La fleur de sang du château de Ringelstein ( Légende d'Alsace )
" Il y a bien longtemps de cela, Anselme un curieux brigand, décida d'empocher de l'argent facilement en kidnappant les passants. Par un soir de brouillard, un pauvre bûcheron fatigué par une dure journée de travail, ne vit pas les malandrins se faufiler jusqu'à lui. Il fut rapidement bâillonné, ligoté et traîné jusqu'à la cachette secrète des bandits. Le lendemain, une lettre expliqua à la famille de notre vieux bûcheron, qu'en retour d'une rançon, la liberté sera donnée au chef de famille. Hélas sans compter sur la cupidité humaine. La famille cria.........cria........... cria.......... de bonheur d'être débarrassée de l'ancien. Ils vont pouvoir se partager l'héritage du 'vieux'. Anselme attendit quelques jours le magot de son rapt...... Rien ! Ce vieux bonhomme n'intéressait personne. Et en plus, il fallait le nourrir. et en plus du plus le bûcheron pleurait, gémissait, priait..... Bref, il empêchait les bandits de dormir Anselme décida de faire un exemple. Il se dit: - "Un chef de famille estropié sera un charge financière pour sa famille, la prochaine fois, les habitants du village réfléchiront à 2 fois avant de me contrarier."* "Qu'est ce qu'on lui fait...." brailla un bandit édenté.- "Je vais leur rendre leur père avec .......... une main en moins !" Et le lendemain, très tôt, par une matinée de brume, le bûcheron fut maltraité par Anselme et ses comparses. Le sang du malheureux se répandit sur le sol, et abreuva un petit arbre Et c'est depuis ce jour terrible, en mars de chaque année, que l'arbre accueille une fleur rouge sang pour rappeler aux hommes l'anniversaire de la folie meurtrière et de l'appât du gain à tout prix.
Ils sont merveilleux Dans leurs petits habits, Trottinant Main dans la main, Se tenant au chaud L’un contre l’autre. Que j’aime les regarder, Que j’aime les admirer, Ils portent le passé, Le savoir et le vécu. Leurs cheveux blancs Ne sont-ils pas Ces couronnes qu’ils Portent avec fierté.
Bonjour l’aïeul, Salut l’Ancien ; Vos pas hésitants, Votre dos arqué Du poids des années, Vos mains, Votre visage marqué Par les épreuves De la vie, du travail Epuisant et laborieux, D’une vie bien remplie. Chaque ride sur Votre corps fatigué, Est une médaille D’honneur que vous Pouvez fièrement Porter devant tous !
Deux petits vieux S’en vont là-bas, Trottinant, se tenant par la main, Se réchauffant L’un contre l’autre. Au lointain, Ils disparaissent, Laissant derrière, La lourdeur de la vie !
Patrick Etienne
Mes amis(es), Quand l’occasion se propose,prenaient le temps de vous s’asseoir auprès d’eux, de les aimer et de les écouter,ils ont tellement de richesses et de sagesse à partager… Peut-être, une de ces rencontres sera une entrevue avec un ange déguisé !
Patrick Etienne
Ce commentaire a été modifié le 25/10/2018 à 18:01
Je marche sur la tête la pluie monte des nues qu’est-ce que ça peut te faire ?
il fait noir comme en plein jour une sombre lueur éclaire mon pas je piétine l’espace étrange jouissance
Je marche sur la tête la mer me lèche le front qu’est-ce que ça peut te faire ?
le crane roulé sur le sable les yeux au creux des orbites je réfléchis à l’envers la lumière est ombre
Je marche sur la tête je cherche la petite bête la chauve souris dans le beffroi l’araignée dans le cerveau tu me toises de bien bas je m’en fous tu sais je marche sur la tête
La poésie du jeudi. « Prends un brin d'herbe et froisse-le entre la pulpe de tes doigts et tu sentiras parfois une odeur amère et parfois celle du printemps c'est peut-être de l'anis c'est peut-être de la menthe c'est peut-être la plante qui fait rêver à tous les parfums de l'Arabie à la cannelle au gingembre à l'ilang-ilang au poil de l'âne qui fait hihan hihan à la roche rôtie à la pierre panée à la route rouillée à la boue piétinée à l'eau à rien » - Le nez fin- 25 octobre 1976: mort de Raymond Queneau, poète, écrivain, ami des chiens français. L'auteur du célèbre Zazie dans le métro, fondateur du mouvement littéraire l'Oulipo, avait un compagnon à quatre pattes. En 1951, il regretta dans Le Figaro de ne pouvoir acheter de revue journalistique ou de «publication coquine» à son «ouah-ouah». Cliquez ici pour relire cet article.
