En pose dans une nature impérieuse sur les prés, Je suis de couleur rouge baiser. Tendre et léger tel un prince, Je préfère vivre en province. Sous le soleil, je suis pure merveille, D’une ardeur exquise, d’une union sans pareille. Mais on ne peut me cueillir, Sous peine de me voir aussitôt mourir. Ma couleur est bal d’un beau printemps, J’embellis à profusion les talus et les champs. Je ne suis que pure euphorie qui vit d’amour ivre de liberté Et qui murmure dans le vent pour le cœur de mon aimé. Sauvage indompté j’anime la vie. Une légende raconte que je représente le cœur d’une femme qui fait envie, Orgueilleuse d’espoir et de joie, je vis libre Et je réjouis les yeux en caresses sous le ciel tranquille par mon équilibre. Lumière qui éclaire d’un pas de danse vos errances Sur un «Je t’aime » en voyage d’espérance Que je livre lors des rêves comme une invite Offrant le doux message qui appelle à nous aimer vite.
@copyrightClaudie
Ce commentaire a été modifié le 13/05/2019 à 07:31
Il est des jours où l’espoir fou surgit tel un feu follet, Il allume alors en moi d’étranges libertés qui sautent par dessus mon chevalet. Dans ton regard sombre danse ma mémoire, Aux souvenirs de mille étoiles brillantes sur la nuit noire. De nos amours souveraines et ardentes, Quand tu offres à mon cœur ébloui tes douces confidences. Qu’importe alors les jours plus ou moins assassins, Il est un instant merveilleux, ta tête sur mon sein Qui chante en moi fidèle à l’émerveillement de l’emprise d’un été, Un doux refrain en «Je t’aime» tant de fois répété. Quand ta main caresse la courbe de mes hanches, Dans un beau voyage au ton pervenche. Reste à jamais ce temps présent, Sur les heures douces de ton sourire si séduisant. Tel un papillon volant me reste ton cœur, Un jardin que tu as fait pour moi tout en fleurs.
@copyrightClaudie
Ce commentaire a été modifié le 12/05/2019 à 08:31
Très beau texte dont malheureusement, on ne connaît pas l' auteur.
Vieillir en beauté, c' est vieillir avec son coeur; Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure; Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur; Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps; Le garder sain en dedans, beau en dehors. Ne jamais abdiquer devant un effort. L'âge n'a rien à voir avec la mort.
Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce À ceux qui se sentent perdus dans la brousse, Qui ne croient plus que la vie peut être douce Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse.
Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement. Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan. Être fier d'avoir les cheveux blancs, Car, pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour, Savoir donner sans rien attendre en retour; Car, où que l'on soit, à l'aube du jour, Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir; Être content de soi en se couchant le soir. Et lorsque viendra le point de non-recevoir, Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.
Notre Dame que le temps ne faisait pas broncher, Soudain a vu son cœur et sa flèche enflammés. La plus puissante et Belle Dame brûle sous nos yeux, Sa forêt d’arbres millénaires en son milieu. Une fumée sombre et grise semble la cacher, Un chatoiement coraline, rouge fauve s’accroche au toit bien-aimé. Sur la flèche qui s’effondre dans le couchant, Monte en moi une prière pour elle au firmament. Sur la joue des passants une larme pleut, A la pensée de la disparition d’un joyau aussi fabuleux. Sur l’horizon aux tons de feu, mon âme chavire d’un vertige sur l’irréel, Puisse un jour retrouver ses dentelles dans le bleu du ciel Et ses étranges silhouettes pour tous les regards éblouis Et se découvrir plus proche de Paris et de Dieu à s’en retrouver l’âme envahie. Dans le safran des cieux, que Notre Dame retrouve tout son faste, Et scintille à nouveau sur la capitale enthousiaste. Sur les mille ans de la Dame à jamais plus belle reine Qui se reflètent de toit en toit jusque sur les rives de la Seine, Car tous les anges du paradis aiment voir le miracle du dôme et de son aiguille, En regardant en bas la représentante de Dieu, sublime et majestueuse fille.
Aujourd’hui. On dit n’importe quoi, N’importe où, N’importe comment, A n’importe qui, Peu importe ce qu’on dit, Ou comment on le dit, Peu importe si cela blesse Ou détruit une réputation.
Aujourd’hui, La langue est devenue Une arme de destruction, Sans pitié, sans honte ; Les sages et les dirigeants De ce monde la manie Afin de garantir leur agenda, Afin de justifier leurs œuvres.
Aujourd’hui, Nous avons ces nouveaux Mercenaires de l’Internet, Du Web, qui ne reculent Devant rien pour injecter Leur venin, bien à l’abri Derrières leurs claviers, Protégé par leurs écrans !
Aujourd’hui, L’homme a créé la « toile » A l’image de la « Bête » L’image qui parle et pense Pour eux, décide à leur place, Obligeants petits et grands, Riches et pauvres, de Soumettre leur volonté Pour lui rendre hommage !
Mais… Oh ! Oh non… On vient de me censurer une Nouvelle fois, de réduire au Silence mon message. J’ai oublié de vous dire que Le gouvernement mondial A pris le contrôle et que c’est Interdit de dire quoique cela Soit qui s’oppose à son autorité.
C’est dans un sous-sol d’une Maison que j’écris pour vous Envoyer ce message !...
J. MAMBRINO
La ville fantôme
Parfois quelque chose
Dans mes yeux se construit,
Les dimensions se superposent,
Le temps n’est plus rien.
Les tours disparaissent
Dans des nuages de peur.
Solitude glaciale,
Un océan de ténèbres.
Le cœur saigne
Ses faiblesses.
Mon âme est floue,
Désespoir et détresse.
Le futur est incertain,
Un rideau invisible,
Une étrange énergie,
C’est la ville fantôme.
Thierry Petibon
Poème sur le tableau de Mihaïl Zablodski.
Ghost city | 2018, oil on canvas, fragment
En pose dans une nature impérieuse sur les prés,
Je suis de couleur rouge baiser.
Tendre et léger tel un prince,
Je préfère vivre en province.
Sous le soleil, je suis pure merveille,
D’une ardeur exquise, d’une union sans pareille.
Mais on ne peut me cueillir,
Sous peine de me voir aussitôt mourir.
Ma couleur est bal d’un beau printemps,
J’embellis à profusion les talus et les champs.
Je ne suis que pure euphorie qui vit d’amour ivre de liberté
Et qui murmure dans le vent pour le cœur de mon aimé.
Sauvage indompté j’anime la vie.
Une légende raconte que je représente le cœur d’une femme qui fait envie,
Orgueilleuse d’espoir et de joie, je vis libre
Et je réjouis les yeux en caresses sous le ciel tranquille par mon équilibre.
Lumière qui éclaire d’un pas de danse vos errances
Sur un «Je t’aime » en voyage d’espérance
Que je livre lors des rêves comme une invite
Offrant le doux message qui appelle à nous aimer vite.
@copyrightClaudie
Où s'en est allé mon rêve.
Il est des jours où l’espoir fou surgit tel un feu follet,
Il allume alors en moi d’étranges libertés qui sautent par dessus mon chevalet.
Dans ton regard sombre danse ma mémoire,
Aux souvenirs de mille étoiles brillantes sur la nuit noire.
De nos amours souveraines et ardentes,
Quand tu offres à mon cœur ébloui tes douces confidences.
Qu’importe alors les jours plus ou moins assassins,
Il est un instant merveilleux, ta tête sur mon sein
Qui chante en moi fidèle à l’émerveillement de l’emprise d’un été,
Un doux refrain en «Je t’aime» tant de fois répété.
Quand ta main caresse la courbe de mes hanches,
Dans un beau voyage au ton pervenche.
