Voici trois remèdes pour améliorer la mémoire, les troubles de la concentration et les problèmes d’attention. Faites des plantes vos alliées, votre mémoire ne s’en portera que mieux ! Le bacopa. Le bacopa, depuis près de trois mille ans, est utilisé par la médecine traditionnelle indienne, pour combattre les problèmes d’attention et de mémoire. C’est une plante à feuilles épaisses et à fleurs blanches, qui pousse dans les régions humides. Elle est réputée souveraine pour combattre le stress, les dysfonctions intellectuelles et les troubles cognitifs. Vous pouvez également mélanger le Bacopa et le Ginseng, reconnue pour ses vertus stimulantes des neurones et de la mémoire. Le Ginkgo Biloba. Le Ginkgo Biloba est aussi une plante efficace pour aider à lutter contre les problèmes de mémoire. Elle contient des glycosides de flavonol et des lactones terpéniques, qui aident le cerveau à fonctionner, en améliorant notamment le métabolisme du glucose cérébral,et en dilatant les vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, ce qui favorise son alimentation en oxygène. Elle traite les problèmes de mémoire en général, les troubles de la concentration, et aussi la sénilité. Le guarana. Le guarana est le fruit d’un arbuste originaire de l’Amazonie. Son nom est dérivé du mot « wara’ná » qui en langage indigène signifie « fruit semblable aux yeux des personnes », ou « œil de la forêt », en raison de l’aspect de son fruit.
Mais le plus intéressant chez ce fruit,c’est qu’il contient une très importante concentration de caféine. Il agit comme un neurostimulant et améliore les fonctions cérébrales. En période d’examen, cet allié naturel peut faire toute la différence. Il est connu aussi pour aider à l’amincissement. Elle est disponible sous des formes diverses, qui vont des tisanes aux gélules, en passant par la poudre de guarana, à consommer diluée dans un verre d’eau ou de jus de fruit.
Dormir avec son téléphone portable:3 choses à savoir. Est-il dangereux de dormir avec son téléphone portable ? Souvent indispensable pour le travail et les loisirs, le téléphone portable trouve-t-il aussi sa place sur les tables de chevet ? Est-ce que garder son téléphone portable près de sa tête la nuit est dangereux ? Voici trois informations qui, au risque de vous étonner, pourront peut-être vous éviter quelques soucis de santé. Une lumière hyper-stimulante. Attention à l’usage du téléphone portable durant la nuit ! En effet, le corps peut subir des perturbations importantes liées à l’écran en condition nocturne. Les études démontrent que les personnes qui consultent leur téléphone la nuit subissent des effets aussi importants qu’avec la caféine, en raison de la présence de la lumière bien trop vive dans ce contexte. Outre l’augmentation du rythme cardiaque, la lumière est particulièrement stimulante, perturbant le rythme naturel par son ton bleuté. Le mode avion, votre meilleur allié anti-stress. Il est vivement déconseillé de dormir à proximité du téléphone portable, sauf si ce dernier est placé en mode « avion ». Grâce à ce mode, les nuits seront plus paisibles, et surtout sans risque d’être dérangé à tout moment. Tant que le téléphone reste allumé et à portée des mains, le subconscient n’est pas entièrement libre et disponible, et reste prêt à gérer de nouvelles demandes. Pour éviter d’être perturbé, mieux vaut donc éteindre son appareil ou le passer en mode avion, et profiter d’un sommeil réparateur. Le coussin restera votre unique repose-tête. Autant durant la nuit que lors de siestes, évitez à tout prix de placer votre téléphone près de votre tête. Étant une zone du corps très sensible, elle serait à proximité directe des innombrables ondes émises par votre appareil.
Voyage de vacances:4 facteurs psychologiques qui contribuent à se remettre du stress du travail. Une étude a examiné les mécanismes et les facteurs psychologiques par lesquels les expériences de voyage peuvent permettre de récupérer du stress lié au travail. La chercheure en psychologie Chun-Chu Chen de la Washington State University et ses collègues ont développé un modèle selon lequel la récupération par rapport au stress au moyen d'activités touristiques entraîne une amélioration de la satisfaction de vie au retour. ont Ils ont interrogé 507 personnes qui avaient voyagé, sans enfants, dans les trois mois précédents. S'appuyant sur des théories en psychologie et sur des études dans le domaine des loisirs, ils ont évalué quatre facteurs contribuant à réduire le stress et à refaire le plein : -l'autonomie (le libre choix des activités) ; -la relaxation -le détachement -la maîtrise (qui réfère aux "activités qui distraient du travail en offrant des expériences stimulantes et des possibilités d'apprentissage" L'autonomie était une condition nécessaire dans le lien entre les expériences de voyage et une satisfaction accrue par rapport àla vie. Et, son effet sur la satisfaction s'exerçait par l'intermédiaire de la relaxation, du détachement et de la maîtrise. Des vacances plus courtes peuvent faciliter une voie passive de soulagement du stress (relaxation et détachement), tandis que des vacances plus longues peuvent faciliter une voie active (maîtrise)
Ce commentaire a été modifié le 03/06/2019 à 11:10
Kusmi Tea: que sont les substances toxiques décelées dans l'infusion à la camomille? Mauvaise nouvelle pour les adeptes du thé puisqu'une marque très connue dans ce domaine, Kusmi Tea, fait actuellement l'objetd'une mauvaise publicité dont elle se serait bien passée. Alors qu'il est connu que les fruits et les légumes peuvent contenir des pesticides, l'association de consommateurs allemande Warentest a révélé qu'une gamme de cette marque, les infusions à la camomille, contenait des alcaloïdes pyrrolizidiniques, une substance considérée comme cancérogène. L'information a été relayée en France par BFM Business qui fait également savoir qu'à la suite de cette nouvelle, le produit a été retiré du marché européen et des ventes en ligne. Les alcaloïdes pyrrolizidiniques sont des toxines produites naturellement par plusieurs espèces de plantes, pour la plupart des mauvaises herbes. Plus précisément, l'association affirme qu'un sachet de tisane à la camomille en contient à lui seul 161microgrammes, soit une dose 380 fois supérieure à la quantité qu'il ne faut pas dépasser au quotidien. Si la caractéristique cancérogène de cette substance a surtout été démontrée chez les rats, l'association Warentest explique, en citant l'Institut fédéral allemand d’évaluation des risques, que des niveaux élevés d'alcaloïdes pyrrolizidiniques peuvent endommager le foie humain au point de provoquer des intoxications hépatiques. Ainsi, un adulte de 60 kilos ne doit pas en consommer plus de 0,42 microgrammes par jour et un enfant de 16 kilos, pas plus de 0,11 microgramme. Une substance récoltée en même temps que les plantes. Outre le retrait du produit, la marque a également fait savoir qu'elle comptait saisir l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) pour avoir plus de précisions. Sur sa page Facebook, elle précise en effet que "cette substance ne fait l’objet, aux dires même de la fondation Warentest, d’aucun