaît sur les côtes norvégiennes et recherche immédiatement le contact avec les êtres humains, laissant même des enfants monter sur son dos.
Le 12 décembre 2003, après 19 ans de captivité et 7 ans de liberté, Keiko meurt d’une pneumonie à environ 26 ans. Keiko n’aura jamais réussi à couper les liens avec les humains.
Vous rêvez de plonger au cœur de la campagne anglaise, fouler ses grands espaces idylliques, et découvrir quelques uns de ses lieux historiques ? Nous vous proposons de découvrir le Mur d’Hadrien.
L’Histoire du Mur d’Hadrien est passionnante et vous transportera à l’époque où l’Angleterre était occupée par les Romains.
Incroyable témoin du passé, le Mur d’Hadrien est classé au Patrimoine historique mondial de L'UNESCO depuis 1987. Un sentier de randonnée d’une longueur de 135km environ longe de près les vestiges du mur. Une des meilleures façons d’explorer les paysages bucoliques et admirer quelques beaux exemples d’implantations romaines et de forts !
Un peu d’Histoire… Le Mur d’Hadrien se situe au nord de l’Angleterre, à un endroit resserré entre l’embouchure de la Tyne en Mer du Nord et le Golfe de Solway en Mer d’Irlande. Construit entre 122 et 128 après J.-C., il marquait la limite septentrionale de la province romaine de Britania, qui couvrait l’Angleterre, le Pays de Galle et le sud de l’Ecosse.
Construction L’empereur Hadrien (76-138 après J.-C.) décida de construire le mur pour se protéger contre les barbares venus du Nord. A une époque où les constructions en pierre étaient une exception dans la région, ce mur fut érigé comme le symbole de l’emprise romaine sur des provinces situées aux confins de l’Empire.
A la différence de la grande muraille de Chine construite par des esclaves, le Mur d’Hadrien fut construit par les soldats romains. L’empereur Hadrien a affecté près de 10 000 soldats à la construction de son ouvrage monumental. La partie externe du mur est composée de pierres taillées spécialement et assemblées sur place. La partie intérieure est constitué de pierres trouvées sur place et colmatées avec de la tourbe, un matériau très abondant dans la région.
Les Romains ont également construit 14 forts le long du mur, à espaces réguliers d’environ un mille romain. Ces forts furent édifiés de façon à abriter les garnisons chargées de surveiller la frontière.
Traverser la frontière Le tracé du mur était doublé par une voie romaine. Il faut dire que les Romains ont été de formidables gestionnaires et développeurs de territoires ! Pour passer la frontière il fallait traverser les portes gardées de l’un des 14 forts du mur. Ces portes permettaient aux Romains de contrôler les allers et venues ainsi que de prélever les taxes à l’entrée dans le territoire. En effet, les assaillants n’étaient pas les seuls à vouloir passer! Outre son utilisation comme fortification militaire et comme marque de puissance politique, les Romains avaient donc instauré un système de perceptions douanières.
Déclin et abandon du mur A partir du 5ème siècle, considérablement affaiblie, Rome commence à perdre son statut de puissance dominante. Face aux menaces qui pèsent sur elle, Rome rappelle ses légions les plus éloignées pour assurer sa défense. Les confins de l’Empire perdent alors tout intérêt stratégique et sont délaissés.
L’abandon du Mur d’Hadrien a conduit un grand nombre d’habitants à prélever directement les pierres du mur. Ces pierres ont été utilisées comme matériau de construction pour d’autres édifices : habitations, bâtiments de ferme, églises, prieurés, etc. Vous voulez en savoir plus ? Une très bonne vidéo de l’UNESCO est disponible sur cette page.
Le sentier du Mur d’Hadrien Le Mur d’Hadrien est devenu un site très attractif grâce en particulier au sentier de grande randonnée . Celui-ci a pris la suite de la voie romaine qui longeait autrefois le mur et ses constructions annexes.
Aperçu de l’itinéraire Avec ses sentiers bien entretenus et peu d’ascensions, le sentier du mur d'Hadrien est souvent considéré comme le sentier national le plus facile du Royaume-Uni. Sur la majorité du parcours, le sentier suit de près les vestiges du Mur d’Hadrien.
Partant de Wallsend sur la côte est, et se prolongeant jusqu’à Bowness-on-Solway sur la côte ouest, le sentier s’étend sur 135km. La majorité du parcours s’effectue au milieu de campagnes reculées et de petits villages sur des routes bien entretenues, et comporte quelques petites ascensions. Etant principalement plat, ce sentier est idéal pour un public de tout âge. Bien sûr, si vous ne souhaitez pas faire les 135km, vous pouvez entreprendre de marcher seulement une partie du sentier.
D’est en ouest Les Romains ont construit le Mur d’Hadrien en commençant par le côté est pour finir côté ouest. Il est donc naturel d’emprunter le même chemin pour découvrir ses vestiges. En partant de la ville de Newcastle, on peut se rendre compte de l’ampleur du projet romain au fil des constructions que l’on voit défiler tout au long du chemin. A mi-parcours de la randonnée, entre Chollerford et Lanercost, vous avez rendez-vous avec la beauté sauvage de la campagne anglaise.
Quelques unes des ruines les plus importantes et les mieux préservées se trouvent ici, telles que Housesteads et Vindolanda. Après encore un peu de marche sur les terrains vallonnés, parmi les ruines romaines bien préservées et les petits villages pittoresques, le mur arrive à sa fin. Non pas à Wallsend comme on pourrait le penser, mais à Bowness- on-Solway !
Sycamore Gap Enfin, il ne faut pas manquer Sycamore Gap. C’est l’un des endroits les plus photographiés le long du mur, ainsi que dans tout le Parc National de Northumberland. Cet emplacement a été utilisé pour le tournage du film « Robin des Bois : le prince des voleurs » (1991). Il est tout de suite reconnaissable !
Le saviez-vous ? Le Mur d’Hadrien a servi de source d’inspiration à George R.R. Martin pour son « mur de glace » dans la série à succès Games of Thrones.
Ce commentaire a été modifié le 12/11/2019 à 15:18
Au cœur des Cévennes d’Ardèche, cela fait 800 ans que les hommes cultivent sur les terrasses de schiste et de granit les châtaigniers qui font aujourd’hui la fierté des ardéchois. L’Ardèche est d’ailleurs le 1er département producteur français de châtaignes avec plus de 50% de la production nationale !
Le châtaignier, un arbre cultivéLe châtaignier est un élément essentiel des paysages ardéchois. En Ardèche, le châtaignier n’est pas un arbre de forêt, mais un arbre de verger entretenu par les agriculteurs. La châtaigne en Ardèche n’est donc pas un fruit sauvage : c’est le produit d’un travail méticuleux fourni toute l’année par les castanéiculteurs, qui en tirent leur revenu. Comme pour n’importe quelle production agricole, en traversant une châtaigneraie, ne ramassez pas les châtaignes, même sur les chemins !
65 variétés traditionnelles de châtaigne en Ardèche La Comballe, la BoucheRouge, la Sardonne, la Merle, l’Aguyane, la Petite Pourette, la Précoce des Vans, la Garinche, …
Châtaigne ou marron ? Le terme de marron est utilisé pour désigner une grosse châtaigne formée d’un seul fruit non cloisonné, c’est-à-dire non séparé en deux par la peau. Plus gros, plus facile à éplucher, le marron est recherché des confiseurs et pâtissiers, notamment pour les marrons glacés.
Mais pas de confusion ! La châtaigne est bel et bien le fruit du châtaignier, alors que le marron est le fruit du marronnier d’Inde, qui lui, n’est pas comestible. Le marron que nous mangeons est donc bien une châtaigne !
Le saviez-vous ? La châtaigne ne contient pas de gluten elle est donc idéale pour certains régimes alimentaires.
Astuces : Conserver la châtaigne fraîche : Il s’agit d’un fruit frais et à ce titre la châtaigne se conserve dans le bac à légumes du réfrigérateur pendant 7 à 8 jours.
Réussir sa rôtie de châtaigne au four traditionnel : choisir des châtaignes de petite taille et ne pas oublier de fendre la première peau. La cuisson se fait sous le grill du four pendant 20 à 25 min. Pour que les châtaignes ne se dessèchent pas il faut ajouter un récipient d’eau dans le four pendant la cuisson.
Balade au cœur de la châtaigneraie
Le châtaignier, nommé autrefois l’arbre à pain, aime les pentes de nos Cévennes d’Ardèche. Plus vous monterez sur les hauteurs, plus vous apprécierez la culture ancestrale de ce fruit, notamment dans le village de Valgorge. Sur les contreforts de la chaîne de montagnes du Tanargue, à 30 minutes de Joyeuse et de l’espace Castanea, nous vous suggérons deux idées de balade au cœur de la châtaigneraie.
