La peur des araignées, une attitude bien injuste... et bien inutile.
Cet insecticide bio détruit les insectes jusque dans le jardin et, dans la maison, investit tous les recoins pour une efficacité maximale. Sans recourir à l'industrie chimique, il existe depuis des centaines de millions d'années. Alors pourquoi tant de haine contre les araignées ? Et pour les garder chez vous, attention, elles n'aiment guère la poussière. Intéressé par ce que vous venez de lire ? Elles ont huit pattes et pas de tête : les araignées ne sont pas des insectes, qui en ont respectivement six et une. Leurs yeux ne sont pas à facettes mais la plupart des araignées en portent souvent quatre paires. Et contrairement aux insectes, elles muent régulièrement, à la manière d'autres arthropodes, comme les crevettes, les homards ou les crabes. Les insectes, d'ailleurs, elles les mangent. Leur piège en forme de toile gluante est connu de tous les humains, fascinés par les qualités techniques de ces fils qui inspirent aujourd'hui les biotechnologies. L'araignée est d'ailleurs capable d'en produire de diverses sortes, selon qu'il faut créer l'armature de la toile ou ses fibres collantes, ou encore un câble qui servira de corde de rappel à cette alpiniste hors pair. Certaines, même, se servent d'une longue et souple drisse légère pour se laisser emporter par le vent. Les araignées, discrètes mais robustes. Il existe aussi des chasseuses, ignorant les pièges et préférant sauter sur leurs proies, achevées à coups de chélicères, ces redoutables pinces qu'arborent aussi ses cousins les scorpions (arachnides et chélicérates comme elles). Il y a plus de 400 millions d'années, ces armes semaient sans doute la terreur chez les premiers animaux des terres émergées. Car les chélicérates étaient déjà là, et ont résisté depuis à toutes les extinctions de masse. Aujourd'hui, beaucoup d'humains en ont une peur irraisonnée, une phobie venue du fond des âges ou de notre cerveau, on ne sait. Peut-être à cause du venin de certaines d'entre elles qui, dans notre mémoire d'animal des forêts, les rapproche des serpents ? Pourtant, à la campagne, en ville ou dans nos maisons, l'araignée, proprette et discrète, véhicule bien moins de maladies que les insectes ou les rats. Puisse cette vidéo les rendre un peu plus sympathiques.
Ce commentaire a été modifié le 14/04/2019 à 09:24
Produits nettoyants : conseils pour limiter les effets toxiques. (ADEME) L’ADEME, l’INERIS et le CSTB (1) ont évalué les risques sanitaires liés à l’utilisation d’une dizaine de nettoyants multi-usages, produits pour l’entretien du sol et nettoyants pour les vitres, manufacturés et « faits maison » (avec du bicarbonate ou du vinaigre blanc), dans une maison expérimentale. De son côté, le magazine 60 Millions de consommateurs a publié un hors-série, mai-juin 2019, intitulé « Maison saine : nettoyer sans polluer ». LesLesrésultats Les résultats« suggèrent que les risques attribuables aux produits manufacturés ou “faits maison” testés peuvent être considérés comme faibles et les expositions domestiques les plus courantes comme non préoccupantes », conclut l'étude.
« Les produits industriels testés génèrent des expositions significativement plus fortes que les produits “faits maison” à certains composés organiques volatils, comme le formaldéhyde, l’acétaldéhyde, l’acétonitrile, l’acétone et l’isopropanol.En revanche, les produits “faits maison” génèrent des expositions significativement plus fortes pour le limonène (composé présent dans de nombreuses huiles essentielles, ajouté dans de nombreux produits pour son odeur d’agrume) et en acide acétique (acide présent dans le vinaigre). Par ailleurs, la présence d’huiles essentielles dans les produits “faits maison” contribue à augmenter assez fortement les émissions de substances à risques sanitaires potentiels. Néanmoins, globalement, les produits “faits maison” émettent des quantités plus faibles de composés volatils que les produits manufacturés. Il convient toutefois de limiter l’ajout d’huilesessentielles au strict nécessaire. »
Des étiquettes peu claires. « Concernant les données de composition présentes sur les étiquettes des produits manufacturés, les indications fournies par les fabricants sont relativement parcellaires et regroupées autour de termesgénériques tels que “parfums”, “biocides” ou “agents de surface”… ceci ne permet pas de connaitre les composants de manière précise ni de prévoir les émissions volatiles résultantes de l’utilisation des produits. » Les bonnes pratiques à adopter. « A ce jour, pour plus de la moitié des substances émises par les produits testés, il n’existe pas de données sanitaires permettant de mesurer leur toxicité. Aussi dans une logique de prudence,une diminution des expositions est préconisée, en particulier pour les personnes les plus sensibles : femmes enceintes, enfants, personnes souffrant de troubles respiratoires. » Certaines bonnes pratiques permettent d’atténuer les risques sanitaires :
Respecter les recommandations d’utilisation données par le fabricant. Aérer les pièces au moins 10 minutes pendant et après le nettoyage, en été comme en hiver ; Rincer les surfaces nettoyées ;Préférer des produits non parfumés ; Réduire le nombre de produits utilisés simultanément ; Proportionner le niveau d’utilisation aux besoins réels ; Limiter la présence de personnes dans les pièces en cours de nettoyage, et en particulier des personnes sensibles ; Utiliser, dans la mesure du possible, des moyens de nettoyage n’émettant pas de substances toxiques comme le nettoyage vapeur, les chiffons en microfibres ou humides. Afin de minimiser les expositions aux substances de synthèse dont les effets peuvent être mal connus, il est recommandé aux personnes qui fabriquent leurs produits ménagers de limiter le nombre d’ingrédients et les quantités d’huiles essentielles. En effet, une odeur agréable ne signifie pas nécessairement qu’un produit est sain et/ou efficace.
LES RISQUES AVEC LES NOUVELLES CIGARETTES.. Trois cigarettes électroniques différentes. « Les dispositifs de vapotage se présentent sous des formes élégantes rappelant des produits de haute technologie qui séduisent les jeunes grâce à leur aspect novateur, cool et inoffensif. Les produits devapotage sont offerts dans toute une variété de saveurs alléchantes, dont la plupart contiennent de la nicotine. »
« Mais le plus préoccupant, ce sont les nouveaux types de produits de vapotage que l'on trouve sur le marché, comme les dosettes et les sels, dont la teneur en nicotine est très élevée. Une seule dosette peut exposer son utilisateur à la même quantité de nicotine qu'un paquet de cigarettes. La nicotine crée une très forte dépendance et peut avoir de graves conséquences pour le cerveau. Non seulement elle nuit à la mémoire et à la concentration de tous, mais elle influe sur le développement du cerveau des adolescents et des jeunes adultes. Elle modifie les parties du cerveau qui contrôlent l'attention, l'apprentissage, l'humeur et les impulsions. Une exposition à la nicotine à l'adolescence peut augmenter la gravité de la dépendance future à la nicotine et au tabac. Nous devons intervenir maintenant pour protéger nos enfants des méfaits associés au vapotage. »
Ce commentaire a été modifié le 13/04/2019 à 08:52
La Géobiologie : un facteur important dans la santé de chacun !
Eva Dolezel Votre lit est-il placé au bon endroit ? La géobiologie étudie les influences de la Terre et de l’environnement sur tout ce qui vit : les humains, les animaux, les plantes… et pour nous, êtres humains, le « lieu de vie » est précisément au centre de cette préoccupation. En effet, chaque mètre carré de notre planète peut potentiellement être source de nocivitéprovenant d’ondes diverses, d’origines naturelles ou artificielles. Resterdurablement sur ces emplacements, en s’y asseyant pendant de longues heures par exemple, ou pire, en y dormant, peut se révéler fortement délétère pour la santé. La science et la médecine ont d’ailleurs confirmé, avec l’épigénétique, que l’environnement possédait une réelle influence sur nos gènes. Il était donc primordial de remettre les « lieux de vie » au centre de la santé globale. Et c’estjustement grâce à la géobiologie que chacun de nous peut consciemment diminuer son exposition à ces dangers, non seulement en repérant les emplacements nocifsafin de les éviter, mais également en localisant les emplacements favorables pour s’y ressourcer.
