Le Briquet est un conte d'Hans Christian Andersen, paru en 1835 dans le deuxième livret de ses contes de fées, traduit de l'allemand, sous le titre danois Eventyr fortalte for bøern. Il est accompagné de La Princesse au petit pois et Grand Claus et Petit Claus. Cette publication souleva un tollé de la critique danoise qui s'acharna sur Andersen auquel elle préférait les contes moralisateurs de Christian Frederik Molbech, très en vue1.
Il était une fois un soldat qui rencontre une vieille sorcière qui le charge d'aller au fond d'un tronc d'arbre, là où se trouve une grotte. Là il pourra récupérer les pièces de cuivre d'un coffre gardé par un chien aux yeux grands comme des tasses à thé, des pièces d'argent d'un coffre gardé par un chien avec des yeux grands comme des roues de moulin et les pièces d'or d'un coffre gardé par un chien aux yeux grands comme des tours rondes. Le soldat peut garder l'argent pour lui, la sorcière ne demande qu'une seule chose : le briquet que sa grand-mère a oublié lorsqu'elle est descendue dans ces profondeurs. Pour amadouer les chiens, il suffira de les poser sur le tablier de la sorcière. Ce que fait le soldat. Il prend d'abord, le cuivre, le jette, puis l'argent, le jette, et il prend l'or qu'il garde. Puis il trouve le briquet de la sorcière
Lorsqu'il remonte, il demande à la vieille ce qu'elle veut faire du briquet. La sorcière répond que cela ne le regarde pas. Alors le soldat refuse de le lui donner, et il lui coupe la tête. Arrivé en ville, il fait cirer ses chaussures et s'informe sur la fille du roi qu'il désire voir. Mais cela semble impossible. Le soldat décide de se distraire en attendant de trouver une solution. Mais comme il dépense beaucoup d'argent en menant la grande vie, il se retrouve vite pauvre, et dans une mansarde.
Alors qu'il fait nuit, et froid, le soldat bat le briquet pour allumer une bougie dans sa sombre mansarde quand un des chiens se présente et dit : Ordonne mon maître, que veux-tu. Le soldat demande d'abord de l'argent, puis, lorsqu'il bat de nouveau le briquet et qu'un autre chien apparaît, il lui demande d'aller chercher la princesse.
Le chien la lui ramène, mais le lendemain, elle ne se souvient plus de l'endroit où elle est allée. La reine décide de veiller sur elle, et lorsqu'un chien vient de nouveau chercher la princesse, elle le suit, et marque d'une croix la porte de la maison du soldat où il est entré.. Mais la croix s'efface.
La nuit suivante, la reine coud un sac de farine à la taille de la princesse, et elle suit sa trace. Le soldat est découvert, arrêté, et il va être pendu. Mais au moment de l'exécution, le soldat demande à fumer une pipe. Il bat le briquet une, deux, trois fois, et tous les chiens surgissent en même temps. Le soldat ordonne aux chiens d'éjecter les soldats puis le roi et la reine, le soldat et la princesse se marièrent et vécurent heureux jusque la fin des temps.
Un renard plein d'esprit, d'adresse, de prudence, À la cour d'un lion servait depuis longtemps. Les succès les plus éclatants Avaient prouvé son zèle et son intelligence. Pour peu qu'on l'employât, toute affaire allait bien. On le louait beaucoup, mais sans lui donner rien ; Et l'habile renard était dans l'indigence. Lassé de servir des ingrats, De réussir toujours sans en être plus gras, Il s'enfuit de la cour ; dans un bois solitaire Il s'en va trouver son grand-père, Vieux renard retiré, qui jadis fut vizir. Là, contant ses exploits, et puis les injustices, Les dégoûts qu'il eut à souffrir, Il demande pourquoi de si nombreux services N'ont jamais pu rien obtenir. Le bon homme renard, avec sa voix cassée, Lui dit : mon cher enfant, la semaine passée, Un blaireau mon cousin est mort dans ce terrier : C'est moi qui suis son héritier, J'ai conservé sa peau : mets-la dessus la tienne, Et retourne à la cour,le renard avec peine Se soumit au conseil ; affublé de la peau De feu son cousin le blaireau, Il va se regarder dans l'eau d'une fontaine, Se trouve l'air d'un sot, tel qu'était le cousin. Tout honteux, de la cour il reprend le chemin. Mais, quelques mois après, dans un riche équipage, Entouré de valets, d'esclaves, de flatteurs, Comblé de dons et de faveurs, Il vient de sa fortune au vieillard faire hommage : Il était grand vizir. Je te l'avais bien dit, S'écrie alors le vieux grand-père : Mon ami, chez les grands quiconque voudra plaire Doit d'abord cacher son esprit.
