Les lignes de la vie On a vingt ans, le visage lisse Le temps n'a pas encore posé ses griffes On ne lit rien sur le front des jeunes filles La vie n'a pas encore tracé de lignes Elle m'avait dit, ouvre ta main Je veux lire, quel est ton avenir J'y vois l'amour, le bonheur, les enfants Quelques chagrins, mais trois fois rien Vingt ans plus tard, quand je fais l'addition Des rires, des larmes, point de suspension C'est dans la chair que s'écrit le fil du temps Quand ceux qu'on aime sont tous absents Elles ne sont pas là qu'en filigrane Regardez en posant les doigts sur mon visage On peut très bien en suivre la trame Des lignes, des lignes de ma vie Paroles d'une chanson de Colette Renard
L’amour est une larme de pluie qui naît à l’orée de la nuit, quand tu me montres ton âme et lorsque mon coeur s’enflamme. ….. Mais le doute amer et voleur hélas est entré dans mon coeur et sans espoir de misère, il me ronge et m’enserre. …. L’amour est une larme de pluie qui tombe d’un ciel gris d’ennui, et que je verse malheureux sur moi, car je reste sans feu. …. Le doute meurt, la vérité non, ce que mon coeur n’osait croire ton sourire me l’a fait voir, la coupe est amère et sans fond. …. L’amour est une larme de pluie qui coule dans mon coeur détruit, et le remplit goutte à goutte d’une mort cruelle entre toutes.
Miroir, mirage étrange de nos petites vies, Images fugitives de nos rêves enfouis. ...Reflets moirés changeant au caprice du temps, Ondoiements chatoyant du levant au couchant... Inconscient qui surgit en nos jours de tristesse, Ressassant nos défauts, les serinant sans cesse. ...Désirs inassouvis, amours inconsolés, Glorioles dérisoires envolées en fumée, Parodies ou mensonges, comédies de toujours, Utopie de bonheur dans la fuite des jours... Chemins trop sinueux aux ornières profondes, Ou trop houleuse mer sous l'orage qui gronde. Intraitable miroir amplifiant nos erreurs, Nous jetant à la face nos rides et nos peurs.
En ce jour si important à mes yeux, Souvenir d’une douce complicité à deux. . Quand tombait la nuit sans préavis, Bien que fatigué aussi, tu me perchais sur tes épaules alors, C’est grâce à cette différence à ton soutien et réconfort, Que je tiens à te dire merci aujourd’hui. Tu es à jamais la lumière qui éclaire ma vie, Confident, père, ami, mon guide et saufconduit. Au milieu des ombres qui souvent m’entourent, Tu es encore mon repère affectueux en secours. Papa, toi l’homme digne de respect et des valeurs, Je veux par cette journée de fête, que chaque papa soit à l’honneur. Dans mes yeux d’enfant tu étais ce qui est de mieux , grand et sage, Un amour inconditionnel qui me rendait fière d’être toujours dans ton sillage.
Dans la ronde des fleurs Laquelle veux-tu mettre à l’honneur. La tulipe élégante, qui s’alanguit telle une sultane A l’ombre d’un platane. L’humble et discrète violette des sous-bois, Qui à l’écoute les chants d’oiseaux reste sans voix. Celle qui dans l’air embaumé, Dès la première rosée, semble dire j’aime le mois de mai. La superbe rose parfumée estivale, Que beaucoup considèrent sans rivale Où la modeste marguerite dans les prés Qui conte à l’églantine qui s’incline, le prénom de mon aimé. Préfères-tu la petite verveine un peu désemparée Qui craintive et sensible se meurt sous un petit baiser. Le lys blanc que l’on dit de la Madone, Qui fleurit quand l’ombre l’environne. Il est aussi le bleuet qui se prétend fleur des poètes, Il garde en son âme mes soupirs lors de ma cueillette. Veux-tu chéri un petit bouquet de la rêveuse anémone Sur laquelle un azuré papillonne. Ton âme dans le soir s’éprend-elle pour le beau jasmin, Qui a reçu mes larmes d’amour pour toi en chemin. Contemple les beaux iris qui imitent l’arc-en-ciel et invite au voyage Et touche en esprit tous les sens dans l’effluve de son sillage. Découvre le charme de cette superbe pivoine Cachée entre le vieux puits et la cabane, Ravissante silhouette de couleur exquise, Elle peut d’un regard t’avoir conquis et devenir ta promise. Rien jusqu’ici ne retient vraiment ton attention Sauf peut-être ce grand pavot noir et rouge vermillon. J’ai pour toi mon ange, cette allée de petits œillets Qui, sous le clin d’œil du soleil semble parfois inquiet. Si tu ne sais que choisir en subtils parfums exaltants et sensuels Epouse chacune en câlins de ta main tant leur élégance est réelle. Toutes font battre mon cœur et flirtent avec moi, Leur éclat, leur senteur me laisse sans voix.
