Deux blondes rebelles et fauchées décident de braquer une banque. Pamela, la plus expérimentée, explique son plan en détail a Betty, la novice. Le jour même, les deux blondes se retrouvent dans leur voiture, devant la banque, avec le moteur qui tourne.
Pamela dit a sa comparse : - Betty, je veux être sure que tu as bien compris le plan, parce que je ne serai pas dans la banque avec toi pour te dire ce que tu dois faire :tu ne dois pas rester plus de trois minutes dans la banque. C'est d'accord ? - J'ai parfaitement compris, répond Betty.
Betty entre alors dans la banque, pendant que Pamela attend au volant de la voiture. Une minute passe... deux minutes... Dix minutes, et toujours pas de Betty en vue. Finalement, au bout de quinze minutes, Betty arrive, traînant laborieusement derrière elle un coffre-fort entoure de plusieurs tours de corde.
Après quelques secondes au bout desquelles les deux filles parviennent,tant bien que mal, a placer le coffre-fort à l'arrière de la voiture, le vigile de la banque fait irruption hors de l'établissement, avec biendu mal cependant, car il a le pantalon et le caleçon baissés sur ses chevilles. Au moment ou il est enfin prêt a faire feu sur les deux blondes, leur voiture est déjà loin ! Au volant, Pamela s'énerve : - T'es vraiment une blonde, toi ! Je pensais que tu avais compris le plan ! - Mais... Bien sur que oui, j'ai compris ton plan. J'ai fait exactement ce que tu m'as dit ! - Pas du tout, espèce d'idiote ! J'avais dit l'INVERSE : Pompe le FRIC et ligote le GARDE...!!!!
Une belle mère décide de savoir si ses trois gendres l’aiment ou au moins l’apprécient… Le lendemain en se promenant au bord du fleuve avec son premier gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer, le gendre sans hésitation plonge et sauve sa belle mère. Le lendemain, devant la maison, il trouve une voiture neuve, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare brise : - Merci de la part de ta belle mère qui t’aime. Elle entreprend le même scénario avec le deuxième gendre, celui ci plonge et sauve sa belle mère. Lui aussi reçoit une voiture, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare brise : - Merci de la part de ta belle mère qui t’aime. Même scénario avec le troisième gendre, elle glisse dans l’eau et commence à se noyer et lui regarde sa belle mère se noyer en se disant : - Depuis le temps que j attendais ça ! Le lendemain, il voit une Porsche toute neuve devant sa maison avec un petit mot : - Merci de la part de ton beau père qui t’aime.
LES JUMELLES… C’est l’histoire de deux sœurs jumelles Colette et Berthe de 60 ans, vieilles filles et vierges toutes les deux… Elles sont là en train de regarder un téléfilm pseudo érotique à la télé lorsque Colette dit à sa sœur Berthe: – J’en ai marre, c’est plus possible. Je ne mourrai pas vierge. Je vais prendre la voiture et sortir en ville, et je ne rentrerai que lorsque je ne serai plus pucelle ! Berthe affolée lui répond : – Heu… essaie de rentrer pour le petit déjeuner sinon je vais m’inquiéter pour toi. Et là voilà partie. La nuit passe, puis le matin… Et pas de voiture devant le garage. Finalement, sur le coup de midi, Colette rentre en courant dans la maison et se rue dans la salle de bains. Berthe frappe à la porte: – Colette, Colette ? Qu’est-ce qui se passe ? Tout va bien ? Pas de réponse. Alors Berthe ouvre la porte et tombe sur sa sœur, assise par terre, la culotte enlevée,les jambes écartées, penchant la tête pour mieux contempler sa foufoune ! – Qu’est-ce qui se passe Colette ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu es blessée ? Alors la sœur lui répond: – Oh Berthe, si tu savais… C’est un bazar qui mesurait bien 25 centimètres quand il est rentré, et 10 quand il est ressorti. Si je retrouve les 15 centimètres manquants tu vas prendre le pied de ta vie sinon je vais m’inquiéter pour toi.
