Un homme appelle sa femme et lui demande: Chérie, on m'a invité pour un voyage de pêche avec mon patron et quelques-uns de ses amis. Nous serons partis pour une semaine. Cela représente une bonne opportunité pour moi d'obtenir cette promotion que j'attends depuis si longtemps, alors peux-tu, STP me faire une valise avec assez de vêtements pour une semaine entière et préparer ma ligne et ma boîte à pêche. Nous partirons directement du bureau et je passerai par la maison rapidement pour prendre mes affaires... Oh, STP peux-tu mettre dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleue ? " L'épouse trouve bien étrange l'histoire de son mari mais, en bonne épouse qu'elle est, elle fait exactement ce que son mari lui a demandé. La semaine suivante, le mari revient à la maison un peu fatigué mais, somme toute, content de son voyage. Sa femme l'accueille gentiment et lui demande s'il a pris du poisson et combien il en a pris. Il lui répond : "Oh oui, beaucoup de saumons, des carpes soleil et quelques espadons... Mais au fait, pourquoi n'as-tu pas mis dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleue comme je te l'avais demandé ? "
Vous allez adorer la réponse MESDAMES !!! Et sa femme de lui répondre : "Je l'ai mis... il est dans ta boîte à pêche !!!"
C'est l'histoire d'un notaire dans sa grosse cylindrée qui grille un feu rouge et percute une voiture. L'autre voiture est une fourgonnette, conduite par un agriculteur.
Comme souvent dans ces cas là, ce n'est pas celui qui est dans son droit qui gueule le plus fort... Ici, c'est le notaire qui commence à insulter le paysan pour ne s'être pas arrêté. Un comble !
Mais le paysan ne s'en fait pas pour autant. Il dit au notaire : - Bah, restez calme ! On verra plus tard pour les dégâts à nos voitures. Le plus important, c'est quand même que ni vous ni moi ne soyons blessés ! Je suis viticulteur et aujourd'hui, j'allais livrer des bouteilles demuscat à un restaurateur. Je vous propose de trinquer avec moi pour nous remettre de nos émotions. Il doit bien rester une bouteille qui ne s'est pas cassé, là, derrière...
Alors le viticulteur passe à l'arrière de la camionnette et en ressort avec une bouteille. Il la tend au notaire, celui ne protestant pas et s'en prenant une bonne gorgée.
Puis le notaire dit : - Mais vous ne trinquez pas avec moi ?
Alors le fermier répond : - Non, je pense que je vais plutôt attendre que les gendarmes arrivent...
Ma révérende Mère, Un grand et irréparable malheur vient d'arriver à l'abbaye d'Icibas, et j'ai le pénible devoir de vous en faire part: c'est la mort de l'un de nos bons frères, l'Abbé Quille.Mardi dernier,pendant que l'Abbé Nédictine donnait le salut et pendant la quête du Père Cepteur,l'Abbé Quille est tombé sans connaissance entre les bras du PèreClus.Vous jugez de l'émotion générale: tous les révérends pères s'agitaient et pleuraient,excepté le Père Fide qui dissimulait mal sa joie. " Peut-être qu'un café bien fort ... proposa timidement le Père Colateur."Inutile. Vous voyez bien que tout est fini!" répliqua le Père Emptoire. On alla malgré tout chercher le Père Manganate et le Père Chlorure, pensant que leurs efforts pourraient ranimer l'Abbé Quille.L'admirable Père Fusion, notre dernier espoir, ne put que constater le décès.Au milieu des lamentations, on se prépara donc pour la cérémonie, pendant que le Père Sonnage, le plus grand de la communauté, sonnait les cloches àtoute volée.On se dirigea vers la chapelle. Comme la chaire était en réparation, lepère Oquet monta sur lePère Choir, et fut suivi par l'Abbé Gueule qui parla avec véhémence.Puisl'Abbé Mol chanta le De Profondis.Une grande discussion s'éleva sur le chemin du cimetière. Le Père Clus et l'Abbé Cane ne voulaient pas quitter la route, tandis que le Père Illeux voulait monter tout droit vers la montagne, ainsi que le Père Dreau et l'Abbé Casse qui affectionnaient leschemins escarpés.Le Père Plexe hésitait; quant au Père Formant, il n'était pas contre un peu d'exercice.Le Père Nicieux, le Père Sistant et le Père Vers animaient la discussion,sans se préoccuper des absurdités prononcées par l'Abbé Ration. Il fallutque le Père Spicace et le Père Suasif prêchassent l'apaisement, mais seule, la ténacité du Père Sistant put rétablir l'ordre. Le Père Turbateur et le Père Sécuteur eux-mêmes durent renoncer à semer la discorde. Pendantce temps, l'Abbé Attitude était de l'avis de tout le monde.Enfin, on arriva au cimetière. Devant la fosse que le Père Forateur avait creusée,le Père Gola déposa un bouquet discret, puis le Père Pétuel et lePère Manant parlèrent de l'éternité, tandis que tout le monde pleurait...