Géobiologie : les Anciens savaient. Au Vᵉ siècle av. J.-C., Hippocrate, père de la médecine moderne, donnait une place importante à l’alimentation, mais dans son « Traité des airs, des eaux et des lieux », il accordait une place tout aussi importante à l’influence du lieu sur la santé des êtres vivants. La sagesse ancienne considérait donc déjà la nature du sous-sol comme faisant partie intégrante des principes de santé et comme condition préalable pour la guérison. De même, les Anciens tenaient évidemment compte de ces influences lors de leurs constructions car ils en connaissaient l’importance ; les édifices d’envergure ont d’ailleurs été bâtis surces principes ! La nature et les animaux savent. Les animaux, généralement plus instinctifs que nous, ne se placeront jamais d’eux-mêmes sur des zonesnéfastes pour leur santé. Ce n’est qu’au contact de l’homme que certains d’entre eux tombent dans la « non-santé »,notamment parce que c’est l’humain qui définit leur emplacement de sommeil ou de repos. Ces endroits sont généralement attribués de façon arbitraire, sans tenir compte des influences du sous-sol, et uniquement selon des critères de commodité, comme par exemple, l’emplacement de la couche du chien,de la cage des petits animaux de compagnie, du box du cheval ou de la ruche pour les abeilles. Ainsi, certaines pathologies peuvent survenir suite au choix d’un emplacement inadéquat pour l’animal ; elles sont en fait directement liées à ces ondes qui agressent leur corps. Il en va de même pour la nature ou un jardin. Un arbre ornemental ou fruitier ou une plante d’appartement mal situés ne seront jamaisverdoyants ou vraiment prospères et productifs, de manière naturelle… De quelles ondes parle-t-on ? Généralement, les ondes nocives sont classées en deux catégories :Les ondes telluriques, généralement d’origines naturelles, provenant de la Terre.Les ondes électromagnétiques artificielles créées par l’homme.D’autres sources actives existent et peuvent être vécues de façon désagréable, comme par exemple la mémoire des lieux ou la mémoire des murs, mais ce sujet ne sera pas abordédans cet article. Les ondes telluriques en géobiologie. Ces ondes sont dites « telluriques », car elles proviennent de la Terre. Partant du sous-sol, parfois même de ses tréfonds, elles s’élèvent vers le ciel. Se trouver à l’aplomb ou à la verticale de ces ondes, et y stationner durablement, est nocif pour l’humain, tout comme pour la plupart des êtres vivants. Or, notre mode de vie, plus sédentaire qu’autrefois, nous amène justement à rester plus longtemps aux mêmes endroits, qu’il s’agisse d’habitat ou de lieu de travail. Ainsi, un lit, un canapé ou un bureau mal placé impliquera des heures de nuisances rayonnant sur notre corps, tout au long d’une journée, d’une année, voire même d’une vie…Quelques exemples de phénomènes qui génèrent des ondes telluriques :Circulations d’eau souterraines : l’eau crée une friction avec les parois et la différence de potentiel électrique qui en résulte « stresse » les cellules.Failles ou discontinuités de terrain : elles génèrent à la surface une libération plus importante de rayonnement gamma.Réseaux qui quadrillent la Terre (comme le réseau Hartmann, le réseau Curry, etc.) : sur l’intersection de ces réseaux les zones sont troublées et perturbent les êtres vivants àleur verticale. Voici, par exemple, l’impact qu’a eu une circulation d’eau souterraine sur un arbre qui a poussé à sa verticale : il a dû se séparer en deux pour s’en protéger et tenter de lui échapper ! Un humain ne peut pas se « séparer ». En revanche, il pourrait s’écarter d’un tel endroit ; mais sans avoir conscience de cette influence, avec par exemple son lit à l’aplomb de la circulation d’eau souterraine, il subirait en permanence l’agression de ces ondes provenant du sous-sol jusqu’à, potentiellement, entamer sa santé. Et habiter au dixième étage d’un immeuble n’y changerait rien car ces ondes sont actives à tous les étages ! …. Mais ce n’est pas tout ! Lesondes électromagnétiques. À ces ondes telluriques naturelles s’ajoutent lesondes électromagnétiques artificielles créées par l’homme, dans notre monde actuel où tout est « connecté », et paradoxalement souvent dé-connecté de la relation à la Nature, à la Terre et aux Sagesses anciennes ! L’impact des ondes est connu depuis longtemps mais peine à être reconnu, exposé et diffusé au grand jour. Les différentes ondes, de natures différentes, ne font malheureusement pas que de s’additionner, mais elles se cumulent entre elles de manière exponentielle. De nombreuses études scientifiques récentes ont démontré que les champs électromagnétiques affectent les organismes vivants, et ce,à des niveaux d’exposition bien en-dessous des valeurs limites internationales ;malheureusement, les gouvernements et organismes mondiaux tardent à mettre en place les législations qui pourraient protéger les êtres vivants. Pourtant, le principe de précaution en la matière devrait s’appliquer pour ne pas épuiser le « capital-ondes »de tous. Il est en effet important d’éviter de créer le basculement dans des états de mal-être, de symptômes chroniques, et éventuellement d’électro-hypersensibilité ou d’autres pathologies souvent lourdes. Il s’avère donc urgent de prendre conscience de ce « cocktail d’agressions » contre lequel notre corps se bat sans cesse et qui diminue sa résistance, petit à petit ; en prendre conscience, c’est le démarreur qui permet de passer à l’action en diminuant notre exposition aux nocivités de toutes sortes … pour éviter de basculer au-delà de son seuil de tolérance, et ne pas épuiser notre « capital-santé » avant l’heure ! Ces sages réflexes sont d’autant plus pertinents et à considérer de manière sérieuse pour les foetus, les bébés et les enfants qui sont en plein développement donc beaucoup plus fragiles, plus perméables à l’extérieur, et notamment aux ondes. LaGéobiologie, pour qui ? … et pourquoi ? Pour tous les êtres vivants !… qu’il vole, qu’il rampe, qu’il pousse en terre, marche à 2 pattes, à 4 pattesou à plus… et sans modération !Pour tous ceux qui souhaitent vivre dans un habitat sain et préserver leur santé.Nous avons donc tous une responsabilité dans le choix de l’endroit que nous attribuons à notre compagnon à 2 ou 4 pattes, à nos plantes, maiségalement dans le choix de l’emplacement de notre propre lit ! En effet, le corps, durant sa phase de sommeil est sensé se régénérer et seréparer. Comment peut-il le faire de manière correcte et efficace si laplus grande partie de son énergie est employée à lutter contre les agressions telluriques et électromagnétiques ? Géobiologie dans votre quotidien : à l’action ! À ce jour, comme il n’existe pas d’appareils de détection concernant les ondes telluriques ; la technique de la détection sensible, employée depuis la nuit des temps, est celle qui permet la localisation des nocivités. Vous trouverez des exercices pratiques pour apprendre les bases et réussir les détections par vous-même,dans le manuel pratique : CLIC.....LA GÉOBIOLOGIE PAR SOI-MÊME, C’EST PARTI ! Eva Dolezel, éd. Jouvence, octobre 2018 … également des conseils, trucs et astuces faciles à mettre en oeuvre pour diminuer votreexposition aux champs électromagnétiques ! Pour terminer et étendre votre action à une santé globale, le PRINCIPE DES 10 HYGIÈNES vous accompagnera dans un survol d’attitudes de bien-être et mises en garde par rapport à d’autres substances potentiellement néfastes pour la santé, comme celles retrouvées dans les produits de nettoyage, les cosmétiques, les parfums d’ambiance, les COV, etc. Quelle sera la qualité de votre sommeil en dormant parmi ces 17 différentes nocivités pouvant être recensées dans une chambre à coucher ? Les chiffres représentent chacun une nocivité potentielle dans la chambre à coucher ; certaines se juxtaposent et d’autres se superposent… Source: La Géobiologie par soi-même, c’est parti ! Eva Dolezel, éd. Jouvence,octobre 2019 Epilogue: Métier du passé, métiers pour notre Avenir… et notre Santé future ! En résumé, par l’influence de la Terre et de l’environnement, tout le monde est concerné : alors à nous de jouer pour diminuer l’exposition du plus grand nombre ! Aujourd’hui, encore trop peu de métiers de la santé (médecins, thérapeutes,…) ou métiers de la construction et du bâtiment (architectes, constructeurs, …) prennent en compte ces influences telluriques et électromagnétiques potentiellement dommageables pour la santé et c’est bien dommage …mais l’appel est lancé ! … qui s’annonce partant ?
Le jeûne intermittent, idéal pour purifier son organisme.
Que vous soyez coutumier des excès ou pas, le jeûne intermittent permet de nettoyer le foie, purifier et détoxiner l’organisme en profondeur. Comment vous y mettre ? On vous explique les bienfaits et les clés d’un jeûne intermittent réussi.
