30cl de lait 1 verre d'eau 3 oeufs 50g de beurre 150g de farine , huile 1 litre de moules 1 litre de coques 8 coquilles Saint-Jacques
Pour la sauce: 100g de beurre 1 cuillère à soupe de farine 2 verres de lait 1 cuillère à soupe de sauce tomate
Faites tiédir l'eau et le lait puis délayez la farine avec ce mélange. Ajoutez ensuite les oeufs battus, une pincée de sel et 50g de beurre fondu. Laissez reposer cette pâte une heure.
Pendant ce temps, grattez les moules et faites tremper les coques. Ouvrez les coquilles Saint-Jacques et faites-les revenir rapidement dans une noix de beurre, une minute sur chaque face. Dans un grand faitout, faites ouvrir les moules et les coques et retirez-les aussitôt du feu. Retirez leur coquilles, conservez 2 verres d'eau de cuisson et filtrez-la.
Dans une casserole, faites fondre le beurre, jetez-y la farine en pluie puis tournez à la cuillère en bois pour éviter les grumeaux. Versez le lait et le jus de cuisson des moules et faites cuire très doucement en tournant sans cesse.
Lorsque la sauce a épaissi, ajoutez une cuillère de sauce tomate, salez et poivrez. Ajoutez les moules, les coques et les coquilles Saint-Jacques dans la sauce.
Faites les crêpes dans une poêle huilée. Sur chaque crêpe, déposez une cuillère de fruits de mer en sauce puis repliez chaque crêpe en quatre. Gardez-les au chaud.
La pizza rouléïade au fromage de chèvre et au miel de Tablapizza. Clic ici....................http://www.tablapizza.fr/ Chez Tablapizza, on travaille la pâte à pizza et les pizzas sous toutes ses formes ! Rondes, roulées ou carré les restaurants Tabapizza mettent les petits plats dans les grands pour déguster des pizzas délicieuses et originales à n’importe quel moment !
LA PIZZA ROULÉÏADE TABLAPIZZA CHÈVRE-MIEL.
INGRÉDIENTS : - 1 pâte à pizza. - 3 cuillères à soupe de crème fraîche. - 2 cuillères à café de moutarde à l’ancienne. - 4 tranches de fromage de chèvre. - 6-7 tranches de poulet rôti. - Des oignons caramélisés. - Du miel.
PRÉPARATION : 1. Sur votre plan de travail fariné, étalez votre pâte à pizza et donnez-lui une forme rectangulaire. 2. Dans un petit récipient, mélangez la crème fraîche avec la moutarde à l’ancienne. 3. Déposez et étalez votre mélange sur la pâte à pizza, puis, placez-y vos tranches de fromage de chèvre, puis le poulet rôti et les oignons caramélisés. Terminez en recouvrant de miel et enroulez le tout. 4. Placez le tout au four pendant 20 minutes à 220°c.
Crêpe aux fraises et à la rhubarbe( en pleine saison).
Recette de crêpe pour 4 personnes Temps de préparation : 15 minutes Temps de cuisson: 30 minutes Budget: Peu onéreux Niveau d’exécution: Facile
Commencez par préparer la pate à crèpe. Faites cuire 8 crêpes et laissez-les refroidir. Prélevez les zestes du citron et pressez-le. Lavez les fraises et les bâtons de rhubarbe. Coupez la rhubarbe en petits morceaux et équeutez les fraises. Dans une casserole, déposez la rhubarbe, versez le miel liquide puis le sucre blanc, le jus de citron et laissez cuire pendant 15 minutes.Ajoutez les fraises et laissez cuire encore pendant 15 minutes à feu doux.Disposez les fruits chauds sur les crêpes puis roulez-les. Servez avec une boulede glace, des feuilles de menthe et les zestes du citron.Saupoudrez éventuellement de sucre glace et servez aussitôt.
Ingrédients 8 crêpes 1 barquette de fraises 250 g de rhubarbe 50 g de sucre blanc 2 c. à soupe de miel liquide 1 citron non traité Sucre glace (facultatif) Glace au citron ou glace à la vanille Feuilles de menthe.
Recette facile:Tiramisu aux fraises et biscuits roses.
Recette de grand-mère. Laver puis équeuter les fraises. Les couper en 4 et les déposer dans un saladier. Laver le citron, le sécher et en zester la moitié : râper finement la surfacede l’écorce du citron sur les fraises Ajouter le miel puis mélanger.Verser l’eau et le sirop de fraises dans une assiette creuse et y passer rapidement 8 biscuits roses un par un (jusqu’à ce qu’ils soient souples mais pas trop imbibés). En déposer 2 par ramequin. Napper de fromage blanc. Recouvrir de fraises coupées. Ecraser le biscuit rose restant pour en parsemer les tiramisus.
Ingrédients 250 g de fraises 150 g de fromage blanc 1 c à s de miel (ou sirop d’agave) 9 biscuits roses de Reims (dont 1 pour la déco) 2 verres d’eau 2 c à c de sirop de fraise 1 citron Équipement4 ramequins individuels
500 g d'abricots 60 g de cassonade 80 g de farine 2 gros oeufs 1/2 sachet de levure chimique 80 g de beurre (pour moi, demi-sel) 2 cuil. à soupe de poudre d'amande extrait de vanille (facultatif)
Préparation
Lavez et essuyez les abricots, les couper en 2 et les dénoyauter.
Battez les oeufs au fouet électrique avec la cassonade jusqu'à ce que le mélange soit bien mousseux.
Incorporez le beurre mou, mélangez puis ajouter à la spatule, la farine et levure, puis la poudre d'amande.
Versez la pâte dans un petit moule à manqué beurré et fariné, disposez les demi-abricots en les enfonçant légèrement dans la pâte.
Cuire 25 à 30 mn au four préchauffé à 180°c (Th.6) selon votre four. Laissez tiédir puis démouler.
Les Mille & Une Nuits De L'avoine Et si investir quelques minutes de notre soirée de la veille permettait d'ajouter de la variété au menu matinal ? C'est le principe des gruaux réfrigérés sans cuisson, un plat frais et consistant qui n'a rien à voir avec le gruau fade de notre enfance. Photo Fournie Par Émilie GailletSophie Ouimet La Presse
Tartines ou céréales ? C'est la question qu'on se pose invariablement, tous les jours. Mais si les déjeuners se suivent, rien ne dit qu'ils doivent se ressembler. En intégrant les overnight oats (Avoine pendant la nuit)- ou gruau à préparer la veille - au menu, on ouvre soudainement la porte à une variété infinie de déjeuners, même pour les petits matins pressés.
Guide et mode d'emploi.
