De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
27/07/2017 - 15:28
DES ILLUSTRATIONS QUI VOUS FERONT REFLECHIR.
Ces images dénoncent tout le cynisme, l'hypocrisie et les injustices qui gouvernent notre monde..





















































27/07/2017 - 15:24
                                                 
L'HISTOIRE  DE  LA  ROSE


" La rose est la fleur de l'amour et la plus populaire fleur de ce monde."
Elle a été créée par Chloris, la déesse grecque des fleurs,
mais d'un corps sans vie d'une nymphe
qu'elle a trouvé un jour dans un effacement dans les bois.
Elle a demandé l'aide d'Aphrodite, la déesse de l'amour,
qui lui a donné la beauté;

Dionysus, le dieu du vin, du nectar ajouté pour lui donner un parfum doux,
et des trois Grâces lui a donné le charme, l'éclat et la joie.
Puis Zephyr, le vent occidental, a soufflé loin les nuages
de sorte qu'Apollon, le dieu du soleil,
a pu polir et faire la fleur des fleurs.
Et ainsi, Rose est née et était immédiatement reine couronnée des fleurs.

Rose - Symbole suprême de l'amour ?
La rose est symbole d'amour, de passion, mais aussi de trahison. Celle-ci
est la fleur la plus offerte ; rouge, elle evoque la passion ; rose,
elle incarne la joie, orange, elle symbolise votre désir et blanche,
elle couronne la pureté de vos sentiments. Seule la rose jaune se teinte
de tristesse puisqu'elle dénonce l'infidelité de l'être aimé !
Un peu d'histoire.
La légende raconte que la rose était la fleur preférée de la déesse de l'amour, Aphrodite.
Mais la culture de cette fleur debuta veritablement au XIIIè siècle lorsque
Thibaut IV ramena de croisades la rose gallique, ainsi que Robert de
Brie, la rose de Damas.
Anecdote.
Ce sont les roses de Chine qui ont une importance des plus capitales dans
l'histoire de la rose, puisque les specimen remontants ramenés par les
botanistes anglais de la fin du du XIXè siècle sont à l'origine de la
plus grande partie des roses remontantes modernes.

1ère version de l'histoire de la rose

Il paraît que la première nuit d'amour entre Cléopâtre et Marc Antoine se
serait déroulée sur un lit de pétales de roses de quarante-cinq
centimètres d'épaisseur. Mais c'est surtout par sa valeur symbolique que
la rose a laissé son parfum dans l'Histoire. Quelques exemples :

La rose associée à la Vierge, à l'origine de la dévotion catholique du Rosaire.
La guerre des Deux-Roses, qui opposa en Angleterre au XVe siècle la
maison d'York (dont l'emblème était une rose blanche) à celle de
Lancastre (représentée par une rose rouge). La rose est aujourd'hui
encore la fleur symbolique de l'Angleterre.
Les Rose-Croix, société secrète mystique ayant pour emblème une rose rouge fixée au centre d'une croix.
La Rose blanche de Finlande, ordre national finlandais créé en 1919 pour récompenser les services rendus au pays.
La Rose blanche, mouvement d'opposition à Hitler dont les fondateurs furent décapités à la hache en 1943.
* Plus récemment, la rose rouge, associée par François Mitterrand au Parti socialiste


2e version de l'histoire de la rose:
On a découvert des empreintes de feuilles de roses sue des fossiles des
montagnes rocheuses du Colorado, datant du paléolithique.
La rose, probablement originaire d'Asie, apparaît comme motif artistique vers 3
000 avant J.-C. dans des documents asiatiques et n'a, semble-t-il, été
introduite en Europe que plus tard.
Bien qu'Homère chante "Le parfum des roses" et "L'aurore aux doigts de rose" en 800 avant J.-C., la
fleur elle-même n'est pas encore mentionnée dans ses écrits.
On pense que l'Europe a d'abord découvert l'huile parfumée à la rose
(l'essence de rose) et que cet arôme séduisant a finalement ouvert la
voie à la culture de la fleur elle-même.

Les somptueux banquets romains baignaient dans les roses
R. damascena    

Alors que la civilisation hellénique, qui donna naissance à la philosophie
grecque, touchait à sa fin et que la civilisation romaine d'abondance
matérielle devenait prospère, les roses commencèrent à devenir des
produits de luxe que l'on consommait généreusement.
Avant un banquet, les invités se baignaient puis s'enduisaient tout le corps
d'huile de rose. Comme les convives s'allongeaient pour dîner, le
plafond était entièrement décoré de roses pour le plaisir des yeux ; le
sol était recouvert d'un tapis de roses et des pétales de roses
flottaient dans les verres de vin.
Le plus extravagant des banquets placés sous le signe de la rose a sans doute été celui que l'empereur et
despote romain Néron donna une nuit dans son palais doré sur le
Palatin. Outre les luxueux bains à l'eau de rose et à l'essence de rose,
on fit pleuvoir du plafond des pétales de roses et de l'huile de rose
et l'on servit aux invités du vin parfumé à la rose et un dessert à base
de roses. On estime que cette seule nuit d'extravagance coûta
l'équivalent de 150 000 dollars !
Cléopâtre utilisa aussi les roses pour souligner sa beauté. On raconte que, lors de sa rencontre
historique avec son futur amant, Antoine, le tapis de roses avait plus
de 30 centimètres d'épaisseur.

3e version de l'histoire de la rose:

La rose, fleur aux multiples facettes et aux significations si
contrastées, a été célébrée au cours des âges pour mille raisons
différentes. L'Antiquité en a fait la fleur des dieux, le Christianisme
la fleur de Dieu. Le Moyen-Âge commença à la désacraliser et la
Renaissance en fit un vulgaire objet d'étude botanique et médicinale.

Dans la seconde moitié du XVIIIème siècle elle devient la Reine des fleurs,
le symbole du retour à la Nature. La nouvelle place de la Rose est alors
le reflet des tendances nouvelles en matière d'esthétique, le renouveau
des parcs et des jardins.

Au XIXème siècle, la rose est une fleur ornementale essentielle, ses vertus médicinales sont presque
oubliées, son symbolisme religieux également et c'est une Rose nouvelle
qui va passionner botanistes et horticulteurs.
La collection de roses de Madame Bonaparte, devenue Impératrice Joséphine, est
certainement au Parc de Malmaison la collection la plus importante de
l'époque, bien qu'elle ne fut jamais complètement répertoriée. Des
amateurs éclairés suivirent l'exemple de la Malmaison, tel l'Amiral De
Bougainville, ami de Joséphine, qui devint sur ses vieux jours
collectionneur de roses.



En 1799, il est installé au Château de SUISNES, en Brie terre
traditionnelle des roses. Son jeune jardinier, Christophe COCHET, se
passionne également pour les roses qu'il fait fleurir tout l'hiver dans
le serre de l'Amiral. En 1805, il crée dans le parc une « allée des
Rosiers », à l'époque même où Joséphine, à Malmaison, commence sa propre
collection. Monsieur de Bougainville va même aider financièrement
COCHET à acquérir la propriété du Plouy ou fief de Breda ; c'est ainsi
que naquirent les premières roseraies de GRISY-SUISNES. À sa mort en
1819, Christophe COCHET laisse une collection de 75 variétés.

 
27/07/2017 - 15:21
« Oncles et tantes d’Amérique »

D’héritages légendaires et fabuleuxen escroqueries notoires...D’après « Le Petit Journal illustré », paru en 1937)...
 
Les héritages fabuleux d’ « oncles et tantes d’Amérique » suscitèrent bien des convoitises et donnèrent lieu, non seulement aux légendes les plus improbables bientôt ruinées par de méticuleuses recherches, mais encore à des escroqueries notoires, telles l’histoire d’un certain Bonnet prétendument parti se faire nommer roi de Madagascar, ou celle de la « Grande Thérèse » dont s’amusa tout Paris à la fin du XIXe siècle

Une histoire d’héritage fantastique enfièvre depuis des mois maintes familles d’Alsace et d’Allemagne, rapporte en 1937 le journaliste Jean Lecoq du Petit Journal.
Il s’agit de la succession d’une « tante d’Amérique », succession qui avoisinerait, dit-on, le demi-milliard, un tel chiffre expilquant les convoitises des candidats héritiers qui sont au nombre de plus de 10 000.

