Simple et économique, cette entrée met à l'honneur une des variétés de la pomme de terre de Noirmoutier. Un délice! Les ingrédients (pour 6 personnes) - 600 g de pommes de terre bonnotte - 100 g de carottes - 100 g de haricots verts - 100 g de petits pois frais écossés - 1 oignon - 100 g poivrons rouges (facultatif) - 1 c. à soupe d’huile d’olive - 3 oeufs - 20 cl de lait - 4 à 5 brins de thym frais - 1 c. à café de quatre épices - Sel et poivre - Plat à terrine de 500 ml - Papier cuisson
La préparation 1) Rincez les pommes de terre, puis plongez-les 10 min dans une grande casserole d’eau bouillante salée. Égouttez-les, retirez la peau et écrasez-les avec le dos d’une fourchette. Réservez. 2) Épluchez les carottes, puis plongez-les 20 min dans l’eau bouillante, retirez, égouttez, puis coupez-les en petites rondelles.
3) Plongez ensuite les haricots verts et les petits pois pendant 3 min dans l’eau bouillante. Rincez-les à l’eau glacée pour stopper la cuisson et garder leur couleur verte. Égouttez-les, puis coupez les haricots verts en petits tronçons de 1 cm.
4) Dans une poêle, faites revenir à feu moyen l’oignon émincé et les poivrons taillés en dés avec un peu d’huile d’olive.
5) Dans un bol, fouettez les oeufs avec le lait, mélangez avec les pommes de terre écrasées, les légumes, salez, poivrez, ajoutez le thym et les épices.
6) Chemisez un plat à terrine de papier cuisson, versez votre mélange et laissez cuire pendant 1h au bain-marie à180 °C (th. 6). Laissez refroidir avant de glisser le plat 3h au réfrigérateur.
Conseil: ajoutez des pignons de pin ou des amandes torréfiés pour rendre la texture légèrement plus croquante.
Les parfaits aux marrons. Un dessert fondant et irrésistiblement délicieux, cédez à la tentation dès maintenant !
Réalisez une recette simple et délicieusement fondante : les parfaits aux marrons ! Rien de mieux pour supporter le froid de l'hiver que ces petites douceurs à base de châtaignes... Rien que d'imaginer sa cuillèreplonger au cœur de ce dessert, on a envie de le préparer, non ?
Vous pouvez aussi mettre les coupes au congélateur et les servir glacées. Dans ce cas, sortez-les 1 h avant de les déguster. PARFAITS AUX MARRONS
INGRÉDIENTS :
- 4 jaunes d'oeufs - 100 g de sucre - 20 cl de lait - vermicelles au chocolat - sucre glace - 25 cl de crème liquide - 250 g de crème de marron - 1 expresso de nespresso kazaar ou darkan (25 ml) - 4 feuilles de gélatine (8 g) PRÉPARATION :
1. Faites ramollir la gélatine dans un bol d’eau froide. 2. Faites chauffer le lait avec la crème de marron, puis ajoutez le café. 3. Fouettez les jaunes avec 80g de sucre, versez le lait chaud dessus, puis reversez le tout dans la casserole et faites cuire 4 mn en remuant. 4. Hors du feu, ajoutez la gélatine égouttée et laissez refroidir. 5. Fouettez la crème en chantilly en ajoutant à la fin les 20 g de sucre restants, et mélangez-la à la crème refroidie. 6. Versez dans des coupes et mettez au frais 4 h. 7. Décorez de vermicelles au chocolat et saupoudrez de sucre glace.
Facile Préparation 10 min Cuisson 15 min Prix Bon marché
Ingrédients pour 4 personnes • 8 endives • 2 tomates • 60 cl de bouillon de volaille • 20 cl de crème liquide • 1 cuil. à café de curry en poudre • sel, poivre.
Etapes de préparation 1 Lavez les endives et les tomates. Enlevez le pédoncule des tomates et l'extrémité des endives. 2 Coupez-les grossièrement avant de les mettre dans une grande casserole. 3 Versez le bouillon et faites cuire à couvert 15 à 20 min. 4 Versez la crème, ajoutez le curry, du sel et du poivre puis mixez. 5 Servez bien chaud. Astuces et conseils pour Soupe d'endives et tomates: Hors saison, vous pouvez utiliser des tomates pelées en boîte.
Recette de crème brulées. Comment faire des crèmes brûlées ? Découvrez cette recette facile de crème brûlée pour préparer un dessert gourmand. Recette de crèmes brûlées (pour 4 personnes) Préchauffez votre four à 100°C (212°F).Versez le lait et la crème dans une casserole. Ajoutez-y la gousse de vanille et faites chauffer l’ensemble sur feu doux. .Pendant ce temps, mélangez dans un récipient les jaunes d’œufs avec le sucre à l’aide du fouet .Lorsque le lait est chaud, retirez la gousse de vanille. Enlevez les grains de la gousse à l’aide d’un couteau et versez-les dans le lait chaud. Incorporez le lait à la préparation oeufs-sucre tout en fouettant. Versez la consistance dans chaque ramequin à l’aide d’une louche. Faites cuire ces délicieuses crèmes brûlées dans un four à 100°C pendant 1 heure. Placez vos crèmes brûlées pendant une nuit au réfrigérateur. Le lendemain, saupoudrez vos crèmes avec le sucre roux et brûlez-les au chalumeau ou laissez-les dorer au four quelques minutes.
Ingrédients 4 jaunes d’œufs 250 ml de lait 250 ml de crème 100 g de sucre40 g de sucre roux Une gousse de vanille
Équipement Un cul de poule ou récipient Un fouet Une casserole Des ramequins Un chalumeau (facultatif)
3 oeufs 125grs de farine 125grs de sucre en poudre 60grs de beurre 1/2 paquet de levure alsacienne 1 pincée de sel.
Mélangez les jaunes d'oeufs avec le sucre, ajoutez le sel, le beurre fondu, la levure, la farine puis les blancs en neige. Beurrez un moule à madeleine, le remplir à moitié et enfournez à four doux. Recommencez l'opération jusqu'à ce que vous n'ayez plus de pâte.