UN SOURIRE Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit ceux qui le reçoivent Sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant Mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n'est assez riche pour s'en passer, Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires. Il est le signe sensible de l'amitié.
Un sourire donne du repos à l'être fatigué, Rend du courage aux plus découragés.
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler, Car c'est une chose qui n'a de valeur Qu'à partir du moment où il se donne.
Et si parfois vous rencontrez une personne Qui ne sait plus avoir le sourire, Soyez généreux, offrez-lui le vôtre... Car nul n'a autant besoin d'un sourire Que celui qui ne peut en donner aux autres Raoul Follereau, "Le Livre d’amour" (1920).
Philosophie de la vie sur le bonheur. reçu par courriel auteur inconnu Une vieille dame de 82 ans, enjouée et fière, toujours bien mise tôt le matin, bien coiffée et maquillée même si elle est presque aveugle, emménageait dans une maison de retraite.
La mort récente de son mari l’obligeait à prendre cette décision. Après plusieurs heures d’attente, elle répondit par un sourire quand on l’informa que sa chambre était prête. La responsable lui décrivit brièvement la chambre. Elle répondit aussitôt avec l’enthousiasme d’un enfant de 8 ans qu’elle aimait la chambre. Comme la responsable lui suggérait d’attendre d’y arriver avant de se prononcer aussi définitivement, elle répondit : "Cela n’a rien à voir avec cette chambre.
La joie est une chose qu’on décide à l’avance. Que j’aime ou non la chambre ne dépend ni des meubles ni des décorations mais de la façon dont j’organise ma propre pensée. J’ai déjà décidé que je l’aimais. Le bonheur est une décision que je prend chaque matin. J’ai le choix. Je peux passer la journée au lit à me plaindre des parties de mon corps qui ne fonctionnent plus ou me lever et profiter de celles qui fonctionnent toujours. Chaque jour sera un cadeau aussi longtemps que je pourrai respirer. Je me concentrerai sur ce que je pourrai accomplir pendant ce nouveau jour malgré l’usure du temps et je me réjouirai de tous les événements positifs que j’ai accumulés tout au long de ma vie de façon à pouvoir profiter de ces souvenirs à ce moment-ci de ma vie.
La vieillesse est comme un compte de banque. On y retire ce qu’on y a accumulé pendant sa vie. C’est pourquoi il faut y accumuler le maximum de petits bonheurs, éviter d’y verser chagrins et peurs, vivre simplement, donner plus, attendre moins."
POUR ÊTRE HEUREUX
Il ne faut que des fleurs Un filtre de soleil Et quelques grains de bonheur. Le cri d'un enfant Le toit d'une maison et la brise du vent.
Pour être heureux Il faut s'entourer de vertus S'emmitoufler d'amour, se nourrir de passion Prendre dans sa main celle d'un être cher Regarder le ciel en oubliant la terre Fermer les yeux sur le passé Pour les ouvrir sur le rêve.
Pour être heureux Il ne faut plus penser Que l'on puisse être malheureux. Pour être heureux Entre nous... il nous faut si peu...
Certains, ont le bonheur facile Ne s’en font pas pour des peccadilles La chance est toujours avec eux Elle est d’accord pour chacun de leurs vœux
Leurs joies, si petites soient-elles, se renouvellent Puisque dans leur vie il fait toujours soleil Ils comptent surtout de nombreux amis Comme s’ils se les fabriquaient aussi
Puis leur ciel est d’un si beau bleu Comme s’il n’y en avait que pour eux En voyage, et surtout où qu’ils aillent Leur nuit est souvent pleine d’étoiles
On le croirait, d’ailleurs ils le disent Que tous leurs beaux rêves se réalisent Et pourtant, on a les mêmes bagages Même que souvent, on a leur âge
Dans leur vie, eux aussi ont des freinages Parfois même, ils ont de gros nuages Mais leurs yeux, ne voient que le beau Leur moindre joie devient un cadeau
Ils savent, que devant tout blocage Il faille savoir tourner la page Ne conservant, que ce qui importera Sachant, que le bonheur un jour suivra
Voici narrée ici pour vous la très belle et très édifiante légende de Raimbaud II , Comte d'Orange, telle qu'elle est, encore de nos jours, transmise dans les veillées.
Nous sommes en l'An de Grâce 1095, par un de ces jours d'été torrides que seule génère la Provence intérieure. Raimbaud II, Seigneur des lieux, parcourt ses terres : Croisé, il doit quitter bientôt la doulce terre de France pour s'en aller en terre sarrazine.
Homme juste, aimé de ses sujets, il a reçu moult témoignages d'encouragement. Chacun y est allé, selon ses moyens, de son obole : qui a donné une poule, des oeufs, du bois, de menus objets confectionnés par les femmes et filles, pour aider au départ du Seigneur, fils de Raimbaud Ier et de la très belle et si douce Rosamée, grand'tante de la reine Blanche, ( mère du futur Roi Saint Louis) morte en pleine jeunesse.
D'elle, Raimbaud II a hérité des yeux d'un bleu de ciel, tandis qu'il a la prestance et la chevelure brune de ses ancêtres provençaux. Épuisés par leur longue course sous le soleil, assoiffés, Raimbaud II et Aldran, son fougueux destrier noir, parviennent au lieu dit "Clos de l'Escarrat "
Devant l'humble chaumière où elle vit avec ses parents, Valère et Jeanne, et ses deux jeunes frères, Clément et Jerphanion, Thibaude voit le cavalier mettre pied à terre, et reconnaît en lui son Seigneur. Vivement, elle pose la corbeille de linge qu 'elle ravaudait, défroisse son tablier immaculé sur lequel s'accroche le soleil et, gracieuse, fait la révérence avant de s'enquérir de ce en quoi elle peut être utile.
Raimbaud II lui ordonne simplement de tirer du puits un bon seau d'eau fraîche, afin de pouvoir étancher sa soif et celle de sa monture.
La jeune fille a tôt fait de le satisfaire.
Pour la remercier, Raimbaud II sort quelques pièces de sa bourse et les lui remet. Il s'apprête à remonter à cheval quand la jeune fille lève hardiment son regard vers lui et entreprend de lui expliquer que ce puits à l'eau si pure est " un puits à souhaits " et que tous ceux qui, s'y étant désaltérés, y jettent quelques pièces, voient leurs voeux exaucés.
Avant qu'il ait pu ébaucher le moindre geste pour l'en empêcher, la jeune fille laisse tomber dans l'eau toutes les pièces contenues dans ses mains. Raimbaud II, surpris, lui demande alors pourquoi elle s'est ainsi défaite d'un argent qui aurait, de toute évidence, pu être bien utile à sa famille .
" Bon Seigneur, je vous sais partir bientôt pour la Croisade et viens de faire dans l'eau du puits le voeu de vous y voir réussir la prise d'Antioche et Jérusalem, avant de nous revenir sauf et glorieux "
Raimbaud II inclina la tête et partit, songeur.
Le Comte Raimbaud II d'Orange se croisa, partit, prit Antioche, puis Jérusalem. Un matin de l'été 1098, il monta à cheval et partit apparemment sans but défini, pour se retrouver tout soudain près du "Clos de l'Escarrat" Avançant doucement vers la maisonnette, il aperçut Thibaude, penchée sur un ouvrage de broderie, entrelaçant patiemment plumes et laines filées. Sentant tout à coup un regard posé sur elle, Thibaude releva la tête et son sourire s'épanouit : ce sourire qui, dans l'horreur des combats, avait accompagné le valeureux chevalier, mois après mois.
Raimbaud II hissa prestement la jeune fille devant lui sur le dos d'Aldran, et tous trois prirent le chemin que leur réservait la destinée :
ils s'aimèrent d'une passion dévorante eurent de nombreux enfants, fruits de cet immense amour, et expirèrent en communion fusionnelle dans les bras l'un de l'autre, le même jour, terrassés par la peste bubonique. Même l'eau du puits n'avait pu les sauver...Mais leurs âmes ardentes sont encore présentes au bord de la margelle du puits du " Clos de l'Escarrat ".
Depuis lors, l'eau du puits du " Clos de l'Escarrat " est restée fameuse par tout le Comté d'Orange et au-delà
En 1678, en curant son puits, tari à la suite d'une exceptionnelle sécheresse, le fermier Abel Gondrand récupéra une telle quantité de pièces d'or qu'il put faire construire une belle bastide devenue : " Le Mas du Clos de l'Escarrat "
La Forêt Magique Viens, marchons d’un pas vif dans la forêt profonde ! Humons cette fraîcheur humide du matin ; Suivons le clair sentier qui monte et vagabonde Parmi les fûts puissants des odorants sapins ! Le sous-bois est empli d’une brume légère, Flottant, fantomatique, à l’entour des hauts troncs Qui filtrent du soleil les flèches de lumière Créant un féerique éventail de rayons. Ces bois semblent déserts et cependant palpitent D’une abondante vie et l’on perçoit non loin, Au sein des verts fourrés que tout un monde habite, Le poids de longs regards d’invisibles témoins.
Un oiseau nous surprend par son battement d’ailes, On entend tout là-bas d’un bûcheron les coups, Le murmure du vent parmi les tiges frêles Ou bien l’écho lointain du doux chant du coucou.
Certains sons font penser à des voix étouffées ; On s’attend presque à voir dans le bois silencieux Paraître des lutins, des sylphes et des fées Ou les elfes des contes anciens et merveilleux.
Saluons les grands arbres élancés et sublimes, Demeures des Dévas lumineux et sacrés, Entrons dans l’harmonie de cette ambiance intime, Toute emplie de mystère, et de profond secret.
Ô magique forêt, ô divine nature, Nous nous fondons en toi et tes bois enchanteurs, Où la vie demeurée belle, innocente et pure, Vient abreuver notre âme et charmer notre cœur. Arnaud Jonquet
Un ordinateur À tous les jours ! Camille Labrecque
Chaque jour, je vois défiler le temps devant moi la réalité, derrière moi un passé... Chaque jour, je fais les mêmes gestes, Les mêmes mouvements, Assis inlassablement, je rêve à ce qui a été Et ne sera plus jamais.
Assis devant un café, je viens vous retrouver. L’ordinateur est devenu un ami inséparable pour moi. Car c'est le courant qui passe entre nous. Un sourire radieux, un bonjour chaleureux, Me fait oublier ma solitude. Une chaleur au coeur de cet écran qui est si froid parfois.
Chaque Jour, je continue à venir vous visiter Avec mon coeur, avec ma tendresse et mon amitié.. Quand je suis avec vous mes amis. J'oublie que je suis assis dans un fauteuil, Je me balade avec vous tous.. Je m'envole où tout est si beau, si pur.
C'est ici que naissent de véritables amitiés, Un mot gentil, une parole affectueuse, Et voilà de nouveau ce soleil qui brille, dans mon coeur..
Si tous les gens qui se baladent ici, pouvaient, ne serait-ce qu'ouvrir leurs coeurs, à tout ce qu'il y a de beau , dégager juste un peu de chaleur, ils en retireraient beaucoup de bonheur. Un pc, pour plusieurs, c'est un coeur qui bat.. Une écoute dont ils ont besoin. Un peu de tendresse et surtout une amitié. Plusieurs en ont besoin...
Un virus, un hacker et voilà que leur monde, vient de s'effondrer... Chaque jour, il y en a qui se retrouvent seuls. Souffrant de solitude et n'ayant plus rien. que de prier pour pouvoir enfin vous retrouver.
Je vous serre tous près de mon coeur... Vous tous, mes amis Car devant cet ordinateur je ressens votre amitié. Et je sais que jour après jour , je vous y retrouverai pour boire encore mon café...
Avec vous tous, assis non pas dans ce fauteuil, mais en me baladant avec vous.. Merci à vous tous pour ce bonheur que vous me donnez.
RALENTIS TON RYTHME reçu par courriel auteur inconnu
As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ?
Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admirer un coucher de soleil ?
Tu devrais t'y arrêter.
Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement.
Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé(e) ?
Lorsque tu demandes " Comment ça va? ", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ? Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends sur ton lit avec 100 000 choses à faire qui courent dans ta tête ? Tu devrais ralentir.
As-tu déjà dit à ton enfant " nous le ferons demain ", et de le remettre au surlendemain ? As-tu déjà perdu contact avec un ami, laissé une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour ? Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour.
La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être. Lorsque tu t'inquiètes te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.
La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée.
Le Briquet est un conte d'Hans Christian Andersen, paru en 1835 dans le deuxième livret de ses contes de fées, traduit de l'allemand, sous le titre danois Eventyr fortalte for bøern. Il est accompagné de La Princesse au petit pois et Grand Claus et Petit Claus. Cette publication souleva un tollé de la critique danoise qui s'acharna sur Andersen auquel elle préférait les contes moralisateurs de Christian Frederik Molbech, très en vue1.
Il était une fois un soldat qui rencontre une vieille sorcière qui le charge d'aller au fond d'un tronc d'arbre, là où se trouve une grotte. Là il pourra récupérer les pièces de cuivre d'un coffre gardé par un chien aux yeux grands comme des tasses à thé, des pièces d'argent d'un coffre gardé par un chien avec des yeux grands comme des roues de moulin et les pièces d'or d'un coffre gardé par un chien aux yeux grands comme des tours rondes.
Le soldat peut garder l'argent pour lui, la sorcière ne demande qu'une seule chose : le briquet que sa grand-mère a oublié lorsqu'elle est descendue dans ces profondeurs. Pour amadouer les chiens, il suffira de les poser sur le tablier de la sorcière. Ce que fait le soldat. Il prend d'abord, le cuivre, le jette, puis l'argent, le jette, et il prend l'or qu'il garde. Puis il trouve le briquet de la sorcière
Lorsqu'il remonte, il demande à la vieille ce qu'elle veut faire du briquet. La sorcière répond que cela ne le regarde pas. Alors le soldat refuse de le lui donner, et il lui coupe la tête.
Arrivé en ville, il fait cirer ses chaussures et s'informe sur la fille du roi qu'il désire voir. Mais cela semble impossible. Le soldat décide de se distraire en attendant de trouver une solution. Mais comme il dépense beaucoup d'argent en menant la grande vie, il se retrouve vite pauvre, et dans une mansarde.
Alors qu'il fait nuit, et froid, le soldat bat le briquet pour allumer une bougie dans sa sombre mansarde quand un des chiens se présente et dit : Ordonne mon maître, que veux-tu. Le soldat demande d'abord de l'argent, puis, lorsqu'il bat de nouveau le briquet et qu'un autre chien apparaît, il lui demande d'aller chercher la princesse.
Le chien la lui ramène, mais le lendemain, elle ne se souvient plus de l'endroit où elle est allée. La reine décide de veiller sur elle, et lorsqu'un chien vient de nouveau chercher la princesse, elle le suit, et marque d'une croix la porte de la maison du soldat où il est entré.. Mais la croix s'efface.
La nuit suivante, la reine coud un sac de farine à la taille de la princesse, et elle suit sa trace. Le soldat est découvert, arrêté, et il va être pendu. Mais au moment de l'exécution, le soldat demande à fumer une pipe. Il bat le briquet une, deux, trois fois, et tous les chiens surgissent en même temps.
Le soldat ordonne aux chiens d'éjecter les soldats puis le roi et la reine,
le soldat et la princesse se marièrent et vécurent heureux jusque la fin des temps.
Le renard déguisé
Un renard plein d'esprit, d'adresse, de prudence,
À la cour d'un lion servait depuis longtemps.
Les succès les plus éclatants
Avaient prouvé son zèle et son intelligence.
Pour peu qu'on l'employât, toute affaire allait bien.
On le louait beaucoup, mais sans lui donner rien ;
Et l'habile renard était dans l'indigence.
Lassé de servir des ingrats,
De réussir toujours sans en être plus gras,
Il s'enfuit de la cour ; dans un bois solitaire
Il s'en va trouver son grand-père,
Vieux renard retiré, qui jadis fut vizir.
Là, contant ses exploits, et puis les injustices,
Les dégoûts qu'il eut à souffrir,
Il demande pourquoi de si nombreux services
N'ont jamais pu rien obtenir.
Le bon homme renard, avec sa voix cassée,
Lui dit : mon cher enfant, la semaine passée,
Un blaireau mon cousin est mort dans ce terrier :
C'est moi qui suis son héritier,
J'ai conservé sa peau : mets-la dessus la tienne,
Et retourne à la cour,le renard avec peine
Se soumit au conseil ; affublé de la peau
De feu son cousin le blaireau,
Il va se regarder dans l'eau d'une fontaine,
Se trouve l'air d'un sot, tel qu'était le cousin.
Tout honteux, de la cour il reprend le chemin.
Mais, quelques mois après, dans un riche équipage,
Entouré de valets, d'esclaves, de flatteurs,
Comblé de dons et de faveurs,
Il vient de sa fortune au vieillard faire hommage :
Il était grand vizir. Je te l'avais bien dit,
S'écrie alors le vieux grand-père :
Mon ami, chez les grands quiconque voudra plaire
Doit d'abord cacher son esprit.
Jean-Pierre Claris de Florian.
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit ceux qui le reçoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant
Mais son souvenir est parfois éternel.
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires.
Il est le signe sensible de l'amitié.
Un sourire donne du repos à l'être fatigué,
Rend du courage aux plus découragés.
Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler,
Car c'est une chose qui n'a de valeur
Qu'à partir du moment où il se donne.
Et si parfois vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, offrez-lui le vôtre...
Car nul n'a autant besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres
Raoul Follereau, "Le Livre d’amour" (1920).
reçu par courriel auteur inconnu
Une vieille dame de 82 ans, enjouée et fière,
toujours bien mise tôt le matin, bien coiffée et maquillée
même si elle est presque aveugle, emménageait dans une maison de retraite.
La mort récente de son mari l’obligeait à prendre cette décision.
Après plusieurs heures d’attente, elle répondit par un sourire
quand on l’informa que sa chambre était prête.
La responsable lui décrivit brièvement la chambre.
Elle répondit aussitôt avec l’enthousiasme d’un enfant de 8 ans qu’elle aimait la chambre.
Comme la responsable lui suggérait d’attendre d’y
arriver
avant de se prononcer aussi définitivement, elle répondit :
"Cela n’a rien à voir avec cette chambre.
La joie est une chose qu’on décide à l’avance.
Que j’aime ou non la chambre ne dépend ni des meubles ni des décorations
mais de la façon dont j’organise ma propre pensée.
J’ai déjà décidé que je l’aimais.
Le bonheur est une décision que je prend chaque matin.
J’ai le choix.
Je peux passer la journée au lit à me plaindre des parties de mon corps qui ne fonctionnent plus
ou me lever et profiter de celles qui fonctionnent toujours.
Chaque jour sera un cadeau aussi longtemps que je pourrai respirer.
Je me concentrerai sur ce que je pourrai accomplir pendant ce nouveau jour malgré l’usure du temps
et je me réjouirai de tous les événements positifs que j’ai accumulés tout
au long de ma vie
de façon à pouvoir profiter de ces souvenirs à ce moment-ci de ma vie.
La vieillesse est comme un compte de banque.
On y retire ce qu’on y a accumulé pendant sa vie.
C’est pourquoi il faut y accumuler le maximum de petits bonheurs,
éviter d’y verser chagrins et peurs,
vivre simplement, donner plus, attendre moins."
POUR ÊTRE HEUREUX
Il ne faut que des fleurs
Un filtre de soleil
Et quelques grains de bonheur.
Le cri d'un enfant
Le toit d'une maison et la brise du vent.
Pour être heureux
Il faut s'entourer de vertus
S'emmitoufler d'amour, se nourrir de passion
Prendre dans sa main celle d'un être cher
Regarder le ciel en oubliant la terre
Fermer les yeux sur le passé
Pour les ouvrir sur le rêve.
Pour être heureux
Il ne faut plus penser
Que l'on puisse être malheureux.
Pour être heureux
Entre nous... il nous faut si peu...
BONNE JOURNÉE! Voir le Fichier : 10_trucs_au_bonheur.pps
Le bonheur facile
Certains, ont le bonheur facile
Ne s’en font pas pour des peccadilles
La chance est toujours avec eux
Elle est d’accord pour chacun de leurs vœux
Leurs joies, si petites soient-elles, se renouvellent
Puisque dans leur vie il fait toujours soleil
Ils comptent surtout de nombreux amis
Comme s’ils se les fabriquaient aussi
Puis leur ciel est d’un si beau bleu
Comme s’il n’y en avait que pour eux
En voyage, et surtout où qu’ils aillent
Leur nuit est souvent pleine d’étoiles
On le croirait, d’ailleurs ils le disent
Que tous leurs beaux rêves se réalisent
Et pourtant, on a les mêmes bagages
Même que souvent, on a leur âge
Dans leur vie, eux aussi ont des freinages
Parfois même, ils ont de gros nuages
Mais leurs yeux, ne voient que le beau
Leur moindre joie devient un cadeau
Ils savent, que devant tout blocage
Il faille savoir tourner la page
Ne conservant, que ce qui importera
Sachant, que le bonheur un jour suivra
Claude Marcel Breault
La porte.
La porte qui se ferme avec force et colère
En un instant tout quitter, notre maison, notre terre.
La porte qui se ferme est dure à notre cœur,
Je n’ai pas comprit, j’étais petit et j’avais peur.
La porte qui se ferme sur un mélodrame
A des claquements qui déchirent notre âme.
La porte qui se ferme laisse le soleil dans l’ombre
Et nous pleurons longtemps sur un avenir sombre.
La porte qui se ferme c’est l’orage dans notre cœur
Nous partons humiliés, furieux et remplis de rancœur.
La porte qui s’ouvre sur nos angoisses et nos peurs
Laisse entrevoir un rayon de soleil qui réchauffe nos cœurs.
La porte qui s’ouvre avec chaleur sur notre colère
Efface notre orgueil et regrettons toutes paroles amères.
La porte qui s’ouvre doucement vers un avenir meilleur
Fait fuir de mon âme les mille fantômes noirs agitateurs.
La porte qui s’ouvre avec enchantement sur cette nouvelle terre
Nous accueille humblement, humainement sans après guerre.
La porte qui s’est ouverte brillamment sur moi-même
Me laisse déjà prêt à en refaire tout un poème.
Ce n'est pas souffrir.
C'est rigoler, plaisanter,
Et ne pas être hanté.
La tristesse c'est pleurer,
C'est aussi crier.
C'est ne plus rire,
C'est dépérir.
Quand on est joyeux,
On est tout aussi heureux.
On sourit encore et toujours,
Et on profite à fond de l'amour.
Quand on est malheureux,
On sourit lorsqu'il pleut,
Car le temps nous ressemble, on le trouve dur
Et on se trouve froid, pareils aux températures.
La joie c'est quand on est avec ses alliés,
Et qu'on profite de notre destinée.
Sans se soucier,
De ce qui se passe à coté.
Une larme, c'est un peu comme un orage
Qui nous assiège devant le voisinage
Sans que personne ne voie rien
Le seul, c'est le chien.
Voici narrée ici pour vous la très belle et très édifiante légende de
Raimbaud II , Comte d'Orange, telle qu'elle est, encore de nos jours,
transmise dans les veillées.
Nous sommes en l'An de Grâce 1095, par un de ces jours d'été torrides que seule génère la Provence intérieure.
Raimbaud II, Seigneur des lieux, parcourt ses terres : Croisé, il doit quitter
bientôt la doulce terre de France pour s'en aller en terre sarrazine.
Homme juste, aimé de ses sujets, il a reçu moult témoignages d'encouragement.
Chacun y est allé, selon ses moyens, de son obole : qui a donné une poule, des
oeufs, du bois, de menus objets confectionnés par les femmes et filles,
pour aider au départ du Seigneur, fils de Raimbaud Ier et de la très
belle et si douce Rosamée, grand'tante de la reine Blanche, ( mère du
futur Roi Saint Louis) morte en pleine jeunesse.
D'elle, Raimbaud II a hérité des yeux d'un bleu de ciel, tandis qu'il a la
prestance et la chevelure brune de ses ancêtres provençaux.
Épuisés par leur longue course sous le soleil, assoiffés, Raimbaud II et
Aldran, son fougueux destrier noir, parviennent au lieu dit "Clos de
l'Escarrat "
Devant l'humble chaumière où elle vit avec ses parents, Valère et Jeanne, et
ses deux jeunes frères, Clément et Jerphanion, Thibaude voit le cavalier
mettre pied à terre, et reconnaît en lui son Seigneur. Vivement, elle
pose la corbeille de linge qu 'elle ravaudait, défroisse son tablier
immaculé sur lequel s'accroche le soleil et, gracieuse, fait la
révérence avant de s'enquérir de ce en quoi elle peut être utile.
Raimbaud II lui ordonne simplement de tirer du puits un bon seau d'eau fraîche,
afin de pouvoir étancher sa soif et celle de sa monture.
La jeune fille a tôt fait de le satisfaire.
Pour la remercier, Raimbaud II sort quelques pièces de sa bourse et les lui
remet. Il s'apprête à remonter à cheval quand la jeune fille lève
hardiment son regard vers lui et entreprend de lui expliquer que ce
puits à l'eau si pure est " un puits à souhaits " et que tous ceux qui,
s'y étant désaltérés, y jettent quelques pièces, voient leurs voeux
exaucés.
Avant qu'il ait pu ébaucher le moindre geste pour l'en empêcher, la jeune
fille laisse tomber dans l'eau toutes les pièces contenues dans ses
mains. Raimbaud II, surpris, lui demande alors pourquoi elle s'est ainsi
défaite d'un argent qui aurait, de toute évidence, pu être bien utile à
sa famille .
" Bon Seigneur, je vous sais partir bientôt pour la Croisade et viens de
faire dans l'eau du puits le voeu de vous y voir réussir la prise
d'Antioche et Jérusalem, avant de nous revenir sauf et glorieux "
Raimbaud II inclina la tête et partit, songeur.
Le Comte Raimbaud II d'Orange se croisa, partit, prit Antioche, puis Jérusalem.
Un matin de l'été 1098, il monta à cheval et partit apparemment sans but
défini, pour se retrouver tout soudain près du "Clos de l'Escarrat"
Avançant doucement vers la maisonnette, il aperçut Thibaude, penchée sur
un ouvrage de broderie, entrelaçant patiemment plumes et laines filées.
Sentant tout à coup un regard posé sur elle, Thibaude releva la tête et
son sourire s'épanouit : ce sourire qui, dans l'horreur des combats,
avait accompagné le valeureux chevalier, mois après mois.
Raimbaud II hissa prestement la jeune fille devant lui sur le dos d'Aldran, et
tous trois prirent le chemin que leur réservait la destinée :
ils s'aimèrent d'une passion dévorante eurent de nombreux enfants, fruits
de cet immense amour, et expirèrent en communion fusionnelle dans les
bras l'un de l'autre, le même jour, terrassés par la peste bubonique.
Même l'eau du puits n'avait pu les sauver...Mais leurs âmes ardentes
sont encore présentes au bord de la margelle du puits du " Clos de
l'Escarrat ".
Depuis lors, l'eau du puits du " Clos de l'Escarrat " est restée fameuse par tout le Comté d'Orange et au-delà
En 1678, en curant son puits, tari à la suite d'une exceptionnelle
sécheresse, le fermier Abel Gondrand récupéra une telle quantité de
pièces d'or qu'il put faire construire une belle bastide devenue :
" Le Mas du Clos de l'Escarrat "
La Forêt Magique
Viens, marchons d’un pas vif dans la forêt profonde !
Humons cette fraîcheur humide du matin ;
Suivons le clair sentier qui monte et vagabonde
Parmi les fûts puissants des odorants sapins !
Le sous-bois est empli d’une brume légère,
Flottant, fantomatique, à l’entour des hauts troncs
Qui filtrent du soleil les flèches de lumière
Créant un féerique éventail de rayons.
Ces bois semblent déserts et cependant palpitent
D’une abondante vie et l’on perçoit non loin,
Au sein des verts fourrés que tout un monde habite,
Le poids de longs regards d’invisibles témoins.
Un oiseau nous surprend par son battement d’ailes,
On entend tout là-bas d’un bûcheron les coups,
Le murmure du vent parmi les tiges frêles
Ou bien l’écho lointain du doux chant du coucou.
Certains sons font penser à des voix étouffées ;
On s’attend presque à voir dans le bois silencieux
Paraître des lutins, des sylphes et des fées
Ou les elfes des contes anciens et merveilleux.
Saluons les grands arbres élancés et sublimes,
Demeures des Dévas lumineux et sacrés,
Entrons dans l’harmonie de cette ambiance intime,
Toute emplie de mystère, et de profond secret.
Ô magique forêt, ô divine nature,
Nous nous fondons en toi et tes bois enchanteurs,
Où la vie demeurée belle, innocente et pure,
Vient abreuver notre âme et charmer notre cœur.
Arnaud Jonquet
À tous les jours ! Camille Labrecque
Chaque jour, je vois défiler le temps
devant moi la réalité,
derrière moi un passé...
Chaque jour, je fais les mêmes gestes,
Les mêmes mouvements,
Assis inlassablement, je rêve à ce qui a été
Et ne sera plus jamais.
Assis devant un café, je viens vous retrouver.
L’ordinateur est devenu un ami inséparable pour moi.
Car c'est le courant qui passe entre nous.
Un sourire radieux, un bonjour chaleureux,
Me fait oublier ma solitude.
Une chaleur au coeur de cet écran qui est si froid parfois.
Chaque Jour, je continue à venir vous visiter
Avec mon coeur, avec ma tendresse et mon amitié..
Quand je suis avec vous mes amis.
J'oublie que je suis assis dans un fauteuil,
Je me balade avec vous tous..
Je m'envole où tout est si beau, si pur.
C'est ici que naissent de véritables amitiés,
Un mot gentil, une parole affectueuse,
Et voilà de nouveau ce soleil qui brille, dans mon coeur..
Si tous les gens qui se baladent ici,
pouvaient, ne serait-ce qu'ouvrir leurs coeurs,
à tout ce qu'il y a de beau ,
dégager juste un peu de chaleur,
ils en retireraient beaucoup de bonheur.
Un pc, pour plusieurs, c'est un coeur qui bat..
Une écoute dont ils ont besoin.
Un peu de tendresse et surtout une amitié.
Plusieurs en ont besoin...
Un virus, un hacker et voilà que leur monde,
vient de s'effondrer...
Chaque jour, il y en a qui se retrouvent seuls.
Souffrant de solitude et n'ayant plus rien.
que de prier pour pouvoir enfin vous retrouver.
Je vous serre tous près de mon coeur...
Vous tous, mes amis
Car devant cet ordinateur je ressens votre amitié.
Et je sais que jour après jour ,
je vous y retrouverai pour boire encore mon café...
Avec vous tous, assis non pas dans ce fauteuil,
mais en me baladant avec vous..
Merci à vous tous pour ce bonheur que vous me donnez.
Camille Labrecque
reçu par courriel
auteur inconnu
As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber
sur le toit ?
Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admirer un coucher de soleil ?
Tu devrais t'y arrêter.
Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement.
Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé(e) ?
Lorsque tu demandes " Comment ça va? ", est-ce que tu prends le temps d'écouter
la réponse ?
Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends sur ton lit avec 100 000 choses à faire
qui courent dans ta tête ?
Tu devrais ralentir.
As-tu déjà dit à ton enfant " nous le ferons demain ", et de le remettre au surlendemain ?
As-tu déjà perdu contact avec un ami, laissé une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le
temps d'appeler pour dire bonjour ?
Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour.
La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être.
Lorsque tu t'inquiètes te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.
La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée.