De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
31/07/2017 - 08:07
Monuments Antiques De L’Egypte Ancienne (Vidéos)

CLIC................Ancient Egypt featuring King Tut from Joanne Gilmartin on Vimeo.


Les sites magnifiques et des monuments de l’ Egypte ancienne, construite il y a entre 4,6 et 2 mille ans.

Trois Sites Du Patrimoine Mondial De L’ Uunesco...
Champs Pyramide de Gizeh, Saqqarah et Dahchour – Thèbes antique (Louxor) et sa nécropole...
Les monuments de Nubie d’Abou Simbel à Philae.
L'Égypte, en forme longue la République arabe d'Égypte...
Est un pays se trouvant essentiellement en Afrique du nord-est situé sur la côte sud de la Méditerranée orientale...
Le bassin Levantin, seule la partie nord-est du territoire égyptien constituée par la péninsule du Sinaï se situe en Asie. L'actuelle Égypteoccupe l'espace géographique qui fut naguère celui de l'Égypte antique.
Avec plus de 84 millions d'habitants, l'Égypte est le troisième pays le plus peuplé d'Afrique derrière le Nigeria et l'Éthiopie.
En très forte croissance, sa population a été multipliée par quatre en soixante ans.

Durant près de trois millénaires, la vallée du Nil vit prospérer une des civilisations les plus brillantes de l'Histoire.
L'invention d'une écriture originale sous forme d'idéogrammes, les hiéroglyphes, peu de temps après l'apparition du cunéiforme en Mésopotamie vers -3300,fit sortir l'espèce humaine de la Préhistoire.
L'Égypte des pharaons put ainsi largement s'épanouir pour atteindre son apogée au XIIIe siècle avant notre ère, laissant une œuvre monumentale au patrimoine mondial.
31/07/2017 - 08:04
VOYAGE A IZMIR ANCIENNE SMYRNE

 
Smyrne fut fondée vers 3000 av. J.-C. par les Lélèges sur le site de Tepekule, près de l'actuelle Bayraklı. Son nom proviendrait de celui d’une reine amazone. Entre 2000 et 1200 av. J.-C., elle fit partie du royaume hittite puis, à la suite de l’effondrement de l'État hittite face aux attaques des Phrygiens, elle fut occupée par des Éoliens émigrés de Grèce vers l'Anatolie au XIe siècle av. J.-C., puis par des Ioniens.
La première Smyrne vécut son apogée durant la période ionienne. Elle fut envahie en 600 av. J.-C. par le roi de Lydie Alyatte II, puis par les Perses en 546 av. J.-C. Ravagée, la cité n’occupa plus de rôle important durant la période classique (Ve et IVe siècles av. J.-C.).

 
Selon la légende, c’est Alexandre le Grand qui décida de restaurer la cité détruite. Mais ce sont plus probablement ses successeurs (Antigone le Borgne, puis Lysimaque) qui reconstruisirent la cité au IVe siècle av. J.-C., après la mort d'Alexandre. En 302 av. J.-C.
Le festival de musique d'Izmir se déroule chaque été, en partie dans des sites historiques comme le théâtre d'Ephèse.
Dans le parc de la Culture se tiennent de nombreuses manifestations, dont lafoire du livre et la foire internationale de la pierre (en avril).

 

 

 



 

 
31/07/2017 - 08:02
ILE DE MILOS EN GRECE
 
Située au sud de Sifnos, l'île de la célèbre Vénus du Louvre est une véritable merveille géologique. Milos offre des paysages saisissants en raison de sa nature volcanique et grâce à la diversité de ses roches. Les falaises de Milos déclinent toutes sortes de couleurs (rouge, orange, blanc...) et la cinquantaine de plages de l'île se trouvent au bord d'eaux cristallines. Attention, l'offre d'hébergement étant limitée, les hôtels de Milos affichent rapidement complet en été.
L'île est peuplée dès le IIIe millénaire av. J.-C. À l'Helladique Ancien, elle vend de l'obsidienne à une grande partie de la Grèce continentale, et même à Chypre, la Crète et l'Égypte. Elle est un centre économique majeur de la civilisation minoenne. Le site de Phylakopi est l'un des plus importants du monde égéen pour la période du Bronze ancien.
Milos est connue des naturalistes et herpétologistes pour ses espèces endémiques.
Le lézard de Milos (Podarcis milensis) est un petit Lacertidae endémique de l'archipel de Milos (Milos, Kimolos, Polyaigos et Antimilos), de l'archipel d'Ananes (el), et des îlots de Falkonera (en) et Velopoula. Le mâle se caractérise par ses écailles latérales bleues ou vertes. Il est classé comme espèce vulnérable (VU) par l'Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN), en raison de sa distribution très limitée .
La vipère de Milos (Macrovipera schweizeri) est une espèce endémique des îles de Milos, Siphnos, Kimolos et Polyaigos. Elle est menacée par la collecte illégale, la destruction intentionnelle, la circulation routière et la destruction de son habitat, notamment par les concessions minières et les carrières. Elle est entièrement protégée et classée comme espèce « en danger » (EN) par l'IUCN, car répartie sur un territoire inférieur à 100 km2 et en raison de son déclin continuel dû à la dégradation de son habitat .