2 bonnes raisons d’y aller
Raison #1 La découverte de la châtaigneraie ardéchoise Vous traverserez de belles forêts de châtaigniersentretenues et cultivées. Les castanéiculteurs locaux vivent de leur production et de la transformation de leurs fruits. À différentes périodes de l’année, vouspourrez ainsi voir les arbres en fleur, ou observer la récolte du fruit d’automne. Bien sûr il est interdit de ramasser les châtaignes en Ardèche, mais vous aurez sans doute l’occasion d’en goûter les saveurs lors d’une des nombreuses « Castagnades » d’automne organisées dans les villages du Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche.
Raison #2 Des paysages majestueux en toute saison, un territoiretravaillé par l’homme. Prairies naturelles, landes à genêts, forêts de pins et de châtaigniers, vallées de rivièressauvages et massifscévenols vous offrent leurs plus belles couleurs tout au long des saisons. Prolongez la visite pour garder le soufflecoupé en montant jusqu’à la table d’orientation du col de Meyrand.
Lors de votre balade, des trésors du petit patrimoine jalonnent les parcours laissant ainsi deviner la vie des paysans d’autrefois, telles des calades, béalières, fontaines et culture en terrasses.
Sur le Sentier des druides, plus qu’un sentier : un jeu grandeur nature !
Accessible toute l’année, la balade Sur le sentier des Druides est un incontournable de nos escapades en famille. Munis d’un livret délivré gratuitement à l’office de tourisme, vous vous baladerez tout en vous amusant. Le long du parcours nous vous proposons de relever des défis sur des agrès sportifs et résoudre des énigmes… adaptés à tous les membres de la famille.
Le sentier du Chalas, vous aimerez… Au fil de cette randonnée, les empreintes laissées par l’homme pour l’activité agricole prouvent sa formidable capacité à s’adapter à la pente (terrasses, murets, ou calades) ou à gérer l’eau (béalières, sources…).
N’oubliez pas de vous équiper d’une bouteille d’eau et de vos baskets !
Pour en savoir plus… Calade Muletière Jusqu’au 18ème siècle, les calades muletières servaient de passage pour les commerçants ambulants qui allaient échanger des marchandises dans les grandes foires de la région. Les hommes descendaient des hauts plateaux le blé, les écorces de châtaignier, les lentilles… Ils allaient charger du vin qui était stocké dans de grandes outres, en bas, dans la vallée du Rhône. Ces commerçants ou muletiers se déplaçaient avec une file de plusieurs mulets que l’on appelait la “couble”.
Béalières
Les béalières, qui existent depuis le moyen-âge, sont des petits canaux chargés d’amener l’eau aux parcelles et ainsi irriguer les prés, les châtaigniers et les cultures. Grâce à une organisation rigoureuse de la répartition du temps d’arrosage entre les parcelles, la ressource en eau était partagée d’un coup de pioche. Aujourd’hui, certaines béalières entretenues sur le chemin irriguent toujours les châtaigneraies.
Temps forts Les Castagnades d’Automne : La châtaigne en fête ! Vous vous demandez où ramasser les châtaignes en Ardèche ? Nous vous proposons encore mieux !
Lorsque les feuilles rougissent et que les températures se font plus fraîches, les villages s’animent pour faire vivre l’automne. De mi-octobre à mi-novembre le fruit emblématique de l’Ardèche est alors mis à l’honneur autour de diverses animations. Castanéiculteurs, artisans, artistes, restaurateurs et habitants se réunissent pour proposer une découverte de la châtaigne sous tous ses aspects, autour dufruit, de sa culture, de sa gastronomie mais aussi autour du bois de châtaignier et ses usages.
Quand profiter des Castagnades en Cévennes d’Ardèche ?
Dès le mois d’octobre retrouvez de nombreuses fêtes de la châtaigne, Castagnades des crouvelous à Saint André Lachamp,Salon Gourmand et Artisanal à Joyeuse. Ambiance festive garantie !
CASTANEA, espace de découverte de la châtaigne d’Ardèche Poursuivez la visite à Castanea à Joyeuse et découvrez le tout nouvelespace récemment rénové pour vous faire (re)découvrir le châtaignier, arbre emblématique des Cévennes et son fruit délicieux.
Focus sur Le Bois de Belle, bien plus qu’un domaine castanéicole… Situé à 1 km du village de Thines, et à 20 km de Les Vans, dans la vallée de Tastevin
Fabriquée dans la tradition, la récolte du Bois de Belle est presque toute valorisée au travers de 18 produits différents. Les productions vont de la châtaigne aux soupes diverses et pas moins de 40 sirops pour la cuisine et pour les boissons. L’exploitation existe depuis 1981. Jusqu’en 1993, il était possible d’y déguster les productions dans une ferme-auberge, au cœur de l’exploitation.
Le renouveau de la châtaigne en Ardèche passe par l’inventivité de ses castanéiculteurs à transformer de nouveaux produits. C’est ce que fera le Bois de Belle dès 1984 avec la création de nouvelles recettes.
Puis viendra, dès 1986, l’innovation dans les savoir-faire : améliorer la qualité gustative des produits à la châtaigne en sera le leitmotiv.Le domaine œuvre aujourd’hui pour la transmission des savoirs et de l’histoire. Il est très actif localement pour inciter les jeunes à rester au pays et y vivre dignement.
Un verger soigné Le domaine, qui ne s’appellera « Bois de Belle » que bien plus tard, veut s’inscrire dans la durée et la tradition par le soin donné aux arbres : l’élagage, le greffage, la plantation de variétés anciennes de châtaigne d’Ardèche mais aussi nouvelles.
L’expérimentation y est également de mise grâce à un travail rigoureux mené sur des programmes spécifiques en accord avec la Chambre d’Agriculture, ou pour la création du label PARC avec le parc Naturel Régional des Monts d'Ardèche.
Mais la culture du châtaignier doit considérer bien d’autres problématiques aujourd’hui : qualité de l’air, qualité de l’eau, qualité du sol… c’est tout un écosystème qui doit être apprécié.
Le domaine travaille même au-delà de tous ces critères pour la qualité des sols (surexploités depuis des décennies) et qui devient depuis quelques années une urgence absolue pour la santé des arbres.
Un patrimoine gastronomique reconnu
Avec la création de nouvelles recettes inédites et maintenant reconnues, de crèmes peu sucrées, de farine sans goût de fumée, de crêpes, de gâteaux, de marrons grillés apéritifs etc. Les produits s’inscrivent aujourd’hui dans le patrimoine gastronomique ardéchois. Le domaine travaille aussi pour la défense des labels de qualité pour permettre aux consommateurs d’avoir une garantie d’origine, de savoir-faire, de traçabilité, d’intérêt pour l’environnement et de s’inscrire dans une démarche de développement durable.
Ce commentaire a été modifié le 12/11/2019 à 14:57
Raison n°1 : on sort les jeux de société Chez nous, on adore jouer aux jeux de société. Que ce soit en famille ou entre amis, ils nous font toujours passer un bon moment. On discute, on rigole, on se chamaille parfois un peu (mais on s’aime quand même) et on essaye de ne pas trop bouder quand on perd…. Vous aimez aussi les jeux de société ? On partage avec vous nos incontournables pour mettre de l’ambiance et passer une après-midi amusante : Nos jeux de société préférés pour les petits : Logikville (Asmodée), le super jeu malin qui se joue tout seul Le petit verger (Haba), classique et incontournable Minimatch (Djeco), le jeu de carte super amusant Labyrinthe Twist (Ravensburger), la version la mieux adaptée pour les plus petits Nos jeux de société préférés pour les grands : Les loups-garous de Tiercelieux (Hodin/Asmodée), un jeu d’ambiance terriblement amusant Dixit (Asmodée), un jeu d’imagination pour les plus poétiques Buzz it (Asmodée), le classique pour se défier sur des thématiques drôles Le jeu des cochons (Winning Moves), un jeu de dés revisité pratique à emporter
Raison n°2 : on va au ciné Quand il fait froid et gris, on peut s’enfermer sans regret dans une salle de ciné. Des sorties sympas, il y en a en novembre.
Raison n°3 : soupe ou raclette, on innove Qui dit nouveau mois dit nouveaux repas de saison et en novembre, je demande les soupes et les raclettes ! Ça vous semble rasoir, tellement déjà vu ? Pas avec nos idées qui changent et qui épatent !!! Trois idées de soupes originales : Boostons la soupe au potiron avec des saveurs de curry Voyageons avec la soupe de carotte avec du lait de coco Surprenons nos convives avec une soupe de tomate et banane !