Ces aberrations culinaires qui se transmettent de génération en génération.
Le filet d’huile dans l’eau des pâtes, les légumes verts plongés dans l’eau glacée ou la pincée de sel pour monter les blancs en neige… Tour d’horizon des erreurs culinaires les plus courantes avec le chimiste Raphaël Haumont.
Par quel miracle une mayonnaise monte-t-elle ? Comment des blancs d’œufs se transforment-ils en une mousse à la fois ferme et aérienne ? Pour comprendre ces mystères culinaires et surtout progresser, c’est à la chimie qu’il faut s’intéresser. «Il faut aborder la cuisine avec une démarche scientifique : on se pose et on essaye de comprendre le phénomène avant de faire plusieurs tests», explique Raphaël Haumont, chimiste spécialisé dans la cuisine moléculaire, auteur et enseignant-chercheur à l'Université Paris 11 (Orsay).
Raphaël Haumont est le chimiste que l'on peut apercevoir dans l'émission «Les Carnets de Julie avec Thierry Marx», diffusée sur France 3. «Il ne faut pas avoir peur de faire des erreurs, au contraire», poursuit celui que l’on peut apercevoir dans l’émission «Les carnets de Julie avec Thierry Marx» sur France 3. L’enjeu c’est de se mettre à réfléchir lorsque l’on passe derrière les fourneaux et de cesser de reproduire les vieilles traditions familiales ou, pire, les conseils extravagants dont les forums regorgent. Compilation des mythes culinaires les plus célèbres avec le scientifique qui clame haut et fort«arrêtons avec ces tours de main qui ne servent à rien !». L’huile dans les pâtes. Ils sont nombreux les apprentis-cuisiniers qui croient vous impressionner en versant le fameux filet d’huile d’olive dans l’eau des pâtes. Pourtant l’analyste du chimiste est sans appel : «Comme l’huile d’olive ne se mélange pas avec l’eau et qu’elle remonte à la surface, cela ne sert à rien strictement à rien». Pour ne pas coller, les pâtes doivent être cuites dans une très grande quantité d'eau (100 g de pâtes pour 1 litre). Et si on aime le goût de l’huile d’olive, on n’hésite pas à verser le précieux nectar une fois les pâtes égouttées. Basta. Le vinaigre pour cuire les œufs durs. Votre grand-mère vous a-t-elle déjà conseillé de cuire vos œufs durs avec un filet de vinaigre de vin et, mieux, une petite pincée de sel ? Oui, vous savez, pour éviter que l’œuf ne se fissure et pour éviter que le blanc ne coagule… «Cela n’a aucun effet, pire, le vinaigre fragilise la coquille de l’œuf et il a plus de chance d’éclater à la cuisson ». On cuit donc ses œufs dans l’eau à petit bouillon. C’est tout. La mayonnaise battue « en 8 ». Le secret de la mayonnaise enfin révélé. Les astuces pour une mayonnaise inratable pullulent sur la Toile. Le conseil qui revient le plus souvent ? «Il faut battre ses œufs en dessinant un 8». Pour Raphaël Haumont, un 5, un 6ou un 7 feraient tout aussi bien l’affaire : «Il s’agit de verser l’huile très lentement et de mixer le plus vite possible – le batteur électrique est tout à faire recommandé. C’est ce qu’on appelle une émulsion : le tensioactif qui s’appelle lécithine permet de mélanger intimement l’huile et l’eau contenue dans le jaune d’œuf», explique le scientifique. Tout tient dans la rapidité du mouvement et non du mouvement lui-même. Autre idée reçue : la température des ingrédients n’a aucune influence. L’œuf peut bien sortir du frigo, la mayonnaise n’en sera pas moins réussie. L’eau glacée pour fixer la couleur des légumes verts. «Une fois les petits pois cuits, les plonger dans une eau glacée pour fixer la chlorophylle». Cette phrase, vous l’avez déjà lue mainte fois dans des recettes. Et pourtant, l’eau froide n’a absolument aucun effet sur la couleur de l’ingrédient. «Elle permet de stopper la cuisson, ni plus ni moins. Si l’on veut des légumes bien verts, on les cuit avec du bicarbonate (1/2 cuillère à café pour un litre d’eau) ou encore dans de l’eau gazeuse», conseille le chimiste. Les blancs à température ambiante pour faire les macarons.
Un blanc qui sort du frigo moussera très bien.
S'agissant d'employer des blancs d'œufs vieillis pour réaliser des macarons ou une simple meringue, Raphaël Haumont n'est pas du tout d'accord avec Mercotte : «Des blancs d’œufs laissés à l’air libre ? C’est une catastrophe sanitaire !», s’indigne-t-il. «Un blanc qui sort du frigo moussera très bien», poursuit-il. L’astuce ? «Onajoute le sucre petit à petit, dès le début et on bat de façon constante». Les cuisiniers les plus équipés trouveront une occasion de ressortir leur siphon : «on met les blancs d’œufs et le sucre, on percute la cartouche de gaz et on secoue. On obtient ainsi la meringue idéale», détaille l’expert en chimie culinaire. La viande cuite à feu moyen. La cuisson de la viande est probablement la plus grande source de ratés en cuisine. S’il existe différentes astuces pour s’améliorer, Raphaël Haumont résume la situation de façon très claire : «On cuit la viande très rapidement ou bien on opte pour une cuisson lente». Point decuisson intermédiaire : «Il ne faut surtout pas la faire bouillir ; une viande cuit dès 55/56 °C. Passés les 100 °C, elle bout, perdant tout son goût et devenant caoutchouteuse», affirme le spécialiste. Qu’on la saisisse où qu’on la cuise longuement, il faut choisir son camp. Les herbes aromatiques mijotées. Si laurier, thym et romarin peuvent être glissés dans la cocotte dès le début de la cuisson, ne pensez même pas à incorporer d’autres herbes aromatiques comme la coriandre, la ciboulette ou le basilic : «Dès 45 °C de cuisson,la moitié des arômes disparaît. Les herbes fraîches s’ajoutent à la dernière minute et ne doivent pas être cuites, si l’on veut bénéficier de leurs saveurs», nous apprend enfin Raphaël Haumont qui pourrait parler des heures durant de toutes les erreurs commises en cuisine depuis la nuit des temps. ******************************************************************************** Les erreurs à ne pas commettre en pâtisserie.