30/07/2017 - 18:05
                                            

De son vrai nom Yolanda Gigliotti, Dalida est née au Caire le 17 janvier 1933.
Issue d'une famille italienne immigrée en Egypte, elle est la seule fille
parmi deux frères, Orlando son aîné et Bruno, le cadet. Leur père,
Pietro, est premier violoniste à l'opéra du Caire.
Adolescente, elle se destine à une carrière de secrétaire. En 1951, elle se présente en
cachette à un concours de beauté. Trois ans après, elle participe au
concours de Miss Egypte et gagne le premier prix. Elle est alors engagée
comme actrice pour tourner dans des films au Caire, le Hollywood de
l'Orient. Elle y est repérée par un réalisateur français. Yolanda,
devenue Dalila, rêve de Paris. Malgré les réticences de sa famille, le
24 décembre 1954, elle s'envole pour Paris.
Les temps sont difficiles. Le cinéma français n'a pas de place pour elle. Alors, pour
subvenir à ses besoins, elle prend des cours de chant. Elle est engagée
dans un cabaret des Champs Elysées, et plus tard à la Villa d'Este. Elle
y est présentée comme la "Révélation de la chanson française".
Bruno Coquatrix vient de racheter un vieux cinéma parisien, « l'Olympia », où
il anime une émission de variétés, "Les Numéros un de demain". Dalila
est invitée et elle choisit d'interpréter "Etrangère au Paradis". A
cette occasion, elle rencontre deux hommes : Lucien Morisse, directeur
artistique d'Europe 1, et Eddy Barclay, éditeur de disques. Ils sont
décidés à trouver la perle qui leur permettra de lancer leurs
entreprises respectives. Dalila, devenue DALIDA, semble être l'artiste
qu'il leur faut.
Elle enregistre son premier 45 tours chez Barclay, "Madonna", mais c'est avec "Bambino" que Dalida va s'imposer. C'est un
immense succès.








l'époque ou je l'avais rencontrée dans le bureau de son mari
30/07/2017 - 17:56
PATRICE CARTERON UN HOMME NOIR QUI AIME ET RESPECTE LA FRANCE ET LA DEFEND.

IL EST TOUT SIMPLEMENT INTELLIGENT ,NORMAL ET AMICAL.
EH BIEN MOI JE TE DIS MERCI MON AMI,
LE COURAGE CA EXISTE ET LA FRANCHISE AUSSI,
BONNE CONTINUATION DANS LA VOIE DU SPORT ET BRAVO POUR TES VICTOIRES.
COSMOS
 
EXTRAIT DU QUOTIDIEN LE FIGARO
Laissons le french bashing aux ennemis de la France, assumons d'aimer la France.