C’est la raclette qui vous tente ? Alors voici nos variations préférées : Une raclette version italienne avec du fromage italien évidemment (mozzarella, diverses variétés de fontina, gorgonzola si on aime l’aventure) et de la charcuterie trans-alpine (coppa, mortadelle, breasaola, jambon de parme). En accompagnement, des légumes grillés (courgettes, aubergines), des tomates, des olives et une bonne ciabatta fraîche.
Une raclette forestière avec des champignons de toutes sortes (champignons de paris bien sûr, mais aussi pleurotes, giroles, cèpes, bolets, pieds de mouton, chanterelles,…), du magret de canard fumé, des pommes de terre persillées. Pour le fromage, un fromage à raclette de qualité en provenance de Suisse pour sublimer le goût des champignons.
Variez les plaisirs avec des fromages qui changent (Époisses, Fourme d’Ambert, Morbier, Roquefort, St-Nectaire, St-Marcellin, Reblochon, fromage de chèvre…) et des accompagnements étonnants comme les œufs de caille à casser soi-même dans le petit poêlon (ça fait un mini-oeuf sur le plat sympa), de la chair à saucisse, de l’épinard, des crevettes ou des st-jacques (et oui), des escargots (et oui aussi !)… Faites marcher votre imagination, mais ne mélangez pas tout quand même !
Raison n°4 : on profite d’un long week-end Le 11 novembre, jour férié en Belgique et en France notamment, tombe un lundi cette année. C’est donc un long week-end … YOUPIE !
Savez-vous déjà comment vous allez le passer ? Nous on hésite entre partir un petit week-end ou en profiter pour faire des activités en famille… Vous avez des idées à nous donner ?
Raison n°5 : on fait de jolies jardinières d’hiver Ce n’est pas parce que les meilleurs mois pour jardiner sont derrière nous qu’il faut laisser nos jardinières tristement vides. Il est tout à fait possible de créer de jolis ensembles pour l’hiver qui viendront décorer nos balcons et fenêtres.
Que mettre dans nos jardinières pour un hiver fleuri ? des bruyères mauves ou blanchesdu lierrede la gaulthérie (une jolie plante persistante qui offre des baies colorées en hiver)des conifères miniatures (épicéa nain, genévrier, faux cyprès)du chou ornementaldes hellébores ou des cyclamens à la floraison hivernaledu thym, du romarin ou de la sauge officinale (dont le feuillage devient pourpre en hiver)Vous pouvez garnir vos compositions de petites coloquintes, de pommes de pin, de pommes rouges, de décorations en bois et y glisser une jolie guirlande lumineuse dans quelques semaines…
Raison n°6 : on reste à la maison et on est ravies ! On vous avait parlé en juin dernier de cette vision nordique de la convivialité et du bien-être qu’on adore : le Hygge. Bonne nouvelle, novembre est le meilleur mois pour s’y mettre et se faire plaisir en renouant avec l’essentiel, en cocoonant à la maison et en partageant un moment chaleureux entre amis.
Besoin d’une autre idée pour profiter d’un moment à la maison ? On se remet aux vieilles séries qu’on a toujours autant de plaisir à revoir : Friends, Seinfeld, The Sopranos, Sex and the City, Scrubs, Six Feet Unders ou encore Twin Peaks.
Raison n°7 : on nourrit les oiseaux Avec l’arrivée du froid, les oiseaux ont de plus en plus de mal à trouver de la nourriture. On peut leur filer un petit coup de main de manière jolie, créative et profiter du spectacle de leurs aller et venues dans le jardin ou sur le balcon tout l’hiver. Les enfants adorent et nous, on s’émerveille devant ces jolies petites créatures de la nature.
Quelques idées :
Raison n°8 : on fête la Sainte-Catherine« A la Sainte-Catherine, tout bois prend racine » Ce dicton, vous l’avez sans doute déjà entendu… Mais savez-vous pourquoi on conseille de planter un arbre le jour de la Sainte Catherine, le 25 novembre ? Parce que nos anciens avaient remarqué que c’est à cette période que le système racinairedes arbres et arbustes avait le plus de chance de bien se développer avant l’hiver pour redémarrer de plus belle au printemps.
Que planter à la Sainte-Catherine ? Et bien tous les arbres et arbustes qui se plantent à racines nues : fruitiers : pommiers, poiriers, châtaigniers, noisetiers, cerisiers, pêchers, framboisiers, groseilliers…rosiersplantation de haies : charme, ormes, lauriers…mais aussi : des érables, des hêtres, des troènes, des saules, des sureaux, des sorbiers…Une chouette manière de prolonger le contact avec la nature en cette saison et de préparer le printemps qui arrivera plus vite qu’on ne le pense !
Raison n°9 : on prépare Noël !
Oui, on sait, Noël, c’est dans plus d’un mois. Mais nous, on ne tient déjà plus en place et on fourmille d’idées ! Alors entre nos premières idées cadeaux pour nos proches, notre wishlist à établir, l’avent à préparer, on est en pleine ébullition. D’ailleurs, dans les prochaines semaines, nous allons beaucoup vous parler des fêtes et de leur préparation. On espère que vous êtes aussi « Noël addict » que nous du coup !
Alors, elle vous tente notre version de novembre ?
Ce commentaire a été modifié le 11/11/2019 à 15:19
Les survivants ont perdu la foi dans les valeurs morales et spirituelles qui ont fait la grandeur et l'unité de l'Europe. Mais ils veulent croire que cette guerre qui s'achève restera la dernière de l'Histoire, la « der des der »...
La défaite inéluctable de l'Allemagne : Dès l'échec de leur contre-offensive de juillet 1918, les Allemands ont compris qu'ils n'avaient plus aucun espoir d'arracher la victoire.
Le 3 octobre, l'empereur Guillaume II nomme à la chancellerie (la direction du gouvernement) le prince Max de Bade. Il espère que cet homme modéré saura obtenir des conditions de paix convenables de la part des Alliés. Cela devient urgent car l'Allemagne bascule dans l'anarchie et la guerre civile cependant que ses alliés cessent les combats et signent l'un après l'autre des armistices.
L'armistice est signé dans le wagon spécial du généralissime Foch, au carrefour de Rethondes, au milieu de la forêt de Compiègne, le 11 novembre à 5h15 du matin.
Les Allemands se voient soumettre des « conditions » sans aucune marge de négociation : – Ils doivent livrer l'essentiel de leur armement, de leur aviation et de leur flotte de guerre. – Leur armée est sommée d'évacuer sous 30 jours la rive gauche du Rhin (en Allemagne même) ainsi que trois têtes de pont sur la rive droite, Coblence, Cologne et Mayence.
La demande d'armistice étant venue des représentants civils et non militaires de l'Allemagne, ces derniers échappent à l'infâmie de la défaite. À Berlin, les représentants de la jeune République accueillent les combattants en ces termes : « Soldats qui revenez invaincus »
Cérémonie marquant l'armistice du 11 novembre au monument de la Résistance à Toulouse.
On célèbre l'armistice signé le 11 novembre 1918. Il marque la fin de la Première Guerre mondiale (1914-1918) et la capitulation de l'Allemagne. Afin de commémorer l'événement le jour est férié.
Mais que savons-nous de l'armistice ? L'armistice, c'est -à-dire l'arrêt des cobats militaires, a été signé le 11 novembre 1918à 5h15 dans un wagon dans la clairière de Rethondes (près de Compiègne auNord de Paris) par les représentants de l’armée française (le Maréchal Foch) et de l’armée allemande. Appelée aussi souvent "la Guerre de 14" ou "la Grande Guerre", la première guerre mondiale a déchiré l’Europe et le monde entre 1914 et 1918, faisant plus de dix millions de morts.
Pourquoi le 11 novembre est-il un jour férié ?
Le 11 novembre est un jour férié en France, c'est le jour du Souvenir inscrit dans la loi du 24 octobre 1922. En France, le 11 novembre est une journée en mémoire de la fin de la Première guerre mondiale, en 1918. Cette année-là, en effet, le 11 novembre à 5h15, la fin des combats a été décrétée par la signature d'un armistice, une convention qui met fin aux hostilités. C'est la victoire des Alliées (France, Russie, Royaume-Uni, États-Unis) et la capitulation de l'Allemagne. Cette journée rend honneur au sacrifice du peuple français et aux nombreuses personnes tuées au combat.
Que se passe-t-il ce jour là ? Si le jour est chômé pour les Français, il n'en est pas de même pour les services de l'Etat. Ce jour-là, des cérémonies commémoratives sont organisées. Les fanfares défilent dans les rues et les citoyens se retrouvent pour une cérémonie autour des monuments aux morts de chaque ville.
A Paris, le rituel classique observé par le Président de la République française qui porte en cette journée le Bleuet de France à la boutonnière. Il dépose une gerbe tricolore devant la statue de Georges Clemenceau, symbole de la victoire de la Grande Guerre, puis de remonter les Champs-Élysées escorté par les cavaliers de la Garde républicaine, passer les troupes en revue sur la place Charles-de-Gaulle, puis se recueillir sur la tombe du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe.
