Poésies,contes et légendes.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 7 mois
27/10/2015 - 13:58










 
27/10/2015 - 07:23

C'est cette France que j'aime

 
Quand ses valeurs sont défendues!

Quand ses institutions sont sauvegardées!

Quand son patrimoine est protégé!

Quand son histoire est honorée!

Quand on est fier d'élever ses enfants!

Quand nos jeunes sont heureux!

Quand nos vieillards sont à l'abri!

Quand nos pauvres sont aidés!

Quand le Français est heureux

D’être Français!

C'est ça ma France, mon héritage,

Mes racines et mon âme!

Combien reste-t-il de Jacquou le croquant

En France pour la défendre?

 
Patrick Etienne


(C'est ce que suis prêt à défendre.Mayyan).
27/10/2015 - 07:17


 

J’ai eu beaucoup d’Amis, même des Amis très chers.

Aujourd’hui j’ai un FRÈRE !

Autrefois j’avais grand besoin d’Amitié.

Aujourd’hui je me nourris de FRATERNITÉ !

 
Voilà ce que cela m’a permis d’apprendre et de comprendre :

 
L’Amitié est ressource, la FRATERNITÉ est source.
 
L’Amitié se choisit, s’acquiert comme un bien et, comme lui, se gère,
alors que la FRATERNITÉ Est ou n’Est pas !
 
On se fait des Amis, on ne se fait pas des FRÈRES.
 
L’Amitié se gagne, s’entretient et se perd, la FRATERNITÉ, quand elle est,  c'est pour  l’Éternité !
 
L’Amitié est un pacte, la FRATERNITÉ est un Lien !
 
L’Amitié s’use avec le temps, la FRATERNITÉ est à l’épreuve du temps !
 
La distance nuit à l’Amitié, elle n’a pas d’effet sur la FRATERNITÉ…
 
On n’a d’Amis qu’en nombre limité, les FRÈRES existent en nombre illimité !
 
Entre Amis il peut y avoir de l'envie, la richesse d’un FRÈRE naturellement enrichit !
 
Entre Amis il y a nécessairement affinité, entre FRÈRES cela n’est pas nécessité !
 
Avoir des Amis c’est avoir des relations, avec des FRÈRES j’ai une relation !

 

Un Ami est un allié, sans quoi il ne serait pas un Ami !

Un FRÈRE est simplement un FRÈRE !
 
Un Ami peut être charitable, Un FRÈRE ne peut être que Solidaire !
 
Un Ami prête et je  suis  en dette avec lui, un FRÈRE  donne  !
 
On risque parfois de déranger un Ami, un FRÈRE est toujours disponible !

 

Avec un Ami je suis exigeant,

Avec un FRÈRE je sais être Tolérant !
 
Avec un Ami on discute, avec un FRÈRE on échange.
 
Un Ami peut faire en secret des confidences, un FRÈRE témoigne toujours  en confiance !
 
On peut dire qu’un Ami est fidèle et sincère, on ne qualifie pas ainsi un FRÈRE !
 
Un Ami peut être distant,  tout  en étant proche…
un FRÈRE est toujours proche, même à distance !
Un Ami peut décevoir, s’il manquait à ses devoirs…
un FRÈRE ne peut jamais décevoir, quoi qu’il fasse !
Si à un Ami je peux vouer estime et respect, c’est le FRÈRE qu’invariablement j’aimerai !

 

S’il arrive un jour que d’Ami tu deviennes FRÈRE,

je serai libéré du souci de te plaire,

car, ayant l’un et l’autre cessé de paraître,

nous nous retrouverons  ENSEMBLE

et nous  nous satisferons tout simplement d’ÊTRE…

 
Trouver l' Âme soeur 

C'est le miroir de son âme

 

 

 
26/10/2015 - 13:54
Je te souhaite assez...


     Récemment, j'ai surpris un père et sa fille dans leurs derniers moments ensemble à l'aéroport. On avait annoncé le départ.