Patrice Quarteron a remporté une victoire importante dans la discipline de boxe Muay thai. Il a exprimé une joie légitime, en se revêtant du drapeau français. Mais selon ses détracteurs qui se sont déchaînés sur les réseaux sociaux, il a eu le tort de mêler les couleurs nationales à sa victoire, il a eu le tort d'afficher et de verbaliser son patriotisme.
Il leur a répondu par un post des plus intéressants: «Quand vous portez un drapeau d'un pays où vous ne vivez pas, on vous dit bravo», j'adore, c'est courageux, c'est un signe d'ouverture. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit: «t'es un chien, un putain de facho». Je porte mon drapeau fièrement. Et j'emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc... tout ça parce qu'ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays.Soyez patriotes et reconnaissant. Vous devez tout à la France.» Le ton virulent est propre aux réseaux sociaux, il est aussi dû au caractère de ce sportif, ainsi qu'à la nature et à la véhémence des insultes essuyées.
Afficher les couleurs nationales, aimer son pays, assumer sa fierté d'être français ont valu à Patrice Quarteron de se faire traiter de facho, mais aussi, et il y a plus à en dire, de «bounty» et de traître. Ces insultes sont devenues classiques quand il s'agit de désigner les enfants d'immigrés bien dans leurs baskets françaises et aimant la France. Elles sont complétées par celles de «harki», de «collabeur», de «nègre de maison», termes dont j'ai été moi-même gratifiée. Elles renvoient à une trahison supposée: celle de son vrai pays, celui des origines, au bénéfice de son faux pays, celui où l'on vit. Elles sont les manifestations des métastases indigénistes et gauchistes de l'identité qui n'ont rien à leurs symétriques identitaires.
La violence se déchaîne parce qu'il est noir. Et un bon noir, un vrai noir digne, qui s'assume, ou un bon arabe n'est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d'esclave. Il est question d'authenticité. On est un vrai arabe, un vrai musulman, un vrai enfant d'immigré etc.... quand on vante le bled et que l'on cultive l'indifférence voire le mépris à l'endroit de la France. Puisqu'eux brandissent l'accusation de trahison,il faut convenir que le vrai sujet est celui de I'allégeance, ce terme désuet qui désigne la fidélité que l'on doit au souverain. Et en République, c'est le peuple qui est souverain. Refuser l'allégeance au pays dans lequel on est né, dans lequel on vit et dans le même temps la réserver à celui dans lequel on ne va qu'en vacances, avec un pouvoir d'achat européen, c'est faire de la France un simple guichet de services.
Patrice Quarteron a raison de dénoncer l'hypocrisie de ses détracteurs.
Le patriotisme est brocardé, dénoncé, moqué, criminalisé quand il concerne la France, mais il est respecté, vanté, normalisé quand il concerne le pays d'origine. Houria Bouteldja, égérie du Parti des Indigènes de la République, écrit ainsi dans son ouvrage "Les Blancs, les Juifs et Nous": «J'ai laissé mon pays libre, comme une étoile scintillante. Je suis allé au pays des impies, le pays de l'obscurité» , et plus loin, avec un talent poétique certain: «Ô mes frères, mes soeurs, Ô mes frères mes soeurs, des Français je suis dégoutée. J'accepte de ne porter qu'un tricot mais je ne veux pas qu'on m'appelle «bicot». O mon Dieu, ma foi est meilleure que la leur. Celui qui critique le pays [l'Algérie], que la rivière l'emporte.» Que n'entendrait-on pas si ces mêmes propos avaient été tenus à l'endroit de ceux qui critiquent la France! Et il faut être honnête, je n'ai jamais vu un élève asiatique afficher le drapeau du pays de ses parents, alors que tant de mes élèves affichent sur les écrans des ordinateurs du collège, sur leurs carnets de correspondance les drapeaux des pays du bled, Afrique du Nord et Afrique noire.
Quand c'est un autre pays, c'est un patriotisme sain et juste. Quand c'est la France, c'est l'expression d'un nationalisme destructeur d'altérité. Un élu de Saint-Denis, Madjid Messaoudène, a fait la promotion sur son compte twitter de boîtes de mouchoir aux couleurs de l'Algérie. Jamais il ne lui serait venu à l'esprit d'avoir le même esprit cocardier vis-à-vis de la France. Il se dit binational comme une immunité diplomatique, mais ne dit jamais de bien de la France, n'affiche jamais ses couleurs, au contraire de l'Algérie. La binationalité consiste dans son cas et dans le cas de beaucoup de ceux qui ont insulté Patrice Quarteron à lier une nationalité de raison, la nationalité française, celle que l'on subit, à une nationalité de cœur, celle du pays des parents, qui suscite tendresse et nostalgie. L'allégeance ou le patriotisme ne se vit pas sur le mode de l'alternative pourtant: on peut aimer les deux pays et on ne
trahit pas l'un en aimant la France.
30/07/2017 - 17:28
À VOIR DANS LA RUE MOUFFETARD.

 
Repère à touristes pour certains, rue au charme authentique pour d’autres, la très animée rue Mouffetard divise mais fascine par son histoire. Il y a quelques siècles de cela, elle était l’une des plus malfamées du quartier latin, et l’une des plus malodorantes à cause de l’activité polluante des tanneurs. Aujourd’hui, l’ambiance s’est nettement réchauffée, et l’on s’y rend principalement pour manger, festoyer et faire des emplettes surses nombreux étals de marché. Si durant ces derniers temps, elle était un peu boudée par les Parisiens, la rue se pare depuis peu de bonnes adresses qui donnent envie de se laisser enivrer.

