Mon ami Bruce était un responsable des services sociaux. Un été, il a coupé un bouquet de roses de son jardin pour les donner dans une partie pauvre de la ville. Il en donna quelques-unes à une femme aveugle qui se mit à les sentir passionnément. « Quel délicieux parfum embaume l’air maintenant », s’exclama-t-elle. La dernière visite de Bruce était pour celle d’une famille, qui aujourd’hui serait considérée comme une famille qui a de sérieux problèmes. La fille ainée avait été mise en probation pour deux années. Elle se mit à regarder fixement Bruce quand il lui offrit sa dernière rose. Il fut surpris quand elle attrapa la rose et la mise contre ses joues. « Personne ne m’a jamais donné une rose avant », dit-elle, « C’est la première fois que j’en vois une de si près ». Mon ami fut touché par la douceur de la jeune fille qui tenait dans ses mains, ce précieux don. « Mon cœur est vraiment ému pour elle, et la façon qu’elle chérit ce précieux don », me dit-il, « Combien sa vie aurait pu être différente si quelqu’un s’était soucié assez d’elle avant et lui avait offert une rose ! » Parfois, cela ne prend pas grand-chose pour apporter un peu de gaieté et de joie dans la vie d’une autre personne... Mais cela peut faire une grande différence ! (Francis Gay)
A l'ombre du coeur de ma mie (bis) Un oiseau s'était endormi (bis) Un jour qu'elle faisait semblant D'être la Belle au bois dormant. Et moi, me mettant à genoux, (bis) Bonnes fé’s, sauvegardez-nous ! (bis) Sur ce coeur j'ai voulu poser Une manière de baiser. Alors cet oiseau de malheur (bis) Se mit à crier Au voleur ! (bis) Au voleur ! et A l'assassin ! Comm' si j'en voulais à son sein.
Aux appels de cet étourneau, (bis) Grand branle-bas dans Landerneau : (bis) Tout le monde et son père accourt Aussitôt lui porter secours. Tant de rumeurs, de grondements, (bis) Ont fait peur aux enchantements, (bis) Et la belle désabusée Ferma son coeur à mon baiser Et c'est depuis ce temps, ma soeur, (bis) Que je suis devenu chasseur, (bis) Que mon arbalète à la main Je cours les bois et les chemins.
La jeunesse n'est pas une période de la vie, elle est un état d'esprit, un effet de la volonté, une qualité de l'imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années ; on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l'âme. Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s'étonne et s'émerveille. Il demande, comme l'enfant insatiable. Et après ? Il défie les évènements et trouve la joie au jeu de la vie. Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous serez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages de la nature, de l'homme et de l'infini.
Si un jour votre coeur allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard. ________________________________ Samuel Ullman Egalement attribué au général Mac Arthur
Le Saule Pas un mot, pas un vent Rien, mon Saule, ni feuille Un si frêle miroir où déjà le jour meurt Mais entière et parfaite est la paix qui maccueille, Et mes pas semblent faits pour ces lieux sans rumeur. Te voici, mon bel Arbre, et si doux je les veuille, Tapprocher de ces pas ne men fait pas moins peur : Moire offerte à mes yeux par un ciel couleur feuille, Trop despoir, trop damour peuple et hante mon cœur. Qui ne sait, beau Miroir, que la vie est un leurre ? Que la mort est légère à qui veut que tout meure ? Les bois purs de tes bras sont dun tendre cercueil Tu mas dit bien souvent que tout vient à son heure ; Mais du mal mais du bien, je ne sais que j'éffleure Pas un mot, pas un seul, qui défende le seuil. Louis Latourre
Valentine, Dans ses yeux clairs, au soir descendu, dame lune Posait de fines perles d'or Éclairant comme des étoiles dans la brume, Où dansait le vent en accord. Dans sa chevelure des paillettes en reflets Dans le bonheur de l'insouciance, Et tes lèvres qui s'y posent en couleur bouquet Où s'emmêlent tes mains aimantes. Les battements de son coeur se posent sur toi Dans l'heure exquise de l'amour, Un nouveau paradis dans un jardin d'émoi. Où rêvent les nuits et les jours. Valentine, demoiselle qui est caressée, Habillée de mille désirs, Valentine, femme maîtresse, qui est adorée Pour ses plaisirs, pour tes plaisirs. Belle enfant des cieux, petite fée tentatrice, Elle est amour, ange et démon, Panier d'offrandes amoureuses où mille caprices Font exploser d'autres passions ...