Vous ne respectez pas les dosages ? Arrêtez tout, vous faites partie des «serial killers» de la pâtisserie. Zoom sur ces erreurs que l’on a tous commises au moins une fois.
La pâtisserie c’est l’occasion de régaler ces proches en préparant un appétissant gâteau. Mais, pâtes trop cuites, flan tout plat et cookies trop durs gâchent ce moment si plaisant. Pour devenir une référence en matière de cakes, sablés et autres goûters gourmands délaissons-nous de ces fautes qui compromettent nos préparations. Nicolas Bernardé, Meilleur Ouvrier de France Pâtissier-Confiseur et fondateur d’une école de pâtisserie , nous relève les erreurs récurrentes qu’ils remarquentchez ses élèves (et qu’on a surement faite aussi). Employer des produits industriels. «L’une des plus grandes erreurs en pâtisserie est de ne pas employer les bonnes matières premières. La sélection des produits frais est l’une des étapes les plus importantes avant même de débuter la recette», conseille Nicolas Bernardé. De qualité supérieure, ces matières premières se révèlent plus goûtues et plus faciles à travailler. «Lorsque je réalise des cakes à la noisette, j'emploie des fruits du Piémont, ils sont plus parfumés. Un avantage si on veut régaler nos gourmets avec des saveurs puissantes en bouche», raconte-t-il. Utiliser les mêmes ustensiles qu’en cuisine. La pâtisserie est exigeante, mais si on l’aime, on répond à ses moindres désirs. On doit être attentif à toutes les étapes de la préparation, y compris la cuisson. On ne le sait pas toujours mais certaines plaques de cuisson ne sont pas adaptées à toutes les pâtes. Oublier les ustensiles vendus dans les grandes surfaces et direction les magasins spécialisés en pâtisserie. «Non seulement ces outils seront beaucoup plus adaptés à vos recettes mais vous serez en contact avec un professionnel qui vous aidera à améliorer celles-ci» encourage ce mordu de desserts sucrées. S’y prendre à la dernière minute. «Pâtisser c’est offrir de l’amour. On doit consacrer du temps à l’être aimé», plaisante-t-il. Prendre le temps de respecter chaque étape, voilà finalement la clef pour devenir un bon pâtissier. «Que ce soit pour les gâteaux, les tartes ou les biscuits, la préparation demande toujours entre 2 et 3jours de mise en place», complète le Meilleur Ouvrier de France. Pas la peine de rester 24h/24 en cuisine, il suffit de procéder étape par étape. Cela vaut également au moment de la cuisson. «Évitez au maximum d'ouvrir et de refermer la porte du four, vous altérez le processus en incorporant de l'air ambiant», alerte le chef. Laissons tranquillement la pâtisserie cuire au four en respectant le temps indiqué dans le recette. Outre une meilleure organisation, il en résultera des préparations de qualité supérieure. Suivre n’importe quelle recette. Arrêtons les recherches Google, avec pour objet «recette de sablés» et de cliquer sur le premier lien. Un seul mot d’ordre : la sélection. «Lire entièrement la recette avant de commencer toute préparation est primordial. Vérifiez que celle-ci soit complète, qu’elle précise la texture du beurre – doux, sec – ou le type de farine -T55, T80 – pour vous donner les meilleures chances de la réussir. N’hésitez pas non plusà vous plonger dans un livre, ils sont, de manière générale, plus précis», détaille l’expert. «On a tendance à rajouter de la farine lorsqu’une pâte colle trop au doigt, c’est une grave erreur. Pour des sablés par exemple, on prend soin d’employer du beurre sec qui n’apportepas beaucoup d’humidité » illustre le chaleureux pâtissier. Faire l’impasse sur les mesures. « 100 grammes de farine ? J’en ai que 90, ce n’est pas grave », avouons-le, nous avons tous dit cette phrase, un bol à la main, notre balance posée sur la table. Tous les pâtissiers le répètent, c’est un domaine où on ne doit pas faire l’impasse sur les mesures. «Précision, voilà notre mot d’ordre pour réaliser de délicieux gâteaux» encourage non sans enthousiasme Nicolas Bernardé. Plus d’erreurs admises désormaisen cuisine. Grâce aux conseils du chef, on espère transmettre autant de passion gourmande que lui à travers la confection de nos biscuits.
Meilleure salade d’épinards aux fraises. Portions 6 Préparation 15 minutes
Ingrédients Noix de pacanes confites 1 cuillère à soupe de beurre 1 cuillère à soupe de sucre brun clair 1/2 tasse de noix de pacanes Une pincée de sel
Ingrédients: Vinaigrette 2 cuillères à soupe de sucre granulé 1/4 tasse d’huile d’olive extra-légère 1/4 tasse de vinaigre de vin blanc 1 cuillère à soupe de moutarde de Dijon 2 gousses d’ail émincées 1/2 cuillère à café de sel 1/4 cuillère à café de poivre 1/4 cuillère à café de paprika
Ingrédients: Salade 200 grs d’épinards frais – rincé, séché et déchiré 1/4 petit oignon rouge tranché 1 quart de fraises fraiches, découpées et découpées 1/2 tasse de bleuets frais 1/2 avocat, coupé en morceaux Du fromage bleu Les noix de pacanes confites. Préparation. Placez une feuille de papier parchemin sur le plan de travail pour sécher les noix de pacanes. Dans une petite poêle à feu moyen, fondre le beurre. Ajouter les pacanes, le sucre et le sel. Remuer jusqu’à ce que les pacanes soient bien enduites. Remuer jusqu’à ce que le sucre se caramélise, environ 3-5 minutes. Étaler sur du papier parchemin. Séparerles pacanes. Laisser refroidir. Pendant ce temps: dans une pinte, les jarres de maçon combinent les ingrédients de la vinaigrette. Sceller et agiter jusqu’à ce qu’ils soient bien mélangés. Mettre de côté sur le plan de travail. Dans un grand bol,mélanger les épinards, les oignons, les fraises et les bleuets. Verser environ la moitié de la sauce sur la salade et mélanger. Garnir d’avocat, de fromage et de noix confites. Réfrigérer pendant 15 minutes avant de servir (ou servir immédiatement). Bon appétit!