Dans la première moitié du XIXe siècle, un modeste habitant de Bitschwiller, en Alsace, du nom de Christophe Schaeffer, émigra en Amérique, s’y maria et eut une fille, Henriette, laquelle épousa un grand planteur de tabacs, Walter Garrett.
Celui-ci mourut dans les dernières années du XIXe siècle. Sa veuve, Henriette Garrett, née Schaeffer, lui survécut jusqu’en 1930. Le 16 novembre de cette année-là, elle partait à son tour, à l’âge de 90 ans, pour un monde meilleur.
Mais elle laissait après elle une des plus belles fortunes d’Amérique, une fortune de 17 millions de dollars, acquise par son époux dans la culturedes tabacs. Mme Garrett n’avait pas d’héritiers directs.
Soucieuse de faire profiter de son argent les membres de sa famille paternelle qui pouvaient exister encore dans la région rhénane, elle laissa par testament une somme de plus d’un million qui devait être consacrée à desrecherches minutieuses en vue de découvrir ces parents éloignés.

Des recherches commencèrent aussitôt. Pendant ce temps, la fortune d’Henriette Garrett produisait des intérêts évalués à 1500 dollars par jour ; et en 1937, ce n’était plus 17 mais 20 millions de dollars qu’elle représentait.
On conçoit que l’espoir d’un tel héritage ait éveillé les espérances de tous les Schaeffer d’Alsace et d’Allemagne. Or, ce nom est, là-bas, aussi commun que le sont, ailleurs, ceux de Durand ou de Dupont.
Et cela n’était pas fait pour faciliter la besogne des enquêteurs.
Le chroniqueur du Petit Journal nous rapporte qu’existe à cette époque au ministère des Affaires étrangères un service spécial qui s’occupe des recherches relatives aux successions lointaines...Il est facile d’imaginer, poursuit-il, si on a enregistré là des histoires d’héritages fabuleux, d’héritages qui demeurent en souffrance,et qui ne datent pas d’hier.
La plus ancienne de ces revendications est celle qui a pour objet la succession de Jean Thierry, lequel n’était pas, d’ailleurs, un oncle d’Amérique, mais un oncle de Venise.
Ce Jean Thierry, fils d’un cordonnier de Château-Thierry, était allé, à la fin du XVIIe siècle, s’établir dans la cité de Saint-Arc. Il y mourut en 1700, laissant une énorme fortune placée à la célèbre banque vénitienne, la Zecca.
Or, Jean Thierry avait, à Château-Thierry, deux neveux, ses héritiers directs, qui ne furent jamais avertis de la mort de leur oncle, et de lamerveilleuse succession qu’ils pouvaient revendiquer.Celle-ci demeura dans les coffres de la Zecca, improductive.

Et il arriva que, quatre-vingt-dix-sept ans plus tard, Bonaparte vint à Venise avec ses soldats en haillons.
L’armée manquait de tout : il fallait la vêtir, la nourrir. L’or déposé à la Zecca fut réquisitionné. Les millions de Jean Thierry revinrent ainsi, du moins, à la France.
Mais il arriva qu’un jour, les descendants des deux neveux de Château-Thierry connurent l’histoire.
C’était au nom du gouvernement français que Bonaparte avait mis la main sur la fortune de leur grand-oncle.
Ils en réclamèrent à l’Etat la restitution, firent des procès, furent déboutés, recommencèrent, ne se lassèrent pas.
Au début du XXe siècle l’un d’entre eux introduisait encore, devant la première chambredu tribunal civil, une action contre l’Etat en revendication des millions de Jean Thierry.
Cet héritage de Jean Thierry n’était pas purement légendaire. Il exista réellement : et des papiers de l’époque du Directoire, conservés aux Archives, en font la preuve.
Mais que dire de tant d’autres successions fantaisistes qui n’existèrent jamais que dans l’imagination de ceux qui en réclamaient la possession ?

Il y a, notamment, la succession d’un certain Jean-Etienne Martin, « originaire du Languedoc » (on ne dit point de quelle ville ni de quel village, est décédé à Buenos-Aires, on ne sait pas exactement en quelle année)...

La succession Martin qui, pendant des lustres, a enfiévré toutes les familles Martin, et Dieu sait s’il y en a, de la Lozère, du Gard, de l’Hérault, de l’Ardèche, de la Haute-Loire, des Landes, de la Haute-Garonne, etc. Hélas !
Malgré les recherches opérées en Argentine par les soins de l’administration du Quai d’Orsay, on ne trouva nulle trace de ce Martin et de sa fortune.
Il y a aussi la succession de Jean-Antoine Mallet, qui serait décédé au Brésil en 1888, et dont l’administration n’a jamais pu découvrir l’acte de décès.
On n’a même pu savoir en quelle cité brésilienne était mort ce millionnaire. Cela n’a pas empêché d’innombrables Mallet de réclamer lessix cents millions que la légende attribuait à ce Crésus mystérieux.
Mais il y eut cet autre Malet — avec un seul « l », celui-ci — qui serait mort dans l’Etat de l’Ohio, laissant une fortune supérieure à 10 millions de dollars.
Ce Malet était, disait-on, le fils du général Malet, le célèbre conspirateur. Les recherches opérées en Amérique démontrèrent que le personnage avait bien existé...Mais, de la fortune qu’on lui attribuait, on ne trouva pas la moindre trace.

Et il y eut encore Picard, mort à Philadelphie en 1832 ; Dupont, mort à Saint-Louis ; Tissier, de Marmande, qui serait décédé en 1884, à l’hôpital Bellevue de New-York...Poilras et Lafforgue, qui seraient morts à Chicago, l’un en 1887,
l’autre en 1905 ; et Durand, mort en Argentine ; et Guérin, décédé au Brésil ; et Boyer, à Haïti ; et Huc, au Chili ; sans compter quelques nababs des Indes néerlandaises : Colmon, Dubois, Renard, qui avaient fait, à Batavia, d’immenses fortunes dans la culture de la canne à sucre.

Car tous ces oncles d’Amérique, d’Asie, d’Océanie possédaient d’incalculables richesses. La moindre de ces fortunes, revendiquées par tant d’héritiers, s’élevait à 25 millions.
Certaines de ces revendications remontent au XIXe siècle.Le seul malheur était qu’en dépit des recherches consciencieuses et obstinées de l’administration, on ne put jamais retrouver, non seulement les héritages, mais même la plus petite trace de tous ces oncles opulents.Ils étaient innombrables, pourtant, car nous n’avons nommé ici que
quelques-uns ; nous en avons passés, et des plus riches ; et, notamment,l’un des plus fantastiques, l’oncle Bonnet.

Le nommé François-Claude Bonnet était un oncle, non plus d’Amérique, mais de l’Inde.
A en croire ses héritiers, le dit Bonnet, après avoir vécu longtemps à Calcutta, où il aurait acquis une fortune de 75 millions, serait parti se faire nommer roi de Madagascar. Il serait mort dans la Grande Ile vers 1830.

Pendant des années, cette fable ridicule enflamme l’imagination de tous les Bonnet de France et de Navarre — et il y en a presque autant que de Schaeffer dans les régions rhénanes.
Sur la demande de tous ces Bonnet, l’administration se livra à toutes les recherches possibles à Madagascar, à l’île Bourbon, dans l’Inde et même en Angleterre : elle ne trouva absolument rien ; et elle constata le fait dans une note publiée au « Moniteur officiel » le 19 mars 1834.
Cette note aurait dû mettre fin à toutes les espérances et à toutes les convoitises des héritiers Bonnet : il n’en fut rien. La légende subsista, prenant même une force nouvelle.
Et l’histoire Bonnet suscita même, en fin de compte, la plus jolie escroquerie. En 1887, un Comité se forma, à Paris, et mit l’affaire Bonnet en actions. Tout le monde — Bonnet ou non — pouvait souscrire.
Dès la rentrée de la succession on assurait aux souscripteurs vingt fois la valeur du capital versé. Les fonds affluèrent. Après quoi, le Comité disparut, et l’argent des victimes avec lui.
Car ce sont là, trop fréquemment, explique notre chroniqueur, la conséquence et l’aboutissement de toutes ces histoires d’héritages fabuleux.
Tant qu’elles se contentent de bercer des espérances et de décevoir des convoitises, elles ne font pas grand mal ; mais trop souvent, elles favorisent l’escroquerie.
Et ce ne sont pas toujours les héritiers — ou pseudo-héritiers — qui sont les seules victimes de ces dangereuses illusions.

