Ce jour-là, un pasteur célébrait les funérailles d'une femme de 50 ans. Soudain, l'époux de cette femme se mit à crier "Oh, oh, oh, comme je l'ai aimée!" Son gémissement éploré interrompit le digne silence de la cérémonie. Les membres de la famille et les amis, debout autour du cercueil, prirent un air embarrassé et surpris. Les enfants de l'homme eurent honte et essayèrent de le faire taire: "Ça va aller, papa; nous comprenons. Chut..."
Le vieil homme regardait fixement le cercueil descendre lentement dans la terre" Le pasteur continua. Lorsqu'il eut terminé, il invita la famille à jeter une poignée de terre sur la tombe; tous les membres de la famille, s'exécutèrent, sauf l'époux. " Oh, comme je l'ai aimée ! "
Sa fille et ses deux fils essayèrent à nouveau de le maîtriser, mais il continuait: "Je l'ai aimée ! "
Peu après, avant de quitter les lieux, l'homme refusa obstinément de partir. Le pasteur s'approcha. " Je sais ce que vous ressentez, mais il est l'heure de partir. Nous devons tous partir et continuer à vivre. "
"Oh, comme je l'ai aimée !" répéta l'homme d'une voix misérable. Vous ne comprenez pas, dit-il au pasteur, j'ai failli lui dire une fois."
auteur : Hanoch McCarty
La plus grande faiblesse de la plupart des êtres humains, c'est qu'ils hésitent à dire aux autres combien ils les aiment pendant que ceux-ci sont encore vivants.
Vous devez voir la beauté en cette personne, annoncer que vous la voyez, car en l’annonçant ainsi, vous l’incluez dans leur réalité. Ne ratez pas la moindre chance — pas la moindre occasion — de dire à quelqu’un à quel point elle est merveilleuse et une personne spéciale, qu’elle est quelqu’un d’important pour vous, une personne incroyable, une personne magnifique à l’intérieur et à l’extérieur. Ne ratez pas une seule possibilité de dire une telle chose, ressentie et pensée sincèrement. Faites-en votre mission de vie aujourd’hui de porter à l’attention de quelqu’un d’autre à quel point elle est une personne extraordinaire. Dites-le. Dites-le. DITES-le.
Son coeur attend de savoir que l’ont peut croire à la meilleure pensée que cette personne a d’elle-même. Pris sur le net
Oh non, je ne suis pas malade : je fais la grasse matinée avec mon ordinateur sur la couette ! Un moment de bonheur tout simple à créer ce petit bulletin en pensant à vous. Je me sens dans un espace où mon coeur est rempli de douceur, de chaleur, de sérénité et de calme.
Je pourrais presque dire que je suis amoureuse. Tiens, oui, c'est ça : je suis amoureuse de ma vie, des cadeaux qu'elle m'offre chaque jour, des gens que j'aime et qui m'aiment.
Pourtant, je suis célibataire depuis longtemps, un gros contrat n'a pas été renouvelé mais... mais... je suis RICHE !« Riche ?! » me direz-vous ? « Pas d'amoureux, le compte en banque quasiment vide ? Comment peux-tu te sentir riche ?!
L'argent et l'amour, c'est ce qui rend riche ! ».
C'est vrai que j'accueillerais volontiers mon amoureux et quelques euros mais, ici et maintenant, ils ne peuvent pas être là ! Ilest trop loin de moi!
Ce n'est pas en me plaignant et en jouant à la victime que ça va m'arriver plus vite, au contraire ! On attire ce qu'on dégage comme énergie...En fait, je me sens riche d'amour, d'amitié, de tout ce que la vie m'apporte.
J'aime et suis aimée par des gens merveilleux, j'ai de quoi manger, m'habiller, j'ai du travail et je suis en santé et vis dans une maison au bord de la forêt.
Surtout : j'ai du TEMPS pour vivre et ça, je pense que c'est une des plus grandes richesses qu'on puisse posséder. Du temps pour penser à MOI et, par ricochet, à toutes les personnes que j'aime et celles que je ne connais pas, comme vous, car j'aime AIMER, AIDER, PARTAGER.
C'est ma raison et ma mission de vie : partager pour et rassembler vers et dans des moments de bonheur.
La richesse n'est pas toujours où on pense qu'elle est.