(surtout le Père Clus qui, en perdant l'Abbé Quille, perdait son seul soutien).Ce fut un bien triste cortège qui reprit le chemin du couvent, derrière lePère Pendiculaire courbé par la chaleur. Chacun s'en fut dîner, après que le Père Uquier eut rasé tout le monde. Le repas fut mélancolique;le Père Sil avait perdu sa fraîcheur, et l'Abbé Chamel n'avait jamais paru d'une telle blancheur. En revanche, l'Abbé Terave devenait violacé.Le Père Itoine se tenait douloureusement le ventre et le Père Imé semblait avoir vieilli de dix ans.Je suis convaincu, ma révérende Mère, que vous prendrez part à notre deuil, et vous prie de croire à mes sentiments religieux.
La fable du bénévole. Un jour, un fleuriste se rendit chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux. Après sa coupe, il demanda combien il devait. Le coiffeur répondit: "c'est gratuit, je fais du bénévolat cette semaine". Le fleuriste s'en alla tout content.Le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une carte de remerciements et une douzaine de roses. Plus tard, c'est le boulanger qui se présenta pour se faire couper les cheveux. Quand il demanda à payer, le coiffeur lui dit : "Je ne peux accepter d'argent, cette semaine, je fais du bénévolat". Heureux, le boulanger s'en alla tout content. Le lendemain, il déposa à la porte du coiffeur une demi-douzaine de croissants, avec un mot de remerciements. Puis, ce fut le député du coin qui se présenta. Lorsqu'il voulut payer, le coiffeur lui répondit : "Mais non, cette semaine c'est gratuit, je fais mon bénévolat !" Très heureux de cette aubaine, le député quitta la boutique.
Le lendemain, quand le coiffeur arriva pour ouvrir, une douzaine de députés et de sénateurs attendaient en ligne pour se faire couper les cheveux gratuitement ... Voilà, la différence fondamentale entre les citoyens de ce pays et les politiciens qui nous gouvernent.
Et il paraît que dans la file, il y avait même des chauves!!! ... Si, si !!!!
Les cours du soirDeux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier dit : – Tu connais Victor Hugo ? – Non – T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! Le lendemain, toujours le même : – Tu connais Albert Einstein ? – Non – T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! Le surlendemain, ça recommence : – Tu connais Karl Marx ? – Non – T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir ! Alors l’autre tout énervé lui demande : – Et toi, tu connais Jean Dupont ? – Non ??? – T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir !
Un jour Dieu a parlé à Abraham : -Abraham, Abraham, je veux te demander quelque chose. – Ce que tu veux Seigneur. – Je veux que tu sacrifies ton fils à la montagne. – Ah non, Seigneur, demande moi tout sauf mon fils. – Je veux ton fils!
Abraham en parle à sa femme, Sara… – Tu sais, Dieu nous demande notre fils afin de le sacrifier à la montagne. – AH NON! – Je dois obéir à Dieu.
Et le lendemain, il conduit son fils à la montagne, prépare le feu et attache les pieds et mains de l’enfant. – Père, pourquoi m’attaches-tu? – Tais-toi, ne pose pas de questions. – Où est l’agneau pour le sacrifice? – Tais-toi, ne pose pas de question.
Quand Abraham sort le couteau pour immoler son fils, un voix se fait entendre… – Arrête-toi! Arrête-toi Abraham! Je voulais seulement tester ta foi en moi. Alors Abraham, heureux, jette le couteau, détache l’enfant et ils rentrent à la maison pour raconter l’histoire à Sara et lui annoncer que Dieu ne voulait plus du sacrifice.