"L’Oeil de l’Alsace" se dresse sur trois grands rochers reliés entre eux par une passerelle appelée "Pont du Diable" Le château du Haut-Barr datant probablement d'avant 1123 a été construit par les évêques de Strasbourg. Le château du Haut-Barr était construit sur 2 rochers séparés l'un de l'autre. Pour parvenir d'une partie à l'autre, un pont devait être construit au-dessus du vide. La légende raconte que le diable aurait proposé son aide, avec la condition qu'il ait l'âme du premier être qui traverserait le pont. Quand le pont était prêt, le diable attendait avec impatience son âme. Mais le Seigneur du Château y envoya une chèvre. Le Diable enragé d'avoir été trompé, jura de se venger, en faisant s'écrouler le pont au moment qu'il choisirait. A ce jour cet évènement n'a pas eu lieu, mais certains visiteurs hésitent encore avant d'emprunter ce pont. En mémoire de cette légende ce pont porte toujours le nom de "pont du diable".
Je suis resté longtemps sous les combles, A admirer ces objets du temps passé, De mes yeux émerveillés, dans la pénombre Je me suis mise à rêver !
Les dentelles des mouchoirs ici et la posés, Les Natures Mortes dans leurs cadres dorés, Un éventail fleurit de cœurs parsemés, Toute une magie de souvenirs passés !
Un écrin de satin rouge où des lettres d'amour Que le temps à jauni, resteront là, à jamais... ! Elles seront muettes pour toujours Le présent ne pourra pas briser le secret !
La clef du grenier referme la porte Grand mère, je ne t'oublierais jamais !
"Sois le bienvenu, rouge Automne, Accours dans ton riche appareil, Embrase le coteau vermeil Que la vigne pare et festonne." ................................. (Théodore de Banville)
Stive Morgan - Once Again Autumn
Un magnifique automne à tous ceux qui passez par ici!...
Ce commentaire a été modifié le 24/10/2018 à 10:36
Qui suis-je? Une personne qui aime le partage Une personne pas toujours bien sage Une personne qui aime rire Une personne qui aime le plaisir Une personne qui aime voir de beaux sourires Une personne qui n'aime pas voir souffrir ceux que j'aime Une personne fidèle en amitié et en amour Une personne qui aime la vie Une personne simple Une personne qui est à l'écoute quand il le faut Une personne qui accepte la critique si elle est constructive et non destructive Je suis moi,humble, j'aime la vie Et elle me le rend bien Je suis moi, tendre et douce à la fois Je suis comme les autres, tout ça c'est moi
" Il y a bien longtemps de cela, Anselme un curieux brigand, décida d'empocher de
l'argent facilement en kidnappant les passants. Par un soir de brouillard,
un pauvre bûcheron fatigué par une dure journée de travail, ne vit pas les malandrins
se faufiler jusqu'à lui. Il fut rapidement bâillonné, ligoté et traîné jusqu'à la cachette secrète des bandits.
Le lendemain, une lettre expliqua à la famille de notre vieux bûcheron, qu'en retour d'une rançon,
la liberté sera donnée au chef de famille.
Hélas sans compter sur la cupidité humaine.
La famille cria.........cria........... cria.......... de bonheur d'être débarrassée de l'ancien.
Ils vont pouvoir se partager l'héritage du 'vieux'.