Il faut rappeler à ce propos une affaire qu’on dénomma justement « la plus dangereuse escroquerie du siècle » et dont le retentissement ne fut peut-être jamais égale : l’affaire Humbert.
Il s’agissait d’une somme de 40 millions qu’un Anglais, nommé Henry Crawford, mort à Toulouse en 1883, aurait léguée à Mme Marie-Thérèse Daurignac, épouse de Frédéric Humbert (né en 1857), député de Seine-et-Marne et fils de Gustave Humbert (né en 1822), ancien garde desSceaux, premier président de la Cour des Comptes.
Marie-Thérèse Humbert allait donc entrer en possession de ce magnifique héritage, quand surgirent deux neveux du testateur, Robert et Henry Crawford, lesquels prétendaient détenir un autre testament de leur oncle aux termes duquel la fortune était léguée, non plus à Mme Humbert, mais à eux, Crawford frères, et à Mlle Maria Daurignac, sœur de Mme Humbert, à charge de servir à cette dernière une rente de 360 000 francs.
Or, à cette époque, Mlle Daurignac était mineure. En attendant que sa majorité rendît une transaction possible, M. et Mme Humbert étaient nommés séquestres de la fortune.
On imagine ce qu’une pareille histoire pouvait entraîner de complications et favoriser d’escroqueries.
Il y eut des procès ; les tribunaux rendirent des arrêts qui donnaient uneexistence légale à ces Crawford que personne n’avait jamais vus, pour la bonne raison qu’ils n’existaient pas plus que l’oncle opulent dont ils étaient les héritiers.
C’était Thérèse Humbert qui avait imaginé, monté et machiné toute l’affaire. Les Humbert menaient grande vie.
Tout leur monde leur faisait crédit sur l’héritage. Les personnages les plus en vue fréquentaient leurs salons. Mais tant va la cruche à l’eau...
Il suffit d’une seule plainte pour faire crouler l’échafaudage de mensonges dressé patiemment par la « Grande Thérèse ».
Il fallut ouvrir le fameux coffre-fort dans lequel celle-ci affirmait que les millions étaient enfermés. Il était vide.
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Jamais Paris ne s’amusa tant. Il faudrait un volume pour énumérer les chansons, les images, les cartes postales, les bibelots de toutes sortescommémorant les principaux épisodes de l’affaire.
L’ouverture du coffre-fort, surtout, suscita la verve des chansonniers. On y trouva, disaient-ils, un grand écrin...
Et dans ce grand écrin,Un autr’ petit écrin,Et dans ce p’tit écrin,Peau d’balle et balai d’crin ! Et par là-dessus, la foule, à tous les carrefours, reprenait le refrain dans un éclat de rire :Ah ! les poires !...Les bonnes poires !... Au jour de l’An, les camelots vendirent sur les trottoirs « le coffre-fortet le lapin » ; au jour des Rois, les pâtissiers glissèrent dans leurs galettes une opulente Thérèse en porcelaine.
On vendit « le Billet de banque Craquefort », le « Jeu des Oies de la mère Humbert », le « Dernier soupir de Thérèse ». Celle-ci fut mise en prison. « Je suis une grande victime », dit-elle.
Et le plus curieux de l’histoire, c’est qu’elle le croyait.
Ces escroqueries chez lesquelles la folie de la richesse et des grandeurs est favorisée par un manque absolu de scrupules, bâtissent leur fable silaborieusement, vivent leur rêve si intensément, qu’elles finissent paren faire une réalité.

Leur imagination a créé autour d’elles un monde fabuleux qui, peu à peu, leur apparaît vivant, agissant, réel.
Ce fut le cas de la « Grande Thérèse » : le rêve, à force d’occuper son esprit, était devenu réalité.
27/07/2017 - 15:02
Balade Dans Les 10 Plus Beaux Jardins Du Monde



Le Jardin botanique de Montréal est situé dans l'est de la ville de Montréal au Québec et il est l'un des plus importants jardins botaniquesdu monde.
Wikipédia
Superficie : 75 ha Province : Québec

Prêt pour un tour du Monde des plus beaux jardins ? Suivez-nous dans les 10 plus beaux jardins à visiter à travers notre belle planète Terre !

1- Les jardins de Métis - Québec
Elsie Redford était une passionnée d’horticulture. Elle a transformé la villégiature familiale en un paradis paysager de 18 hectares. Le microclimat de l‘endroit et des techniques horticoles de pointe lui ont
permis d’implanter des espèces rares et uniques au Québec...
azalées, rhododendrons, ainsi que des espèces fragiles comme le pavot bleu de l’Himalaya.
Les jardins de Métis accueillent tous les ans le festival international des jardins.

2- Le Jardin Botanique De Rio De Janeiro - Brésil
Jardim Botânico est un quartier de la ville de Rio de Janeiro au Brésil. Il est situé dans la zone sud près de la Lagoa Rodrigo de Freitas, au nord du Leblon, au nord-est de Gávea et à l'ouest de Humaitá. L'ouest est limité par les montagnes...
Wikipédia
Fondé en 1808 par Joao VI de Portugal pour être un parc d’acclimatation, le jardin de Rio regroupe des espèces du monde entier et abrite le plus important herbier du Brésil.
Ce sont de majestueux palmiers impériaux de plus de 30 mètres de haut qui accueillent les visiteurs et les entraînent à la découverte des bambous géants, de la palmeraie ou de la serre aux orchidées.

3- Le Jardin Botanique De Kirstenbosch - Afrique du sud
Le jardin botanique de Kirstenbosch est situé dans la partie la plus aisée de la banlieue de la ville du Cap en Afrique du Sud. Ce jardin botanique est l'un des plus renommés au monde grâce à ses collections et sa situation exceptionnelle.
Wikipédia
Les collections de ce jardin, composées essentiellement de plantes d’Afrique australe, s’étendent sur pas moins de 528 hectares.
Très harmonieux dans sa conception, il fait cheminer le visiteur des parties cultivées et agencées jusqu’aux forêts naturelles des contreforts de la Montagne de la Table.
D’une richesse extraordinaire par la diversité des espèces présentées, le Kirstenbosch Garden est un lieu précieux pour la conservation de la flore d’Afrique du sud.

4- Le jardin Majorelle - Maroc
Le jardin Majorelle est un jardin botanique touristique d'environ 300 espèces sur près d'1 hectare à Marrakech au Maroc et un musée de la culture berbère.
Wikipédia
Des plantes rares et exotiques autour d’un long bassin, des centaines d’oiseaux, une collection de palmiers, une bambouseraie, et ce bleu Majorelle si intense...
C’est le rêve de ce peintre, tombé amoureux de Marrakech dans les années 1920.
Ce jardin botanique s’est fortement inspiré des jardins islamiques.
Jacques Majorelle l’a peuplé de nombreuses espèces qu’il a rapporté de ses voyages autour du monde...
Yuccas, cactus, jasmins, nénuphars, parmi tant d’autres.

5- Kew Gardens - Grande-Bretagne
Jardins botaniques royaux de Kew.
Les jardins de Kew sont un ensemble de jardins et de serres situés entre les quartiers de Richmond upon Thames et de Kew, à l'ouest de Londres.
Wikipédia
Inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, les jardins de Kew, à Londres, possèdent l’un des plus grands herbiers du monde et sont les initiateurs du projet de conservation et de protection du plus grand nombre possible des plantes existant sur Terre.
La passerelle de la canopée permet un point de vue exceptionnel sur ces jardins regroupant de multiples serres et
univers : palmeraie, collections de plantes exotiques, jardins japonais ou méditerranéens.


