Poésies,contes et légendes.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
07/10/2015 - 16:48
LA DESTRUCTION TOTALE                       

Tu m'as enlevé la sensation d'être un homme
   
Tu m'as enlevé ma fierté
Tu m'as enlevé le rêve d'une vie de famille
Tu m'as enlevé mes amis
Tu m'as enlevé mes proches
Tu m'as enlevé une partie de moi-même
Tu m'as enlevé la confiance en moi
Tu m'as enlevé le bonheur de ma liberté
Tu m'as enlevé le goût d'aimer
Tu m'as enlevé le goût d'être aimé
Tu m'as enlevé le goût de m'accrocher
Tu m'as enlevé le goût de me chercher
Tu m'as enlevé le goût de rire, de sourire
Alors par pitié, laisse- moi partir
C'est mon seul désir
Je vais tenter de survivre

@copyright Théma
07/10/2015 - 09:43
 
 
LE VIEUX PAYS DE MES PERES


 
 
 

 
06/10/2015 - 22:37
MERCI MAYYANS DE CE BON MOMENT PASSÉ AMICALEMENT JEAN CHARLES DIOT QUILLIVIC
06/10/2015 - 14:57

QU’EST-CE QUE LE MARIAGE ?

Avant tout,c’est une union.
C’est l’union de deux coeurs
qui battent à l’unisson.

Être mariés,c’est être des amis.
C’est être ensemble,
faire les choses ensemble,
et vouloir les faire ensemble.

Être mariés,c’est se comprendre.
C’est fermer les yeux
sur les fautes de l’autre.

C’est être pleins d’égards
vis-à-vis de son conjoint,
c’est respecter son temps,
prendre au sérieux ses
sentiments et ses désirs.

Être mariés,c’est aimer.
C’est se montrer soucieux
de l’autre.C’est tout faire
pour qu’il soit heureux.

Être mariés,c’est être aimables.
C’est se dire des mots gentils
et agir en conséquence.

Le mariage est un soutien mutuel.
C’est soutenir son conjoint
dans ses efforts et ses projets,
pour le meilleur et pour le pire.
C’est se soutenir moralement,
physiquement,et dans tous
les domaines.

C’est encourager l’autre quand
il est abattu.C’est s’abaisser
pour le relever. C’est se montrer
fort quand il est faible.

Être mariés,c’est communiquer
honnêtement et ouvertement.
C’est avoir l’humilité
d’épancher son cœur, et
livrer ses pensées secrètes.
 
Être mariés,c’est parler,
discuter ensemble,
c’est se mettre d’accord.

Le mariage n’accepte pas
que des murs s’érigent
par ignorance de l’autre,
mais il trouve un terrain
d’entente ;il crée des
solutions.

Être mariés implique des
sacrifices.C’est donner
de soi-même à celui
qu’on aime.

C’est être prêts à renoncer
à ses idées ou ses désirs
pour rendre l’autre heureux.
 
Être mariés,c’est se
sacrifier l’un
pour l’autre.

Être mariés,
c’est avoir de la compassion.
C’est préférer le bonheur
de l’autre au sien propre.

Le mariage est un échange.
Le mariage n’est pas à
sens unique;
chacun y met du sien.

Être mariés,c’est se soumettre.
C’est donner à l’autre sa chance.

Être mariés,c’est apprendre
l’un de l’autre.

Être mariés,c’est être
ouverts d’esprit.
C’est se mettre dans
la peau de l’autre.
C’est écouter et comprendre.

C’est être là l’un pour l’autre,
quand tout va bien ou
quand tout va mal.
L’amour du couple tient bon,
il brave les plus terribles
tempêtes et les plus
rudes épreuves.

Être mariés,c’est apprendre
à ne pas se formaliser
 des petites choses.

Être mariés,c’est avoir
le sens de l’humour.
C’est savoir s’amuser
ensemble et jouir
de la compagnie
l’un de l’autre.