On a vingt ans, le visage lisse
Le temps n'a pas encore posé ses griffes
On ne lit rien sur le front des jeunes filles
La vie n'a pas encore tracé de lignes
Elle m'avait dit, ouvre ta main
Je veux lire, quel est ton avenir
J'y vois l'amour, le bonheur, les enfants
Quelques chagrins, mais trois fois rien
Vingt ans plus tard, quand je fais l'addition
Des rires, des larmes, point de suspension
C'est dans la chair que s'écrit le fil du temps
Quand ceux qu'on aime sont tous absents
Elles ne sont pas là qu'en filigrane
Regardez en posant les doigts sur mon visage
On peut très bien en suivre la trame
Des lignes, des lignes de ma vie
Paroles d'une chanson de Colette Renard
L’amour est une larme de pluie
qui naît à l’orée de la nuit,
quand tu me montres ton âme
et lorsque mon coeur s’enflamme.
…..
Mais le doute amer et voleur
hélas est entré dans mon coeur
et sans espoir de misère,
il me ronge et m’enserre.
….
L’amour est une larme de pluie
qui tombe d’un ciel gris d’ennui,
et que je verse malheureux
sur moi, car je reste sans feu.
….
Le doute meurt, la vérité non,
ce que mon coeur n’osait croire
ton sourire me l’a fait voir,
la coupe est amère et sans fond.
….
L’amour est une larme de pluie
qui coule dans mon coeur détruit,
et le remplit goutte à goutte
d’une mort cruelle entre toutes.
(Yves Le Guem)
Miroir, mirage étrange de nos petites vies,
Images fugitives de nos rêves enfouis.
...Reflets moirés changeant au caprice du temps,
Ondoiements chatoyant du levant au couchant...
Inconscient qui surgit en nos jours de tristesse,
Ressassant nos défauts, les serinant sans cesse.
...Désirs inassouvis, amours inconsolés,
Glorioles dérisoires envolées en fumée,
Parodies ou mensonges, comédies de toujours,
Utopie de bonheur dans la fuite des jours...
Chemins trop sinueux aux ornières profondes,
Ou trop houleuse mer sous l'orage qui gronde.
Intraitable miroir amplifiant nos erreurs,
Nous jetant à la face nos rides et nos peurs.
@copyright Marie-Hélène
En ce jour si important à mes yeux,
Souvenir d’une douce complicité à deux. .
Quand tombait la nuit sans préavis,
Bien que fatigué aussi, tu me perchais sur tes épaules alors,
C’est grâce à cette différence à ton soutien et réconfort,
Que je tiens à te dire merci aujourd’hui.
Tu es à jamais la lumière qui éclaire ma vie,
Confident, père, ami, mon guide et saufconduit.
Au milieu des ombres qui souvent m’entourent,
Tu es encore mon repère affectueux en secours.
Papa, toi l’homme digne de respect et des valeurs,
Je veux par cette journée de fête, que chaque papa soit à l’honneur.
Dans mes yeux d’enfant tu étais ce qui est de mieux , grand et sage,
Un amour inconditionnel qui me rendait fière d’être toujours dans ton sillage.
@copyrightClaudie
La beauté des fleurs.
Dans la ronde des fleurs
Laquelle veux-tu mettre à l’honneur.
La tulipe élégante, qui s’alanguit telle une sultane
A l’ombre d’un platane.
L’humble et discrète violette des sous-bois,
Qui à l’écoute les chants d’oiseaux reste sans voix.
Celle qui dans l’air embaumé,
Dès la première rosée, semble dire j’aime le mois de mai.
La superbe rose parfumée estivale,
Que beaucoup considèrent sans rivale
Où la modeste marguerite dans les prés
Qui conte à l’églantine qui s’incline, le prénom de mon aimé.
Préfères-tu la petite verveine un peu désemparée
Qui craintive et sensible se meurt sous un petit baiser.
Le lys blanc que l’on dit de la Madone,
Qui fleurit quand l’ombre l’environne.
Il est aussi le bleuet qui se prétend fleur des poètes,
Il garde en son âme mes soupirs lors de ma cueillette.
Veux-tu chéri un petit bouquet de la rêveuse anémone
Sur laquelle un azuré papillonne.
Ton âme dans le soir s’éprend-elle pour le beau jasmin,
Qui a reçu mes larmes d’amour pour toi en chemin.
Contemple les beaux iris qui imitent l’arc-en-ciel et invite au voyage
Et touche en esprit tous les sens dans l’effluve de son sillage.
Découvre le charme de cette superbe pivoine
Cachée entre le vieux puits et la cabane,
Ravissante silhouette de couleur exquise,
Elle peut d’un regard t’avoir conquis et devenir ta promise.
Rien jusqu’ici ne retient vraiment ton attention
Sauf peut-être ce grand pavot noir et rouge vermillon.
J’ai pour toi mon ange, cette allée de petits œillets
Qui, sous le clin d’œil du soleil semble parfois inquiet.
Si tu ne sais que choisir en subtils parfums exaltants et sensuels
Epouse chacune en câlins de ta main tant leur élégance est réelle.
Toutes font battre mon cœur et flirtent avec moi,
Leur éclat, leur senteur me laisse sans voix.
@copyrightClaudie