Dans la rue, Jacob et Simon ont une vive discussion. - Ma parole, Jacob ! Je t'assure, le noir c'est pas une couleur ! - Sur ma vie, Simon, le noir c'est une couleur ! - Non, non, non, Jacob ! C'est pas possible ! Le noir, c'est noir ! C'est pas une couleur ! - Aiaiaie, Simon ! Mais tu veux ma mort ou quoi !? Puisque je te dis que le noir c'est une couleur ! - Non, le noir c'est noir, c'est pas une couleur ! - Ecoute Simon, on va voir le Rabbi. Lui, il saura ! - D'accord Jacob. Mais le noir c'est pas une couleur. Et les 2 amis vont voir le rabbin. - Rabbi, Rabbi ! Dis-lui à Simon que le noir c'est une couleur ! - Aie ! La vérité que c'est pas une couleur Jacob ! Hein, Rabbi ? - Ma parole ! hurle le rabbin, Taisez-vous ! Le noir c'est une couleur ?.. Le noir... Une couleur... Eeeh oui ! Eh ! Le noir c'est une couleur !... Jacob et Simon repartent. - Tu vois Jacob, le noir c'est une couleur. - Eh oui ! D'accord, le noir c'est une couleur... Mais le blanc, alors la, c'est sur, c'est pas une couleur ! - Aiaiaie, Simon ! Mais bien sur que si, que le blanc c'est une couleur ! Aah non, sur ma mère, le blanc c'est pas une couleur, c'est blanc ! - Viens Simon, on retourne voir le rabbin. - Rabbi, Rabbi ! Dis-le à Simon que le blanc c'est une couleur ! - Rabbi ! Hein que le blanc c'est pas une couleur ?! - Ma parole mes enfants ! Le blanc... Le blanc... Eeh oui ! Le blanc c'est une couleur. - Eh oui, Jacob, tu avais raison, le blanc c'est une couleur. - Alors tu vois Simon que la télé noir et blanc que je t'ai vendue, c'est une télé couleurs !
Deux blondes rebelles et fauchées décident de braquer une banque.
Pamela, la plus expérimentée, explique son plan en détail a Betty, la novice.
Le jour même, les deux blondes se retrouvent dans leur voiture, devant la banque, avec le moteur qui tourne.
Pamela dit a sa comparse :
- Betty, je veux être sure que tu as bien compris le plan, parce que je ne serai pas dans la banque avec toi pour te dire ce que tu dois faire :tu ne dois pas rester plus de trois minutes dans la banque. C'est d'accord ?
- J'ai parfaitement compris, répond Betty.
Betty entre alors dans la banque, pendant que Pamela attend au volant de la voiture.
Une minute passe... deux minutes... Dix minutes, et toujours pas de Betty en vue.
Finalement, au bout de quinze minutes, Betty arrive, traînant laborieusement derrière elle un coffre-fort entoure de plusieurs tours de corde.
Après quelques secondes au bout desquelles les deux filles parviennent,tant bien que mal, a placer le coffre-fort à l'arrière de la voiture, le vigile de la banque fait irruption hors de l'établissement, avec biendu mal cependant, car il a le pantalon et le caleçon baissés sur ses chevilles.
Au moment ou il est enfin prêt a faire feu sur les deux blondes, leur voiture est déjà loin !
Au volant, Pamela s'énerve :
- T'es vraiment une blonde, toi ! Je pensais que tu avais compris le plan !
- Mais... Bien sur que oui, j'ai compris ton plan. J'ai fait exactement ce que tu m'as dit !
- Pas du tout, espèce d'idiote ! J'avais dit l'INVERSE : Pompe le FRIC et ligote le GARDE...!!!!
Le lendemain en se promenant au bord du fleuve avec son premier gendre,
elle glisse dans l’eau et commence à se noyer, le gendre sans hésitation
plonge et sauve sa belle mère.
Le lendemain, devant la maison, il trouve une voiture neuve, une petite Peugeot 208 avec un mot sur le pare brise :
- Merci de la part de ta belle mère qui t’aime.