seuil maximum légal dans les produits alimentaires et (qu') il n’existe pas de consensus scientifiquesur son taux de nocivité". Pour expliquer cette contamination, celle-ci explique que "la substance naturelle détectée par la Fondation Warentest est présente naturellement dans de nombreuses plantes sauvages récoltées en même temps que la camomille". De son côté, la Fondation Warentest appelle les fournisseurs de tisanesà faire preuve de prudence dans la culture et la récolte de plantes destinées aux thés. Elle recommande notamment que les herbes sauvages connues pour leurs niveaux élevés en alcaloïdes pyrrolizidiniques soient détectées afin de faciliter le tri et d'éviter au maximum le risque de contamination. Enfin, elle précise qu'une intoxication immédiate est peu probable, mais qu'une consommation régulière comporte les risques évoqués, comme la cirrhose du foie et le cancer. Des risques difficiles à établir. L'EFSA estime que 6.000 espèces de plantes dans le monde sont susceptibles de contenir des alcaloïdes pyrrolizidiniques (AP). "La teneur en AP dans l’alimentation humaine et animale dépend d’un grand nombre de facteurs, notamment de l’espèce et de l’organe de la plante produisant des AP, de la récolte ainsi que des procédés de conservation et d’extraction", atteste-t-elle. En 2011, cette dernière avait publié un avis sur leur présence dans les denrées alimentaires pour humains et animaux. Les experts y affirmaient "qu’une classe d’AP, appelés AP 1,2-insaturés, peuvent agir comme des cancérigènes génotoxiques chez l’homme". Mais en en raison d’un manque de données disponibles, ils n'ont pu quantifier l’exposition par l’intermédiaire de denrées autres que le miel (en raison du butinage des abeilles), sans pour autant caractériser ce risque précis. En revanche, elle établit que la dose d’exposition induisant un effet toxique à long terme est de 15 µg/kg de poids corporel et par jour. Sur cette base, une enquête de la Dgccrf* en 2014 montre que sur 53 échantillons de miel et 31 compléments alimentaires, neuf échantillons de miel contenaient des AP à des teneurs comprises entre 0,6 et 14,4 µg/kg et un tiers des échantillons de compléments alimentaires contenaient ces substances à des teneurs comprises entre 2,3 et 225 µg/kg. "Cette enquête a permis cependant de sensibiliser les opérateurs à ce danger encore peu connu", ont conclut les enquêteurs. Dans ses conclusions, l'EFSA "encourage les efforts actuellement déployés pour recueillir davantage de données sur les AP", qui pourraient être potentiellement présents dans le lait, les œufs et la viande. Davantage de données sur l’origine géographique et botanique des AP sont également nécessaires pour comprendre où les concentrations peuvent être les plus élevées.
*Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes
Alexandra Bresson
Ce commentaire a été modifié le 01/06/2019 à 12:21
Entre les recommandations des nutritionnistes, les études scientifiqueset l’offre en boulangerie, pas toujours facile de bien choisir le pain et de le consommer au mieux... • Blanc, rustique ou aux graines? Les nutritionnistes sont unanimes: plus le pain est foncé, mieux c’est. Cela signifie que la farine utilisée est peu raffinée et offre un grain de blé toujours doté de son enveloppe où se concentrent fibres, vitamines et minéraux. - Plus une farine affiche un petit numéro (55 pour la baguette classique, 65 pour la tradition, 150 pour le pain complet), plus elle est blanche, pauvre en nutriments et prompte à faire grimper le poids et la glycémie car débarrassée des fibres ralentissant l’arrivée des glucides du pain dans le sang. - À la baguette blanche à l’indice glycémique très élevé (IG 78 à 90), préférez donc la tradition (IG57 à 75) ou le pain de seigle (IG58). Le pain complet, allié des transits paresseux (2,5 fois plus de fibres), affiche en revanche un IG élevé (IG 65 à 77) - Quant aux pains aux céréales, excellents, assurez-vous qu’ils soient vraiment préparés avec différentes farines (avoine, épeautre...) et pas juste décorés de quelques graines en surface... Et que ces graines soient bien pilées et bien cuites pour ne pas agresser le côlon. • Au levain ou à la levure? Tous deux permettent de faire lever le pain. Mais le levain est un procédé naturel de fermentation (via les bactéries de l’enveloppe du grain de blé) qui offre plus d’avantages. - Un pain au levain monte plus lentement et se conserve aussi bien plus longtemps qu’un pain gonflé à la levure. - Les vitamines et minéraux du pain au levain sont mieux assimilés par l’organisme et sa saveur acidulée permet de limiter l’ajout de sel. - Quelle que soit la farine utilisée, un pain au levain affiche un indice glycémique inférieur au pain monté à la levure. • Bien cuit ou pas trop? Question de goût. Mais pour la santé, mieux vaut préférer un pain bien cuit à son équivalent trop vite sorti du four. - Un pain bien cuit ne colle pas aux dents, ce qui limite le risque de caries et la formation de plaque dentaire dues à l’adhésion de ses glucides sur l’émail. - Peu cuit, l’indice glycémique du pain grimpe. Plus encore s’il est consommé chaud. - Un pain bien cuit est toujours plus digeste car la cuisson limite le travail de l’estomac. - Une mie trop fraîche favorise gaz et ballonnements, sauf à laisser un peu rassir le pain, en préférer la croûte ou le choisir au levain dont la lente fermentation dégrade l’amidon (sucre du pain) et en facilite l’assimilation. À éviter: le pain de mie qui cumule farine blanche, levure, lait, sel, sucre et lipides. • Grillé ou pas? Pour l‘OMS et récemment l’Agence de sécurité sanitaire britannique, griller le pain doit se faire avec discernement. - Le pain est riche en amidon et lorsque ce glucide est soumis à trop forte température, s’ensuit une réaction chimique (glycation) qui le transforme en acrylamide, substance potentiellement cancérigène. Il est donc recommandé de toaster couleur "or" et non "brune" et surtout de ne pas faire brûler sa tartine. - Gare aux pains grillés industriels: contrairement au vrai pain, pauvre en lipides (0,3 à 1,2g/100g), les biscottes sont grasses (5 à 8g de lipides/100g) et souvent gorgées de sirop de glucose pour en améliorer goût et texture. • Avec ou sans gluten? Le gluten (ensemble de protéines) est un ingrédient majeur du pain auquel il donne son élasticité. Difficile donc de trouver du vrai pain sans gluten... - Seules les personnes atteintes de la maladie coeliaque (1% de la population) doivent définitivement bannir blé, froment, épeautre, kamut, seigle et orge. Pour celles sensibles au gluten sans y être intolérantes, le pain au levain, dont les bactéries contribuent à dégrader le gluten lors de la fermentation, peut être intéressant. - Attention aux pains industriels sans gluten, la plupart compensent l’absence de la protéine par des additifs, des sucres, des graisses... Mieux vaut acheter en boutique bio en se référant au logo "épi de blé barré" (liste sur www.afdiag.fr). Ou remplacer le pain classique par un Pain des Fleurs, sortes de biscottes au sarrasin, quinoa, riz, avoine... Ou encore, faire soi-même son pain "sans", à base de farine de riz complet, maïs ou châtaigne.