Jeûne intermittent, mais qu’est-ce que c’est que ce concept étrange ? Peut-on jeûner sans jeûner ? Oui, et non. Le principe du jeûne intermittent est simple : permettre à l’organisme de profiter des bienfaits du jeûne, en instaurant de longues tranches horaires où l’on ne mange rien afin de laisser notre système digestif se purger et l’organisme se décrasser. Pourquoi ça fait du bien ? Comment faire concrètement ? Vous allez voir, c’est assez simple et surtout, tout bénef. Les bienfaits du jeûne pour détoxiner. Avis à ceux qui pensent que le jeûne est une toquade dans l’air du temps, sachez qu’Hippocrate (460-375 av. J.-C.) himself* aurait déclaré « il faut […] soigner ses petits maux par le jeûne plutôt qu’en ayant recours aux médicaments ». À l’époque déjà, on avait compris que jeûner a de multiples effets positifs sur l’organisme. Manger à intervalles rapprochés fatigue le corps, qui consacre une énergie importante à la digestion des aliments. Le repos imposé au système digestif lui permet de se reposer et se régénérer, et restaure l’équilibre général du corps, favorisant ainsi l’auto-guérison. Le foie en profite pour se purger en profondeur et éliminer toutes les toxines qui l’encrassent. Le jeûne enclenche aussi des mécanismes d’autophagie, c’est-à-dire de « cannibalisme cellulaire », en détruisant en priorité les cellules défectueuses, malades ou vieillissantes pour continuer à produire l’énergie nécessaire au fonctionnement du corps. Le japonais Yoshinori Ohsumi a d’ailleurs reçu en 2016 le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur le sujet, car l’explication des mécanismes de l’autophagie ouvre de phénoménales perspectives dans la prévention des maladies dégénératives (Alzheimer, Parkinson et autres…), du diabète de type 2, et dans le ralentissement du vieillissement de l’organisme. Le principe du jeûne intermittent. On pense souvent que jeûner implique de ne pas manger pendant plusieurs jours, mais ce genre de cure n’est pas facile à combiner avec une vie professionnelle, familiale et sociale et nécessite d’être encadrée pour ne pas dépasser la limite des privations que le corps peut supporter sans souffrir. Le jeûne intermittent consiste tout simplement à jeûner un peu chaque jour, en espaçant de 15 heures deux de ses repas. Par exemple, si vous dînez à 20h, vous ne mangerez plus rien avant midi le lendemain. Si vous êtes un inconditionnel du petit déjeuner que vous prenez à 8h, vous attendrez 23h pour prendre votre deuxième repas (pas hyper pratique, on vous l’accorde). Vous pouvez réduire à 12 heures cette amplitude, mais pas moins, sinon vous perdrez les effets bénéfiques. La plupart des adeptes du jeûne intermittent préfèrent éliminer le petit déjeuner, dont la disparition impacte moins leur vie sociale et professionnelle que le dîner ou déjeuner. Comment démarrer son jeûne intermittent ? Pour réussir votre jeûne intermittent, choisissez les horaires qui correspondent le mieux à vos contraintes personnelles. Ensuite, consacrez un jour par semaine à ce jeûne, et attendez de vous sentir bien avant de passer progressivement à deux, puis trois, puis quatre… Jusqu’à réussir, idéalement, à transformer vos habitudes alimentaires en faisant du jeûne intermittent votre routine quotidienne. Si en semaine c’est vraiment compliqué, utilisez les week-ends ou vacances pour jeûner. Ne vous laissez pas décourager par les gargouillis de votre ventre : il ne vous réclame pas de nourriture, il est tout simplement en train de profiter du vide pour passer l’aspirateur et ça fait un peu debruit. Faut-il modifier son alimentation quand on pratique un jeûne intermittent ?. Veillez à boire beaucoup d’eau (pure ou en infusion) afin d’éviter la déshydratation, mais pas de laits, de jus de fruits ou autres boissons sucrées. Évitez les aliments trop gras lorsque vous brisez le jeûne, histoire de ne pas surcharger d’emblée votre système digestif. Attention, ce n’est pas parce que vous supprimez les tartines au petit déjeuner que vous pourrez manger davantage de frites. Conservez – ou instaurez – une alimentation équilibrée sur l’ensemble de la journée, qui vous apporte suffisamment de nutriments essentiels dans les repas qui vous restent, en respectant les proportions de lipides / glucides / protéines recommandées par les nutritionnistes. Ce qui change grâce au jeûne intermittent. Vous serez surpris de constater les nombreux effets visibles du jeûne intermittent. Une fois votre rythme de croisière trouvé, la sensation de faim disparaît dans la période horaire que vous vous êtes fixé. Vous perdez un peu de poids (pas 10 kilos, ne rêvez pas), vous sentez plus en forme, moins fatigué, la peau est plus nette, les cheveux plus brillants… en résumé, vous avez tout à y gagner à essayer !
90% des produits alimentaires que l'on trouve sont bourrés d'ingrédients transformés, sans valeur nutritive. La réalité est que ces ingrédients nous tuent progressivement,une bouchée après l'autre. Donc il faut choisir quoi acheter et manger. Je vous citerai les ingrédients associés dans notre alimentation :il faut observer sérieusement la composition de nos aliments achetés,même avec une loupe s'il le faut, car parfois,ils mettent de très petits caractères ... 1) Le benzoate de sodium. Le benzoate de sodium est un additif alimentaire fréquemment utilisé pour empêcher la formation de moisissure dans les aliments. Mais quand il est utilisé avec de la vitamine C ou de la vitamine E, le benzoate de sodium produit du benzène — un composé organique cancérigène. De plus, le benzoate de sodium agit sur les mitochondries (les génératrices d'énergie de nos cellules), les privant d'oxygène. Il est aussi associé à un risque élevé du trouble du déficit de l'attention chez les enfants. Le benzoate de sodium est utilisé comme additif sous le nom E211. On en trouve dans les jus de fruit,les cornichons,les vinaigrettes commerciales et les condiments (extraits aromatiques, moutarde, etc.). 2)Le BHA (hydroxyanisole butylé) et le BHT (hydroxytoluène butylé). Ce sont les antioxydants synthétiques les plus utilisés dans l'industrie alimentaire. On les utilise pour empêcher l'oxydation deshuiles et des graisses. Les BHA / BHT sont soupçonnés d'être allergèneset cancérigènes. Pourtant, il existe une alternative naturelle au BHA /BTH : la vitamine E. D'ailleurs, la plupart des produits des magasins bio ont recours à la vitamine E pour remplacer le BHA / BHT. Quels sont les aliments à éviter ? Le BHA est utilisé comme additif sous le nom E320 et le BHT sous le nom E321. Ils sont utilisés dans les chips, les céréales transformées, le saindoux, le beurre, les conserves de viande, la bière, les biscuits et le chewing-gum. 3) Le GMS (glutamate monosodique) Le GMS est un additif alimentaire populaire. Il agit directement sur l'hypothalamus, la région du cerveau qui régule notre appétit. Le GMS génère une résistance à la leptine, « l'hormone de la satiété ». En d'autres mots, le GMS élimine la sensation que l'on ressent lorsque l'on n'a plus faim. Cela explique pourquoi tant de personnes sont accros aux chips ! Le GMS est une excitotoxine. Cela signifie qu'il provoque une surproduction d'hormones. Notamment, il provoque une surproduction dedopamine. Par conséquent, cela crée une euphorie comparable à celle d'une prise de la drogue ! Le GMS est aussi associé à l'inflammation du foie et à la dysplasie. Quels sont les aliments à éviter ? Le GMS est utilisé comme additif alimentaire sous le nom E621.On en trouve dans les soupes en conserve, la restauration rapide, les chips, la restauration chinoise, les sauces en conserve et les vinaigrettes commerciale 4) Les édulcorants. Les édulcorants de synthèse remplacent le sucre. Une étude révèle que les édulcorants de synthèse agissent sur les bactéries qui se trouvent naturellement dans notre appareil digestif. Plus spécifiquement, les édulcorants stimulent les bactéries nocives qui augmentent le risque de diabète et d'obésité. Une étude révèle que le risque de décès suite à une maladie cardio-vasculaire augmente de 50% chez les femmes qui consomment 2 boissons édulcorées par jour. Quels sont les aliments à éviter ? Les édulcorants de synthèse sont utilisés pour donner une saveur sucrée aux denrées alimentaires. On en trouve dans les sodas, les yaourts allégés, les jus de fruits, le chewing-gum et les bonbons. Voici quelques édulcorants de synthèse populaires ainsi que leur code d'additif alimentaire pour les retrouver facilement dans la liste d'ingrédients : acésulfame potassium (E950), aspartame (E951), saccharine (E954) et sucralose (E955). 5) Le bromate de potassium. Le bromate de potassium est utilisé comme additif alimentaire pour blanchir la pâte à pain et la rendre plus ferme. Le potassium de bromate est cancérigène. Il est connu pour provoquer le cancer des reins et de la thyroïde. En principe, il est complètement détruit lors de la cuisson. Néanmoins, on peut encore trouver des oligo-éléments dans les produits de pâtisserie industrielle. Quels sont les aliments à éviter ? Le bromate de potassium est utilisé sous le nom E924. Heureusement, son utilisation comme additif alimentaire a été interdite en Union européenne, au Canada, au Brésil et en Chine. Mais pas aux États-Unis — à retenir si vous y voyagez ! On en trouve dans les sandwichs de restauration rapide, les pizzas surgelées et les produits de pâtisserie industrielle 6) Acrylamide. L'acrylamide est un produit de synthèse toxique. Elle apparaît « spontanément » lors de la cuisson de certains aliments à plus de 120 °C. C'est une molécule hautement cancérigène. Quels sont les aliments à éviter ? Les aliments chauffés à plus de 120 °C, comme les chips, les frites, le café et les amandes grillées. Pour info, la fumée de cigarette contient aussi de l'acrylamide. 7) Le nitrite de sodium. Le nitrite de sodium est un additif alimentaire. On l'utilise en tant qu'agent conservateur. On l'utilise aussi pour « fixer » les couleurs des aliments transformés à base de viande. Le nitrite de sodium est soupçonné d'être cancérigène. Il est associé à un risque élevé de cancer du pancréas chez les rats. Quels sont les aliments à éviter ? On l'utilise sous le nom E2505. On en trouve dans les aliments transformés à base de viande (saucisses, bacon, etc.) et les conserves qui contiennent de la viande.. 8) Le sirop de maïs. Il est aussi connu sous le nom générique de sirop de glucose-fructose. C'est un édulcorant transformé à partir d'amidon de maïs. Il est essentiellement composé de glucose. Entre autres, le sirop de maïs est associé au diabète et à l'obésité. Quels sont les aliments à éviter ? Le sirop de maïs est parfois indiqué comme isoglucose. On en trouve dans les sodas, les barres chocolatées, les jus à base de concentré, les céréales transformées et certains condiments 9) L'huile végétale bromée. L'huile végétale bromée est un additif alimentaire utilisé principalement comme émulsifiant et stabilisant dans les boissons gazeuses. Comme son nom l'indique, l'huile végétale bromée contient du brome. C'est le même composant que l'on trouve dans les extincteurs de feu. Le brome est lié à plusieurs problèmes de santé, dont les troubles du système cardio-vasculaire et de la thyroïde. Quels sont les aliments à éviter ? L'huile végétale bromée est utilisée comme additif alimentaire. Elle est connue sous le nom E443. Heureusement, elle est interdite dans l'Union européenne, au Japon et en Australie. Mais pas dans le reste du monde — alors lisez bien les ingrédients quand vous vous retrouvez à l'étranger ! On en trouve dans les sodas et les boissons sportives (le Gatorade, par exemple). 10 ) Les colorants artificiels. On utilise les colorants artificiels pour ajouter de la couleur à un aliment. Certains colorants artificiels sont liés à plusieurs formes de cancer : de la thyroïde, de la vessie, des reins et du cerveau. Quels sont les aliments à éviter ? Les colorants sont fréquemment utilisés dans les aliments. Voici ceux qu'il faut absolument éviter : bleu E132, bleu E133, vert E143, rouge E127 et jaune E110. On trouve ces colorants dans les bonbons, les céréales, les barres chocolatées, les repas surgelés et les jus de fruits.