L'argent ne rend pas heureux mais y aide, c'est sûr, sauf que le bonheur, c'est dans le coeur qu'on le trouve et nulle part ailleurs.
Surtout, le bonheur, c'est quelque chose qu'on décide. Il est là, on a juste à lui ouvrir la porte. Rien ne sert d'essayer d'être heureux n n'y arrivera jamais !
Ce n'est que le jour où on DÉCIDE de l'être qu'il apparaît, comme par magie, émergeant du coeur ! Essayez, pour voir ! Heu.... DÉCIDEZ... et écoutez votre coeur !
P.S. : pas besoin de la permission de personne pour être heureux, c'est un droit et un mérite acquis depuis notre conception* et même bienavant... sauf qu'on l'oublie trop souvent !
Je marchais à l’épicerie, pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture.
Je n’avais pas faim. La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive. Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs.
Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois, il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose.
Je savais ce qu’il planifiait. Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée, avec trois roses jaunes dans sa main.
Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes.
Subitement, le cœur rempli de chagrin, je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir. Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant.
Acheter, pour un, prenait du temps… Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux!
Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait et me suis souvenue à quel point il aimait son steak.
Soudainement, une femme approcha tout près de moi. Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte. Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains, un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier, hésita, et le remit dans le comptoir.
Elle se tourna pour partir, mais décida de reprendre le paquet de steaks.
Elle s’aperçut alors que je la regardais, et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones, mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine!
Ravalant l’émotion, je rejoignis ses yeux bleus et lui dit: mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours. Achetez-lui les steaks! Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble!
Elle secoua la tête. Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet, le déposa dans son panier, et partit.
Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers. J’étais là me demandant quel format me procurer.
Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée. S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée.
Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses. J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi. Dans ses bras, elle portait un paquet. Son visage affichait un sourire magnifique. J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds.
Alors qu’elle s’approchait de moi, j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains, et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau.
Ceci est pour vous, me dit-elle, en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras. Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées. Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau.
J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire, ce que les roses représentaient.
Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner, les larmes brouillant ma vision…
J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert les trouvant presque irréelles!
Comment pouvait-elle savoir? Soudainement, la réponse m’apparut clairement. Je n’étais pas seule.
Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux! Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange.
Bonjour les enfants, où allez-vous, le pas décidé ? Nous sommes en retard, nous n’avons toujours pas trouvé les cadeaux que nous allions partager ensemble à la maison ! Ah, mais vous avez raison, c’est vrai que l’on s’approche de Noël ! Pour ma part, je ne sais pas trop comment je vais le vivre où le préparer cette année… Tenez, regardez, j’ai déjà reçu 4 paquets cadeaux, mais comme je suis seul, j’attendais un peu pour les déballer. La joie de la surprise n’a de valeur que si on peut la partager ! Mais puisque vous êtes là, j’ai bien envie de vous en faire profiter. Qui sait, vous allez peut-être trouver ce que vous allez pouvoir offrir à votre tour. (Et l’homme fait ouvrir aux enfants le premier paquet. Attention FRAGILE… Les enfants l’ouvrent délicatement. C’est une toute petite bougie sur laquelle est accroché un poème) On ne voit pas grand-chose, murmure un enfant. La nouvelle télé 16/9 de mes parents c’est autre chose, les images sont mieux qu’en vrai ! Là ce n’est qu’une bougie ! Et tu n’as pas vu ma dernière console : les images sont en 3 D ! Moi, mon ordinateur a 2 giga de mémoire et je peux y mettre plein de musique ! Attendez les enfants, faisons un peu le noir pour observer ce qui se passe.
(L’homme allume la petite bougie) Vous voyez, en plein jour, elle serait passée inaperçue. C’est dans l’obscurité que la lumière se révèle et fait découvrir ce qui nous entoure. Regardez autour de vous, vos yeux vont s’habituer à elle et à son tour elle vous montrera ce que vous n’aviez peut-être pas encore aperçu… L’important n’est pas la bougie, mais ce qu’elle éclaire… Mais assez parlé, lisons ensemble le poème que l’on y a accroché : « Je suis la bougie de la vigilance. Les belles choses et tout particulièrement l’amour semblent toujours venir à l’improviste, quand on ne s’y attend pas. Alors tenez-vous prêts, restez éveillés et disponibles pour ne manquer aucun de ses rendez-vous ! Demain, aujourd’hui, tout à l’heure… »
Vous savez, je crois qu’il y a aussi des cœurs privés de lumière, de considération ou d’amour. Beaucoup de personnes ne croient plus en l’avenir parce qu’elles ont été déçues, que la maladie ou l’échec les a blessées, découragées. Comment Noël peut-il leur apporter cette étincelle d’espérance ?