Un porteur d'eau en Inde avait deux larges cruches; chacune était accrochée à un balancier qu'il portait sur les épaules. Une des cruches avait une fissure, et alors que l'autre, qui était parfaite, apportait après une longue marche tout son contenu à la demeure de son maître, la cruche fendue, elle, arrivait seulement à moitié pleine.
Pendant des années, le porteur d'eau livra à son maître une cruche et demi. Bien sûr, la cruche parfaite était fière de ses accomplissements, mais celle qui était fissurée avait honte d'elle-même et se sentait misérable du fait qu'elle ne pouvait accomplir que la moitié de la tâche pour laquelle elle avait été créée.
Après des années de ce qu'elle pensait être un échec total de sa vocation, elle se confia au porteur d'eau.
"J'ai honte de moi et je veux te demander pardon." Lui dit-elle.
"Pourquoi?" Demanda le porteur d'eau, "de quoi as-tu honte?"
"Voilà des années que je suis incapable de transporter tout mon contenu jusqu'à la table du maître à cause de cette fissure, et à cause de moi, tu dois travailler deux fois plus et tu n'es pas récompensé pour tes efforts!", dit-elle.
Le porteur d'eau fut peiné d'apprendre ça et il lui dit: "En retournant à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs le long du chemin."
Comme ils gravissaient la colline, elle vit toutes sortent de fleurs multicolores et parfumées, et cela, la réconforta un peu, mais en arrivant à la maison du maître, elle fut triste à nouveau du fait qu'elle avait encore perdu à moitié de son contenu et à nouveau, elle s'en excusa auprès du coolis.
Le porteur lui dit alors:
"As-tu remarqué qu'il y avait des fleurs seulement de ton côté du chemin? Comme je savais que tu perdais de l'eau, j'ai semé des graines de fleurs de ce côté-là, et chaque jours, en revenant de la rivière, tu les as arrosées! Pendant toutes ces années, j'ai pu décorer ainsi la table du maître! Si tu n'avais pas été tel que tu es, il n'aurait jamais eu ces beaux bouquets sur la table!"
Le maître connaît chacun de nos défauts. Reconnaissons-les, et laissons-le en tirer profit, et nous aussi, nous pourrons décorer le chemin!
(Des soldats canadiens reçoivent les Écritures. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la Société biblique a commencé a présenté le Nouveau Testament à tous les militaires en service des Forces canadiennes.)
Où la balle s’est arrêtée !
Ceci est une étonnante et miraculeuse histoire qui est vraiment arrivée durant la Seconde Guerre mondiale, à deux soldats américains en mission secrète.
L’histoire se passe sur le front de bataille. Un lieutenant et son ami ont été envoyés pour une mission importante.
« Cela va prendre un miracle pour nous d’être capable de traverser les lignes ennemies sans être vu lieutenant ! »
« Je sais Buddy ! »
« Vite, couche-toi, ils nous ont repérés ! Combien de soldats ennemis tu peux voir ? »
« Je ne suis pas sûr… Peut-être une vingtaine ! »
Regarde Buddy, nous sommes encerclés !
« Qu’est-ce qu’on faire ? »
« Notre seule chance, c’est de courir à travers cette clairière ! »
« Je suis avec vous, lieutenant ! »
« Allons-y, nous n’avons pas le choix ! Aaaah ! Je suis touché ! »
« Mon Dieu, le lieutenant est mort, et l’ennemi va me repérer aussi ! »
« Kom ! Die sind sicher tot ! » (venez, ils sont morts tous les deux !)
« Oh ! S’il te plaît Dieu, aide-moi à ne pas faillir à cette mission… S’il te plaît, aide- moi ! Tu as dit que tu n’es pas limité par beaucoup ou par peu. Aide-moi comme tu as aidé Samson dans la Bible à tuer ses ennemis avec seulement une mâchoire d’âne. S’il te plaît, combat à mes côtés ! »
Buddy attrapa les deux mitraillettes et commença à tirer aveuglement sur l’ennemi. Quand les deux chargeurs, finirent pas être vide, il ne restait plus un seul allemand debout et Buddy était toujours vivant ! Mais l’histoire ne finit pas ainsi !