En descendant, Abraham dit à son fils : – C’est bien que Dieu t’a laissé la vie, et ne m’a pas demandé de te sacrifier. – Tu parles si j’ai de la chance d’être ventriloque
Un brave citoyen reçoit un avis d'avoir à payer la redevance télé. N'ayant pas de téléviseur, il va au centre des impôts pour signaler l'erreur et contester. l'employée lui déclare alors : - " Certes vous n'avez pas de télé mais nous avons remarqué vos achats d'un smartphone ainsi qu'une tablette, ce sont donc des outils qui pourraient vous permettre de recevoir les images d'où la justification d'une redevance." - " Fort bien répond le contribuable "donnez-moi alors des allocations familiales." L'employée : - " Mais d'après nos dossiers vous n'avez pas d'enfants !!!" - " Non, mais j'ai entre les jambes tous les outils qui pourraient me permettre d'en avoir ... "
Rien à déclarer ?Une dame d’un certain âge prend le train. Près de la frontière, elle dit au curé qui est assis à côté d’elle : – J’ai acheté une trousse de beauté, mais j’aimerai mieux ne pas la déclarer à la douane. Pourriez-vous la cacher sous votre soutane, mon père ? – Je veux bien, mais je ne sais pas mentir. Si on m’interroge, je dirai la vérité. Arrivé à la frontière, le douanier demande : – Rien à déclarer mon père ? – De la tête à la ceinture, non ! – O.K., mais en dessous de la ceinture ? – Eh bien, j’ai un petit quelque chose qui fait plaisir aux dames et qui n’a jamais servi …
Un Belge fait le trajet Paris-Lyon en voiture, il prend une auto-stoppeuse vêtue d'une mini-jupe. Et elle commence à lui faire du charme. A l'entrée de Lyon le Belge lui frôle la jambe,par mégarde en changeant de vitesse. La nana le regarde droit dans les yeux et lui dit : - « Tu sais, tu peux aller plus loin. » Et le Belge a continué jusqu'à Marseille.
Un homme appelle sa femme et lui demande:
Chérie, on m'a invité pour un voyage de pêche avec mon patron et quelques-uns de ses amis.
Nous serons partis pour une semaine.
Cela représente une bonne opportunité pour moi d'obtenir cette promotion que
j'attends depuis si longtemps, alors peux-tu, STP me faire une valise
avec assez de vêtements pour une semaine entière et préparer ma ligne et
ma boîte à pêche. Nous partirons directement du bureau et je passerai
par la maison rapidement pour prendre mes affaires... Oh, STP peux-tu
mettre dans mes bagages mon nouveau pyjama en soie bleue ? "
L'épouse trouve bien étrange l'histoire de son mari mais, en bonne épouse
qu'elle est, elle fait exactement ce que son mari lui a demandé.
La semaine suivante, le mari revient à la maison un peu fatigué mais, somme toute, content de son voyage.
Sa femme l'accueille gentiment et lui demande s'il a pris du poisson et combien il en a pris.
Il lui répond : "Oh oui, beaucoup de saumons, des carpes soleil et
quelques espadons... Mais au fait, pourquoi n'as-tu pas mis dans mes
bagages mon nouveau pyjama en soie bleue comme je te l'avais demandé ? "
Vous allez adorer la réponse MESDAMES !!!
Et sa femme de lui répondre : "Je l'ai mis... il est dans ta boîte à pêche !!!"
L'accident
C'est l'histoire d'un notaire dans sa grosse cylindrée qui grille un feu rouge et percute une voiture.
L'autre voiture est une fourgonnette, conduite par un agriculteur.
Comme souvent dans ces cas là, ce n'est pas celui qui est dans son droit qui gueule le plus fort... Ici, c'est le notaire qui commence à insulter le paysan pour ne s'être pas arrêté. Un comble !
Mais le paysan ne s'en fait pas pour autant. Il dit au notaire :
- Bah, restez calme ! On verra plus tard pour les dégâts à nos voitures.
Le plus important, c'est quand même que ni vous ni moi ne soyons blessés ! Je suis viticulteur et aujourd'hui, j'allais livrer des bouteilles demuscat à un restaurateur. Je vous propose de trinquer avec moi pour nous remettre de nos émotions.
Il doit bien rester une bouteille qui ne s'est pas cassé, là, derrière...