Voici un petit vidéo pour vous aidez! Partagez cette recette avec vos amis!
Pour le baekaoffe: 600g d'épaule d'agneau désossée 600g d'échine de porc désossée 600g de boeuf à braiser (sans os) 2 pieds de porc blanchis 1,5kg de pommes de terre à chair ferme 4 gros oignons 2 poireaux 3 carottes 1 bouquet garni 30cl de vin blanc d'Alsace 100g de farine - sel - poivre
Pour la marinade: 1 oignon1 gousse d'ail 2 clous de girofle 1 feuille de laurier 1 brin de thym 1/2 bouquet de persil 50cl de vin blanc d'Alsace - sel - poivre
Coupez les viandes en morceaux de 80g environ. Fendez les pieds de porc en deux.
Placez le tout dans un plat creux avec un oignon émincé, la gousse d'ail écrasée, les clous de girofle, le laurier, le thym et le persil. Arrosez de vin blanc. Salez, poivrez. Mélangez bien et laissez mariner toute la nuit.
Le lendemain, pelez et émincez les quatre oignons. Rincez plusieurs fois les poireaux. Emincez-les. Détaillez pommes de terre et carottes pelées en rondelles.
Egouttez les viandes et éliminez les aromates.
Préchauffez le four à 180°.
Durant ce temps, dans une cocotte en terre, disposez par couches la moitié des oignons. Répartissez-y les viandes. Disposez les pieds de porc et le bouquet garni. Salez et poivrez. Recouvrez du reste des légumes en terminant par une couche de pommes de terre. Arrosez de vin blanc. Couvrez.
Mélangez la farine dans un bol avec assez d'eau froide pour obtenir une pâte un peu molle. Roulez-la en un boudin autour du couvercle. Appuyez pour fermer la cocotte hermétiquement. Enfournez.
Laissez cuire pendant 2h30. Retirez le bouquet garni et servez dans la cocotte.
- 4 morceaux de lapin. - De la farine. - De l’huile d’olive. - 1 carotte. - 2 échalotes. - 5 ml de concentré de tomates. - 125 ml de vin blanc sec. - 1 gousse d’ail hachée. - 800 g d’écrasé de tomates. - 250 g de fond de veau. - 1 zeste d’orange. - Du parmesan. - Du thym.
PRÉPARATION :
1. Nappez de farine vos morceaux de râbles de lapin, puis faites-les revenir dans une casserole avec de l’huile d’olive jusqu’à ce qu’ils soient dorés.
2. Retirez les râbles de lapin de votre casserole et faites cuire votre carotte coupée en dés avec les échalotes hachées. Versez le concentré de tomates et mélangez avant d’ajouter le vin blanc sec.
3. Replacez vos râbles de lapin dans votre mélange et ajoutez la gousse d’ail.
4. Enfin, versez l’écrasé de tomates et le fond de veau et incorporez le zeste d’orange. Portez le tout à ébullition, puis baissez la température, couvrez et laissez cuire 40 mn à feu doux.
5. Disposez votre plat sur l’assiette et saupoudrez de parmesan et de thym avant de servir.
ce plat raffiné et gourmand se mariera parfaitement avec de délicieuses pâtes fraîches ou un bon risotto.
Préparation : 25 minutes Cuisson : 2heures 15 minutes Peut servir : 4 personnes Difficulté : Facile Temps : Quelques heures Coût : Économique
Ingrédients :
4 rouelles de jarret de veau de 1 kg 2 c. à soupe d'huile d'olive (30 ml) 3 oz de vin blanc sec (100 ml) 1 oignon moyen haché 3 gousses d'ail écrasées 1 carotte moyenne hachée 1 côte de céleri hachée 2 tomates pelées, épépinées et concassées 1/2 c. à café de thym, (3 ml) 1/2 c. à café de sauge séchée ou 1/2 c. à café de basilic (3 ml) 2 pincées de poivre, 1 feuille de laurier 2 c. à soupe de persil haché (30 ml) 2 c. à café de zeste de citron râpé (10 ml) sel, poivre
Préparation :
Dans une grande sauteuse, faire chauffer 1 c. à soupe(15 ml) d'huile à feu vif lorsqu'elle est très chaude, y ajouter les rouelles de veau et les faire revenir 2 minutes de chaque côté. Les transférer dans un plat. Baisser le feu, ajouter la seconde cuillerée d'huile, l'oignon, la carotte, et la moitié de l'ail ; faire cuire à découvert pendant 5 minutes, ou jusqu'à ce que l'oignon soit fondu. Remettre le veau dans lasauteuse et mouiller avec le vin blanc ; laisser le liquide réduire de moitié. Ajouter la feuille de laurier, la pulpe de tomates, le thym, la sauge ou le basilic, le poivre ; saler modérément. Couvrir et laisser mijoter à feu doux pendant 2 heures jusqu'à ce que la viande devienne très tendre. Mélanger le persil, le zeste de citron et le reste de l'ail. Parsemer l'osso bucco de ce mélange avant de le servir. Accompagner de riz pilaf.
Par Marie-Alexandra Desfontaines
Préparation: 35 Min
Simple et économique, cette entrée met à l'honneur une des variétés de la pomme de terre de Noirmoutier. Un délice!