Préparez Ce Soir, Dégustez Demain. On a beau répéter que le déjeuner est le repas le plus important de la journée, nous finissons par manger souvent la même chose... à l'exception du fameux brunch dominical. Et si investir quelques minutes de notre soirée de la veille permettait d'ajouter de la variété au menu matinal ? C'est le principe des overnight oats, ou gruaux réfrigérés sans cuisson, un plat frais et consistant qui n'a rien à voiravec le gruau fade de notre enfance. La base des overnight oats est simple comme bonjour, et il suffit de quelques minutes pour assembler les ingrédients. Dans un bol, on mélangedes flocons d'avoine, du lait - souvent végétal -, des graines de chia,des fruits et un agent sucrant comme le miel ou le sirop d'érable. On peut également ajouter une pincée de cannelle pour rehausser le goût. Puis, on couvre et on met au frais pour la nuit. S'il faut apprêter le mélange à l'avance, c'est parce qu'il contient le super-aliment de l'heure : le chia. Pendant la nuit, les graines gonflent dans le lait, créant une texture qui se rapproche du pouding. Depuis quelques années, on vante les propriétés des graines de chia sur toutes les tribunes. Excellente source de fibres, de protéines et d'oméga-3, elles sont étonnamment rassasiantes. Le lendemain matin, on peut ajouter différents éléments à la recette de base, en fonction de ses envies ou de ce qu'on a sous la main. La styliste culinaire Émilie Gaillet propose quelques idées sur son blogue...Fruits frais, noix, épices, flocons de noix de coco, et même cacao ou pépites de chocolat noir pour les plus aventureux. Ne reste plus qu'à déguster, à la maison ou au bureau, car le mélange se prépare tout aussi facilement dans un pot! Quelques Guides Voici les proportions approximatives d'une recette de base d'overnight oats pour une personne. Il est possible de jouer avec les quantités pour trouver la texture qui nous convient. Avoine : entre 1/4 de tasse et 1/2 tasse Lait (de vache, d'amande, de noix, de soja) : 1/2 tasse Graines de chia : entre 1 et 3 cuillerées à soupe Agent sucrant (miel, sirop d'érable, sirop d'agave) : 1 cuillerée à soupe Épices (comme la cannelle) : une pincée
La version De Marilou, De Trois Fois Par Jour... Photo Tirée Du Blogue Trois Fois Par Jour À Chacun Sa Version
Les blogueurs culinaires rivalisent d'ingéniosité pour créer de nombreuses versions des overnight oats. En voici quelques-unes... Les Fruits Écrasés Dans Le Mélange Dans cette recette tirée du blogue Oh she Glows, de la Canadienne Angela Liddon... On écrase d'abord la banane au fond du bol avec les graines de chia, avant d'y verser les autres ingrédients. On peut ajouter d'autres fruits avant de servir. Avec Du Yogourt Si le lait à lui seul n'apporte pas une texture assez crémeuse ou assez riche à votre goût... Vous pouvez y ajouter du yogourt, comme dans cette recette du blogue Trois fois par jour (dont les fruits se trouvent également dans le mélange). Notons que par coquetterie, Marilou utilise des graines de chia blanches ! Sans Avoine ! Plus léger que les overnight oats, le pouding de chia contient sensiblement les mêmes ingrédients, mais sans les flocons d'avoine. On peut alors ajouter des noix (amandes, pacanes, noix de Grenoble...) pour rendre le plat plus nourrissant. La Britannique Ella Woodward propose un pouding de chia aux dattes sur son blogue. Avec du beurre (d'arachide, de noix, d'amande, de cajou...) Le blogue Minimalist Baker propose une version décadente des overnight oats avec du beurre d'arachide ou d'amande. Presque un dessert pour déjeuner !
Gruau à la banane, au beurre de noisette et au lait d'amande. Photo Fournie Par Émilie Gaillet
Émilie Gaillet, photographe, styliste culinaire et auteure du blogue Émilie murmure, a accepté de nous donner une de ses recettes de gruau à préparer la veille.Gruau overnight À La Banane...Au Beurre De Noisette & Au Lait D'amande Pour 1 portion Ingrédients 1/4 de tasse de flocons d'avoine 1 cuillerée à soupe de graines de chia 1 cuillerée à soupe de beurre de noisette 3 ou 4 rondelles de banane 1/2 tasse de lait d'amande Préparation Déposer l'avoine, le chia, le beurre de noisette et les rondelles de banane au fond d'un petit bol ou d'un contenant hermétique. Arroser de lait d'amande pour recouvrir complètement la préparation. Mélanger pour bien répartir les ingrédients dans le pot. Laisser gonfler toute la nuit. Au moment de servir, déposer quelques rondelles de banane au-dessus du mélange, et arroser d'un filet de beurre de noisette et de sirop d'érable. Émilie Gaillet propose deux autres variantes de ce gruau sur son blogue : bleuets et baies de Goji, ainsi que pomme et pacanes. Pour traduire les blogues servez vous de........ https://translate.google.com/?hl=fr --
Pour faire le plein de vitamines, rien de tel qu’un bon jus à déguster dès le réveil !
L’association de différents fruits permet bien souvent de bénéficier de nutriments complémentaires pour obtenir, dans un seul verre, une bonne partie des vitamines et oligo-éléments dont vous aurez besoin pour affronter sereinement votre journée.
4 jus vitaminés et colorés !
Jus anti-stress
Ingrédients pour 4 personnes : 4 kiwis 2 citrons verts 50 cl de thé vert Presser le jus des citrons. Prélever la chair des kiwis. Mixer l’ensemble des ingrédients.
Jus bonne mine
Ingrédients pour 4 personnes : 4 oranges 1 mangue 40 cl de jus de carotte Presser le jus des oranges. Prélever la chair de la mangue. Mixer l’ensemble des ingrédients.
Jus énergie
Ingrédients pour 4 personnes : 1 grosse poignée de fraises 30 cl de jus de grenade 30 cl de jus de betterave Équeuter les fraises. Mixer l’ensemble des ingrédients.
Jus vitalité
Ingrédients pour 4 personnes : 60 cl de jus de pomme 2 citrons 1 cm de gingembre frais Presser le jus des citrons. Râper le gingembre. Mélanger l’ensemble des ingrédients.
4 steaks dans la bavette de 180g chacun 1/2 verre de vinaigre de vin 4 échalotes 1/4 de litre de Beaujolais 1 bouquet de persil 1 cuillère à soupe d'herbes de Provence 800g de pommes de terre 75g de beurre 1 cuillère à soupe d'huile , sel , poivre
Epluchez les pommes de terre. Faites-les cuire dans une marmite à vapeur 25 minutes.
Pendant ce temps, pelez les échalotes. Coupez-les en rondelles. Chauffez 25g de beurre et l'huile dans une sauteuse à feu moyen. Faites-y dorer les steaks 2 minutes sur chaque face et retirez-les.
Dans la sauteuse vide mais non lavée, mettez les échalotes, les herbes de Provence et le vinaigre. Poivrez. Faites bouillir jusqu'à ce qu'il ne reste plus de liquide.
Versez alors le vin rouge et laissez bouillir à feu vif jusqu'à ce qu'il reste la valeur d'un petit verre environ.