6- Les jardins suspendus de Marqueyssac - France
Les jardins de Marqueyssac se situent sur la commune de Vézac, dans le département français de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Ils sont inscrits sur la liste des jardins remarquables de France.
Wikipédia
C’est le buis qui est la vedette de ces jardins, le buis et l’art topiaire : 150 000 buis centenaires font parcourir aux visiteurs des mises en scènes pleines de fantaisie.
Tout en rondeur, les moutonnements poétiques de ces buis font écho aux collines alentours.
Surplombant de 130 mètres la Dordogne, ce lieu est le jardin romantique par excellence.
Lieu classé et historique, le parc du château s’étend sur 22 hectares.

7- Le Jardin De La Villa d’Este À Tivoli - Italie
La Villa d'Este, située dans la ville de Tivoli, près de Rome, est un chef-d'œuvre de l'architecture italienne et de l'aménagement de jardins.
Wikipédia
 Style architectural : Architecture de la Renaissance
Fonction : Musée
Architecte : Pirro Ligorio
Ingénieurs : Tommaso Chiruchi, Alberto Galvani

Chef d’œuvre de la Renaissance, le jardin de ce palais a été le modèle de nombre de jardins en Europe et parmi les premiers “Jardins des Merveilles”.
Remarquable mélange entre la nature et l’art du jardin, entre la pierre et l’eau, ce sont ces jeux d’eau qui frappent les esprits...Fontaines, cascades, bassins reposent sur un fabuleux système hydraulique qui ne fait appel qu’au principe des vases communicants.

8- Le Parc Floral Du Keukenhof - Pays-Bas
Les Pays-Bas sont l'un des quatre pays constitutifs du Royaume des Pays-Bas, un État souverain à qui il fournit l'essentiel de sa superficie et de sa population, de sorte qu'on le désigne lui-même le plus souvent sous le nom de Pays-Bas.
Wikipédia
Capitale : Amsterdam
Indicatif téléphonique : +31
Devise : Euro
Langues officielles : Néerlandais, Langues frisonnes, Papiamento
Destinations : Amsterdam, Rotterdam, La Haye, Utrecht, PLUS

Des tulipes, bien évidemment, mais surtout des plantes à bulbes, sur 32 hectares de parfums et de couleurs : Keukenhof est le plus grand parc floral au monde.
Selon un thème différent chaque année, ce sont plus de 7 millions de bulbes de tulipes, narcisses, lys, jonquilles et autres fleurs qui sont plantésau milieu des bois et autour des bassins.
Le paysage change sans cesse tout au long du printemps avec la succession des floraisons.

9- Les Jardins De Suzhou - Chine
Les jardins classiques de Suzhou sont des chefs d'œuvre de l'art des jardins chinois aménagés du XIᵉ au XIXᵉ siècles dans la ville historiquede Suzhou et classés dans la liste du patrimoine culturel mondial de l'UNESCO.
Wikipédia
Ces jardins classiques, dont un remonte au XIème siècle, visent à ressembler au plus près à des paysages naturels idéaux, la beauté naturelle étant un des constituants principaux de la culture chinoise.
Il existe encore plus de 50 jardins classiques à Suzhou, dont 9 sont considérés comme de parfaites reproductions des jardins chinois “de Montagne et d’Eau”, et sont inscrits dans la liste du patrimoine mondialde l’UNESCO.

10- Le Jardin Du Musée D’art Adachi - Japon

 Le musée d'art Adachi est un musée d'art moderne entouré d'un jardin japonais considéré comme étant l'un des plus beaux du Japon.
Wikipédia
Date d'ouverture : 1970
Certainement l’un des plus beaux jardins du Japon, celui-ci a été créé pour être l’écrin des collections du musée, mais il est aussi par lui-même une véritable œuvre d’art, partie intégrante des expositions.
Il présente 6 tableaux vivants,dont certains ne sont visibles que depuis le musée par un point de vue unique.Sa réalisation se base sur l’art du shakkei, ou paysage emprunté, qui intègre totalement le jardin dans son environnement.

Crédits photos...
CC BY-SA 3.0 via Wikimedia Commons
tsc_travelerFlickr, CC BY 2.0
27/07/2017 - 14:46
Visite En Touraine...Un Extraordinaire Potager Fleuri...
Par Hélène Thomas Du Magazine Détente jardin

Magnifiquement implanté dans le jardin de la France, le potager du château 
de Valmer doit son rayonnement au travail et aux savoirs de sa jardinière.

Alix de Saint Venant est paysagiste, passionnée par les arbres et les jardins historiques ; elle a fort à faire à Valmer avec un parc de 60 haqui suit encore son dessin du XVIIe siècle.
Mais c’est bien son potager qui l’a rendue célèbre.
Ce jardin conservatoire de plus d’un hectare, riche de variétés potagères et aromatiques de toutes provenances, est le fruit d’un long travail qu’elle mène depuis les années 2000, avec la complicité de collectionneurs et de jardiniers passionnés.

1. Le chou palmier noir de Toscane (‘Nero di Toscana’) trouve sa place sur les terrasses florentines.
2. La vigne escargot (Vigna caracalla) ; une exotique qui fleurit à Valmer.
Un Lieu D’harmonie Avec les vignes aux alentours – une production de l’AOC Vouvray remise en production par Aymar de Saint Venant –, on se croirait dans une villa florentine.
La foule de variétés végétales improbables et les foules non moins nombreuses de visiteurs invitées à ce festin naturel n’ont pas altéré l’élégance classique des terrasses ensoleillées du potager, à l’image des gracieuses arches de brique de leurs balustres.

1. La bourrache, c’est facile, joli sur les salades avec un petit goût salé en plus.
2. Les jolies fleurs tardives du Polygonum orientale (annuel) viennent prolonger les couleurs du potager ; sans être toxique, la plante n’est pas à consommer.
Un Jardinage Inventif. Voici des années que le potager ravit les sens car ici on peut goûter tout crus les légumes, qui seront cuisinés en public les jours de fête.
D’une année à l’autre, il n’est jamais tout à fait le même, soumis aux caprices des saisons et aux arrivages parfois lointains...
Jusqu’à Saint- Pétersbourg, où de nombreux échanges ont eu lieu avec l’institut Vavilov.
On y expérimente toutes sortes de pratiques culturales – Anciennes ou innovantes –, pourvu qu’elles aident la pré- servation des sols et des équilibres naturels.
De Vieilles Serres... Indispensables ! Traditionnelle alliée du potager, la serre permet l’hivernage des souches fragiles, et le départ de semis précoces.
 Au printemps, la tâche est lourde, soumise 
à de nombreux aléas climatiques.

Le semis sous abri – dès l’hiver avec un chauffage d’appoint, en mars-avril sans chauffage – permet de démarrer plus tôt les plants à repiquer et de mieux répartir certaines productions comme les salades.
Il est en outre indispensable pour tous les légumes méridionaux (tomates poivrons...) qui au dehors n’auraient pas assez de jours de chaleur pouraccomplir leur cycle annuel jusqu’à la fructification.
Une serre de multiplication demande un suivi constant, car la température varie vite, avec de fortes amplitudes en fonction de l’ensoleillement ; le blanchiment des vitres peut atténuer ce phénomène,mais ne dispense pas d’aérer aux heures chaudes.

De même, l’arrosage doit rester sous contrôle. Une bonne régulation de ces conditions constitue un rempart sûr contre la prolifération des maladies ou des parasites.