Depuis la mort du dernier poilu français Lazare Ponticelli en 2008 et du dernier vétéran de la Grande guerre Claude Choules le 5 mai 2011, Le Président de la République honore également le 11 novembre 2012 la mémoire de tous les soldats décédés en opération.
Ce commentaire a été modifié le 10/11/2019 à 21:20
Berthe Morisot est, avec Mary Cassat (1844-1926) et Eva Gonzalès (1849-1883), l'une des trois femmes peintres des débuts de l'impressionnisme. Elle naît le 14 janvier 1841 à Bourges dans une famille bourgeoise.
La peinture lumineuse de Berthe Morisot cherche à capter les instants de bonheur familial. On y trouve beaucoup de portraits, en particulier de sa fille Julie. Les formes restent floues et les couleurs claires dominent, produisant une impression de légèreté.
« Les formes sont toujours vagues dans les tableaux de Mme Berthe Morisot, mais une vie étrange les anime. L'artiste a trouvé le moyen de fixer leschatoiements, les lueurs produites sur les choses et l'air qui les enveloppe... le rose, le vert pâle, la lumière vaguement dorée, chantentavec une harmonie inexprimable.
Nul ne représente l'impressionnisme avec un talent plus raffiné, avec plus d'autorité que Mme Morisot ».
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Ce commentaire a été modifié le 10/11/2019 à 14:46
Cordes-sur-Ciel n’a pas encore bu son café, comme en témoigne cette brume nocturne qui enveloppe le sommet de ce village toujours endormi. Bientôt, la nuit s’éteindra complètement et avec elle, ses lumières. On préparera le petit déjeuner, on mordra dans une tartine en remuant doucement sa cuillère dans sa tasse de ce-que-vous-voulez. Et la brume matinale s’évaporera, comme le souvenir d’un rêve et alors, la journée pourra commencer.
Dans cette bastide albigeoise au patrimoine gothique exceptionnel, on a envie d’imaginer les matins comme on imagine ceux de « l’époque ». Avec un poêle ou un feu de cheminée, avec un crieur annonçant les nouvelles fraîches de la vallée, avec le peintre et son chevalet, déjà à pied d’œuvre, avec le forgeron battant le fer et la maîtresse d’école sonnant la cloche.
Parce que Cordes-sur Ciel n’est pas juste un autre Plus Beau Village de France. En 2014 il est d’ailleurs élu le « Village préféré des français ». Cette cité médiévale du VIIIème siècle, fascine tant elle regorge d’Histoire et d’art, restés intacts depuis son édification par le comte de Toulouse, en 1222. Son héritage architectural ainsi que sa position unique en font l’une des villes médiévales les plus significatives de France et l’un des hauts lieux du patrimoine européen. Certains auteurs, tels que Albert Camus, en sont même tombés amoureux.
Avec le froid qui revient vous vous dites qu’il vous faut dire adieu à votre jardin fleuri ? Détrompez-vous ! Certaines fleurs survivent au froid et nous offrent de jolies couleurs même au mois de novembre. Quelles sont ces fleurs ou plantes résistantes qui nous mettront du baume au cœur dès les premiers mois de l’automne ?
Petite présentation de ces vivaces qui n’ont pas froid aux yeux !
Le chrysanthème Les chrysanthèmes sont les fleurs emblématiques du mois de novembre car elles sont liées à la célébration de la Toussaint. Mais c’est aussiparce qu’elles résistent au froid que nous les choisissons à cette période pour fleurir les tombes de nos chers disparus. Les chrysanthèmes sont des plantes vivaces qui offrent une floraison plus longue grâce à leur bonne résistance au froid.
Le crocus Même si l’on a tendance à se concentrer sur les fleurs qui nous offriront de belles couleurs au printemps, certaines fleurs à bulbes offrent une floraison en automne et donc au mois de novembre. C’est le cas par exemple du crocus, présente en particulier à plusieurs mètres d’altitude. Certaines variétés de crocus à fleurs blanches peuvent ainsi éclore jusqu’en décembre.
Le cyclamen Le moins qu’on puisse dire c’est que le cyclamen ne soit pas une fleur capricieuse. Ainsi selon la date de sa plantation, votre plant pourra vous offrir des fleurs jusqu’au mois de décembre. Cette plante vivace n’est pas très fan du soleil et de la chaleur, elle se portera comme un charme à des températures allant en dessous de 20°C et pourra même survivre jusqu’à -10°C !
Le camélia Vous pensiez que les camélias offraient une floraison printanière ? Vous aviez raison (et tort). Sachez que certaines variétés de camélias se plantent au printemps pour éclore dès les premiers mois de l’hiver. Ces fleurs rigoureuses résisteront sans mal aux températures négatives du mois de novembre.
La rose de Noël Cette rose blanche, également connue sous le nom d’hellébore, se mettent en terre au printemps afin d’éveiller votre jardin lors des premières fraîcheurs de novembre. Cette plante vivace préférera les zones ombragées et pourra fleurir jusqu’en avril.
Le poinsettia Cette plante symbole de Noël commence à fleurir sur les étalages de nos fleuristes dès le mois de novembre, pour le plus grand plaisir des amoureux des fêtes de fin d’année. Le poinsettia voit ses fleurs devenir rouges au cours de leur floraison et cadre parfaitement avec les couleurs de Noël pour habiller votre intérieur dès le mois de novembre et sera un excellent centre de table lors de vos repas d’hiver.
Que pensez-vous de ces plantes résistantes ? Même en novembre ces fleurs vous offrent de quoi profiter des merveilles de la nature .
Ce commentaire a été modifié le 09/11/2019 à 21:13
Bonne nuit petit hérisson ... A mesure que l’hiver s’installe das l’hémisphère nord, de nombreux
mammifères, comme les hérissons, se préparent à l’hibernation. La
plupart commencent la phase d’hibernation en octobre ou début novembre
et y restent jusqu’au printemps. Pendant l’hibernation, la respiration
et le cœur de l’animal ralentissent et sa température corporelle chute.
Pour les petits mammifères comme le hérisson de l’image du jour,
l’hibernation hivernale est une question de survie. Ces petites
créatures sont plutôt des oiseaux de nuit et utilisent leurs pics pour
se protéger. Chaque hérisson possède environ 6.000 piquants qui ne se
détachent pas facilement, contrairement à ceux du porc-épic.
C’est certainement l’orque le plus connu au monde. Pourtant on connaît mal sa
véritable histoire. Cette histoire, c’est celle de l’orque Keiko, star
du film « Sauvez Willy ».
“Sauvez Willy” est un film au succès mondial, où un enfant se lie d’amitié avec
une orque qu’il tente de libérer. La star de ce film, c’est l’orque
nommé Keiko. Élevé en captivité et particulièrement aimé du public,
Keiko s’attache aux humains… au point de ne plus vouloir retourner avec
les orques. Brut raconte son histoire.
Né en Islande vers 1976, Keiko est arraché à son milieu naturel à l’âge de
3 ans. Après plusieurs transferts, Keiko est acheté par le parc
d’attraction de Reino Aventura, à Mexico City. Malgré des conditions de
vie difficiles pour l’orque Keiko devient vite l’une des principales
attractions du parc.
En 1991, l’orque est repérée par les studios Warner Bros. Quelques mois
plus tard, Keiko commence le tournage du film « Sauvez Willy”, où un
enfant se lie d’amitié avec une orque qu’il tente de libérer.
Rapidement, le film devient un succès planétaire et Keiko, alias Willy,
devient une star.
Quand la réalité dépasse la fiction :
De retour à Mexico City, les conditions de vie de Keiko ne lui
correspondent toujours pas. Bassin trop petit, température trop élevée…
son pronostic vital finit par être engagé. Rapidement, le public pris de
sympathie pour cet orque star crée la Free Willy Foundation pour
organiser sa libération.
Un bassin de réhabilitation d’une valeur de 7,3 millions de dollar est
construit afin de le préparer à un retour à la nature. En quelques mois,
la santé de Keiko s’améliore. Peu à peu, il réintègre des comportements
essentiels pour survivre dans l’océan. Trois ans après le début de sa
réhabilitation, les vétérinaires l’estiment prêt à être relâché. Keiko
est ramené vers l’Islande.
Keiko, l’orque qui refusa de rejoindre ses semblables :
En 1998, 19 ans après sa capture, Keiko retrouve ses eaux natales.
Cependant, après chaque rencontre avec un groupe d’orque, Keiko revient
vers les humains. En 2002, les soigneurs décident de stopper tout
contact avec lui pour enrayer cette dépendance à l’homme. Dès lors,
Keiko suit un groupe d’orque et prend le large.