J'espère vous avoir donné des conseils pour mieux se protéger de notre alimentaion comme dit le proverbe:" Mieux vaut prévenir que guerir" . Quand les maladies arrivent , la santé s'en va ... Bonne santé à tous , bonne semaine.
Ce commentaire a été modifié le 08/04/2019 à 08:19
5 Astuces Pour Nettoyer Une...Plaque En Vitrocéramique... Comment Nettoyer Une Plaque En Vitrocéramique ? Le nettoyage d’une plaque en vitrocéramique n’est pas toujours évident. C’est une surface fragile qu’il faut protéger des rayures. Découvrez ces5 astuces de grand-mère pour faire briller et nettoyer une plaque en vitrocéramique sans l’abimer. 1-La Pierre BlancheImbibez une éponge douce de pierre blanche (argile) et frottez la plaque en vitrocéramique. Rincez à l’eau et essuyez avec un chiffon en microfibres. 2-Le Savon NoirMettez une bonne noisette de savon noir mou sur une éponge humidifiée. Frottez, rincez et essuyez. 3-Le Blanc De MeudonRéalisez une pâte en mélangeant un peu d’eau avec du blanc de Meudon. Appliquez sur la plaque en vitrocéramique et frottez délicatement puis rincez. Ce produit naturel permet de dégraisser et nettoyer les taches de votre plaque. Cuisinière électrique / vitrocéramique - JES8850CAS - JENN-AIRarchiexpo.fr
4-Le Bicarbonate De SoudeHumidifiez une éponge douce et versez-y 2 c. à café de bicarbonate de soude. Nettoyez la plaque, rincez et séchez avec un chiffon en microfibres. 5-Le Vinaigre BlancVaporisez du vinaigre blanc sur la plaque de cuisson. Passez un coup d’éponge, la saleté devrait s’enlever. Si ce n’est pas le cas, ajoutez quelques gouttes de liquide vaisselle et frottez à nouveau. Lustrez avec un chiffon doux.
Les Conseils De Grands-Mères. Pour enlever les taches incrustées, aidez-vous d’un grattoir spécial vitrocéramique ou d’une spatule en bois.N’utilisez pas d’éponge abrasive car vous risqueriez de rayer la plaque en vitrocéramique. Où trouver une pierre d’argile blanche ? On peut acheter une pierre d’argile dans les magasins bio, magasins de bricolage et sur internet.
Assis, c'est assez ! d'Harriet Griffey - Image Fournie Par Les Éditions de L'Homme Olivia Lévy La Presse
Assis, c'est assez! - Exercices pour contrer les effets des mauvaises postures est un livre pratique...Qui propose des exercices très bien illustrés afin de réduire les effets de nos mauvaises postures. Et nous en avons tous besoin! Pourquoi ? Parce que nous passons trop de temps assis...Au travail ou dans les transports en commun, alors que notre corps est conçu pour bouger. Il est donc toujours bon de renforcer notre tonus musculaire et d'améliorer notre bien-être. Alors, on s'y met ! Rotation du cou, étirement des épaules, flexion des biceps, contraction des fessiers, étirement du mollet, etc ! Ce livre d'Harriet Griffey est d'une grande simplicité et est parfait pournous rappeler d'intégrer ces mouvements à notre quotidien. Assis, c'est assez! Harriet Griffey. Les Éditions de L'Homme. 148 pages.(voir Amazon)
Les jours qui raccourcissent vont de pair avec un plus grand besoin de lumière. Comment bien vous éclairer pour éviter la fatigue visuelle, lesméfaits des lumières bleues mais aussi les risques d’insomnie?
Merci à Véronique Morin, orthoptiste, opticien-optométriste, responsable des formations à l’AsnaV* Lumière visible et invisible: des risques différents• La lumière visible, qu’elle soit naturelle ou artificielle, c’est celle que notre oeil perçoit et qui nous permet de voir. Aucune étude n’a encore prouvé que cette lumière puisse abîmer nos yeux. Et ce, contrairement aux rayonnements invisibles émis par les UV A, B, C et Infra rouges de la lumière naturelle... dont il est impératif de se protéger pour ne pas accroître le risque de DMLA et de cataracte précoce.
• Toutefois, les ampoules à Led de couleur blanche-froide pourraient aussi induire une dégénérescence: elles émettent en effet une fraction de lumière bleue, tout comme la lumière naturelle. Ce sont ces Led qui font débat sous l’appellation "lumière bleue". Présentes notamment sur les écrans tactiles des smartphones et tablettes, il faut donc par précaution en limiter l’utilisation, ou activer des filtres (via l’application night shift sur Apple) ou encore porter des lunettes anti-lumière bleue (que l'on trouve chez l’opticien). La bonne ampoule: LED ou LFC? Les ampoules à filaments et à halogène étant désormais interdites, restent les lampes fluo-compactes (LFC) et les LED. Toutes consomment peu d’électricité, mais encore? • Les LED: elles durent très longtemps (jusqu’à 40 000h), et s’allument instantanément. Elles offrent le meilleur rendu lumineux pour le confort visuel: stable et homogène. • Les LFC: moins chères, elles durent aussi moins longtemps (8 à 12 000h) et mettent parfois 30 secondes à atteindre l’éclairage maximal. À éviter dans les pièces de passage (couloir, toilettes) pour ne pas chuter fautede ne rien voir! La bonne puissance, la bonne couleur Pour préserver le confort visuel, il faut avant tout maintenir une lumière constante en limitant les variations de luminosité (passage du sombre à la lumière éclatante ou l’inverse) car le système visuel a des limites d’adaptation, surtout après 50 ans. • Pour un confort visuel global: Privilégiez les ampoules blanc-chaud dans toutes les pièces. Leur lumière jaune est apaisante. Pour les LED, choisissez des ampoules dont la température de couleur en degrés Kelvin est de 2400°K à 6000°K; pour les LFC, privilégiez celles entre 2700°K à 3000°K. • Pour effectuer une tâche sans fatigue Vous aimez lire, coudre ou travailler en soirée? Ajoutez une lumière d’appoint blanc-neutre ou blanc-lumière du jour(Led: 4000 à 5000°K; LFC: 3900 à 4200°K) dirigée sur la tâche à accomplir de façon à ce qu’il n’y ait pas d’ombre projetée par la main. Cette couleur correspond à une lumière naturelle douce. • Pour voir comme en plein jour: Pour le plan de travail de la cuisine, par exemple, optez pour les ampoules blanc-froid (Led: 5000 à 6500°K; LFC: 5400 à 6100°K). Leur rendu équivaut à une très forte lumière naturelle et a un effet stimulant. Mais gare aux LED de cette gamme: elles diffusent de la lumière bleue et ne doivent jamais être regardées en direct. Mieux vaut donc les placer sous un matériau diffusant (globe en verre). Merci à Véronique Morin, orthoptiste, opticien-optométriste, responsable des formations à l’AsnaV.
Voici La Meilleure Façon De Vous Débarrasser de ... Ces Détestables Points Noirs Sur Le Nez. Crédit photo à la une: Healthy Solutions Magazine.
Qu’y a-t-il de plus "chiant" à retirer que des points noirs !? On a beau utilisé des bandelettes ou des masques, bien souvent, on ne fait qu’irriter la peau. Mais voici une astuce efficace pour s’en débarrasser !
Il Vous Faudra... Du dentifrice à la menthe Du sel Un bol et une cuillère pour mélanger Quelques cubes de glace.