(L’homme propose alors d’ouvrir le deuxième paquet cadeau. Toujours l’étiquette « Attention FRAGILE ». C’est une lampe à huile ! les enfants semblent déçus… Mais l’homme l’allume délicatement et fait lire le texte qui l’accompagne) « Je suis la flamme de la patience. Aujourd’hui tout le monde court après le temps, après la vie. Et chacun finit par se dire : je n’ai pas le temps, je n’ai pas le temps ! Regarde-moi, je suis toute petite et je n’ai que très peu d’huile, pourtant je resterai là toute la nuit, j’attendrai patiemment le jour, je sais qu’il viendra et qu’il chassera toutes les ombres. » Est-ce que ça veut dire, murmure un enfant, que l’on peut prendre son temps pour faire les choses ? Moi, mon père n’arrête pas de dire : allez, dépêche-toi, on n’a pas le temps, dépêche-toi… Moi, c’est pareil, et le mercredi c’est encore pire, on n’a jamais le temps. Cela veut surtout dire, reprend l’homme, que c’est en s’arrêtant de courir que l’on pourra faire attention à la parole qui nous est adressée, que c’est en faisant silence dans son cœur que l’on entendra quelqu’un d’autre nous parler….
L’homme demande aux enfants d’ouvrir le troisième paquet. Toujours l’étiquette « Attention FRAGILE ». C’est une flamme magique qui jette des éclairs colorés lorsqu’elle est allumée. Les enfants poussent des cris de joie tout autour, puis se partagent la lecture du texte) Ca au moins, c’est cool….. Oui, mais c’est dommage que ça ne serve qu’une fois ! Peut-être reprend l’homme, mais vos cris de joie vont m’accompagner plus longtemps que vous ne croyez. Le bonheur donné ne s’use pas… Et puis qui nous empêche d’en avoir d’autres à partager ? Ecoutons le message : « je suis la flamme de la gaieté, de la joie, du bonheur. Je vous dis que vous êtes aimables et que vous êtes aimés ! On ne peut pas vivre sans amour ! Je voudrais vous apprendre à regarder chacun avec les yeux d’un papa, d’une maman, d’un frère. Je voudrais vous apprendre à pardonner, à ne pas vous enfermer dans le passé et vos regrets. Je voudrais vous redonner envie de croire en vous et en demain »
(L’homme demande aux enfants d’ouvrir le quatrième paquet. Toujours l’étiquette : « Attention FRAGILE ». C’est une lampe tempête. En l’allumant, l’homme explique Autrefois, cette lampe était fort utile : grâce à elle on pouvait retrouver son chemin, même dans la nuit noire, même sous la pluie et le vent. Elle ne semble pas très importante et pourtant, grâce à elle, nos pas deviennent plus sûrs, la route semble plus facile. Moi, ça me fait penser à la fois ou l’on s’était perdu dans le camping. On n’avait pas pris de lampe et tout était noir autour de nous…. Moi, j’ai une petite veilleuse dans ma chambre pour ne pas avoir peur du noir. Tu as peur du noir ! Ho, il a peur du noir… Tout le monde craint l’obscurité un jour ou l’autre, reprend l’homme, ne pas en voir peur serait même inconscient ! Lisons maintenant le petit mot…
« Je suis la flamme de toutes les alliances, de tous les rendez-vous. Je viens vous dire que plus jamais vous ne serez seuls. Même dans la tempête, même dans l’obscurité, dans les nuits les plus sombres, je ne vous abandonnerai jamais ! »
(L’homme reprend la parole) Avant de vous laisser partir je voudrais vous confier un dernier secret, vous remettre un dernier cadeau… Un cadeau, mais tu n’avais que 4 paquets ! Oui, nous avons partagé la vigilance, la patience, la joie, l’amour mais il me reste un autre cadeau fragile, très fragile….