Mais seulement après un mois de voyage à travers l’océan Atlantique, il
réapparaît sur les côtes norvégiennes et recherche immédiatement le
contact avec les êtres humains, laissant même des enfants monter sur son
dos.
Le 12 décembre 2003, après 19 ans de captivité et 7 ans de liberté, Keiko
meurt d’une pneumonie à environ 26 ans. Keiko n’aura jamais réussi à
couper les liens avec les humains.
Vous rêvez de plonger au cœur de la campagne anglaise, fouler ses grands espaces idylliques, et découvrir quelques uns de ses lieux historiques ? Nous vous proposons de découvrir le Mur d’Hadrien.
L’Histoire du Mur d’Hadrien est passionnante et vous transportera à l’époque où l’Angleterre était occupée par les Romains.
Incroyable témoin du passé, le Mur d’Hadrien est classé au Patrimoine historique mondial de L'UNESCO depuis 1987. Un sentier de randonnée d’une longueur de 135km environ longe de près les vestiges du mur. Une des meilleures façons d’explorer les paysages bucoliques et admirer quelques beaux exemples d’implantations romaines et de forts !
Un peu d’Histoire…
Le Mur d’Hadrien se situe au nord de l’Angleterre, à un endroit resserré entre l’embouchure de la Tyne en Mer du Nord et le Golfe de Solway en Mer d’Irlande. Construit entre 122 et 128 après J.-C., il marquait la limite septentrionale de la province romaine de Britania, qui couvrait l’Angleterre, le Pays de Galle et le sud de l’Ecosse.
Construction
L’empereur Hadrien (76-138 après J.-C.) décida de construire le mur pour se protéger contre les barbares venus du Nord. A une époque où les constructions en pierre étaient une exception dans la région, ce mur fut érigé comme le symbole de l’emprise romaine sur des provinces situées aux confins de l’Empire.
A la différence de la grande muraille de Chine construite par des esclaves, le Mur d’Hadrien fut construit par les soldats romains. L’empereur Hadrien a affecté près de 10 000 soldats à la construction de son ouvrage monumental.
La partie externe du mur est composée de pierres taillées spécialement et assemblées sur place. La partie intérieure est constitué de pierres trouvées sur place et colmatées avec de la tourbe, un matériau très abondant dans la région.
Les Romains ont également construit 14 forts le long du mur, à espaces réguliers d’environ un mille romain. Ces forts furent édifiés de façon à abriter les garnisons chargées de surveiller la frontière.
Traverser la frontière
Le tracé du mur était doublé par une voie romaine. Il faut dire que les Romains ont été de formidables gestionnaires et développeurs de territoires !
Pour passer la frontière il fallait traverser les portes gardées de l’un des 14 forts du mur. Ces portes permettaient aux Romains de contrôler les allers et venues ainsi que de prélever les taxes à l’entrée dans le territoire. En effet, les assaillants n’étaient pas les seuls à vouloir passer! Outre son utilisation comme fortification militaire et comme marque de puissance politique, les Romains avaient donc instauré un système de perceptions douanières.
Déclin et abandon du mur
A partir du 5ème siècle, considérablement affaiblie, Rome commence à perdre son statut de puissance dominante. Face aux menaces qui pèsent sur elle, Rome rappelle ses légions les plus éloignées pour assurer sa défense. Les confins de l’Empire perdent alors tout intérêt stratégique et sont délaissés.
L’abandon du Mur d’Hadrien a conduit un grand nombre d’habitants à prélever directement les pierres du mur. Ces pierres ont été utilisées comme matériau de construction pour d’autres édifices : habitations, bâtiments de ferme, églises, prieurés, etc.
Vous voulez en savoir plus ?
Une très bonne vidéo de l’UNESCO est disponible sur cette page.
Le sentier du Mur d’Hadrien
Le Mur d’Hadrien est devenu un site très attractif grâce en particulier au sentier de grande randonnée . Celui-ci a pris la suite de la voie romaine qui longeait autrefois le mur et ses constructions annexes.
Aperçu de l’itinéraire
Avec ses sentiers bien entretenus et peu d’ascensions, le sentier du mur d'Hadrien est souvent considéré comme le sentier national le plus facile du Royaume-Uni. Sur la majorité du parcours, le sentier suit de près les vestiges du Mur d’Hadrien.
Partant de Wallsend sur la côte est, et se prolongeant jusqu’à Bowness-on-Solway sur la côte ouest, le sentier s’étend sur 135km. La majorité du parcours s’effectue au milieu de campagnes reculées et de petits villages sur des routes bien entretenues, et comporte quelques petites ascensions. Etant principalement plat, ce sentier est idéal pour un public de tout âge. Bien sûr, si vous ne souhaitez pas faire les 135km, vous pouvez entreprendre de marcher seulement une partie du sentier.
D’est en ouest
Les Romains ont construit le Mur d’Hadrien en commençant par le côté est pour finir côté ouest. Il est donc naturel d’emprunter le même chemin pour découvrir ses vestiges. En partant de la ville de Newcastle, on peut se rendre compte de l’ampleur du projet romain au fil des constructions que l’on voit défiler tout au long du chemin.
A mi-parcours de la randonnée, entre Chollerford et Lanercost, vous avez rendez-vous avec la beauté sauvage de la campagne anglaise.
Quelques unes des ruines les plus importantes et les mieux préservées se trouvent ici, telles que Housesteads et Vindolanda.
Après encore un peu de marche sur les terrains vallonnés, parmi les ruines romaines bien préservées et les petits villages pittoresques, le mur arrive à sa fin. Non pas à Wallsend comme on pourrait le penser, mais à Bowness- on-Solway !
Sycamore Gap
Enfin, il ne faut pas manquer Sycamore Gap. C’est l’un des endroits les plus photographiés le long du mur, ainsi que dans tout le Parc National de Northumberland. Cet emplacement a été utilisé pour le tournage du film « Robin des Bois : le prince des voleurs » (1991). Il est tout de suite reconnaissable !
Le saviez-vous ? Le Mur d’Hadrien a servi de source d’inspiration à George R.R. Martin pour son « mur de glace » dans la série à succès Games of Thrones.
Une ressource essentielle Au cœur des Cévennes d’Ardèche, cela fait 800 ans que les hommes cultivent sur les terrasses de schiste et de granit les châtaigniers qui font aujourd’hui la fierté des ardéchois. L’Ardèche est d’ailleurs le 1er département producteur français de châtaignes avec plus de 50% de la production nationale !
Le châtaignier, un arbre cultivéLe châtaignier est un élément essentiel des paysages ardéchois. En Ardèche, le châtaignier n’est pas un arbre de forêt, mais un arbre de verger entretenu par les agriculteurs. La châtaigne en Ardèche n’est donc pas un fruit sauvage : c’est le produit d’un travail méticuleux fourni toute l’année par les castanéiculteurs, qui en tirent leur revenu.
Comme pour n’importe quelle production agricole, en traversant une châtaigneraie, ne ramassez pas les châtaignes, même sur les chemins !
65 variétés traditionnelles de châtaigne en Ardèche
La Comballe, la Bouche Rouge, la Sardonne, la Merle, l’Aguyane, la Petite Pourette, la Précoce des Vans, la Garinche, …
Châtaigne ou marron ?
Le terme de marron est utilisé pour désigner une grosse châtaigne formée d’un seul fruit non cloisonné, c’est-à-dire non séparé en deux par la peau. Plus gros, plus facile à éplucher, le marron est recherché des confiseurs et pâtissiers, notamment pour les marrons glacés.
Mais pas de confusion !
La châtaigne est bel et bien le fruit du châtaignier, alors que le marron est le fruit du marronnier d’Inde, qui lui, n’est pas comestible. Le marron que nous mangeons est donc bien une châtaigne !
Le saviez-vous ?
La châtaigne ne contient pas de gluten elle est donc idéale pour certains régimes alimentaires.
Astuces :
Conserver la châtaigne fraîche : Il s’agit d’un fruit frais et à ce titre la châtaigne se conserve dans le bac à légumes du réfrigérateur pendant 7 à 8 jours.
Réussir sa rôtie de châtaigne au four traditionnel :
choisir des châtaignes de petite taille et ne pas oublier de fendre la première peau. La cuisson se fait sous le grill du four pendant 20 à 25 min. Pour que les châtaignes ne se dessèchent pas il faut ajouter un récipient d’eau dans le four pendant la cuisson.
Balade au cœur de la châtaigneraie
Le châtaignier, nommé autrefois l’arbre à pain, aime les pentes de nos Cévennes d’Ardèche. Plus vous monterez sur les hauteurs, plus vous apprécierez la culture ancestrale de ce fruit, notamment dans le village de Valgorge. Sur les contreforts de la chaîne de montagnes du Tanargue, à 30 minutes de Joyeuse et de l’espace Castanea, nous vous suggérons deux idées de balade au cœur de la châtaigneraie.