Remettez les steaks dans la sauteuse. Poursuivez la cuisson 2 minutes de chaque côté à feu doux et mettez-les sur un plat chaud. Salez, poivrez. Dans le jus de cuisson, faites fondre hors du feu 50g de beurreen petits morceaux. Versez ce jus sur la viande. Servez-la accompagnée des pommes de terre et saupoudrée de persil.
La Mère Brazier a été la première femme à obtenir 2 Etoiles simultanément pour deux restaurants. Aujourd’hui, c’est le chef Mathieu Vianney qui officie aux fourneaux du restaurant de la Mère Brazier, au 12 rue Royale. Si la Mère Filloux fut la première à obtenir une grande notoriété et la Mère Brazier la plus célèbre de représentantes de cette lignée, il existait de nombreuses autres Mères dont la réputation culinaire n’avait rien à envier à celle de nos grands chefs d’aujourd’hui... La Mère Carron, rue Pierre Corneille, Madame Andrée, place du Maréchal Lyautey et à Tassin la Demi-Lune, Tante Paulette et son poulet au vinaigre ou encore...Léa Bidaut et son fameux gratin de macaronis dans son restaurant La Voûte, place Antonin Gourju.
Les Bouchons Lyonnais Tout visiteur qui vient à Lyon souhaite manger dans un « bouchon ». Grand symbole de la gastronomie lyonnaise, le bouchon est issu de la tradition des mâchons instaurée par les canuts, ouvriers de la soie. Associée à Guignol et à Gnafron, il propose des plats simples, composés essentiellement de cochonnaille et le tout largement arrosé de Beaujolais ou de Côtes-du-rhône. Si de nos jours le bouchon est un restaurant où l’on peut déguster des spécialités lyonnaises, à l’origine, le terme désigne un lieu où l’on peut « mâchonner ». Au XIXème siècle, les canuts, qui commencent très tôt leur journée,organisent des sortes de «casse-croûte» vers 9 ou 10h : les mâchons. Il ne s’agit pas d’un repas à proprement parlé, mais d’un en-cas, souvent composé des restes de la veille et qui se prenait en dehors des restaurants traditionnels, dans un bistrot, un marchand de vin ou à l’atelier des canuts. Partagés entre hommes, ils étaient souvent prétextes à parler affaire entre les différents acteurs du milieu de la soie. On peut considérer que les mâchons sont définitivement rentrés dans la tradition lyonnaise lors de la fondation des Halles de Lyon aux Cordeliers (à l’emplacement de l’actuel parking des Cordeliers). Depuis le XIXème siècle, l’organisation du travail a évoluée mais le mâchon se pratique encore dans certains restaurants. Le terme « bouchon » a plusieurs significations : il peut faire référence soit au bouquet de lierre ou de genêt qui était suspendu, dans l’ancien régime, à la porte des cabarets pour les différencier des auberges... Soit à la paille que les voyageurs avaient à disposition dans les auberges afin qu’ils puissent « bouchonner » leur monture avant le repas ; soit, plus simplement, au bouchon de bouteilles, même si à Lyon, l’usage est de servir le vin en pot et non en bouteille. Les bouchons sont, à l’origine, installés dans le quartier de la Croix-Rousse, lieu d’habitation et de travail des canuts. Selon la coutume, c’est la femme qui est aux fourneaux, tandis que son mari s’occupe de la cave et de la salle. Les plats proposés sont souvent composés des restes de la veille, que les cuisinières arrangent pour éviter le gaspillage. Avec le temps les mets se sont diversifiés. Aujourd’hui, les bouchons proposent des plats exécutés avec des produits traditionnels lyonnais. On peut notamment citer la rosette, les grattons, les quenelles, le gratin de cardons à la moelle ou encore les fromages locaux. Tous ces mets sont accompagnés de vin, habituellement du Beaujolais mais de plus en plus de Côte du Rhône.
Quelques Spécialités Lyonnaises. Les bouchons vous proposent une cuisine simple, dégustée dans la convivialité. Les menus offrent une large palette de plats à déguster, mais quelques un font partie de la grande tradition lyonnaise. Les grattons : leur notoriété a largement dépassé la région lyonnaise. Souvent consommés à l’apéritifs, les grattons sont des petits morceaux de couenne de porc grillés. A déguster à la lyonnaise, dans la convivialité, avec un pot de Côte du Rhône ou de Beaujolais ! Les charcuteries : et en premier lieu le saucisson. La technique de fabrication du saucisson lyonnais lui confère toutes ses qualités. Il est composé d’un mélange de morceaux de gras coupés en petits cubes de 5 à 6 mm de côté et de maigre haché très fin. La préparation est ensuite assaisonnée puis enfermée dans des boyaux naturels. Sur les étals des charcutiers, les saucissons côtoient d’autres spécialités comme la rosette ou le cervelas (saucisson à cuire) meilleur quand il est truffé et pistaché. Le tablier de sapeur : les abats, comme les tripes, le foie ou le gras double occupent une place de choix dans la cuisine lyonnaise. Le tablier de sapeur est un plat typiquement lyonnais. Son nom vient du Maréchal de Castellane qui a comparé le gras double (fraise de bœuf) au tablier de cuir des sapeurs-pompiers. Il est préparé avec de fraise de bœuf coupée en dés et marinée dans une préparation à base de vin blanc mâconnais, moutarde, citron, huile et sel/poivre. La fraise est ensuite roulée dans de la mie de pain puis grillée dans de l’huile et du beurre et accompagnée d’une sauce Gribiche. La quenelle : véritable tradition à Lyon depuis le XIXème siècle, la quenelle est une préparation à base de farine ou de semoule, de beurre et de lait. Les quenelles peuvent être parfumée avec de la volaille, du veau, ou bien encore, plus traditionnellement, du brochet. Les quenelles sont accompagnées d’une sauce, souvent une béchamel, ou pour la quenelle de brochet, une sauce Nantua, à base de beurre d’écrevisse. Les cardons : ce légume dont on déguste les côtes, se rapproche de la côte de blette. La recette Lyonnaise le propose sous forme de gratin à la moelle, que l’on déguste durant les fêtes de Noël. Les fromages : le plus connu est la cervelle de canut, ou claqueret, qui n’est pas un fromage à proprement parlé, mais une façon d’accommoder le fromage blanc. Pour le préparer, il faut choisir un fromage blanc « mâle », c’est-à-dire pas trop mou que l’on bat selon l’expression guignolesque « comme si c’était sa femme ». On ajoute ensuite du sel, du poivre, un filet de vinaigre et d’huile d’olive, une échalote, de la ciboulette, des herbes du jardin et de l’ail « pour tenir la langue au frais ». Enfin, un peu de crème fraîche et une goutte de vin blanc (mâconnais de préférence) peuvent venir compléter la préparation. Le saint-marcellin est également le fromage que l’on retrouve sur tous les étals de fromagers riginaire de la commune du même nom dans le Dauphiné, ce fromage de vache se déguste très affiné. Les bugnes : à l’origine, la bugne était liée au calendrier religieux. Il était en effet de tradition d’en confectionner durant le premier dimanche du Carême car elles étaient la seule gourmandise autorisée. Son nom vient du vieux français « beigne » qui lui-même vient de « bosse », terme qui rappelle la forme gonflée de la bugne. La bugne est réalisée à partir d’un mélange de farine, beurre, sucre, et d’un peu de sel et parfois de fleur d’oranger. La pâte ainsi obtenue est découpée avec un molette (ou éperon) puis frite dans l’huile. Il existe enfin d’autres spécialités lyonnaises et qui sont peut-être moins connues...