Merci à l’Observatoire du pain (centre d’informations scientifiques sur le pain), au Dr Pierre Nys (auteur de "Ma bible IG", Ed Leducs), au Dr Christophe Lequart (porte-parole de L’UFSBD) et au Dr Alexandra Dalu (100 idées reçues qui vous empêchent d’aller bien, Ed Leducs).
La pyramide alimentaire est un outil de référence en ce qui concerne l’équilibre alimentaire de base. Si celle-ci est bien utilisée au quotidien, cela permet de faire les bons choix et d’équilibrer l’alimentation. Dans cet article nous allons apprendre comment la lire et surtout comment appliquer ses principes dans notre alimentation de tous les jours. Quelques principes de base sur la pyramide alimentaire. Avant de commencer, vous devez savoir que la pyramide alimentaire est un outil destiné aux adultes ayant un style de vie « normal ». Les bébés, enfants, adolescents et sportifs ne peuvent pas utiliser la pyramide comme référence car elle n’est pas adaptée à leurs besoins spécifiques.La forme pyramidale n’a pas été choisie au hasard : la base (côté le plus large) représente les familles d’aliments qu’il est recommandé de consommer en quantité importante et ce, tous les jours, tandis que le sommet (pointe de la pyramide), représente les aliments non indispensables à notre équilibre alimentaire et qu’il faut donc consommer occasionnellement ou en quantité très réduite. Vous constaterez également que, bien que cela ne fasse pas partie de l’alimentation, l’activité physique est présente dans notre version de la pyramide alimentaire. Ce choix a été fait car il est important de prendre conscience que l’activité physique est indissociable de l’alimentation dans un mode de vie équilibré, et ce à raison de minimum 30 minutes par jour et d’une séance d’une heure de sport par semaine. Dans chaque famille d’aliments, il est également important de faire les bons choix car appartenant à une même famille nutritionnelle, les aliments peuvent avoir des qualités différentes. La pyramide alimentaire : les bases.
La base : L’eau et les boissons non sucrées. L’hydratation est la base de l’alimentation. Sans eau, il n’existe pas de forme de vie, sans eau, nous ne pouvons survivre quequelques jours. Par contre, distinguons l’eau et les boissons non sucrées comme le thé, les infusions et le café des autres boissons contenant du sucre. Celles-ci se retrouvent en haut de la pyramide et doivent être consommées occasionnellement. Concernant l’eau, il est recommandé de consommer un minimum d’un litre et demi par jour. Limitez cependant la consommation des eaux riches en sel sauf si besoin spécifique de votre organisme. Les fruits et légumes. Par rapport à la pyramide utilisée il y a quelques années, les fruits et légumes ont pris le devant sur les féculents. Ce choix n’est pas fait au hasard, les recommandations en fruits et légumes ayant augmentées ces dernières années (400 à 800 grammes par jour), apportant une place plus importante à cette famille d’aliments. Attention cependant qu’il existe des différences de qualité entre les fruits et légumes , l’idéal étant de les choisir issus de l’agriculture biologique, locaux et provenant de circuits courts. Attention également à la transformationdes fruits et légumes. Un fruit entier n’est pas équivalent à une compote, un jus, un coulis ou un fruit en boite. Préférez toujours les fruits et légumes frais ou surgelés et transformez-les vous-même. Les féculents. Catégorie importante de la pyramide, les féculents doivent être consommés quotidiennement et ce, à chaque repas, afin de fournir l’énergie nécessaire à votre organisme. Préférez-les complets et issus de l’agriculture biologique. Se retrouvent dans cette catégorie: le pain, le blé et ses produits dérivés, le quinoa, le sarrasin, la pomme de terre, le riz, le maïs, … Attention que bien qu’étant des produits céréaliers les biscuits et céréales sucrées ne font pas partie de cette famille d’aliments. Nous retrouvons ces derniers au sommet de la pyramide dans les produits gras et/ou sucrés. Par contre, les flocons d’avoine et muesli nonsucrés font bien partie des féculents. Les protéines animales et végétales. Cette famille a également été modifiée par rapport à la pyramide d’il y a quelques années. En effet, les légumineuses ont quitté la famille des légumes pour intégrer celle des protéines. On y retrouve donc la viande, le poisson, la volaille, les œufs, le soja et ses dérivés, les légumineuses et autres formes de protéines végétales. Il est recommandé d’en consommer une à deux portions par jour, et idéalement de consommer à part égale les protéines animales et végétales. Les produits laitiers. Dans la pyramide, les produits laitiers sont associés à leurs alternatives végétales enrichies en calcium. Afin d’arriver à la quantité de calcium conseillée, il est recommandé de consommer deux à trois portions de produits laitiers ou équivalent par jour. Notez cependant que les légumes verts sont également une bonne source de calcium. Les matières grasses et oléagineux. Dans cette catégorie, il existe de grandes divergences de qualité entre les aliments. Notez que l’on arrive au sommet de la pyramide et donc, même si vous optez pour des lipides de qualité, il est important de les consommer de manière modérée car cela reste une source de graisse.A nouveau, veillez à consommer des produits les plus naturels et les moins transformés possible et variez un maximum les sources de matières grasses. Les produits gras et/ou sucrés. Ces aliments, bien que peu recommandables, ont leur place dans la pyramide car ils se trouvent dans les magasins d’alimentation. Ils peuvent être intégrés dans une alimentation équilibrée s’ils sont consommés occasionnellement ou en faible quantité. Sachez cependant qu’ils ne sont pas indispensables à votre équilibre alimentaire.
Comme vous avez pu le constater, il n’est pas toujours évident de trouver un équilibre alimentaire mais si vos journées se calquent sur cette pyramide, en consommant des produits de qualité, le moins transformé et le plus varié possible, vous pouvez considérer votre alimentation comme équilibrée.
N’hésitez pas à télécharger la pyramide alimentaire et à l’afficher sur votre frigo afin de l’avoir toujours à l’œil .