Le Sweetspot: 10€, c’est le prix mini que l’on débourse pour déguster une tartine salée à la pause déj’ chez Sweetspot. Pour le même prix, on se fait servir un plat du jour, une soupe ou une salade préparée avec des produits frais, locaux et de saison. L’après-midi, les plaisirs s’y font plus régressifsavec le panier goûter composé de trois tartines, et de l’une des trois pâtes à tartiner de la semaine, le tout arrosé avec une citronnade fraîche ou encore un thé glacé maison. Les obsessionnels de la pâte à tartiner y trouveront leur bonheur parmi les 90 références proposées à la vente, parmi lesquelles caramel beurre salé, maltesers, speculoos,
crème de marron, lemon curd. L’autre atout du lieu : on peut y bruncher en semaine !
108 rue Mouffetard, 75005
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h et le dimanche de 10h à 18h


Kitchen MP: Murs en pierres apparentes, cactus, banquettes confortables, damier noir et blanc au sol… La décoration de ce restaurant qui a ouvert ses portes en 2016 est à l’image de sa cuisine, simple mais raffinée. À la carte, des plats élaborés avec des produits frais et de saison. La classique ratatouille y est revisitée avec des légumes coupés en gros morceaux pour préserver leur fraîcheur (14€) et l’avocat, servi avec une ricotta di buffala et des pousses d’épinard, est passé au four (14€50). À l’origine de ces bonnes idées, un duo de start-upeurs food. Matthieu s’active pour le salé et son amie Pauline pour les plaisirs sucrés, notamment le dessert signature, une tarte au chocolat chantilly vanille de l’île Maurice surmontée d’un dôme meringué (8€).
84 rue Mouffetard 75005
Ouvert du mardi au dimanche de 10h30 à 19h.
 


Gelati d’Alberto: C’est dans la rue Mouffetard que l’on peut déguster l’une des meilleures glaces à l’italienne de Paris. Cela se passechez Alberto, une affaire familiale de glaciers de père en fils, qui concoctent chaque jour des sorbets et crèmes glacées artisanales principalement à base de lait, de crème fraîche et de fruits frais. Le tout sans conservateur ni arôme artificiel ! Pour 3€50, on s’offre un cornet en forme de rose, avec deuxparfums au choix parmi de belles propositions : du classique avec le citron, le chocolat, la vanille ou la fraise et des saveurs plus créatives avec les parfums coquelicot pavot, fleur d’oranger, tarte citron ou Kinder ! Ici, pas de quoi faire grimper son indice glycémique car toutes les glaces sont allégées en sucre.
45, Rue Mouffetard, 75005 Paris
Tous les jours de  12h-00h
 

Hôtel des Grandes Écoles: Si on prend la liberté de s’éloigner (de quelques pas) de la rue Mouffetard, c’est pour vous emmener dans un endroit rare, une adresse que l’on se chuchote seulement entre amis. Pour trouver cet hôtel à la façade rose, il faut passer un petit portail de la rue du Cardinal Lemoine et s’avancer dans une ruelle pavée. On tombe alors sur une terrasse bien ombragée, agrémentée de petites tables et de parasols qui trahissent l’esprit du lieu. Ici, les résidents viennent s’offrir une petite retraite paisible à l’abri de l’agitation. Dans les chambres d’ailleurs, pas de télévision, mais un esprit bucolique servi par des papiers peints aux motifs joliment désuets. 
75, rue du Cardinal Lemoine, 75005

30/07/2017 - 17:12
Trésors oubliés de Paris.
 
La plupart du temps, on parcourt la ville, la tête ailleurs, pour se rendre d’un point A à un point B, ne prenant plus la peine de regarder autour de soi. Malheureusement, sans même s’en rendre compte, les Parisiens distraits et négligents que nous sommes passent à côté de bon nombre de petites reliques insolites planquées un peu partout dans la
ville, et dont l’histoire est bien souvent cocasse. Alors, pour tous ceux qui voudraient se rattraper, on déclare la chasse aux 11 trésors oubliés de Paris ouverte ! 

1 – Les boîtes à sable.Il est assez rare de rencontrer dans la capitale ces curieux coffrets métalliques, de taille plutôt imposante, qui portent le blason de la Ville. Pas étonnant puisqu’on aurait recensé seulement trois vestiges de ce qui servit au siècle dernier de réservoirs à sable, bien utiles en cas de verglas ou de neige pour dégager la chaussée. Bah quoi ?! Il fallait bien un système D à l’époque avant que nos amis les déblayeurs et leurs super camions ne débarquent pour désencombrer Paris !