(L’homme remet aux enfants une belle Bible) il est lourd, murmure un enfant, mais il n’est pas si fragile que ça, il n’est pas en sucre ! « Détrompez-vous (reprends l’adulte), c’est très fragile. Dieu a voulu donner à l’humanité son plus beau cadeau : il lui a confié sa Parole. Oh, il devait bien savoir que sa Parole ne serait pas forcément bien comprise, qu’elle serait mal interprétée, parfois déformée, ridiculisée…. Alors il lui a confié son propre fils, son enfant. Oh, la vie n’allait pas lui faire de cadeau non plus, mais l’amour est à ce prix : plus il est grand et plus il est fragile ! Oui, notre Dieu est plus fragile que nous le pensons. Loin des caméras et des projecteurs, il se mêle à la foule anonyme, parmi les plus faibles, les plus démunis, les pauvres, les malades, ceux qui sont abandonnés. Et sa parole se tient là, dans l’ombre, comme s’il mendiait, on dirait qu’Il ne veut déranger personne, qu’Il ne veut forcer personne à Le reconnaître. Mais si vous vous arrêtez, si vous goûtez à sa Parole, alors vous comprendrez…. (Trouvé sur http://www.idees-cate.com/celebrations/celenoel
Pensez à nous pour ce Noël. Nous étions jeunes, actifs, Plein de vie et de rêves, Mais la vie en a décidé Autrement ; nous avons Eté fauchés, en plein été de Notre vie, si brève…
Quand nous sommes arrivés Ici, Cela a été un émerveillement Pour nous, de voir tous ces gens Qui ont souffert le martyre, dans Leur vie ; jeunes vieux, enfants, De toutes les nations, de toutes Les langues et toutes les religions.
Quand vous arrivez ici, il y a une Spéciale aura qui vous entoure, Les gens ici, savent de suite qui Vous êtes et ce que vous avez Enduré durant votre séjour sur Terre ; il y a un grand respect Et honneur à votre égard.
La chose la plus magnifique, C’est le grand Roi en personne Qui vient à votre rencontre, Qui vous prend dans ses bras Et vous couvre de son amour. En un instant, toute la peine, Toute la souffrance disparaît ; Juste vous vous sentez aimer !
Il met sa main sur votre front, En un instant, tout devient clair, Votre esprit trouve le repos parfait. Son regard plonge dans le vôtre, Et sans que ses lèvres bougent, Ses paroles coulent dans votre être ; « Ne t’inquiète pas, je suis là, Je suis en contrôle de chaque chose ! »
Nous qui vous regardons d’en haut, Nous avons un message à partager Avec vous, un message de réconfort. Ne pleurez pas et ne soyez pas abattus, Ces moments de douleurs sont pour Un court instant dans l’horloge du temps. Rappelez-vous de nous avec des rires, De la joie et de l’allégresse ; que notre Soudaine mort ne soit pas un hommage A la mort et la destruction, mais à la vie.
Faîte de ce Noël, un jour de réjouissance, Nous ne sommes pas perdus dans la nuit Des temps, mais bel et bien à la maison, Notre vraie demeure céleste, avec nos Bien-aimés, qui sont là pour nous accueillir. N’est-ce pas pour cela que l’enfant Jésus Est venu dans ce monde pour nous apporter Ce message d’espérance et d’amour ?
«Et [Dieu] essuiera toute larme de leurs yeux ; et la mort ne sera plus ; et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni peine, car les premières choses sont passées» (La Bible : Livre de l’Apocalypse ou Révélation)
Ce jour-là, un pasteur célébrait les funérailles d'une femme de 50 ans.
Soudain, l'époux de cette femme se mit à crier "Oh, oh, oh, comme
je l'ai aimée!" Son gémissement éploré interrompit le digne
silence de la cérémonie. Les membres de la famille et les amis,
debout autour du cercueil, prirent un air embarrassé et surpris.
Les enfants de l'homme eurent honte et essayèrent de le faire taire:
"Ça va aller, papa; nous comprenons. Chut..."
Le vieil homme regardait fixement le cercueil
descendre lentement dans la terre"
Le pasteur continua. Lorsqu'il eut terminé,
il invita la famille à jeter une poignée de terre sur la tombe;
tous les membres de la famille, s'exécutèrent, sauf l'époux.