Les ingrédients (pour 6 personnes)
- 600 g de pommes de terre bonnotte
- 100 g de carottes
- 100 g de haricots verts
- 100 g de petits pois frais écossés
- 1 oignon
- 100 g poivrons rouges (facultatif)
- 1 c. à soupe d’huile d’olive
- 3 oeufs
- 20 cl de lait
- 4 à 5 brins de thym frais
- 1 c. à café de quatre épices
- Sel et poivre
- Plat à terrine de 500 ml
- Papier cuisson
La préparation
1) Rincez les pommes de terre, puis plongez-les 10 min dans une grande casserole d’eau bouillante salée.
Égouttez-les, retirez la peau et écrasez-les avec le dos d’une fourchette. Réservez.
2) Épluchez les carottes, puis plongez-les 20 min dans l’eau bouillante, retirez, égouttez, puis coupez-les en petites rondelles.
3) Plongez ensuite les haricots verts et les petits pois pendant 3 min dans l’eau bouillante. Rincez-les à l’eau glacée pour stopper la cuisson et garder leur couleur verte.
Égouttez-les, puis coupez les haricots verts en petits tronçons de 1 cm.
4) Dans une poêle, faites revenir à feu moyen l’oignon émincé et les poivrons taillés en dés avec un peu d’huile d’olive.
5) Dans un bol, fouettez les oeufs avec le lait, mélangez avec les pommes de terre écrasées, les légumes, salez, poivrez, ajoutez le thym et les épices.
6) Chemisez un plat à terrine de papier cuisson, versez votre mélange et laissez cuire pendant 1h au bain-marie à180 °C (th. 6).
Laissez refroidir avant de glisser le plat 3h au réfrigérateur.
Conseil: ajoutez des pignons de pin ou des amandes torréfiés pour rendre la texture légèrement plus croquante.
Un dessert fondant et irrésistiblement délicieux, cédez à la tentation dès maintenant !
Réalisez une recette simple et délicieusement fondante : les parfaits aux marrons ! Rien de mieux pour supporter le froid de l'hiver que ces petites douceurs à base de châtaignes... Rien que d'imaginer sa cuillèreplonger au cœur de ce dessert, on a envie de le préparer, non ?
Vous pouvez aussi mettre les coupes au congélateur et les servir glacées. Dans ce cas, sortez-les 1 h avant de les déguster.
PARFAITS AUX MARRONS
INGRÉDIENTS :
- 4 jaunes d'oeufs
- 100 g de sucre
- 20 cl de lait
- vermicelles au chocolat
- sucre glace
- 25 cl de crème liquide
- 250 g de crème de marron
- 1 expresso de nespresso kazaar ou darkan (25 ml)
- 4 feuilles de gélatine (8 g)
PRÉPARATION :
1. Faites ramollir la gélatine dans un bol d’eau froide.
2. Faites chauffer le lait avec la crème de marron, puis ajoutez le café.
3. Fouettez les jaunes avec 80g de sucre, versez le lait chaud dessus,
puis reversez le tout dans la casserole et faites cuire 4 mn en remuant.
4. Hors du feu, ajoutez la gélatine égouttée et laissez refroidir.
5. Fouettez la crème en chantilly en ajoutant à la fin les 20 g de sucre restants, et mélangez-la à la crème refroidie.
6. Versez dans des coupes et mettez au frais 4 h.
7. Décorez de vermicelles au chocolat et saupoudrez de sucre glace.
Photo © Thys-Supperdelux/ Sucré Salé
Facile
Préparation 10 min
Cuisson 15 min
Prix Bon marché
Ingrédients pour 4 personnes
• 8 endives
• 2 tomates
• 60 cl de bouillon de volaille
• 20 cl de crème liquide
• 1 cuil. à café de curry en poudre
• sel, poivre.
Etapes de préparation
1 Lavez les endives et les tomates. Enlevez le pédoncule des tomates et l'extrémité des endives.
2 Coupez-les grossièrement avant de les mettre dans une grande casserole.
3 Versez le bouillon et faites cuire à couvert 15 à 20 min.
4 Versez la crème, ajoutez le curry, du sel et du poivre puis mixez.
5 Servez bien chaud.
Astuces et conseils pour Soupe d'endives et tomates:
Hors saison, vous pouvez utiliser des tomates pelées en boîte.
Comment faire des crèmes brûlées ?
Découvrez cette recette facile de crème brûlée pour préparer un dessert gourmand.
Recette de crèmes brûlées (pour 4 personnes)
Préchauffez votre four à 100°C (212°F).Versez le lait et la crème dans une casserole.
Ajoutez-y la gousse de vanille et faites chauffer l’ensemble sur feu doux.
.Pendant ce temps, mélangez dans un récipient les jaunes d’œufs avec le sucre à l’aide du fouet
.Lorsque le lait est chaud, retirez la gousse de vanille.
Enlevez les grains de la gousse à l’aide d’un couteau et versez-les dans le lait chaud.
Incorporez le lait à la préparation oeufs-sucre tout en fouettant.
Versez la consistance dans chaque ramequin à l’aide d’une louche.
Faites cuire ces délicieuses crèmes brûlées dans un four à 100°C pendant 1 heure.
Placez vos crèmes brûlées pendant une nuit au réfrigérateur.
Le lendemain, saupoudrez vos crèmes avec le sucre roux et brûlez-les au chalumeau ou laissez-les dorer au four quelques minutes.
Ingrédients
4 jaunes d’œufs
250 ml de lait
250 ml de crème
100 g de sucre40 g de sucre roux
Une gousse de vanille
Équipement
Un cul de poule ou récipient
Un fouet
Une casserole
Des ramequins
Un chalumeau (facultatif)
MADELEINES.
3 oeufs
125grs de farine
125grs de sucre en poudre
60grs de beurre
1/2 paquet de levure alsacienne
1 pincée de sel.
Mélangez les jaunes d'oeufs avec le sucre, ajoutez le sel, le beurre fondu, la levure, la farine puis les blancs en neige.