« « B…Buddy ! »
« Lieutenant, vous êtes vivant ! Mais la balle vous a touché en pleine poitrine ! »
« Oui, c’est vrai Buddy, je n’arrive pas à comprendre moi-même ce qui m’est arrivé, je devrais être mort ! Mais je suis seulement étourdi, je me demande pourquoi ? »
« Ma Bible !... La balle a touché ma Bible, laquelle je porte toujours dans la poche de ma veste… Ma Bible m’a sauvé la vie ! »
«Regarde Buddy, la balle a traversé une bonne partie de ma Bible… Oh ! C’est étonnant, devine où elle s’est arrêtée ? »
« Je n’ai aucune idée lieutenant, où s’est-elle arrêtée ? »
« Au milieu du Psaume 91 ! Regarde ! Comme si la balle semblait pointer vers le septième verset : ‘Il en tombera mille à ton côté, et dix mille à ta droite… Mais aucun mal ne t’arrivera’ »
************
Note de Patrick :
Vous pensez que cette histoire sort d’une bande dessinée ou qu’elle est l’œuvre de quelqu’un qui à beaucoup d’imagination ?
Pendant les deux guerres qui ont été combattues, des centaines et des centaines d’histoires miraculeuses comme celle-là, ont été racontées, mais peu publiées et la plupart oubliées.
Aujourd’hui, nous avons tendance à regarder les exploits de ceux qui font des sports extrêmes et accomplissent des prodiges ; mais nous oublions la puissance des pages de ce vieux livre, qui lui ne tarit jamais ne nous étonner !
Saint Valentin Sur les ailes du vent ouvrant le printemps sur les heures du jour, qui, dans un détour font tourner les pages du livre à messages. C'est Saint Valentin qui, sur le chemin sème les amours aux coeurs de velours, d'un baiser fougueux éclaire les cieux. Voilà l'heure exquise des pensées bien mises, berçant les amours de songes charmants, les amours se posent sur la rose éclose. C'est comme un violon, comme une chanson, les ombres se couchent et Cupidon touche les corps amoureux sous les yeux des Dieux ...
Mon ami, Que ta nuit soit douce ! Que ton sommeil soit paisible et réparateur Que de beaux rêves d’amour et d’amitié te bercent et te couvrent de douceur Fais de beaux rêves, dors comme un beau bébé qui sait qu’il est aimé Que Morphée, déesse des nuits, t’offre une nuit de paix et de sérénité Mes mots d’amitié t’accompagnent dans ce grand voyage du doux repos Dormir est un besoin, dormir est un plaisir, dormir permet le renouveau Bonne nuit mon amie, que ta nuit soit détente et relaxation Bonne soirée mon amie, que cette fin de journée soit une poésie Bonsoir à toi que j’aime, ce poème te rappelle mon affection Repose-toi le cœur en paix, repose toi, retrouve ta belle énergie Quand revient l’heure du sommeil on pense aux personnes aimées Quand vient l’heure du coucher, nos pensées deviennent belles Mes sentiments d’amitié et d’amour en cette nuit font t’accompagner Bonne soirée, Bonsoir, Bonne nuit, mots pour un doux sommeil La nuit revient chaque fin de journée pour nous couvrir de son manteau Poème pour souhaiter une bonne nuit, Poésie de bon soir par de doux mots Mon ami, Que ta nuit soit douce ! Que ton sommeil soit paisible et réparateur Que de beaux rêves d’amour et d’amitié te bercent et te couvrent de douceur
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Mon ami Bruce était un responsable des services
sociaux. Un été, il a coupé un bouquet de roses
de son jardin pour les donner dans une partie
pauvre de la ville.
Il en donna quelques-unes à une femme aveugle
qui se mit à les sentir passionnément.
« Quel délicieux parfum embaume l’air maintenant »,
s’exclama-t-elle.
La dernière visite de Bruce était pour celle d’une
famille, qui aujourd’hui serait considérée comme une
famille qui a de sérieux problèmes.
La fille ainée avait été mise en probation pour deux
années. Elle se mit à regarder fixement Bruce quand
il lui offrit sa dernière rose.
Il fut surpris quand elle attrapa la rose et la mise
contre ses joues.
« Personne ne m’a jamais donné une rose avant »,
dit-elle, « C’est la première fois que j’en vois une de
si près ».
Mon ami fut touché par la douceur de la jeune fille
qui tenait dans ses mains, ce précieux don.
« Mon cœur est vraiment ému pour elle, et la façon
qu’elle chérit ce précieux don », me dit-il, « Combien
sa vie aurait pu être différente si quelqu’un s’était
soucié assez d’elle avant et lui avait offert une rose ! »
Parfois, cela ne prend pas grand-chose pour apporter
un peu de gaieté et de joie dans la vie d’une autre
personne...