Ce commentaire a été modifié le 28/05/2019 à 09:46
Voici trois remèdes pour améliorer la mémoire, les troubles de la concentration et les problèmes d’attention. Faites des plantes vos alliées, votre mémoire ne s’en portera que mieux ! 1-Le bacopa. Le bacopa, depuis près de trois mille ans, est utilisé par la médecine traditionnelle indienne, pour combattre les problèmes d’attention et de mémoire. C’est une plante à feuilles épaisses et à fleurs blanches, qui pousse dans les régions humides. Elle est réputée souveraine pour combattre le stress, les dysfonctions intellectuelles et les troubles cognitifs. Vous pouvez également mélanger le Bacopa et le Ginseng, reconnue pour ses vertus stimulantes des neurones et de la mémoire. 2-Le Ginkgo Biloba. Le Ginkgo Biloba est aussi une plante efficace pour aider à lutter contre les problèmes de mémoire. Elle contient des glycosides de flavonol et des lactones terpéniques, qui aident le cerveau à fonctionner, en améliorant notamment le métabolisme du glucose cérébral,et en dilatant les vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, ce qui favorise son alimentation en oxygène. Elle traite les problèmes de mémoire en général, les troubles de la concentration, et aussi la sénilité. 3-Le guarana. Le guarana est le fruit d’un arbuste originaire de l’Amazonie. Son nom est dérivé du mot « wara’ná » qui en langage indigène signifie « fruit semblable aux yeux des personnes », ou « œil de la forêt », en raison de l’aspect de son fruit. Mais le plus intéressant chez ce fruit,c’est qu’il contient une très importante concentration de caféine. Il agit comme un neurostimulant et améliore les fonctions cérébrales. En période d’examen, cet allié naturel peut faire toute la différence. Il est connu aussi pour aider à l’amincissement. Elle est disponible sous des formes diverses, qui vont des tisanes aux gélules, en passant par la poudre de guarana, à consommer diluée dans un verre d’eau ou de jus de fruit. ICI.....
ANASTORE 88 ter Avenue du Général Leclerc Boulogne-Billancourt 92100 FRANCE
Ce commentaire a été modifié le 23/05/2019 à 10:39
Le 15 mai, un couple nantais a été intoxiqué après avoir mangé un tubercule non comestible cueilli dans leur jardin. L'homme est mort des suites de l'empoisonnement. L’aliment suspect est un tubercule toxique, ont indiqué les autorités. L’hypothèse de l’œnanthe safranée est avancée, rapporte Ouest France.
Des fleurs d'œnanthe safranée dont les racines contiennent la molécule dl'œnanthotoxine. « Dans nos jardins, les plantes toxiques cohabitent avec les comestibles », rappelle le journal, citant le botaniste de la Ville de Nantes, Philippe Férard. La liste des plantes toxiques est longue : « muguet, houx, laurier-rose, prunus, lierre grimpant, if, genêt à balai, daphné, cytise, aconit, petite ciguë, grande ciguë, chèvrefeuille, glycine, clématite, rhubarbe, belladone… » Le Jardin des plantes de Nantes évalue le degré de toxicité de l'œnanthe safranée (Oenanthe crocata) à cinq sur cinq, indique Ouest-France. « Ses racines sont les plus dangereuses. On peut confondre son tubercule avec une carotte sauvage, la racine du radis, du navet ou du céleri. » Elles « ressemblent à une botte de carottes. À la différence du persil tubéreux, par exemple, qui n’a qu’une seule racine », explique Philippe Férard. En entrevue pour Le Figaro, l’ethnobotaniste François Couplan mentionne quelques confusions fréquentes entre des plantes comestibles et toxiques. Le laurier-rose confondu avec le laurier-sauce. Les fleurs, l’écorce et le bois du premier sont potentiellement mortels. Les feuilles de muguet prises pour de l’ail des ours. Toute la plante, surtout les fruits, est l’une des plus toxiques de notre flore. La petite ciguë dont les feuilles ressemblent à du persil non frisé. L’amalgame entre les petites baies noires juteuses et à haute teneur alcaloïde de la belladone et les myrtilles. François Couplan a publié plusieurs livres, dont, « Plantes sauvages, comestibles et toxiques » (Delachaux et Niestlé, 2018) avec Eva Styner et « Plantes médicinales » (Larousse, 2017). Attention à la toxicité du muguet
Ce commentaire a été modifié le 22/05/2019 à 09:21
Traiter le psoriasis. Dermatologie « J’ai du psoriasis et j’aimerais savoir comment calmer au mieux les crises », Pierre, 37 ans .
Le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique cutanée dont on ne peut pas contrôler les poussées ; une irritation, une infection, un stress ou un choc émotionnel peuvent les favoriser. Cette pathologie s’explique par la tendance de la peau à se renouveler trop rapidement, en 8 jours au lieu de 28, et donc mal. N’ayant pas le temps de s’éliminer, les squames s’accumulent et la peau s’épaissit. Cela se traduit par des plaques rouges et des démangeaisons, sur les coudes, les genoux, le cuir chevelu… Aussi inesthétiques qu’inconfortables, ces crises se traitent alors pour améliorer le confort social et la qualité de vie. La douceur de rigueur. Apaiser les démangeaisons passe par le fait de ne pas irriter davantage la peau. La première consigne est de ne pas porter de vêtements serrés, susceptibles d’agresser les plaques. Il est également recommandé de bien choisir ses produits d’hygiène – les gels surgras sans savons ou les pains dermatologiques lavent sans décaper le film hydrolipidique. Après la toilette, à l’eau pas trop chaude, se sécher (sans frotter !) en tamponnant doucement la peau avec la serviette. Et, pour garder l’eau, appliquez aussitôt après le bain ou la douche un lait, une crème ou un baume riches en huiles ou beurres végétaux. Hydrater la peau est essentiel pour prévenir les sensations de tiraillement et les démangeaisons dues au psoriasis. Les bons réflexes pour les cheveux. Le psoriasis se développe très fréquemment sur le cuir chevelu. Pour ne pas attiser les démangeaisons ou entraîner la croissance de nouvellesplaques, opter pour des brosses à poils doux et limiter l’usage d’un sèche-cheveux. Outre ces précautions quotidiennes, un traitement local sous forme de gel, de lotion, de mousse ou de shampooings pharmaceutiques contribue à atténuer les plaques et diminuer le prurit. Il est en effet important de ne pas céder à l’envie de se gratter la tête : 5 minutes de grattage accélèrent le renouvellement de la peau et suffisent à réactiver la crise pendant deux semaines… Les bienfaits des ultraviolets. Quand la saison le permet, les bains de mer et de soleil ont aussi un effet bénéfique sur le psoriasis. L’eau salée est connue pour ses effets cicatrisants même si elle provoque souvent des sensations de picotement sur les plaques lors des premières baignades. De son côté, user sans abuser du soleil apaise les crises chez certains : les ultraviolets ont des vertus anti-inflammatoires, sous réserve de protéger sa peau pour ne pas brûler car les coups de soleil ont l’effet inverse désiré. Loin des périodes estivales, il est possible de profiterdes bienfaits de la photothérapie en cabine – sous contrôle dermatologique dans des cabinets médicaux. À lire aussi : Dossier : Psoriasis, des traitements existent À lire aussi : Mycose ou psoriasis de l’ongle ? À lire aussi : Les bienfaits des cures thermales
Voici trois remèdes pour améliorer la mémoire, les troubles de la concentration et les problèmes d’attention.