Beurrez un moule à madeleine, le remplir à moitié et enfournez à four doux. Recommencez l'opération
jusqu'à ce que vous n'ayez plus de pâte.
Le filet d’huile dans l’eau des pâtes, les légumes verts plongés dans l’eau glacée ou la pincée de sel pour monter les blancs en neige… Tour d’horizon des erreurs culinaires les plus courantes avec le chimiste Raphaël Haumont.
Par quel miracle une mayonnaise monte-t-elle ? Comment des blancs d’œufs se transforment-ils en une mousse à la fois ferme et aérienne ?
Pour comprendre ces mystères culinaires et surtout progresser, c’est à la chimie qu’il faut s’intéresser. «Il faut aborder la cuisine avec une démarche scientifique : on se pose et on essaye de comprendre le phénomène avant de faire plusieurs tests», explique Raphaël Haumont, chimiste spécialisé dans la cuisine moléculaire, auteur et enseignant-chercheur à l'Université Paris 11 (Orsay).
Raphaël Haumont est le chimiste que l'on peut apercevoir dans l'émission «Les Carnets de Julie avec Thierry Marx», diffusée sur France 3.
«Il ne faut pas avoir peur de faire des erreurs, au contraire», poursuit celui que l’on peut apercevoir dans l’émission «Les carnets de Julie avec Thierry Marx» sur France 3. L’enjeu c’est de se mettre à réfléchir lorsque l’on passe derrière les fourneaux et de cesser de reproduire les vieilles traditions familiales ou, pire, les conseils extravagants dont les forums regorgent. Compilation des mythes culinaires les plus célèbres avec le scientifique qui clame haut et fort«arrêtons avec ces tours de main qui ne servent à rien !».
L’huile dans les pâtes.
Ils sont nombreux les apprentis-cuisiniers qui croient vous impressionner en versant le fameux filet d’huile d’olive dans l’eau des pâtes. Pourtant l’analyste du chimiste est sans appel : «Comme l’huile d’olive ne se mélange pas avec l’eau et qu’elle remonte à la surface, cela ne sert à rien strictement à rien». Pour ne pas coller, les pâtes doivent être cuites dans une très grande quantité d'eau (100 g de pâtes pour 1 litre). Et si on aime le goût de l’huile d’olive, on n’hésite pas à verser le précieux nectar une fois les pâtes égouttées. Basta.
Le vinaigre pour cuire les œufs durs.
Votre grand-mère vous a-t-elle déjà conseillé de cuire vos œufs durs avec un filet de vinaigre de vin et, mieux, une petite pincée de sel ? Oui, vous savez, pour éviter que l’œuf ne se fissure et pour éviter que le blanc ne coagule… «Cela n’a aucun effet, pire, le vinaigre fragilise la coquille de l’œuf et il a plus de chance d’éclater à la cuisson ». On cuit donc ses œufs dans l’eau à petit bouillon. C’est tout.
La mayonnaise battue « en 8 ».
Le secret de la mayonnaise enfin révélé.
Les astuces pour une mayonnaise inratable pullulent sur la Toile. Le conseil qui revient le plus souvent ? «Il faut battre ses œufs en dessinant un 8». Pour Raphaël Haumont, un 5, un 6ou un 7 feraient tout aussi bien l’affaire : «Il s’agit de verser l’huile très lentement et de mixer le plus vite possible – le batteur électrique est tout à faire recommandé. C’est ce qu’on appelle une émulsion : le tensioactif qui s’appelle lécithine permet de mélanger intimement l’huile et l’eau contenue dans le jaune d’œuf», explique le scientifique. Tout tient dans la rapidité du mouvement et non du mouvement lui-même. Autre idée reçue : la température des ingrédients n’a aucune influence. L’œuf peut bien sortir du frigo, la mayonnaise n’en sera pas moins réussie.
L’eau glacée pour fixer la couleur des légumes verts.
«Une fois les petits pois cuits, les plonger dans une eau glacée pour fixer la chlorophylle». Cette phrase, vous l’avez déjà lue mainte fois dans des recettes. Et pourtant, l’eau froide n’a absolument aucun effet sur la couleur de l’ingrédient. «Elle permet de stopper la cuisson, ni plus ni moins. Si l’on veut des légumes bien verts, on les cuit avec du bicarbonate (1/2 cuillère à café pour un litre d’eau) ou encore dans de l’eau gazeuse», conseille le chimiste.
Les blancs à température ambiante pour faire les macarons. S'agissant d'employer des blancs d'œufs vieillis pour réaliser des macarons ou une simple meringue, Raphaël Haumont n'est pas du tout d'accord avec Mercotte : «Des blancs d’œufs laissés à l’air libre ? C’est une catastrophe sanitaire !», s’indigne-t-il. «Un blanc qui sort du frigo moussera très bien», poursuit-il. L’astuce ? «Onajoute le sucre petit à petit, dès le début et on bat de façon constante». Les cuisiniers les plus équipés trouveront une occasion de ressortir leur siphon : «on met les blancs d’œufs et le sucre, on percute la cartouche de gaz et on secoue. On obtient ainsi la meringue idéale», détaille l’expert en chimie culinaire.
La viande cuite à feu moyen.
La cuisson de la viande est probablement la plus grande source de ratés en cuisine. S’il existe différentes astuces pour s’améliorer, Raphaël Haumont résume la situation de façon très claire : «On cuit la viande très rapidement ou bien on opte pour une cuisson lente». Point decuisson intermédiaire : «Il ne faut surtout pas la faire bouillir ; une viande cuit dès 55/56 °C. Passés les 100 °C, elle bout, perdant tout son goût et devenant caoutchouteuse», affirme le spécialiste. Qu’on la saisisse où qu’on la cuise longuement, il faut choisir son camp.
Les herbes aromatiques mijotées.