Où ?
- Face au 48, avenue Gabriel, 75008
- Face au 2, place de la Reine Astrid, 75008
- Face au 39, avenue Trudaine, 75009

2 – Le canon du Palais-Royal. Si l’on ouvre l’oeil, au beau milieu des somptueux jardins du Palais-Royal, on peut apercevoir un petit canon fixé sur un socle en pierre. Grâce à un ingénieux procédé élaboré par un horloger, le canon a été programmé pour tonner tous les jours à 12h pile, et ce jusque dans les années 1990. Aujourd’hui, on peut encore y lire la citation gravée :“Je ne compte que les heures heureuses.” : un sacré gourmand, cet horloger !

Où ? Jardin du Palais-Royal, 75001

3 – Les repères de nivellement. Pas évident de croiser sur son chemin – sans risquer d’attraper une scoliose – ces plaques en fonte de forme rectangulaire dissimulées à nospieds, en bas des immeubles ou des quais. Ces repères altimétriques, datant pour les plus anciens du 19ème siècle, ont permis à la Ville de Paris, au moment où a commencé à se construire le réseau de distributionde l’eau et des égouts, de connaître le nivellement et calculer alors les pentes nécessaires à l’écoulement de l’eau. Astucieux !

Où ? Rue des Grands-Augustins, 75006 (sans doute le repère le mieux conservé de la capitale)

4 – Le dernier urinoir de Paris. A la fin du 19ème siècle, la mairie décida d’installer un certain nombre d’urinoirs publics pour ces messieurs, afin de rendre les rues un peu plus propres. Progressivement, ces urinoirs circulaires à une ou deux places ont disparu au profit des toilettes publiques mixtes… par souci d’équité peut-être ?! Il n’en demeure pas moins que le bonheur des “unes” a fait le malheur des autres et qu’il ne nous est parvenu qu’un seul et unique vestige de ces vespasiennes à ciel ouvert. Une ultime
occasion pour la gente masculine de se soulager à l’air libre !



Où ? Boulevard Arago, 75014

5 – Le manège à bras du square Ranelagh. Le privilège de vivre dans l’une des plus belles villes du monde, c’est d’avoir à portée de main des choses tout à fait inédites, comme ce dernier manège de chevaux de bois sans moteur, que l’on tourne à la manivelle par la force des bras. Les enfants, munis d’une petite baguette en bois, à califourchon sur les petits chevaux, doivent tenter d’attraper les anneaux suspendus au-dessus de leurs têtes pour avoir droit à un tour gratuit (le célèbre jeu de la ficelle !). A la simple vue de ce carrousel qui n’a cessé de tourner depuis 1870, vous retomberez immédiatement en enfance !

Où ? Jardin du Ranelagh – 1, avenue Prudhon, 75016

6 – L’avertisseur d’incendie de la rue Sévigné. Pour prévenir les incendies, des bornes publiques d’appel de couleur rouge vif ont été disséminées dans Paris dès la fin du 19ème, permettant aux habitants d’entrer directement en contact avec la caserne de pompiers la plus proche, en cas d’urgence. Il suffisait de briser la glace d’une petite fenêtre pour ouvrir le boîtier et voir aussitôt débarquer nos
soldats du feu aguerris. Il ne reste plus aujourd’hui qu’une seule de ces bornes, placées à l’entrée de la caserne de Sévigné, par devoir de mémoire.

Où ? 7, rue de Sévigné, 75004

7 – Les derniers pèse-personnes. Au milieu du 19ème siècle, encouragés par les prescriptions des médecins, les Parisiens – pour ne pas dire les Parisiennes – commencent à surveiller de près leur ligne. Or, il est encore trop tôt dans les mentalités pour en faire une affaire privée : la pesée s’effectue donc aux yeux de tous sur des bascules automatiques publiques au détour des quais du métro et parcs parisiens. Pour ceux qui ne redoutent guère les balances, on trouve encore un de ces anciens pèse-personnes au Jardin du Luxembourg.



Où ? Jardin du Luxembourg, 75006

8 – Les derniers mètres étalon. Au moment de la Révolution française, vers la fin du 18ème siècle, on essaya en France d’uniformiser progressivement notre système de poids et de mesures par l’instauration du système métrique répandu aujourd’hui
dans le monde entier. Pour familiariser la population avec ces nouvelles unités de mesure, 16 mètres étalons furent installés un peu partout dans la ville. Seules deux de ces règles de marbre demeurent encore visibles aujourd’hui dans la capitale, pour ceux qui voudraient éventuellement prendre leurs références !