2 bonnes raisons d’y aller
Raison #1
La découverte de la châtaigneraie ardéchoise
Vous traverserez de belles forêts de châtaigniers entretenues et cultivées. Les castanéiculteurs locaux vivent de leur production et de la transformation de leurs fruits. À différentes périodes de l’année, vouspourrez ainsi voir les arbres en fleur, ou observer la récolte du fruit d’automne.
Bien sûr il est interdit de ramasser les châtaignes en Ardèche, mais vous aurez sans doute l’occasion d’en goûter les saveurs lors d’une des nombreuses « Castagnades » d’automne organisées dans les villages du Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche.
Raison #2
Des paysages majestueux en toute saison, un territoire travaillé par l’homme.
Prairies naturelles, landes à genêts, forêts de pins et de châtaigniers, vallées de rivières sauvages et massifs cévenols vous offrent leurs plus belles couleurs tout au long des saisons. Prolongez la visite pour garder le souffle coupé en montant jusqu’à la table d’orientation du col de Meyrand.
Lors de votre balade, des trésors du petit patrimoine jalonnent les parcours laissant ainsi deviner la vie des paysans d’autrefois, telles des calades, béalières, fontaines et culture en terrasses.
Sur le Sentier des druides, plus qu’un sentier : un jeu grandeur nature !
Accessible toute l’année, la balade Sur le sentier des Druides est un incontournable de nos escapades en famille. Munis d’un livret délivré gratuitement à l’office de tourisme, vous vous baladerez tout en vous amusant.
Le long du parcours nous vous proposons de relever des défis sur des agrès sportifs et résoudre des énigmes… adaptés à tous les membres de la famille.
Le sentier du Chalas, vous aimerez…
Au fil de cette randonnée, les empreintes laissées par l’homme pour l’activité agricole prouvent sa formidable capacité à s’adapter à la pente (terrasses, murets, ou calades) ou à gérer l’eau (béalières, sources…).
N’oubliez pas de vous équiper d’une bouteille d’eau et de vos baskets !
Pour en savoir plus…
Calade Muletière
Jusqu’au 18ème siècle, les calades muletières servaient de passage pour les commerçants ambulants qui allaient échanger des marchandises dans les grandes foires de la région. Les hommes descendaient des hauts plateaux le blé, les écorces de châtaignier, les lentilles… Ils allaient charger du vin qui était stocké dans de grandes outres, en bas, dans la vallée du Rhône. Ces commerçants ou muletiers se déplaçaient avec une file de plusieurs mulets que l’on appelait la “couble”.
Béalières
Les béalières, qui existent depuis le moyen-âge, sont des petits canaux chargés d’amener l’eau aux parcelles et ainsi irriguer les prés, les châtaigniers et les cultures. Grâce à une organisation rigoureuse de la répartition du temps d’arrosage entre les parcelles, la ressource en eau était partagée d’un coup de pioche. Aujourd’hui, certaines béalières entretenues sur le chemin irriguent toujours les châtaigneraies.
Temps forts
Les Castagnades d’Automne : La châtaigne en fête !
Vous vous demandez où ramasser les châtaignes en Ardèche ? Nous vous proposons encore mieux !
Lorsque les feuilles rougissent et que les températures se font plus fraîches, les villages s’animent pour faire vivre l’automne. De mi-octobre à mi-novembre le fruit emblématique de l’Ardèche est alors mis à l’honneur autour de diverses animations. Castanéiculteurs, artisans, artistes, restaurateurs et habitants se réunissent pour proposer une découverte de la châtaigne sous tous ses aspects, autour dufruit, de sa culture, de sa gastronomie mais aussi autour du bois de châtaignier et ses usages.
Quand profiter des Castagnades en Cévennes d’Ardèche ?
Dès le mois d’octobre retrouvez de nombreuses fêtes de la châtaigne, Castagnades des crouvelous à Saint André Lachamp, Salon Gourmand et Artisanal à Joyeuse. Ambiance festive garantie !
CASTANEA, espace de découverte de la châtaigne d’Ardèche
Poursuivez la visite à Castanea à Joyeuse et découvrez le tout nouvel espace récemment rénové pour vous faire (re)découvrir le châtaignier, arbre emblématique des Cévennes et son fruit délicieux.
Focus sur Le Bois de Belle, bien plus qu’un domaine castanéicole…
Situé à 1 km du village de Thines, et à 20 km de Les Vans, dans la vallée de Tastevin
Fabriquée dans la tradition, la récolte du Bois de Belle est presque toute valorisée au travers de 18 produits différents. Les productions vont de la châtaigne aux soupes diverses et pas moins de 40 sirops pour la cuisine et pour les boissons.
L’exploitation existe depuis 1981. Jusqu’en 1993, il était possible d’y déguster les productions dans une ferme-auberge, au cœur de l’exploitation.
Le renouveau de la châtaigne en Ardèche passe par l’inventivité de ses castanéiculteurs à transformer de nouveaux produits. C’est ce que fera le Bois de Belle dès 1984 avec la création de nouvelles recettes.
Puis viendra, dès 1986, l’innovation dans les savoir-faire : améliorer la qualité gustative des produits à la châtaigne en sera le leitmotiv.Le domaine œuvre aujourd’hui pour la transmission des savoirs et de l’histoire. Il est très actif localement pour inciter les jeunes à rester au pays et y vivre dignement.
Un verger soigné
Le domaine, qui ne s’appellera « Bois de Belle » que bien plus tard, veut s’inscrire dans la durée et la tradition par le soin donné aux arbres : l’élagage, le greffage, la plantation de variétés anciennes de châtaigne d’Ardèche mais aussi nouvelles.
L’expérimentation y est également de mise grâce à un travail rigoureux mené sur des programmes spécifiques en accord avec la Chambre d’Agriculture, ou pour la création du label PARC avec le parc Naturel Régional des Monts d'Ardèche.
Mais la culture du châtaignier doit considérer bien d’autres problématiques aujourd’hui : qualité de l’air, qualité de l’eau, qualité du sol… c’est tout un écosystème qui doit être apprécié.
Le domaine travaille même au-delà de tous ces critères pour la qualité des sols (surexploités depuis des décennies) et qui devient depuis quelques années une urgence absolue pour la santé des arbres.
Un patrimoine gastronomique reconnu
Avec la création de nouvelles recettes inédites et maintenant reconnues, de crèmes peu sucrées, de farine sans goût de fumée, de crêpes, de gâteaux, de marrons grillés apéritifs etc. Les produits s’inscrivent aujourd’hui dans le patrimoine gastronomique ardéchois.
Le domaine travaille aussi pour la défense des labels de qualité pour permettre aux consommateurs d’avoir une garantie d’origine, de savoir-faire, de traçabilité, d’intérêt pour l’environnement et de s’inscrire dans une démarche de développement durable.
Raison n°1 : on sort les jeux de société
Chez nous, on adore jouer aux jeux de société. Que ce soit en famille ou entre amis, ils nous font toujours passer un bon moment. On discute, on rigole, on se chamaille parfois un peu (mais on s’aime quand même) et on essaye de ne pas trop bouder quand on perd….
Vous aimez aussi les jeux de société ? On partage avec vous nos incontournables pour mettre de l’ambiance et passer une après-midi amusante :
Nos jeux de société préférés pour les petits :
Logikville (Asmodée), le super jeu malin qui se joue tout seul
Le petit verger (Haba), classique et incontournable
Minimatch (Djeco), le jeu de carte super amusant
Labyrinthe Twist (Ravensburger), la version la mieux adaptée pour les plus petits
Nos jeux de société préférés pour les grands :
Les loups-garous de Tiercelieux (Hodin/Asmodée), un jeu d’ambiance terriblement amusant
Dixit (Asmodée), un jeu d’imagination pour les plus poétiques
Buzz it (Asmodée), le classique pour se défier sur des thématiques drôles
Le jeu des cochons (Winning Moves), un jeu de dés revisité pratique à emporter
Raison n°2 : on va au ciné
Quand il fait froid et gris, on peut s’enfermer sans regret dans une salle de ciné. Des sorties sympas, il y en a en novembre.
Raison n°3 : soupe ou raclette, on innove
Qui dit nouveau mois dit nouveaux repas de saison et en novembre, je demande les soupes et les raclettes ! Ça vous semble rasoir, tellement déjà vu ? Pas avec nos idées qui changent et qui épatent !!!
Trois idées de soupes originales :
Boostons la soupe au potiron avec des saveurs de curry
Voyageons avec la soupe de carotte avec du lait de coco
Surprenons nos convives avec une soupe de tomate et banane !