La bière, qui s’inscrit dans la tradition des brasseries lyonnaises très prisées encore de nos jours. La Brasserie Georges continue de brasser sapropre bière. Le chocolat : la papillote a été créée à Lyon au XVIIIème siècle. A l’origine, le chocolatier Révillon, très connu pour garnir les tables de Noël avec ses papillotes, était installé à Lyon, avant de déménager dans la Loire. Aujourd’hui, c’est la maison Bernachon qui continue de représenter la ville dans l’art de la chocolaterie. Il existe des spécialités lyonnaises à base de chocolat : le coussin de Lyon, chez Voisin ou le bâton de Guignol, crée par Gabriel Paillasson, célèbre pâtissier lyonnais. La glace : les lyonnais en ont toujours été friands. Nardonne, dans le Vieux-Lyon, fabrique de la glace pour les lyonnais depuis le début du XXème siècle. La boutique d’aujourd’hui a été ouverte en 1929. Cette liste n’est pas exhaustive. Sur les menus des bouchons vous trouverez également l’andouillette, le boudin noir, le foie de veau, les tripes, le gâteau de foie de volaille ou encore la gratinée, les œufs meurette, l’assiette du gnafron, le caviar de la Croix-Rousse, les saladiers de clapotons, … Et pour en savoir plus sur ces spécialités, nous vous invitons, tout simplement, venir les déguster… La Gastronomie Lyonnaise Aujourd’hui... La cuisine lyonnaise d’aujourd’hui a su préserver ses traditions, mais elle n’est pas pour autant restée figée dans son passé. Lorsque l’on regarde le paysage de la gastronomie lyonnaise, on peut constater qu’il asu habilement mêler tradition et modernité. Ainsi, d’anciennes grandes maison son reprises par des chefs qui ont la vocation de faire revivre ces lieux emblématiques en les inscrivant dansune démarche contemporaine. C’est le cas pour le restaurant de la Mère Brazier rue Royale, repris par Mathieu Vianney en 2008. La carte propose, entre autre, les plats qui ont fait la renommée de la Mère Brazier, comme la volaille de Bresse demi-deuil ou les artichauts au foie gras, remis au goût du jour. Léon de Lyon, une institution dans le paysage culinaire lyonnais, a également subi de récentes transformations. Il propose désormais, en lieu et place du restaurant gastronomique, une cuisine de bistrot dans un cadre beaucoup plus contemporain. Jean-Paul Lacombe chef de cette brasserie, a d’ailleurs été précurseur dans le renouveau du bistrot en créant plusieurs restaurants appelés « Bistrots de Cuisiniers » et qui proposent une cuisine de chef dans le cadre convivial d’un bistrot. Parallèlement à cette gastronomie traditionnelle, de nouvelles tendances voient le jour. Les cuisines japonaises, bios, contemporaines ou inspirées de cultures différentes viennent offrir un nouveau visage à la restauration lyonnaise. Aujourd’hui, la gastronomie lyonnaise est portée par des personnalités telles que : Christian Tête d’Oie, dans son restaurant de l’Antiquaille ; David Tissot, à la Villa Florentine ; Jean-Paul Lacombe, de la brasserie Léon de Lyon ; Mathieu Vianney, chez la Mère Brazier ou encore Antony Bonnet,à la Cour des Loges. En 1936, certains chefs lyonnais renommés se sont réunis dans une association appelée « l’Amicale des Toques Blanches Lyonnaises et de la région ». Aujourd’hui, cette association existe toujours sous le nom des « Toques Blanches Lyonnaises ». Ses membres, plus d’une centaine aujourd’hui, sont des chefs étoilés ou de jeunes talents montants. Ils viennent d’horizons différents, de la cuisine traditionnelle à celle plus contemporaine. Cette association, présidée par de grands chefs tels que Pierre Orsi, Guy Lassaussaie, ou aujourd’hui Laurent Bouvier, se positionne en porte-parole de la gastronomie lyonnaise. Elle s’investit dans de nombreux évènements liés à l’art culinaire, comme lors du Sirha, et se trouvait en première ligne pour soutenir la candidature de Lyon au titre de Cité de la Gastronomie. Le plus connu des représentants des chefs lyonnais est sans doute Paul Bocuse, « Monsieur Paul », « pape de la cuisine ». Issu d’une famille decuisinier, il a fait ses premières armes chez la Mère Brazier au col de la Luère. Chef étoilé, meilleur ouvrier de France en 1961, désigné « Cuisinier du siècle » par Gault-Millau en 1989, il a contribué à donner à Lyon la renommée gastronomique qu’on lui connait aujourd’hui. En 1987, il crée le Bocuse d’Or, l’un des concours culinaires les plus prestigieux au monde et dont la finale à lieu à Lyon, après des sélections en Europe, en Asie et en Amérique Latine. Il a lieu tous les deux ans, et s’inscrit dans le cadre du Salon International de la Restauration de l'Hôtellerie et de l'Alimentation (Sirha) de renommée mondiale. L’édition 2013 du Bocuse d’Or a pour la 7ème fois décerné la médaille d’Or à un Français : Thibaut Ruggeri. Quant-à la pâtisserie elle n’est pas en reste : lors de la Coupe du Monde de Pâtisserie (crée par un lyonnais, le pâtissier Gabriel Paillasson), durant le Sirha 2013, c’est également une équipe française, dont un lyonnais, qui s’est vue décerné le trophée.
18 petites poires pas trop mûres 2 clous de girofle 1 gousse de vanille 1 bâtonnet de cannelle 5 grains de poivre blanc écrasés au rouleau 500 g de sucre en poudre 500 g de sucre en morceaux le jus d'un citron.
Faites bouillir 1 litre d'eau avec le sucre en poudre, la gousse de vanille, la cannelle, les clous de girofle et le poivre pendant 5 minutes.
Epluchez les poires. Arrosez-les de jus de citron. Plongez-les dans le sirop, baissez le feu, couvrez, puis laissez-les pocher à frémissements jusqu'à ce qu'elles soient translucides mais encore fermes. Laissez-les refroidir dans le sirop. Egouttez les poires dans un grand plat.
Préparez un caramel ambré avec le sucre en morceaux et 10cl d'eau froide. Versez-le sur les poires et continuez à les arroser pour les caraméliser complètement. A déguster encore chaud!