Anselme attendit quelques jours le magot de son rapt...... Rien ! Ce vieux
bonhomme n'intéressait personne. Et en plus, il fallait le nourrir. et en plus du plus
le bûcheron pleurait, gémissait, priait..... Bref, il empêchait les bandits de dormir
Anselme décida de faire un exemple. Il se dit:
- "Un chef de famille estropié sera un charge financière pour sa famille, la prochaine
fois, les habitants du village réfléchiront à 2 fois avant de me contrarier."* "Qu'est ce qu'on lui fait...."
brailla un bandit édenté.- "Je vais leur rendre leur père avec .......... une main en moins !"
Et le lendemain, très tôt, par une matinée de brume, le bûcheron fut maltraité par Anselme et ses comparses.
Le sang du malheureux se répandit sur le sol, et abreuva un petit arbre Et c'est depuis ce jour terrible,
en mars de chaque année, que l'arbre accueille une fleur rouge sang pour rappeler aux hommes l'anniversaire
de la folie meurtrière et de l'appât du gain à tout prix.
Les personnes âgées
Ils sont merveilleux
Dans leurs petits habits,
Trottinant
Main dans la main,
Se tenant au chaud
L’un contre l’autre.
Que j’aime les regarder,
Que j’aime les admirer,
Ils portent le passé,
Le savoir et le vécu.
Leurs cheveux blancs
Ne sont-ils pas
Ces couronnes qu’ils
Portent avec fierté.
Bonjour l’aïeul,
Salut l’Ancien ;
Vos pas hésitants,
Votre dos arqué
Du poids des années,
Vos mains,
Votre visage marqué
Par les épreuves
De la vie, du travail
Epuisant et laborieux,
D’une vie bien remplie.
Chaque ride sur
Votre corps fatigué,
Est une médaille
D’honneur que vous
Pouvez fièrement
Porter devant tous !
Deux petits vieux
S’en vont là-bas,
Trottinant, se tenant
par la main,
Se réchauffant
L’un contre l’autre.
Au lointain,
Ils disparaissent,
Laissant derrière,
La lourdeur de la vie !
Patrick Etienne
Mes amis(es),
Quand l’occasion se propose,prenaient le temps de vous s’asseoir auprès d’eux, de
les aimer et de les écouter,ils ont tellement de richesses et de sagesse à partager…
Peut-être, une de ces rencontres sera une entrevue avec un ange déguisé !
Patrick Etienne
Je marche sur la tête
la pluie monte des nues
qu’est-ce que ça peut te faire ?
il fait noir comme en plein jour
une sombre lueur éclaire mon pas
je piétine l’espace
étrange jouissance
Je marche sur la tête
la mer me lèche le front
qu’est-ce que ça peut te faire ?
le crane roulé sur le sable
les yeux au creux des orbites
je réfléchis à l’envers
la lumière est ombre
Je marche sur la tête
je cherche la petite bête
la chauve souris dans le beffroi
l’araignée dans le cerveau
tu me toises de bien bas
je m’en fous tu sais
je marche sur la tête
Qu’est-ce que ça peut te faire ?
(Malices)
02/10/2018
« Prends un brin d'herbe et froisse-le entre la pulpe de tes doigts et tu sentiras parfois une odeur amère et parfois celle du printemps
c'est peut-être de l'anis c'est peut-être de la menthe c'est peut-être la plante qui fait rêver à tous les parfums de l'Arabie à la cannelle au
gingembre à l'ilang-ilang au poil de l'âne qui fait hihan hihan à la roche rôtie à la pierre panée à la route rouillée à la boue piétinée à l'eau à rien » - Le nez fin-
25 octobre 1976: mort de Raymond Queneau, poète, écrivain, ami des chiens français. L'auteur du célèbre Zazie dans le métro, fondateur du mouvement littéraire l'Oulipo, avait un compagnon à quatre pattes. En 1951, il regretta dans Le Figaro de ne pouvoir acheter de revue journalistique ou de «publication coquine» à son «ouah-ouah». Cliquez ici pour relire cet article.
"L’Oeil de l’Alsace" se dresse sur trois grands rochers reliés entre eux par une passerelle appelée "Pont du Diable"
Le château du Haut-Barr datant probablement d'avant 1123 a été construit par les évêques de Strasbourg.
Le château du Haut-Barr était construit sur 2 rochers séparés l'un de l'autre.
Pour parvenir d'une partie à l'autre, un pont devait être construit au-dessus du vide.