C’est la raclette qui vous tente ? Alors voici nos variations préférées :
Une raclette version italienne avec du fromage italien évidemment (mozzarella, diverses variétés de fontina, gorgonzola
si on aime l’aventure) et de la charcuterie trans-alpine (coppa, mortadelle, breasaola, jambon de parme). En accompagnement, des légumes grillés (courgettes, aubergines), des tomates, des olives et une bonne ciabatta fraîche.
Une raclette forestière avec des champignons de toutes sortes (champignons de paris bien sûr, mais aussi pleurotes, giroles, cèpes, bolets, pieds de mouton, chanterelles,…), du magret de canard fumé, des pommes de terre persillées. Pour le fromage, un fromage à raclette de qualité en provenance de Suisse pour sublimer le goût des champignons.
Variez les plaisirs avec des fromages qui changent (Époisses, Fourme d’Ambert, Morbier, Roquefort, St-Nectaire, St-Marcellin, Reblochon, fromage de chèvre…) et des accompagnements étonnants comme les œufs de caille à casser soi-même dans le petit poêlon (ça fait un mini-oeuf sur le plat sympa), de la chair à saucisse, de l’épinard, des crevettes ou des st-jacques (et oui), des escargots (et oui aussi !)… Faites marcher votre imagination, mais ne mélangez pas tout quand même !
Raison n°4 : on profite d’un long week-end
Le 11 novembre, jour férié en Belgique et en France notamment, tombe un lundi cette année. C’est donc un long week-end … YOUPIE !
Savez-vous déjà comment vous allez le passer ?
Nous on hésite entre partir un petit week-end ou en profiter pour faire des activités en famille… Vous avez des idées à nous donner ?
Raison n°5 : on fait de jolies jardinières d’hiver
Ce n’est pas parce que les meilleurs mois pour jardiner sont derrière nous qu’il faut laisser nos jardinières tristement vides. Il est tout à fait possible de créer de jolis ensembles pour l’hiver qui viendront décorer nos balcons et fenêtres.
Que mettre dans nos jardinières pour un hiver fleuri ?
des bruyères mauves ou blanchesdu lierrede la gaulthérie (une jolie plante persistante qui offre des baies colorées en hiver)des conifères miniatures (épicéa nain, genévrier, faux cyprès)du chou ornementaldes hellébores ou des cyclamens à la floraison hivernaledu thym, du romarin ou de la sauge officinale (dont le feuillage devient pourpre en hiver)Vous pouvez garnir vos compositions de petites coloquintes, de pommes de pin, de pommes rouges, de décorations en bois et y glisser une jolie guirlande lumineuse dans quelques semaines…
Raison n°6 : on reste à la maison et on est ravies !
On vous avait parlé en juin dernier de cette vision nordique de la convivialité et du bien-être qu’on adore : le Hygge. Bonne nouvelle, novembre est le meilleur mois pour s’y mettre et se faire plaisir en renouant avec l’essentiel, en cocoonant à la maison et
en partageant un moment chaleureux entre amis.
Besoin d’une autre idée pour profiter d’un moment à la maison ?
On se remet aux vieilles séries qu’on a toujours autant de plaisir à revoir : Friends, Seinfeld, The Sopranos, Sex and the City, Scrubs, Six Feet Unders ou encore Twin Peaks.
Raison n°7 : on nourrit les oiseaux
Avec l’arrivée du froid, les oiseaux ont de plus en plus de mal à trouver de la nourriture. On peut leur filer un petit coup de main de manière jolie, créative et profiter du spectacle de leurs aller et venues dans le jardin ou sur le balcon tout l’hiver. Les enfants adorent et nous, on s’émerveille devant ces jolies petites créatures de la nature.
Quelques idées :
Raison n°8 : on fête la Sainte-Catherine« A la Sainte-Catherine, tout bois prend racine »
Ce dicton, vous l’avez sans doute déjà entendu… Mais savez-vous pourquoi on conseille de planter un arbre le jour de la Sainte Catherine, le 25 novembre ?
Parce que nos anciens avaient remarqué que c’est à cette période que le système racinaire des arbres et arbustes avait le plus de chance de bien se développer avant l’hiver pour redémarrer de plus belle au printemps.
Que planter à la Sainte-Catherine ?
Et bien tous les arbres et arbustes qui se plantent à racines nues :
fruitiers : pommiers, poiriers, châtaigniers, noisetiers, cerisiers, pêchers, framboisiers, groseilliers…rosiersplantation de haies : charme, ormes, lauriers…mais aussi : des érables, des hêtres, des troènes, des saules, des sureaux, des sorbiers…Une chouette manière de prolonger le contact avec la nature en cette saison et de préparer le printemps qui arrivera plus vite qu’on ne le pense !
Raison n°9 : on prépare Noël !
Oui, on sait, Noël, c’est dans plus d’un mois. Mais nous, on ne tient déjà plus en place et on fourmille d’idées ! Alors entre nos premières idées cadeaux pour nos proches, notre wishlist à établir, l’avent à préparer, on est en pleine ébullition. D’ailleurs, dans les prochaines semaines, nous allons beaucoup vous parler des fêtes et de leur préparation. On espère que vous êtes aussi « Noël addict » que nous du coup !
Alors, elle vous tente notre version de novembre ?
Lundi 11 novembre 1918, 11 heures : dans toute la France, les cloches sonnent à la volée.
Au front, les clairons bondissent sur les parapets et sonnent
le « Cessez-le-Feu », « Levez-vous », « Au Drapeau ».
La « Marseillaise » jaillit à pleins poumons des tranchées. Même
soulagement en face, dans le camp allemand.
Pour la première fois depuis quatre ans, Français et Allemands peuvent se regarder sans s'entretuer. Un armistice (arrêt des combats) a été conclu le matin entre les Alliés et l'Allemagne,
dernière des Puissances Centrales à rendre les armes. Il laisse derrière
lui huit millions de morts et six millions de mutilés.
Les survivants ont perdu la foi dans les valeurs morales et spirituelles
qui ont fait la grandeur et l'unité de l'Europe. Mais ils veulent croire
que cette guerre qui s'achève restera la dernière de l'Histoire,
la « der des der »...
La défaite inéluctable de l'Allemagne :
compris qu'ils n'avaient plus aucun espoir d'arracher la victoire.
C'est que les troupes américaines, fortes de quatre millions d'hommes, arrivent en renfort des Anglais et des Français.
Le 3 octobre, l'empereur Guillaume II nomme à la chancellerie (la
direction du gouvernement) le prince Max de Bade. Il espère que cet
homme modéré saura obtenir des conditions de paix convenables de la part
des Alliés.
Cela devient urgent car l'Allemagne bascule dans l'anarchie et la guerre
civile cependant que ses alliés cessent les combats et signent l'un
après l'autre des armistices.
Le 9 novembre au matin, le prince Max de Bade téléphone à l'empereur, à
Spa. « Votre abdication est devenue nécessaire pour sauver l'Allemagne
de la guerre civile », lui dit-il. Guillaume II s'y résout et part en
exil.
Un armistice mal accepté :
Les militaires s'étant défaussés, c'est à un civil, Matthias Erzberger, que revient la pénible tâche de négocier l'armistice.
En France, la demande d'armistice fait débat. Le président de la République Raymond Poincaré et le général Philippe Pétain voudraient profiter de l'avantage militaire pour chasser les Allemands de
Belgique, envahir l'Allemagne elle-même et signifier à celle-ci
l'étendue de sa défaite.
Mais le généralissime des troupes alliées, Ferdinand Foch, et le chef du gouvernement, Georges Clemenceau, ne croient pas l'armée française capable de se battre encore longtemps et souhaitent en finir au plus vite.
L'armistice est signé dans le wagon spécial du généralissime Foch, au carrefour de Rethondes, au milieu de
la forêt de Compiègne, le 11 novembre à 5h15 du matin.
Les Français ne manquent pas de noter que ce jour est la fête du saint patron de leur pays, Saint Martin, alors très populaire.
Les Allemands se voient soumettre des « conditions » sans aucune marge de négociation :
– Ils doivent livrer l'essentiel de leur armement, de leur aviation et
de leur flotte de guerre.
– Leur armée est sommée d'évacuer sous 30 jours la rive gauche du Rhin
(en Allemagne même) ainsi que trois têtes de pont sur la rive droite,
Coblence, Cologne et Mayence.
L'armistice est conclu pour 36 jours, mais sera régulièrement renouvelé jusqu'au traité de paix du 28 juin 1919.
Amertume des vaincus :
La demande d'armistice étant venue des représentants civils et non
militaires de l'Allemagne, ces derniers échappent à l'infâmie de la
défaite. À Berlin, les représentants de la jeune République accueillent
les combattants en ces termes : « Soldats qui revenez invaincus »
Dans les mois qui suivent l'armistice, les généraux Ludendorff et Hindenburg attribuent avec aplomb la défaite militaire à un « coup de poignard dans le
dos » de la part des politiciens et des bourgeois cosmopolites.