Si laurier, thym et romarin peuvent être glissés dans la cocotte dès le début de la cuisson, ne pensez même pas à incorporer d’autres herbes aromatiques comme la coriandre, la ciboulette ou le basilic : «Dès 45 °C de cuisson,la moitié des arômes disparaît. Les herbes fraîches s’ajoutent à la dernière minute et ne doivent pas être cuites, si l’on veut bénéficier de leurs saveurs», nous apprend enfin Raphaël Haumont qui pourrait parler des heures durant de toutes les erreurs commises en cuisine depuis la nuit des temps.
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Les erreurs à ne pas commettre en pâtisserie.
Vous ne respectez pas les dosages ? Arrêtez tout, vous faites partie des «serial killers» de la pâtisserie. Zoom sur ces erreurs que l’on a tous commises au moins une fois.
La pâtisserie c’est l’occasion de régaler ces proches en préparant un appétissant gâteau. Mais, pâtes trop cuites, flan tout plat et cookies trop durs gâchent ce moment si plaisant. Pour devenir une référence en matière de cakes, sablés et autres goûters gourmands délaissons-nous de ces fautes qui compromettent nos préparations.
Nicolas Bernardé, Meilleur Ouvrier de France Pâtissier-Confiseur et fondateur d’une école de pâtisserie , nous relève les erreurs récurrentes qu’ils remarquentchez ses élèves (et qu’on a surement faite aussi).
Employer des produits industriels.
«L’une des plus grandes erreurs en pâtisserie est de ne pas employer les bonnes matières premières. La sélection des produits frais est l’une des étapes les plus importantes avant même de débuter la recette», conseille Nicolas Bernardé. De qualité supérieure, ces matières premières se révèlent plus goûtues et plus faciles à travailler. «Lorsque je réalise des cakes à la noisette, j'emploie des fruits du Piémont, ils sont plus parfumés. Un avantage si on veut régaler nos gourmets avec des saveurs puissantes en bouche», raconte-t-il.
Utiliser les mêmes ustensiles qu’en cuisine.
La pâtisserie est exigeante, mais si on l’aime, on répond à ses moindres désirs. On doit être attentif à toutes les étapes de la préparation, y compris la cuisson. On ne le sait pas toujours mais certaines plaques de cuisson ne sont pas adaptées à toutes les pâtes. Oublier les ustensiles vendus dans les grandes surfaces et direction les magasins spécialisés en pâtisserie.
«Non seulement ces outils seront beaucoup plus adaptés à vos recettes mais vous serez en contact avec un professionnel qui vous aidera à améliorer celles-ci» encourage ce mordu de desserts sucrées.
S’y prendre à la dernière minute.
«Pâtisser c’est offrir de l’amour. On doit consacrer du temps à l’être aimé», plaisante-t-il. Prendre le temps de respecter chaque étape, voilà finalement la clef pour devenir un bon pâtissier. «Que ce soit pour les gâteaux, les tartes ou les biscuits, la préparation demande toujours entre 2 et 3jours de mise en place», complète le Meilleur Ouvrier de France. Pas la peine de rester 24h/24 en cuisine, il suffit de procéder étape par étape. Cela vaut également au moment de la cuisson. «Évitez au maximum d'ouvrir et de refermer la porte du four, vous altérez le processus en incorporant de l'air ambiant», alerte le chef. Laissons tranquillement la pâtisserie cuire au four en respectant le temps indiqué dans le recette. Outre une meilleure organisation, il en résultera des
préparations de qualité supérieure.
Suivre n’importe quelle recette.
Arrêtons les recherches Google, avec pour objet «recette de sablés» et de cliquer sur le premier lien. Un seul mot d’ordre : la sélection. «Lire entièrement la recette avant de commencer toute préparation est primordial. Vérifiez que celle-ci soit complète, qu’elle précise la texture du beurre – doux, sec – ou le type de farine -T55, T80 – pour vous donner les meilleures chances de la réussir. N’hésitez pas non plusà vous plonger dans un livre, ils sont, de manière générale, plus précis», détaille l’expert. «On a tendance à rajouter de la farine lorsqu’une pâte colle trop au doigt, c’est une grave erreur. Pour des sablés par exemple, on prend soin d’employer du beurre sec qui n’apportepas beaucoup d’humidité » illustre le chaleureux pâtissier.
Faire l’impasse sur les mesures.
« 100 grammes de farine ? J’en ai que 90, ce n’est pas grave », avouons-le, nous avons tous dit cette phrase, un bol à la main, notre balance posée sur la table. Tous les pâtissiers le répètent, c’est un domaine où on ne doit pas faire l’impasse sur les mesures. «Précision, voilà notre mot d’ordre pour réaliser de délicieux gâteaux» encourage non sans enthousiasme Nicolas Bernardé. Plus d’erreurs admises désormaisen cuisine. Grâce aux conseils du chef, on espère transmettre autant de passion gourmande que lui à travers la confection de nos biscuits.
Portions 6
Préparation 15 minutes
Ingrédients
Noix de pacanes confites
1 cuillère à soupe de beurre
1 cuillère à soupe de sucre brun clair
1/2 tasse de noix de pacanes
Une pincée de sel
Ingrédients:
Vinaigrette
2 cuillères à soupe de sucre granulé
1/4 tasse d’huile d’olive extra-légère
1/4 tasse de vinaigre de vin blanc
1 cuillère à soupe de moutarde de Dijon
2 gousses d’ail émincées
1/2 cuillère à café de sel
1/4 cuillère à café de poivre
1/4 cuillère à café de paprika
Ingrédients:
Salade
200 grs d’épinards frais – rincé, séché et déchiré
1/4 petit oignon rouge tranché
1 quart de fraises fraiches, découpées et découpées
1/2 tasse de bleuets frais
1/2 avocat, coupé en morceaux
Du fromage bleu
Les noix de pacanes confites.
Préparation.
Placez une feuille de papier parchemin sur le plan de travail pour sécher les noix de pacanes. Dans une petite poêle à feu moyen, fondre le beurre. Ajouter les pacanes, le sucre et le sel. Remuer jusqu’à ce que les pacanes soient bien enduites. Remuer jusqu’à ce que le sucre se caramélise, environ 3-5 minutes. Étaler sur du papier parchemin. Séparerles pacanes. Laisser refroidir.