Mais cela peut faire une grande différence !
(Francis Gay)
A l'ombre du coeur de ma mie (bis)
Un oiseau s'était endormi (bis)
Un jour qu'elle faisait semblant
D'être la Belle au bois dormant.
Et moi, me mettant à genoux, (bis)
Bonnes fé’s, sauvegardez-nous ! (bis)
Sur ce coeur j'ai voulu poser
Une manière de baiser.
Alors cet oiseau de malheur (bis)
Se mit à crier Au voleur ! (bis)
Au voleur ! et A l'assassin !
Comm' si j'en voulais à son sein.
Aux appels de cet étourneau, (bis)
Grand branle-bas dans Landerneau : (bis)
Tout le monde et son père accourt
Aussitôt lui porter secours.
Tant de rumeurs, de grondements, (bis)
Ont fait peur aux enchantements, (bis)
Et la belle désabusée
Ferma son coeur à mon baiser
Et c'est depuis ce temps, ma soeur, (bis)
Que je suis devenu chasseur, (bis)
Que mon arbalète à la main
Je cours les bois et les chemins.
La jeunesse n'est pas une période de la vie,
elle est un état d'esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l'imagination, une intensité émotive,
une victoire du courage sur la timidité,
du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu
un certain nombre d'années ;
on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ;
renoncer à son idéal ride l'âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes
et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement,
nous font pencher vers la terre et devenir poussière
avant la mort.
Jeune est celui qui s'étonne et s'émerveille.
Il demande, comme l'enfant insatiable.
Et après ? Il défie les évènements
et trouve la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi.
Aussi vieux que votre doute.
Aussi jeune que votre confiance en vous-même
aussi jeune que votre espoir.
Aussi vieux que votre abattement.
Vous resterez jeune tant que vous serez réceptif.
Réceptif à ce qui est beau, bon et grand.
Réceptif aux messages de la nature,
de l'homme et de l'infini.
Si un jour votre coeur allait être mordu
par le pessimisme
et rongé par le cynisme,
puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.
________________________________
Samuel Ullman
Egalement attribué au général Mac Arthur
Le Saule
Pas un mot, pas un vent Rien, mon Saule, ni feuille
Un si frêle miroir où déjà le jour meurt
Mais entière et parfaite est la paix qui maccueille,
Et mes pas semblent faits pour ces lieux sans rumeur.
Te voici, mon bel Arbre, et si doux je les veuille,
Tapprocher de ces pas ne men fait pas moins peur :
Moire offerte à mes yeux par un ciel couleur feuille,
Trop despoir, trop damour peuple et hante mon cœur.
Qui ne sait, beau Miroir, que la vie est un leurre ?
Que la mort est légère à qui veut que tout meure ?
Les bois purs de tes bras sont dun tendre cercueil
Tu mas dit bien souvent que tout vient à son heure ;
Mais du mal mais du bien, je ne sais que j'éffleure
Pas un mot, pas un seul, qui défende le seuil.
Louis Latourre
Dans ses yeux clairs, au soir descendu, dame lune
Posait de fines perles d'or
Éclairant comme des étoiles dans la brume,
Où dansait le vent en accord.
Dans sa chevelure des paillettes en reflets
Dans le bonheur de l'insouciance,
Et tes lèvres qui s'y posent en couleur bouquet
Où s'emmêlent tes mains aimantes.
Les battements de son coeur se posent sur toi
Dans l'heure exquise de l'amour,
Un nouveau paradis dans un jardin d'émoi.
Où rêvent les nuits et les jours.
Valentine, demoiselle qui est caressée,
Habillée de mille désirs,
Valentine, femme maîtresse, qui est adorée
Pour ses plaisirs, pour tes plaisirs.
Belle enfant des cieux, petite fée tentatrice,
Elle est amour, ange et démon,
Panier d'offrandes amoureuses où mille caprices
Font exploser d'autres passions ...
@ClaudineCottencin
Le porteur d'eau et les cruches!
Un porteur d'eau en Inde avait deux larges cruches;
chacune était accrochée à un balancier qu'il portait
sur les épaules. Une des cruches avait une fissure,
et alors que l'autre, qui était parfaite, apportait
après une longue marche tout son contenu à la
demeure de son maître, la cruche fendue, elle,
arrivait seulement à moitié pleine.