    Debout près de la porte de sécurité, ils se sont serrés et le père a dit « Je t'aime et je te souhaite assez. »
 

  La fille a répondu « Papa, notre vie ensemble a été plus qu'assez. Ton
amour a été tout ce dont j’avais besoin.  Je te souhaite assez, aussi,
papa. »
 
     Ils se sont embrassés et la fille est partie. Le père a marché vers la fenêtre où j'étais assise.
Je pouvais voir qu’il avait besoin et qu’il voulait pleurer.  J'ai essayé de ne pas m'imposer et respecter
son intimité, mais il m'a demandé « Vous est-il déjà arrivé de dire au revoir à quelqu'un en
sachant que vous ne vous reverriez jamais ?
 
     « Oui. » j'ai répondu. « Me permettez-vous de vous demander pourquoi vous croyez que vous ne
vous reverrez jamais ? ».
 
     « Je suis vieux et elle vit si loin. J'ai de gros défis devant moi et
la réalité est que son prochain voyage sera pour mon enterrement» a-t-il
dit.
 
    « Quand vous vous disiez au revoir, je vous ai entendu dire « Je te souhaite assez. » 
Est-ce que je peux vous demander ce que cela signifie ?  »

  Il a commencé à sourire. «  C’est un souhait qui nous vient de
plusieurs générations qui nous ont précédé.  Mes parents avaient
l'habitude de le dire à chacun. »  Il a fait une pause un moment et
regarda au plafond, comme s’il essayait de se rappeler en détail, et il a
souri encore plus.  « Quand nous disons  « Je te souhaite assez » nous souhaitons que
l'autre personne ait une vie remplie de juste assez de bonnes choses pour les garder heureux. » 
Alors, se tournant vers moi, il a partagé ce qui suit comme s’il récitait un texte mémorisé.
 
    Je te souhaite assez
de soleil pour maintenir ton attitude lumineuse peu importe que la journée
soit grise et moche.
 
    Je te souhaite assez
de pluie pour apprécier le soleil encore plus.
 
    Je te souhaite assez
de bonheur pour maintenir ton esprit vivant et éternel.


    
Je te souhaite assez de douleur de sorte que même la plus petite des joies dans la vie puisse te sembler grande.
 
    Je te souhaite assez
de gain pour satisfaire tes besoins.
 
     Je te souhaite assez
de perte pour apprécier tout ce que tu possèdes.
 
     Je te souhaite assez
d’Au revoir pour te permettre de bien te rendre à l’Au revoir final.

     Il a alors commencé à pleurer et il s’est éloigné...
 
    On dit que ça prend une minute pour trouver une personne spéciale, une
heure pour l’apprécier, un jour pour l’aimer, mais que ça prend une vie
entière pour l’oublier.
 
Si tu ne l'envoies à personne, ça peut signifier que tu es pressé et que tu as oublié tes amis...
    PRENDS LE TEMPS DE VIVRE…

 
À tous mes amis et à tous ceux que j’aime,
JE VOUS SOUHAITE ASSEZ !


25/10/2015 - 07:53

 
            La fille à la rose
(l’histoire d’un amour authentique)



John Blanchard se leva, ajusta son uniforme,
et scruta la foule qui traversait le hall
de la grande gare centrale. Il cherchait
la fille dont il connaissait le cœur mais
pas le visage, la fille à la rose.

Cela faisait treize mois qu’il avait commencé
à s’intéresser à elle, alors qu’il se trouvait
dans une bibliothèque en Floride. Il était
tombé sur un livre qui l’avait intrigué,
non pas par son texte, mais par les notes
qui avaient été inscrites au crayon dans
les marges.

L’écriture, tracée d’une main tendre et légère,
révélait un cœur attentionné et un esprit
pénétrant.
 
Sur la page de garde, il découvrit le nom de
l’ancien propriétaire, une certaine
Mademoiselle Hollis Maynell.