Elle entreprend le même scénario avec le deuxième gendre, celui ci plonge et
sauve sa belle mère. Lui aussi reçoit une voiture, une petite Peugeot
208 avec un mot sur le pare brise :
- Merci de la part de ta belle mère qui t’aime.
Même scénario avec le troisième gendre, elle glisse dans l’eau et commence à
se noyer et lui regarde sa belle mère se noyer en se disant :
- Depuis le temps que j attendais ça !
Le lendemain, il voit une Porsche toute neuve devant sa maison avec un petit mot :
- Merci de la part de ton beau père qui t’aime.
LES JUMELLES…
C’est l’histoire de deux sœurs jumelles Colette et Berthe de 60 ans,
vieilles filles et vierges toutes les deux…
Elles sont là en train de regarder un téléfilm pseudo érotique à la télé lorsque Colette dit à sa sœur Berthe:
– J’en ai marre, c’est plus possible. Je ne mourrai pas vierge.
Je vais prendre la voiture et sortir en ville, et je ne rentrerai que lorsque je ne serai plus pucelle !
Berthe affolée lui répond :
– Heu… essaie de rentrer pour le petit déjeuner sinon je vais m’inquiéter pour toi.
Et là voilà partie. La nuit passe, puis le matin… Et pas de voiture devant le garage.
Finalement, sur le coup de midi, Colette rentre en courant dans la maison et se rue dans la salle de bains.
Berthe frappe à la porte:
– Colette, Colette ? Qu’est-ce qui se passe ? Tout va bien ?
Pas de réponse. Alors Berthe ouvre la porte et tombe sur sa sœur, assise par terre, la culotte enlevée,les jambes écartées, penchant la tête pour mieux contempler sa foufoune !
– Qu’est-ce qui se passe Colette ? Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu es blessée ?
Alors la sœur lui répond:
– Oh Berthe, si tu savais…
C’est un bazar qui mesurait bien 25 centimètres quand il est rentré, et 10 quand il est ressorti.
Si je retrouve les 15 centimètres manquants tu vas prendre le pied de ta vie sinon je vais m’inquiéter pour toi.
- Ma parole, Jacob ! Je t'assure, le noir c'est pas une couleur !
- Sur ma vie, Simon, le noir c'est une couleur !
- Non, non, non, Jacob ! C'est pas possible ! Le noir, c'est noir ! C'est pas une couleur !
- Aiaiaie, Simon ! Mais tu veux ma mort ou quoi !? Puisque je te dis que le noir c'est une couleur !
- Non, le noir c'est noir, c'est pas une couleur !
- Ecoute Simon, on va voir le Rabbi. Lui, il saura !
- D'accord Jacob. Mais le noir c'est pas une couleur.
Et les 2 amis vont voir le rabbin.
- Rabbi, Rabbi ! Dis-lui à Simon que le noir c'est une couleur !
- Aie ! La vérité que c'est pas une couleur Jacob ! Hein, Rabbi ?
- Ma parole ! hurle le rabbin, Taisez-vous ! Le noir c'est une couleur
?.. Le noir... Une couleur... Eeeh oui ! Eh ! Le noir c'est une couleur
!...
Jacob et Simon repartent.
- Tu vois Jacob, le noir c'est une couleur. - Eh oui ! D'accord, le noir c'est une couleur... Mais le
blanc, alors la, c'est sur, c'est pas une couleur !
- Aiaiaie, Simon ! Mais bien sur que si, que le blanc c'est une couleur ! Aah non, sur ma
mère, le blanc c'est pas une couleur, c'est blanc !
- Viens Simon, on retourne voir le rabbin.
- Rabbi, Rabbi ! Dis-le à Simon que le blanc c'est une couleur !
- Rabbi ! Hein que le blanc c'est pas une couleur ?!
- Ma parole mes enfants ! Le blanc... Le blanc... Eeh oui ! Le blanc c'est une couleur.
- Eh oui, Jacob, tu avais raison, le blanc c'est une couleur.
- Alors tu vois Simon que la télé noir et blanc que je t'ai vendue, c'est une télé couleurs !