Le mariage est une découverte,
la découverte de l’autre.
C’est apprendre à rire
de toutes ses petites drôleries.

Être mariés,c’est se respecter.
C’est avoir foi l’un dans l’autre.
C’est accepter l’autre pour
ce qu’il est.

C’est admettre que sans
notre moitié, on est incomplet.
06/10/2015 - 14:11
Nostalgie d'automne

Devant ma porte les feuilles tombent


Quel décor vraiment gracieux

La douceur des couleurs d'automne

fait vibret mon coeur et mes yeux

 
Avec cette saison je rêve

j'ai un peu de mélancolie

Les beaux dimanches d'été s'achèvent

d'automne toujours change ma vie

 
Dernière randonnée dans la plaine

Avant la venue des grands froids

Déjà d'autre saison s'amène

Le rideau se ferme une autre fois

 
Dans la nature le ruisseau chante

Mais il se voit bien délaissé

La fleur frileuse maintenant tremble

L'oiseau s'en va,seul, se réchauffer

 
La douceur des couleurs d'automne

Fait vibrer mon coeur et mes yeux

Un regard, une pensée, déjà m'abandonne

Nostalgie, le rêve devient frileux.......

"Moa"




05/10/2015 - 15:36

Comment ça marche c'te maudite affaire là...


Bonjour
Je suis une vieille grand-mère
Pas très futée en la matière
Mais qui veut rester dans le vent
Pour plaire à ses petits enfants.
Je ne parlerai pas de "mon temps"
Le vôtre est bien plus passionnant.
Grâce à ma petite machine
Je m'amuse comme une gamine.
Les contacts avec les amis
Vivant dans de lointains pays
Sont devenus permanents
Avant c'était une fois l'an
Pour les classiques souhaits
Et voeux de la nouvelle année.
Oh je ne fais rien de compliqué
Mais je n'aurai jamais pensé
Que je prendrai tant de plaisir
A rechercher, écrire, surfer.
J'ai de plus en plus le désir
D'approfondir ce nouveau loisir.
Je pianote allégrement
Sur les touches de mon clavier
Je passe ainsi beaucoup de temps
Les heures coulent, sans m'en soucier.
Aujourd'hui, j'ai fait mon choix
Le tricot n'est plus pour moi
Je ne suis plus Mamie gâteaux
Mais devenue Mamie accro !!



05/10/2015 - 13:13
05/10/2015 - 09:07

La mésange bleue

Facétieuse et agile, une boule de plumes
Semble tomber du ciel sur l’herbe du jardin.
Reflets jaunes et bleus illuminant la brume,
Elle part et revient, toujours pleine d’entrain.

Ses petits yeux de jais pétillent de malice,
Visant avidement un tas de tournesol.
Elle attend patiemment l’instant le plus propice
Pour saisir une graine en effleurant le sol.

Et s’installant alors sur une branche basse,
Elle cherche à briser l’objet de son désir
En tapant vivement la coquille tenace
Qui cédant à l’assaut, consent à s’entrouvrir.  

A la belle saison, se regroupant par couples,
Ils construisent en chœur un joli nid d’amour.
Et là pour leurs petits, à en perdre le souffle,
Sans trêve ils chasseront jusqu’à la fin du jour.

Nicole  Bouglouan
05/10/2015 - 09:04

Voici que la saison décline

Voici que la saison décline,
L’ombre grandit, l’azur décroît,
Le vent fraîchit sur la colline,
L’oiseau frissonne, l’herbe a froid.

Août contre septembre lutte ;
L’océan n’a plus d’alcyon ;
Chaque jour perd une minute,
Chaque aurore pleure un rayon.

La mouche, comme prise au piège,
Est immobile à mon plafond ;
Et comme un blanc flocon de neige,
Petit à petit, l’été fond.

Victor Hugo, Dernière gerbe
04/10/2015 - 16:28