Non sans mal, il finit par trouver son adresse:
elle vivait à New York. Il lui écrivit donc
une lettre dans laquelle il se présentait,
et lui demandait si elle voulait bien
correspondre avec lui.

Le lendemain même,il était muté outre-Atlantique
pour combattre la Deuxième Guerre mondiale.

Au cours des treize mois qui suivirent,
l’un et l’autre apprirent à se connaître
à travers les échanges de courriers.

Chaque lettre était comme une graine qui tombait
sur un sol fertile. C’était le début
d’une histoire d’amour.

Un jour, Blanchard demanda une photo d’elle,
mais elle refusa. Elle se disait que si
ce garçon l’aimait vraiment, cela ne devait
pas dépendre de son apparence.
 
Quand enfin arriva le jour de son rapatriement
d’Europe, ils se donnèrent rendez-vous pour
leur première rencontre.

C’était à 7 heures du soir à la grande gare
centrale de New York.

«Vous me reconnaîtrez, écrivit-elle,
à la rose rouge que je porterai au revers
de ma veste.»

Voilà pourquoi, à l’heure dite, il était
à la gare, cherchant une fille dont il aimait
le cœur mais dont il n’avait jamais vu le visage.

Mais laissons à John Blanchard lui-même le soin
de vous raconter la suite de l’histoire :

« Une jeune femme s’approcha de moi, silhouette
mince et élancée. Elle avait des cheveux blonds
qui lui tombaient en boucles tout en dégageant
ses oreilles délicates. Ses yeux étaient bleus
comme des fleurs. Ses lèvres et son menton
dénotaient une douce fermeté. Vêtue d’un
ensemble vert clair, elle était comme
le printemps qui s’éveille.

Je me dirigeai vers elle, totalement oublieux
du fait qu’elle ne portait pas de rose. Un
petit sourire provocateur se dessina  
sur ses lèvres.

? Alors, vous me suivez, marin ? chuchota-t-elle.

Presque machinalement, je fis un nouveau pas vers
elle, et c’est alors que j’aperçus Hollis Maynell.
Elle se tenait presque exactement derrière
la fille.
 
C’était une femme qui, de loin, avait dépassé
la quarantaine, avec des cheveux gris sous un
chapeau usé.

Elle était plus que corpulente, et ses pieds,
sous de grosses chevilles, étaient serrés
dans des chaussures sans talons.

Mais voilà que la fille habillée de vert
s’éloignait à pas rapides…

J’eus l’impression d’être écartelé. D’un côté,
j’avais un vif désir de la suivre,
mais de l’autre, j’étais profondément attiré
par la femme dont l’esprit avait si bien
accompagné et soutenu le mien.

Et elle se tenait là, devant moi. Son visage
rond et pâle était empreint de douceur et
de sensibilité, ses yeux gris pétillaient
de gentillesse.

Je n’hésitai plus. Mes doigts s’emparèrent
du vieux petit livre à la reliure de cuir
bleue, qui devait servir à m’identifier...

Ce ne serait pas le grand amour, mais ce
serait quand même quelque chose de précieux,
peut-être même de plus précieux que l’amour,
une amitié dont j’avais été et dont je serai
toujours reconnaissant.

Donc, redressant les épaules, je saluai
la femme et lui tendis le livre.

La voix étranglée par l’amertume de ma
déception, je me présentai :
 
? Lieutenant John Blanchard. Je suppose
que vous êtes Mademoiselle Maynell.
Je suis très heureux que nous puissions nous
rencontrer. Puis-je vous inviter à dîner ?

Le visage de la femme s’élargit d’un sourire
amusé.

? Je ne sais pas de quoi il s’agit, monsieur,
répondit-elle, mais la jeune femme au complet
vert qui vient de s’en aller m’a supplié de
mettre cette rose à mon manteau.