Alors le viticulteur passe à l'arrière de la camionnette et en ressort avec une bouteille. Il la tend au notaire, celui ne protestant pas et s'en prenant une bonne gorgée.
Puis le notaire dit :
- Mais vous ne trinquez pas avec moi ?
Alors le fermier répond :
- Non, je pense que je vais plutôt attendre que les gendarmes arrivent...
Ma révérende Mère,
Un grand et irréparable malheur vient d'arriver à l'abbaye d'Icibas, et j'ai le pénible devoir de vous en faire part: c'est la mort de l'un de nos bons frères, l'Abbé Quille.Mardi dernier,pendant que l'Abbé Nédictine donnait le salut et pendant la quête du Père Cepteur,l'Abbé Quille est tombé sans connaissance entre les bras du PèreClus.Vous jugez de l'émotion générale: tous les révérends pères s'agitaient et pleuraient,excepté le Père Fide qui dissimulait mal sa joie. " Peut-être qu'un café bien fort ... proposa timidement le Père Colateur."Inutile. Vous voyez bien que tout est fini!" répliqua le Père Emptoire. On alla malgré tout chercher le Père Manganate et le Père Chlorure, pensant que leurs efforts pourraient ranimer l'Abbé Quille.L'admirable Père Fusion, notre dernier espoir, ne put que constater le décès.Au milieu des lamentations, on se prépara donc pour la cérémonie, pendant que le Père Sonnage, le plus grand de la communauté, sonnait les cloches àtoute volée.On se dirigea vers la chapelle. Comme la chaire était en réparation, lepère Oquet monta sur lePère Choir, et fut suivi par l'Abbé Gueule qui parla avec véhémence.Puisl'Abbé Mol chanta le De Profondis.Une grande discussion s'éleva sur le chemin du cimetière. Le Père Clus et l'Abbé Cane ne voulaient pas quitter la route, tandis que le Père Illeux voulait monter tout droit vers la montagne, ainsi que le Père Dreau et l'Abbé Casse qui affectionnaient leschemins escarpés.Le Père Plexe hésitait; quant au Père Formant, il n'était pas contre un peu d'exercice.Le Père Nicieux, le Père Sistant et le Père Vers animaient la discussion,sans se préoccuper des absurdités prononcées par l'Abbé Ration. Il fallutque le Père Spicace et le Père Suasif prêchassent l'apaisement, mais seule, la ténacité du Père Sistant put rétablir l'ordre. Le Père Turbateur et le Père Sécuteur eux-mêmes durent renoncer à semer la discorde. Pendantce temps, l'Abbé Attitude était de l'avis de tout le monde.Enfin, on arriva au cimetière. Devant la fosse que le Père Forateur avait creusée,le Père Gola déposa un
bouquet discret, puis le Père Pétuel et lePère Manant parlèrent de l'éternité, tandis que tout le monde pleurait...(surtout le Père Clus
qui, en perdant l'Abbé Quille, perdait son seul soutien).Ce fut un bien triste cortège qui reprit le chemin du couvent, derrière lePère
Pendiculaire courbé par la chaleur. Chacun s'en fut dîner, après que le Père Uquier eut rasé tout le monde. Le repas fut mélancolique;le Père Sil avait perdu sa fraîcheur, et l'Abbé Chamel n'avait jamais paru d'une telle blancheur. En revanche, l'Abbé Terave devenait violacé.Le Père Itoine se tenait douloureusement le ventre et le Père Imé semblait avoir vieilli de dix ans.Je suis convaincu, ma révérende Mère, que vous prendrez part à notre deuil, et vous prie de croire à mes sentiments religieux.
L'Abbé Tise
Père de La Trappe
Un jour, un fleuriste se rendit chez le coiffeur pour se faire couper les cheveux. Après sa coupe, il demanda combien il devait.
Le coiffeur répondit: "c'est gratuit, je fais du bénévolat cette semaine".
Le fleuriste s'en alla tout content.Le lendemain, en ouvrant sa boutique, le coiffeur trouva à sa porte une carte de remerciements et une douzaine de roses.
Plus tard, c'est le boulanger qui se présenta pour se faire couper les cheveux. Quand il demanda à payer, le coiffeur lui dit : "Je ne peux accepter d'argent, cette semaine, je fais du bénévolat".
Heureux, le boulanger s'en alla tout content.