Mètre étalon présent sur la façade du ministère de la Justice Où ?
- Sur la façade du ministère de la Justice – Place Vendôme, 75001
- Sous des arcades près de l’entrée du Sénat – 36, rue de Vaugirard, 75006 (le seul à avoir préservé son emplacement d’origine)

9 – Les cadrans solaires. La Ville Lumière abrite de nombreuses traces d’anciens cadrans solaires permettant aux habitants d’avoir une meilleure notion du temps : on en recense encore plus d’une centaine dans la capitale. Plus très utiles à notre époque avec tous les moyens que nous avons, mais ces cadrans creusés dans la pierre sont tout à fait pittoresques. Un véritable jeu de piste dans la ville si l’on s’amuse à collecter les différentes maximes qui y sont inscrites !

Où ? Rue de l’Abreuvoir, 75018 (entre autres)

10 – Les derniers lampadaires rouge pompier. Aux abords des casernes de pompiers de la ville, on peut encore voir de longs candélabres d’époque noirs aux vitres teintées de rouge vif.
L’inscription “sapeurs pompiers” qui y figure en transparence nous laisse aisément deviner leur usage premier : ces lampadaires
permettaient en effet de rendre visibles les casernes de nuit.
Aujourd’hui, il est rare de voir des casernes qui en sont encore équipées : dommage, avec cette petite touche de couleur, on se serait presque cru à Amsterdam !

Où ? Square Violet, 75015

11 – Les fontaines Wallace. Ces petites fontaines d’eau potable publiques – pour la plupart, en fonte peintes en vert – n’ont rien de particulièrement parisien ni même français, et pourtant elles sont souvent caractéristiques aux yeux des touristes étrangers du charme de la ville. En fait, elles ont été implantées un peu partout dans le monde vers la fin du 19ème siècle sous l’initiative d’un philanthrope britannique pour éviter aux plus démunis de tomber dans l’ivrognerie. Mais, la Ville Lumière peut se vanter d’avoir été la première à les obtenir !

La fontaine Wallace de la place de l’Émir-Abdelkader dans le 5ème


La fontaine Wallace or jaune de l’esplanade Pierre-Vidal-Naquet dans le 13ème


La fontaine Wallace en applique de la rue Geoffroy-Saint-Hilaire dans le 5ème.


30/07/2017 - 11:38

                                     
C'EST  ARRIVÉ  UN  30  JUILLET

1859
Blondin, le premier et le plus grand des funambules à Niagara
A l'âge de 31 ans il vint en Amérique du Nord et annonça qu'il traverserait les gorges du Niagara sur un câble.
Le 30 juin 1859 le câble était en place et à 17h00, Blondin commença sa
marche qui devait entrer dans l'histoire. Les spectateurs incrédules le
virent descendre une corde vers "The Maid of the Mist", remonter une
bouteille, s'asseoir et boire tranquillement. Il commença son ascension
en direction de la berge canadienne, pausa, se concentra, stabilisa le
balancement de son balancier et soudain exécuta un saut périlleux
arrière.
Ne se contentant jamais de répéter son dernier spectacle, Blondin traversa sur son câble à vélo, marcha les yeux bandés, en
poussant une brouette, se fit cuire une omelette au milieu et traversa
avec les pieds et les mains menottés

1889
Naissance de Vladimir Zworykin, le père de la télé
Vladimir Kozmitch Zvorykine, né en Russie, est un physicien et ingénieur,
naturalisé américain en 1919 après la Révolution russe.
En 1931, il va perfectionner et permettre la production industrielle du tube
analyseur des caméras vidéos (désormais remplacés par des capteurs CCD).
En 1933, il mit au point l'iconoscope, tube de prise de vue qui permit les grands progrès de la télévision cathodique.
Il réalisa ensuite, en 1936, les premiers photomultiplicateurs et
perfectionna le microscope électronique, puis se consacra à
l'électronique médicale.
Jusqu'à sa retraite en 1954, il va faire des recherches dans le domaine télévisuel, notamment chez RCA.
Il est décédé le 29 juillet 1982 à Princeton aux États-Unis