Reste à jamais ce temps présent,
Sur les heures douces de ton sourire si séduisant.
Tel un papillon volant me reste ton cœur,
Un jardin que tu as fait pour moi tout en fleurs.
@copyrightClaudie
Très beau texte dont malheureusement, on ne connaît pas l' auteur.
Vieillir en beauté, c' est vieillir avec son coeur;
Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure;
Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur;
Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps;
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L'âge n'a rien à voir avec la mort.
Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse,
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse.
Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement.
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan.
Être fier d'avoir les cheveux blancs,
Car, pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour;
Car, où que l'on soit, à l'aube du jour,
Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir;
Être content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le point de non-recevoir,
Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.
GAMMES D'UNE HARPE
DOuces comme des notes cristallines
REflétant dans le miroir de l'eau
MInutes suspendues dans le silence
FArandole d'une douce musique
SOListe divin d'un écho mélodieux
LA merveille d'une harpe
SI fragile sous les doigts d'une Muse agile
@Copyright Vizzavona2A
Malices
Notre Drame.
Notre Dame que le temps ne faisait pas broncher,
Soudain a vu son cœur et sa flèche enflammés.
La plus puissante et Belle Dame brûle sous nos yeux,
Sa forêt d’arbres millénaires en son milieu.
Une fumée sombre et grise semble la cacher,
Un chatoiement coraline, rouge fauve s’accroche au toit bien-aimé.
Sur la flèche qui s’effondre dans le couchant,
Monte en moi une prière pour elle au firmament.
Sur la joue des passants une larme pleut,
A la pensée de la disparition d’un joyau aussi fabuleux.
Sur l’horizon aux tons de feu, mon âme chavire d’un vertige sur l’irréel,
Puisse un jour retrouver ses dentelles dans le bleu du ciel
Et ses étranges silhouettes pour tous les regards éblouis
Et se découvrir plus proche de Paris et de Dieu à s’en retrouver l’âme envahie.
Dans le safran des cieux, que Notre Dame retrouve tout son faste,
Et scintille à nouveau sur la capitale enthousiaste.
Sur les mille ans de la Dame à jamais plus belle reine
Qui se reflètent de toit en toit jusque sur les rives de la Seine,
Car tous les anges du paradis aiment voir le miracle du dôme et de son aiguille,
En regardant en bas la représentante de Dieu, sublime et majestueuse fille.
@copyrightClaudie
Clic.........................https://www.notredamedeparis.fr/
Message clandestin !
Aujourd’hui.
On dit n’importe quoi,
N’importe où,
N’importe comment,
A n’importe qui,
Peu importe ce qu’on dit,
Ou comment on le dit,
Peu importe si cela blesse
Ou détruit une réputation.
Aujourd’hui,
La langue est devenue
Une arme de destruction,
Sans pitié, sans honte ;
Les sages et les dirigeants
De ce monde la manie
Afin de garantir leur agenda,
Afin de justifier leurs œuvres.
Aujourd’hui,
Nous avons ces nouveaux
Mercenaires de l’Internet,
Du Web, qui ne reculent
Devant rien pour injecter
Leur venin, bien à l’abri
Derrières leurs claviers,
Protégé par leurs écrans !
Aujourd’hui,
L’homme a créé la « toile »
A l’image de la « Bête »
L’image qui parle et pense
Pour eux, décide à leur place,
Obligeants petits et grands,
Riches et pauvres, de
Soumettre leur volonté
Pour lui rendre hommage !
Mais… Oh ! Oh non…
On vient de me censurer une
Nouvelle fois, de réduire au
Silence mon message.
J’ai oublié de vous dire que
Le gouvernement mondial
A pris le contrôle et que c’est
Interdit de dire quoique cela
Soit qui s’oppose à son autorité.
C’est dans un sous-sol d’une
Maison que j’écris pour vous
Envoyer ce message !...
Patrick Etienne