" Oh, comme je l'ai aimée ! "
Sa fille et ses deux fils essayèrent à nouveau de le maîtriser,
mais il continuait: "Je l'ai aimée ! "
Peu après, avant de quitter les lieux, l'homme refusa obstinément
de partir. Le pasteur s'approcha. " Je sais ce que vous ressentez,
mais il est l'heure de partir. Nous devons tous partir et
continuer à vivre. "
"Oh, comme je l'ai aimée !" répéta l'homme d'une voix misérable.
Vous ne comprenez pas, dit-il au pasteur,
j'ai failli lui dire une fois."
auteur : Hanoch McCarty
La plus grande faiblesse
de la plupart des êtres humains,
c'est qu'ils hésitent à dire aux autres
combien ils les aiment
pendant que ceux-ci sont encore vivants.
Vous devez voir la beauté
en cette personne, annoncer que vous la voyez, car en l’annonçant
ainsi, vous l’incluez dans leur réalité.
Ne ratez pas la moindre chance — pas la moindre occasion —
de dire à quelqu’un à quel point elle est merveilleuse et une
personne spéciale, qu’elle est quelqu’un d’important pour vous,
une personne incroyable, une personne magnifique à l’intérieur
et à l’extérieur.
Ne ratez pas une seule possibilité de dire
une telle chose, ressentie et pensée sincèrement.
Faites-en votre mission de vie aujourd’hui de porter à
l’attention de quelqu’un d’autre à quel point elle est une
personne extraordinaire.
Dites-le. Dites-le. DITES-le.
Son coeur attend de savoir que l’ont peut croire à la meilleure
pensée que cette personne a d’elle-même.
Pris sur le net
Ce matin, c'est de mon lit que je vous écris.
Oh non, je ne suis pas malade : je fais la grasse matinée avec mon ordinateur sur la couette !
Un moment de bonheur tout simple à créer ce petit bulletin en pensant à vous.
Je me sens dans un espace où mon coeur est rempli de douceur, de chaleur, de sérénité et de calme.
Je pourrais presque dire que je suis amoureuse.
Tiens, oui, c'est ça : je suis amoureuse de ma vie, des cadeaux qu'elle m'offre chaque jour, des gens que j'aime et qui m'aiment.
Pourtant, je suis célibataire depuis longtemps, un gros contrat n'a pas été renouvelé mais... mais... je suis RICHE !« Riche ?! » me direz-vous ? « Pas d'amoureux, le compte en banque quasiment vide ? Comment peux-tu te sentir riche ?!
L'argent et l'amour, c'est ce qui rend riche ! ».
C'est vrai que j'accueillerais volontiers mon amoureux et quelques euros mais, ici et maintenant, ils ne peuvent pas être là ! Ilest trop loin de moi!
Ce n'est pas en me plaignant et en jouant à la victime que ça va m'arriver plus vite, au contraire !
On attire ce qu'on dégage comme énergie...En fait, je me sens riche d'amour, d'amitié, de tout ce que la vie m'apporte.
J'aime et suis aimée par des gens merveilleux, j'ai de quoi manger, m'habiller, j'ai du travail et je suis en santé et vis dans une maison au bord de la forêt.
Surtout : j'ai du TEMPS pour vivre et ça, je pense que c'est une des plus grandes richesses qu'on puisse posséder.
Du temps pour penser à MOI et, par ricochet, à toutes les personnes que j'aime et celles que je ne connais pas, comme vous, car j'aime AIMER, AIDER, PARTAGER.
C'est ma raison et ma mission de vie : partager pour et rassembler vers et dans des moments de bonheur.
La richesse n'est pas toujours où on pense qu'elle est.
L'argent ne rend pas heureux mais y aide, c'est sûr, sauf que le bonheur, c'est dans le coeur qu'on le trouve et nulle part ailleurs.
Surtout, le bonheur, c'est quelque chose qu'on décide. Il est là, on a juste à lui ouvrir la porte. Rien ne sert d'essayer d'être heureux
Ce n'est que le jour où on DÉCIDE de l'être qu'il apparaît, comme par magie, émergeant du coeur ! Essayez, pour voir ! Heu.... DÉCIDEZ... et écoutez votre coeur !
P.S. : pas besoin de la permission de personne pour être heureux, c'est un droit et un mérite acquis depuis notre conception* et même bienavant... sauf qu'on l'oublie trop souvent !