CRÈPES AUX FRUITS DE MER
Pour 4 personnes:
30cl de lait
1 verre d'eau
3 oeufs
50g de beurre
150g de farine , huile
1 litre de moules
1 litre de coques
8 coquilles Saint-Jacques
Pour la sauce:
100g de beurre
1 cuillère à soupe de farine
2 verres de lait
1 cuillère à soupe de sauce tomate
Faites tiédir l'eau et le lait puis délayez la farine avec ce mélange. Ajoutez ensuite les oeufs battus, une pincée de sel et 50g de beurre fondu. Laissez reposer cette pâte une heure.
Pendant ce temps, grattez les moules et faites tremper les coques. Ouvrez les coquilles Saint-Jacques et faites-les revenir rapidement dans une noix de beurre, une minute sur chaque face. Dans un grand faitout, faites ouvrir les moules et les coques et retirez-les aussitôt du feu. Retirez leur coquilles, conservez 2 verres d'eau de cuisson et filtrez-la.
Dans une casserole, faites fondre le beurre, jetez-y la farine en pluie puis tournez à la cuillère en bois pour éviter les grumeaux. Versez le lait et le jus de cuisson des moules et faites cuire très doucement en
tournant sans cesse.
Lorsque la sauce a épaissi, ajoutez une cuillère de sauce tomate, salez et poivrez. Ajoutez les moules, les
coques et les coquilles Saint-Jacques dans la sauce.
Faites les crêpes dans une poêle huilée. Sur chaque crêpe, déposez une cuillère de fruits de mer en sauce puis repliez chaque crêpe en quatre. Gardez-les au chaud.
Clic ici....................http://www.tablapizza.fr/
Chez Tablapizza, on travaille la pâte à pizza et les pizzas sous toutes ses formes ! Rondes, roulées ou carré les restaurants Tabapizza mettent les petits plats dans les grands pour déguster des pizzas délicieuses et originales à n’importe quel moment !
LA PIZZA ROULÉÏADE TABLAPIZZA CHÈVRE-MIEL.
INGRÉDIENTS :
- 1 pâte à pizza.
- 3 cuillères à soupe de crème fraîche.
- 2 cuillères à café de moutarde à l’ancienne.
- 4 tranches de fromage de chèvre.
- 6-7 tranches de poulet rôti.
- Des oignons caramélisés.
- Du miel.
PRÉPARATION :
1. Sur votre plan de travail fariné, étalez votre pâte à pizza et donnez-lui une forme rectangulaire.
2. Dans un petit récipient, mélangez la crème fraîche avec la moutarde à l’ancienne.
3. Déposez et étalez votre mélange sur la pâte à pizza, puis, placez-y vos
tranches de fromage de chèvre, puis le poulet rôti et les oignons
caramélisés. Terminez en recouvrant de miel et enroulez le tout.
4. Placez le tout au four pendant 20 minutes à 220°c.
Recette de crêpe pour 4 personnes
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson: 30 minutes
Budget: Peu onéreux
Niveau d’exécution: Facile
Commencez par préparer la pate à crèpe.
Faites cuire 8 crêpes et laissez-les refroidir.
Prélevez les zestes du citron et pressez-le.
Lavez les fraises et les bâtons de rhubarbe.
Coupez la rhubarbe en petits morceaux et équeutez les fraises.
Dans une casserole, déposez la rhubarbe, versez le miel liquide puis le sucre blanc, le jus de citron et laissez cuire pendant 15 minutes.Ajoutez les fraises et laissez cuire encore pendant 15 minutes à feu doux.Disposez les fruits chauds sur les crêpes puis roulez-les. Servez avec une boulede glace, des feuilles de menthe et les zestes du citron.Saupoudrez éventuellement de sucre glace et servez aussitôt.
Ingrédients
8 crêpes
1 barquette de fraises
250 g de rhubarbe
50 g de sucre blanc
2 c. à soupe de miel liquide
1 citron non traité
Sucre glace (facultatif)
Glace au citron ou glace à la vanille
Feuilles de menthe.
Recette de grand-mère.
Laver puis équeuter les fraises. Les couper en 4 et les déposer dans un saladier.
Laver le citron, le sécher et en zester la moitié : râper finement la surfacede l’écorce du citron sur les fraises
Ajouter le miel puis mélanger.Verser l’eau et le sirop de fraises dans une assiette creuse et y passer rapidement
8 biscuits roses un par un (jusqu’à ce qu’ils soient souples mais pas trop imbibés). En déposer 2 par ramequin.
Napper de fromage blanc. Recouvrir de fraises coupées. Ecraser le biscuit rose restant pour en parsemer les tiramisus.
Ingrédients
250 g de fraises
150 g de fromage blanc
1 c à s de miel (ou sirop d’agave)
9 biscuits roses de Reims (dont 1 pour la déco)
2 verres d’eau
2 c à c de sirop de fraise
1 citron
Équipement4 ramequins individuels
Ingrédients
500 g d'abricots
60 g de cassonade
80 g de farine
2 gros oeufs
1/2 sachet de levure chimique
80 g de beurre (pour moi, demi-sel)
2 cuil. à soupe de poudre d'amande
extrait de vanille (facultatif)
Préparation
Lavez et essuyez les abricots, les couper en 2 et les dénoyauter.
Battez les oeufs au fouet électrique avec la cassonade jusqu'à ce que le mélange soit bien mousseux.
Incorporez le beurre mou, mélangez puis ajouter à la spatule, la farine et levure, puis la poudre d'amande.
Versez la pâte dans un petit moule à manqué beurré et fariné, disposez les demi-abricots en les enfonçant légèrement dans la pâte.
Cuire 25 à 30 mn au four préchauffé à 180°c (Th.6) selon votre four.
Laissez tiédir puis démouler.
Et si investir quelques minutes de notre soirée de la veille permettait d'ajouter de la variété au menu matinal ? C'est le principe des gruaux réfrigérés sans cuisson, un plat frais et consistant qui n'a rien à voir avec le gruau fade de notre enfance.
Photo Fournie Par Émilie GailletSophie Ouimet La Presse
Tartines ou céréales ? C'est la question qu'on se pose invariablement, tous les jours. Mais si les déjeuners se suivent, rien ne dit qu'ils doivent se ressembler. En intégrant les overnight oats (Avoine pendant la nuit)- ou gruau à préparer la veille - au menu, on ouvre soudainement la porte à une variété infinie de déjeuners, même pour les petits matins pressés.
Guide et mode d'emploi.
Préparez Ce Soir, Dégustez Demain. On a beau répéter que le déjeuner est le repas le plus important de la journée, nous finissons par manger souvent la même chose... à l'exception du fameux brunch dominical. Et si investir quelques
minutes de notre soirée de la veille permettait d'ajouter de la variété au menu matinal ? C'est le principe des overnight oats, ou gruaux réfrigérés sans cuisson, un plat frais et consistant qui n'a rien à voiravec le gruau fade de notre enfance.
La base des overnight oats est simple comme bonjour, et il suffit de quelques minutes pour assembler les ingrédients. Dans un bol, on mélangedes flocons d'avoine, du lait - souvent végétal -, des graines de chia,des fruits et un agent sucrant comme le miel ou le sirop d'érable. On peut également ajouter une pincée de cannelle pour rehausser le goût.