Pendant des années, le porteur d'eau livra à son
maître une cruche et demi. Bien sûr, la cruche
parfaite était fière de ses accomplissements, mais
celle qui était fissurée avait honte d'elle-même et
se sentait misérable du fait qu'elle ne pouvait
accomplir que la moitié de la tâche pour laquelle
elle avait été créée.
Après des années de ce qu'elle pensait être un échec
total de sa vocation, elle se confia au porteur d'eau.
"J'ai honte de moi et je veux te demander pardon."
Lui dit-elle.
"Pourquoi?" Demanda le porteur d'eau, "de quoi as-tu
honte?"
"Voilà des années que je suis incapable de transporter
tout mon contenu jusqu'à la table du maître à cause de
cette fissure, et à cause de moi, tu dois travailler
deux fois plus et tu n'es pas récompensé pour tes
efforts!", dit-elle.
Le porteur d'eau fut peiné d'apprendre ça et il lui
dit: "En retournant à la maison du maître, je veux que
tu regardes les fleurs le long du chemin."
Comme ils gravissaient la colline, elle vit toutes
sortent de fleurs multicolores et parfumées, et cela,
la réconforta un peu, mais en arrivant à la maison du
maître, elle fut triste à nouveau du fait qu'elle avait
encore perdu à moitié de son contenu et à nouveau, elle
s'en excusa auprès du coolis.
Le porteur lui dit alors:
"As-tu remarqué qu'il y avait des fleurs seulement de
ton côté du chemin? Comme je savais que tu perdais de
l'eau, j'ai semé des graines de fleurs de ce côté-là,
et chaque jours, en revenant de la rivière, tu les as
arrosées! Pendant toutes ces années, j'ai pu décorer
ainsi la table du maître! Si tu n'avais pas été tel
que tu es, il n'aurait jamais eu ces beaux bouquets
sur la table!"
Le maître connaît chacun de nos défauts.
Reconnaissons-les, et laissons-le en tirer profit,
et nous aussi, nous pourrons décorer le chemin!
Les baisers volés
Quelle douceur angevine, un baiser !
Imprévu, par surprise, ou passionné,
Qu'il soit tendresse ou volupté,
C'est le plus magnifique des effets.
Qu'il en découle un parfum d'amitiés,
Ou bien d'une irrésistible sensation d'amour,
Ils nous chavirent dans d'agréables pensées,
Ou les souvenirs s'amoncèlent pour toujours.
Marielle Mauduit
Sur les ailes du vent
ouvrant le printemps
sur les heures du jour,
qui, dans un détour
font tourner les pages
du livre à messages.
C'est Saint Valentin
qui, sur le chemin
sème les amours
aux coeurs de velours,
d'un baiser fougueux
éclaire les cieux.
Voilà l'heure exquise
des pensées bien mises,
berçant les amours
de songes charmants,
les amours se posent
sur la rose éclose.
C'est comme un violon,
comme une chanson,
les ombres se couchent
et Cupidon touche
les corps amoureux
sous les yeux des Dieux ...
@copyrightClaudine Cottencin
Mon ami, Que ta nuit soit douce ! Que ton sommeil soit paisible et réparateur
Que de beaux rêves d’amour et d’amitié te bercent et te couvrent de douceur
Fais de beaux rêves, dors comme un beau bébé qui sait qu’il est aimé
Que Morphée, déesse des nuits, t’offre une nuit de paix et de sérénité
Mes mots d’amitié t’accompagnent dans ce grand voyage du doux repos
Dormir est un besoin, dormir est un plaisir, dormir permet le renouveau
Bonne nuit mon amie, que ta nuit soit détente et relaxation
Bonne soirée mon amie, que cette fin de journée soit une poésie
Bonsoir à toi que j’aime, ce poème te rappelle mon affection
Repose-toi le cœur en paix, repose toi, retrouve ta belle énergie
Quand revient l’heure du sommeil on pense aux personnes aimées
Quand vient l’heure du coucher, nos pensées deviennent belles
Mes sentiments d’amitié et d’amour en cette nuit font t’accompagner
Bonne soirée, Bonsoir, Bonne nuit, mots pour un doux sommeil
La nuit revient chaque fin de journée pour nous couvrir de son manteau
Poème pour souhaiter une bonne nuit, Poésie de bon soir par de doux mots
Mon ami, Que ta nuit soit douce ! Que ton sommeil soit paisible et réparateur
Que de beaux rêves d’amour et d’amitié te bercent et te couvrent de douceur