De tout coeur,
Nadi
La magie dans notre vie!
Il faut mettre de la magie
dans notre vie
Comme notre corps a besoin
d'oxygène pour respirer
et notre coeur, d'amour
pour être heureux
nous avons besoin
d'excitement et de changement
pour rester vivant
à l'intérieur!
Patrick Etienne
Je marchais à l’épicerie,
pas particulièrement intéressée par mes achats de nourriture.
Je n’avais pas faim.
La récente perte de mon mari de 57 ans était encore trop vive.
Cette épicerie renfermait de si beaux souvenirs.
Il venait souvent avec moi et, presque à chaque fois,
il s’éloignait faisant semblant de chercher autre chose.
Je savais ce qu’il planifiait.
Tout à coup, je l’apercevais, marchant dans l’allée,
avec trois roses jaunes dans sa main.
Il savait que j’affectionnais tout particulièrement les roses jaunes.
Subitement, le cœur rempli de chagrin,
je voulais rapidement prendre les quelques items dont j’avais besoin et partir.
Depuis qu’il n’était plus là, même faire l’épicerie devenait éprouvant.
Acheter, pour un, prenait du temps…
Un peu plus de temps qu’il n’en prenait pour deux!
Debout devant le comptoir des viandes, je cherchais le petit steak parfait
et me suis souvenue à quel point il aimait son steak.
Soudainement, une femme approcha tout près de moi.
Elle était blonde, mince et jolie, et portait une robe verte.
Je la regardais alors qu’elle prenait, dans ses mains,
un gros paquet de T-Bones. Elle le déposa dans son panier,
hésita, et le remit dans le comptoir.
Elle se tourna pour partir,
mais décida de reprendre le paquet de steaks.
Elle s’aperçut alors que je la regardais,
et, en souriant, elle me dit : mon mari adore les T-Bones,
mais, honnêtement, à ce prix, je ne suis plus certaine!
Ravalant l’émotion,
je rejoignis ses yeux bleus et lui dit:
mon mari vient tout juste de mourir il y a huit jours.
Achetez-lui les steaks!
Et chérissez tous les moments que vous avez ensemble!
Elle secoua la tête.
Lisant l’émotion dans ses yeux, elle reprit le paquet,
le déposa dans son panier, et partit.
Je me retournai et poussai mon panier jusqu’au comptoir des produits laitiers.
J’étais là me demandant quel format me procurer.
Je décidai pour le demi-litre et, ensuite, poussai le panier vers l’allée de la crème glacée.
S’il n’y avait rien d’autre, je pourrais toujours me préparer un cornet de crème glacée.
Je déposai la crème glacée dans mon panier, et me dirigeai vers l’allée menant aux caisses.
J’ai vu la robe verte en premier, puis j'ai reconnu la jolie femme s’approchant vers moi.
Dans ses bras, elle portait un paquet.
Son visage affichait un sourire magnifique.
J’aurais juré avoir aperçu un halo tout autour de ses cheveux blonds.
Alors qu’elle s’approchait de moi,
j’ai vu ce qu’elle tenait dans ses mains,
et mes yeux ne purent s’empêcher de s’emplir d’eau.
Ceci est pour vous, me dit-elle,
en me remettant trois belles roses jaunes dans les bras.
Lorsque vous passerez à la caisse, ils sauront qu’elles ont déjà été payées.
Elle se pencha et déposa un délicat baiser sur ma joue, et me sourit à nouveau.
J’ai voulu lui expliquer ce qu’elle venait de faire,
ce que les roses représentaient.
Incapable de sortir un mot, je l’ai regardé s’éloigner,
les larmes brouillant ma vision…
J’ai contemplé les magnifiques roses nichées dans le papier vert
les trouvant presque irréelles!
Comment pouvait-elle savoir?
Soudainement, la réponse m’apparut clairement.
Je n’étais pas seule.
Tu ne m’as pas oubliée, n’est-ce pas? J'ai chuchoté ceci, les larmes aux yeux!
Il était encore ici, avec moi, et elle était son ange.