Placez deux cuillères à soupe de dentifrice dans le bol et ajoutez-y une cuillère à soupe de sel, mélangez pour obtenir une pâte uniforme. Mouillez votre visage et appliquez cette pâte sur les zones touchées, puis laissez agir de 5 à 10 minutes. Ne vous en faites pas pour le chatouillement, c’est normal et ça va passer. Après 10 minutes, mouillez vos doigts et massez doucement la zone, en douceur pour ne pas vous blesser. Rincez abondamment à l’eau chaude, puis passez doucement des cubes de glace sur votre visage pour resserrer les pores de votre peau.
Quelques Petits Trucs Supplémentaires Ne pas appliquer près des yeux, les vapeurs du dentifrice peuvent les irriter. Des rougeurs peuvent apparaître, c’est normal. Si votre peau est sèche, hydratez-la bien avec une crème. Nettoyez bien votre visage après avoir fini, afin de vous débarrasser du dentifrice. N’oubliez surtout pas de fermer les pores de votre peau, en utilisant de la glace ou de l’eau très froide.
Ce commentaire a été modifié le 24/03/2019 à 18:27
Cet insecticide bio détruit les insectes jusque dans le jardin et, dans la maison, investit tous les recoins pour une efficacité maximale. Sans recourir à l'industrie chimique, il existe depuis des centaines de millions d'années. Alors pourquoi tant de haine contre les araignées ?
Et pour les garder chez vous, attention, elles n'aiment guère la poussière.
Intéressé par ce que vous venez de lire ?
Elles ont huit pattes et pas de tête : les araignées ne sont pas des insectes, qui en ont respectivement six et une. Leurs yeux ne sont pas à facettes mais la plupart des araignées en portent souvent quatre paires. Et contrairement aux insectes, elles muent régulièrement, à la manière d'autres arthropodes, comme les crevettes, les homards ou les crabes.
Les insectes, d'ailleurs, elles les mangent. Leur piège en forme de toile gluante est connu de tous les humains, fascinés par les qualités techniques de ces fils qui inspirent aujourd'hui les biotechnologies. L'araignée est d'ailleurs capable d'en produire de diverses sortes, selon qu'il faut créer l'armature de la toile ou ses fibres collantes, ou encore un câble qui servira de corde de rappel à cette alpiniste hors pair. Certaines, même, se servent d'une longue et souple drisse légère pour se laisser emporter par le vent.
Les araignées, discrètes mais robustes.
Il existe aussi des chasseuses, ignorant les pièges et préférant sauter sur leurs proies, achevées à coups de chélicères, ces redoutables pinces qu'arborent aussi ses cousins les scorpions (arachnides et chélicérates comme elles). Il y a plus de 400 millions d'années, ces armes semaient sans doute la terreur chez les premiers animaux des terres émergées. Car les chélicérates étaient déjà là, et ont résisté depuis à toutes les extinctions de masse.
Aujourd'hui, beaucoup d'humains en ont une peur irraisonnée, une phobie venue du fond des âges ou de notre cerveau, on ne sait. Peut-être à cause du venin de certaines d'entre elles qui, dans notre mémoire d'animal des forêts, les rapproche des serpents ? Pourtant, à la campagne, en ville ou dans nos maisons, l'araignée, proprette et discrète, véhicule bien moins de maladies que
les insectes ou les rats. Puisse cette vidéo les rendre un peu plus sympathiques.
L’ADEME, l’INERIS et le CSTB (1) ont évalué les risques sanitaires liés à l’utilisation d’une dizaine de nettoyants multi-usages, produits pour l’entretien du sol et nettoyants pour les vitres, manufacturés et « faits maison » (avec du bicarbonate ou du vinaigre blanc), dans une maison expérimentale.
De son côté, le magazine 60 Millions de consommateurs a publié un hors-série, mai-juin 2019, intitulé « Maison saine : nettoyer sans polluer ».
LesLesrésultats Les résultats« suggèrent que les risques attribuables aux produits manufacturés ou “faits maison” testés peuvent être considérés comme faibles et les expositions domestiques les plus courantes comme non préoccupantes », conclut l'étude.
Des étiquettes peu claires.
« Concernant les données de composition présentes sur les étiquettes des produits manufacturés, les indications fournies par les
fabricants sont relativement parcellaires et regroupées autour de termesgénériques tels que “parfums”, “biocides” ou “agents de surface”… ceci ne permet pas de connaitre les composants de manière précise ni de prévoir les émissions volatiles résultantes de l’utilisation des produits. »
Les bonnes pratiques à adopter.
« A ce jour, pour plus de la moitié des substances émises par les produits testés, il n’existe pas de données sanitaires permettant de mesurer leur toxicité. Aussi dans une logique de prudence,une diminution des expositions est préconisée, en particulier pour les
personnes les plus sensibles : femmes enceintes, enfants, personnes souffrant de troubles respiratoires. »
Certaines bonnes pratiques permettent d’atténuer les risques sanitaires :
De son côté, le magazine 60 Millions de consommateurs de l'Institut national français de la consommation juge la situation plus préoccupante. Il a testé plus de 100 produits d'entretien courants. « Allergènes en pagaille, molécules irritantes, désinfectants favorisant la résistance bactérienne… Clairement, les flacons censés nettoyer nos logements nuisent à notre santé et polluentl’environnement », déplore le magazine. Il appelle à la mise en place d’« un étiquetage clair et
immédiatement lisible pour les consommateurs ».
Produits ménagers : 20 substances à éviter et des alternatives (60 Millions de consommateurs)
L'ammonium quaternaire (produits ménagers et d'hygiène) nuirait à la production de l'énergie dans les cellules et à la fertilité
Pour plus d'informations sur la toxicité des produits nettoyants et sur les huiles essentielles, voyez les liens plus bas.
(1) L'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (INERIS) et le Centre scientifique et technique du bâtiment CSTB.
sources : Ademe, 60 Millions de consommateurs.
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« Les dispositifs de vapotage se présentent sous des formes élégantes rappelant des produits de haute technologie qui séduisent les jeunes grâce à leur aspect novateur, cool et inoffensif. Les produits devapotage sont offerts dans toute une variété de saveurs alléchantes, dont la plupart contiennent de la nicotine. »
Eva Dolezel
Votre lit est-il placé au bon endroit ?
La géobiologie étudie les influences de la Terre et de l’environnement sur tout ce qui vit : les humains, les animaux, les plantes… et pour nous, êtres humains, le « lieu de vie » est précisément au centre de cette préoccupation.
En effet, chaque mètre carré de notre planète peut potentiellement être source de nocivitéprovenant d’ondes diverses, d’origines naturelles ou artificielles. Resterdurablement sur ces emplacements, en s’y asseyant pendant de longues heures par exemple, ou pire, en y dormant, peut se révéler fortement délétère pour la santé.
La science et la médecine ont d’ailleurs confirmé, avec l’épigénétique, que l’environnement possédait une réelle influence sur nos gènes. Il était donc primordial de remettre les « lieux de vie » au centre de la santé globale.
Et c’estjustement grâce à la géobiologie que chacun de nous peut consciemment diminuer son exposition à ces dangers, non seulement en repérant les emplacements nocifsafin de les éviter, mais également en localisant les emplacements favorables
pour s’y ressourcer.
Géobiologie : les Anciens savaient.
Au Vᵉ siècle av. J.-C., Hippocrate, père de la médecine moderne, donnait une place importante à l’alimentation, mais dans son « Traité des airs, des eaux et des lieux », il accordait une place tout aussi importante à l’influence du lieu sur la santé des êtres vivants.
La sagesse ancienne considérait donc déjà la nature du sous-sol comme faisant partie intégrante des principes de santé et comme condition préalable pour la guérison.
De même, les Anciens tenaient évidemment compte de ces influences lors de leurs constructions car ils en connaissaient
l’importance ; les édifices d’envergure ont d’ailleurs été bâtis surces principes !
La nature et les animaux savent.
Les animaux, généralement plus instinctifs que nous, ne se placeront jamais d’eux-mêmes sur des zonesnéfastes pour leur santé.
Ce n’est qu’au contact de l’homme que certains d’entre eux tombent dans la « non-santé »,notamment parce que c’est l’humain qui définit leur emplacement de sommeil ou de repos.
Ces endroits sont généralement attribués de façon arbitraire, sans tenir compte des influences du sous-sol, et uniquement selon des critères de commodité, comme par exemple, l’emplacement de la couche du chien,de la cage des petits animaux de compagnie, du box du cheval ou de la ruche pour les abeilles.
Ainsi, certaines pathologies peuvent survenir suite au choix d’un emplacement inadéquat pour l’animal ; elles sont en fait directement liées à ces ondes qui agressent leur corps.
Il en va de même pour la nature ou un jardin. Un arbre ornemental ou fruitier ou une plante d’appartement mal situés ne seront jamaisverdoyants ou vraiment prospères et productifs, de manière naturelle…
De quelles ondes parle-t-on ?
Généralement, les ondes nocives sont classées en deux catégories :Les ondes telluriques, généralement d’origines naturelles, provenant de la Terre.Les ondes électromagnétiques artificielles créées par l’homme.D’autres sources actives existent et peuvent être vécues de façon désagréable, comme par exemple la mémoire des lieux ou la mémoire des murs, mais ce sujet ne sera pas abordédans cet article.
Les ondes telluriques en géobiologie.
