Histoire de Bretzel: une gourmandise Made in Alsace.
Bretzel : Une gourmandise Made in Alsace ? Avec un B comme Bretzel ! Dans le dictionnaire amoureux et symbolique de l’Alsace, le Bretzel a sa place de choix ! « E Bretschdel » dit-on en Alsacien ! On rajoute des « a » dans le Haut-Rhin. Maintenant plongeons dans l’Histoire. Cette pâtisserie est typique de l’Alsace, de l’Allemagne du Sud, de l’Autriche et de la Suisse alémanique…
Une première histoire ferait remonter son origine vers 610 ! Là, un moine italien aurait conçu un pain en s’inspirant de la posture de ses condisciples les bras croisés… Il en fera un pain pour les uns, un petit gâteau pour les jeunes élèves du séminaire pour les autres…
Le bretzel est aussi le symbole de la corporation des boulangers … « Un boulanger de la cour, originaire de Bouxwiller, se serait fait emprisonner par le roi après avoir mal cuit son pain. Il risquait d’être exécuté. Cependant, la femme du boulanger aurait supplié le roi de laisser à son homme une ultime chance. Ainsi, le roi lui aurait imposé cet ultimatum : le boulanger serait sauvé s’il inventait un pain « au travers duquel le Soleil brillerait trois fois ».
S’inspirant de la posture de prière de son épouse, il croisa les deux extrémités d’un ruban de pâte, pour reproduire la posture qu’avait adoptée sa femme, formant ainsi trois trous, à travers lesquels le Soleil pouvait briller trois fois… Au moment d’enfourner les « bretzels », un chat fit tomber la plaque dans de la saumure… N’ayant plus de temps pour repétrir et cuir, le boulanger le boulanger enfourna les bretzels et les présenta au roi qui tomba sous le charme.
Il ne sert à rien de se précipiter si on est sage et prévoyant. Toute chose demande du temps. Il faut s’y consacrer autant que nécessaire, et non sous-estimer une tache et la faire tardivement à la hâte. Morale ouvrant la fable Le lièvre et la tortue de La Fontaine.
Les goûts et les couleurs ne se choisissent pas selon des critères rationnels. Il est donc inutile d’essayer de convaincre son interlocuteur que les siens sont bons ou mauvais. Personne ne peut en effet avoir raison. L’usage de ce proverbe est souvent étendu aux opinions.
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. Mais on entend parfois, comme une morne plainte, Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois.
Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes. L’hiver s’est abattu sur toute floraison ; Des arbres dépouillés dressent à l’horizon Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter. On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère. De son morne regard elle parcourt la terre, Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde, Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ; Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement, Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux ! Un vent glacé frissonne et court par les allées ; Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux, Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ; De leur oeil inquiet ils regardent la neige, Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.
Mois de Janvier
Songes-tu parfois, bien-aimée,
Assise près du foyer clair,
Lorsque sous la porte fermée
Gémit la bise de l'hiver,
Qu'après cette automne clémente,
Les oiseaux, cher peuple étourdi,
Trop tard, par un jour de tourmente,
Ont pris leur vol vers le Midi ;
Que leurs ailes, blanches de givre,
Sont lasses d'avoir voyagé ;
Que sur le long chemin à suivre
Il a neigé, neigé, neigé ;
Et que, perdus dans la rafale,
Ils sont là, transis et sans voix,
Eux dont la chanson triomphale
Charmait nos courses dans les bois ?
Hélas ! comme il faut qu'il en meure
De ces émigrés grelottants !
Y songes-tu ? Moi, je les pleure,
Nos chanteurs du dernier printemps.
Tu parles, ce soir où tu m'aimes,
Des oiseaux du prochain Avril ;
Mais ce ne seront plus les mêmes,
Et ton amour attendra-t-il ?
On a souvent besoin d'un plus petit que soi...
Ce proverbe nous renvoie à la morale de deux fameuses fables de La Fontaine : Le lion et le rat et La colombe et la fourmi.
D'emblée, ne mépriser personne. Sans le paysan, le ministre meurt de faim et sans l'éboueur, nous pourrissons dans nos ordures.
Abondance de biens ne nuit pas... sauf s'ils résultent de la spoliation d'autrui,ce que l'Histoire illustre de mille et une manières et que l'actualité ne cesse de nous démontrer.
Ceux qui accaparent les biens de ce monde sont bel et bien des nuisants.