Quelques Belles Découvertes.
1. L’amarante
Les amarantes sont des annuelles rapides qui font de l’effet avec leurs épis géants. Ceux-ci donnent des graines nourrissantes mais peu utilisées dans nos cuisines ; les feuilles se mangent comme des épinards.
2. L’agastache
Les fleurs en épis sont très colorées et de longue durée ; annuelles ou vivaces très résistantes à la sécheresse, elles ont leur place au jardinaromatique pour leurs essences fortes et variées (menthe, réglisse, anis...).
3. La stévia
La stévia est restée confidentielle jusqu’à l’autorisation récente de développer sa culture pour exploiter son haut pouvoir sucrant. Elle est présente à Valmer depuis quelques années, bien que pas très rustique.

Les légumes emblématiques du potager.

1.La betterave

Les belles betteraves comme la rouge ‘Tonda di Chioggia’ ne se mangent plus cuites mais crues en fines tranches citronnées ; un légume facile à cultiver pour son excellente résistance aux maladies.
2. Les cucurbitacées
Les cucurbitacées présentent une diversité qui ravit les collectionneurs ; en plus des beaux fruits nourrissants (photo) à conserver pour l’hiver, on cultive en pergola une collection de calebasses africaines dites« gourdes »(Lagenaria siceraria).
3. La tomate
La tomate est le premier légume consommé aujourd’hui mais sa culture reste aléatoire au centre de la France : les printemps frais compromettent le démarrage et les étés orageux voient les maladies proliférer.

Les Fleurs Comestibles.
Avez-vous déjà goûté 
la capucine (ci-dessus), la sauge, la bourrache, la menthe coq (Tanacetum balsamita) au parfum de chewing-gum ou 
la mertensia au goût d’huître ?
Et vous risqueriez-vous aux petites hémérocalles jaunes (H. fulva et H. citrina) ou à la pivoine ‘Duchesse de Morny’ ?
Les fleurs, qui ont toujours eu leur place
 à Valmer, seront cette année choisies en priorité parmi les comestibles...
De beaux tableaux en perspective ainsi que d’insolites visites.
Des ateliers et des animations auront lieu certains week-ends autour de la cuisine des fleurs.

La Collection De Menthes.
1.  After Eight’, une menthe poivrée au parfum des friandises éponymes
2. M.arvensis, une menthe verte au goût de banane.
3. La menthe marocaine à feuilles gaufrée, pour le thé et les infusions.
4. La menthe ‘Bergamote’, poivrée au délicieux parfum d’agrume.
Les menthes occupent une bordure à l’ombre près de la serre ; peu exigeantes en sol frais, elles peuvent constituer une menace pour leurs voisines, qu’elles envahissent si on ne les contrôle pas.
Elles se déclinent en différentes espèces aux feuillages marqués (très fin chez M. requinii, allongé chez M. piperata, etc..) et d’innombrables variétés sélectionnées pour leur multitude de parfums.

Un soin tout particulier à la qualité du sol, la faune, la flore.
Le paillis (ci-dessus sous une rhubarbe) protège les plantes de la sécheresse et du froid, maintient le sol proche et l’améliore en se décomposant.
1. Pour l’élaborer, Alix de Saint Venant utilise les copeaux de peuplier, bois blanc sans tanin récupéré d’une scierie propre, et surtout la paille de lin, achetée en balle chez un agriculteur : facile à installer, elle tient longtemps et a une belle couleur grise.
2. Pour la biodiversité, il est rare qu’une même variété soit répétée en grand nombre, qu’elle soit ancienne ou récente, comme l’arbre asiatique Nashi ‘Shinseiki’.
L’association de plantes empêche les parasites spécifiques de se propager : légumes et fleurs se protègent mutuellement, aidés par les feuillages aromatiques dont les essences ont un rôle répulsif ou attractif, selon les cas.
3. Les insectes sont plus souvent utiles que nuisibles : on connaît le travail bénéfique des coccinelles mangeuses
de pucerons, mais bien d’autres agissent de même.
Pour les attirer, on leur a construit une maison où chaque compartiment offre un habitat différent, constitué de chutes de bois de divers calibres, de morceaux de terre cuite, de paille ou de vieux papiers.
Toutes Les Infos Sur Le Jardin:
Lieu : Touraine, au cœur du vignoble du vouvray.

Climat : tempéré, sous influence océanique ; la douceur réputée du Val de Loire n’empêche pas les gels hivernaux ponctuels mais sévères, et les périodes de sécheresse en été.

Surface : 6 ha en terrasses.
 Le potager conservatoire occupe à lui seul plus d’un hectare ; la vigne historique replantée dans l’enceinte du parc complète la visite gustative du potager.

Exposition : plein sud.

Sol : calcaire ; plusieurs siècles de cultures potagères ont favorablement amendé les terrasses. La partie inférieure, au plus près de la rivière, bénéficie d’un limon plus fertile.
Âge du jardin : Le parc classique et ses terrasses « à l’italienne » ont conservé le dessin du XVIIe siècle, en harmonie avec le pavillon du Petit Valmer ; le travail de paysagiste d’Alix de Saint Venant a donné une nouvelle vie au domaine sans en changer l’esprit.
Entretien : deux jardiniers travaillent actuellement sous la direction d’Alix de Saint Venant, toujours active dans l’élaboration, le suivi et l’animation du potager.
Château de Valmer - Jardin -
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27/07/2017 - 12:27
L'ENFANCE MECONNUE D'UN MONSTRE.
 

La maison natale d'Hitler à Braunau am inn
 
 
Aloïs Hitler son père et sa mère Klara Pölzl originaires de Waldviertel
une commune située dans la ruralité frontalière de la Bohême
.
 
Le 20 avril 1889 naissance d'Adolf quatrième enfant du couple, deux jours plus tard l'enfant recevra le baptême à l'église de
Braunau am inn en Haute Autriche, ce qui réduit à néant les suppositions sur ses origines juives.

 
 
Adolf a quelques mois
  
En 1894 la famille déménage pour Passau situé du coté Allemand de la frontière, en 1895 le père prend sa retraite, achète une petite ferme située à  Fischlham puis se livre à l'apiculture. Dans ce village le 2 mai 1895 Adolf 6 ans, entre dans l'école de Karl Mittermaier, plus tard cet instituteur témoignera:
"Je me souviens combien ses affaires de classe étaient toujours rangées dans un ordre exemplaire".
L'été 1897 la famille s'installe à Lambach.
 Pour poursuivre ses études l'élève Adolf entre au monastère du village ou il y devient enfant de cœur. Puis en 1898 c'est le déménagement pour Leonding une localité proche.
 
 
Leonding en 1899, Adolf se trouve au centre de la rangée supérieure
 
Adolf à de bons résultats à l'école, il aime jouer à l'extérieur, principalement aux cow-boys et aux indiens. Sa sœur Paula dira de lui
 "Quand on jouait aux Indiens Adolf faisait toujours le chef. Tous ses camarades devaient obéir à ses ordres. Ils devaient sentir que sa volonté était la plus forte". 
Lorsqu'il a onze ans son père l'inscrit à la Realsschule distante de quatre kilomètres. Les résultats scolaires d'Adolf s'effondrent du jour au lendemain au point de redoubler son année.
 Son père forme le souhait d'en faire un fonctionnaire alors que lui voudrait être artiste peintre.  La confrontation père fils est
inévitable "Je ne voulais pas être fonctionnaire. Ni discours, ni sévères représentations ne purent réduire cette résistance. 
 
"Je ne serai pas fonctionnaire, non, et encore non ! Adolf Hitler, Mein Kampf, 1925."  
Un arrêt cardiaque du père mettra un terme à  la  confrontation  père fils, en 1903 Adolf a 14 ans. Sa mère Klara le place en pension à Linz afin qu'il réussisse dans ses études.« Il était incontestablement doué, quoique d'un caractère buté. Il avait du mal à se maîtriser, ou passait du moins pour un récalcitrant, autoritaire, voulant toujours avoir le dernier mot, irascible, et il lui était visiblement difficile de se plier au cadre d'une école. Il n'était pas non plus travailleur, car sinon (…) il aurait dû parvenir à des résultats bien meilleurs. Hitler n'était pas simplement un dessinateur qui avait un beau brin de crayon, mais il était capable aussi, à l'occasion, de se distinguer dans les matières scientifiques (…). » Eduard Huemer professeur principal, déposition au procès de 1923.   
À la rentrée scolaire, Hitler quitte l'école de Linz pour l'établissement de Steyr à quarante-cinq kilomètres de là.
Ses résultats scolaires sont médiocres au point de stopper sa troisième en prétextant un mauvais état de santé et ainsi mettre un terme à ses études.
 