1941
Naissance de Paul Anka, chanteur canadien
Paul Anka, né à Ottawa, est un auteur-compositeur-interprète canadien d'origine syrienne.
Encouragé par ses parents, Paul Anka développe très tôt un talent de chanteur et
enregistre son premier titre I Confess à l'âge de 14 ans.
Le 7 août 1957, il fait sa première apparition télévisée à New York, dans
l'émission American Bandstand appartenant au réseau ABC.
Il y présente une chanson composée pour son ancienne baby-sitter, Diana Ayou.
La chanson Diana remporte un succès immédiat et passe en tête des meilleures ventes de disques le 9 septembre.
Diana reste aujourd'hui un des 45 tours les plus vendus de l'histoire de la musique avec neuf millions de copies.
Grâce aux titres You Are My Destiny et Crazy Love, également classés dans les
20 meilleures ventes de l'année 1958, Paul Anka devient l'idole du
public adolescent.
Après une tournée en Grande-Bretagne en novembre 1957, il réalise une série de concerts avec Buddy Holly en Australie en
janvier 1959.
Il enchaîne les succès commerciaux avec les titres Put Your Head On My Shoulder, It's Time To Cry, Puppy Love et My Home Town,
tous classés dans les dix meilleures ventes de l'année..

1943
À Paris, Marie-Louise Giraud est guillotinée pour avoir pratiqué des avortements
Marie-Louise Giraud, née le 17 novembre 1903, est guillotinée, par le régime Pétain,
dans la cour de la prison de la Roquette à Paris par le bourreau
Jules-Henri Desfourneaux pour avoir pratiqué 27 avortements illégaux
dans la région de Cherbourg. Elle fut la seule « faiseuse d'anges » à
être exécutée pour ce motif. Un homme fut également guillotiné la même
année pour trois avortements
Le 29 juillet 1939, un mois avant l'invasion de la Pologne qui conduit à la mobilisation générale, le Code
de la famille aggrave les peines sanctionnant l'avortement. Aux
privations économiques et surtout alimentaires imposées par la guerre
s'ajoutent, dès juin 1940, les séparations d'un grand nombre de couples
mariés (sur 1,9 million de prisonniers de guerre français internés en
Allemagne). Pour ces raisons, les grossesses – adultérines ou non – sont
de moins en moins désirées et les avortements clandestins plus
nombreux. La loi du 15 février 1942 aggrave les choses, l'avortement
devenant crime contre la sûreté de l'État est passible de la peine de
mort. Elle fut abrogée à la Libération

1948

Micheline Ostermeyer remporte 3 médailles aux JO de Londres
Maureen Gardner, Fanny Blankers-Koen et Micheline Ostermeyer en 1950
Née en France, Micheline Ostermeyer passe sa jeunesse en Tunisie où elle
apprend le piano. Devant ses capacités, elle revient en France pour
entrer au Conservatoire avec l'aide de Lazare-Lévy. Durant la Seconde
Guerre mondiale, elle retourne en Tunisie où, grâce à un père sportif,
elle découvre le sport, pratiquant le basket-ball et l'athlétisme. Dès
la fin de la guerre, elle devient concertiste, obtenant le premier prix
de piano au Conservatoire de Paris (« Je consacre cinq heures par jour
au piano et cinq heures par... semaine au sport ! »).

En parallèle, elle pratique toujours le sport et participe aux
Championnats du monde universitaires de 1947 (médaille d'or en hauteur
et au poids) et aux Jeux de Londres en 1948. À ces derniers, elle
remporte trois médailles, deux titres olympiques au lancer du poids et
au lancer du disque, et une médaille de bronze au saut en hauteur, tout
en donnant un concert le soir de sa victoire au lancer du poids1. Elle
est ainsi la première athlète française championne olympique

1996
Décès de Claudette Colbert
Claudette Colbert est une actrice américaine d'origine française, née Émilie
Claudette Chauchoin, le 13 septembre 1903 à Val-de-Marne en France et
morte le 30 juillet 1996 à Speightstown à la Barbade.

30/07/2017 - 11:06
PARIS square des Peupliers

Square des Peupliers, l’impasse calme et secrète du 13e  

 
Le 13e fait définitivement partie des arrondissements parisiens les plus propices à la balade et au dépaysement. On connaissait déjà la bucoliquePetite Alsace, la pittoresque Cité Florale, et voilà que l’on découvre, un peu plus à l’Est, une autre pépite : le
square des Peupliers, une jolie impasse verdoyante et colorée.
Car, son nom ne l’indique pas, mais le square des Peupliers est bel et bien une rue ! Pour y accéder, il suffit de se rendre entre les numéros 68 et 72 de la rue du Moulin-des-Prés, à quelques embranchements de la grande et froide rue de Tolbiac. On découvre alors une jolie voie pavée et entièrement piétonne qui forme une boucle autour d’un îlot central.
 