Faites des plantes vos alliées, votre mémoire ne s’en portera que mieux !
Le bacopa.
Le bacopa, depuis près de trois mille ans, est utilisé par la médecine traditionnelle indienne, pour combattre les problèmes
d’attention et de mémoire. C’est une plante à feuilles épaisses et à fleurs blanches, qui pousse dans les régions humides. Elle est réputée souveraine pour combattre le stress, les dysfonctions intellectuelles et les troubles cognitifs. Vous pouvez également mélanger le Bacopa et le Ginseng, reconnue pour ses vertus stimulantes des neurones et de la mémoire.
Le Ginkgo Biloba.
Le Ginkgo Biloba est aussi une plante efficace pour aider à lutter contre les problèmes de mémoire. Elle contient des glycosides de
flavonol et des lactones terpéniques, qui aident le cerveau à fonctionner, en améliorant notamment le métabolisme du glucose cérébral,et en dilatant les vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, ce qui favorise son alimentation en oxygène. Elle traite les problèmes de mémoire en général, les troubles de la concentration, et aussi la sénilité.
Le guarana.
Le guarana est le fruit d’un arbuste originaire de l’Amazonie. Son nom est dérivé du mot « wara’ná » qui en langage indigène signifie « fruit semblable aux yeux des personnes », ou « œil de la forêt », en raison de l’aspect de son fruit.
Mais le plus intéressant chez ce fruit,c’est qu’il contient une très importante concentration de caféine. Il agit comme un neurostimulant et améliore les fonctions cérébrales. En période d’examen, cet allié naturel peut faire toute la différence. Il est connu aussi pour aider à l’amincissement. Elle est disponible sous des formes diverses, qui vont des tisanes aux gélules, en passant par la poudre de guarana, à consommer diluée dans un verre d’eau ou de jus de fruit.
Est-il dangereux de dormir avec son téléphone portable ?
Souvent indispensable pour le travail et les loisirs, le téléphone portable trouve-t-il aussi sa place sur les tables de chevet ? Est-ce que garder son téléphone portable près de sa tête la nuit est dangereux ?
Voici trois informations qui, au risque de vous étonner, pourront peut-être vous éviter quelques soucis de santé.
Une lumière hyper-stimulante.
Attention à l’usage du téléphone portable durant la nuit ! En effet, le corps peut subir des perturbations importantes liées à l’écran en
condition nocturne. Les études démontrent que les personnes qui consultent leur téléphone la nuit subissent des effets aussi importants
qu’avec la caféine, en raison de la présence de la lumière bien trop vive dans ce contexte. Outre l’augmentation du rythme cardiaque, la
lumière est particulièrement stimulante, perturbant le rythme naturel par son ton bleuté.
Le mode avion, votre meilleur allié anti-stress.
Il est vivement déconseillé de dormir à proximité du téléphone portable, sauf si ce dernier est placé en mode « avion ». Grâce à ce
mode, les nuits seront plus paisibles, et surtout sans risque d’être dérangé à tout moment. Tant que le téléphone reste allumé et à portée des mains, le subconscient n’est pas entièrement libre et disponible, et reste prêt à gérer de nouvelles demandes. Pour éviter d’être perturbé, mieux vaut donc éteindre son appareil ou le passer en mode avion, et profiter d’un sommeil réparateur.
Le coussin restera votre unique repose-tête.
Autant durant la nuit que lors de siestes, évitez à tout prix de placer votre téléphone près de votre tête. Étant une zone du corps très
sensible, elle serait à proximité directe des innombrables ondes émises par votre appareil.
du stress du travail.
Une étude a examiné les mécanismes et les facteurs psychologiques par lesquels les expériences de voyage peuvent permettre de récupérer du stress lié au travail.
La chercheure en psychologie Chun-Chu Chen de la Washington State University et ses collègues ont développé un modèle selon lequel la récupération par rapport au stress au moyen d'activités touristiques entraîne une amélioration de la satisfaction de vie au retour. ont Ils ont interrogé 507 personnes qui avaient voyagé, sans enfants, dans les trois mois précédents.
S'appuyant sur des théories en psychologie et sur des études dans le domaine des loisirs, ils ont évalué quatre facteurs contribuant à réduire le stress et à refaire le plein :
-l'autonomie (le libre choix des activités) ;
-la relaxation
-le détachement
-la maîtrise (qui réfère aux "activités qui distraient du travail en offrant des expériences stimulantes et des possibilités d'apprentissage"
L'autonomie était une condition nécessaire dans le lien entre les expériences de voyage et une satisfaction accrue par rapport àla vie. Et, son effet sur la satisfaction s'exerçait par l'intermédiaire de la relaxation, du détachement et de la maîtrise.
Des vacances plus courtes peuvent faciliter une voie passive de soulagement du stress (relaxation et détachement), tandis que des vacances plus longues peuvent faciliter une voie active (maîtrise)
Mauvaise nouvelle pour les adeptes du thé puisqu'une marque très connue dans ce domaine, Kusmi Tea, fait actuellement l'objetd'une mauvaise publicité dont elle se serait bien passée. Alors qu'il est connu que les fruits et les légumes peuvent contenir des pesticides, l'association de consommateurs allemande Warentest a révélé qu'une gamme de cette marque, les infusions à la camomille, contenait des alcaloïdes pyrrolizidiniques, une substance considérée comme cancérogène.
L'information a été relayée en France par BFM Business qui fait également savoir qu'à la suite de cette nouvelle, le produit a été retiré du marché européen et des ventes en ligne. Les alcaloïdes pyrrolizidiniques sont des toxines produites naturellement par plusieurs espèces de plantes, pour la plupart des mauvaises herbes. Plus précisément, l'association affirme qu'un sachet de tisane à la camomille en contient à lui seul 161microgrammes, soit une dose 380 fois supérieure à la quantité qu'il ne faut pas dépasser au quotidien.
Si la caractéristique cancérogène de cette substance a surtout été démontrée chez les rats, l'association Warentest explique, en citant l'Institut fédéral allemand d’évaluation des risques, que des niveaux élevés d'alcaloïdes pyrrolizidiniques peuvent endommager le foie humain au point de provoquer des intoxications hépatiques. Ainsi, un adulte de 60 kilos ne doit pas en consommer plus de 0,42 microgrammes par jour et un enfant de 16 kilos, pas plus de 0,11 microgramme.
Une substance récoltée en même temps que les plantes.