  Tristan et Le Hollandais volant.
En mai 1906, sa mère lui offre un séjour à Vienne 
 
A l'été 1905, Klara  vend la maison de Leonding pour installer sa famille dans le centre de Linz. Sa mère lui offre un voyage à Vienne où, d'après son ami August Kubizek, un apprenti pâtissier amoureux de musique ,  Hitler devenu « dandy », fine moustache, manteau et chapeau noirs, portant canne au pommeau d'ivoire,  boit de l'alcool, fume beaucoup, il assiste à deux opéras de Richard  Wagner.
 Revenu à Linz il adhère à l'Association des amis du musée de Linz  puis il convainc sa mère dont il porte toujours sa photo sur lui, d'entamer des études de musique. Études qu'il abandonnera rapidement. Durant l'automne 1905  il se présentera à l'examen de l'Académie des Beaux Arts de Vienne. Refusé pour travail insuffisant
 « J'étais si persuadé du succès que l'annonce de mon échec me frappa comme un coup de foudre dans un ciel clair. »  Adolf Hitler, Mein Kampf, 1925
Le 21 décembre 1907 Klara Hitler s'éteint à son tour laissant Adolf désemparé, ce jeune homme est maintenant âgé de 19 ans, mesure 1,72 m pour 68 kilos.
 
« Klara Hitler était une femme simple, modeste et pleine de bonté. Grande, elle avait des cheveux bruns soigneusement tressés et un long visage ovale avec de beaux yeux gris bleu expressifs (...). Jamais je n'ai vu quiconque aussi terrassé par le chagrin qu'Adolf Hitler. »— Eduard Bloch, médecin de la famille Hitler.
Revenu à Vienne une ville cosmopolite dont le maire est un anti-juifs actif, il se présente de nouveau aux Beaux-Arts, se prive de nourriture afin d'assister aux représentations théâtrales ou celles de l'opéra. Mis à part une jeune bourgeoise ils ne s'intéresse guère aux filles. Une fois de plus il n'a pas l'autorisation de passer l'épreuve des Beaux-Arts "pour manque de travail", encore un échec. Il est incapable de se soumettre à une discipline quelconque. Il déménage trois fois pour enfin être mit à la rue faute d'argent. Il a 21 ans et pas d'emploi. de 1910 à1912 la police de Vienne l'enregistre dans un foyer d'accueil pour sans abri, il se fait un peu d'argent en déblayant la neige ou portant les valises des voyageurs. Le matin il se nourrit d'une soupe, le soir, un simple croûton de pain fait l'affaire. Ses camarades d'infortune signalent sa propension à l'oisiveté. Il est de tous les débats politiques du foyer c'est la que se forge ses idées antisémites et aryennes.
Au fond de la tourmente il reçoit de sa tante Johanna cinquante couronnes
 





  Aquarelle 1914 - Marie et Jésus 1913 - Vase bleu 1912 - Sa signature.
 
Il réalise et vend a des juifs quelques tableaux format carte postale. Le 4 Mai 1911 sa demi-sœur Angela Robal, tutrice de Paula la sœur d'Adolf lui réclame devant le tribunal  une aide pour élever dignement Paula. Malgré lui il accepte le paiement d'une pension qui sera prise sur son héritage paternel, héritage qu'il ne percevra qu'à sa majorité lorsqu'il aura atteint l'age de 24 ans.  
En 1913 il touche enfin cet héritage d'un montant de 819 couronnes, se croyant oublié des autorités Autrichiennes car il ne s'est pas inscrit pour le service militaire  "oubli ou pas ?", il se rend à Munich ou il se déclare "apatride". 
En janvier 1914 il est convoqué au consulat d'Autriche pour se justifier de sa désertion. Il donnera des explications évasives concernant sa convocation jamais arrivée, ceci ajouté à son peu de ressources et son infection? Le consul croit en sa parole et le dispense de service devantla commission militaire de Salzbourg. Dans la réalité des faits, Hitler refusait de porter les armes pour les Halsbourgtoute sa vie il passera sous silence ce fait. 

 
Au lendemain de la déclaration de guerre du Kaiser le 2 août 1914, Hitler se presse  sur l' Odeonplatz pour applaudir le roi de Bavière 
Toutefois rien ne confirme ce fait, la photo laisse un doute.  
Oubliant qu'il refusait de faire son service militaire Autrichien, Hitler dans Mein Kampf se disait heureux de partir en guerre. Pourtant  il traîne les pieds pour arriver au bureau recruteur et ne sera finalement incorporé comme volontaire que le 16. Il n'arrivera à Lille que le 22 octobre. Le 28 octobre il se bat du coté d' Ypres, le 1er son bataillon est décimé, 611 survivants sur 3 600 hommes, il recevra le grade de caporal, la croix de fer et un poste d'estafette à  l'état-major de son régiment. En période de calme il peint des aquarelles. Ne désirant pas gagner de galons (synonyme de mutation dans une autre unité du front) il s'emploiera à bien faire son travail. Parlé de coucher avec des Françaises le met hors de lui car contraire à l'honneur Allemand, il ne boit ni ne fume, ne fréquente pas le bordel, s'isole souvent du groupe pour lire ou réfléchir. Un seul ami, Foxi son chien. 
C'est un guerrier fanatique jusqu’au-boutiste, pas de fraternité, d'amitié ou d'élan de cœur, pour lui aucun défaitisme ne doit être toléré.En fait on le sait maintenant, son unité composée de paysans non motivés était mal entraînée et tenue à l'écart pour manque de motivation. Rien à voir avec les souvenirs contenus dans le livre. 
 
 
Adolf Hitler à droite en 1915 

En octobre 1916 un obus éclate dans l'abri des estafettes, blessé à la cuisse gauche il est dirigé sur l’hôpital de Beelitz près de Berlin, passé ce séjour le 7 mars 1917 il rejoint son régiment  basé à Vimy. Fin septembre le régiment se voit attribué deux semaines de permissions, Hitler passe ce temps dans la capitale Berlinoise.
 Un mois avant l'armistice Hitler se trouve gazé à Hypres, il est envoyé à l’hôpital de Pasewalk en Poméranie. 
« C'était une intoxication par l'ypérite, et pendant toute une période j'ai été presque aveugle. Après, mon état s'est amélioré, mais en ce qui concerne ma profession d'architecte je n'étais plus qu'un estropié complet, et je n'aurais jamais cru que je pourrais un jour lire de nouveau un journal. » Archives du procès de Munich en 1923

Une révolution secoue l'Allemagne et Berlin, la Kaiserliche Marine se mutine. Le Kaiser abdique et se réfugie en Hollande. La république est proclamée, deux jours plus tard l'armistice est signé.
 
Dans Mein Kampf Hitler raconte qu'il ne pouvait lire les journaux. C'est un pasteur qui visitant les malades, le 10 novembre, lui apprend l'instauration de la nouvelle république. Comme frappé par la foudre il fut saisi d'une révélation puis alors qu'il avait retrouvé la vue, anéanti par cette nouvelle il  redevient aveugle?  "Il affirme avoir eu une vision patriotique le décidant instantanément à faire de la politique.En fait il s'agit d'une cécité hystérique soignée par le psychiatre Edmund Forster spécialiste des névroses de guerre, ce spécialiste entreprend sur Hitler une hypnothérapie révélant semble t-il,  la paranoïa et la psychose associée à  la vision patriotique du futur Fuhrer.
Le docteur Forster surveillé par la gestapo s'est (ou a été) suicidé en 1933, aucun dossier concernant Hitler n'a été retrouvé.
Des sa convalescence terminée Hitler prend le poste de surveillant militaire dans un camp de prisonnier en Bavière. Les prisonniers rendus,le 25 janvier 1919 Hitler regagne son régiment à Munich. Quelques jours plus tard des combats de rue ont lieu, le ministre de Bavière est assassiné. Devenu l'homme de confiance du régiment il est nommé en avril chef du bureau de la commission d'enquête de son régiment sur les événements civils extérieurs. Contrairement à ses écrits Hitler sera attentif, parfait, ne prendra aucun engagement, Hitler se sert des événements de proximité  sans s'engager dans la politique, encore moins dans la garde civique, il est neutre, sans fanatisme antisémite. Toute sa vie il appliquera la politique du coup de poignard dans le dos. En juin il est chargé par son capitaine de faire de la propagande anticommuniste auprès de ses camarades. C'est lors de ces conférences qu'il découvre ses talents d'orateur et de propagandiste, pour la première fois de sa vie il charme et entraîne le public avec lui.
 