Il traverse la hêtraie et les pinèdes dont les ombrages consolent de la solitude
Il est libre, c’est le vent
Il caresse des cieux où brillent des étoiles noires sur le vermeil des firmaments
Il est libre
Il rêvasse sur des lames d’océans pour y recueillir les chants des sirènes éplorées
Il est libre c’est le vent
Il s’enroule sur nos montagnes et rit des avalanches pourvu que sonnent les pierres
Il est libre
Il renverse les chênes et fait ployer les massettes serviles sur les étangs
Il est libre c’est le vent
Il se perd parmi les nues qu’il entraîne au-delà des horizons voleurs de lumière
Il est libre
Il est libre !
(Malices) 26/12/2019
C'est une histoire d'il y a longtemps,
De la forêt de Brocéliande,
Où vivaient deux fées de légende :
La fée Viviane et la fée Morgane.
La fée Viviane et Lancelot
Furent du grand lac les deux héros :
Elle fit si bien à l'initier
Qu'il en devint franc chevalier !
C'est une histoire d'il y a longtemps,
De la forêt de Bocéliande,
Où vivaient deux fées de légende :
La fée Viviane et la fée Morgane.
Quand à Morgane, la magicienne,
Selon la légende Arthurienne,
Des ténèbres elle fut la déesse
On la nommait : "l'enchanteresse".
C'est une histoire d'il y a longtemps,
De la forêt de Brocéliande,
Où vivaient deux fées de légende :
La fée Viviane et la fée Morgane.
Viviane au malheur de Merlin
Avait du lier son destin
Et Morgane du Val sans retour
Fut la gardienne sur haute tour.
C'est une histoire d'il y a longtemps,
De la forêt de Brocéliane,
Où vivaient deux fées de légende :
La fée Viviane et la fée Morgane.
Bretzel : Une gourmandise Made in Alsace ?
Avec un B comme Bretzel ! Dans le dictionnaire amoureux et symbolique de l’Alsace, le Bretzel a sa place de choix ! « E Bretschdel » dit-on en Alsacien ! On rajoute des « a » dans le Haut-Rhin. Maintenant plongeons dans l’Histoire. Cette pâtisserie est typique de l’Alsace, de l’Allemagne du Sud, de l’Autriche et de la Suisse alémanique…
Une première histoire ferait remonter son origine vers 610 !
Là, un moine italien aurait conçu un pain en s’inspirant de la posture de ses condisciples les bras croisés… Il en fera un pain pour les uns, un petit gâteau pour les jeunes élèves du séminaire pour les autres…
Le bretzel est aussi le symbole de la corporation des boulangers …
« Un boulanger de la cour, originaire de Bouxwiller, se serait fait emprisonner par le roi après avoir mal cuit son pain. Il risquait d’être exécuté. Cependant, la femme du boulanger aurait supplié le roi de laisser à son homme une ultime chance. Ainsi, le roi lui aurait imposé cet ultimatum : le boulanger serait sauvé s’il inventait un pain « au travers duquel le Soleil brillerait trois fois ».
S’inspirant de la posture de prière de son épouse, il croisa les deux extrémités d’un ruban de pâte, pour reproduire la posture qu’avait adoptée sa femme, formant ainsi trois trous, à travers lesquels le Soleil pouvait briller trois fois…
Au moment d’enfourner les « bretzels », un chat fit tomber la plaque dans de la saumure… N’ayant plus de temps pour repétrir et cuir, le boulanger le boulanger enfourna les bretzels et les présenta au roi qui tomba sous le charme.
Il ne sert à rien de se précipiter si on est sage et prévoyant. Toute chose
demande du temps. Il faut s’y consacrer autant que nécessaire, et non
sous-estimer une tache et la faire tardivement à la hâte. Morale ouvrant
la fable Le lièvre et la tortue de La Fontaine.
Les goûts et les couleurs ne se choisissent pas selon des critères
rationnels. Il est donc inutile d’essayer de convaincre son interlocuteur
que les siens sont bons ou mauvais. Personne ne peut en effet avoir
raison. L’usage de ce proverbe est souvent étendu aux opinions.
Le calme est pesant dans la maisonnée,
Les bûches crépitent dans la cheminée,
C'est le doux moment des veillées !
Dehors, le grand froid s'est installé,
Le vent qui souffle sans s'arrêter,
Fait tournoyer les flocons immaculés !
Dans le petit village enneigé
Les quelques passants emmitouflés
Hâtent leurs pas pour rentrer !
La nuit très tôt s'est installée,
Et laisse à sa guise le vent nous souffler
Que le Grand Bonhomme Hiver est arrivé !
Michelle
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois.
Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l’horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ;
Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.
Guy de Maupassant