Elle a ajouté que vous m’inviteriez à dîner
et m’a demandé de vous dire qu’elle vous
attendait au grand restaurant de l’autre
côté de la rue.

Elle a précisé que c’était une sorte de test.»

Vous en conviendrez sans doute,
Mademoiselle Maynell avait fait preuve
d’une grande sagesse.

Car on peut juger de la vraie nature d’un cœur
à la façon dont il se conduit en l’absence
de toute attirance physique.
25/10/2015 - 07:50


La douceur


La douceur du vent
Nous frôle lentement
Libère notre esprit
Et nous donne l'envie
 
Envie de nous aimer
En toute liberté
On rayonne de bonheur
La joie dans notre cœur
 
L'amour est en nous
Et fait partie de nous
Toi et moi, dans le sensuel
Et tout le reste est passionnel
 
Nous sommes unis
Pour la vie et à l'infinie

 
?#?carinepoèmes?
Image Jackie
25/10/2015 - 07:48
                                                            Haïkus

25/10/2015 - 07:44
Au bout du compte,
c’est quoi le plus important?


 
Au bout du compte, c’est quoi le plus important ?
    
On a rapporté que onze millionnaires périrent
dans le naufrage du Titanic. L’un des rescapés,
le Major A.H. Peuchen, laissa dans sa cabine
300 000 dollars en argent liquide, en bijoux
et en titres. Plus tard, il devait déclarer:
-- À ce moment-là, l’argent n’avait plus
aucune valeur pour moi. J’ai laissé tout ça,
et j’ai juste pris trois oranges.

De toutes façons, on ne sera jamais satisfait

Un jour, on demandait à un magnat du pétrole,
l’un des hommes les plus riches du monde
à l’époque :
? Si aujourd’hui vous preniez votre retraite,
pourriez-vous dire que vous pouvez compter
sur un milliard de dollars ?
Tout en arpentant la pièce, l’homme faisait
un calcul dans sa tête.
? Sans doute, répondit-il enfin.
Mais dites-vous bien, monsieur, que,
de nos jours, un milliard de dollars,
ce n’est plus ce que c’était !
N’attendez pas pour donner !    
      
Un homme riche confiait à un son curé :

? Pourquoi me reproche-t-on d’être avare,
alors que j’ai fait savoir à tout le monde
qu’à ma mort, je ferai don de toutes mes
possessions à des œuvres de charité ?
? Eh bien, expliqua le curé, permettez-moi
de vous raconter l’histoire du cochon et
de la vache. Un jour, un cochon se
lamentait d’être aussi impopulaire:
« On parle toujours de ta gentillesse et
de ton amabilité, disait-il à la vache.
Certes, tu donnes le lait et la crème.
Mais moi, je donne encore plus.
Je donne mon lard et mon jambon,
je donne mes poils de soie, et, de mes
pieds, on fait même de la saumure !
Malgré tout ça, personne ne m’aime.
Pourquoi donc ? » Après une minute
de réflexion, la vache répondit:
« Eh bien, c’est peut-être que moi
je donne de mon vivant. »

La pelle de Dieu
    
On raconte l’histoire d’un fermier qui
était connu pour sa générosité.
Ses amis ne pouvaient comprendre comment
il pouvait autant donner tout en demeurant
aussi prospère. Un jour,
ses amis l’interrogèrent:
? Il y a quelque chose qu’on ne comprend pas.
Tu donnes plus que nous tous, et pourtant,
on dirait que tu as toujours plus à donner.
? Oh, c’est pas sorcier, répondit le fermier.
Avec ma pelle, j’arrête pas de remplir
la brouette de Dieu, et Lui, pendant
ce temps-là, Il arrête pas de remplir
la mienne. Mais faut dire que c’est
Lui qui a la plus grosse pelle !