A livre ouvert
A la bibliothèque
J'ai pris le livre bleu
Que tu m'avais conseillé
Je suis allé m'asseoir
A l'abri des regards indiscrets
J'ai commencé à le feuilleter
Mes yeux sont restés collés
Drogués comme jamais
Par ce qui devint ma bible
Ta pureté m' est apparue
Comme les doux parfums
D'une belle nuit d'été
Ta nudité j'ai parcouru
Buvant chaque page
De ce saint élixir
J'ai lu en toi mon amour
Bien au delà de tes rondeurs
J'ai exploré tes profondeurs
Tu m'as ouvert ton cœur
Ton âme et tes secrets
Je suis tombé amoureux
Ce matin là alors j'ai su
Quel était mon destin devenu
A livre ouvert
Chapitre III - Le voyage
Recueil Le chemin
Copyright@thierrypoetilbon
Les quatre cadeaux
Bonjour les enfants, où allez-vous, le pas décidé ?
Nous sommes en retard, nous n’avons toujours pas trouvé les cadeaux que nous allions partager ensemble à la maison !
Ah, mais vous avez raison, c’est vrai que l’on s’approche de Noël !
Pour ma part, je ne sais pas trop comment je vais le vivre où le préparer cette année…
Tenez, regardez, j’ai déjà reçu 4 paquets cadeaux, mais comme je suis seul,
j’attendais un peu pour les déballer. La joie de la surprise n’a de
valeur que si on peut la partager ! Mais puisque vous êtes là, j’ai bien
envie de vous en faire profiter.
Qui sait, vous allez peut-être trouver ce que vous allez pouvoir offrir à votre tour.
(Et l’homme fait ouvrir aux enfants le premier paquet. Attention FRAGILE…
Les enfants l’ouvrent délicatement. C’est une toute petite bougie sur laquelle est accroché un poème)
On ne voit pas grand-chose, murmure un enfant. La nouvelle télé 16/9 de
mes parents c’est autre chose, les images sont mieux qu’en vrai ! Là ce
n’est qu’une bougie !
Et tu n’as pas vu ma dernière console : les images sont en 3 D !
Moi, mon ordinateur a 2 giga de mémoire et je peux y mettre plein de musique !
Attendez les enfants, faisons un peu le noir pour observer ce qui se passe.
(L’homme allume la petite bougie)
Vous voyez, en plein jour, elle serait passée inaperçue.
C’est dans l’obscurité que la lumière se révèle et fait découvrir ce qui nous entoure.
Regardez autour de vous, vos yeux vont s’habituer à elle et à son tour elle vous
montrera ce que vous n’aviez peut-être pas encore aperçu…
L’important n’est pas la bougie, mais ce qu’elle éclaire… Mais assez parlé, lisons ensemble le poème que l’on y a accroché :
« Je suis la bougie de la vigilance. Les belles choses et tout
particulièrement l’amour semblent toujours venir à l’improviste, quand
on ne s’y attend pas. Alors tenez-vous prêts, restez éveillés et
disponibles pour ne manquer aucun de ses rendez-vous ! Demain,
aujourd’hui, tout à l’heure… »
Vous savez, je crois qu’il y a aussi des cœurs privés de lumière, de
considération ou d’amour. Beaucoup de personnes ne croient plus en
l’avenir parce qu’elles ont été déçues, que la maladie ou l’échec les a
blessées, découragées.
Comment Noël peut-il leur apporter cette étincelle d’espérance ?
(L’homme propose alors d’ouvrir le deuxième paquet cadeau. Toujours l’étiquette « Attention FRAGILE ». C’est une lampe à huile ! les enfants semblent déçus… Mais l’homme
l’allume délicatement et fait lire le texte qui l’accompagne)
« Je suis la flamme de la patience. Aujourd’hui tout le monde court après le
temps, après la vie. Et chacun finit par se dire : je n’ai pas le
temps, je n’ai pas le temps !
Regarde-moi, je suis toute petite et je n’ai que très peu d’huile, pourtant je
resterai là toute la nuit, j’attendrai patiemment le jour, je sais qu’il
viendra et qu’il chassera toutes les ombres. »
Est-ce que ça veut dire, murmure un enfant, que l’on peut prendre son temps
pour faire les choses ? Moi, mon père n’arrête pas de dire : allez,
dépêche-toi, on n’a pas le temps, dépêche-toi…
Moi, c’est pareil, et le mercredi c’est encore pire, on n’a jamais le temps.