 
Hitler prend  alors des cours d’élocution
Puis s’enchaînent ...
 





La carte du NSDAP il a 20 ans, puis ses tournées de propagande à 23 ans, le côtoiement des militaires et des milices l'implique  en novembre 1924 (35 ans), dans la mort de cinq policiers et 16 blessés, Putsch de la Brasserie, il risque la peine de mort. Condamné à cinq ans de prison il ne fera que neuf mois.
27/07/2017 - 10:02

                                            ÇA C'EST PASSÉ UN 27 JUILLET

1884 : Après avoir été interdit en 1816
pour incompatibilité avec le catholicisme, le divorce est à nouveau
autorisé. Seule les séparations pour fautes sont autorisés.

1917 : naissance du comédien et chanteur français Bourvil[

1921 : L'hormone pancréatique appelée insuline est isolée par le docteur
Frederick Grant Banting et son assistant Charles Herbert Best. Testée
sur un chien auquel les chercheurs ont enlevé le pancréas, cette hormone
permet de recréer artificiellement les échanges de sucre dans
l'organisme de l'animal. Une révolution médicale pour les malades du
diabète. Frederick Grant Banting, Charles Herbert Best et leurs
collaborateurs James Richard Mac Leod, chef de laboratoire, et James
Bertram Collip, chimiste, recevront le Nobel de médecine deux ans plus
tard

1990 : La production de la mythique voiture Citroën, la Deux-Chevaux
s'arrête. À 16h, la dernière 2CV sort de l'usine de Mangualde au
Portugal.

1982 : L'homosexualité n'est plus considéré comme un délit en France. Il
faudra attendre neuf ans pour qu'elle soit retirée de la liste des
maladies mentales de l'OMS.

2006 : Quelques jours après avoir remporté le Tour de France, le coureur
Floyd Landis est soupçonné de dopage à la testostérone. La justice lui
retirera plus tard son titre.

 
26/07/2017 - 21:52
                                       

D'où vient cette expression : "Qui s'y frotte s'y pique" !
On peut résumer le sens de cette expression par : "quand on s'attaque à
quelqu'un ou un danger, il convient d'en mesurer les risques".

L'expression « Qui s'y frotte s'y pique » date de la fin du
16ème siècle. On l'attribue souvent aux ducs d'Orléans qui les premiers
ont adopté le porc-épic comme emblème, mais aussi aux rois de France
Louis XI et Louis XII qui l'utilisèrent et dont elle était la devise.


Mais
« Qui s'y frotte s'y pique » peut également provenir de la devise
historique très proche, de la ville de Nancy, qui est liée à l'image du
chardon : "Non inultus premor", ce qui signifie : "Je ne suis pas
attaqué sans tirer vengeance". Il s'agissait notamment de la devise de
certains chevaliers qui par ces mots prévenaient leurs adversaires de la
vigueur de leur riposte en cas d'attaque.
Les armoiries présentaient par
ailleurs un chardon.




* Le verre met plus d'un million d'années à se décomposer, ce qui signifie qu'on peut constamment et sans cesse, le recycler.

* L'or est le seul métal qui ne peut rouiller, même
enfoui dans la terre pendant des milliers d'années.
* La langue est
le seul muscle du corps humain qui n' y est rattaché que par une seule
de ses extrémités...

* Si vous n'avez plus
soif, il vous faut boire davantage. En effet, lorsque le corps humain
est déshydraté, le mécanisme de la soif s'interrompt.

* Le zéro est le seul chiffre qu'on ne trouve pas dans les chiffres romains.

* Les cerfs-volants
étaient utilisés durant la guerre civile américaine pour la livraison de
courriers et de journaux.

* La chanson "Auld Lang Syne" est entonnée au coup
de minuit de chaque nouvelle année, dans la plupart des pays
anglophones.
* Boire de l'eau après le repas
permet de réduire de 61 % le taux d'acide dans la bouche.

* L'huile d'arachide est utilisée
prioritairement dans les sous-marins car elle ne dégage pas de fumée
quand elle est chauffée à moins de 230 C°.

* Le bruit que l'on entend lorsque nous nous collons un
coquillage contre l' oreille n'est pas le bruit de la mer, mais bien
celui de la circulation sanguine dans l'oreille.

* 90 % des créatures vivantes évoluent dans les océans !
* La banane
ne peut se reproduire par elle-même. La manipulation humaine est la
seule manière de la propager.

* Les aéroports situés en haute attitude nécessitent
des pistes d'envol plus longues car la densité de l'air y est moindre.

* L'université de l'Alaska
s'étend sur quatre fuseaux horaires.

* La dent est le seul organe du corps humain qui
ne peut se guérir par elle-même.
*
Dans la Grèce antique, le fait de lancer une pomme à une dame,
équivalait traditionnellement à une demande en mariage, et si la dame
l'attrapait, elle signifiait son acceptation.

* La compagnie Warner a déboursé 28 millions de $ pour acquérir les
droits d'auteur du refrain "Happy Birthday" (Bon Anniversaire)

* Les gens intelligents ont
davantage de zinc et de cuivre dans leurs cheveux.

La * La queue d'une comète pointe toujours dans la direction
opposée à celle du soleil.

* En 1976, le vaccin préventif contre la grippe porcine a
causé la mort ou rendu malades, plus de personnes qu'elle n'en a sauvées
!!!
* La caféine renforce le pouvoir de l'aspirine
contre les douleurs, c'est pour cela qu'on en trouve dans plusieurs
médicaments. * La
tradition du salut militaire remonte au Moyen Age : pour un chevalier,
c'était l'action de relever la visière de son casque d' armure afin de
s'identifier.
* Si
vous vous trouvez au fond d'un puits ou d'une cheminée, regarder vers le
haut vous permettra de voir les étoiles, même en plein jour.

* Lors du décès d'une personne, l'ouïe est le dernier sens
à rester actif, et la vue fait défaut en premier..
* Au
Moyen-Age, le fait de se serrer la main apportait la preuve de l'absence
d'une arme.
* La framboise est le
seul fruit dont la graine pousse à l'extérieur.

* Le fruit qui possède le plus de calories est l'avocat (167
calories par 100 grammes).

* La lune s'éloigne de la terre d'environ 5 cm chaque année, et la
terre s'alourdit de 100 tonnes par jour à cause des retombées de
poussières spatiales.

* La gravité terrestre limite la hauteur
maximale des montagnes à environ 15.000 mètres.
* En
Italie, Mickey Mouse est connu sous le nom de «Topolino».

* En traversant un pont, les militaires évitent de
marcher au pas afin de ne pas générer de vibrations pouvant fragiliser
sa structure et le détruire.


* Chaque kilogramme supplémentaire à
bord d'une fusée spatiale nécessite 530 kg de carburant.

* La lettre J n'apparaît nulle part dans le tableau périodique des éléments.
26/07/2017 - 14:36
4 Nichoirs accueillants à décorer vous-même.
Par Sandrine Echivard Du magazine Détente Jardin

Avant les grandes gelées, pensez à installer un ou plusieurs nichoirs, pour recevoir vos petits hôtes à plumes. Les oiseaux auront le temps de les répérer et de s'y habituer.
Ils pourront ainsi y nicher en toute confiance une fois le printemps venu.
Installez ces nichoirs à l'abri des prédateurs (chats principalement) etne venez pas déranger les oiseaux une fois qu'ils seront installés.