La légende raconte que le diable aurait proposé son aide, avec la condition qu'il ait l'âme du premier être qui traverserait le pont. Quand le pont était prêt, le diable attendait avec impatience son âme.
Mais le Seigneur du Château y envoya une chèvre.
Le Diable enragé d'avoir été trompé, jura de se venger, en faisant s'écrouler le pont au moment qu'il choisirait.
A ce jour cet évènement n'a pas eu lieu, mais certains visiteurs hésitent encore avant d'emprunter ce pont.
En mémoire de cette légende ce pont porte toujours le nom de "pont du diable".
Château du Haut Barr
Le Pont du Diable
Je suis resté longtemps sous les combles,
A admirer ces objets du temps passé,
De mes yeux émerveillés, dans la pénombre
Je me suis mise à rêver !
Les dentelles des mouchoirs ici et la posés,
Les Natures Mortes dans leurs cadres dorés,
Un éventail fleurit de cœurs parsemés,
Toute une magie de souvenirs passés !
Un écrin de satin rouge où des lettres d'amour
Que le temps à jauni, resteront là, à jamais... !
Elles seront muettes pour toujours
Le présent ne pourra pas briser le secret !
La clef du grenier referme la porte
Grand mère, je ne t'oublierais jamais !
Michelle
"Je commence à avoir froid", dit la Terre à la feuille...
Et la feuille recouvrit la Terre....
Ainsi naquit l'Automne...
(...)
::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::
"Sois le bienvenu, rouge Automne,
Accours dans ton riche appareil,
Embrase le coteau vermeil
Que la vigne pare et festonne."
.................................
(Théodore de Banville)
Stive Morgan - Once Again Autumn
Un magnifique automne à tous ceux qui passez par ici!...
LA GRANDE QUESTION.
Qui suis-je?
Une personne qui aime le partage
Une personne pas toujours bien sage
Une personne qui aime rire
Une personne qui aime le plaisir
Une personne qui aime voir de beaux sourires
Une personne qui n'aime pas voir souffrir ceux que j'aime
Une personne fidèle en amitié et en amour
Une personne qui aime la vie
Une personne simple
Une personne qui est à l'écoute quand il le faut
Une personne qui accepte la critique si elle est constructive et non destructive
Je suis moi,humble, j'aime la vie
Et elle me le rend bien
Je suis moi, tendre et douce à la fois
Je suis comme les autres, tout ça c'est moi
@copyright Théma
Elle est si douce, la pensée,
Qu'il faut, pour en sentir l'attrait,
D'une vision commencée
S'éveiller tout à coup distrait.
Le cœur dépouillé la réclame ;
Il ne la fait point revenir,
Et cependant elle est dans l'âme,
Et l'on mourrait pour la finir.
À quoi pensais-je tout à l'heure ?
À quel beau songe évanoui
Dois-je les larmes que je pleure ?
Il m'a laissé tout ébloui.
Et ce bonheur d'une seconde,
Nul effort ne me l'a rendu ;
Je n'ai goûté de joie au monde
Qu'en rêve, et mon rêve est perdu.
René-François Sully Prudhomme (1839-1907)
Le peuple des arbres-ponts
Cette vidéo est absolument merveilleuse !
La vie de cet homme et de sa petite fille
une vraie leçon de vie qui nous est enseignée.
L’amour d’un père qui donne sa connaissance
à son enfant.
L’amour d’un peuple pour la nature et sa richesse
qui lui sont offerts gratuitement.
L’ingéniosité de l’homme face aux éléments de
la nature, comment il apprend à la dompter.
La beauté de la Création de Dieu dans son plus
merveilleux habit.
La Bible dit vraie quand elle dit :
« Que les œuvres de tes mains sont merveilleuses »
Pour moi, regarder cette vidéo, c’est comme
regarder une œuvre d’art ; l’art dans toute sa
perfection !
Et s’il y a une chose que je crois : c’est que demain
Le monde sera gouverné par les petites gens !
« Bienheureux les débonnaires, car c'est eux qui
hériteront de la terre » (Matthieu 5 :5)
Patrick Etienne