Le lendemain, il déposa à la porte du coiffeur une demi-douzaine de croissants, avec un mot de remerciements.
Puis, ce fut le député du coin qui se présenta.
Lorsqu'il voulut payer, le coiffeur lui répondit : "Mais non, cette semaine c'est gratuit, je fais mon bénévolat !"
Très heureux de cette aubaine, le député quitta la boutique.
Le lendemain, quand le coiffeur arriva pour ouvrir, une douzaine de députés et de sénateurs attendaient en ligne pour se faire couper les cheveux gratuitement ...
Voilà, la différence fondamentale entre les citoyens de ce pays et les politiciens qui nous gouvernent.
Et il paraît que dans la file, il y avait même des chauves!!! ... Si, si !!!!
Les cours du soirDeux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier dit :
– Tu connais Victor Hugo ?
– Non
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Le lendemain, toujours le même :
– Tu connais Albert Einstein ?
– Non
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Le surlendemain, ça recommence :
– Tu connais Karl Marx ?
– Non
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Alors l’autre tout énervé lui demande :
– Et toi, tu connais Jean Dupont ?
– Non ???
– T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir !
Un jour Dieu a parlé à Abraham :
-Abraham, Abraham, je veux te demander quelque chose.
– Ce que tu veux Seigneur.
– Je veux que tu sacrifies ton fils à la montagne.
– Ah non, Seigneur, demande moi tout sauf mon fils.
– Je veux ton fils!
Abraham en parle à sa femme, Sara…
– Tu sais, Dieu nous demande notre fils afin de le sacrifier à la montagne.
– AH NON!
– Je dois obéir à Dieu.
Et le lendemain, il conduit son fils à la montagne, prépare le feu et attache les pieds et mains de l’enfant.
– Père, pourquoi m’attaches-tu?
– Tais-toi, ne pose pas de questions.
– Où est l’agneau pour le sacrifice?
– Tais-toi, ne pose pas de question.
Quand Abraham sort le couteau pour immoler son fils, un voix se fait entendre…
– Arrête-toi! Arrête-toi Abraham! Je voulais seulement tester ta foi en moi.
Alors Abraham, heureux, jette le couteau, détache l’enfant et ils rentrent à
la maison pour raconter l’histoire à Sara et lui annoncer que Dieu ne
voulait plus du sacrifice.
En descendant, Abraham dit à son fils :
– C’est bien que Dieu t’a laissé la vie, et ne m’a pas demandé de te sacrifier.
– Tu parles si j’ai de la chance d’être ventriloque
N'ayant pas de téléviseur, il va au centre des impôts pour signaler l'erreur et contester.
l'employée lui déclare alors :
- " Certes vous n'avez pas de télé mais nous avons remarqué vos achats d'un smartphone ainsi qu'une tablette,
ce sont donc des outils qui pourraient vous permettre de recevoir les images d'où la justification d'une redevance."
- " Fort bien répond le contribuable "donnez-moi alors des allocations familiales."
L'employée :
- " Mais d'après nos dossiers vous n'avez pas d'enfants !!!"
- " Non, mais j'ai entre les jambes tous les outils qui pourraient me permettre d'en avoir ... "
Rien à déclarer ?Une dame d’un certain âge prend le train. Près de la frontière, elle dit au curé qui est assis à côté d’elle :
– J’ai acheté une trousse de beauté, mais j’aimerai mieux ne pas la déclarer à la douane. Pourriez-vous la cacher sous votre soutane, mon
père ?
– Je veux bien, mais je ne sais pas mentir. Si on m’interroge, je dirai la vérité.
Arrivé à la frontière, le douanier demande :
– Rien à déclarer mon père ?
– De la tête à la ceinture, non !
– O.K., mais en dessous de la ceinture ?
– Eh bien, j’ai un petit quelque chose qui fait plaisir aux dames et qui n’a jamais servi …
Un Belge fait le trajet Paris-Lyon en voiture, il prend une auto-stoppeuse vêtue d'une mini-jupe.
Et elle commence à lui faire du charme.
A l'entrée de Lyon le Belge lui frôle la jambe, par mégarde en changeant de vitesse.
La nana le regarde droit dans les yeux et lui dit :
- « Tu sais, tu peux aller plus loin. »
Et le Belge a continué jusqu'à Marseille.