Pour vous inspirer, voici quelques idées pour décorer un modèle basique, tout simple. Décorez-le à votre guise, en laissant libre cours à votre imagination. 


Voici quatre propositions de nichoirs à personnaliser suivant vos envies. Ces abris se doivent d’être respectueux de l’environnement et d’offrir tout l’hiver à nos amis un coin douillet.
Habillez vos nichoirs d’une seconde peau avec des matières isolantes, pare-vent,éco-végétales : la chasse aux bonnes idées est ouverte. 

Le Nichoir En Cuivre & Sapin
Ce nichoir, avec son trou de 35 mm est fait pour les moineaux et les sittelles.
Mais si vous rétrécissez le trou avec du contreplaqué, à 25 mm de diamètre, il attirera les mésanges à tête noire, bleues et nonettes.  
Le cuivre illuminera votre nichoir tout en lui conférant une meilleure résistance aux intempéries et aux U.V. 

Il vous faut : feuille de cuivre - maillet - pince coupante - clous cuivrés - agrafeuse - pointe de marquage - branche de sapin - scie cloche.
 Étapes
1. Marquez le contour du côté face et du trou d’entrée sur la feuille de cuivre. Découpez à la pince coupante et faites le trou à la scie cloche. Clouez le cuivre sur le bois.
 2. Pour couvrir les côtés et le fond avec une seule pièce de cuivre,alignez-les dans l’ordre à plat sur la feuille,en comptant entre chacun un espace de l’épaisseur des planches. Marquez le contour et découpez. Vissez les trois pièces, puis mettez
 le cuivre en forme à l’aide du maillet sur les trois pièces et clouez-le.

 3. Faites de même pour le socle. 
4. Agrafez les branches de sapin en étage sur le toit, décorez et suspendez. 

Le Nichoir En Liège Le liège dans tous ses états : isolant thermique, écologique et naturel… que demander de plus pour cocooner les petits oiseaux de nos jardins ? 

Il vous faut : plaque de liège - ciseaux - colle à bois - pinceau - scie cloche - peinture écologique.
 Étapes
1. Reportez sur le liège le contour de chaque partie du kit nichoir. Découpez aux ciseaux. Et pour la face, découpez l’entrée du nichoir à la scie cloche. 
2. Peignez le dessus du toit et les tranchants des côtés. 
3. Collez le liège sur les parties du kit, excepté le toit, où le liège sera à l’intérieur et simplement vissé en même temps que le toit.
 4. Vissez l’ensemble. 

Le Nichoir Au Toit Végétal
Cette mini-toiture végétale s’inscrit dans une démarche écologique et prolonge la nature avec des sédums qui demandent un minimum d’entretien. 

Il vous faut :  zinc - pince à découper - bâche géotextile - pinceau - peinture écologique - ruban de masquage - substrat - sédums . 
Étapes
1- Montez le nichoir sans le toit, placez le ruban de masquage pour faire le décor et peignez selon votre inspiration.
2- Préparez un bac en zinc à l’ide de la pince à découper de la dimension du toit + 1 cm. Percez des trous d’évacuation sur la face.
3- Placez le géotextile dans le bac en zinc et vissez toit et bac sur le kit.
4-  Ajoutez le substrat, plantez les sédums et disposez de la mousse. 
Le Nichoir Tressé .Matériaux très résistants, la corde en lin et le raphia forment le duo naturel par excellence pour personnaliser votre nichoir avec style. 

Il vous faut : corde en lin - raphia - aiguille - agrafeuse - peinture écologique assortie.
Étapes
1. Montez, vissez le fond et les deux côtés puis enrubannez-les avec la corde en lin. En alternant raphia et corde en lin de différentes couleurs, tressez « dessous-dessus » en faisant des allers-retours. L’astuce : aidez-vous d’une aiguille pour passer les fils et serrez les rangs avec une fourchette.
2. Procédez de même avec le côté face puis rassemblez le reste du kit.
3. Peignez les tranches du toit et du socle.
4. Agrafez les petites longueurs de raphia sur le toit. 

Découvrez nos autres nichoirs customisés...

26/07/2017 - 10:11

                                                  ÇA CEST PASSÉ UN 26 JUILLET

1856
Naissance de George Bernard Shaw

George Bernard Shaw, né à Dublin, fut un critique musical et dramatique
irlandais, essayiste, scénariste, et auteur célèbre de pièces de
théâtre. Irlandais acerbe et provocateur, pacifiste et anticonformiste,
il obtint le prix Nobel de littérature en 1925.

Après avoir tenté en vain de publier cinq romans, George Bernard Shaw s'intéresse à
partir de 1892 au théâtre pour lequel il écrit plus de 50 pièces. Il
développe alors un style où sa verve humoristique, mieux mise en valeur,
va de lui faire un maître incontesté du théâtre anglophone. Dans ses
premières pièces, très engagées mais peu jouées, George Bernard Shaw
s'attaque aux abus sociaux. La pièce Le Héros et le Soldat, produite en
1894 aux États-Unis, marque le début de sa notoriété internationale.
http://www.skyrock.com/m/blog/article_edit.php?id=3298206340
auteur de :
César et Cléopâtre (1899)
Homme et surhomme (1905)
Sainte Jeanne (1923)
Pygmalion (1912) qui sera adaptée en comédie musicale sous le titre de My Fair Lady
Le héros et le soldat

Il a également remporté un Oscar pour le scénario du film Pygmalion
(1938). Il est la seule personne a avoir jamais gagné un Nobel et un
Oscar.
Il a aussi co-fondé la London School of Economics.

Il est décédé le 2 novembre 1950 à l'âge de 94 ans.

Naissance de Mick Jagger, chanteur des Rolling Stones




Mick Jagger est un chanteur britannique qui s'est illustré au sein du groupe
les Rolling Stones depuis le début des années 60. À l'époque, il
étudiait à la prestigieuse London School of Economics (il n'a pas
gradué). C'est de cette institution que Jacques Parizeau a obtenu son
doctorat à la même époque.

1944
Les premiers V-2 allemands tombent sur l'Angleterre
Les V2 furent conçus à la station expérimentale de Peenemünde sous la
direction technique de l'ingénieur allemand Wernher von Braun.
La lettre V, utilisée habituellement au sens de « Versuch » (« prototype »)
signifie ici « Vergeltung », c'est-à-dire « représailles » ou «
Vergeltungswaffe » « arme de représailles ». En effet, les V2 furent
lancés en réponse aux bombardements alliés. Le V2 aurait pu être utilisé
en 1944 en Sicile pour contrer la menace américaine. La mission a été
annulée à cause du nombre de soldats italiens sur la zone.
Après l'échec des deux premiers tirs des 13 juin et 16 août 1942, le premier
vol réussi d'un V2 (encore baptisé A 4 à cette période) eut lieu le 3
octobre 1942. En cette journée, alors que la situation devenait critique
pour le programme, un 4e prototype modifié dans l'urgence5 parcourut une distance de 192 km, effectuant une parabole dont l'apogée culminera à 85 km d'altitude

1952
Décès d'Evita Perón, 33 ans


Née e 7 mai 1919 sous le nom d'Eva Duarte, elle fut l'épouse du président de l'Argentine, Juan Perón,
Elle succombe au cancer.
Juan Perón (1895-1974)

1993
Décès de Matthew B. Ridgway, 98 ans
Matthew B. Ridgway est un général américain. Au cours de la Seconde Guerre
mondiale, il a planifié et commandé l'invasion de la Sicile avec des
troupes américaines aéroportées en juillet 1943. Il a été commandant de
la huitième armée américaine pendant la guerre de Corée. En 1952, il a
succédé au général Eisenhower à titre de commandant suprême des forces
alliées en Europe.

Le 26 juillet 2016, après l'homélie, deux hommes entrent dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvrayla suite est horrible