Cela veut surtout dire, reprend l’homme, que c’est en s’arrêtant de courir
que l’on pourra faire attention à la parole qui nous est adressée, que
c’est en faisant silence dans son cœur que l’on entendra quelqu’un
d’autre nous parler….
L’homme demande aux enfants d’ouvrir le troisième paquet. Toujours l’étiquette « Attention FRAGILE ». C’est une flamme magique qui jette des éclairs colorés lorsqu’elle est
allumée. Les enfants poussent des cris de joie tout autour, puis se
partagent la lecture du texte)
Ca au moins, c’est cool…..
Oui, mais c’est dommage que ça ne serve qu’une fois !
Peut-être reprend l’homme, mais vos cris de joie vont m’accompagner plus
longtemps que vous ne croyez. Le bonheur donné ne s’use pas… Et puis qui
nous empêche d’en avoir d’autres à partager ?
Ecoutons le message :
« je suis la flamme de la gaieté, de la joie, du bonheur. Je vous dis que
vous êtes aimables et que vous êtes aimés ! On ne peut pas vivre sans
amour ! Je voudrais vous apprendre à regarder chacun avec les yeux d’un
papa, d’une maman, d’un frère. Je voudrais vous apprendre à pardonner, à
ne pas vous enfermer dans le passé et vos regrets. Je voudrais vous
redonner envie de croire en vous et en demain »
(L’homme demande aux enfants d’ouvrir le quatrième paquet. Toujours
l’étiquette : « Attention FRAGILE ». C’est une lampe tempête. En
l’allumant, l’homme explique
Autrefois, cette lampe était fort utile : grâce à elle on pouvait retrouver son
chemin, même dans la nuit noire, même sous la pluie et le vent. Elle ne
semble pas très importante et pourtant, grâce à elle, nos pas deviennent
plus sûrs, la route semble plus facile.
Moi, ça me fait penser à la fois ou l’on s’était perdu dans le camping. On
n’avait pas pris de lampe et tout était noir autour de nous….
Moi, j’ai une petite veilleuse dans ma chambre pour ne pas avoir peur du noir.
Tu as peur du noir ! Ho, il a peur du noir…
Tout le monde craint l’obscurité un jour ou l’autre, reprend l’homme, ne pas
en voir peur serait même inconscient ! Lisons maintenant le petit mot…
« Je suis la flamme de toutes les alliances, de tous les rendez-vous. Je
viens vous dire que plus jamais vous ne serez seuls. Même dans la
tempête, même dans l’obscurité, dans les nuits les plus sombres, je ne
vous abandonnerai jamais ! »
(L’homme reprend la parole)
Avant de vous laisser partir je voudrais vous confier un dernier secret, vous remettre un dernier cadeau…
Un cadeau, mais tu n’avais que 4 paquets !
Oui, nous avons partagé la vigilance, la patience, la joie, l’amour mais il me reste un autre cadeau fragile, très fragile….
(L’homme remet aux enfants une belle Bible)
il est lourd, murmure un enfant, mais il n’est pas si fragile que ça, il n’est pas en sucre !
« Détrompez-vous (reprends l’adulte), c’est très fragile.
Dieu a voulu donner à l’humanité son plus beau cadeau : il lui a confié sa Parole.
Oh, il devait bien savoir que sa Parole ne serait pas forcément bien
comprise, qu’elle serait mal interprétée, parfois déformée,
ridiculisée….
Alors il lui a confié son propre fils, son enfant.
Oh, la vie n’allait pas lui faire de cadeau non plus, mais l’amour est à ce prix : plus il est grand et plus il est fragile !
Oui, notre Dieu est plus fragile que nous le pensons.
Loin des caméras et des projecteurs, il se mêle à la foule anonyme, parmi
les plus faibles, les plus démunis, les pauvres, les malades, ceux qui
sont abandonnés.
Et sa parole se tient là, dans l’ombre, comme s’il mendiait, on dirait
qu’Il ne veut déranger personne, qu’Il ne veut forcer personne à Le
reconnaître.
Mais si vous vous arrêtez, si vous goûtez à sa Parole, alors vous comprendrez….
(Trouvé sur http://www.idees-cate.com/celebrations/celenoel
Dimanche 21 Décembre 2014 à 08h59 dans Contes de Noël2 commentaire(s)
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