Outre le retrait du produit, la marque a également fait savoir qu'elle comptait saisir l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) pour avoir plus de précisions. Sur sa page Facebook, elle précise en effet que "cette substance ne fait l’objet, aux dires même de la fondation Warentest, d’aucun seuil maximum légal dans les produits alimentaires et (qu') il n’existe pas de consensus scientifiquesur son taux de nocivité".
Pour expliquer cette contamination, celle-ci explique que "la substance naturelle détectée par la Fondation Warentest est présente naturellement dans de nombreuses plantes sauvages récoltées en même temps que la camomille". De son côté, la Fondation Warentest appelle les fournisseurs de tisanesà faire preuve de prudence dans la culture et la récolte de plantes destinées aux thés.
Elle recommande notamment que les herbes sauvages connues pour leurs niveaux élevés en alcaloïdes pyrrolizidiniques soient détectées afin de faciliter le tri et d'éviter au maximum le risque de contamination.
Enfin, elle précise qu'une intoxication immédiate est peu probable, mais qu'une consommation régulière comporte les risques évoqués, comme la cirrhose du foie et le cancer.
Des risques difficiles à établir.
L'EFSA estime que 6.000 espèces de plantes dans le monde sont susceptibles de contenir des alcaloïdes pyrrolizidiniques (AP). "La teneur en AP dans l’alimentation humaine et animale dépend d’un grand nombre de facteurs, notamment de l’espèce et de l’organe de la plante produisant des AP, de la récolte ainsi que des procédés de conservation et d’extraction", atteste-t-elle. En 2011, cette dernière avait publié un avis sur leur présence dans les denrées alimentaires pour humains et animaux.
Les experts y affirmaient "qu’une classe d’AP, appelés AP 1,2-insaturés, peuvent agir comme des cancérigènes génotoxiques chez l’homme". Mais en en raison d’un manque de données disponibles, ils n'ont pu quantifier l’exposition par l’intermédiaire de denrées autres que le miel (en raison du butinage des abeilles), sans pour autant caractériser ce risque précis. En revanche, elle établit que la dose d’exposition induisant un effet toxique à long terme est de 15 µg/kg de poids corporel et par jour.
Sur cette base, une enquête de la Dgccrf* en 2014 montre que sur 53 échantillons de miel et 31 compléments alimentaires, neuf
échantillons de miel contenaient des AP à des teneurs comprises entre 0,6 et 14,4 µg/kg et un tiers des échantillons de compléments alimentaires contenaient ces substances à des teneurs comprises entre 2,3 et 225 µg/kg. "Cette enquête a permis cependant de sensibiliser les opérateurs à ce danger encore peu connu", ont conclut les enquêteurs.
Dans ses conclusions, l'EFSA "encourage les efforts actuellement déployés pour recueillir davantage de données sur les AP", qui pourraient être potentiellement présents dans le lait, les œufs et la viande. Davantage de données sur l’origine géographique et botanique des AP sont également nécessaires pour comprendre où les concentrations peuvent être les plus élevées.
*Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes
Alexandra Bresson
Par Magali Quent
Entre les recommandations des nutritionnistes, les études scientifiqueset l’offre en boulangerie, pas toujours facile de bien choisir le pain et de le consommer au mieux...
• Blanc, rustique ou aux graines?
Les nutritionnistes sont unanimes: plus le pain est foncé, mieux c’est. Cela signifie que la farine utilisée est peu raffinée et offre un grain de blé toujours doté de son enveloppe où se concentrent fibres, vitamines et minéraux.
- Plus une farine affiche un petit numéro (55 pour la baguette classique, 65 pour la tradition, 150 pour le pain complet), plus elle est blanche, pauvre en nutriments et prompte à faire grimper le poids et la glycémie car débarrassée des fibres ralentissant l’arrivée des glucides du pain dans le sang.
- À la baguette blanche à l’indice glycémique très élevé (IG 78 à 90), préférez donc la tradition (IG57 à 75) ou le pain de seigle (IG58). Le pain complet, allié des transits paresseux (2,5 fois plus de fibres), affiche en revanche un IG élevé (IG 65 à 77)
- Quant aux pains aux céréales, excellents, assurez-vous qu’ils soient vraiment préparés avec différentes farines (avoine, épeautre...) et pas juste décorés de quelques graines en surface... Et que ces graines
soient bien pilées et bien cuites pour ne pas agresser le côlon.
• Au levain ou à la levure?
Tous deux permettent de faire lever le pain. Mais le levain est un procédé naturel de fermentation (via les bactéries de l’enveloppe du grain de blé) qui offre plus d’avantages.
- Un pain au levain monte plus lentement et se conserve aussi bien plus longtemps qu’un pain gonflé à la levure.
- Les vitamines et minéraux du pain au levain sont mieux assimilés par l’organisme et sa saveur acidulée permet de limiter l’ajout de sel.
- Quelle que soit la farine utilisée, un pain au levain affiche un indice glycémique inférieur au pain monté à la levure.
• Bien cuit ou pas trop?
Question de goût. Mais pour la santé, mieux vaut préférer un pain bien cuit à son équivalent trop vite sorti du four.
- Un pain bien cuit ne colle pas aux dents, ce qui limite le risque de caries et la formation de plaque dentaire dues à l’adhésion de ses glucides sur l’émail.
- Peu cuit, l’indice glycémique du pain grimpe. Plus encore s’il est consommé chaud.
- Un pain bien cuit est toujours plus digeste car la cuisson limite le travail de l’estomac.
- Une mie trop fraîche favorise gaz et ballonnements, sauf à laisser un peu rassir le pain, en préférer la croûte ou le choisir au levain dont la lente fermentation dégrade l’amidon (sucre du pain) et en facilite l’assimilation.
À éviter: le pain de mie qui cumule farine blanche, levure, lait, sel, sucre et lipides.
• Grillé ou pas?
Pour l‘OMS et récemment l’Agence de sécurité sanitaire britannique, griller le pain doit se faire avec discernement.
- Le pain est riche en amidon et lorsque ce glucide est soumis à trop forte température, s’ensuit une réaction chimique (glycation) qui le transforme en acrylamide, substance potentiellement cancérigène. Il est donc recommandé de toaster couleur "or" et non "brune" et surtout de ne pas faire brûler sa tartine.
- Gare aux pains grillés industriels: contrairement au vrai pain, pauvre en lipides (0,3 à 1,2g/100g), les biscottes sont grasses (5 à 8g de lipides/100g) et souvent gorgées de sirop de glucose pour en améliorer goût et texture.
• Avec ou sans gluten?
Le gluten (ensemble de protéines) est un ingrédient majeur du pain auquel il donne son élasticité. Difficile donc de trouver du vrai pain sans gluten...
- Seules les personnes atteintes de la maladie coeliaque (1% de la population) doivent définitivement bannir blé, froment, épeautre, kamut, seigle et orge. Pour celles sensibles au gluten sans y être intolérantes, le pain au levain, dont les bactéries contribuent à dégrader le gluten lors de la fermentation, peut être
intéressant.
- Attention aux pains industriels sans gluten, la plupart compensent l’absence de la protéine par des additifs, des sucres, des graisses... Mieux vaut acheter en boutique bio en se référant au logo "épi de blé barré" (liste sur www.afdiag.fr). Ou remplacer le pain classique par un Pain des Fleurs, sortes de biscottes au sarrasin, quinoa, riz, avoine... Ou encore, faire soi-même son pain "sans", à base de farine de riz complet, maïs ou châtaigne.
Merci à l’Observatoire du pain (centre d’informations scientifiques sur le pain), au Dr Pierre Nys (auteur de "Ma bible IG", Ed Leducs), au Dr Christophe Lequart (porte-parole de L’UFSBD) et au Dr Alexandra Dalu
(100 idées reçues qui vous empêchent d’aller bien, Ed Leducs).
À lire aussi:
Vrai/faux: manger sans gluten, est-ce meilleur pour la santé?
Par Sarah Garny
La pyramide alimentaire est un outil de référence en ce qui concerne l’équilibre alimentaire de base. Si celle-ci est bien utilisée au quotidien, cela permet de faire les bons choix et d’équilibrer l’alimentation. Dans cet article nous allons apprendre comment la lire et surtout comment appliquer ses principes dans notre alimentation de tous les jours.
Quelques principes de base sur la pyramide alimentaire.
Avant de commencer, vous devez savoir que la pyramide alimentaire est un outil destiné aux adultes ayant un style de vie « normal ». Les bébés, enfants, adolescents et sportifs ne peuvent pas utiliser la pyramide comme référence car elle n’est pas adaptée à leurs besoins spécifiques.La forme pyramidale n’a pas été choisie au hasard : la base (côté le plus large) représente les familles d’aliments qu’il est recommandé de consommer en quantité importante et ce, tous les jours, tandis que le sommet (pointe de la pyramide), représente les aliments non indispensables à notre équilibre alimentaire et qu’il faut donc consommer occasionnellement ou en quantité très réduite.
Vous constaterez également que, bien que cela ne fasse pas partie de l’alimentation, l’activité physique est présente dans notre version de la pyramide alimentaire. Ce choix a été fait car il est important de prendre conscience que l’activité physique est indissociable de l’alimentation dans un mode de vie équilibré, et ce à raison de minimum 30 minutes par jour et d’une séance d’une heure de sport par semaine. Dans chaque famille d’aliments, il est également important de faire les bons choix car appartenant à une même famille nutritionnelle, les aliments peuvent avoir des qualités différentes.
La pyramide alimentaire : les bases.
La base : L’eau et les boissons non sucrées.
L’hydratation est la base de l’alimentation. Sans eau, il n’existe pas de forme de vie, sans eau, nous ne pouvons survivre quequelques jours. Par contre, distinguons l’eau et les boissons non sucrées comme le thé, les infusions et le café des autres boissons contenant du sucre. Celles-ci se retrouvent en haut de la pyramide et doivent être consommées occasionnellement.
Concernant l’eau, il est recommandé de consommer un minimum d’un litre et demi par jour. Limitez cependant la consommation des eaux riches en sel sauf si besoin spécifique de votre organisme.
Les fruits et légumes.
Par rapport à la pyramide utilisée il y a quelques années, les fruits et légumes ont pris le devant sur les féculents. Ce choix n’est pas fait au hasard, les recommandations en fruits et légumes ayant augmentées ces dernières années (400 à 800 grammes par jour), apportant une place plus importante à cette famille d’aliments.
Attention cependant qu’il existe des différences de qualité entre les fruits et légumes , l’idéal étant de les choisir issus de l’agriculture biologique, locaux et provenant de circuits courts. Attention également à la transformationdes fruits et légumes. Un fruit entier n’est pas équivalent à une compote, un jus, un coulis ou un fruit en boite. Préférez toujours les fruits et légumes frais ou surgelés et transformez-les vous-même.
Les féculents.
Catégorie importante de la pyramide, les féculents doivent être consommés quotidiennement et ce, à chaque repas, afin de fournir l’énergie nécessaire à votre organisme. Préférez-les complets et issus de l’agriculture biologique. Se retrouvent dans cette catégorie: le pain, le blé et ses produits dérivés, le quinoa, le sarrasin, la pomme de terre, le riz, le maïs, … Attention que bien qu’étant des produits céréaliers les biscuits et céréales sucrées ne font pas partie de cette famille d’aliments. Nous retrouvons ces derniers au sommet de la pyramide dans les produits gras et/ou sucrés. Par contre, les flocons d’avoine et muesli nonsucrés font bien partie des féculents.
Les protéines animales et végétales.
Cette famille a également été modifiée par rapport à la pyramide d’il y a quelques années. En effet, les légumineuses ont quitté la famille des légumes pour intégrer celle des protéines. On y retrouve donc la viande, le poisson, la volaille, les œufs, le soja et ses dérivés, les légumineuses et autres formes de protéines végétales. Il est recommandé d’en consommer une à deux portions par jour, et idéalement de consommer à part égale les protéines animales et végétales.
Les produits laitiers.
Dans la pyramide, les produits laitiers sont associés à leurs alternatives végétales enrichies en calcium. Afin d’arriver à la quantité de calcium conseillée, il est recommandé de consommer deux à trois portions de produits laitiers ou équivalent par jour. Notez cependant que les légumes verts sont également une bonne source de calcium.
Les matières grasses et oléagineux.
Dans cette catégorie, il existe de grandes divergences de qualité entre les aliments. Notez que l’on arrive au sommet de la pyramide et donc, même si vous optez pour des lipides de qualité, il est important de les consommer de manière modérée car cela reste une source de graisse.A nouveau, veillez à consommer des produits les plus naturels et les moins transformés possible et variez un maximum les sources de matières grasses.
Les produits gras et/ou sucrés.
Ces aliments, bien que peu recommandables, ont leur place dans la pyramide car ils se trouvent dans les magasins d’alimentation. Ils peuvent être intégrés dans une alimentation équilibrée s’ils sont consommés occasionnellement ou en faible quantité. Sachez cependant qu’ils ne sont pas indispensables à votre équilibre alimentaire.
Comme vous avez pu le constater, il n’est pas toujours évident de trouver un équilibre alimentaire mais si vos journées se calquent sur cette pyramide, en consommant des produits de qualité, le moins transformé et le plus varié possible, vous pouvez considérer votre alimentation comme équilibrée.
N’hésitez pas à télécharger la pyramide alimentaire et à l’afficher sur votre frigo afin de l’avoir toujours à l’œil
Voici trois remèdes pour améliorer la mémoire, les troubles de la concentration et les problèmes d’attention.
Faites des plantes vos alliées, votre mémoire ne s’en portera que mieux !
1-Le bacopa.
Le bacopa, depuis près de trois mille ans, est utilisé par la médecine traditionnelle indienne, pour combattre les problèmes d’attention et de mémoire. C’est une plante à feuilles épaisses et à fleurs blanches, qui pousse dans les régions humides. Elle est réputée souveraine pour combattre le stress, les dysfonctions intellectuelles et les troubles cognitifs. Vous pouvez également mélanger le Bacopa et le Ginseng, reconnue pour ses vertus stimulantes des neurones et de la mémoire.
2-Le Ginkgo Biloba.
Le Ginkgo Biloba est aussi une plante efficace pour aider à lutter contre les problèmes de mémoire. Elle contient des glycosides de
flavonol et des lactones terpéniques, qui aident le cerveau à fonctionner, en améliorant notamment le métabolisme du glucose cérébral,et en dilatant les vaisseaux sanguins qui irriguent le cerveau, ce qui favorise son alimentation en oxygène. Elle traite les problèmes de mémoire en général, les troubles de la concentration, et aussi la sénilité.
3-Le guarana.
Le guarana est le fruit d’un arbuste originaire de l’Amazonie.
Son nom est dérivé du mot « wara’ná » qui en langage indigène signifie « fruit semblable aux yeux des personnes », ou « œil de la forêt », en raison de l’aspect de son fruit. Mais le plus intéressant chez ce fruit,c’est qu’il contient une très importante concentration de caféine. Il agit comme un neurostimulant et améliore les fonctions cérébrales. En période d’examen, cet allié naturel peut faire toute la différence. Il est connu aussi pour aider à l’amincissement. Elle est disponible sous des formes diverses, qui vont des tisanes aux gélules, en passant par la poudre de guarana, à consommer diluée dans un verre d’eau ou de jus de fruit.
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Psychomédia
Le 15 mai, un couple nantais a été intoxiqué après avoir mangé un tubercule non comestible cueilli dans leur jardin. L'homme est mort des suites de l'empoisonnement.
L’aliment suspect est un tubercule toxique, ont indiqué les autorités. L’hypothèse de l’œnanthe safranée est avancée, rapporte Ouest France.
Des fleurs d'œnanthe safranée dont les racines contiennent la molécule dl'œnanthotoxine.
« Dans nos jardins, les plantes toxiques cohabitent avec les comestibles », rappelle le journal, citant le botaniste de la Ville de Nantes, Philippe Férard.
La liste des plantes toxiques est longue : « muguet, houx, laurier-rose, prunus, lierre grimpant, if, genêt à balai, daphné, cytise, aconit, petite ciguë, grande ciguë, chèvrefeuille, glycine, clématite, rhubarbe, belladone… »
Le Jardin des plantes de Nantes évalue le degré de toxicité de l'œnanthe safranée (Oenanthe crocata) à cinq sur cinq, indique Ouest-France. « Ses racines sont les plus dangereuses. On peut confondre son tubercule avec une carotte sauvage, la racine du radis, du navet ou du céleri. » Elles « ressemblent à une botte de carottes. À la différence du persil tubéreux, par exemple, qui n’a qu’une seule racine », explique Philippe Férard.
En entrevue pour Le Figaro, l’ethnobotaniste François Couplan mentionne quelques confusions fréquentes entre des plantes comestibles et toxiques. Le laurier-rose confondu avec le laurier-sauce. Les fleurs, l’écorce et le bois du premier sont potentiellement mortels.
Les feuilles de muguet prises pour de l’ail des ours. Toute la plante, surtout les fruits, est l’une des plus toxiques de notre flore. La petite ciguë dont les feuilles ressemblent à du persil non frisé.
L’amalgame entre les petites baies noires juteuses et à haute teneur alcaloïde de la belladone et les myrtilles.
François Couplan a publié plusieurs livres, dont, « Plantes sauvages, comestibles et toxiques » (Delachaux et Niestlé, 2018) avec Eva Styner et « Plantes médicinales » (Larousse, 2017).
Attention à la toxicité du muguet
Traiter le psoriasis.
Dermatologie
« J’ai du psoriasis et j’aimerais savoir comment calmer au mieux les crises », Pierre, 37 ans .
Le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique cutanée dont on ne peut pas contrôler les poussées ; une irritation, une infection, un stress ou un choc émotionnel peuvent les favoriser. Cette pathologie s’explique par la tendance de la peau à se renouveler trop rapidement, en 8 jours au lieu de 28, et donc mal. N’ayant pas le temps de s’éliminer, les squames s’accumulent et la peau s’épaissit. Cela se traduit par des plaques rouges et des démangeaisons, sur les coudes, les genoux, le cuir chevelu… Aussi inesthétiques qu’inconfortables, ces crises se traitent alors pour améliorer le confort social et la qualité de vie.
La douceur de rigueur.
Apaiser les démangeaisons passe par le fait de ne pas irriter davantage la peau. La première consigne est de ne pas porter de
vêtements serrés, susceptibles d’agresser les plaques. Il est également recommandé de bien choisir ses produits d’hygiène – les gels surgras sans savons ou les pains dermatologiques lavent sans décaper le film hydrolipidique. Après la toilette, à l’eau pas trop chaude, se sécher (sans frotter !) en tamponnant doucement la peau avec la serviette. Et, pour garder l’eau, appliquez aussitôt après le bain ou la douche un lait, une crème ou un baume riches en huiles ou beurres végétaux.
Hydrater la peau est essentiel pour prévenir les sensations de tiraillement et les démangeaisons dues au psoriasis.
Les bons réflexes pour les cheveux.
Le psoriasis se développe très fréquemment sur le cuir chevelu. Pour ne pas attiser les démangeaisons ou entraîner la croissance de nouvellesplaques, opter pour des brosses à poils doux et limiter l’usage d’un sèche-cheveux. Outre ces précautions quotidiennes, un traitement local sous forme de gel, de lotion, de mousse ou de shampooings pharmaceutiques contribue à atténuer les plaques et diminuer le prurit.
Il est en effet important de ne pas céder à l’envie de se gratter la tête : 5 minutes de grattage accélèrent le renouvellement de la peau et suffisent à réactiver la crise pendant deux semaines…
Les bienfaits des ultraviolets.
Quand la saison le permet, les bains de mer et de soleil ont aussi un effet bénéfique sur le psoriasis. L’eau salée est connue pour ses effets cicatrisants même si elle provoque souvent des sensations de picotement sur les plaques lors des premières baignades. De son côté, user sans abuser du soleil apaise les crises chez certains : les ultraviolets ont des vertus anti-inflammatoires, sous réserve de protéger sa peau pour ne pas brûler car les coups de soleil ont l’effet inverse désiré. Loin des périodes estivales, il est possible de profiterdes bienfaits de la photothérapie en cabine – sous contrôle dermatologique dans des cabinets médicaux.
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