Ces ondes sont dites « telluriques », car elles proviennent de la Terre. Partant du sous-sol, parfois même de ses tréfonds, elles s’élèvent vers le ciel.
Se trouver à l’aplomb ou à la verticale de ces ondes, et y stationner durablement, est nocif pour l’humain, tout comme pour la plupart des êtres vivants.
Or, notre mode de vie, plus sédentaire qu’autrefois, nous amène justement à rester plus longtemps aux mêmes endroits, qu’il s’agisse d’habitat ou de lieu de travail. Ainsi, un lit, un canapé ou un bureau mal placé impliquera des heures de nuisances rayonnant sur notre corps, tout au long d’une journée, d’une année, voire même d’une vie…Quelques exemples de phénomènes qui génèrent des ondes telluriques :Circulations d’eau souterraines : l’eau crée une friction avec les parois et la différence de potentiel électrique qui en résulte « stresse » les cellules.Failles ou discontinuités de terrain : elles génèrent à la surface une libération plus importante de rayonnement gamma.Réseaux qui quadrillent la Terre (comme le réseau Hartmann, le réseau Curry, etc.) : sur l’intersection de ces réseaux les zones sont troublées et perturbent les êtres vivants àleur verticale.
Voici, par exemple, l’impact qu’a eu une circulation d’eau souterraine sur un arbre qui a poussé à sa verticale : il a dû se séparer en deux pour s’en protéger et tenter de lui échapper !
Un humain ne peut pas se « séparer ». En revanche, il pourrait s’écarter d’un tel endroit ; mais sans avoir conscience de cette influence, avec par exemple son lit à l’aplomb de la circulation d’eau souterraine, il subirait en permanence l’agression de ces ondes provenant du sous-sol jusqu’à, potentiellement, entamer sa santé. Et habiter au dixième étage d’un immeuble n’y changerait rien car ces ondes sont actives à tous les étages !
…. Mais ce n’est pas tout !
Les ondes électromagnétiques.
À ces ondes telluriques naturelles s’ajoutent les ondes électromagnétiques artificielles créées par l’homme, dans notre monde actuel où tout est « connecté », et paradoxalement souvent dé-connecté de la relation à la Nature, à la Terre et aux Sagesses anciennes !
L’impact des ondes est connu depuis longtemps mais peine à être reconnu, exposé et diffusé au grand jour. Les différentes ondes, de natures différentes, ne font malheureusement pas que de s’additionner, mais elles se cumulent entre elles de manière exponentielle.
De nombreuses études scientifiques récentes ont démontré que les champs électromagnétiques affectent les organismes vivants, et ce,à des niveaux d’exposition bien en-dessous des valeurs limites internationales ;malheureusement, les gouvernements
et organismes mondiaux tardent à mettre en place les législations qui pourraient protéger les êtres vivants.
Pourtant, le principe de précaution en la matière devrait s’appliquer pour ne pas épuiser le « capital-ondes »de tous. Il est en effet important d’éviter de créer le basculement dans des états de mal-être, de symptômes chroniques, et éventuellement d’électro-hypersensibilité ou d’autres pathologies souvent lourdes.
Il s’avère donc urgent de prendre conscience de ce « cocktail d’agressions » contre lequel notre corps se bat sans cesse et qui diminue sa résistance, petit à petit ; en prendre conscience, c’est le démarreur qui permet de passer à l’action en diminuant notre
exposition aux nocivités de toutes sortes … pour éviter de basculer au-delà de son seuil de tolérance, et ne pas épuiser notre
« capital-santé » avant l’heure !
Ces sages réflexes sont d’autant plus pertinents et à considérer de manière sérieuse pour les foetus, les bébés et les enfants qui sont en plein développement donc beaucoup plus fragiles, plus perméables à l’extérieur, et notamment aux ondes.
LaGéobiologie, pour qui ? … et pourquoi ?
Pour tous les êtres vivants !… qu’il vole, qu’il rampe, qu’il pousse en terre, marche à 2 pattes, à 4 pattesou à plus… et sans modération !Pour tous ceux qui souhaitent vivre dans un habitat sain et préserver leur santé.Nous avons donc tous une responsabilité dans le choix de l’endroit que nous attribuons à notre compagnon à 2 ou 4 pattes, à nos plantes, maiségalement dans le choix de l’emplacement de notre propre lit !
En effet, le corps, durant sa phase de sommeil est sensé se régénérer et seréparer. Comment peut-il le faire de manière correcte et efficace si laplus grande partie de son énergie est employée à lutter contre les agressions telluriques et électromagnétiques ?
Géobiologie dans votre quotidien : à l’action !
À ce jour, comme il n’existe pas d’appareils de détection concernant les ondes telluriques ; la technique de la détection sensible, employée depuis la nuit des temps, est celle qui permet la localisation des nocivités.
Vous trouverez des exercices pratiques pour apprendre les bases et réussir les détections par vous-même,dans le manuel pratique :
CLIC.....LA GÉOBIOLOGIE PAR SOI-MÊME, C’EST PARTI ! Eva Dolezel, éd. Jouvence, octobre 2018
… également des conseils, trucs et astuces faciles à mettre en oeuvre pour diminuer votreexposition aux champs électromagnétiques !
Pour terminer et étendre votre action à une santé globale, le PRINCIPE DES 10 HYGIÈNES vous accompagnera dans un survol d’attitudes de bien-être et mises en garde par rapport à d’autres substances potentiellement néfastes pour la santé, comme celles retrouvées dans les produits de nettoyage, les cosmétiques, les parfums d’ambiance, les COV, etc.
Quelle sera la qualité de votre sommeil en dormant parmi ces 17 différentes nocivités pouvant être recensées dans une chambre à coucher ?
Les chiffres représentent chacun une nocivité potentielle dans la chambre à coucher ; certaines se juxtaposent et d’autres se superposent…
Source: La Géobiologie par soi-même, c’est parti ! Eva Dolezel, éd. Jouvence,octobre 2019
Epilogue: Métier du passé, métiers pour notre Avenir… et notre Santé future !
En résumé, par l’influence de la Terre et de l’environnement, tout le monde est concerné : alors à nous de jouer pour diminuer l’exposition du plus grand nombre !
Aujourd’hui, encore trop peu de métiers de la santé (médecins, thérapeutes,…) ou métiers de la construction et du bâtiment (architectes, constructeurs, …) prennent en compte ces influences telluriques et électromagnétiques potentiellement dommageables pour la santé et c’est bien dommage …mais l’appel est lancé ! … qui s’annonce partant ?
Le jeûne intermittent, idéal pour purifier son organisme.
Que vous soyez coutumier des excès ou pas, le jeûne intermittent permet de nettoyer le foie, purifier et détoxiner l’organisme en profondeur. Comment vous y mettre ? On vous explique les bienfaits et les clés d’un jeûne intermittent réussi.
Jeûne intermittent, mais qu’est-ce que c’est que ce concept étrange ? Peut-on jeûner sans jeûner ? Oui, et non.
Le principe du jeûne intermittent est simple : permettre à l’organisme de profiter des bienfaits du jeûne, en instaurant de longues tranches horaires où l’on ne mange rien afin de laisser notre système digestif se purger et l’organisme se décrasser.
Pourquoi ça fait du bien ? Comment faire concrètement ? Vous allez voir, c’est assez simple et surtout, tout bénef.
Les bienfaits du jeûne pour détoxiner.
Avis à ceux qui pensent que le jeûne est une toquade dans l’air du temps, sachez qu’Hippocrate (460-375 av. J.-C.) himself* aurait déclaré « il faut […] soigner ses petits maux par le jeûne plutôt qu’en ayant recours aux médicaments ». À l’époque déjà, on avait compris que jeûner a de multiples effets positifs sur l’organisme. Manger à intervalles rapprochés fatigue le corps, qui consacre une énergie importante à la digestion des aliments.
Le repos imposé au système digestif lui permet de se reposer et se régénérer, et restaure l’équilibre général du corps, favorisant ainsi l’auto-guérison. Le foie en profite pour se purger en profondeur et éliminer toutes les toxines qui l’encrassent. Le jeûne enclenche aussi des mécanismes d’autophagie, c’est-à-dire de « cannibalisme cellulaire », en détruisant en priorité les cellules défectueuses, malades ou vieillissantes pour continuer à produire l’énergie nécessaire au fonctionnement du corps. Le japonais Yoshinori Ohsumi a d’ailleurs reçu en 2016 le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur le sujet, car l’explication des mécanismes de l’autophagie ouvre de phénoménales perspectives dans la prévention des maladies dégénératives (Alzheimer, Parkinson et autres…), du diabète de type 2, et dans le ralentissement du vieillissement de l’organisme.
Le principe du jeûne intermittent.
On pense souvent que jeûner implique de ne pas manger pendant plusieurs jours, mais ce genre de cure n’est pas facile à combiner avec une vie professionnelle, familiale et sociale et nécessite d’être encadrée pour ne pas dépasser la limite des privations que le corps peut supporter sans souffrir.