Puis, on couvre et on met au frais pour la nuit.
S'il faut apprêter le mélange à l'avance, c'est parce qu'il contient le super-aliment de l'heure : le chia. Pendant la nuit, les graines gonflent dans le lait, créant une texture qui se rapproche du pouding.
Depuis quelques années, on vante les propriétés des graines de chia sur toutes les tribunes. Excellente source de fibres, de protéines et d'oméga-3, elles sont étonnamment rassasiantes.
Le lendemain matin, on peut ajouter différents éléments à la recette de base, en fonction de ses envies ou de ce qu'on a sous la main. La styliste culinaire Émilie Gaillet propose quelques idées sur son blogue...Fruits frais, noix, épices, flocons de noix de coco, et même cacao ou pépites de chocolat noir pour les plus aventureux. Ne reste plus qu'à déguster, à la maison ou au bureau, car le mélange se prépare tout aussi facilement dans un pot!
Quelques Guides
Voici les proportions approximatives d'une recette de base d'overnight oats pour une personne.
Il est possible de jouer avec les quantités pour trouver la texture qui nous convient.
Avoine : entre 1/4 de tasse et 1/2 tasse
Lait (de vache, d'amande, de noix, de soja) : 1/2 tasse
Graines de chia : entre 1 et 3 cuillerées à soupe
Agent sucrant (miel, sirop d'érable, sirop d'agave) : 1 cuillerée à soupe
Épices (comme la cannelle) : une pincée
La version De Marilou, De Trois Fois Par Jour...
Photo Tirée Du Blogue Trois Fois Par Jour
À Chacun Sa Version
Les blogueurs culinaires rivalisent d'ingéniosité pour créer de nombreuses versions des overnight oats.
En voici quelques-unes...
Les Fruits Écrasés Dans Le Mélange
Dans cette recette tirée du blogue Oh she Glows, de la Canadienne Angela Liddon...
On écrase d'abord la banane au fond du bol avec les graines de chia, avant d'y verser les autres ingrédients.
On peut ajouter d'autres fruits avant de servir.
Avec Du Yogourt
Si le lait à lui seul n'apporte pas une texture assez crémeuse ou assez riche à votre goût...
Vous pouvez y ajouter du yogourt, comme dans cette recette du blogue Trois fois par jour (dont les fruits se trouvent également dans le mélange).
Notons que par coquetterie, Marilou utilise des graines de chia blanches !
Sans Avoine !
Plus léger que les overnight oats, le pouding de chia contient sensiblement les mêmes ingrédients, mais sans les flocons d'avoine.
On peut alors ajouter des noix (amandes, pacanes, noix de Grenoble...) pour rendre le plat plus nourrissant. La Britannique Ella Woodward propose un pouding de chia aux dattes sur son blogue.
Avec du beurre (d'arachide, de noix, d'amande, de cajou...)
Le blogue Minimalist Baker propose une version décadente des overnight oats avec du beurre d'arachide ou d'amande.
Presque un dessert pour déjeuner !
Gruau à la banane, au beurre de noisette et au lait d'amande.
Photo Fournie Par Émilie Gaillet
Émilie Gaillet, photographe, styliste culinaire et auteure du blogue Émilie murmure, a accepté de nous donner une de ses recettes de gruau à préparer la veille.Gruau overnight À La Banane...Au Beurre De Noisette & Au Lait D'amande
Pour 1 portion
Ingrédients
1/4 de tasse de flocons d'avoine
1 cuillerée à soupe de graines de chia
1 cuillerée à soupe de beurre de noisette
3 ou 4 rondelles de banane
1/2 tasse de lait d'amande
Préparation
Déposer l'avoine, le chia, le beurre de noisette et les rondelles de banane au fond d'un petit bol ou d'un contenant hermétique. Arroser de lait d'amande pour recouvrir complètement la préparation. Mélanger pour bien répartir les ingrédients dans le pot. Laisser gonfler toute la nuit.
Au moment de servir, déposer quelques rondelles de banane au-dessus du mélange, et arroser d'un filet de beurre de noisette et de sirop d'érable.
Émilie Gaillet propose deux autres variantes de ce gruau sur son blogue : bleuets et baies de Goji, ainsi que pomme et pacanes.
Pour traduire les blogues servez vous de........ https://translate.google.com/?hl=fr
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Pour faire le plein de vitamines, rien de tel qu’un bon jus à déguster dès le réveil !
L’association de différents fruits permet bien souvent de bénéficier de nutriments complémentaires pour obtenir, dans un seul
verre, une bonne partie des vitamines et oligo-éléments dont vous aurez besoin pour affronter sereinement votre journée.
4 jus vitaminés et colorés !
Jus anti-stress
Ingrédients pour 4 personnes :
4 kiwis
2 citrons verts
50 cl de thé vert
Presser le jus des citrons.
Prélever la chair des kiwis.
Mixer l’ensemble des ingrédients.
Jus bonne mine
Ingrédients pour 4 personnes :
4 oranges
1 mangue
40 cl de jus de carotte
Presser le jus des oranges.
Prélever la chair de la mangue.
Mixer l’ensemble des ingrédients.
Jus énergie
Ingrédients pour 4 personnes :
1 grosse poignée de fraises
30 cl de jus de grenade
30 cl de jus de betterave
Équeuter les fraises.
Mixer l’ensemble des ingrédients.
Jus vitalité
Ingrédients pour 4 personnes :
60 cl de jus de pomme
2 citrons
1 cm de gingembre frais
Presser le jus des citrons.
Râper le gingembre.
Mélanger l’ensemble des ingrédients.
BAVETTES BEAUJOLAIS
Pour 4 personnes:
4 steaks dans la bavette de 180g chacun
1/2 verre de vinaigre de vin
4 échalotes
1/4 de litre de Beaujolais
1 bouquet de persil
1 cuillère à soupe d'herbes de Provence
800g de pommes de terre
75g de beurre
1 cuillère à soupe d'huile , sel , poivre
Epluchez les pommes de terre. Faites-les cuire dans une marmite à vapeur 25 minutes.
Pendant ce temps, pelez les échalotes. Coupez-les en rondelles.
Chauffez 25g de beurre et l'huile dans une sauteuse à feu moyen.
Faites-y dorer les steaks 2 minutes sur chaque face et retirez-les.
Dans la sauteuse vide mais non lavée, mettez les échalotes, les herbes de Provence et le vinaigre. Poivrez. Faites bouillir jusqu'à ce qu'il ne reste plus de liquide.
Versez alors le vin rouge et laissez bouillir à feu vif jusqu'à ce qu'il reste la valeur d'un petit verre environ.
Remettez les steaks dans la sauteuse.
Poursuivez la cuisson 2 minutes de chaque côté à feu doux et mettez-les sur un plat chaud. Salez, poivrez. Dans le jus de cuisson, faites fondre hors du feu 50g de beurreen petits morceaux. Versez ce jus sur la viande. Servez-la accompagnée des pommes de terre et saupoudrée de persil.