Ce n’est pas le prix qui compte
    
Autrefois, dans une grande ville, on annonça
qu’un célèbre violoniste viendrait jouer
de son violon qui valait plus de mille dollars.
À l’époque, c’était une énorme somme d’argent.
Ce soir-là, le théâtre était bondé.
Nombreux étaient venus pour voir le beau violon,
autant que pour entendre la musique.
Le violoniste monta donc sur scène
et se mit à jouer. Le public en fut ravi.
Mais, tout à coup, l’artiste jeta le violon
sur le sol avec violence et l’écrasa
de ses pieds, et le piétina jusqu’à le réduire
en miettes. Puis il quitta la scène. Le public,
absolument choqué, pensait que l’homme avait
perdu la tête. Imaginez, détruire un si
beau violon, un instrument aussi coûteux !
Alors, le directeur apparut et s’adressa
à l’auditoire :
? Mes amis, le violoniste n’a pas encore joué
sur le violon à mille dollars.
L’instrument que vous venez d’entendre a été
acheté au marché aux puces.
Il va maintenant jouer sur l’instrument à
mille dollars.
Alors le musicien se remit à jouer.
Mais peu de gens dans l’auditoire
furent capables de percevoir la différence.
Il voulait simplement leur montrer que c’est
le violoniste, plus que le violon,
qui fait la musique.  Vous n’êtes peut-être
qu’un violon à 65 cents, mais avec vous le
Maître fera une magnifique musique, si vous
Le laissez faire.
 
"Là où est ton coeur sera ton trésor aussi!
"
24/10/2015 - 16:25
L'Aveugle Et Le Paralytique

Aidons-nous mutuellement,
La charge des malheurs en sera plus légère ;
Le bien que l'on fait à son frère
Pour le mal que l'on souffre est un soulagement.
Confucius l'a dit ; suivons tous sa doctrine.

Pour la persuader aux peuples de la Chine,
Il leur contait le trait suivant.
Dans une ville de l'Asie
Il existait deux malheureux,
L'un perclus, l'autre aveugle, et pauvres tous les deux.

Ils demandaient au Ciel de terminer leur vie ;
Mais leurs cris étaient superflus,
Ils ne pouvaient mourir. Notre paralytique,
Couché sur un grabat dans la place publique,
Souffrait sans être plaint : il en souffrait bien plus.

L'aveugle, à qui tout pouvait nuire,
Etait sans guide, sans soutien,
Sans avoir même un pauvre chien
Pour l'aimer et pour le conduire.
Un certain jour, il arriva
Que l'aveugle à tâtons, au détour d'une rue,
Près du malade se trouva ;

Il entendit ses cris, son âme en fut émue.
Il n'est tel que les malheureux
Pour se plaindre les uns les autres.
" J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres :

Unissons-les, mon frère, ils seront moins affreux.
- Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon frère,
Que je ne puis faire un seul pas ;
Vous-même vous n'y voyez pas :

A quoi nous servirait d'unir notre misère ?
- A quoi ? répond l'aveugle ; écoutez. A nous deux
Nous possédons le bien à chacun nécessaire :
J'ai des jambes, et vous des yeux.

Moi, je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide :
Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ;
Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez.
Ainsi, sans que jamais notre amitié décide
Qui de nous deux remplit le plus utile emploi,
Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. "

Jean-Pierre Claris de Florian  (1755-1794)
24/10/2015 - 11:16
L'amour véritable.
« La plupart des humains ressentent l’amour comme un appétit, c’est une tendance ancienne qui leur vient du règne animal. 
Désormais l’amour doit évoluer. 
Dans la nouvelle "morale", on apprendra que la première règle à observer quand on aime quelqu’un, c’est de penser à lui. 
L’amour doit se manifester d’abord dans le désir de découvrir ce dont a besoin
celui qu’on aime, comment on peut l’aider dans son évolution, de quelle
façon on peut le libérer ou lui donner des conditions pour croître et se
développer. 
C’est cela l’amour. 
Apprenez à aimer avec désintéressement. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov