Ceci, s'est vraiment produit, du moins pour ce qui est des 6 premiers vers, pour le reste hélas...
Le réveil. Voilà, de mon réveil, que je change les piles, Les secondes aussitôt se libèrent et défilent. Mais je constate alors, à ma grande stupeur Que l'aiguille damnée ne me donne pas l'heure! Dans un tic-tac sans fin, elle va de droite à gauche, Grignotant mon passé comme serpe qui fauche. Se peut-il que du temps, le cours soit inversé? Et l'espoir monte en moi, superbe et insensé: Vais-je tantôt ici retrouver ma jeunesse Et son lot de bonheur mais aussi de tristesse? Dès lors, j'épie sans cesse, les traits de mon visage, Espérant que s'effacent , de l'âge les outrages! La trotteuse, sans fin, sur le cadran s'échine A refuser au temps de planter ses racines. C'est la lutte inégale, d'une pendule folle Qui s'oppose à Chronos, refuse les idoles!
Selon la bible, Goliath le géant aurait bel et bien existé. Mais cela est-il possible ? Les géants ont-ils vraiment existé ? C'est que nous allons tenter de découvrir à travers ce documentaire.
Selon la bible, le Philistin Goliath mesurait plus de trois mètres. Il aurait été choisi pour se battre contre David et était sur de gagner au vu de leur différence de taille. Pourtant, il n'a fallu au jeune garçon que du courage ainsi qu'une fronde pour venir à bout du géant. Goliath fut touché en pleine tête et s'effondra telle une masse. Par la suite, David est devenu roi d'Israël.
Selon certains, notre géant aurait été atteint d'une maladie nommée ''le gigantisme'', elle pourrait expliquer sa taille hors norme. Mais selon la bible, les géants étaient tout simplement la descendance des Néphilims, qui prirent pour épouses des filles des hommes. Quoi qu'il en soit, cette légende perdure et symbolise la puissance du monde antique. D'ailleurs, nous avons encore aujourd'hui quelques géants, dont quelques-uns sont célèbres.
Les historiens pensent que les philistins n'auraient pas choisis un géant pour se battre contre David, car il était certain qu'il aurait eu guère de chance à cause de sa grande taille. Difficile en effet de se mouvoir avec aisance dans une situation de crise et surtout face à un jeune homme fluet. Il est de plus évident que si Goliath avait vraiment existé, on aurait forcément trouvé des preuves de cette existence, qu'elle ait été longue ou vaine. Or, ce n'est pas le cas puisque seule la bible relate sa supposée existence.
Cela étant dit, un papyrus égyptien mentionne bel et bien une race de géants. ''La vallée étroite fourmille de dangers, des ''bédouins chachous'' se cachent dans les fourrés. Certains d'entre eux font deux mètres et même deux mètres cinquante du nez jusqu'aux pieds. Ils ont un visage féroce. Très belliqueux, ils sont impitoyables''.
C'est au Moyen Orient que se trouve un monument unique et pour le moins original. Il s'y trouve en effet d'énormes blocs de roches disposés en spirale. Il se nomme ''le cercle des géants'' et d'après les rumeurs, les roches auraient été disposées une à une par des géants justement. Les cercles constitueraient un calendrier astronomique, ce qui pourrait éventuellement laisser penser que ces hommes s'en seraient servis de lieu de culte. Dans tous les cas, ceux qui ont roulé ses pierres sur de longues distances devaient être nombreux et forts, c'est indéniable.
Sept squelettes antiques ont été retrouvés à ce jour sur le site de Tell es-Sa'idiyeh, ils sont en cours d'analyse et livreront bientôt tous leurs secrets. Mais nous pouvons d'or et déjà nous demander si la bible disait réellement la vérité à propos de ces grands hommes. Les chercheurs tentent à penser qu'elle dit vrai et qu'un géant se serait effectivement battu avec David. Si tout cela est avéré, il aurait pu être un tueur redoutable si le jeune homme ne l'avait pas vaincu à l'aide de son arme. Il est également possible que Goliath n'ai pas eu le temps de sortir son javelot, alors que David avait déjà ajusté sa fronde. Sa lenteur aurait donc été son point faible.
Quoi qu'il en soit, ce récit participe à nous faire rêver et quelques soient les résultats, il n'en sera pas moins passionnant.
L’endroit où la terre finit À l’endroit où la terre finit Face à l’océan aux ondes vert-marine J’ai pris le vent entre mes mains J’ai saisi les cieux! Ou bien ils m’ont saisi Oui, l’azur infini m’a saisi. À l’endroit où la lumière finit À l’horizon courbe où l’air dérive J’ai tenu le rêve en mon regard J’ai approché Dieu! Ou bien Il m’a approché Oui, son éternité m’a approché. À l’endroit où toute vie finit Devant l’amour immense, partage insensé J’ai libéré les vents de mes mains J’ai abandonné le rêve! Ou bien il m’a abandonné Oui, le délire m’a abandonné. À l’endroit où la terre finit Devant l’océan, le rêve et l’amour fou J’ai déposé mon cœur entre tes mains J’ai touché ton visage! Ou bien il m’a touché Oui, ton visage aimant m’a touché.
La Chanson De Prévert Cette chanson était la tienne C'était ta préférée je crois Qu'elle est de Prévert et Kosma Et chaque fois "Les feuilles mortes" Te rappellent à mon souvenir Jour après jour les amours mortes N'en finissent pas de mourir Avec d'autres bien sûr je m'abandonne Mais leur chanson est monotone Et peu à peu je m'indiffère A cela il n'est rien à faire
Si un enfant vit dans la critique, Il apprend à condamner... Si un enfant vit dans l'hostilité il apprend à se battre... Si un enfant vit dans le ridicule Il apprend à être gêné... Si un enfant vit dans la honte, Il apprend à se sentir coupable... Si un enfant vit dans la tolérance, Il apprend à être patient... Si un enfant vit dans l'encouragement, Il apprend à être confiant... Si un enfant vit dans la motivation, Il apprend à se faire valoir... Si un enfant vit dans la loyauté, Il apprend la justice, Si un emfant vit dans la sécurité, Il apprend la foi... Si un enfant vit dans l'approbation, Il apprend à s'aimer... Si un enfant vit dans l'acceptation et l'amitié, Il apprend à trouver l'amour dans le monde...!!! Par Dorothy Law Nolte
Extrait d'un poème sur le bonheur d'un auteur anonyme:
Le bonheur n'est pas dans un château grandiose, Habité par des reines et des rois; Il est dans ton jardin de roses ? Dans ta cabane de bois. Le bonheur n'est pas dans une nuit vénitienne, Faite de musique et d'amour, Il est dans les choses quotidiennes Que tu retrouves chaque jour. Le bonheur n'est pas dans quelque grande ville, Où l'on parle de richesse et de joie; Il est dans ta chambre tranquille Tout près de toi. Le bonheur n'est pas dans les choses qu'on espère, Et qu'on réclame du lendemain; Il est dans celles qui nous entourent Et qui reposent dans nos mains.
La guerre entre les quadrupèdes et les oiseaux Conte Pygmée
Un jour, la guerre fut déclarée entre les quadrupèdes et les oiseaux. Les oiseaux choisirent l’autruche pour chef, les quadrupèdes se placèrent sous le commandement de l’éléphant, du lion et de la panthère. Alors que les oiseaux se rangeaient pour aller au combat, l’autruche leur conseilla : " Mes amis, mes petites ailes ne me permettent pas de voler devant vous et d’assumer le commandement. Cependant, je vais vous donner un bon conseil. Voici mes trois oeufs. L’aigle prendra le premier pour le casser sur la tête de l’éléphant. Le faucon s’envolera avec le second pour le fracasser sur la tête du lion. Le marabout en fera autant avec le troisième sur la tête de la panthère. Lorsque nos ennemis verront couler le jaune sur la tête de leurs chefs, ils penseront que c’est leur cervelle et s’enfuiront sans demander leur reste. Nos alliées, les abeilles, se jetteront alors sur l’éléphant, le lion et la panthère et ce sera la victoire ! " Un petit lézard entendit ces propos. Il se hâta de les rapporter au lion qui prit la chose à la légère : " À la guerre, on ne se bat pas avec des oeufs d’autruche ! " Cependant, les oiseaux obéirent à leur chef. L’aigle vola le premier à la rencontre des quadrupèdes. Dès qu’il aperçut l’éléphant, il lui cassa l’oeuf sur la tête. La hyène trottait à côté de l’éléphant. Voyant le jaune couler, elle le prit pour de la cervelle. Effrayée, elle se mit à crier : " Hélas ! hélas ! l’éléphant se meurt ! " Un instant après, le jaune coulait aussi sur la tête du lion et de la panthère. C’en fut trop pour la pauvre hyène. Morte de peur, elle prit ses jambes à son cou, imitée aussitôt par les autres animaux. Les abeilles attaquèrent alors les trois chefs quadrupèdes et les obligèrent à se replier. Le coq, redoutable guerrier des oiseaux, donna la chasse à la hyène. Au moment où il était sur le point de la saisir dans ses serres et de lui fracasser le crâne à coups de bec, la hyène se coula dans sa tanière. Le coq se posta devant l’entrée et attendit. La hyène se tint coite dans son trou. Au bout de quelque temps, cependant, lorsque tout redevint calme, elle rassembla tout son courage et regarda à l’extérieur. La queue de son terrible ennemi s’agita devant son nez et la hyène rentra vite dans son trou. À la fin, le coq en eut assez d’attendre. Il arracha trois de ses plus belles plumes, les planta devant la tanière et s’en alla. Lorsque la hyène risqua un nouveau coup d’oeil au-dehors, elle revit le panache du coq. Elle essaya encore et encore, mais chaque fois, elle recula, effrayée par les plumes. Ainsi, elle finit par mourir de faim dans son trou.
MERCI à MAYYAN : -pour ses documents, poésies , textes , contes , etc......que je me suis permise de recopier,et,de poster à des ami(e)s, de la famille, des anciennes collègues...... , tout en leur écrivant que j'avais trouvé ces " textes " sur Ordissimo, dans le forum de Mayyan
Ceci, s'est vraiment produit, du moins pour ce qui est des 6 premiers vers, pour le reste hélas...
Le réveil.
Voilà, de mon réveil, que je change les piles,
Les secondes aussitôt se libèrent et défilent.
Mais je constate alors, à ma grande stupeur
Que l'aiguille damnée ne me donne pas l'heure!
Dans un tic-tac sans fin, elle va de droite à gauche,
Grignotant mon passé comme serpe qui fauche.
Se peut-il que du temps, le cours soit inversé?
Et l'espoir monte en moi, superbe et insensé:
Vais-je tantôt ici retrouver ma jeunesse
Et son lot de bonheur mais aussi de tristesse?
Dès lors, j'épie sans cesse, les traits de mon visage,
Espérant que s'effacent , de l'âge les outrages!
La trotteuse, sans fin, sur le cadran s'échine
A refuser au temps de planter ses racines.
C'est la lutte inégale, d'une pendule folle
Qui s'oppose à Chronos, refuse les idoles!
Nicole Larrue
combat perdu d'avance ?
Cliquez ici....... http://dai.ly/x1z4hca
Selon la bible, Goliath le géant aurait bel et bien existé. Mais cela
est-il possible ? Les géants ont-ils vraiment existé ? C'est que nous
allons tenter de découvrir à travers ce documentaire.
Selon la bible, le Philistin Goliath mesurait plus de trois mètres. Il
aurait été choisi pour se battre contre David et était sur de gagner au
vu de leur différence de taille. Pourtant, il n'a fallu au jeune garçon
que du courage ainsi qu'une fronde pour venir à bout du géant. Goliath
fut touché en pleine tête et s'effondra telle une masse. Par la suite,
David est devenu roi d'Israël.
Selon certains, notre géant aurait été atteint d'une maladie nommée
''le gigantisme'', elle pourrait expliquer sa taille hors norme. Mais
selon la bible, les géants étaient tout simplement la descendance des
Néphilims, qui prirent pour épouses des filles des hommes. Quoi qu'il en
soit, cette légende perdure et symbolise la puissance du monde antique.
D'ailleurs, nous avons encore aujourd'hui quelques géants, dont
quelques-uns sont célèbres.
Les historiens pensent que les philistins n'auraient pas choisis un
géant pour se battre contre David, car il était certain qu'il aurait eu
guère de chance à cause de sa grande taille. Difficile en effet de se
mouvoir avec aisance dans une situation de crise et surtout face à un
jeune homme fluet. Il est de plus évident que si Goliath avait vraiment
existé, on aurait forcément trouvé des preuves de cette existence,
qu'elle ait été longue ou vaine. Or, ce n'est pas le cas puisque seule
la bible relate sa supposée existence.
Cela étant dit, un papyrus égyptien mentionne bel et bien une race de
géants. ''La vallée étroite fourmille de dangers, des ''bédouins
chachous'' se cachent dans les fourrés. Certains d'entre eux font deux
mètres et même deux mètres cinquante du nez jusqu'aux pieds. Ils ont un
visage féroce. Très belliqueux, ils sont impitoyables''.
C'est au Moyen Orient que se trouve un monument unique et pour le moins
original. Il s'y trouve en effet d'énormes blocs de roches disposés en
spirale. Il se nomme ''le cercle des géants'' et d'après les rumeurs,
les roches auraient été disposées une à une par des géants justement.
Les cercles constitueraient un calendrier astronomique, ce qui pourrait
éventuellement laisser penser que ces hommes s'en seraient servis de
lieu de culte. Dans tous les cas, ceux qui ont roulé ses pierres sur de
longues distances devaient être nombreux et forts, c'est indéniable.
Sept squelettes antiques ont été retrouvés à ce jour sur le site de
Tell es-Sa'idiyeh, ils sont en cours d'analyse et livreront bientôt tous
leurs secrets. Mais nous pouvons d'or et déjà nous demander si la bible
disait réellement la vérité à propos de ces grands hommes. Les
chercheurs tentent à penser qu'elle dit vrai et qu'un géant se serait
effectivement battu avec David. Si tout cela est avéré, il aurait pu
être un tueur redoutable si le jeune homme ne l'avait pas vaincu à
l'aide de son arme. Il est également possible que Goliath n'ai pas eu le
temps de sortir son javelot, alors que David avait déjà ajusté sa
fronde. Sa lenteur aurait donc été son point faible.
Quoi qu'il en soit, ce récit participe à nous faire rêver et quelques soient les résultats,
il n'en sera pas moins passionnant.
Si un enfant vit dans la critique,
Il apprend à condamner...
Si un enfant vit dans l'hostilité
il apprend à se battre...
Si un enfant vit dans le ridicule
Il apprend à être gêné...
Si un enfant vit dans la honte,
Il apprend à se sentir coupable...
Si un enfant vit dans la tolérance,
Il apprend à être patient...
Si un enfant vit dans l'encouragement,
Il apprend à être confiant...
Si un enfant vit dans la motivation,
Il apprend à se faire valoir...
Si un enfant vit dans la loyauté,
Il apprend la justice,
Si un emfant vit dans la sécurité,
Il apprend la foi...
Si un enfant vit dans l'approbation,
Il apprend à s'aimer...
Si un enfant vit dans l'acceptation et l'amitié,
Il apprend à trouver l'amour dans le monde...!!!
Par Dorothy Law Nolte
(Peinture : Brenda Burke)
Extrait d'un poème sur le bonheur d'un auteur anonyme:
Le bonheur n'est pas dans un château grandiose,
Habité par des reines et des rois;
Il est dans ton jardin de roses ?
Dans ta cabane de bois.
Le bonheur n'est pas dans une nuit vénitienne,
Faite de musique et d'amour,
Il est dans les choses quotidiennes
Que tu retrouves chaque jour.
Le bonheur n'est pas dans quelque grande ville,
Où l'on parle de richesse et de joie;
Il est dans ta chambre tranquille
Tout près de toi.
Le bonheur n'est pas dans les choses qu'on espère,
Et qu'on réclame du lendemain;
Il est dans celles qui nous entourent
Et qui reposent dans nos mains.
Conte Pygmée
Un jour, la guerre fut déclarée entre les quadrupèdes et les oiseaux. Les oiseaux choisirent l’autruche pour chef, les
quadrupèdes se placèrent sous le commandement de l’éléphant, du lion et
de la panthère. Alors que les oiseaux se rangeaient pour aller au
combat, l’autruche leur conseilla :
" Mes amis, mes petites ailes ne me permettent pas de voler devant vous
et d’assumer le commandement. Cependant, je vais vous donner un bon
conseil. Voici mes trois oeufs. L’aigle prendra le premier pour le
casser sur la tête de l’éléphant. Le faucon s’envolera avec le second
pour le fracasser sur la tête du lion. Le marabout en fera autant avec
le troisième sur la tête de la panthère. Lorsque nos ennemis verront
couler le jaune sur la tête de leurs chefs, ils penseront que c’est leur
cervelle et s’enfuiront sans demander leur reste. Nos alliées, les
abeilles, se jetteront alors sur l’éléphant, le lion et la panthère et
ce sera la victoire ! "
Un petit lézard entendit ces propos. Il se hâta de les rapporter au lion
qui prit la chose à la légère :
" À la guerre, on ne se bat pas avec des oeufs d’autruche ! "
Cependant, les oiseaux obéirent à leur chef. L’aigle vola le premier à
la rencontre des quadrupèdes. Dès qu’il aperçut l’éléphant, il lui cassa
l’oeuf sur la tête. La hyène trottait à côté de l’éléphant. Voyant le
jaune couler, elle le prit pour de la cervelle. Effrayée, elle se mit à
crier :
" Hélas ! hélas ! l’éléphant se meurt ! "
Un instant après, le jaune coulait aussi sur la tête du lion et de la
panthère. C’en fut trop pour la pauvre hyène. Morte de peur, elle prit
ses jambes à son cou, imitée aussitôt par les autres animaux. Les
abeilles attaquèrent alors les trois chefs quadrupèdes et les obligèrent
à se replier.
Le coq, redoutable guerrier des oiseaux, donna la chasse à la hyène. Au
moment où il était sur le point de la saisir dans ses serres et de lui
fracasser le crâne à coups de bec, la hyène se coula dans sa tanière. Le
coq se posta devant l’entrée et attendit.
La hyène se tint coite dans son trou. Au bout de quelque temps,
cependant, lorsque tout redevint calme, elle rassembla tout son courage
et regarda à l’extérieur. La queue de son terrible ennemi s’agita devant
son nez et la hyène rentra vite dans son trou. À la fin, le coq en eut
assez d’attendre. Il arracha trois de ses plus belles plumes, les planta
devant la tanière et s’en alla. Lorsque la hyène risqua un nouveau coup
d’oeil au-dehors, elle revit le panache du coq. Elle essaya encore et
encore, mais chaque fois, elle recula, effrayée par les plumes. Ainsi,
elle finit par mourir de faim dans son trou.
Bonjour ;
MERCI à MAYYAN :
-pour ses documents, poésies , textes , contes , etc......que je me suis permise de recopier,et,de poster à des ami(e)s, de la famille, des anciennes collègues...... , tout en leur écrivant que j'avais trouvé ces " textes " sur Ordissimo, dans le forum de Mayyan