De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
18/07/2019 - 14:12
                                                          

Deux pyramides d’Égypte rouvrent au public  ...
                                                                         
                                                                       
                                                                       
                                                                       
               
Fermées au public depuis 1965, en raison de fouilles archéologiques, Deux
pyramides d’Egypte sont à nouveau ouvertes aux visiteurs.

                                                                         
                                                                     
Elles se trouvent sur le site de Dahchour, au sud du Caire, sur la rive
occidentale du Nil. Elles font partie des plus anciennes pyramides du
pays. Un ancien mur, long de soixante mètres, a pour la première été
dévoilé au public.

                                                                         
                                                                       
     Le ministre des Antiquités Khaled al-Anany a donné plus de détails
: « Dahchour est un site archéologique très important avec au moins
cinq pyramides : les deux pyramides de Snefru – la pyramide Bent et la
pyramide du nord ou pyramide rouge – et trois autres qui datent du Moyen
Empire sous les douze dynasties d’Amenemhat II, Senusret III et
Amenemhat III. »

                                                                         
                                                                       
       Les fouilles ont aussi permis de mettre au jour une collection
de sarcophages en pierre, en argile ou en bois contenant parfois des
momies en bon état de conservation. Des masques funéraires datant du
VIIIè au IVè siècle avant notre ère sont également exposés.

                                                                         
                                                                       
 Les autorités égyptiennes annoncent régulièrement des découvertes
archéologiques dans l’espoir de relancer le tourisme, en berne depuis la
révolution de 2011. Depuis l’an dernier, le secteur repart toutefois à
la hausse.

18/07/2019 - 14:04
L’ancien garage Citroën à Lyon .

A Lyon, la magistrale transformation d’un garage Art déco
 

 
A deux pas du Rhône, en plein quartier étudiant, l’ancien garage Citroën aretrouvé son lustre d’antan. Il a fallu 35 millions d’euros pour faire de ce bâtiment industriel pas comme les autres, grand comme 6 terrains de foot, un immeuble de bureaux.
 
Une façade Art déco, du béton armé, des ferronneries de Jean Prouvé, le garage Citroën du 7e arrondissement non loin des universités Lyon 2 et Lyon 3 est un élément insolite du paysage lyonnais.
«Tous les Lyonnais connaissent ce bâtiment» assure Jean-Pierre Gagneux, le directeur général de la société 6ème Sens Immobilier, à l’origine du projet qui a permis de restaurer et de transformer ce gigantesque garage Citroën en immeuble de bureaux.
 

 
Avec l’inauguration fin janvier du garage remodelé, c’est la fin d’une épopée qui a coûté 35 millions d’euros. Il a fallu transformer l’immeuble qui abritait autrefois une ligne de montage de Citroën en plein coeur de la ville en immeuble de bureaux high tech. L’édifice de béton et de verre Art déco terminé en 1932 et son hall grandiose de 18 mètres de haut ont au bout de ce chantier de longue haleine retrouvé leur splendeur.
 
Inscrit à l’Inventaire des monuments historiques, ce garage Citroën s’étend sur31.500 m². «Ce fut la plus grande station-service du monde» rappelle Jean-Pierre Gagneux. Grand, certes, mais pas seulement.
 

 
Ce bâtiment a une autre originalité, il comporte des oeuvres de Prouvé et des rampes monumentales. Baptisé New Deal, le bâtiment, qui vient d’être converti en bureaux, a gardé son identité, celle que lui ont donné au départ l’architecte Maurice-Jacques Ravazé, Jean Prouvé et André Gustave Citroën.
 
Un exemple du design industriel des années 30, un loft pas comme les autres.
 
Pour y parvenir, il a fallu faire travailler 21 bureaux d’études avec la Conservation régionale des monuments historiques et les services territoriaux de l’architecture et du patrimoine .
 
«Ce lieu va conserver son activité et ses caractéristiques historiques, dont les rampes frappées des chevrons de la marque, les volumes, les plafonds en béton armé, simplement peints en blanc, et les ferronneries façonnées par le célèbre designer Jean Prouvé» explique Jean-Pierre Gagneux.
 
Les balustrades intérieures ont été restaurées et ont franchi les années, les ascenseurs eux ont dû être remplacés.
 
16 tonnes et 140 mètres carrés pour la porte.
 

 
Autre singularité: la porte en acier et en verre qui se trouve à l’angle de la rue de Marseille et de la rue de l’Université. Elle a été refaite dans l’esprit de Prouvé, la porte d’origine ayant disparu dans les années 80. Une oeuvre monumentale de 16 tonnes et 140 mètres carrés!
 
Qui seront les chanceux qui travailleront dans ce cadre pas comme les autres?

Les premiers occupants ont déjà emménagé: Citroën au rez-de-chaussée sur 5 000 m² (une surface d’exposition et de vente de voitures neuves et d’occasions), l’Inseec, une école de management et de commerce (1700 étudiants) au 3ème étage et Santé Vet, spécialiste des assurances et mutuelles pour animaux au 4e étage.

      

Et , puisque les rampes étaient là, elles serviront. Les parkings se trouvent aux étages des bureaux, ce qui a d’ailleurs nécessité la mise en place de portes coupe feu et autres systèmes de sécurité pour être aux normes actuelles.
Ce commentaire a été modifié le 18/07/2019 à 14:05
18/07/2019 - 13:49
Payer les violons .



C’est une façon ironique de dire que quelqu’un a eu tout l’embarras d’une affaire dont les autres ont eu tout le profit
 
Cette expression est la reproduction textuelle de cette locution latine : Delirant reges, plectuntur archivi, ce qui signifie : Les grands font des fautes et le peuple en porte la peine.
 
Molière a introduit cette expression dans l’une de ses pièces, la comtesse d’Escarbagnas (Scène II) ; voici les paroles qu’il a mises dans la bouche d’un des acteurs : « Je ne sais de quelle façon M. Tibaudier a été avec vous, mais M. Tibaudier n’est pas un exemple pour moi et je ne suis pas d’humeur à payer les violons pour faire danser les autres. »
 
Il est certain que celui qui paie les violons ne danse pas toujours et quedans la plupart des cas, il a plus à se plaindre qu’à se réjouir.
 
C’est une pensée proverbiale qui trouve à chaque instant son application dans la vie usuelle où les cœurs généreux sont généralement pris pour dupes.
17/07/2019 - 22:33
10 activités incontournables à faire à Venise






1. S’en mettre plein les yeux sur la place Saint-Marc, de jour comme de nuit

Ce que j’aime le plus avec la place Saint-Marc, c’est qu’elle revêt une foule de visages différents. On peut y passer 30 fois et la découvrir à chaque fois sous un jour nouveau.
Mais s’il y a bien quelque chose auquel on ne s’habitue pas, c’est aux dimensions exceptionnelles de la place et de ces bâtiments qui semblent ne jamais se terminer ! Enjournée, on y sera entouré de centaines d’autres touristes et bien sûr,de pigeons pas vraiment farouches. Attention, il est officiellement interdit de les nourrir !



Mais au fur et à mesure que l’obscurité gagne, on pourra découvrir une place beaucoup plus tranquille voire presque déserte une fois la nuit tombée. On pourra également la parcourir un jour d’Acqua Alta, à moitié recouverte par les eaux ou bien complètement submergée ! On s’amusera alors à se déplacer en petits troupeaux sur les passerelles. Vous l’aurez compris, il y a toujours quelque chose à admirer sur la place Saint-Marc et premier lieu la célèbre basilique. Moins connue mais également très belle, la tour de l’horloge vaut elle aussi le coup d’oeil.



2. Rentrer dans la basilique Saint-Marc

La bonne nouvelle, c’est que l’entrée dans la basilique est entièrement gratuite pour les visites libres. Mais avant toute chose, il est impératif de passer en amont par la consigne car il est totalement interdit d’y entrer avec le moindre sac à dos ! La mauvaise nouvelle, c’est que vous serez loin d’être seul à l’intérieur et qu’il faut bien souvent prendre son mal en patience dans la file d’attente à l’entrée.

Avec la basilique Saint-Pierre du Vatican, il s’agit sans doute des deux monuments que j’ai visité où il y a eu le plus d’affluence !
Cela dit, la foule n’enlève rien aux incroyables richesses que l’on découvre à l’intérieur. Les décorations de la basilique sont vraiment superbes ! Et si vous n’aimez pas attendreou que vous voulez en apprendre plus sur l’histoire de la basilique, il existe aussi des visites guidées en français  avec option coupe file.




Sous les ors de la basilique

3. Visiter le palais des Doges

C’est un fait, la demeure des Doges vénitiens n’a absolument rien à envier aux palais des plus grands rois !
Plusieurs pièces sont particulièrement impressionnantes de grandeur et de faste. J’ai également adoré le fait de pénétrer dans les véritables prisons utilisées à l’époque !
Bon à savoir : il existe une visite spéciale « Itinéraires secrets du palais des Doges » que j’ai découverte dans le Routard et qui a l’air d’être particulièrement intéressante ! Attention, les places sont limitées et il faut s’y prendre en avance sur le site du Palais des Doges pour pouvoir y assister en français.
Et enfin, en sortant du palais des Doges en direction de l’Arsenal,  ne loupez pas le petit mais non moins célèbre pont des soupirs !



4. Faire une promenade en gondole

L’activité incontournable à faire lors d’un séjour à Venise en amoureux ! Pour avoir nous-mêmes cédé à la tentation, il ne fait aucun doute quenous en gardons un excellent souvenir ! Il faut par contre être averti :si vous visitez Venise pendant la haute saison touristique (globalement entre avril et septembre), il peut y avoir énormément de monde sur les gondoles et dans les canaux, ce qui peut retirer un peu de charme à la promenade.



La gondole, ou comment passer un super moment hors du temps.

5. Voguer sur le Grand Canal et traverser le pont du Rialto

Que serait un séjour à Venise sans un passage par le Grand Canal ? Il n’existe pas de meilleur endroit à Venise pour admirer les somptueux palais de la ville. Erigés par les riches commerçants vénitiens au cours des siècles passés, on en compte aujourd’hui plusieurs dizaines répartis tout au long du Grand Canal. La meilleure solution pour les admirer est d’embarquer sur un bateau qui longe le Grand Canal sur toute sa longueur.

Au milieu du Grand Canal se trouve le quartier du Rialto qui rayonne autour du célèbre pont. Il s’agit probablement du centre névralgique de Venise qui grouille de boutiques touristiques et où toutes les enseignes de prêt à porter tentent d’avoir leur boutique.
Beaucoup de restaurants dans les parages, beaucoup de bateaux qui vont et viennent ce qui donne forcément beaucoup d’agitation et beaucoup de touristes. Mais que ce pont est beau !




6. Visiter les musées de Venise

Et ils sont nombreux, sachez-le ! Les musées vénitiens combleront sans aucun doute les amateurs d’art moderne et contemporain mais ils sont également une bonne solution de repli quand il pleut. Voici donc un petit aperçu des principaux musées à visiter à Venise en fonction de vos goûts :
Le Museo Correr : un immense musée consacré à l’histoire de Venise
Le Museo Archeologico : consacré, comme son nom l’indique, à l’archéologie (plus précisément grecque et romaine).Les salles monumentales de la bibliothèque Marciana : peintes et décorées par les plus grands artistes vénitiens.
Le Palazzo Grassi :
qui présente une suite d’expositions temporaires exclusivement dédiées à l’art contemporain.
La Punta della Dogana : qui vient compléter les expositions du Palazzo Grassi, toujours sur le thème de l’art contemporain.
Le musée Peggy Guggenheim : qui expose les collections d’art de sa célèbre fondatrice.
Le musée de l’Accademia :
regroupe de nombreux chefs d’oeuvre des plus grands maîtres vénitiens (Tintoret, Véronèse, Veneziano etc…).
Le musée d’histoire naturelle :
pour ceux qui veulent voir autre chose que des peintures et surtout un musée un peu plus accessible si vous visitez Venise avec des enfants.
Le musée d’histoire navale : un incontournables pour les amateurs de maquettes et également une visite sympa à faire en famille.


A Venise, même les musées sont des palais !

7. Ecumer les galeries d’art (ou au moins approcher quelques vitrines)

Encore de l’art me direz-vous ! C’est un fait : l’art est partout à Venise ! Mais rassurez-vous, même si vous n’êtes pas vraiment sensible à l’art en général, il y a de fortes chancepour que votre curiosité soit piquée par certaines vitrines de galeries. Moi la première, n’étant pas spécialement une grande amateur du genre, je me surprends toujours à Venise à me laisser happer par
certaines oeuvres exposées dans les vitrines des galeries d’art. Nous avons d’ailleurs eu un énorme coup de coeur pour LorisMazazzi , un artiste vénitien qui réalise des sculptures sur bois d’un réalisme très surprenant.



8. Monter en haut du Campanile

C’est bien connu : d’en haut, c’est toujours plus beau ! Venise n’échappe bien sûr pas à cette règle. Pour prendre de la hauteur, rendez-vous au Campanile, cette grosse tour carrée qui trône sur la place Saint-Marc devant la Basilique. Arrivés à presque 100 mètres de hauteur, on peut profiter d’une vue panoramique sur l’ensemble de Venise et de la lagune. Pour être honnête, il s’agit de l’un de mes lieux favoris à Venise ! Attention, ilpeut y avoir du vent là-haut, n’oubliez pas de bien vous couvrir !




9. S’échapper quelques heures sur les îles de Murano et Burano

Sans doute la dernière activité touristique incontournable que je n’ai pas encore eu le temps de faire après deux voyages à Venise. Pas forcément faciles à différencier au premier abord à cause de leurs noms similaires, les deux îles n’ont en fait pas grand chose en commun.
Murano se distingue par ses célèbres ateliers de souffleurs de verre tandis que Burano, beaucoup plus paisible, offre une vision parfaite de carte postale avec ses petites maisons ultra colorées. Moins connue, l’ile de Torcello offre le spectacle d’une île presque
déserte où subsistent de beaux monuments de l’occupation passée.

10. Participer aux activités du carnaval



Tous les ans, aux alentours de début février, Venise vit à l’heure de son carnaval qui attire des millions de curieux. A cette occasion, il existe une foule d’activités et de festivités à ne pas manquer. Dîners, bals costumés, visites à thème, danses traditionnelles, ateliers de création de masques, défilés, spectacles de rue… tout y est pour que chacun prenne part à la fête !
Ce commentaire a été modifié le 17/07/2019 à 22:35
17/07/2019 - 14:56
Journée mondiale des émojis



Chaque 17 juillet, le monde fête le "World Emoji Day", la journée mondiale des Emoji. Nous sommes convaincus que -le sachant- votre journée en sera grandement changée ☺...

Pour ceux qui vivent sur une autre planète, rappelons que les émojis (et leurs ancêtres les émoticones), sont ces petites icônes qui vous servent à ponctuer vos messages échangés par SMS ou sur les applications de messagerie.



Pourquoi célébrer cette journée le 17 juillet ?

Tout simplement parce que c'est la date qui est affichée sur l'emoji "calendrier" pour les téléphones iOS et Android. Il suffit de regarder son téléphone. Malheureusement, ce n'est pas avéré sur tous les téléphones.

Un peu d'histoire
Les emojis sont nés en 1999 (leurs ancêtres émoticônes datent pour leurpart de 1982) grâce à un opérateur téléphonique japonais.
Apple a intégré le clavier Unicode Standard dont le langage permet la création d’emojis en 2011, ce qui a largement participé à leur succès.
D'après certaines études (y'a vraiment des chercheurs qui s'ennuient !),nous enverrions chaque jour plus de 6 milliards d'émojis ! Rien que pour cela, une journée mondiale dédiée s'imposait...

         
17/07/2019 - 13:01
                                                        

Croatie : du land art sur des bancs de sable  ... 
                                                                         
                                                                       
                                                                       
                                                                       
    Entre fin juin et début juillet, des motifs géométriques ont
commencé à apparaître sur ces bancs de sable. Ce dessin artistique a été
créé à l’occasion du festival annuel de la ville d’Opuzen, située au
sud de la Croatie, non loin de Dubrovnik.

                                                                         
                                                                       
                          Des œuvres temporaires :                                                                          
                                                                       
                                                                       
     Au total, ce sont trois œuvres qui ont été faites. Toutes ont été progressivement emportées par la marée montante.

                                                                         
                                                                       
            Un concept temporaire pensé par Nikola Faller. Spécialiste
du land art, cet artiste croate aime travailler sur la nature.

                                                                         
                                                                       
         Tous les ans à l’occasion du festival, la ville d’Opuzen
présente des peintures murales et d’autres œuvres d’art de rue peintes.

                                                                         
                                                                       
      Avec ces œuvres, les organisateurs de l’événement espèrent
encourager les jeunes à rester en Croatie. Depuis l’adhésion de la
Croatie à l’Union européenne en 2013, des centaines de milliers de
personnes ont quitté le pays pour s’installer en Europe de l’ouest.

 
17/07/2019 - 12:58

L’histoire du « Flyboard Air » de Franky Zapata ...
                                                                         
                                                             « Lors du
premier vol, j’ai perdu deux doigts, ils se sont arrachés dans les
turbines. »
                                                                         
                                                                       
    L’homme qui a survolé les Champs-Élysées sur son hoverboard lors du
défilé du 14-Juillet, c’est lui : Franky Zapata.
                                                                         
                                                                
      Sur son hoverboard, Franky Zapata a fait sensation lors du défilé du 14 juillet 2019. Marseillais de 40 ans, c’est lui qui a créé cette machine.
                                                                         
                                                      « Le premier vol,
c’était il y a trois ans, j’ai perdu deux doigts, ils se sont arrachés
dans les turbines et la machine s’est écrasée dans le mur de mon
atelier » raconte Franky Zapata. Mais lorsqu’il arrive finalement à
faire voler son hoverboard, c’est pour lui comme une révélation : « Je
me suis dit : c’est ce que je dois faire de ma vie ».
                                                                         
                                                                     
Suite à son invention, Franky Zapata affirme avoir été courtisé par de
nombreux pays, dont les États-Unis ; Mais il a tenu à développer son
idée en France. Avec succès : le ministère des Armées a investi 1,3
million d’euros dans son développement.
                                                                         
                                                   « C’est pas du tout
gadget parce que ça va permettre de tester différentes utilisations. Par
exemple, une plateforme logistique volante ou bien une plateforme
d’assaut, vous verrez, l’effet de surprise est considérable » a déclaré
Florence Parly, ministre des Armées au sujet du flyboard de Franky
Zapata.
                                                                         
                                                                     
Multiple champion du monde de jet-ski, Franky Zapata a d’abord développé
une version aquatique a d’abord développé de son flyboard, en 2011. Cet
hoverboard aquatique a fait sa fortune. En 2016, il met au point le
Flyboard Air, cette plateforme volante. En 2017, l’inventeur est
convoqué par la gendarmerie et il est contraint d’arrêter ses tests
parce que son engin n’est pas « homologué ».
                                                                         
                                                                       
  Sollicité par de nombreuses entreprises étrangères, il songe alors à
quitter la France.
                                                                         
                                                           « Je veux
travailler, je veux pas me faire prendre de vitesse justement par tous
les gens qui sont en train de travailler. »
                                                                         
                                                                     
 Pour ne pas laisser filer cette technologie française, un accord de
financement est finalement trouvé avec l’armée française en 2018.
                                                                         
                                                                     
Aujourd’hui, le Flyboard peut atteindre 140 km/h, voler à 150 mètres
d’altitude, pendant seulement 6 minutes. À l’avenir, il pourrait
atteindre 200 km/h et voler à 3000 mètres d’altitude pendant 30 minutes.
17/07/2019 - 12:55
                                                          

                                Tati  ...  c’est (presque) fini !                                                                           
                                                                       
            


 
    Le groupe propriétaire de la marque Tati annonce la fermeture de tous les magasins Tati en France, à l’exception de celui de Barbès. C’est tout un pan de
l’histoire de la consommation française qui disparaît avec la célèbre
enseigne.

                                                                         
                                                                       
                                          Une « réorientation économique » :                                                                           
                                                         
Le président du groupe GPG (auquel appartient l’enseigne Tati notamment), a annoncé ce mardi 16 juillet la fermeture, d’ici 2020, d’une centaine de magasins Tati. Si une majorité d’entre eux va se transformer en magasin GIFI, treize
vont définitivement fermer leur porte. La raison de ces fermetures est à
chercher du côté du faible rendement économique de l’enseigne Tati, qui n’a pas su supporter la concurrence des autres marques discount
apparues sur le marché depuis une dizaine d’années. Près de 200 postes
sont menacés par ce plan social.                                         
                                                                       
                                                                       
             Bientôt, le mythique Tati de Barbès, qui a profondément marqué le paysage du boulevard Rochechouart depuis
60 ans, sera le seul magasin conservé dans sa forme actuelle.

 
 Tati, une enseigne iconique :                                                                          
                                                                       
         Les magasins Tati avaient été fondés en 1948 par l’entrepreneur Jules Ouaki. Ce dernier a
révolutionné la distribution discount en proposant des produits
déstockés. Principalement à destination des classes populaires des
quartiers parisiens, Tati offrait la possibilité à ses clients d’accéder à des produits de
consommation du quotidien (vêtements, produits ménagers, etc ...), à
prix modiques.

                                                                         
                                                                       
   La célèbre enseigne au motif vichy avait marqué toute une génération !


17/07/2019 - 12:52
                                                            

Voici l’histoire de la base américaine la plus secrète. La Zone 51 ...  
                                                                         
                                                                       
       Plus d’un million de personnes s’y sont donné rendez-vous le 20
septembre prochain pour l’envahir et prouver l’existence des
extraterrestres… Voici l’histoire de la base américaine la plus secrète.
La Zone 51.

                                                                         
                                                                       
 La Zone 51 est l’un des endroits les plus surveillés au monde. Située
dans l’Etat du Nevada, la zone 51 alimente de nombreuses théories sur
les OVNIS et les extraterrestres.. De nombreuses personnes disent en
effet avoir vu des vaisseaux spatiaux voler au-dessus de la zone 51.

                                                                         
                                                                       
      En 1989, Bob Lazar se présente comme un scientifique ayant
travaillé pour des laboratoires secrets du gouvernement américain. Dans
une interview accordée au journaliste américain George Knapp, il est
persuadé que les autorités américaines détiennent des technologies
extraterrestres.

                                                                         
                                                      « J’ai rencontré
Bob Lazar début 89 grâce à un ami commun : John Leer. Et Bob Lazar m’a
raconté une histoire incroyable. Je me suis dit que si seulement une
toute petite partie de cette histoire était vraie, ce serait
probablement le plus grand scoop de tous les temps » raconte le
journaliste américain George Knapp.
                                                                         
                                                                       
  X-Files, Independance Day, Les Simpson… La Zone 51 fait rapidement
son entrée dans la pop culture.

                                                                         
                                                                       
Tout commence dans les années 1950, lorsque l’armée américaine instaure
une base secrète dans le Nevada. Les pilotes de ligne de l’aviation
civile voyaient dans la région des objets volants difficilement
identifiables, ce qui a alimenté très rapidement le mystère sur la Zone
51. Pour ces pilotes, ces phénomènes étaient tellement étranges qu’il ne
pouvait s’agir que d’une technologie extraterrestre.

                                                                         
                                                                       
Ce n’est qu’en 2013 que la CIA reconnaît l’existence de la base
militaire de la Zone 51. Elle publie alors 407 pages de documents
déclassifiés qui décrivent l’un des programmes les plus secrets de
l’armée américaine : l’U-2. La Zone 51 était la base de cet avion espion
utilisé pendant la guerre froide.

                                                                         
                                                                    Mais ces révélations n’ont pas suffi à casser le mythe de la zone 51.

                                                                         
                                                      « Ce qu’ils ne
nous disent pas, et à raison, c’est que nous avons des avions d’origine
extraterrestre ou développés à partir d’engins extraterrestres
reproduits par les Américains et d’autres gouvernements et c’est l’un
des grands secrets » estime par exemple Timothy Good, auteur de livre
sur les ovnis
                                                                         
                                                                       
   Outre les ouvrages de Timothy Good, la Zone 51 est toujours l’objet
de nombreuses théories.

                                                                         
                                                     « Je pense qu’ici,
les extraterrestres et notre armée font des recherches côte à côte »
déclare par exemple une Américaine.
                                                                                                                                                         « C’est une zone ultra
surveillée, ultra sécurisée. Il y a des barbelés, etc. Si je vais plus
loin, je peux me faire arrêter et aller en prison » explique le vidéaste
Le Grand JD dans l’une de ses vidéos.

                                                                         
                                                                       
 Mais les alentours attirent de nombreux touristes. En 1996, l’office
du tourisme du Nevada a même rebaptisé la route 375 qui passe à
proximité de la zone 51 en « Extraterrestrial Highway », soit
« l’autoroute extraterrestre ». Aujourd’hui, la Zone 51 reste une base
militaire toujours en activité et continue d’alimenter les théories, sur
fond d’OVNI et extraterrestres.

  
17/07/2019 - 09:23
merci Marie-Jeanne, c'est très beau et je connais! ayant habité 8 ans en Vendée !!!!Bonne journée.