La Mère Brazier a été la première femme à obtenir 2 Etoiles simultanément pour deux restaurants. Aujourd’hui, c’est le chef Mathieu Vianney qui officie aux fourneaux du restaurant de la Mère Brazier, au 12 rue Royale.
Si la Mère Filloux fut la première à obtenir une grande notoriété et la Mère Brazier la plus célèbre de représentantes de cette lignée, il existait de nombreuses autres Mères dont la réputation culinaire n’avait rien à envier à celle de nos grands chefs d’aujourd’hui...
La Mère Carron, rue Pierre Corneille, Madame Andrée, place du Maréchal Lyautey et à Tassin la Demi-Lune, Tante Paulette et son poulet au vinaigre ou encore...Léa Bidaut et son fameux gratin de macaronis dans son restaurant La Voûte, place Antonin Gourju.
Les Bouchons Lyonnais
Tout visiteur qui vient à Lyon souhaite manger dans un « bouchon ».
Grand symbole de la gastronomie lyonnaise, le bouchon est issu de la tradition des mâchons instaurée par les canuts, ouvriers de la soie.
Associée à Guignol et à Gnafron, il propose des plats simples, composés essentiellement de cochonnaille et le tout largement arrosé de Beaujolais ou de Côtes-du-rhône.
Si de nos jours le bouchon est un restaurant où l’on peut déguster des spécialités lyonnaises, à l’origine, le terme désigne un lieu où l’on peut « mâchonner ».
Au XIXème siècle, les canuts, qui commencent très tôt leur journée,organisent des sortes de «casse-croûte» vers 9 ou 10h : les mâchons.
Il ne s’agit pas d’un repas à proprement parlé, mais d’un en-cas, souvent composé des restes de la veille et qui se prenait en dehors des restaurants traditionnels, dans un bistrot, un marchand de vin ou à l’atelier des canuts.
Partagés entre hommes, ils étaient souvent prétextes à parler affaire entre les différents acteurs du milieu de la soie.
On peut considérer que les mâchons sont définitivement rentrés dans la tradition lyonnaise lors de la fondation des Halles de Lyon aux Cordeliers (à l’emplacement de l’actuel parking des Cordeliers).
Depuis le XIXème siècle, l’organisation du travail a évoluée mais le mâchon se pratique encore dans certains restaurants.
Le terme « bouchon » a plusieurs significations : il peut faire référence soit au bouquet de lierre ou de genêt qui était suspendu, dans l’ancien régime, à la porte des cabarets pour les différencier des auberges...
Soit à la paille que les voyageurs avaient à disposition dans les auberges afin qu’ils puissent « bouchonner » leur monture avant le repas ; soit, plus simplement, au bouchon de bouteilles, même si à Lyon, l’usage est de servir le vin en pot et non en bouteille.
Les bouchons sont, à l’origine, installés dans le quartier de la Croix-Rousse, lieu d’habitation et de travail des canuts.
Selon la coutume, c’est la femme qui est aux fourneaux, tandis que son mari s’occupe de la cave et de la salle.
Les plats proposés sont souvent composés des restes de la veille, que les cuisinières arrangent pour éviter le gaspillage.
Avec le temps les mets se sont diversifiés. Aujourd’hui, les bouchons proposent des plats exécutés avec des produits traditionnels lyonnais.
On peut notamment citer la rosette, les grattons, les quenelles, le gratin de cardons à la moelle ou encore les fromages locaux.
Tous ces mets sont accompagnés de vin, habituellement du Beaujolais mais de plus en plus de Côte du Rhône.
Quelques Spécialités Lyonnaises.
Les bouchons vous proposent une cuisine simple, dégustée dans la convivialité. Les menus offrent une large palette de plats à déguster, mais quelques un font partie de la grande tradition lyonnaise.
Les grattons : leur notoriété a largement dépassé la région lyonnaise.
Souvent consommés à l’apéritifs, les grattons sont des petits morceaux de couenne de porc grillés.
A déguster à la lyonnaise, dans la convivialité, avec un pot de Côte du Rhône ou de Beaujolais !
Les charcuteries : et en premier lieu le saucisson. La technique de fabrication du saucisson lyonnais lui confère toutes ses qualités.
Il est composé d’un mélange de morceaux de gras coupés en petits cubes de 5 à 6 mm de côté et de maigre haché très fin.
La préparation est ensuite assaisonnée puis enfermée dans des boyaux naturels.
Sur les étals des charcutiers, les saucissons côtoient d’autres spécialités comme la rosette ou le cervelas (saucisson à cuire) meilleur quand il est truffé et pistaché.
Le tablier de sapeur : les abats, comme les tripes, le foie ou le gras double occupent une place de choix dans la cuisine lyonnaise.
Le tablier de sapeur est un plat typiquement lyonnais.
Son nom vient du Maréchal de Castellane qui a comparé le gras double (fraise de bœuf) au tablier de cuir des sapeurs-pompiers.
Il est préparé avec de fraise de bœuf coupée en dés et marinée dans une préparation à base de vin blanc mâconnais, moutarde, citron, huile et sel/poivre.
La fraise est ensuite roulée dans de la mie de pain puis grillée dans de l’huile et du beurre et accompagnée d’une sauce Gribiche.
La quenelle : véritable tradition à Lyon depuis le XIXème siècle, la quenelle est une préparation à base de farine ou de semoule, de beurre et de lait.
Les quenelles peuvent être parfumée avec de la volaille, du veau, ou bien encore, plus traditionnellement, du brochet.
Les quenelles sont accompagnées d’une sauce, souvent une béchamel, ou pour la quenelle de brochet, une sauce Nantua, à base de beurre d’écrevisse.
Les cardons : ce légume dont on déguste les côtes, se rapproche de la côte de blette.
La recette Lyonnaise le propose sous forme de gratin à la moelle, que l’on déguste durant les fêtes de Noël.
Les fromages : le plus connu est la cervelle de canut, ou claqueret, qui n’est pas un fromage à proprement parlé, mais une façon d’accommoder le fromage blanc.
Pour le préparer, il faut choisir un fromage blanc « mâle », c’est-à-dire pas trop mou que l’on bat selon l’expression guignolesque « comme si c’était sa femme ».
On ajoute ensuite du sel, du poivre, un filet de vinaigre et d’huile d’olive, une échalote, de la ciboulette, des herbes du jardin et de l’ail « pour tenir la langue au frais ».
Enfin, un peu de crème fraîche et une goutte de vin blanc (mâconnais de préférence) peuvent venir compléter la préparation.
Le saint-marcellin est également le fromage que l’on retrouve sur tous les étals de fromagers
Les bugnes : à l’origine, la bugne était liée au calendrier religieux. Il était en effet de tradition d’en confectionner durant le premier dimanche du Carême car elles étaient la seule gourmandise autorisée.