Le jeûne intermittent consiste tout simplement à jeûner un peu chaque jour, en espaçant de 15 heures deux de ses repas. Par exemple, si vous dînez à 20h, vous ne mangerez plus rien avant midi le lendemain. Si vous êtes un inconditionnel du petit déjeuner que vous prenez à 8h, vous attendrez 23h pour prendre votre deuxième repas (pas hyper pratique, on vous l’accorde). Vous pouvez réduire à 12 heures cette amplitude, mais pas moins, sinon vous perdrez les effets bénéfiques. La plupart des adeptes du jeûne intermittent préfèrent éliminer le petit déjeuner, dont la disparition impacte moins leur vie sociale et professionnelle que le dîner ou déjeuner.
Comment démarrer son jeûne intermittent ?
Pour réussir votre jeûne intermittent, choisissez les horaires qui correspondent le mieux à vos contraintes personnelles. Ensuite, consacrez un jour par semaine à ce jeûne, et attendez de vous sentir bien avant de passer progressivement à deux, puis trois, puis quatre… Jusqu’à réussir, idéalement, à transformer vos habitudes alimentaires en faisant du jeûne intermittent votre routine quotidienne. Si en semaine c’est vraiment compliqué, utilisez les week-ends ou vacances pour jeûner. Ne vous laissez pas décourager par les gargouillis de votre ventre : il ne vous réclame pas de nourriture, il est tout simplement en train de profiter du vide pour passer l’aspirateur et ça fait un peu debruit.
Faut-il modifier son alimentation quand on pratique un jeûne intermittent ?.
Veillez à boire beaucoup d’eau (pure ou en infusion) afin d’éviter la déshydratation, mais pas de laits, de jus de fruits ou autres boissons sucrées. Évitez les aliments trop gras lorsque vous brisez le jeûne, histoire de ne pas surcharger d’emblée votre système digestif.
Attention, ce n’est pas parce que vous supprimez les tartines au petit déjeuner que vous pourrez manger davantage de frites. Conservez – ou instaurez – une alimentation équilibrée sur l’ensemble de la journée, qui vous apporte suffisamment de nutriments essentiels dans les repas qui vous restent, en respectant les proportions de lipides / glucides / protéines recommandées par les nutritionnistes.
Ce qui change grâce au jeûne intermittent.
Vous serez surpris de constater les nombreux effets visibles du jeûne intermittent. Une fois votre rythme de croisière trouvé, la sensation de faim disparaît dans la période horaire que vous vous êtes fixé. Vous perdez un peu de poids (pas 10 kilos, ne rêvez pas), vous sentez plus en forme, moins fatigué, la peau est plus nette, les cheveux plus brillants… en résumé, vous avez tout à y gagner à essayer !
À lire aussi : Les régimes les plus stupides de l’année
90% des produits alimentaires que l'on trouve sont bourrés d'ingrédients transformés, sans valeur nutritive.
La réalité est que ces ingrédients nous tuent progressivement,une bouchée après l'autre. Donc il faut choisir quoi acheter et manger.
Je vous citerai les ingrédients associés dans notre alimentation :il faut observer sérieusement la composition de nos aliments achetés,même avec une loupe s'il le faut, car parfois,ils mettent de très petits caractères ...
1) Le benzoate de sodium.
Le benzoate de sodium est un additif alimentaire fréquemment utilisé pour empêcher la formation de moisissure dans les aliments. Mais quand il est utilisé avec de la vitamine C ou de la vitamine E, le benzoate de sodium produit du benzène — un composé organique cancérigène. De plus, le benzoate de sodium agit sur les mitochondries (les génératrices d'énergie de nos cellules), les privant d'oxygène. Il est aussi associé à un risque élevé du trouble du déficit de l'attention chez les enfants. Le benzoate de sodium est utilisé comme additif sous le nom E211. On en trouve dans les jus de fruit,les cornichons,les vinaigrettes commerciales et les condiments (extraits aromatiques, moutarde, etc.).
2)Le BHA (hydroxyanisole butylé) et le BHT (hydroxytoluène butylé).
Ce sont les antioxydants synthétiques les plus utilisés dans l'industrie alimentaire. On les utilise pour empêcher l'oxydation deshuiles et des graisses. Les BHA / BHT sont soupçonnés d'être allergèneset cancérigènes. Pourtant, il existe une alternative naturelle au BHA /BTH : la vitamine E. D'ailleurs, la plupart des produits des magasins bio ont recours à la vitamine E pour remplacer le BHA / BHT.
Quels sont les aliments à éviter ? Le BHA est utilisé comme additif sous le nom E320 et le BHT sous le nom E321. Ils sont utilisés dans les chips, les céréales transformées, le saindoux, le beurre, les conserves de viande, la bière, les biscuits et le chewing-gum.
3) Le GMS (glutamate monosodique)
Le GMS est un additif alimentaire populaire. Il agit directement sur l'hypothalamus, la région du cerveau qui régule notre appétit. Le GMS génère une résistance à la leptine, « l'hormone de la satiété ». En d'autres mots, le GMS élimine la sensation que l'on ressent lorsque l'on n'a plus faim. Cela explique pourquoi tant de personnes sont accros aux chips ! Le GMS est une excitotoxine. Cela signifie qu'il provoque une surproduction d'hormones. Notamment, il provoque une surproduction dedopamine. Par conséquent, cela crée une euphorie comparable à celle d'une prise de la drogue ! Le GMS est aussi associé à l'inflammation du foie et à la dysplasie.
Quels sont les aliments à éviter ? Le GMS est utilisé comme additif alimentaire sous le nom E621.On en trouve dans les soupes en conserve, la restauration rapide, les chips, la restauration chinoise, les sauces en conserve et les vinaigrettes commerciale
4) Les édulcorants.
Les édulcorants de synthèse remplacent le sucre. Une étude révèle que les édulcorants de synthèse agissent sur les bactéries qui se trouvent naturellement dans notre appareil digestif. Plus spécifiquement, les édulcorants stimulent les bactéries nocives qui augmentent le risque de diabète et d'obésité. Une étude révèle que le risque de décès suite à une maladie cardio-vasculaire augmente de 50% chez les femmes qui consomment 2 boissons édulcorées par jour.
Quels sont les aliments à éviter ? Les édulcorants de synthèse sont utilisés pour donner une saveur sucrée aux denrées alimentaires. On en trouve dans les sodas, les yaourts allégés, les jus de fruits, le chewing-gum et les bonbons.
Voici quelques édulcorants de synthèse populaires ainsi que leur code d'additif alimentaire pour les retrouver facilement dans la liste d'ingrédients : acésulfame potassium (E950), aspartame (E951), saccharine (E954) et sucralose (E955).
5) Le bromate de potassium.
Le bromate de potassium est utilisé comme additif alimentaire pour blanchir la pâte à pain et la rendre plus ferme. Le potassium de bromate est cancérigène. Il est connu pour provoquer le cancer des reins et de la thyroïde. En principe, il est complètement détruit lors de la cuisson. Néanmoins, on peut encore trouver des oligo-éléments dans les produits de pâtisserie industrielle.
Quels sont les aliments à éviter ? Le bromate de potassium est utilisé sous le nom E924. Heureusement, son utilisation comme additif alimentaire a été interdite en Union européenne, au Canada, au Brésil et en Chine. Mais pas aux États-Unis — à retenir si vous y voyagez ! On en trouve dans les sandwichs de restauration rapide, les pizzas surgelées et les produits de pâtisserie industrielle
6) Acrylamide.
L'acrylamide est un produit de synthèse toxique. Elle apparaît « spontanément » lors de la cuisson de certains aliments à plus de 120 °C. C'est une molécule hautement cancérigène. Quels sont les aliments à éviter ? Les aliments chauffés à plus de 120 °C, comme les chips, les frites, le café et les amandes grillées. Pour info, la fumée de cigarette contient aussi de l'acrylamide.
7) Le nitrite de sodium.
Le nitrite de sodium est un additif alimentaire. On l'utilise en tant qu'agent conservateur. On l'utilise aussi pour « fixer » les couleurs des aliments transformés à base de viande. Le nitrite de sodium est soupçonné d'être cancérigène. Il est associé à un risque élevé de cancer du pancréas chez les rats.
Quels sont les aliments à éviter ? On l'utilise sous le nom E2505. On en trouve dans les aliments transformés à base de viande (saucisses, bacon, etc.) et les conserves qui contiennent de la viande..
8) Le sirop de maïs.
Il est aussi connu sous le nom générique de sirop de glucose-fructose. C'est un édulcorant transformé à partir d'amidon de maïs. Il est essentiellement composé de glucose. Entre autres, le sirop de maïs est associé au diabète et à l'obésité.
Quels sont les aliments à éviter ? Le sirop de maïs est parfois indiqué comme isoglucose. On en trouve dans les sodas, les barres chocolatées, les jus à base de concentré, les céréales transformées et certains condiments
9) L'huile végétale bromée.
L'huile végétale bromée est un additif alimentaire utilisé principalement comme émulsifiant et stabilisant dans les boissons gazeuses. Comme son nom l'indique, l'huile végétale bromée contient du brome. C'est le même composant que l'on trouve dans les extincteurs de feu. Le brome est lié à plusieurs problèmes de santé, dont les troubles du système cardio-vasculaire et de la thyroïde.