Pendant ce temps: dans une pinte, les jarres de maçon combinent les ingrédients de la vinaigrette. Sceller et agiter jusqu’à ce qu’ils
soient bien mélangés. Mettre de côté sur le plan de travail.
Dans un grand bol,mélanger les épinards, les oignons, les fraises et les bleuets. Verser environ la moitié de la sauce sur la salade et mélanger. Garnir d’avocat, de fromage et de noix confites.
Réfrigérer pendant 15 minutes avant de servir (ou servir immédiatement).
Bon appétit!
Voici un petit vidéo pour vous aidez! Partagez cette recette avec vos amis!
BAEKAOFFE
Pour 6 personnes:
Pour le baekaoffe:
600g d'épaule d'agneau désossée
600g d'échine de porc désossée
600g de boeuf à braiser (sans os)
2 pieds de porc blanchis
1,5kg de pommes de terre à chair ferme
4 gros oignons
2 poireaux
3 carottes
1 bouquet garni
30cl de vin blanc d'Alsace
100g de farine - sel - poivre
Pour la marinade:
1 oignon1 gousse d'ail
2 clous de girofle
1 feuille de laurier
1 brin de thym
1/2 bouquet de persil
50cl de vin blanc d'Alsace - sel - poivre
Coupez les viandes en morceaux de 80g environ. Fendez les pieds de porc en deux.
Placez le tout dans un plat creux avec un oignon émincé, la gousse d'ail écrasée, les clous de girofle, le laurier, le thym et le persil.
Arrosez de vin blanc. Salez, poivrez. Mélangez bien et laissez mariner toute la nuit.
Le lendemain, pelez et émincez les quatre oignons. Rincez plusieurs fois les poireaux. Emincez-les. Détaillez
pommes de terre et carottes pelées en rondelles.
Egouttez les viandes et éliminez les aromates.
Préchauffez le four à 180°.
Durant ce temps, dans une cocotte en terre, disposez par couches la moitié des oignons. Répartissez-y les viandes. Disposez les pieds de porc et le bouquet garni. Salez et poivrez. Recouvrez du reste des légumes en terminant par une couche de pommes de terre. Arrosez de vin blanc. Couvrez.
Mélangez la farine dans un bol avec assez d'eau froide pour obtenir une pâte un peu molle. Roulez-la en un boudin autour
du couvercle. Appuyez pour fermer la cocotte hermétiquement. Enfournez.
Laissez cuire pendant 2h30. Retirez le bouquet garni et servez dans la cocotte.
Difficulté : Facile Temps : Rapide Coût :
INGRÉDIENTS :
- 4 morceaux de lapin.
- De la farine.
- De l’huile d’olive.
- 1 carotte.
- 2 échalotes.
- 5 ml de concentré de tomates.
- 125 ml de vin blanc sec.
- 1 gousse d’ail hachée.
- 800 g d’écrasé de tomates.
- 250 g de fond de veau.
- 1 zeste d’orange.
- Du parmesan.
- Du thym.
PRÉPARATION :
1. Nappez de farine vos morceaux de râbles de lapin, puis faites-les revenir dans une casserole avec de l’huile d’olive jusqu’à ce qu’ils soient dorés.
2. Retirez les râbles de lapin de votre casserole et faites cuire votre carotte coupée en dés avec les échalotes hachées. Versez le concentré de tomates et mélangez avant d’ajouter le vin blanc sec.
3. Replacez vos râbles de lapin dans votre mélange et ajoutez la gousse d’ail.
4. Enfin, versez l’écrasé de tomates et le fond de veau et incorporez le zeste d’orange. Portez le tout à ébullition, puis baissez la température, couvrez et laissez cuire 40 mn à feu doux.
5. Disposez votre plat sur l’assiette et saupoudrez de parmesan et de thym avant de servir.
ce plat raffiné et gourmand se mariera parfaitement avec de délicieuses pâtes fraîches ou un bon risotto.
BON APPÉTIT !
Préparation : 25 minutes
Cuisson : 2heures 15 minutes
Peut servir : 4 personnes
Difficulté : Facile Temps : Quelques heures Coût : Économique
Ingrédients :
4 rouelles de jarret de veau de 1 kg
2 c. à soupe d'huile d'olive (30 ml)
3 oz de vin blanc sec (100 ml)
1 oignon moyen haché
3 gousses d'ail écrasées
1 carotte moyenne hachée
1 côte de céleri hachée
2 tomates pelées, épépinées et concassées
1/2 c. à café de thym, (3 ml)
1/2 c. à café de sauge séchée ou 1/2 c. à café de basilic (3 ml)
2 pincées de poivre,
1 feuille de laurier
2 c. à soupe de persil haché (30 ml)
2 c. à café de zeste de citron râpé (10 ml)
sel, poivre
Préparation :
Dans une grande sauteuse, faire chauffer 1 c. à soupe(15 ml) d'huile à feu vif lorsqu'elle est très chaude, y ajouter les rouelles de veau et les faire revenir 2 minutes de chaque côté. Les transférer dans un plat.
Baisser le feu, ajouter la seconde cuillerée d'huile, l'oignon, la carotte, et la moitié de l'ail ; faire cuire à découvert pendant 5 minutes, ou jusqu'à ce que l'oignon soit fondu.
Remettre le veau dans lasauteuse et mouiller avec le vin blanc ; laisser le liquide réduire de moitié. Ajouter la feuille de laurier, la pulpe de tomates, le thym, la sauge ou le basilic, le poivre ; saler modérément. Couvrir et laisser mijoter à feu doux pendant 2 heures jusqu'à ce que la viande devienne très tendre.
Mélanger le persil, le zeste de citron et le reste de l'ail. Parsemer l'osso bucco de ce mélange avant de le servir.
Accompagner de riz pilaf.