Son nom vient du vieux français « beigne » qui lui-même vient de « bosse », terme qui rappelle la forme gonflée de la bugne.
La bugne est réalisée à partir d’un mélange de farine, beurre, sucre, et d’un peu de sel et parfois de fleur d’oranger.
La pâte ainsi obtenue est découpée avec un molette (ou éperon) puis frite dans l’huile.
Il existe enfin d’autres spécialités lyonnaises et qui sont peut-être moins connues...
La bière, qui s’inscrit dans la tradition des brasseries lyonnaises très prisées encore de nos jours. La Brasserie Georges continue de brasser sapropre bière.
Le chocolat : la papillote a été créée à Lyon au XVIIIème siècle.
A l’origine, le chocolatier Révillon, très connu pour garnir les tables de Noël avec ses papillotes, était installé à Lyon, avant de déménager dans la Loire.
Aujourd’hui, c’est la maison Bernachon qui continue de représenter la ville dans l’art de la chocolaterie.
Il existe des spécialités lyonnaises à base de chocolat : le coussin de Lyon, chez Voisin ou le bâton de Guignol, crée par Gabriel Paillasson, célèbre pâtissier lyonnais.
La glace : les lyonnais en ont toujours été friands. Nardonne, dans le Vieux-Lyon, fabrique de la glace pour les lyonnais depuis le début du XXème siècle. La boutique d’aujourd’hui a été ouverte en 1929.
Cette liste n’est pas exhaustive. Sur les menus des bouchons vous trouverez également l’andouillette, le boudin noir, le foie de veau, les tripes, le gâteau de foie de volaille ou encore la gratinée, les œufs meurette, l’assiette du gnafron, le caviar de la Croix-Rousse, les saladiers de clapotons, …
Et pour en savoir plus sur ces spécialités, nous vous invitons, tout simplement, venir les déguster…
La Gastronomie Lyonnaise Aujourd’hui...
La cuisine lyonnaise d’aujourd’hui a su préserver ses traditions, mais elle n’est pas pour autant restée figée dans son passé. Lorsque l’on regarde le paysage de la gastronomie lyonnaise, on peut constater qu’il asu habilement mêler tradition et modernité.
Ainsi, d’anciennes grandes maison son reprises par des chefs qui ont la vocation de faire revivre ces lieux emblématiques en les inscrivant dansune démarche contemporaine.
C’est le cas pour le restaurant de la Mère Brazier rue Royale, repris par Mathieu Vianney en 2008.
La carte propose, entre autre, les plats qui ont fait la renommée de la Mère Brazier, comme la volaille de Bresse demi-deuil ou les artichauts au foie gras, remis au goût du jour.
Léon de Lyon, une institution dans le paysage culinaire lyonnais, a également subi de récentes transformations.
Il propose désormais, en lieu et place du restaurant gastronomique, une cuisine de bistrot dans un cadre beaucoup plus contemporain.
Jean-Paul Lacombe chef de cette brasserie, a d’ailleurs été précurseur dans le renouveau du bistrot en créant plusieurs restaurants appelés « Bistrots de Cuisiniers » et qui proposent une cuisine de chef dans le cadre convivial d’un bistrot.
Parallèlement à cette gastronomie traditionnelle, de nouvelles tendances voient le jour.
Les cuisines japonaises, bios, contemporaines ou inspirées de cultures différentes viennent offrir un nouveau visage à la restauration lyonnaise.
Aujourd’hui, la gastronomie lyonnaise est portée par des personnalités telles que : Christian Tête d’Oie, dans son restaurant de l’Antiquaille ; David Tissot, à la Villa Florentine ; Jean-Paul Lacombe, de la brasserie Léon de Lyon ; Mathieu Vianney, chez la Mère Brazier ou encore Antony Bonnet,à la Cour des Loges.
En 1936, certains chefs lyonnais renommés se sont réunis dans une association appelée « l’Amicale des Toques Blanches Lyonnaises et de la région ».
Aujourd’hui, cette association existe toujours sous le nom des « Toques Blanches Lyonnaises ».
Ses membres, plus d’une centaine aujourd’hui, sont des chefs étoilés ou de jeunes talents montants. Ils viennent d’horizons différents, de la cuisine traditionnelle à celle plus contemporaine.
Cette association, présidée par de grands chefs tels que Pierre Orsi, Guy Lassaussaie, ou aujourd’hui Laurent Bouvier, se positionne en porte-parole de la gastronomie lyonnaise.
Elle s’investit dans de nombreux évènements liés à l’art culinaire, comme lors du Sirha, et se trouvait en première ligne pour soutenir la candidature de Lyon au titre de Cité de la Gastronomie.
Le plus connu des représentants des chefs lyonnais est sans doute Paul Bocuse, « Monsieur Paul », « pape de la cuisine ». Issu d’une famille decuisinier, il a fait ses premières armes chez la Mère Brazier au col de la Luère.
Chef étoilé, meilleur ouvrier de France en 1961, désigné « Cuisinier du siècle » par Gault-Millau en 1989, il a contribué à donner à Lyon la renommée gastronomique qu’on lui connait aujourd’hui.
En 1987, il crée le Bocuse d’Or, l’un des concours culinaires les plus prestigieux au monde et dont la finale à lieu à Lyon, après des sélections en Europe, en Asie et en Amérique Latine.
Il a lieu tous les deux ans, et s’inscrit dans le cadre du Salon International de la Restauration de l'Hôtellerie et de l'Alimentation (Sirha) de renommée mondiale.
L’édition 2013 du Bocuse d’Or a pour la 7ème fois décerné la médaille d’Or à un Français : Thibaut Ruggeri.
Quant-à la pâtisserie elle n’est pas en reste : lors de la Coupe du Monde de
Pâtisserie (crée par un lyonnais, le pâtissier Gabriel Paillasson), durant le Sirha 2013, c’est également une équipe française, dont un lyonnais, qui s’est vue décerné le trophée.
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Cuisine lyonnaise
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3.3 Repas et noms de plats
Les spécialités culinaires
La cuisine lyonnaise dans la culture populaire
Mâchon, tradition gastronomique Lyonnaise.
18 petites poires pas trop mûres
2 clous de girofle
1 gousse de vanille
1 bâtonnet de cannelle
5 grains de poivre blanc écrasés au rouleau
500 g de sucre en poudre
500 g de sucre en morceaux
le jus d'un citron.
Faites bouillir 1 litre d'eau avec le sucre en poudre, la gousse de vanille, la cannelle, les clous de girofle et le poivre pendant 5
minutes.
Epluchez les poires. Arrosez-les de jus de citron. Plongez-les dans le sirop, baissez le feu, couvrez, puis laissez-les
pocher à frémissements jusqu'à ce qu'elles soient translucides mais
encore fermes.
Laissez-les refroidir dans le sirop. Egouttez les poires dans un grand plat.
Préparez un caramel ambré avec le sucre en morceaux et 10cl d'eau froide.
Versez-le sur les poires et continuez à les arroser pour les caraméliser complètement. A déguster encore chaud!