L'expression est reprise avec ferveur par les Allemands meurtris et
humiliés. Elle va faire le lit des partis ultranationalistes, dont le
parti nazi.
L’armistice de 1918, signé le 11 novembre 1918 à 5h15, marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918), la victoire des Alliés et la défaite totale de l'Allemagne, mais il ne s'agit pas d'une capitulation au sens propre.
Le cessez-le-feu est effectif à onze heures , entraînant dans l'ensemble de la Francedes volées de cloches et des sonneries de clairons annonçant la fin d'une guerre qui a fait plus de 8 millions de morts, d'invalides et de mutilés. Les généraux allemands et alliés se réunissent dans un wagon-restaurant aménagé provenant du train d'État-Major du maréchal Foch, dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne.
Plus tard, le 28 juin 1919, à Versailles, sera signé le traité de paix de Versailles, qui met réellement fin à l'état de guerre.
Cérémonie marquant l'armistice du 11 novembre au monument de la Résistance à Toulouse.
On célèbre l'armistice signé le 11 novembre 1918. Il marque la fin de la Première Guerre mondiale (1914-1918) et la capitulation de l'Allemagne. Afin de commémorer l'événement le jour est férié.
Mais que savons-nous de l'armistice ?
L'armistice, c'est -à-dire l'arrêt des cobats militaires, a été signé le 11 novembre 1918 à 5h15 dans un wagon dans la clairière de Rethondes (près de Compiègne auNord de Paris) par les représentants de l’armée française (le Maréchal Foch) et de l’armée allemande. Appelée aussi souvent "la Guerre de 14" ou "la Grande Guerre", la première guerre mondiale a déchiré l’Europe et le monde entre 1914 et 1918, faisant plus de dix millions de morts.
Pourquoi le 11 novembre est-il un jour férié ?
Le 11 novembre est un jour férié en France, c'est le jour du Souvenir inscrit dans la loi du 24 octobre 1922.
En France, le 11 novembre est une journée en mémoire de la fin de la Première guerre mondiale, en 1918. Cette année-là, en effet, le 11 novembre à 5h15, la fin des combats a été décrétée par la signature d'un armistice, une convention qui met fin aux hostilités. C'est la victoire des Alliées (France, Russie, Royaume-Uni, États-Unis) et la capitulation de l'Allemagne. Cette journée rend honneur au sacrifice du peuple français et aux nombreuses personnes tuées au combat.
Que se passe-t-il ce jour là ?
Si le jour est chômé pour les Français, il n'en est pas de même pour les services de l'Etat. Ce jour-là, des cérémonies commémoratives sont organisées. Les fanfares défilent dans les rues et les citoyens se retrouvent pour une cérémonie autour des monuments aux morts de chaque ville.
A Paris, le rituel classique observé par le Président de la République française qui porte en cette journée le Bleuet de France à la boutonnière. Il dépose une gerbe tricolore devant la statue de Georges Clemenceau, symbole de la victoire de la Grande Guerre, puis de remonter les Champs-Élysées escorté par les cavaliers de la Garde républicaine, passer les troupes en revue sur la place Charles-de-Gaulle, puis se recueillir sur la tombe du soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe.
Depuis la mort du dernier poilu français Lazare Ponticelli en 2008 et du dernier vétéran de la Grande guerre Claude Choules le 5 mai 2011, Le Président de la République honore également le 11 novembre 2012 la mémoire de tous les soldats décédés en opération.
Berthe Morisot est, avec Mary Cassat (1844-1926) et Eva Gonzalès (1849-1883), l'une des trois femmes peintres des débuts de l'impressionnisme. Elle naît le 14 janvier 1841 à Bourges dans une famille bourgeoise.
La peinture lumineuse de Berthe Morisot cherche à capter les instants de bonheur familial. On y trouve beaucoup de portraits, en particulier de sa fille Julie. Les formes restent floues et les couleurs claires dominent, produisant une impression de légèreté.
« Les formes sont toujours vagues dans les tableaux de Mme Berthe Morisot, mais une vie étrange les anime. L'artiste a trouvé le moyen de fixer leschatoiements, les lueurs produites sur les choses et l'air qui les enveloppe... le rose, le vert pâle, la lumière vaguement dorée, chantentavec une harmonie inexprimable.
Nul ne représente l'impressionnisme avec un talent plus raffiné, avec plus d'autorité que Mme Morisot ».
Cache-cache (1873)
Voyage à travers les siècles ...
Cordes-sur-Ciel n’a pas encore bu son café, comme en témoigne cette brume nocturne qui
enveloppe le sommet de ce village toujours endormi. Bientôt, la nuit
s’éteindra complètement et avec elle, ses lumières. On préparera le
petit déjeuner, on mordra dans une tartine en remuant doucement sa
cuillère dans sa tasse de ce-que-vous-voulez. Et la brume matinale
s’évaporera, comme le souvenir d’un rêve et alors, la journée pourra
commencer.
Dans cette bastide albigeoise au patrimoine gothique exceptionnel, on a
envie d’imaginer les matins comme on imagine ceux de « l’époque ». Avec
un poêle ou un feu de cheminée, avec un crieur annonçant les nouvelles
fraîches de la vallée, avec le peintre et son chevalet, déjà à pied
d’œuvre, avec le forgeron battant le fer et la maîtresse d’école sonnant
la cloche.
Parce que Cordes-sur Ciel n’est pas juste un autre Plus Beau Village de
France. En 2014 il est d’ailleurs élu le « Village préféré des français
». Cette cité médiévale du VIIIème siècle, fascine tant elle regorge
d’Histoire et d’art, restés intacts depuis son édification par le comte
de Toulouse, en 1222. Son héritage architectural ainsi que sa position
unique en font l’une des villes médiévales les plus significatives de
France et l’un des hauts lieux du patrimoine européen. Certains auteurs,
tels que Albert Camus, en sont même tombés amoureux.
Avec le froid qui revient vous vous dites qu’il vous faut dire adieu à votre jardin fleuri ? Détrompez-vous ! Certaines fleurs survivent au froid et nous offrent de jolies couleurs même au mois de novembre. Quelles sont ces fleurs ou plantes résistantes qui nous mettront du baume au cœur dès les premiers mois de l’automne ?
Petite présentation de ces vivaces qui n’ont pas froid aux yeux !
Le chrysanthème
Les chrysanthèmes sont les fleurs emblématiques du mois de novembre car elles sont liées à la célébration de la Toussaint. Mais c’est aussiparce qu’elles résistent au froid que nous les choisissons à cette période pour fleurir les tombes de nos chers disparus. Les chrysanthèmes sont des plantes vivaces qui offrent une floraison plus longue grâce à leur bonne résistance au froid.
Le crocus
Même si l’on a tendance à se concentrer sur les fleurs qui nous offriront de belles couleurs au printemps, certaines fleurs à bulbes offrent une floraison en automne et donc au mois de novembre. C’est le cas par exemple du crocus, présente en particulier à plusieurs mètres d’altitude. Certaines variétés de crocus à fleurs blanches peuvent ainsi éclore jusqu’en décembre.
Le cyclamen
Le moins qu’on puisse dire c’est que le cyclamen ne soit pas une fleur capricieuse. Ainsi selon la date de sa plantation, votre plant pourra vous offrir des fleurs jusqu’au mois de décembre. Cette plante vivace n’est pas très fan du soleil et de la chaleur, elle se portera comme un charme à des températures allant en dessous de 20°C et pourra même survivre jusqu’à -10°C !
Le camélia
Vous pensiez que les camélias offraient une floraison printanière ? Vous aviez raison (et tort). Sachez que certaines variétés de camélias se plantent au printemps pour éclore dès les premiers mois de l’hiver. Ces fleurs rigoureuses résisteront sans mal aux températures négatives du mois de novembre.
La rose de Noël
Cette rose blanche, également connue sous le nom d’hellébore, se mettent en terre au printemps afin d’éveiller votre jardin lors des premières fraîcheurs de novembre. Cette plante vivace préférera les zones ombragées et pourra fleurir jusqu’en avril.
Le poinsettia
Cette plante symbole de Noël commence à fleurir sur les étalages de nos fleuristes dès le mois de novembre, pour le plus grand plaisir des amoureux des fêtes de fin d’année. Le poinsettia voit ses fleurs devenir rouges au cours de leur floraison et cadre parfaitement avec les couleurs de Noël pour habiller votre intérieur dès le mois de novembre et sera un excellent centre de table lors de vos repas d’hiver.
Que pensez-vous de ces plantes résistantes ? Même en novembre ces fleurs vous offrent de quoi profiter des merveilles de la nature .