Quels sont les aliments à éviter ? L'huile végétale bromée est utilisée comme additif alimentaire. Elle est connue sous le nom E443. Heureusement, elle est interdite dans l'Union européenne, au Japon et en Australie. Mais pas dans le reste du monde — alors lisez bien les ingrédients quand vous vous retrouvez à l'étranger ! On en trouve dans les sodas et les boissons sportives (le Gatorade, par exemple).
10 ) Les colorants artificiels.
On utilise les colorants artificiels pour ajouter de la couleur à un aliment. Certains colorants artificiels sont liés à plusieurs formes de cancer : de la thyroïde, de la vessie, des reins et du cerveau.
Quels sont les aliments à éviter ? Les colorants sont fréquemment utilisés dans les aliments. Voici ceux qu'il faut absolument éviter : bleu E132, bleu E133, vert E143, rouge E127 et jaune E110. On trouve ces colorants dans les bonbons, les céréales, les barres chocolatées, les repas surgelés et les jus de fruits.
J'espère vous avoir donné des conseils pour mieux se protéger de notre alimentaion comme dit le proverbe:" Mieux vaut prévenir que guerir" . Quand les maladies arrivent , la santé s'en va ...
Bonne santé à tous , bonne semaine.
Comment Nettoyer Une Plaque En Vitrocéramique ?
Le nettoyage d’une plaque en vitrocéramique n’est pas toujours évident. C’est une surface fragile qu’il faut protéger des rayures. Découvrez ces5 astuces de grand-mère pour faire briller et nettoyer une plaque en vitrocéramique sans l’abimer.
1-La Pierre Blanche Imbibez une éponge douce de pierre blanche (argile) et frottez la plaque en vitrocéramique. Rincez à l’eau et essuyez avec un chiffon en microfibres.
2-Le Savon Noir Mettez une bonne noisette de savon noir mou sur une éponge humidifiée. Frottez, rincez et essuyez.
3-Le Blanc De Meudon Réalisez une pâte en mélangeant un peu d’eau avec du blanc de Meudon. Appliquez sur la plaque en vitrocéramique et frottez délicatement puis rincez. Ce produit naturel permet de dégraisser et nettoyer les taches de votre
plaque.
Cuisinière électrique / vitrocéramique - JES8850CAS - JENN-AIRarchiexpo.fr
4-Le Bicarbonate De Soude Humidifiez une éponge douce et versez-y 2 c. à café de bicarbonate de soude.
Nettoyez la plaque, rincez et séchez avec un chiffon en microfibres.
5-Le Vinaigre Blanc Vaporisez du vinaigre blanc sur la plaque de cuisson. Passez un coup d’éponge, la
saleté devrait s’enlever. Si ce n’est pas le cas, ajoutez quelques gouttes de liquide vaisselle et frottez à nouveau. Lustrez avec un chiffon doux.
Les Conseils De Grands-Mères.
Pour enlever les taches incrustées, aidez-vous d’un grattoir spécial vitrocéramique ou d’une spatule en bois. N’utilisez pas d’éponge abrasive car vous risqueriez de rayer la plaque en vitrocéramique.
Où trouver une pierre d’argile blanche ? On peut acheter une pierre d’argile dans les magasins bio, magasins de bricolage et sur internet.
Assis, c'est assez ! d'Harriet Griffey -
Image Fournie Par Les Éditions de L'Homme
Olivia Lévy La Presse
Assis, c'est assez! - Exercices pour contrer les effets des mauvaises postures est un livre pratique...Qui propose des exercices très bien illustrés afin de réduire les effets de nos mauvaises postures.
Et nous en avons tous besoin! Pourquoi ? Parce que nous passons trop de temps assis...Au travail ou dans les transports en commun, alors que notre corps est conçu pour bouger.
Il est donc toujours bon de renforcer notre tonus musculaire et d'améliorer notre bien-être.
Alors, on s'y met ! Rotation du cou, étirement des épaules, flexion des biceps, contraction des fessiers, étirement du mollet, etc !
Ce livre d'Harriet Griffey est d'une grande simplicité et est parfait pournous rappeler d'intégrer ces mouvements à notre quotidien.
Assis, c'est assez! Harriet Griffey. Les Éditions de L'Homme. 148 pages.(voir Amazon)
Par Magali Quent
28 mars 2019
Les jours qui raccourcissent vont de pair avec un plus grand besoin de lumière. Comment bien vous éclairer pour éviter la fatigue visuelle, lesméfaits des lumières bleues mais aussi les risques d’insomnie?
Merci à Véronique Morin, orthoptiste, opticien-optométriste, responsable des formations à l’AsnaV*
Lumière visible et invisible: des risques différents• La lumière visible, qu’elle soit naturelle ou artificielle, c’est celle que notre oeil perçoit et qui nous permet de voir. Aucune étude n’a encore prouvé que cette lumière puisse abîmer nos yeux. Et ce, contrairement aux rayonnements invisibles émis par les UV A, B, C et Infra rouges de la lumière naturelle... dont il est impératif de se protéger pour ne pas accroître le risque de DMLA et de cataracte précoce.
• Toutefois, les ampoules à Led de couleur blanche-froide pourraient aussi induire une dégénérescence: elles émettent en effet une fraction de lumière bleue, tout comme la lumière naturelle. Ce sont ces Led qui font débat sous l’appellation "lumière bleue". Présentes notamment sur les écrans tactiles des smartphones et tablettes, il faut donc par précaution en limiter l’utilisation, ou activer des filtres (via l’application night shift sur Apple) ou encore porter des lunettes anti-lumière bleue (que l'on trouve chez l’opticien).
La bonne ampoule: LED ou LFC?
Les ampoules à filaments et à halogène étant désormais interdites, restent les lampes fluo-compactes (LFC) et les LED. Toutes consomment peu d’électricité, mais encore?
• Les LED: elles durent très longtemps (jusqu’à 40 000h), et s’allument instantanément. Elles offrent le meilleur rendu lumineux pour le confort visuel: stable et homogène.
• Les LFC: moins chères, elles durent aussi moins longtemps (8 à 12 000h) et mettent parfois 30 secondes à atteindre l’éclairage maximal. À éviter dans les pièces de passage (couloir, toilettes) pour ne pas chuter fautede ne rien voir!
La bonne puissance, la bonne couleur
Pour préserver le confort visuel, il faut avant tout maintenir une lumière constante en limitant les variations de luminosité
(passage du sombre à la lumière éclatante ou l’inverse) car le système visuel a des limites d’adaptation, surtout après 50 ans.
• Pour un confort visuel global:
Privilégiez les ampoules blanc-chaud dans toutes les pièces. Leur lumière jaune est apaisante. Pour les LED, choisissez des ampoules dont la température de couleur en degrés Kelvin est de 2400°K à 6000°K; pour les LFC, privilégiez celles entre 2700°K à
3000°K.
• Pour effectuer une tâche sans fatigue
Vous aimez lire, coudre ou travailler en soirée? Ajoutez une lumière d’appoint blanc-neutre ou blanc-lumière du jour (Led: 4000 à 5000°K; LFC: 3900 à 4200°K) dirigée sur la tâche à accomplir de façon à ce qu’il n’y ait pas d’ombre projetée par la main. Cette couleur correspond à une lumière naturelle douce.
• Pour voir comme en plein jour:
Pour le plan de travail de la cuisine, par exemple, optez pour les ampoules blanc-froid (Led: 5000 à 6500°K; LFC: 5400 à 6100°K). Leur rendu équivaut à une très forte lumière naturelle et a un effet stimulant. Mais gare aux LED de cette gamme: elles diffusent de la lumière bleue et ne doivent jamais être regardées en direct. Mieux vaut donc les placer sous un matériau diffusant (globe en verre).
Merci à Véronique Morin, orthoptiste, opticien-optométriste, responsable des formations à l’AsnaV.
Ces Détestables Points Noirs Sur Le Nez.
Crédit photo à la une: Healthy Solutions Magazine.
Qu’y a-t-il de plus "chiant" à retirer que des points noirs !?
On a beau utilisé des bandelettes ou des masques, bien souvent, on ne fait qu’irriter la peau.
Mais voici une astuce efficace pour s’en débarrasser !
Il Vous Faudra...
Du dentifrice à la menthe
Du sel
Un bol et une cuillère pour mélanger
Quelques cubes de glace.
Placez deux cuillères à soupe de dentifrice dans le bol et ajoutez-y une cuillère à soupe de sel, mélangez pour obtenir une pâte uniforme.
Mouillez votre visage et appliquez cette pâte sur les zones touchées, puis laissez agir de 5 à 10 minutes. Ne vous en faites pas pour le chatouillement, c’est normal et ça va passer.
Après 10 minutes, mouillez vos doigts et massez doucement la zone, en douceur pour ne pas vous blesser.
Rincez abondamment à l’eau chaude, puis passez doucement des cubes de glace sur votre visage pour resserrer les pores de votre peau.
Quelques Petits Trucs Supplémentaires
Ne pas appliquer près des yeux, les vapeurs du dentifrice peuvent les irriter.
Des rougeurs peuvent apparaître, c’est normal.
Si votre peau est sèche, hydratez-la bien avec une crème.
Nettoyez bien votre visage après avoir fini, afin de vous débarrasser du dentifrice.
N’oubliez surtout pas de fermer les pores de votre peau, en utilisant de la glace ou de l’eau très froide.