 

Dans cette impasse, bien cachée par les immeubles des rues adjacentes, la végétation est clairement reine. Les maisons individuelles sont éclectiques, aucune ne se ressemble, mais elles possèdent toutes, sans exception, un jardinet protégé par des grilles en fer forgé. Glycines, lilas, lierres, jasmins, roses, la végétation foisonne dans chacun de ces petits espaces colorés et donne à la rue une atmosphère apaisante etrésolument dépaysante. Ce très beau tableau est complété par des lampadaires, qui nous rappellent l’époque où Paris s’éclairait au gaz, et des petits détails qui donnent de la vie à ce calme coin de la capitale: une cloche en guise de sonnette, un chat qui dort sur un muret, des plaques aux annonces inattendues au dessus des portes d’entrée.
 
 

Cette tranquille impasse est non seulement idéale pour une promenade dominicale, mais son histoire vaut, elle-aussi, que l’on s’y intéresse. Comme de nombreuses cités ou rues des 13e et 14e arrondissements, le square des Peupliers a vu le jour durant la première moitié du XXe siècle, sur un terrain qui a longtemps appartenu au village de Gentilly. Ce petit bourg au portes de Paris était composé de belles propriétés rurales, de zones artisanales anciennement établies le long de la Bièvre et de grandes parcelles en friches.
Lors des travaux d’assainissement et d’urbanisation réalisés sous la direction du baron Haussmann au milieu du XIXe siècle, la Bièvre avait été remblayée et recouverte.
Le terrain, installé au dessus de cet ancien cour d’eau, était particulièrement fragile à cet endroit et ne pouvait donc pas accueillir
de hauts immeubles trop lourds. C’est ainsi qu’en 1926, le square des Peupliers, petite voie d’à peine 142 mètres de long et 3 de large, est sorti de terre, peuplé de petites maisons individuelles uniquement. Aujourd’hui, ce petit îlot résidentiel offre une jolie
parenthèse à quiconque le traverse. Et on ne le traverse jamais vraiment par hasard.
 
 

Où ? Square des Peupliers, 75013
Métro : Tolbiac (ligne 7)


 
30/07/2017 - 10:50

                                                C'EST  ARRIVÉ  UN  30  JUILLET
                                                     


1863. Naissance d'Henry Ford, fondateur du constructeur automobile Ford.

1898. Invention des Corn Flackes, dans le Michigan (Etats-Unis).

1948. Naissance à Casablanca (Maroc) de Jean Reno.

1940: Le gouvernement de Vichy institue les chantiers de jeunesse

1940: La bataille d'Angleterre débute... Le 30 juillet 1940, Hermann Goering,
qui dirige la Luftwaffe, l'aviation de combat allemande, annonce le
début de la «grande bataille aérienne» contre l'Angleterre, selon ses
propres mots. L'offensive va tourner court en raison de la résistance
héroïque des pilotes britanniques du «Fighter Command» et d'une
innovation révolutionnaire, le radar... Après l'invasion de la France,
surprenante de rapidité, Hitler escompte une soumission de l'Angleterre,
dernière puissance européenne à lui résister. Mais celle-ci, dirigée
avec détermination par Winston Churchill, rejette les offres de paix
venues d'Allemagne. Pour abattre l'Angleterre, le dictateur allemand
doit en premier lieu obtenir la maîtrise du ciel au-dessus de la Manche.
Mais son offensive va tourner court du fait de la résistance héroïque
des pilotes britanniques, qui disposent d'un nombre à peu près
équivalent d'appareils (en particulier les redoutables Spitfire). De
juillet à octobre, 415 pilotes anglais perdront la vie dans cet
affrontement décisif. Le Premier ministre exprimera dès le 20 août la
reconnaissance des Britanniques à leur égard: «Jamais dans l'histoire
des guerres un si grand nombre d'hommes n'ont dû autant à un si petit
nombre». Devant l'incapacité de vaincre la chasse adverse, Hitler
reconnaît son échec et renonce dès le 12 octobre à son projet
d'invasion. C'est un premier et immense succès pour Churchill et les
Britanniques.

1914: Tryggve Gran a été en effet le premier aviateur à survoler la
redoutable mer du Nord d'Aberdeen en écosse à Stavanger, en Norvège. Pas
de chance, deux jours plus tard c'est la guerre et personne ne parle de
son exploit alors que tout le monde se souvient de Louis Blériot et de
sa traversée de la Manche

le 30 juillet c'est la Journée internationale de l'amitié DONC LA NOTRE